Le dernier Afterwork 100 % local du mois d'octobre, organisé par la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (CCI Bénin), s'est tenu le vendredi 31 octobre au Centre communautaire Eya.
Dans une ambiance conviviale, producteurs, entrepreneurs et visiteurs ont célébré la créativité et le savoir-faire béninois à travers la dégustation de produits “made in Bénin”.
Les visiteurs ont pu échanger directement avec les exposants et goûter à une variété de produits locaux, allant des liqueurs artisanales aux produits cosmétiques en passant par les condiments et innovations agroalimentaires.
« C'est une très bonne initiative qu'on doit renouveler. Cela permet de découvrir et déguster les produits fabriqués au Bénin, qui sont souvent très innovants et d'une grande qualité », s'est réjouie Fresnellia Sagbo, docteure en sciences et qualité des aliments et présidente de l'Association des Femmes Entrepreneures du Bénin (AWEP-Bénin). Elle a souligné le rôle de l'Agence Béninoise de la Sécurité Sanitaire des Aliments (ABSSA) dans le contrôle et la certification des produits.
Ces rencontres représentent une vitrine précieuse, selon Josiane Tchaou, promotrice des liqueurs de la marque Tchité. Exposante de liqueurs à base de petits colas, elle remercie la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (CCI Bénin) pour l'initiative. « Pourquoi ne pas la renouveler chaque trimestre ? », a-t-elle proposé avec enthousiasme.
Du côté de l'industrie cosmétique, Mamoudou Malick, responsable de production d'une entreprise de savons, partage la même satisfaction. « Le Bénin regorge de compétences dans plusieurs domaines. Les produits béninois gagnent en qualité et en reconnaissance. La CCI Bénin joue un rôle crucial dans la visibilité et l'accompagnement des entreprises locales », a-t-il affirmé, invitant les citoyens à « faire confiance aux producteurs locaux » pour soutenir l'économie nationale.
Natacha, participante à la séance de dégustation, a confié : « c'est une première pour moi de voir autant d'artisans locaux réunis avec autant de nouveautés. J'ai découvert le piment noir, c'est excellent ! Je remercie les organisateurs, c'est une belle manière de valoriser notre production locale ».
M. M.
La République de l'Angola commémore cette année le cinquantième anniversaire de son indépendance. En prélude à la célébration de cet événement, l'ambassadeur de l'Angola accrédité près le Bénin organise un cocktail à Cotonou en l'honneur des autorités béninoises, du corps diplomatiques et autres personnalités.
La République d'Angola célèbre les 50 ans de son indépendance le 11 novembre 2025. En prélude à cet événement Dr José Bamoquina Zau, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de l'Angola près la République fédérale du Nigeria, du Bénin, du Niger et de la Cedeao, organise un cocktail ce mardi 4 novembre à Golden Tulip hôtel à Cotonou.
L'Angola après près de cinq siècles de domination portugaise a été confronté à 27 ans de guerre civile avant d'accéder à l'indépendance le 11 novembre 1975.
Ce n'est qu'en 2002 que le pays a recouvré la paix. Et depuis, l'Angola s'est lancé dans la reconstruction et l'instauration d'un Etat démocratique avec l'organisation régulière des élections libres. Les dernières consultations électorales ont été organisées en 2022 et les prochaines élections libres et démocratiques sont prévues pour 2027.
"Nous avons souffert pour la lutte pour le droit à l'autodétermination", a souligné le diplomate angolais au cours d'une conférence de presse ce lundi à Cotonou.
L'Amb. Dr José Bamoquina Zau n'a pas manqué d'exprimer la reconnaissance des autorités angolaises aux peuples frères dont celui du Bénin, qui étaient à leurs côtés en ces moments de lutte pour l'indépendance du pays.
Dans le cadre de la célébration de ce cinquantenaire, une cérémonie d'hommage et de décoration sera organisé le 6 novembre à Luanda en l'honneur des leaders dont Álvaro Holden Roberto du FNLA, Jonas Savimbi de l'UNITA, Agostino Neto du MPLA et d'autres combattants qui ont lutté pour l'indépendance de l'Angola.
Au cours de la conférence, l'ambassadeur n'a pas manqué de souligner l'excellence des relations entre son pays et le Bénin.
Depuis avril 2008, un accord général de coopération a été signé entre les deux pays. En 2024, un accord de suppression de visa a été signé pour les passeports diplomatiques et de services.
En appréciant le signal fort donné par le Bénin pour la suppression de visa aux pays africains, le diplomate angolais a annoncé que son pays envisage d'étendre la suppression de visa aux passeports ordinaires.
