Onafriq et Visa s'associent pour lancer Visa Pay, ouvrant ainsi la voie à l'interopérabilité entre les cartes et le Mobile Money en RDC Onafriq, le plus grand réseau de paiement numérique d'Afrique. C'est un partenariat stratégique avec Visa pour le lancement de Visa Pay, une plateforme de paiement en tant que service (PaaS) née du cloud, conçue pour étendre l'accès aux services financiers numériques à travers la République démocratique du Congo (RDC).
À travers ce partenariat, les consommateurs en RDC pourront facilement approvisionner leur portefeuille Visa Pay directement à partir des réseaux de Mobile Money, leur donnant ainsi un accès transparent aux paiements numériques et au e-commerce au quotidien.
Grâce aux API d'Onafriq, cette collaboration permet d'effectuer des prélèvements et des versements à partir des portefeuilles M-Pesa, Airtel Money et Orange Money, reliant ainsi efficacement le réseau de cartes Visa à des millions de comptes mobile money à travers le pays.
“Notre collaboration avec Onafriq illustre notre ambition d'accélérer l'inclusion financière en RDC,” a déclaré Sophie Kafuti, directrice générale de Visa en RDC. “En connectant Visa Pay à l'infrastructure mobile money existante, nous ne nous contentons pas d'ajouter une fonctionnalité pratique, nous créons les bases de l'interopérabilité qui favoriseront l'adoption du e-commerce dans tout le pays.”
Le moment est propice pour une croissance significative du marché. Selon les données de la GSMA, le secteur des paiements mobiles en RDC devrait atteindre une valeur transactionnelle de 3,85 milliards de dollars cette année, soit un taux de croissance annuel composé de 19 %. Ce marché englobe les paiements au détail, le e-commerce, les services administratifs, le paiement des factures, le versement des salaires et les recouvrements commerciaux à l'échelle nationale.
“Onafriq relie depuis des années les consommateurs congolais à l'Afrique et au reste du monde, en tant qu'infrastructure fiable en arrière-plan,” a déclaré Christian Bwakira, directeur commercial d'Onafriq. “Ce partenariat démontre comment la fusion du réseau mondial de Visa associée à la forte présence locale d'Onafriq crée des possibilités sans précédent en matière d'innovation et d'inclusion financière à travers l'Afrique. Lorsque vous associez des capacités mondiales de premier choix à des réseaux locaux fiables, vous ouvrez des opportunités de transformation tant pour les partenaires que pour les millions de consommateurs que nous servons.” Au-delà de la RDC, ce partenariat ouvre la voie à l'expansion de Visa Pay sur d'autres marchés africains, où l'adoption du mobile money est déjà très répandue et où la demande de solutions interopérables et numériques s'accélère.
À propos d'Onafriq
Onafriq est un réseau omnicanal de réseaux qui réduit l'importance des frontières en offrant à nos partenaires une voie unique pour exploiter tout le potentiel des solutions de paiement transfrontalières et multiplateformes. Avec un réseau couvrant 43 marchés africains, Onafriq relie plus d'un milliard de portefeuilles électroniques, 500 millions de comptes bancaires et plus de 400 000 agents au Nigeria, permettant ainsi les paiements et les encaissements nationaux et transfrontaliers, l'émission et le traitement de cartes, les services bancaires par agence et les services de trésorerie.
Grâce à nos capacités de pointe en matière de réglementation et de conformité et à notre solide présence régionale, avec 10 bureaux en Afrique, ainsi que des sites au Royaume-Uni, aux États-Unis et en Chine, nous ouvrons la voie à une nouvelle ère d'accès pour les populations du continent africain et au-delà.
À propos de Visa
Visa (NYSE : V) est un leader mondial des paiements numériques, facilitant les transactions entre les consommateurs, les commerçants, les institutions financières et les entités gouvernementales dans plus de 200 pays et territoires. Notre mission est de connecter le monde grâce au réseau de paiement le plus innovant, pratique, fiable et sécurisé, permettant ainsi aux particuliers, aux entreprises et aux économies de prospérer. Nous pensons que les économies qui incluent tous les individus, partout dans le monde, améliorent la vie de tous, partout dans le monde, et nous considérons cette accessibilité comme fondamentale pour l'avenir des transactions financières.
L’Université de Skikda vient d’ouvrir un programme inédit en Algérie : le premier master dédié à l’espace, aux sciences et à l’innovation. Ce cursus, mis […]
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L'ambassadeur Amadou DIONGUE, représentant résident de la Commission de la CEDEAO au Benin était au cabinet de Modeste KEREKOU, ministre des petites et moyennes entreprises et de la promotion de l'emploi ce mercredi 17 septembre 2025. Les activités entrant dans le cadre du cinquantenaire de la CEDEAO étaient au centre des discussions entre les deux personnalités.
