Auteur de bande dessinée serbe, Aleksandar Zograf, pose sur ces pages son regard sur cette année de révolte et de mobilisation en Serbie, menée par les jeunes. Une BD inédite en français.
- Articles / Serbie, Vucic, Une - Diaporama, Une - Diaporama - En premierAleksandar Zograf, auteur de bande dessinée serbe. Il pose sur ces pages son regard sur cette année de mobilisation en Serbie, menée par les jeunes.
- Articles / Serbie, Vucic, Une - Diaporama, Une - Diaporama - En premierLa démission opérée vendredi 31 octobre 2025, par 6 députés du parti Les Démocrates (LD), dont Michel Sodjinou, ne relève pas d'un acte d'infidélité ou de déloyauté. C'est la conséquence de malaises internes et de frustrations longtemps nourries. Le député Joël Godonou l'a signifié dans une interview à la presse quelques heures après l'annonce officielle de démission.
Aux accusations d'infidélité et de déloyauté de certains observateurs, Joël Godonou, l'un des députés démissionnaires du parti Les Démocrates s'inscrit « en faux ». La décision de quitter le parti relève d'après lui, de malaise internes et de la constitution de divers camps que l'ex président Boni Yayi, président du parti, a laisser perdurer. « La situation va de mal en pire », a regretté le parlementaire évoquant le congrès tenu à Parakou en octobre 2023. Lequel a donné lieu à la constitution de « clans ». « Je ne suis pas un déloyal, je ne suis pas un infidèle. Je suis un homme de principe et de valeurs, et ce sont ces valeurs que je voudrais porter donc au niveau de ce parti. Mais hélas ! Quand vous n'êtes pas écouté, ou quand on semble vous écouter, je crois qu'à un moment donné, il faut savoir raison garder, il faut savoir prendre ses responsabilités », a-t-il laissé entendre.
D'après lui, les 6 députés démissionnaires ne sont pas les seuls mécontents, au sein de la formation politique de l'opposition. « Il n'y a pas que nous. […]. Ils sont nombreux, ils sont très nombreux qui n'approuvent pas ce qui se fait mais pour une raison ou pour une autre, préfèrent se taire », a laissé entendre. Fidèle et engagé, il a rappelé avoir fait la promesse à ses mandants, qu' »il ne trahira pas en gardant sa fiche de parrainage. Ce qu'il a fait en remettant le parrainage selon les orientations données par le parti. « C'est ça la fidélité », a-t-il soutenu avant de signifier qu'à un moment donné, quand on se sent en insécurité menacée, le mieux à faire, c'est de partir. Ce qu'il a fait en démissionnant.
F. A. A.
La chanteuse béninoise Angélique Kidjo, plusieurs fois récompensée aux Grammy Awards, participera à la présentation des nominations de l'édition 2026. Elle l'a annoncé dans un message publié sur ses réseaux sociaux, en invitant le public à suivre l'évènement le 7 novembre en direct sur les plateformes officielles de la Recording Academy.
À 5 trophées déjà décrochés, l'artiste Angélique Kidjo présentera, le 7 novembre 2025, les nominés aux Grammy Awards 2026. Une des figures africaines majeures à s'être durablement imposées dans l'industrie musicale internationale, Angélique Kidjo mêle diverses influences, de l'afrobeat au jazz, en passant par le reggae et la pop à sa musique. Son rayonnement culturel est également nourri par ses engagements constants pour les droits humains et l'éducation.
L'année 2026 marquera également une nouvelle tournée mondiale pour la diva. Plusieurs dates sont annoncées sur trois continents, avec une clôture prévue le 12 mai 2026 à l'Olympia, à Paris, pour un concert intitulé « Hope ».
Les Grammy Awards demeurent une référence dans la reconnaissance de l'excellence musicale à l'échelle planétaire. L'annonce des nominations constitue chaque année un moment de forte attention dans l'industrie. Le rendez-vous est fixé au 7 novembre.
M. M.
Sônia Guajajara, Brazil's minister for Indigenous peoples, addresses an official Pre-COP Opening Ceremony. Credit: Rafa Neddermeyer/COP30 Brasil Amazônia
By Tanka Dhakal
BLOOMINGTON, USA, Nov 2 2025 (IPS)
Strengthening Indigenous land rights will protect more forest in Brazil’s Amazon and avoid large amounts of carbon emission, according to new research released ahead of COP30.