Toujours dans le cadre de la coopération bilatérale, les deux pays ont procédé à l'échange de note verbale pour un accord aérien.
Faisant le bilan des relations entre les deux pays, SE l'Amb. Dr Bamoquina Zau a conclu : "Nous avons toujours bénéficié de l'appui du Bénin même avant l'indépendance de notre pays."
Le médecin Angèle Azon Kouanou, spécialiste en médecine interne, a rejoint les autres membres de l'équipe médicale devant examiner l'état de santé des candidats à l'élection présidentielle de 2026. Elle a prêté serment ce lundi 03 novembre 2025.
Dans le cadre de la présidentielle de 2026 au Bénin, l'équipe médicale chargée d'examiner l'aptitude physique et mentale des duos de candidats est au grand complet. Le troisième membre, le médecin Angèle Azon Kouanou a prêté serment ce lundi 03 novembre. Elle rejoint ainsi les professeurs Francis Tognon Tchegnonsi (psychiatre) et Léopold Houétondji Codjo (cardiologue) qui avaient prêté serment le 17 octobre dernier.
F. A. A.
L'Association du transport aérien international (IATA) a publié ses données sur les marchés mondiaux de fret aérien en septembre 2025.
« La demande dans le secteur du fret aérien a augmenté de 2,9 % en septembre, en glissement annuel, ce qui représente un septième mois d'affilée de croissance globale. Dans cette croissance se cache néanmoins une dégradation importante des modèles commerciaux, alors que les politiques tarifaires américaines, y compris la fin des exemptions de minimis, se font sentir », a déclaré Willie Walsh, directeur général de l'IATA.
D'un côté de l'équation, poursuit-il, on constate un déclin du trafic Amérique du Nord–Asie depuis les cinq derniers mois. « Mais cela a été plus que contrebalancé par la forte croissance intra-asiatique et sur les routes reliant l'Asie à l'Europe, à l'Afrique et au Moyen-Orient. Alors que plusieurs craignaient un déclin du commerce mondial, nous constatons plutôt que le fret aérien s'adapte bien à l'évolution de la demande du marché », informe le directeur général de l'IATA.
Plusieurs facteurs liés à l'environnement opérationnel méritent d'être mentionnés :
– Le commerce mondial de biens a augmenté de 3,7 % en août, en glissement annuel.
– Les prix du carburéacteur ont augmenté de 5,4 % en septembre, malgré la baisse des prix du pétrole, en raison du resserrement du marché du diesel, où la marge de craquage a doublé, d'une année sur l'autre.
– Le sentiment sur la fabrication mondiale s'est renforcé en septembre, alors que l'indice PMI a monté pour un deuxième mois d'affilée, atteignant 51,3. La composante des nouvelles commandes d'exportation s'est améliorée légèrement, à 49,6, mais est demeurée sous la barre de 50, qui représente le seuil d'expansion, ce qui reflète la prudence dans le contexte de l'incertitude tarifaire.
Résultats régionaux en septembre
Les transporteurs d'Asie-Pacifique ont enregistré une croissance de la demande de fret de 6,8 % en septembre, en glissement annuel. La capacité était en hausse de 4,8 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Amérique du Nord ont vu la demande de transport de fret diminuer de 1,2 % en septembre, en glissement annuel. La capacité a diminué de 1,5 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Europe signalent une augmentation de la demande de 2,5 % en septembre, en glissement annuel. La capacité a augmenté de 4,4 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs du Moyen-Orient ont enregistré une augmentation de la demande de 0,6 % en septembre, en glissement annuel. La capacité a augmenté de 5,5 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Amérique latine ont vu la demande de transport de fret diminuer de 2,2 % en septembre, en glissement annuel. C'est le résultat le moins bon parmi les régions. La capacité a augmenté de 3,1 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Afrique affichent une croissance de 14,7 % en septembre, en glissement annuel. C'est la plus forte croissance parmi toutes les régions. La capacité a augmenté de 7,4 % d'une année sur l'autre.
Croissance du commerce
Les volumes de fret aérien ont augmenté en septembre 2025 dans la plupart des grands corridors commerciaux. Les corridors Europe–Asie et intra-asiatique affichent une robuste croissance dans les deux chiffres, tandis que les corridors Moyen-Orient–Asie, Amérique du Nord–Europe et Afrique–Asie ont connu des gains notables. Par contraste, les corridors Asie–Amérique du Nord, Moyen Orient–Europe et intra-européen affichent des déclins.
L'Association du transport aérien international (IATA) a publié ses données sur les marchés mondiaux de fret aérien en septembre 2025.
