Devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), un militaire et un policier ont comparu mardi 23 septembre 2025. Ils sont poursuivis pour « désertion » dans deux différents dossiers après leur placement en détention préventive par le parquet spécial.
Ils s'absentent quelques jours à leur poste pour des raisons de maladie et se retrouvent en détention préventive pour des faits de désertion. C'est l'histoire de deux hommes en uniforme qui ont été déposés en prison le 25 août 2025 par le parquet spécial de la CRIET. Il s'agit d'un militaire et d'un sous brigadier de police. Ces deux mis en cause comparaissent dans deux dossiers bien distincts.
Une absence de 15 jours pour un militaire
C'est d'abord le militaire aux initiales Z.J.J. qui est le premier à passer à la barre dans le cadre du premier dossier. Il est soldat de deuxième classe et ne reconnaît pas les faits de désertion. Le militaire en fonction au 5ème bataillon inter-arme de Dassa s'est absenté à son poste pendant une période de 15 jours. Selon sa déposition, il était en formation à Parakou et après cette formation il serait tombé malade, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Le militaire affirme qu'il a informé par la suite son commandant d'unité qui lui aurait même demandé d'envoyer la photo de l'hôpital dans lequel il se trouvait. Ce qu'il aurait fait. Le militaire confie à la Cour qu'il a même manqué de moyens financiers pour se soigner et qu'il a même sollicité un de ses commandants qu'il lui a envoyé 6000 FCFA pour les soins. Il déclare qu'il a été surpris qu'à son retour il a été accusé de désertion et poursuivi pour désertion. La Cour a décidé de convoquer les supérieurs hiérarchiques de ce soldat et a renvoyé le dossier au mardi 9 décembre 2025.
Un policier poursuivi
Dans le deuxième dossier, c'est un sous brigadier de la police républicaine aux initiales Y.T.I. qui est poursuivi pour désertion. Le flic était domicilié à Nikki avant son arrestation. Devant le juge, il ne reconnaît pas les faits mis à sa charge par le parquet spécial de la CRIET.
Selon sa déposition, il s'est absenté de son poste pour quelques jours pour des raisons de santé. Il a déclaré qu'il n'a jamais déserté la police républicaine. Pour prouver ses dires, il a présenté son carnet de santé à la Cour. L'homme en uniforme affirme qu'il a informé son supérieur hiérarchique de son absence pour des raisons de santé. Son dossier a été renvoyé au mardi 9 décembre 2025 pour convoquer son supérieur hiérarchique, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
L'armée béninoise à travers la Direction de la participation des armées au développement et aux tâches d'intérêt public (DPADTIP), a lancé ce mercredi 24 septembre 2025, une campagne de consultations médicales gratuites au centre de santé de Kalalé, cible d'une attaque de groupes armés le 10 septembre dernier.
L'armée béninoise marque sa solidarité aux populations de Kalalé, et redonne vie au centre communal de santé, victime d'une attaque de groupes armés le 10 septembre dernier. La Direction de la participation des armées au développement et aux tâches d'intérêt public, appuyée par l'équipe médicale de la garnison de Parakou, a procédé au lancement d'une campagne de consultations médicales gratuites ce mercredi 24 septembre.
L'opération selon une publication du gouvernement, consiste en des consultations, traitements et distribution de médicaments gratuits, dans le cadre du programme de renforcement des liens Armée-Nation et de co-production de la sécurité. « L'action se concentre essentiellement sur la médecine générale, avec un accompagnement particulier pour les cas graves référés au centre de santé de Nikki », lit-on dans la publication.
Les populations de Kalalé et ses environs, notamment les habitants Gawessi, Banabasso, Zambara, Kidarou Kperou ou encore Bassola ont effectué le déplacement du centre de santé pour bénéficier des soins de qualité.
D'autres initiatives sociales et communautaires visant à renforcer durablement la relation Armée-Nation et consolider la résilience des populations face au terrorisme sont prévues après les consultations médicales gratuites.
F. A. A.
L'Association Main d'Espoir a procédé à la distribution de kits scolaires aux enfants orphelins à Porto-Novo et à Toffo en ce mois de septembre 2025.