An analysis by the Environmental Defense Fund (EDF) finds Indigenous lands and protected areas are key in solving deforestation; without them, Brazilian Amazon forest loss would be 35 percent higher. This would result in nearly 45 percent higher carbon emissions.
At a time when the Amazon forest is constantly losing its forest cover and an irreversible tipping point, the report says, “placing more forests under Indigenous or government protection would prevent up to an additional 20 percent of deforestation and 26 percent of carbon emissions by 2030.”
The analysis, “The Importance of Protected Areas in Reducing Deforestation in the Legal Amazon,” also finds that current protected areas—indigenous lands and conservation units will prevent an estimated total of 4.3 million hectares of deforestation between 2022 and 2030 in the nine Brazilian states. The impact would mean that 2.1 GtCO₂e (gigatons of carbon dioxide equivalent) will be avoided—more than the annual carbon emissions of Russia, or approximately 5.6 percent of the world’s annual emissions.
Approximately 63.4 million hectares of Brazilian Amazon forests remain unprotected, and should this land be designated as Indigenous lands or protected, the loss of forest due to land grabbing, cattle ranching, soy farming or other destructive activities could be avoided.
“The Amazon, as all the climate scientists now clearly agree, is approaching a tipping point, which, if it passes, will mean that a large part of the ecosystem will unravel and transform from forest into scrub Savannah,” said Steve Schwartzman, Associate Vice President for Tropical Forests at EDF.
“How close we are to the tipping point is not clear, but it’s very clear that deforestation needs to stop and we need to begin restoring the areas that have been deforested.”
He says that the future of the already struggling world’s largest rainforest—the Amazon—depends on protecting this vast area of Indigenous territories, protected areas, and Quilombola territories.
“As delegates gather for COP30, it’s critical that they’re armed with evidence that points to the most effective solutions,” he added.
Belém, a Brazilian city in the Amazon region, is hosting the annual UN climate talks from November 10-21.
The research shows that lands managed by Indigenous Peoples have lower deforestation rates and store significantly more carbon than other areas. Between 1985 and 2020, 90 percent of Amazon deforestation occurred outside of Indigenous lands, with just 1.2 percent of native vegetation lost over that period.
The Amazon territories managed by Indigenous communities with recognized land rights have stored far more carbon than they have emitted. Between 2001 and 2021, they released around 120 million metric tons of carbon (CO₂) annually while removing 460 million metric tons.
The nine states of Legal Amazon-Acre, Amapá, Amazonas, Mato Grosso, Maranhão, Pará, Rondônia, Roraima and Tocantins-contain approximately 60% of the entire Amazon rainforest, which spans eight South American countries. Of the region’s total area of 510 million hectares, in 2022, around 393 million hectares would be covered by native vegetation in the Amazon, Cerrado, and Pantanal biomes. By the end of 2021, the region had deforested 112.5 million hectares.
“Protected areas in the Brazilian Legal Amazon are critical for the preservation of native vegetation, carbon stocks, biodiversity, the provision of ecosystem services and the livelihoods of indigenous people and local communities. Our model captures that protected areas avoid deforestation inside their boundaries and beyond due to spatial interactions across the landscape,” said Breno Pietracci, an environmental economist consultant and lead report researcher.
As countries prepare to present their Nationally Determined Contributions (NDCs) at COP30, Indigenous Peoples in Brazil have pushed for governments to include the recognition of Indigenous lands, support Indigenous-led climate solutions, and greater legal protections for Indigenous lands in their plans.
“We think that it is not possible to protect the Amazon, where we have Quilombola people and Afro-descendant people, without recognizing their rights in terms of climate negotiations at the UN,” said Denildo “Bico” Rodrigues de Moraes, executive coordinator of the National Coordination of Black Rural Quilombola Communities (CONAQ). “It is very important for us to be recognized, for this to be recognized in the climate negotiations at the UN.”
IPS UN Bureau Report
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Excerpt:
Dans une interview à la presse vendredi 31 octobre 2025, l'un des députés démissionnaires du parti Les Démocrates (LD), a appelé les militantes et militants de l'opposition à voter massivement pour Romuald Wadagni, candidat de la majorité présidentielle à l'élection présidentielle d'avril 2026 au Bénin.
