Public works programmes (PWPs) are pervasively used to tackle poverty and unemployment, and to build infrastructure and skills in low- and middle-income countries. While their impacts on poverty, food security and labour outcomes have been widely documented, there is little research focusing on the role of PWPs in supporting household climate resilience in the global context of a deepening climate crisis. To fill this gap, we propose a conceptual framework that links the different components of PWPs – wages, infrastructure, and skills development – to household capacity to cope with, and adapt to, climate-related shocks. We use this framework to guide our review of empirical experimental and quasi-experimental evidence on the multiple short-term and long-term effects of PWPs on resilience to weather shocks, such as floods, droughts and cyclones. Such evidence mostly draws from a few programmes in India, Ethiopia and Malawi. Overall, we find that, through the wage component, PWPs can be effective in enhancing household resilience through increasing savings and productive investments. However, these benefits usually only materialize in the case of regular, long-term programmes, as opposed to ad-hoc/temporal PWPs. PWPs’ infrastructure component can play a crucial role in supporting households’ long-term capacity to adapt to shocks, especially in the case of “climate-smart” infrastructure, with positive externalities beyond direct programme beneficiaries to communities. There is a key evidence gap investigating the effects of PWPs through the infrastructure component on both beneficiaries and other community members, as well as on the role of on-the-job training and its capacity to strengthen resilience in combination with the infrastructure component. Evidence from different socioeconomic contexts is also scarce. Another key gap relates to the identification of the main mechanisms through which these relationships operate. Filling these gaps will support policy makers taking decisions about when to implement PWPs (especially in comparison with other social protection interventions), and how to design them to tackle vulnerability to climate change.
Humanitarian aid is increasingly guided by strategic interests rather than humanitarian needs. Europe’s humanitarian commitments are under strain as geopolitics reshapes international solidarity. Rising nationalism, debt pressures and great-power rivalry have pushed European governments to prioritise strategic interests over humanitarian needs. European politicians are increasingly justifying aid disbursements to their public through the lens of national security and strategic influence.
• Authoritarian regimes weaponise these geopolitical trends to stoke distrust in the international community. They often label humanitarian actors as foreign agents, while state propaganda delegitimises international assistance as self-motivated and hypocritical, reframes aid as interference to justify crackdowns on the humanitarian space.
• That is why the way European donors talk about humanitarian aid matters as much as how they provide it. My experimental research in Turkey shows that transparent communication about the realpolitik behind humanitarian aid may help counter authoritarian propaganda in highly polarised middle-income countries with widespread anti-Western attitudes. My findings indicate that when donors openly acknowledge strategic motivations, propaganda messaging
may lose its effectiveness among conservative, nationalist and Eurosceptic constituencies in recipient countries, whose attitudes are often hard to shift. Transparent communication may reduce conspiracism among this group, increase their trust in Europe and their support for international trade, while their support for the incumbent government may decline. Winning over these constituencies would be critical to democracy protection initiatives, as they often lend normative and systemic support to autocrats.
• However, donors must strike a careful balance and adopt a dual approach. While strategic messaging can persuade Eurosceptics, it may also alienate pro-EU, cosmopolitan citizens who value unconditional solidarity. They may grow disillusioned with European donors if humanitarian aid appears too self-interested or transactional. Donors should communicate strategic interests with transparency but still remain anchored in humanitarian values.
• Further research is needed to fully explore the implications of geopolitical shifts in aid, especially in middle-income autocracies with widespread anti-Western attitudes. In particular, more research is required to fully calibrate transparent messaging and mitigate negative unintended consequences.
La journée de ce lundi 15 septembre s’annonce globalement calme sur une grande partie du territoire national, même si certaines régions du sud continueront de […]
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Le Bénin prend part à la compétition ITF/CAT par équipes des 12 ans et moins de tennis, organisée pour la région Afrique de l'Ouest. L'événement se tiendra du 15 au 19 septembre 2025 à Accra, au Ghana. Le pays sera représenté par deux équipes (filles et garçons) qui sont prêtes à défendre les couleurs nationales.
Partie de Cotonou ce week-end, la délégation béninoise, composée des deux équipes, participera à ce championnat régional. Conduites par les entraîneurs Romain Sètomè (garçons) et Patrice Ahoba (filles), les sélections sont attendues à Accra ce dimanche après-midi, prêtes à défendre les couleurs nationales.
« Nous avons travaillé la condition physique, la volée, les coups droits, etc. », a souligné Ange Bébo, membre de l'équipe masculine. Il ajoute que le moral est au beau fixe après une préparation intense. Selon lui, l'équipe béninoise n'a aucune raison de faire piètre figure. Les encadreurs, confiants, saluent la qualité de leurs jeunes protégés, qu'ils estiment capables de réaliser de belles performances.
La sélection masculine, conduite par Romain Sètomè, est composée de trois joueurs : Alowakinnou Ivan, Bébo Ange et Kouagou Audney. Du côté des filles, Patrice Ahoba dirige une équipe tout aussi motivée, composée de Dhossou Abigaïl, Adokpo Victoire et Saïzonou Grâce. Tous ont suivi une préparation rigoureuse, ponctuée de séances intensives et de matchs d'évaluation.
Cette compétition ITF/CAT des 12 ans et moins rassemble plusieurs nations de l'Afrique de l'Ouest. Au-delà des résultats, elle constitue une vitrine pour les jeunes talents du continent, une opportunité de se confronter à d'autres styles de jeu et de vivre une expérience internationale formatrice.
