Le Centre hospitalier universitaire Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM) de Cotonou dispose d'un deuxième scanner de 64/128 coupes. Cet équipement important de prise en charge de patients a été inauguré la semaine écoulée par le ministre de la santé, Benjamin Hounkpatin, en présence de la ministre conseillère à la santé, Claudine Prudencio, du préfet du Littoral, Alain Oroula et du maire Luc Atrokpo.
Un deuxième scanner de 64/128 coupes renforce désormais les capacités opérationnelles du CNHU-HKM. Cet équipement ultra moderne de dernière génération acquis pour une meilleure prise en charge des malades, est doté d'intelligence artificielle avec option cardiologique. Il allie finesse, précision du diagnostic et une rapidité inégalée des résultats.
Selon le directeur général par intérim de l'Agence nationale de la maintenance hospitalière, le scanner mis en service est également doté d'algorithmes spécifiques pour la réalisation avec précision d'examens neurologiques, thoraciques, abdominaux, oncologiques et ostéoarticulaires. Il dispose de l'option cardiologique qui permet de réaliser des coronarographies de haute précision et d'effectuer des diagnostics cardiologiques à très faible dose avec une résolution temporelle et spatiale exceptionnelle.
« L'installation de cet équipement en ces lieux, vient pour conjuguer définitivement au passé, les longs délais de rendez-vous mais également et surtout, les risques de rupture de la continuité des services liés aux pannes qui pourraient survenir sur le seul appareil qui existait », a déclaré le ministre de la santé. Son acquisition a-t-il poursuivi, garantit la célérité dans la réalisation des examens et relève d'un progrès majeur en matière de respect des standards. « Il est nécessaire d'avoir dans les hôpitaux, des équipements en miroir pour que lorsque l'un tombe en panne l'autre puisse automatiquement prendre le relais », a fait savoir le ministre de la santé. L'objectif étant de rendre les résultats des examens de radiologie en 24 heures au plus selon les recommandations du gouvernement.
Le CNHU-HKM s'était doté d'un scanner de 64 barrettes en 2022 et l'IRM (1,5 tesla) en 2020. La mise en service de ce 2e scanner vient renforcer les capacités de l'hôpital et permet d'offrir une prise en charge optimale aux patients.
F. A. A.
La commune d'Abomey-Calavi abrite un laboratoire National de Contrôle de Qualité des produits de santé et de l'eau.
Le Bénin dispose désormais d'un laboratoire national ultramoderne à Abomey-Calavi pour mieux assurer la sécurité sanitaire du pays. « Le gouvernement a fait l'option, il y a de cela 5 ans, de dédier un laboratoire exclusivement au contrôle de qualité des produits de santé notamment les médicaments, les dispositifs médicaux, les compléments alimentaires et évidemment les produits cosmétiques », a affirmé le ministre de la Santé, Benjamin Hounkpatin. Ce laboratoire permettra aussi le contrôle de la qualité de l'eau. Les travaux de ce laboratoire conforme aux normes internationales sont achevés à plus de 99 %.
« Nous avons déclenché depuis plusieurs années, une lutte acharnée contre les produits de santé notamment les médicaments falsifiés. C'est l'un des compartiments indispensables pour que cette politique que nous avons commencée, puisse aller à son terme », a ajouté le ministre de la Santé.
Selon Prof Achille Yemoa, directeur général de l'Agence nationale de Contrôle de Qualité des produits de santé et de l'eau (ANCQ), après la réception provisoire, il sera procédé à l'aménagement des locaux, à l'installation des équipements ainsi qu'à la formation du personnel technique. « La mise en service complète est prévue pour janvier 2026 avec les premiers contrôles sur les produits de santé et l'eau », a indiqué Prof Achille Yemoa.
A.A.A
L’alliance entre les Verts et le Parti travailliste a désigné Jesse Klaver, membre de la Chambre des représentants, pour diriger les négociations en vue de la formation du prochain gouvernement. Il succède à Frans Timmermans, qui a démissionné la semaine dernière à la suite du revers électoral subi aux élections du 29 octobre.
The post Pays-Bas : Jesse Klaver dirigera l’alliance de gauche dans les négociations de formation d’un gouvernement appeared first on Euractiv FR.
Written by Pieter Baert.