« La demande dans le secteur du fret aérien a augmenté de 2,9 % en septembre, en glissement annuel, ce qui représente un septième mois d'affilée de croissance globale. Dans cette croissance se cache néanmoins une dégradation importante des modèles commerciaux, alors que les politiques tarifaires américaines, y compris la fin des exemptions de minimis, se font sentir », a déclaré Willie Walsh, directeur général de l'IATA.
D'un côté de l'équation, poursuit-il, on constate un déclin du trafic Amérique du Nord–Asie depuis les cinq derniers mois. « Mais cela a été plus que contrebalancé par la forte croissance intra-asiatique et sur les routes reliant l'Asie à l'Europe, à l'Afrique et au Moyen-Orient. Alors que plusieurs craignaient un déclin du commerce mondial, nous constatons plutôt que le fret aérien s'adapte bien à l'évolution de la demande du marché », informe le directeur général de l'IATA.
Plusieurs facteurs liés à l'environnement opérationnel méritent d'être mentionnés :
– Le commerce mondial de biens a augmenté de 3,7 % en août, en glissement annuel.
– Les prix du carburéacteur ont augmenté de 5,4 % en septembre, malgré la baisse des prix du pétrole, en raison du resserrement du marché du diesel, où la marge de craquage a doublé, d'une année sur l'autre.
– Le sentiment sur la fabrication mondiale s'est renforcé en septembre, alors que l'indice PMI a monté pour un deuxième mois d'affilée, atteignant 51,3. La composante des nouvelles commandes d'exportation s'est améliorée légèrement, à 49,6, mais est demeurée sous la barre de 50, qui représente le seuil d'expansion, ce qui reflète la prudence dans le contexte de l'incertitude tarifaire.
Résultats régionaux en septembre
Les transporteurs d'Asie-Pacifique ont enregistré une croissance de la demande de fret de 6,8 % en septembre, en glissement annuel. La capacité était en hausse de 4,8 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Amérique du Nord ont vu la demande de transport de fret diminuer de 1,2 % en septembre, en glissement annuel. La capacité a diminué de 1,5 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Europe signalent une augmentation de la demande de 2,5 % en septembre, en glissement annuel. La capacité a augmenté de 4,4 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs du Moyen-Orient ont enregistré une augmentation de la demande de 0,6 % en septembre, en glissement annuel. La capacité a augmenté de 5,5 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Amérique latine ont vu la demande de transport de fret diminuer de 2,2 % en septembre, en glissement annuel. C'est le résultat le moins bon parmi les régions. La capacité a augmenté de 3,1 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Afrique affichent une croissance de 14,7 % en septembre, en glissement annuel. C'est la plus forte croissance parmi toutes les régions. La capacité a augmenté de 7,4 % d'une année sur l'autre.
Croissance du commerce
Les volumes de fret aérien ont augmenté en septembre 2025 dans la plupart des grands corridors commerciaux. Les corridors Europe–Asie et intra-asiatique affichent une robuste croissance dans les deux chiffres, tandis que les corridors Moyen-Orient–Asie, Amérique du Nord–Europe et Afrique–Asie ont connu des gains notables. Par contraste, les corridors Asie–Amérique du Nord, Moyen Orient–Europe et intra-européen affichent des déclins.
Le Centre hospitalier universitaire Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM) de Cotonou dispose d'un deuxième scanner de 64/128 coupes. Cet équipement important de prise en charge de patients a été inauguré la semaine écoulée par le ministre de la santé, Benjamin Hounkpatin, en présence de la ministre conseillère à la santé, Claudine Prudencio, du préfet du Littoral, Alain Oroula et du maire Luc Atrokpo.
Un deuxième scanner de 64/128 coupes renforce désormais les capacités opérationnelles du CNHU-HKM. Cet équipement ultra moderne de dernière génération acquis pour une meilleure prise en charge des malades, est doté d'intelligence artificielle avec option cardiologique. Il allie finesse, précision du diagnostic et une rapidité inégalée des résultats.
Selon le directeur général par intérim de l'Agence nationale de la maintenance hospitalière, le scanner mis en service est également doté d'algorithmes spécifiques pour la réalisation avec précision d'examens neurologiques, thoraciques, abdominaux, oncologiques et ostéoarticulaires. Il dispose de l'option cardiologique qui permet de réaliser des coronarographies de haute précision et d'effectuer des diagnostics cardiologiques à très faible dose avec une résolution temporelle et spatiale exceptionnelle.