L'Association Main d'Espoir poursuit son engagement en faveur de l'accès à l'éducation des enfants. À Porto-Novo le 12 septembre, 150 enfants orphelins ont bénéficié de kits scolaires complets. Cette initiative, renouvelée dans la ville, témoigne de la constance de l'association dans ses efforts en faveur des plus vulnérables. Les bénéficiaires ont reçu un kit de fournitures soigneusement préparées pour répondre aux besoins de l'année scolaire : sac à dos, uniforme cousu, boîte à dessin, stylos, cahiers, cahiers TP et paire de chaussures.
Dans la commune de Toffo, c'est dans l'arrondissement d'Agué, que la deuxième distribution a eu lieu le mercredi 17 septembre 2025. Pour cette première action dans la localité, 100 kits scolaires ont été remis à des orphelins issus de plusieurs écoles.
L'intervention à Toffo s'inscrit dans un engagement plus large de l'association dans la région. Main d'Espoir est présente à Toffo dans le domaine agricole. Pour Gaëlle Hazoumé, responsable de Main d'Espoir, chaque kit scolaire distribué est bien plus qu'un simple don. « L'une de nos batailles est de permettre aux enfants d'avoir accès à l'éducation », a-t-elle déclaré.
Active depuis 10 ans, l'association mène des actions en faveur des enfants. À Malanhoui, ‘'Main d'Espoir'' a mis en place une cantine. Elle permet aux écoliers de bénéficier de repas chaud chaque jour, un soutien essentiel pour favoriser la réussite scolaire. La distribution de kits scolaires a été rendue possible grâce à l'appui des parents marraines des orphelins, mais aussi du soutien du supermarché Super U Erevan et de deux entreprises françaises.
Quelques photos
A travers une note de service en date du lundi 22 septembre 2025, la ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique dévoile le calendrier universitaire 2025-2026 des Universités Publiques et des Etablissements Privés d'Enseignement Supérieur du Bénin.
Le gouvernement a autorisé, ce mercredi 24 septembre 2025, la réalisation des études techniques, économiques et financières, topographiques, environnementales et sociales relatives au développement de la filière bovine.
La filière bovine du Bénin est considérée comme un pilier stratégique de développement rural, de création d'emplois et de sécurité alimentaire. Le gouvernement béninois envisage donc de structurer une nouvelle organisation afin de faire face aux difficultés rencontrées dans l'expression de son plein potentiel. Il s'agit entre autres de la faible productivité du cheptel et les rendements limités, l'insuffisance d'infrastructures modernes d'engraissement, d'abattage, de transformation et de distribution ainsi que la fragmentation de la chaîne de valeur.
C'est dans cet élan qu'une société brésilienne spécialisée en la matière a été identifiée comme partenaire pour la réalisation des études techniques et économiques sur le site de la ferme d'élevage de l'Okpara.
« Les études topographiques quant à elles, sont confiées à l'Institut géographique national tandis que celles d'impact environnemental et social, qui s'étendront sur un premier périmètre de 20 000 hectares, seront conduites par une autre entreprise qui en a l'expertise », précise le gouvernement.
Marina HOUENOU (Stag)
A travers un communiqué en date du jeudi 25 septembre 2025, le directeur général de l'Agence nationale du Domaine et du Foncier (ANDF) alerte sur une fausse annonce de vente de parcelles dans plusieurs villes du Bénin.
L'ANDF n'a lancé aucune opération de mise en vente de parcelles dans les municipalités de Porto-Novo, Cotonou et Parakou. Selon l'Administration foncière et domaniale, il s'agit « de faux grossiers et d'une tentative d'escroquerie à grande échelle, orchestrée certainement par des individus, sans foi ni loi en quête de gains faciles ».
« L'Agence nationale du Domaine et du Foncier n'a pas une mission de promotion immobilière. Elle n'est pas dans le commerce de terrains ni dans l'intermédiation pour les transactions foncières et immobilières », informe le directeur Victorien Kougblénou. Elle en appelle à la vigilance et à la prudence de tous, pour échapper à ce piège grotesque. Selon l'administration foncière, toutes les mesures sont déjà prises pour identifier les auteurs de ces manœuvres.
En Conseil des ministres ce mercredi 24 septembre 2025, le gouvernement béninois a approuvé le Plan stratégique 2025-2029 de l'Agence nationale pour l'Emploi.