Chantal Adjovi, ex responsable des affaires féminines du Littoral du parti Force cauris pour un Bénin émergent (FCBE), et membre fondatrice du parti Les Démocrates, appelle à l'union autour de la candidature de Romuald Wadagni. Pour elle, le choix idéal à faire pour la présidentielle de 2026 au Bénin, c'est bien celui de l'actuel ministre d'Etat en charge de l'économie et des finances. Elle a appelé les militantes et militants de l'opposition à soutenir sa candidature lors d'une interview à la presse le vendredi 31 octobre 2025.
« Aux militants, je voudrais dire que le candidat Romuald Wadagni est un Béninois, né au Bénin. Par le passé, on disait que le président Patrice Talon est rigoureux et coléreux (..), mais cette fois, ce n'est pas Talon qui va aux élections. C'est notre frère, Romuald Wadagni. Restons unis et levons-nous comme un seul homme derrière lui pour une victoire écrasante », a lancé la députée quelques instants après la déclaration officielle du groupe de dissidents LD auquel elle appartient.
Le groupe composé de Joel Godonou, Léansou Do-Régo, Denise Hounménou et Constant Nahum, Chantal Adjovi, a dénoncé des « pratiques internes regrettables » et une « paranoïa destructrice » qui pour eux, ont miné le fonctionnement du parti dirigé par l'ancien président Boni Yayi. Les députés démissionnaires ont également déploré une gestion marquée par la frustration et un manque de considération envers certains acteurs engagés depuis la création du parti. « Celui qui s'est longtemps échiné pour le parti depuis des années, a été écarté au profit de notre petit frère Me Renaud Agbodjo. C'est une chose que nous n'avons pas appréciée », a déclaré Chantal Adjovi, exhortant l'ensemble des militants de l'opposition à soutenir la candidature de Romuald Wadagni.
F. A. A.
Afriex (www.Afriex.com), une plateforme fintech mondiale, a annoncé ce samedi 1er novembre 2025, une collaboration avec Visa, leader mondial des paiements numériques, pour proposer des paiements transfrontaliers en temps réel vers plus de 160 marchés. En intégrant Visa Direct par l'intermédiaire de son partenaire institution financière, Afriex facilite et accélère l'envoi et la réception de fonds au-delà des frontières pour les particuliers et les entreprises.
Ensemble, Afriex et Visa Direct permettent la livraison en temps réel de fonds directement¹ vers les points d'accès Visa éligibles, se connectant à des milliards de comptes. Cette collaboration renforce la mission d'Afriex de rendre les paiements internationaux accessibles et abordables, tout en tirant parti du réseau de paiement de Visa pour étendre sa portée et sa fiabilité.
« Pour les millions de familles et d'entreprises qui dépendent des transferts de fonds, la rapidité et la transparence sont primordiales », a déclaré Tope Alabi, PDG d'Afriex. « Travailler avec Visa nous permet d'associer l'innovation d'Afriex au réseau mondial de Visa Direct, afin que l'argent circule en temps réel, et non en plusieurs jours. »
Selon la Banque mondiale2 (https://apo-opa.co/4hHiNN4), les transferts de fonds vers les pays à revenu faible et intermédiaire ont atteint 669 milliards de dollars en 2023. Avec Afriex et Visa Direct, ces fonds vitaux peuvent parvenir aux familles, aux communautés et aux entreprises plus rapidement que jamais. Cette demande souligne la nécessité de solutions de paiement transfrontalier plus rapides et plus accessibles.
L'intégration est désormais en ligne sur la plateforme Afriex, disponible immédiatement via l'application mobile Afriex.
1La disponibilité effective des fonds dépend de l'institution financière réceptrice
2Banque mondiale. (2024). « Les envois de fonds atteindront 669 milliards de dollars en 2023 avec des flux records vers l'Amérique latine et les Caraïbes, selon la Banque mondiale. »
À propos d'Afriex
Afriex est une plateforme fintech mondiale qui rend les paiements transfrontaliers rapides, abordables et fluides. Des transferts personnels aux transactions commerciales, Afriex permet aux utilisateurs du monde entier d'envoyer, de recevoir et de détenir de l'argent dans plusieurs devises avec des frais nuls ou faibles et des virements instantanés. Fondée avec la mission de rendre les paiements internationaux plus accessibles et abordables, Afriex exploite une technologie de pointe pour fournir des services financiers rapides, sécurisés et transparents aux particuliers et aux entreprises.
La capacité Visa Direct est activée par l'intermédiaire du partenaire institution financière d'Afriex. La fonctionnalité Push to Wallet n'est pas encore disponible commercialement.
SOURCE :Afriex Inc
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