Amadou DIONGUE, représentant résident de la Commission de la CEDEAO était l'hôte du ministre Modeste KEREKOU ce mercredi 17 septembre. Le diplomate est allé présenter au ministre, le programme des activités prévues dans le cadre de la célébration du cinquantenaire de la CEDEAO. L'accent selon le ministre, a été mis sur « le village du cinquantenaire » ; nouvelle initiative pour laquelle l'ambassadeur a voulu recueillir les orientations et recommandations de l'autorité ministérielle pour la réussite de la célébration.
Le « village du cinquantenaire » selon Modeste KEREKOU, se veut être « un espace vivant d'expression citoyenne, de dialogue interculturel et de valorisation des acquis communautaires qui mobilise les acteurs institutionnels, économiques, culturels et les citoyens du Bénin et de l'espace ouest-africain ».
Cette rencontre a été l'occasion pour les deux personnalités d'apprécier les résultats des actions communes, d'explorer les pistes d'amélioration et d'approfondissement de l'intégration régionale à travers l'implication de la jeunesse et des femmes dans le processus de développement de la sous-région. Rassurant de la disponibilité de son département ministériel, Modeste KEREKOU a souhaité l'amplification du programme de Volontariat des jeunes de la CEDEAO aux fins de favoriser le brassage entre les jeunes de la sous-région. A travers une publication sur sa page Facebook, il a suggéré « la mise en œuvre de politiques pertinentes favorisant le recrutement de jeunes cadres des pays membres dans les instances dirigeantes et les agences spécialisées de l'Institution ».
F. A. A.
La Semaine nationale de la microfinance (SéNaMif) démarre, lundi 22 septembre 2025, au Palais des congrès de Cotonou. L'annonce a été faite, mercredi 17 septembre, par Brice R. DANSOU, directeur général de la microfinance lors d'un point de presse.
L'édition 2025 du SéNaMif, c'est du 22 au 25 septembre prochain au Palais des congrès de Cotonou. Lors du point de presse qui a annoncé l'évènement ce mercredi 17 septembre, le directeur général de la microfinance a insisté sur l'importance de cette rencontre qui va rassembler environ 300 participants d'une vingtaine de pays d'Afrique et d'ailleurs. Il s'agira d'après Brice R. DANSOU, de réfléchir aux enjeux de la finance inclusive face aux défis climatiques et sécuritaires.
La chargée d'affaires de l'ambassade du Luxembourg et la présidente du CA/APSFD ont salué cette initiative du gouvernement béninois. Elles ont réaffirmé leur engagement à accompagner le secteur et invité les acteurs de la microfinance, les consommateurs et le grand public à une mobilisation massive pour le succès de cette édition.
F. A. A.
De nouvelles missions de formation seront organisées au profit des militaires béninois en 2026 dans le Dakota du Nord aux Etats-Unis. L'annonce a été faite par le Colonel Faïzou GOMINA, lors de la visite du Général de Brigade, Mitchell JOHNSON, Commandant la Garde nationale de l'État du Dakota du Nord, mardi 16 septembre 2025, à la caserne militaire de Dessa dans la commune d'Allada.
Dans le cadre de la coopération militaire entre le Bénin et les Etats-Unis, les stages de perfectionnement organisés pour les militaires béninois dans le Dakota du Nord vont se poursuivre en 2026. De nouvelles missions seront organisées en vue du renforcement de leur capacité pour faire face aux défis sécurités actuels. L'annonce a été faite lors de la visite du Général de Brigade, Mitchell JOHNSON, dans la caserne militaire de Dessa mardi 16 septembre dernier.
Au cours de cette visite, les échanges entre Mitchell JOHNSON, Faïzou GOMINA et les membres des deux délégations ont porté sur la formation militaire, la lutte contre les engins explosifs improvisés et l'assistance aux victimes de catastrophes naturelles.
Cette visite a été l'occasion pour les deux armées de réitérer leur engagement à œuvrer ensemble dans un cadre de partenariat renforcé, illustrant ainsi l'excellence des relations militaires entre le Bénin et les États-Unis d'Amérique.
Le Général Mitchell JOHNSON s'est réjoui de cette visite qui lui a permis d'admirer les infrastructures modernes mises à la disposition des militaires béninois. Il a exprimé sa fierté de voir le Bénin figurer parmi les pays inclus dans le programme de partenariat d'État de la Garde nationale du Dakota du Nord.