« L'installation de cet équipement en ces lieux, vient pour conjuguer définitivement au passé, les longs délais de rendez-vous mais également et surtout, les risques de rupture de la continuité des services liés aux pannes qui pourraient survenir sur le seul appareil qui existait », a déclaré le ministre de la santé. Son acquisition a-t-il poursuivi, garantit la célérité dans la réalisation des examens et relève d'un progrès majeur en matière de respect des standards. « Il est nécessaire d'avoir dans les hôpitaux, des équipements en miroir pour que lorsque l'un tombe en panne l'autre puisse automatiquement prendre le relais », a fait savoir le ministre de la santé. L'objectif étant de rendre les résultats des examens de radiologie en 24 heures au plus selon les recommandations du gouvernement.
Le CNHU-HKM s'était doté d'un scanner de 64 barrettes en 2022 et l'IRM (1,5 tesla) en 2020. La mise en service de ce 2e scanner vient renforcer les capacités de l'hôpital et permet d'offrir une prise en charge optimale aux patients.
F. A. A.
La commune d'Abomey-Calavi abrite un laboratoire National de Contrôle de Qualité des produits de santé et de l'eau.
Le Bénin dispose désormais d'un laboratoire national ultramoderne à Abomey-Calavi pour mieux assurer la sécurité sanitaire du pays. « Le gouvernement a fait l'option, il y a de cela 5 ans, de dédier un laboratoire exclusivement au contrôle de qualité des produits de santé notamment les médicaments, les dispositifs médicaux, les compléments alimentaires et évidemment les produits cosmétiques », a affirmé le ministre de la Santé, Benjamin Hounkpatin. Ce laboratoire permettra aussi le contrôle de la qualité de l'eau. Les travaux de ce laboratoire conforme aux normes internationales sont achevés à plus de 99 %.
« Nous avons déclenché depuis plusieurs années, une lutte acharnée contre les produits de santé notamment les médicaments falsifiés. C'est l'un des compartiments indispensables pour que cette politique que nous avons commencée, puisse aller à son terme », a ajouté le ministre de la Santé.
Selon Prof Achille Yemoa, directeur général de l'Agence nationale de Contrôle de Qualité des produits de santé et de l'eau (ANCQ), après la réception provisoire, il sera procédé à l'aménagement des locaux, à l'installation des équipements ainsi qu'à la formation du personnel technique. « La mise en service complète est prévue pour janvier 2026 avec les premiers contrôles sur les produits de santé et l'eau », a indiqué Prof Achille Yemoa.
A.A.A
Une nouvelle ère s'ouvre pour le monde des affaires et de la tech en Afrique avec le lancement de Ewaji.com.
Ewaji est une plateforme d'avis clients robuste dédiée à renforcer la transparence, la crédibilité et la confiance entre les entreprises et leurs clients en Afrique. Dans un marché où la confiance influence plus de 70 % des décisions d'achat, la transparence devient un enjeu stratégique pour toutes les entreprises.
Pensé pour un écosystème entrepreneurial moderne, Ewaji.com contribue à faire briller en visibilité les entreprises en comptant sur les expériences clients partagées sous forme d'avis avec d'autres consommateurs sur sa plateforme. Au final, la note attribuée à l'entreprise sert à augmenter l'indice de confiance de celle-ci pour une relation équilibrée entre la marque et le consommateur.
Ewaji.com offre ainsi un espace fiable permettant aux consommateurs de partager leurs expériences, et aux entreprises de valoriser la satisfaction de leur clientèle.
Une plateforme pensée pour la transparence
Ewaji.com permet aux clients de publier des avis authentiques sur les services ou produits qu'ils ont utilisés ;
aux entreprises de collecter, afficher et gérer les retours de leurs clients ; et de renforcer la réputation en ligne grâce à un système d'évaluation clair et transparent.
Un outil puissant pour les entreprises africaines
Ewaji.com se positionne comme un véritable levier de croissance pour les commerces, petites et moyennes entreprises La plateforme aide les marques à prouver leur fiabilité auprès de nouveaux clients, améliorer leur service grâce aux retours collectés, augmenter leurs conversions grâce à la preuve sociale et se distinguer dans un marché de plus en plus digitalisé.
« Ewaji.com a été conçu pour aider les entreprises africaines à gagner la confiance des consommateurs tout en donnant une voix aux clients. La transparence est un élément clé dans le commerce moderne, et Ewaji.com apporte cette confiance au cœur des transactions », affirme un utilisateur de la plateforme.
Grâce à Ewaji.com, les marques bénéficient d'un avantage compétitif immédiat : plus de visibilité, plus de crédibilité, plus de clients.