As many women and girls continue to face barriers in accessing affordable menstrual products, menstrual poverty remains a significant socioeconomic issue. To combat it, the EU Value Added Tax (VAT) Directive now allows Member States to apply reduced or zero VAT rates to sanitary products. On 4 November 2025, the European Parliament’s Subcommittee on Tax Matters (FISC) will hold a public hearing on this issue in light of the Parliament’s Gender Equality Week.
VAT rates on feminine hygiene productsOver the years, the tax cost of menstrual products has been a topic of growing public debate. Since these products are used exclusively by women, the issue has drawn attention for its gendered economic impact. Advocates of lowering or removing VAT on menstrual products argue that the tax places an unfair, systematic financial burden on women, and contributes to menstrual poverty. Unlike other consumer products, these goods are considered a biological necessity rather than a matter of choice.
In April 2022, a revision of the EU VAT Directive introduced greater flexibility for Member States to reduce VAT rates on female sanitary products. This change allowed Member States to lower the VAT rate to as little as 0 %, compared with the previous minimum rate of 5 % (Annex III, paragraph 3). The European Parliament urged Member States to take advantage of this increased flexibility. However, while several Member States have since reduced their VAT rates on such goods, levels remain divergent.
VAT rate on tampons (EU, July 2025)Tax policy experts are generally cautious about VAT rate reductions, citing the likelihood for suppliers to bypass these reductions by increasing their profit margins instead. However, a recent study by academics from the Vienna University of Economics and Business, which looked at VAT rate cuts on menstrual products in Belgium, Germany, France and Austria, found that the tax reduction had been fully passed on to consumers over time. Moreover, low-income households had increased their purchase volume of menstrual products, highlighting the potential of such reforms to improve access for disadvantaged groups. Another recent study examining Germany’s 2020 VAT rate reduction on female hygiene products found that the tax cut was fully passed on to consumers, suggesting a perfectly inelastic demand. The VAT rate cut was estimated to have cost Germany 0.02 % of VAT revenue.
While reducing VAT rates can be one approach to making female hygiene products more affordable, some Member States and local governments have chosen to provide these goods for free in schools, public restrooms and other public spaces.
Gender-based price discriminationA related phenomenon is that of gender-based price discrimination. Although not an explicit tax issue as such, this refers to the situation where women sometimes incur extra costs for products and services marketed to them compared with similar items for men, with the products differing often only in superficial aspects, such as colour, name or description. Common examples include shampoo, razors and hairdressing services. While no comprehensive EU-wide research has been conducted to assess the prevalence of such practices, a study by the German Federal Anti-Discrimination Agency examined over 1 500 products in Germany and found that female variants were priced higher in 2.3 % of cases, while male variants were more expensive in 1.4 % of cases.
EU Directive 2004/113 already prohibits discrimination in access to goods and services based on gender. In 2023, in an answer to a parliamentary question, the European Commission said it had no plans at the time to introduce additional measures in that directive to address gender price discrimination.
Read this ‘at a glance note’ on ‘VAT policy and menstrual poverty in the EU‘ in the Think Tank pages of the European Parliament.
Les taxes appliquées à l’électricité, comparables à celles prélevées sur le tabac ou l’alcool, empêchent l’Europe de sortir durablement de la crise énergétique.
The post Les taxes sur l’électricité entretiennent la crise énergétique en Europe appeared first on Euractiv FR.
Le débat autour de l’accord franco-algérien de 1968 s’intensifie. Après l’adoption d’une résolution du RN le dénonçant et la déclaration de Laurent Nuñez, ministre français […]
L’article Colonisation française de l’Algérie: Zemmour dérape dans un échange musclé avec un imam marseillais est apparu en premier sur .
Une nouvelle ère s'ouvre pour le monde des affaires et de la tech en Afrique avec le lancement de Ewaji.com.
Ewaji est une plateforme d'avis clients robuste dédiée à renforcer la transparence, la crédibilité et la confiance entre les entreprises et leurs clients en Afrique. Dans un marché où la confiance influence plus de 70 % des décisions d'achat, la transparence devient un enjeu stratégique pour toutes les entreprises.
Pensé pour un écosystème entrepreneurial moderne, Ewaji.com contribue à faire briller en visibilité les entreprises en comptant sur les expériences clients partagées sous forme d'avis avec d'autres consommateurs sur sa plateforme. Au final, la note attribuée à l'entreprise sert à augmenter l'indice de confiance de celle-ci pour une relation équilibrée entre la marque et le consommateur.
