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La crise politique au sein du parti Les Démocrates (LD) s'est accentuée ces dernières heures avec le départ collectif d'un groupe de députés. Après avoir annoncé leur départ au sein du groupe parlementaire LD à l'Assemblée nationale, les députés démissionnaires ont fait une déclaration à la presse en début de soirée ce vendredi 31 octobre 2025, annonçant officiellement leur départ de la formation politique présidée par l'ex président Boni YAYI.
Cette décision selon la déclaration lue par Joël GODONOU, « résulte de pratiques internes regrettables qui ont progressivement érodé la confiance, fragilisé l'unité et compromis le fonctionnement démocratique du parti ». « Ces dysfonctionnements ne sont pas de simples divergences d'opinion : ils traduisent un problème structurel et une ligne de gouvernance inadéquats au développement d'un parti politique moderne », a-t-il laissé entendre.
Il avait à ses côtés les députés NAHUM Constant, do REGO Léansou, ADJOVI Chantal, Denise HOUNMENOU, et Patrick DJIVO, tous démissionnaires.
Lire déclaration
DECLARATION DE PRESSE
Chères concitoyennes, Chers concitoyens,
Mesdames et messieurs de la presse, Merci d'avoir répondu à notre appel.
Il nous incombe aujourd'hui de nous adresser à vous pour clarifier notre position à la suite des récents développements au sein du Parti « Les Démocrates » et, par ricochet, du Groupe parlementaire « Les Démocrates ».
Après mûre réflexion, nous avons pris la décision de démissionner du Parti « Les Démocrates » ce jour 31 Octobre 2025. Cette décision résulte de pratiques internes regrettables qui ont progressivement érodé la confiance, fragilisé l'unité et compromis le fonctionnement démocratique du parti. Ces dysfonctionnements ne sont pas de simples divergences d'opinion : ils traduisent un problème structurel et une ligne de gouvernance inadéquats au développement d'un parti politique moderne.
Avec tout le respect dû au Président Boni YAYI ancien président de la République et président du parti Les Démocrates, il est de notre devoir de citoyen d'avouer qu'il a laissé trop de situations pourrir la bonne santé du parti, toute chose nuisible à son développement et à l'épanouissement de ses cadres.
Jour après jour, la ligne directrice de gouvernance du parti a décliné vers une paranoïa destructrice et un esprit de revanche et d'écrasement de tout ce qui est soupçonné à tort ou à raison proche du Président Patrice Talon.
Le mérite des cadres ne se mesurant désormais que par rapport à ce repère, la sérénité a fini par déserté le parti et des camps inconciliables se sont formés avec la bénédiction du président du parti.
Le parti semble être à bout de course et les événements actuels n'en sont que la conséquence.
Notre idéal commun, pour ceux d'entre nous qui sont au parti pour cet idéal, est pourtant noble et correspond aux attentes du peuple béninois dans sa grande majorité. Malheureusement, le parti Les Démocrates, dans son état actuel et avec l'état d'esprit qui le gouverne, n'est plus en mesure d'en assurer la promotion. Ne pas l'admettre serait faire preuve d'hypocrisie ou d'aveuglement.
C'est en conséquence de tout cela que nous avons décidé en toute liberté et responsabilité de démissionner du parti et d'envisager différemment la défense de notre idéal de démocratie, de liberté et de justice sociale qui ne peut s'éteindre faute de moyen politique.
Nous osons affirmer avec détermination et sans complexe que le quinquennat à venir a l'issue de l'élection présidentielle et des élections générales dont les processus sont bien avancés, ne nous laissera pas continuer de prêcher dans le désert. Nous tenons à faire entendre efficacement notre voix et contribuer à corriger la gouvernance de notre pays parce qu'un changement d'hommes et d'équipe s'opérera. Nous exprimons ici notre disponibilité à collaborer avec toutes les bonnes volontés qui voudront bien partager notre idéal et le promouvoir.
Nous voulons en effet que la démocratie soit restaurée, que les libertés soient respectées et protégées, qu'il y ait une justice sociale, que le développement du Bénin soit plus équilibré et que les fruits du développement économique soient mieux partagés.
Ensemble avec toutes les bonnes volontés nous pouvons construire notre pays le BENIN en paix et dans la concorde.
Vive le Bénin
Fait à Cotonou, le 31 octobre 2025
Après la présidentielle d'avril 2026, le parti Les Démocrates pourrait ne pas participer aux élections communales et municipales du 11 janvier 2026. Des candidats LD à ces élections à Missérété, dans la 19e circonscription électorale, ont saisi la Commission électorale nationale autonome (CENA), et le président du parti aux fins de retirer leurs dossiers. Ils expliquent leur position par « des raisons de conviction, de cohérence et de repositionnement personnel. « Elle s'inscrit dans une dynamique de clarification politique et de fidélité à nos principes », ont-ils écrit. Cette décision selon la correspondance , s'inscrit également dans « une dynamique de clarification politique et de fidélité à nos principes ». Les signataires de la note ont exhorté l'institution en charge de l'organisation des élections au Bénin et leur président, à « bien vouloir prendre acte de ce retrait collectif et de procéder, conformément aux dispositions en vigueur, à la radiation de nos candidatures de la liste du parti Les Démocrates ».
Lire la correspondance
République du Bénin
À Monsieur le Président du Parti Les Démocrates
À Monsieur le Président de la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA)
Objet : Retrait collectif de dossiers de candidature
Messieurs,
Nous, soussignés, candidats engagés dans le processus électoral sous la bannière du Parti Les Démocrates, vous informons par la présente de notre décision collective de procéder au retrait de nos dossiers de candidature.