À propos de Ewaji.com
Ewaji.com est une plateforme indépendante d'avis clients dédiée au marché africain. Elle permet aux consommateurs de partager leurs expériences en toute transparence et aux entreprises de développer leur réputation grâce à des avis vérifiés et publics. Ewaji.com ambitionne de devenir la référence de la confiance numérique en Afrique.
La Commission électorale nationale autonome (CENA) a délivré, ce lundi 3 novembre 2025, le récépissé provisoire au parti Union Progressiste le Renouveau (UP-R) dans le cadre des élections communales de janvier 2026.
L'Union Progressiste le Renouveau entre en possession de son récépissé provisoire de déclaration de candidatures pour les communales 2026, suite à l'examen des dossiers déposés à la CENA.
Le document a été remis par le Directeur général des élections, Abou Adam Soulé, au Secrétaire général de l'UP-R, Gérard Gbénonchi, en présence de la Directrice de la Communication Anique Djimadja et de Paul Douakoutche, membre du Bureau Politique.
Le Secrétaire général du parti a assuré que les informations complémentaires demandées seront fournies dans les plus brefs délais.
La CENA poursuit l'examen des dossiers des autres partis (FCBE, Moele Bénin, ‘'Les Démocrates'', BR). La campagne électorale est fixée du 26 décembre au 9 janvier 2026. Le scrutin est prévu pour le 11 janvier 2025.
A.A.A
Les anciens présidents Nicéphore Dieudonné Soglo et Thomas Boni Yayi pourraient bientôt siéger au sein du futur Sénat de la République du Bénin. Ce sera, suite à l'adoption et à la promulgation de la proposition de révision de la Constitution déposée le 31 octobre 2025 à l'Assemblée nationale par les honorables Aké Natondé et Assan Séibou, respectivement présidents des groupes parlementaires BR et UP-R.
Le texte de proposition de révision de la Constitution prévoit la création d'une seconde chambre parlementaire et institue le Sénat comme organe de stabilité et de continuité de l'État. Selon la proposition, cette nouvelle institution aura pour mission de garantir la sauvegarde des acquis de développement, la cohésion nationale et la paix sociale, tout en participant à la consolidation du débat démocratique.
La composition du Sénat, telle qu'envisagée, fera la part belle à l'expérience et à la sagesse politique. Elle inclura les anciens présidents de la République, les anciens présidents de l'Assemblée nationale, les anciens présidents de la Cour constitutionnelle ainsi que les chefs d'état-major des forces de défense et de sécurité. C'est pour « tenir compte des exigences d'une telle chambre politique d'une part, et des expériences requises dans la gestion des dossiers d'Etat d'autre part ». À ces personnalités, seront ajoutés les membres désignés par le président de la République et le Président de l'Assemblée nationale.
Les anciens présidents Nicéphore Soglo et Boni Yayi devraient y siéger en tant que membres. Une perspective qui suscite déjà beaucoup d'intérêt dans la classe politique. Leur présence au sein du futur Sénat symbolisera la continuité républicaine et offrira à la Nation l'opportunité de bénéficier de leur expérience, de leur vision et de leur sens de l'État. Le projet de révision, s'il est adopté et promulgué en l'état, permettra de renforcer le pouvoir législatif.
A.A.A
Le candidat de la mouvance présidentielle Romuald Wadagni, aura une séance d'échange et de travail, ce lundi 3 novembre 2025, avec le groupe de députés démissionnaires du parti "Les Démocrates" (LD).
Rencontre ce lundi entre Romuald Wadagni et les députés LD démissionnaires. Cette rencontre intervient dans un contexte marqué par une crise interne profonde au sein du principal parti de l'opposition. Disqualifiés de la course à la présidentielle faute de parrainages suffisants, les dirigeants du parti ont eux-mêmes reconnu des dysfonctionnements au sein du parti.
Lors de l'ouverture de la seconde session ordinaire de l'Assemblée nationale, six députés ont officialisé leur départ du groupe parlementaire LD. Il s'agit de Michel François Sodjinou, Chantal Adjovi, Joël Godonou, Leansou Do Rego, Denise Hounmenou et Constant Nahum.
Cette démission collective illustre l'ampleur du malaise qui secoue le parti de Boni Yayi.
En se rapprochant de ces élus, Romuald Wadagni, présenté comme le candidat de l'unité et du rassemblement, confirme sa volonté d'ouvrir un large cadre de concertation avec toutes les forces politiques désireuses de contribuer à la stabilité et au développement du pays.
Le Directeur adjoint de l'École nationale d'administration et de magistrature (ENAM), Dr Aho Édouard, sera inhumé samedi 08 novembre 2025 à Abomey.