L'Agence nationale pour l'Emploi (ANPE) dispose désormais d'un Plan stratégique 2025-2029. Approuvé en Conseil des ministres, ce plan stratégique servira de boussole pour toutes les interventions sur la période de référence.
Il ambitionne qu'« A l'horizon 2029, l'écosystème de promotion de l'emploi au Bénin est un cadre assaini, innovant et inclusif d'encadrement optimal des jeunes ». Le Plan est décliné « en orientations stratégiques avec un plan d'action budgétisé et un cadre de mesure de performances dans une approche mixte impliquant l'ensemble des acteurs clés. Autant d'outils permettant de guider les actions de l'Agence pour une plus grande visibilité ».
« Pour l'opérationnaliser, des orientations stratégiques rattachées à un objectif stratégique sont définies, soutenues par un programme de mise en œuvre », informe le Conseil des ministres. Selon la même source, « l'ensemble du dispositif a pour finalité l'amélioration de la gouvernance, le développement d'un système d'information et de suivi du marché du travail ainsi que le renforcement de l'accès à l'emploi décent, durable de même qu'au volontariat ».
A.A.A
Un régime de l'assurance agricole indicielle est instauré au Bénin. La décision a été prise ce mercredi 24 septembre 2025 en Conseil des ministres.
En plus de l'assurance agricole traditionnelle, un régime de l'assurance agricole indicielle est instauré au Bénin. A la différence de l'assurance agricole traditionnelle qui se base sur l'évaluation des pertes réelles sur le terrain après un sinistre, l'assurance indicielle selon le gouvernement, déclenche le paiement d'une indemnisation en fonction de l'atteinte d'un "indice" prédéfini. Lequel est corrélé au rendement des cultures ou à la production agricole.
Selon les chiffres du gouvernement, une expérience pilote menée au cours de la campagne écoulée, a permis à 2.341 riziculteurs sinistrés sur un total de 11 000, de bénéficier d'une indemnité conséquente. De fait, la formule suscite l'engouement des producteurs aussi bien pour les trois filières ciblées dans la phase pilote (riz, coton et bétail) que pour d'autres filières pour lesquelles 100.000 bénéficiaires sont impactés, renseigne le communiqué du Conseil des ministres.
Le gouvernement en adoptant le décret portant instauration du régime de l'assurance agricole indicielle en République du Bénin, entend créer les conditions réglementaires pour la généralisation de l'assurance agricole indicielle au Bénin.
Le Bénin dispose désormais d'un Registre des associations et fondations. La décision a été prise ce mercredi 24 septembre 2025, lors de la session ordinaire du Conseil des ministres.
Un Registre des associations et fondations mis en place. Ceci, conformément aux dispositions de la loi n° 2025-19 relative aux associations et aux fondations en République du Bénin, promulguée le 22 juillet 2025. La décision a été prise ce mercredi 24 septembre 2025 en Conseil des ministres.
Ledit Registre selon le communiqué du gouvernement, va recevoir les déclarations d'existence, les inscriptions modificatives concernant les associations et fondations ainsi que toutes autres déclarations prescrites par les lois et règlements pour y être mentionnées. L'inscription à ce registre constitue une formalité substantielle sans laquelle les associations et fondations qui seraient créées postérieurement à la loi sus évoquée, ne peuvent avoir d'existence juridique, précise le communiqué du gouvernement. Sa mise en place détaille le Conseil des ministres, est d'une importance capitale car, il est destiné à recevoir les déclarations d'existence, les décisions administratives ou judicaires relatives à la délivrance ou au refus de délivrance de récépissé de déclarations d'existence. « S'y ajoutent, les déclarations d'inscription de tous changements survenus dans la composition des organes dirigeants, les déclarations d'inscription de toutes autres modifications des statuts ainsi que les décisions de reconnaissance d'utilité publique ou leur retrait », renseigne le communiqué qui précise par ailleurs que, les décisions relatives à la délivrance ou au refus de délivrance aux associations, fondations et organisations non gouvernementales, l'autorisation d'exercice au Bénin y seront mentionnées. Il en est de même des déclarations de ressources financières reçues de toute institution privée nationale ou internationale, des rapports d'exercice indiquant notamment, l'origine des ressources, l'état d'exécution des activités et programmes. Il en va de même des perspectives, des décisions de dissolution et toutes autres informations légalement prescrites, lit-on dans le communiqué du gouvernement.