Cette démarche, assumée en toute responsabilité, traduit notre volonté de nous désengager du processus en cours au sein du parti Les Démocrates, pour des raisons de conviction, de cohérence et de repositionnement personnel. Elle s'inscrit dans une dynamique de clarification politique et de fidélité à nos principes.
Nous vous prions de bien vouloir prendre acte de ce retrait collectif et de procéder, conformément aux dispositions en vigueur, à la radiation de nos candidatures de la liste du parti Les Démocrates.
Veuillez recevoir, Messieurs, l'expression de notre considération distinguée.
Fait à MISSÉRÉTÉ, le 31/10/25
Les soussignés :
Zounon Akpedje Arsène Christel
Daton Akle Bernard
Moukodim Raimi
Dansou Benoit
Akotegnon David
Djossou sagbo Barthélemy
Dognon Bernadin
Montcho Mathias
Agossou Anne
Assogba joseph
Tiya Wintayo
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Les honorables députés Aké Natonde de Assan Seibou respectivement président des groupes parlementaires BR et UP-R, ont déposé ce 31 octobre une proposition portant modification de la loi n°90-32 du 1 décembre 1990 portant Constitution de la République du Bénin. A travers la modification constitutionnelle demandée, on y note l'institutionnalisation d'un Sénat afin de renforcer le pouvoir législatif . Lire les motifs évoqués
EXPOSE DES MOTIFS
La Conférence nationale des forces vives de la Nation tenue à Cotonou du 19 au 28 février 1990 a consacré la détermination du peuple béninois à restaurer la démocratie libérale fondée sur la liberté, le pluralisme et la protection des droits fondamentaux.
La Constitution adoptée après référendum, par la loi n°90-32 du 1 décembre 1990, porte en promesse et en actions politiques cette détermination dont la finalité est le renforcement d'un État fondé sur le droit, le développement économique et la justice sociale.
Des dysfonctionnements institutionnels et systémiques observés après une trentaine d'années de mise en e u v r e de cette constitution ont conduit a une première série de modifications contenue dans la loi n°2019-40 du 7 novembre
2019. Celles-ci ont porté sur le renforcement des droits fondamentaux à caractère individuel (l'abolition de la peine de mort) et catégoriels (l'admission de la discrimination positive à l'égard de la femme) ; le renforcement des institutions (la création de la Cour des comptes) ; l'alignement des élections
nationales c o m m u n a l e s reconnaissance de la chefferie traditionnelle etc.
Toutefois, quoiqu'appréciables et saluées de tous, ces premières modifications ne suffisent pas à rendre irréversible l'élan de développement complet et durable pris par le peuple béninois.
En effet, il est constant que l'accélération voire l'accentuation de la transformation structurelle du Bénin ainsi que le règlement durable des problèmes socio-économiques sont annihilés avec l'animation de la vie politique dans une perspective politicienne qui oppose systématiquement les
courants politiques adverses et empêche tout éventuel compromis susceptible de permettre la mise en œuvre de solutions consensuelles aux problèmes de développement de la Nation. Pour y remédier, il convient d'envisager la
création d'un nouvel organe dans l'environnement institutionnel, capable de rapprocher voire arbitrer les options politiques divergentes, au profit de l'action publique efficace et consensuelle. Il est souhaitable que cet organe nouveau compte, entre autres, sur l'expérience des anciens présidents de la République, des anciens présidents de l'Assemblée nationale ainsi que les anciens présidents de la Cour constitutionnelle pour leur confier, à titre principal, cette
mission : c'est la raison qui motive la proposition de création du Sénat.
Ainsi, le Sénat aura pour rôle de :
• concourir à garantir la sauvegarde et le renforcement des acquis de développement de la Nation, de défense du territoire et de sécurité publique. A ce titre il veille à la stabilité politique, la continuité de l'État et au débat politique contradictoire constructif.
• assurer la promotion des mœurs politiques conformes à la sauvegarde des intérêts supérieurs de la Nation, de l'Unité et de la Cohésion nationale, du développement durable et de la paix sociale.
• veiller à renforcer les libertés publiques, la qualité de la gestion des biens publics, l'unité et la concorde nationales en vue du développement humain équilibré et durable.
De même, en matière législative, le Sénat délibère, a priori, sur tout projet ou proposition de loi à caractère politique, notamment en ce qui concerne la dévolution ou l'organisation du pouvoir d'Etat.
Aussi, le Sénat peut solliciter une seconde lecture de toute loi votée à l'Assemblée nationale exceptées les lois de finances et assimilées.
A cet effet, lorsque, à sa demande de seconde lecture de toute loi conférée par la constitution, l'Assemblée nationale écarte les observations du Président de la République, le Sénat est saisi en lecture définitive.
Par ailleurs, il est indiqué que pour tenir compte des exigences d'une telle chambre politique d'une part, et des expériences requises dans la gestion des dossiers d'Etat d'autre part, le Sénat soit composé des anciens présidents de la République ; des anciens présidents de l'Assemblée nationale ; des anciens présidents de la Cour constitutionnelle ; des chefs d'Etat-major des forces chargées de la défense et de la sécurité nationales (tous membres de droit). Il est également souhaité qu'en dehors des membres es-qualités mentionnés, le Président de la République et le Président de l'Assemblée nationale désignent chacun, des membres dont le nombre constitue
un quota qui n'excéderait pas au total, 1/5 de ces membres de droit.
Toutes ces propositions sont élaborées et consignées dans le texte de loi que nous annexons au présent exposé.
C'est pour ces motifs que nous, les auteurs de la présente proposition de loi vous demandons d'en saisir la représentation nationale en vue de son étude et de son adoption.
Veuillez agréer, Monsieur le Président de l'Assemblée nationale, l'expression de notre haute considération.
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