Ewaji.com offre ainsi un espace fiable permettant aux consommateurs de partager leurs expériences, et aux entreprises de valoriser la satisfaction de leur clientèle.
Une plateforme pensée pour la transparence
Ewaji.com permet aux clients de publier des avis authentiques sur les services ou produits qu'ils ont utilisés ;
aux entreprises de collecter, afficher et gérer les retours de leurs clients ; et de renforcer la réputation en ligne grâce à un système d'évaluation clair et transparent.
Un outil puissant pour les entreprises africaines
Ewaji.com se positionne comme un véritable levier de croissance pour les commerces, petites et moyennes entreprises La plateforme aide les marques à prouver leur fiabilité auprès de nouveaux clients, améliorer leur service grâce aux retours collectés, augmenter leurs conversions grâce à la preuve sociale et se distinguer dans un marché de plus en plus digitalisé.
« Ewaji.com a été conçu pour aider les entreprises africaines à gagner la confiance des consommateurs tout en donnant une voix aux clients. La transparence est un élément clé dans le commerce moderne, et Ewaji.com apporte cette confiance au cœur des transactions », affirme un utilisateur de la plateforme.
Grâce à Ewaji.com, les marques bénéficient d'un avantage compétitif immédiat : plus de visibilité, plus de crédibilité, plus de clients.
À propos de Ewaji.com
Ewaji.com est une plateforme indépendante d'avis clients dédiée au marché africain. Elle permet aux consommateurs de partager leurs expériences en toute transparence et aux entreprises de développer leur réputation grâce à des avis vérifiés et publics. Ewaji.com ambitionne de devenir la référence de la confiance numérique en Afrique.
Sally Ncube, Equality Now, addresses the Standing Committee of the SADC Parliamentary Forum (SADC PF). Credit: Equality Now
By Cecilia Russell
JOHANNESBURG, Nov 3 2025 (IPS)
Closing the chapter on child marriages is still a distant ambition in the Southern African Development Community (SADC) region, and despite great strides at developing and passing legislation to eradicate it, existing and emerging drivers are still at play, making youngsters vulnerable to the practice.
These were key messages from Equality Now at the Standing Committee Session of the SADC Parliamentary Forum (SADC-PF) held in Kempton Park, South Africa, from October 24 to November 1, with the theme of Enhancing the Role of Parliamentarians in Advocating for the Signing, Ratification, Accession, Domestication, and Implementation of SADC Protocols.
Equality Now, in partnership with SADC-PF, launched two policy briefs—Protection measures for children already in marriage in Eastern and Southern Africa and Addressing emerging drivers of child marriages in Eastern and Southern Africa—for Parliamentarians’ consideration during a session aimed at sensitizing and increasing their knowledge on child marriage legislation and trends.
SADC countries adopted the Model Law on Eradicating Child Marriage and Protecting Children in Marriage in 2016; however, its domestication is uneven, children already in marriages need protection, and emergent drivers of child marriage need to be factored into the legal frameworks and policies.
Equality Now’s Divya Srinivasan addresses the Standing Committee of the SADC Parliamentary Forum (SADC PF). Credit: Equality Now
Equality Now’s Divya Srinivasan elaborated on the context of the domestication of the SADC model law on child marriage, noting that seven out of 16 countries (or about 45 percent) set the minimum age of 18 without exceptions. Five out of the 16 SADC countries set the age of 18 with some exceptions, with, for example, Botswana specifically excluding customary and religious marriages from the protection.
“Four countries, or around 25 percent, including Eswatini, Lesotho, South Africa, and Tanzania, provide for the minimum age of between 15 and 18. In these countries, the minimum age of marriage is different for boys and girls, with boys invariably having a higher age limit. In addition to these differences, all four countries allow for traditional and parental consent to lower the age of marriage,” Srinivasan noted.
Bevis Kapaso from Plan International said that since 2016, child marriage has dropped by 5 percentage points, going from 40 percent of all marriages to 35 percent in 2025, making it unlikely that the region will achieve SDG target 5.3, which aims to “eliminate all harmful practices, such as child marriage, early and forced marriage, and female genital mutilation” by 2030.