Rappelé à Dieu le 2 octobre 2025 au CNHU Hubert K. Maga de Cotonou, dans sa 70ᵉ année, Aho Edouard, Docteur ès sciences économiques, sera conduit à sa dernière demeure samedi prochain.
Selon le programme, les obsèques se dérouleront du 3 au 8 novembre 2025.
Un hommage lui sera rendu jeudi 6 novembre à l'Université d'Abomey-Calavi. Une messe corps présent aura lieu vendredi à 9h à l'église Sainte Bakhita de Calavi.
L'inhumation interviendra le 8 novembre à 9h dans l'intimité familiale, à la maison feu Capitaine Félix Aho.
Ancien Directeur départemental de l'Enseignement primaire et secondaire de l'Atlantique et du Littoral, Directeur adjoint de l'École nationale d'administration et de magistrature (ENAM) et Inspecteur général au ministère de la Réforme administrative et institutionnelle, Dr Aho Édouard a également siégé à l'Observatoire de lutte contre la corruption (OLC) et à la Commission électorale nationale autonome (CENA).
A.A.A
A travers une décision en date du 7 octobre 2025, la hiérarchie militaire a procédé à la mise en place d'une coordination pour assurer les relations entre les familles des soldats morts ou blessés lors de combats. Ladite coordination est assurée par le Colonel-Major, Sansima Tchankpéga.
Afin de structurer l'accompagnement réservé aux familles des militaires ayant consenti le sacrifice suprême dans leur rôle de défense et de sécurité, la hiérarchie militaire a procédé à la mise en place d'une coordination. Cette démarche s'inscrit dans une dynamique de reconnaissance et de prise en charge digne des familles des soldats affectés par les opérations. Le Colonel-Major Sansima Tchankpéga, en charge de ladite coordination aura pour mission « d'assurer un accompagnement psychologique approprié aux familles endeuillées ou éprouvées. Il devra également faciliter la communication entre ces dernières et les autorités militaires, coordonner les démarches administratives liées aux indemnités et formalités, et veiller à la prise en charge matérielle et logistique des bénéficiaires ». L'objectif visé est d'apporter le soutien de la hiérarchie militaire aux familles de ces vaillants soldats morts au front.
F. A. A.
Romuald Wadagni est le candidat de l'unité et du rassemblement. Une séance d'échange et de travail entre , le candidat de la mouvance présidentielle pour 2026, et les députés démissionnaires du parti Les Démocrates (LD) est prévue demain.
Nous y reviendrons
Le Bloc Républicain et l'Union Progressiste Le Renouveau ont déposé à l'Assemblée nationale, vendredi 31 octobre 2025, une proposition de loi visant la révision de la Constitution. Elle ambitionne la création du Sénat. Si la loi est adoptée et promulguée en l'état, voici les principaux membres qui composeront le futur Sénat du Bénin.
Assemblée nationale
Me Houngbédji Adrien
Amoussou Bruno
Kolawole Idji
Nago Mathurin
Cour Constitutionnelle
Théodore Holo
Me Robert Dossou
Amouda Issifou
Élisabeth Pognon
Me Djogbénou Joseph
Chefs d'état-major général
Général Mathieu Boni
Général Fernand Amoussou
Général Laurent Amoussou
Général Nahimi Awal
Général Akpona Emmanuel
Contre-amiral Denis Gbessemehlan
Contre-amiral Patrick Jean-Baptiste Aho
Les anciens présidents
Nicéphore Soglo
Yayi Boni
NB : A ces personnalités seront ajoutés les membres qui seront désignés par le Président de la République et le Président de l'Assemblée nationale.
Les Présidents Patrice Talon et Louis Vlavonou pourront devenir membres du Sénat à la fin de leur mandat.
Au Bénin dans le cadre d'une visite de travail et d'amitié, le président du Parlement sénégalais a effectué une descente dans la cité historique de Ouidah, ce samedi 1er novembre 2025. Après avoir visité différents sites et projets touristiques en cours de réalisation, El Malick NDIAYE a salué les efforts de développement du tourisme mémoriel au Bénin.
Invité du président de l'Assemblée nationale à l'ouverture de la seconde session ordinaire de l'année 2025, le président du Parlement sénégalais a fait une visite d'immersion à Ouidah ce samedi 1er novembre 2025. El Malick NDIAYE a visité le temple des pythons, et la Basilique de l'Immaculée conception qui fait face. Le chef du Parlement sénégalais a noté à cette étape, la présence de la mosquée située juste à côté du temple des pythons. Occasion pour lui de saluer la collaboration pacifique entre les religions au Bénin.