Vous avez été nombreux et nombreuses à m'écrire en privé pour réagir à ma lettre ouverte au Président de la République Patrice Talon.
Des ami.e.s, des anonymes, des curieux.es, des intrigué.e.s, des inquiet.e.s.
Avec souvent les mêmes questions : Pourquoi moi ? Pourquoi maintenant ?
J'aurais été heureux de pouvoir engager une conversation individuelle avec chacun.e. d'entre vous. Mais mon agenda professionnel et d'époux ne me le permet pas.
Excusez mon impertinence de répondre à nouveau dans une lettre publique.
Pourquoi moi ? Parce que tout comme vous, citoyen béninois, j'ai toujours rêvé d'un Bénin qui prospère, d'un Bénin qui se distingue. Alors, au risque de répéter ce qui a été dit dans ma lettre, les signaux et les fondations de ce Bénin sont là. Je ne peux que m'en réjouir et en féliciter l'architecte. Suivez mon regard !
Pourquoi maintenant ? Parce que maintenant plus que jamais, il faudra tous ensemble préserver les acquis. L'héritage est grand et en appelle à la responsabilité et l'engagement de chacun.e. (notamment de la jeunesse) pour le fructifier, le bonifier. Il est donc d'un devoir citoyen de contribuer à l'émanation d'un Bénin fort et prospère, symbole de notre fierté, notre courage, nos vents d'espoir et de renouveau.
Si vous vous en doutez encore, ma lettre au Président Talon, c'est à la fois, la reconnaissance d'un travail accompli et l'engagement moral et politique qu'au soir des élections présidentielles d'Avril 2026, le pays poursuivra sur sa lancée de développement et de progrès social. Car, c'est ensemble qu'on édifiera cette terre béninoise qu'on laissera à nos enfants.
Dr. Chedrak Chembessi
Économiste-Géographe
Enseignant-Chercheur
Un groupe naval russe, composé d’un sous-marin et d’un navire de soutien, a accosté ce dimanche au port d’Alger, marquant un nouvel épisode dans la […]
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Pour la première fois dans le nouveau code de procédure pénale algérien, le législateur a introduit la possibilité pour l’accusé de bénéficier d’une peine réduite […]
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A Ehouzou, une localité de la commune de Klouékanmey, département du Couffo, une fillette s'est tiré une balle à la poitrine le vendredi 12 septembre 2025, alors qu'elle manipulait l'arme de fabrication artisanale de son grand-père.
Deuil et consternation à Ehouzou, localité de la commune de Klouékanlmey, après la mort tragique d'une fillette âgée de 8 ans. Alors qu'elle s'amusait avec une de ses camarades, la fillette est allée chercher l'arme de fabrication artisanale de son grand-père pour tuer un gecko. Mais en visant le reptile, c'est elle-même qui reçoit la balle en pleine poitrine et décède.
Le grand-père, propriétaire de l'arme à feu, s'est enfuit après le drame.
Aussitôt alertées, les autorités locales et les forces de sécurité se sont dépêchées sur les lieux pour les constats. Une enquête est ouverte.
F. A. A.
Face à la menace terroriste au Bénin depuis quelques années, l'expert financier international, Blaise Ahouantchédé a exposé au cours de l'émission Entretien du dimanche de Eden TV ce 14 septembre 2025, une approche qui permettra de mieux contrer le phénomène.
« On ne peut plus concevoir le développement sans la sécurité. Ça doit faire partir des volets dont il faudra tenir compte et se donner les moyens pour financer », c'est ce qu'a souligné l'expert financier international, Blaise Ahouantchédé, dimanche 14 septembre 2025, sur Eden TV.
Pour lui, « la paix a un prix », et la lutte contre le terrorisme doit se faire sous trois angles à savoir, les moyens de financement, l'intégration régionale, et le développement.
Pour relever un défi sécuritaire comme le terrorisme a-t-il indiqué, il faudra se donner les moyens de financement ; doter l'armée des moyens logistiques, mais aussi des moyens de renseignements, et travailler avec les populations, les sensibiliser en renforçant la veille sécuritaire.
Le second angle important selon l'ex directeur général de GIM-UEMOA, est de travailler avec les pays voisins. « Quand on est dans un pays, il faut regarder les frontières - échanges de renseignements, d'informations - pour s'assurer des points périodiques afin d'apprécier l'état de l'évolution au niveau des frontières », a-t-il conseillé.
Le troisième angle d'après les analyses de l'expert financier international, est relatif au développement, mettre les jeunes au travail en multipliant les zones franches industrielles.
Pour ce qui concerne le Nord-Bénin, considéré comme terreau des groupes armés, il faudra selon Blaise Ahouantchédé, une politique de développement, créer de l'emploi et mettre les jeunes au travail. « Quand le jeune travaille et gagne de l'argent, il sera très difficile de le contraindre. C'est à cause des questions de chômage et d'emploi qu'on arrive à les convaincre », a fait observer l'expert qui nourrit le rêve d'un Bénin où tous les Béninois en âge de travailler ont leur gagne-pain.
Dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, les Forces de défense et de sécurité en poste dans le cadre de l'opération Mirador, parviennent à, prendre le contrôle des zones à risques. Plusieurs assaillants ont été neutralisés ces dernières semaines, et des équipements de guerre saisis.
F. A. A.