F. A. A.
Au terme d'une élection, lundi 15 septembre 2025, à Riyad, Fouzi Lekjaa, président de la Fédération royale marocaine de football (FRMF) a été reconduit à la tête de l'Union arabe de football (UAFA).
Le Maroc renforce sa présence sur la scène internationale de football. Le président de la Fédération royale marocaine de football, Fouzi Lekjaa, a été réélu président de l'Union arabe de football. Cette réélection qui intervient à quelques semaines du coup d'envoi de la Coupe d'Afrique des nations (CAN) est très appréciée dans les cercles du football arabe.
La présence du président de la FRMF aux côtés de personnalités influentes telles que Hani Abou Rida de l'Égypte, Ahmed Yahya de la Mauritanie, et Moatasem Jaafar du Soudan, au sein du comité exécutif de l'UAFA, est perçue comme une reconnaissance politique et stratégique qui s'inscrit également dans une dynamique de diplomatie sportive offensive, dans laquelle le Maroc entend jouer un rôle de carrefour entre le monde arabe et l'Afrique.
Dans le cadre de la CAN 2025 qui se jouera du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026, le Royaume du Maroc a engagé un vaste programme d'investissement pour moderniser ses stades, notamment ceux de Rabat, Marrakech, Tanger, Fès, Agadir pour répondre aux standards internationaux. Outre la plus grande compétition de football sur le continent africain, le Royaume du Maroc s'apprête pour accueillir en 2027, la Coupe arabe féminine de football. Un autre évènement sportif de grande envergure qui témoigne de l'engagement du Royaume à promouvoir le football féminin.
F. A. A.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a présidé aujourd’hui une réunion du Haut Conseil de sécurité. En sa qualité de chef suprême des forces […]
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L’Algérie signe un nouveau succès sur la scène internationale. L’entreprise Petro Baraka, spécialisée dans la production d’huiles industrielles et de solutions énergétiques alternatives, a remporté […]
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Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et des Transports, Saïd Sayoud, et le ministre des Ressources en Eau, Taha Derbal, ont effectué une visite […]
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Depuis son entrée en littérature en 2014, Djamile Mama Gao s'impose comme une figure singulière dans le paysage francophone. Là où beaucoup d'écrivains africains abordent l'érotisme par fragments, métaphores ou dissimulations, il choisit de le placer au centre même de son projet littéraire. Son parcours s'organise en plusieurs jalons majeurs : Corps-raccords (2014), Le calepin d'une vicieuse (2020), Le carnet intime d'un coquin (2023) et En mâle d'émotions (2025). Chacun de ses ouvrages redéfinit les postures du désir et déplace les lignes de la représentation, tout en assumant la complexité du contexte culturel africain, où l'expression explicite du désir demeure souvent contrainte par des tabous sociaux et moraux.
Corps-raccords : l'érotisme au masculin
Avec Corps-raccords, Djamile Mama Gao inaugure un espace où le désir masculin se dit frontalement, à travers ses pulsions, ses submersions et ses intensités. L'écriture s'y déploie dans une veine passionnelle, parfois entrecoupée, où la recherche de l'autre corps passe par l'affirmation de sa propre énergie vive. Le texte épouse la logique d'une mise en tension : tension des chairs, tension des mots, tension d'un regard qui désire. Cet ouvrage posait ainsi une première pierre : l'érotisme y devient axe structurant d'un récit poétique de la quête charnelle de l'autre.
Dans le contexte africain, cette démarche revêt une dimension particulière. Elle tranche avec une tradition littéraire souvent plus allusive, où l'érotisme reste discret, masqué derrière l'imaginaire du paysage ou des symboles. Djamile Mama Gao s'autorise une parole déliée, qui assume le masculin dans ses appétits, ses fragilités et ses fougues.
Le calepin d'une vicieuse : déplacer le regard
Six ans plus tard, Le calepin d'une vicieuse marque un tournant. Djamile Mama Gao abandonne la voix masculine pour se placer dans la peau d'une femme qui écrit son désir, dans une langue crue et assumée. Ce déplacement de focalisation est décisif. Là où Corps-raccords posait un “je” masculin, Djamile Mama Gao choisit désormais d'habiter une subjectivité féminine. L'écriture se fait voix d'une femme qui n'esquive pas ses pulsions, qui revendique son plaisir, qui affirme sa liberté sexuelle dans une société où ce discours est encore largement contrôlé, voire stigmatisé.