Après cette étape, l'hôte de Louis VLAVONOU s'est rendu à la forêt sacrée de Kpassè, la Route de l'Esclave, en plein chantier où il a pu se plonger avec toute sa délégation, dans le souvenir de la place des enchères de Ouidah, de la maison fleurie, de l'arbre de l'oubli, des cases Zomaï, du Mémorial du Souvenir, de l'Arbre du Retour et de la Porte du Non-Retour.
Au terme de sa visite, El Malick NDIAYE a salué les actions en cours au Bénin pour développer le tourisme mémoriel. « Je dois aussi saluer les efforts qui ont été fournis par le président Patrice TALON et le gouvernement du Bénin, à savoir développer le tourisme que je pourrais appeler le « tourisme mémoriel ». « Tout est en chantier parce qu'il veut faire de Ouidah la capitale touristique du Bénin », a-t-il confié. Les autorités sénégalaises a-t-il annoncé, vont s'inspirer de l'exemple du Bénin. Et à cet effet, il entend inviter le ministre sénégalais du tourisme à effectuer une visite à Ouidah, afin de « transformer Gorée et tous les sites mémoriels du Sénégal avec un vrai parcours touristique, un bon aménagement et toutes les infrastructures qui conviennent pour développer ce tourisme-là, qui est l'un des piliers économiques de nos différents pays ».
F. A. A.
Reçu ce dimanche 02 novembre 2025 sur la chaîne privée E-Télé, l'ancien député Patrick Djivo est revenu longuement sur les raisons profondes de sa démission du parti Les Démocrates, annoncée vendredi 31 octobre. Le parti "Les Démocrates" s'est auto saboté, selon le député démissionnaire.
« Les gens doivent être tous étonnés de ma démission. Parce que si Djivo a démissionné, c'est qu'il y a une cause », a-t-il précisé sur E-Télé. « Si le parti des Démocrates tient debout jusqu'à ce que nous sommes en train de faire les dossiers pour cette élection, c'est à cause de la personne que vous avez en face », a-t-il insisté.
Au cœur de la rupture, l'épisode de la pré-sélection interne pour la présidentielle 2026. Selon lui, les tensions ont explosé quand le duo soutenu par Eric Houndété « qui avait porté la barque », n'a pas été retenu au Conseil national. « La fustration a commencé par là », accuse-t-il. Il cite les propos attribués à Michel Sodjinou : « Si vous ne prenez pas Eric, moi je retire mon parrainage ». « Il a appelé ça trahison », ajoute Patrick Djivo.
L'élu dit avoir vécu ces divisions depuis longtemps. « C'est l'accumulation de la fustration qui finit par créer les poches de tension ». Il évoque déjà 2022, au moment de la préparation des législatives 2023 : « On m'a demandé de sauver le parti. Je me suis donné pour permettre d'avoir huit députés. Mais en retour, c'est fini. On oublie ».
« Si les Démocrates existent encore à 70%, c'est parce que je me suis donné. Mais ce que ça doit être en retour, ce n'est pas ça ».
Il évoque aussi des pratiques internes opaques. « Ils font des deals et on n'en finit pas de découvrir des pots-aux-roses », indique l'ex député sans entrer dans les détails. « J'ai l'éducation chrétienne que j'ai reçue, qui ne me permet pas de tout dévoiler », avance-t-il.
Patrick Djivo conclut en expliquant que sa décision est définitive : « Je me donne et les gens passent derrière pour se sucrer. Ce n'est pas une bonne chose. Là, je quitte définitivement. Moi, je cherche l'ouverture ».
Les députés Joël Godonou, Chantal Adjovi, Léansou Do Régo, Denise Hounmènou et Constant Nahoum, ainsi que l'ancien député Patrick Djivo, ont démissionné du parti “Les Démocrates”.
M. M.
La démission opérée vendredi 31 octobre 2025, par 6 députés du parti Les Démocrates (LD), dont Michel Sodjinou, ne relève pas d'un acte d'infidélité ou de déloyauté. C'est la conséquence de malaises internes et de frustrations longtemps nourries. Le député Joël Godonou l'a signifié dans une interview à la presse quelques heures après l'annonce officielle de démission.
Aux accusations d'infidélité et de déloyauté de certains observateurs, Joël Godonou, l'un des députés démissionnaires du parti Les Démocrates s'inscrit « en faux ». La décision de quitter le parti relève d'après lui, de malaise internes et de la constitution de divers camps que l'ex président Boni Yayi, président du parti, a laisser perdurer. « La situation va de mal en pire », a regretté le parlementaire évoquant le congrès tenu à Parakou en octobre 2023. Lequel a donné lieu à la constitution de « clans ». « Je ne suis pas un déloyal, je ne suis pas un infidèle. Je suis un homme de principe et de valeurs, et ce sont ces valeurs que je voudrais porter donc au niveau de ce parti. Mais hélas ! Quand vous n'êtes pas écouté, ou quand on semble vous écouter, je crois qu'à un moment donné, il faut savoir raison garder, il faut savoir prendre ses responsabilités », a-t-il laissé entendre.