Most concerning was that the decrease was mainly urban, with the practice remaining fairly entrenched in rural areas.
This meant that children in marriages should be protected, and parliamentarians sensitized the drivers that were halting progress toward ending the practice.
Lawmakers should strive to ensure that married children have the right to void their marriages, retain their rights, access the property acquired during marriage, and not have their citizenship revoked, said Nkatha Murungi, an Equality Now Consultant.
“Children (in these circumstances) often end up stateless,” she said. While child marriage was a “symptom and a driver of entrenched inequality, poverty, and rights violations,” parliamentarians had a role to play in ensuring immediate, targeted measures to protect and empower children already in marriage, including the right to custody of their offspring and access to sexual and reproductive services.
Nkatha Murungi, an Equality Now Consultant, addresses the Standing Committee of the SADC Parliamentary Forum (SADC PF). Credit: Equality Now
Murungi suggested that lawmakers should also become aware of emerging issues, such as climate change. She said that after the 2019 floods in Malawi, which affected more than 868,900 people and displaced 86,980 individuals, child marriage spiked. Parliamentarians, according to Equality Now, should integrate child marriage prevention into national climate change adaptation and disaster risk management strategies.
It also suggested a gender-sensitive approach to economic empowerment by “supporting climate-resilient economic opportunities and programs for women and girls in affected communities.”
Other concerning emergent and persistent drivers include conflict and insecurity and increased migration and displacement, which often remove children from protective oversight while persistent poverty and inequality drive children into marriage.
The policy brief also warned about the rapid growth of technology, which, “while enabling advocacy and awareness, also facilitates misinformation that normalizes harmful practices, including child marriage.”
Sylvia Elizabeth Lucas, a South African parliamentarian and Vice President of the SADC parliamentary forum, on the sidelines of the meeting, stated that protecting children is non-negotiable; she emphasized that practical legislation and implementation, guided by the “spirit of ubuntu” (compassion and humanity), can effectively protect girl children.
On the sidelines of the meeting, Murungi elaborated that it was important to look at why the traditional approaches were not resulting in the ending of child marriages. Poverty has always been considered a driver, but traditional efforts to end child marriage have not benefited those living in poverty. Education was key to empowerment, not only for keeping children in school and out of marriage but also for giving them options for their futures.
The forum was reminded that it was imperative that the SADC Model Law be updated in their countries to reflect some of these emerging drivers.
“It is also necessary for Parliament and the Executive at the national level to work together to promote anti-child marriage policies and laws and ensure that targeted policy responses fill all prevailing gaps,” the policy brief on emergent drivers concluded.
IPS UN Bureau Report
Follow @IPSNewsUNBureau
La Commission électorale nationale autonome (CENA) a délivré, ce lundi 3 novembre 2025, le récépissé provisoire au parti Union Progressiste le Renouveau (UP-R) dans le cadre des élections communales de janvier 2026.
L'Union Progressiste le Renouveau entre en possession de son récépissé provisoire de déclaration de candidatures pour les communales 2026, suite à l'examen des dossiers déposés à la CENA.
Le document a été remis par le Directeur général des élections, Abou Adam Soulé, au Secrétaire général de l'UP-R, Gérard Gbénonchi, en présence de la Directrice de la Communication Anique Djimadja et de Paul Douakoutche, membre du Bureau Politique.
Le Secrétaire général du parti a assuré que les informations complémentaires demandées seront fournies dans les plus brefs délais.
La CENA poursuit l'examen des dossiers des autres partis (FCBE, Moele Bénin, ‘'Les Démocrates'', BR). La campagne électorale est fixée du 26 décembre au 9 janvier 2026. Le scrutin est prévu pour le 11 janvier 2025.
A.A.A
Chaque année, la Caisse nationale des retraites (CNR) rappelle aux bénéficiaires de pensions directes ou transférées qu’ils doivent actualiser leurs documents au cours du mois […]
L’article Retraite et pensions transférées : la CNR adresse un message important aux bénéficiaires est apparu en premier sur .
Le nouveau gouvernement d’extrême droite tchèque va opérer un virage politique majeur sur plusieurs questions européennes, notamment en matière de climat et de migration.
The post Climat, migrations… Le nouveau gouvernement tchèque annonce un revirement sur les politiques de l’UE appeared first on Euractiv FR.