Ce livre, diffusé largement en Afrique et au-delà, a fonctionné comme une rupture dans la réception : il révélait la capacité d'un écrivain homme à écrire depuis un regard féminin sans tomber dans la caricature. Djamile Mama Gao y explore l'érotisme comme un espace de projection identitaire et politique. Dire le désir féminin devient un acte de contestation, dans un contexte où la sexualité des femmes est souvent réprimée, limitée au silence ou au secret.
Le carnet intime d'un coquin : recentrer le sensible masculin
Dans cette œuvre Djamile Mama Gao propose une approche de la sexualité masculine, centrée sur un sensible réceptif, patient, et verbal. Le narrateur est un homme qui regarde, écoute, ressent, mais aussi dialogue, rituelise et savoure autrement, retranscrivant ainsi la masculinité dans ses dimensions sensibles et émotionnelles. Il y déploie une écriture minutieuse, presque tactile, où le sens du détail sensoriel est porté à la conscience, qu'il s'agisse du toucher, de l'odeur, du souffle ou du goût. Le vocabulaire est chargé de douceur et d'intensité. La sensualité en devient presque une expérience immersive, où le lecteur est invité à ressentir l'éveil progressif des sens. Le plaisir dans « Le carnet intime d'un coquin » de Djamile Mama Gao n'est nullement pensé comme une conquête mais à la manière d'un voyage partagé, un échange d'énergie qui fait vibrer les corps et les esprits. L'écrivain béninois l'explore avec une liberté joyeuse et poétique. La sexualité est multiple, fluide, nourrie par la fantaisie, la douceur, la fougue et la tendresse. Ce portrait d'un masculin ouvert à la diversité des expériences érotiques déconstruit les normes rigides et propose un modèle où le plaisir se conjugue avec l'écoute et le respect.
En mâle d'émotions : l'équilibre des polarités
Avec En mâle d'émotions, Djamile Mama Gao ne choisit pas entre ses deux précédentes postures : il les confronte. Le livre se présente comme une hybridation, où ses textes dialoguent avec les photographies de Cécile Quenum. Mais au-delà de l'aspect visuel, il s'agit surtout d'un projet d'équilibrage. L'écrivain adopte une voix féminine désirant des corps masculins, tout en inscrivant ce geste dans une continuité où la parole du masculin et celle du féminin ne s'opposent plus, mais se répondent.
Ce travail marque une volonté d'élargir le champ de l'érotisme en littérature. Djamile Mama Gao interroge la fluidité des positions de désir : qui regarde qui, qui désire qui, et depuis quel corps de langage ? Il montre que l'érotisme ne se réduit pas à un rapport fixe entre masculin et féminin, mais qu'il s'invente dans la réversibilité des regards. L'homme qui écrit devient ainsi porte-voix d'un désir féminin sur des corps d'hommes, en assumant l'ambivalence de cette posture.
Une approche holistique de l'érotisme
Pris ensemble, ces quatre ouvrages composent un cheminement qui se saisit de l'écriture érotique pour proposer une véritable réflexion littéraire sur le désir. L'écrivain Djamile Mama Gao traite donc l'érotisme comme un prisme pour interroger la langue, la subjectivité et les rapports sociaux de genre. Sa démarche est holistique : elle ne sépare pas le corps du langage, ni le plaisir du contexte culturel.
Dans le champ africain, cette écriture se situe à rebours des discours normatifs. Elle questionne la place accordée au plaisir, au corps, à la sexualité, au sexe dans des sociétés où la parole sur ces sujets reste souvent enfermée par des héritages moraux, religieux ou politiques. Djamile Mama Gao ose donner au désir un statut littéraire légitime, en le considérant comme un matériau de pensée et d'esthétique.
Une littérature du déplacement
De Corps-raccords à En mâle d'émotions, en passant par Le calepin d'une vicieuse et Le carnet intime d'un coquin, Djamile Mama Gao construit une œuvre qui ne cesse de se déplacer : du masculin au féminin, de la frontalité à l'hybridation, de l'individuel au collectif. Chacun de ses livres explore une polarité différente, et ensemble, ils esquissent une carte complexe de l'érotisme en littérature francophone contemporaine.
L'écrivain ne cherche pas à figer le désir, mais à en montrer les mouvements, les métamorphoses, les tensions. En cela, son travail apporte une contribution singulière à la littérature africaine : il fait de l'érotisme un terrain critique, un espace de redéfinition des imaginaires, et un lieu où se rejoue sans cesse l'équilibre entre le corps, la langue, l'intime et le monde.
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