D'après lui, les 6 députés démissionnaires ne sont pas les seuls mécontents, au sein de la formation politique de l'opposition. « Il n'y a pas que nous. […]. Ils sont nombreux, ils sont très nombreux qui n'approuvent pas ce qui se fait mais pour une raison ou pour une autre, préfèrent se taire », a laissé entendre. Fidèle et engagé, il a rappelé avoir fait la promesse à ses mandants, qu' »il ne trahira pas en gardant sa fiche de parrainage. Ce qu'il a fait en remettant le parrainage selon les orientations données par le parti. « C'est ça la fidélité », a-t-il soutenu avant de signifier qu'à un moment donné, quand on se sent en insécurité menacée, le mieux à faire, c'est de partir. Ce qu'il a fait en démissionnant.
F. A. A.
La chanteuse béninoise Angélique Kidjo, plusieurs fois récompensée aux Grammy Awards, participera à la présentation des nominations de l'édition 2026. Elle l'a annoncé dans un message publié sur ses réseaux sociaux, en invitant le public à suivre l'évènement le 7 novembre en direct sur les plateformes officielles de la Recording Academy.
À 5 trophées déjà décrochés, l'artiste Angélique Kidjo présentera, le 7 novembre 2025, les nominés aux Grammy Awards 2026. Une des figures africaines majeures à s'être durablement imposées dans l'industrie musicale internationale, Angélique Kidjo mêle diverses influences, de l'afrobeat au jazz, en passant par le reggae et la pop à sa musique. Son rayonnement culturel est également nourri par ses engagements constants pour les droits humains et l'éducation.
L'année 2026 marquera également une nouvelle tournée mondiale pour la diva. Plusieurs dates sont annoncées sur trois continents, avec une clôture prévue le 12 mai 2026 à l'Olympia, à Paris, pour un concert intitulé « Hope ».
Les Grammy Awards demeurent une référence dans la reconnaissance de l'excellence musicale à l'échelle planétaire. L'annonce des nominations constitue chaque année un moment de forte attention dans l'industrie. Le rendez-vous est fixé au 7 novembre.
M. M.
Dans une interview à la presse vendredi 31 octobre 2025, l'un des députés démissionnaires du parti Les Démocrates (LD), a appelé les militantes et militants de l'opposition à voter massivement pour Romuald Wadagni, candidat de la majorité présidentielle à l'élection présidentielle d'avril 2026 au Bénin.
Chantal Adjovi, ex responsable des affaires féminines du Littoral du parti Force cauris pour un Bénin émergent (FCBE), et membre fondatrice du parti Les Démocrates, appelle à l'union autour de la candidature de Romuald Wadagni. Pour elle, le choix idéal à faire pour la présidentielle de 2026 au Bénin, c'est bien celui de l'actuel ministre d'Etat en charge de l'économie et des finances. Elle a appelé les militantes et militants de l'opposition à soutenir sa candidature lors d'une interview à la presse le vendredi 31 octobre 2025.
« Aux militants, je voudrais dire que le candidat Romuald Wadagni est un Béninois, né au Bénin. Par le passé, on disait que le président Patrice Talon est rigoureux et coléreux (..), mais cette fois, ce n'est pas Talon qui va aux élections. C'est notre frère, Romuald Wadagni. Restons unis et levons-nous comme un seul homme derrière lui pour une victoire écrasante », a lancé la députée quelques instants après la déclaration officielle du groupe de dissidents LD auquel elle appartient.
Le groupe composé de Joel Godonou, Léansou Do-Régo, Denise Hounménou et Constant Nahum, Chantal Adjovi, a dénoncé des « pratiques internes regrettables » et une « paranoïa destructrice » qui pour eux, ont miné le fonctionnement du parti dirigé par l'ancien président Boni Yayi. Les députés démissionnaires ont également déploré une gestion marquée par la frustration et un manque de considération envers certains acteurs engagés depuis la création du parti. « Celui qui s'est longtemps échiné pour le parti depuis des années, a été écarté au profit de notre petit frère Me Renaud Agbodjo. C'est une chose que nous n'avons pas appréciée », a déclaré Chantal Adjovi, exhortant l'ensemble des militants de l'opposition à soutenir la candidature de Romuald Wadagni.
F. A. A.