F. A. A.
Le bénéfice du mécanisme de garantie du Fonds National de Développement Agricole (FNDA) sera étendu à la couverture des opérations de vente à crédit d'équipements agricoles de la Société Nationale de Mécanisation Agricole (SoNaMA). C'est l'une des décisions prises en Conseil des ministres ce mercredi 24 septembre 2025.
« La SoNaMA, dans le cadre de la production et la mise en place des matériels et équipements agricoles, a opérationnalisé un mécanisme de financement des ventes par tempérament », informe le Conseil des ministres. Ce mécanisme, informe la même source, devrait bénéficier de la couverture du FNDA sous la forme de garantie à hauteur de 50% du montant des crédits accordés aux producteurs afin de limiter le risque de non-recouvrement dans des proportions supportables.
Dans le but de surmonter les difficultés qui entravent la mise en œuvre optimale de ce dispositif, le Conseil a marqué son accord en vue de l'extension du bénéfice du mécanisme de garantie du FNDA. Le bénéfice sera élargi à la couverture des opérations de vente à crédit d'équipements agricoles de la SoNaMA et au partage des risques pris par la Caisse des Dépôts et Consignations du Bénin, dans le cadre de son accompagnement aux entreprises du secteur agricole.
A.A.A
Après avoir réaffirmé à maintes occasions sa reconnaissance à la souveraineté du Maroc sur son Sahara, le gouvernement des Etats-Unis encourage les investissements américains dans les Provinces du Sud.
La reconnaissance par les Etats-Unis de la souveraineté du Royaume du Maroc sur son Sahara entre dans une phase concrète. Le Secrétaire d'État américain adjoint, Christopher Landau, vient d'annoncer que, dans le sillage de la reconnaissance par Washington de la souveraineté du Maroc sur son Sahara, le gouvernement US a décidé d'encourager les investissements américains dans les Provinces du Sud du Royaume.
"Les États-Unis ont reconnu la souveraineté du Maroc sur le Sahara, et dans le cadre des initiatives mondiales de l'administration Trump visant à promouvoir la diplomatie économique et commerciale, nous sommes heureux d'annoncer que nous allons encourager les entreprises américaines qui souhaitent investir dans cette région du Maroc", a souligné M. Landau dans une déclaration à la presse à l'issue d'une entrevue, mercredi à New York, avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, M. Nasser Bourita.
Le responsable américain a déclaré avoir abordé avec le Ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, les relations excellentes et de longue date liant le Maroc et les Etats-Unis d'Amérique, soulignant la disposition de l'administration Trump à œuvrer de concert avec le Royaume en vue de "promouvoir la prospérité, la paix et la stabilité dans la région".
Le Ministère du Cadre de Vie et des Transports en charge du Développement Durable, en collaboration avec l'Agence Nationale des Transports Terrestres (ANaTT), a procédé, mercredi 24 septembre 2025 au lancement officiel de la phase expérimentale de la Lettre de voiture électronique internationale.
La professionnalisation du secteur des transports se poursuit au Bénin. Grâce au projet PASport financé par Enabel, le ministère du Cadre de Vie lance la phase expérimentale de la Lettre de voiture électronique internationale. Elle est délivrée via la plateforme SYGFR (Système de Gestion du Fret Routier) qui compte plus de 1.300 transporteurs depuis novembre 2023. Ce système améliore la traçabilité du fret, en réduisant les risques de fraude et en harmonisant les pratiques entre les acteurs du transport terrestre.
La Lettre de voiture électronique internationale est désormais obligatoire pour les cargaisons transfrontalières. Pour obtenir la lettre de voiture électronique, il faut enregistrer son véhicule, avoir une carte de transport (3.000 FCFA/an pour le national, 1.000 FCFA/an/pays pour l'international) et fournir des informations sur les marchandises transportées. Il est également possible d'avoir via le SYGFR, le Certificat de Conformité de la remorque, moyennant 12.000 FCFA.
A.A.A
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In an age of crises and armed conflicts, women continue to play a central role in preventing conflicts, maintaining peace and security, protecting civilians, and strengthening societal resilience and recovery. They do so as political leaders, negotiators, mediators, peacekeepers, humanitarian workers, or civil society representatives—both on the ground and on the international stage. Their contribution is recognised in several mandates that promote the integration of gender perspectives in peacekeeping, as well as in the work of the UN peacebuilding architecture (UNSCR 2282).
At the same time, women and girls are increasingly bearing the brunt of crises and conflicts. Their exposure to armed conflicts has risen by 50% over the past decade, and the number of UN-verified cases of conflict-related sexual violence—primarily targeting women and girls—has steadily increased in recent years. Attacks on women’s rights are multiplying, while negotiations on gender issues at the UN have become increasingly contentious, threatening hard-won progress.
This challenging context is further compounded by severe financial constraints facing the UN and the urgent need for reforms aimed at efficient multilateralism, as highlighted by the ongoing UN80 reform initiative.
On September 25th, IPI together with the Permanent Missions of Colombia and France to the United Nations, cohosted a ministerial-level event taking place at UN Headquarters on “Women Building Peace in an Age of Crises and Armed Conflicts: How Feminist Approaches to Foreign Policy Can Advance Peacekeeping and Peacebuilding.” Phoebe Donnelly, IPI Senior Fellow and Head of Women, Peace, and Security, moderated the conversation.
This event highlighted the “peace dividends” of women’s leadership—in other words, the essential roles women play in achieving sustainable and lasting peace at every stage of conflict: before, during, and after. The event offered an opportunity to showcase the role of feminist and gender-based approaches as drivers of democracy, human rights, equality, sustainability and lasting peace. Integrating a gender perspective is not just an added value—it is a key driver of sustainable peace. It also reflects our collective commitment to reinforcing the participation and representation of women, in the spirit of CEDAW Committee General Recommendations n°30 and n°40.
The event welcomed four new members to the FFP+ (Morocco, Nepal, Slovenia, and the United Kingdom) and recognized their exceptional commitment to gender equality, women’s rights, and women’s empowerment in their foreign policy agendas. It also build momentum for the upcoming 4th Feminist Foreign Policy Ministerial Conference, which will take place in Paris in October 2025, following the successful conference hosted by Mexico in 2024.
Participants reflected upon national, regional, and international experiences that underscore the peace, security, democracy, and social dividends of women’s and girls’ agency and leadership.
The post Women Building Peace in an Age of Crises and Armed Conflicts: How Feminist Approaches to Foreign Policy Can Advance Peacekeeping and Peacebuilding appeared first on International Peace Institute.
In Mongolia, a mining boom has significantly increased pressures on water resources, negatively affecting human health and ecosystems. In this chapter, we ask how polycentric water governance and the interaction of different modes of coordination play out in Mongolia and what this implies for the protection of rivers against pollution from mining. By presenting a case study from a developing and transitioning country, this chapter also contributes to a better understanding of how contextual factors affect different coordination modes. We find that protecting rivers from mining pollution remains a considerable challenge in Mongolia. While new rules and actors at the basin level have fostered cooperation among public-sector agencies, due to power asymmetries, public agencies tend to avoid direct cooperation with mining companies. Instead, interaction with mining operators mainly happens through different types of hierarchical interrelations, but their effectiveness is undermined through lobbying, collusion, and corruption. Next to power asymmetries, economic, political, cultural, and environmental contextual factors constrain mining pollution abatement.
In Mongolia, a mining boom has significantly increased pressures on water resources, negatively affecting human health and ecosystems. In this chapter, we ask how polycentric water governance and the interaction of different modes of coordination play out in Mongolia and what this implies for the protection of rivers against pollution from mining. By presenting a case study from a developing and transitioning country, this chapter also contributes to a better understanding of how contextual factors affect different coordination modes. We find that protecting rivers from mining pollution remains a considerable challenge in Mongolia. While new rules and actors at the basin level have fostered cooperation among public-sector agencies, due to power asymmetries, public agencies tend to avoid direct cooperation with mining companies. Instead, interaction with mining operators mainly happens through different types of hierarchical interrelations, but their effectiveness is undermined through lobbying, collusion, and corruption. Next to power asymmetries, economic, political, cultural, and environmental contextual factors constrain mining pollution abatement.