Written by Clare Ferguson.
With a substantial agenda for the first session to be held this October, Members gather in plenary to debate – among other things – European Union growth and prosperity, the EU’s response to Russian violations of EU countries’ airspace, the situation in Gaza and rising antisemitism, and two motions of censure against the European Commission. Members are also scheduled to attend a ‘This is Europe‘ debate with the Prime Minister of Luxembourg, Luc Frieden on Tuesday, and. the Prime Minister of Greenland, Jens-Frederik Nielsen is due to make a formal address on Wednesday.
Following a debate on the EU’s common agricultural policy (CAP) on Tuesday, Members are expected to vote on amending the current rules on payments to farmers. The proposal aims at cutting red tape, one of the farming community’s key demands. Parliament’s Committee on Agriculture and Rural Development proposes the CAP simplification include more flexibility on environmental rules, easier access to crisis payments and increased support for small and medium-sized farms. The vote will set Parliament’s position for its negotiations with the Council.
On Wednesday, Members are set to vote on draft amending budget No 2/2025, updating the revenue side of the current year’s EU budget. A report from Parliament’s Committee on Budgets endorses the Council position on the Commission proposal to take revised revenue forecasts into account and notes the need for increased gross national income contributions from the Member States. The committee also reiterates that the EU must endeavour to find fresh funding streams for new EU policy priorities.
Many non-EU nationals can visit the Schengen area for 90 days without having to apply for a visa. To protect the system from abuse, the visa suspension mechanism allows the EU to temporarily end the visa exemption for citizens of certain countries for security reasons. A proposal to strengthen the EU visa suspension mechanism has been on the table since 2023, and Members are expected to return to the debate on Monday evening. Parliament is set to vote on a text agreed between Parliament’s Committee on Civil Liberties, Justice and Home Affairs and the Council which emphasises the links between the EU’s external relations and the need to revise the visa suspension mechanism to cover, for instance, cases of state-sponsored instrumentalisation of migrants, investor citizenship schemes and human rights violations.
The Council and Commission are scheduled to make statements on Tuesday afternoon on a recent joint communication, laying out the path for negotiations on a new strategic EU-India agenda, set for adoption at a bilateral summit in 2026. The debate is expected to cover progress on a free trade agreement, financial supervision arrangements – and not least in view of today’s difficult geopolitics – security and defence ties.
Members are scheduled to debate a provisional agreement reached by Parliament’s negotiators on a revision of the European Works Councils Directive on Wednesday. European Works Councils represent workers employed by multinationals operating in at least two EU countries. The revision of the legislation aims at strengthening the enforcement of transnational information and consultation rights, excluding trivial issues and including stronger provisions on gender balance. Parliament has succeeded in including rules to ensure penalties will be dissuasive, effective and proportionate.
The EU aims at reducing CO2 emissions from heavy-duty vehicles by 43 % by 2030, with higher targets to follow. However, as zero-emission heavy-duty vehicles remain expensive, EU law allows governments to encourage their use by granting reductions or exemptions to road charges for such vehicles. On Tuesday morning, Members are due to vote on extending the derogation for heavy-duty vehicles with zero emissions, to June 2031, under the procedure used for urgent matters.
On Tuesday morning, Members are set to debate a proposed revision to the legislation ensuring safety and environmental protection on the EU’s inland waterways. Parliament’s Committee on Transport and Tourism has reached an agreement with Council that the revision should establish a single digital information platform, ensure harmonised reporting, introduce a feedback mechanism and update privacy and security requirements. The committee would, however, prefer that the scope of the revision of harmonised river information services apply to waterways and ports that are part of a cross-border network.
Following a recommendation from Parliament’s Committee on Fisheries, Members are set to vote on Wednesday on granting Parliament’s consent for the conclusion of a new protocol covering the EU’s fisheries agreement with the Côte d’Ivoire. The protocol sets opportunities for EU vessels from Spain, France and Portugal to fish for tuna in Côte d’Ivoire’s waters, in exchange for a financial contribution to the country’s sustainable fisheries sector.
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La procureure générale de l’UE, Laura Kövesi, a accentué la pression sur le Premier ministre grec Kyriákos Mitsotákis. Elle a appelé jeudi 2 octobre à une réforme constitutionnelle pour abolir les règles d’immunité qui empêchent les ministres d’être inquiétés dans des enquêtes de corruption liées aux fonds européens.
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La ville de Parakou s'apprête à vivre un moment historique, ce samedi 4 octobre 2025, à l'occasion de la cérémonie officielle d'investiture du duo Romuald Wadagni- Mariam Chabi Talata pour l'élection présidentielle de 2026.
Plus de 20 000 participants sont attendus à la cérémonie d'investiture du candidat Romuald Wadadgni et de sa colistière Mariam Chabi Talata.
Délégations officielles, militants, sympathisants, élus, membres du gouvernement et figures politiques de tous horizons sont déjà dans la cité des Kobourou.
Les partis alliés tels que l'UPR, le BR, Moele Bénin, Renaissance Nationale, ainsi que d'autres forces seront également représentés.
« C'est historique ! Toute la ville est mobilisée. Il n'y a plus une seule chambre disponible dans les hôtels de Parakou », confie le responsable d'un établissement hôtelier du centre-ville.
Parakou s'apprête à vivre un week-end exceptionnel, marqué par une démonstration de force politique sans précédent.
Marina HOUENOU (Stagiaire)
Le Bloc Républicain (BR) et le Mouvement des Elites Engagées pour l'Emancipation du Bénin (MOELE-BENIN) s'apprêtent à signer un protocole d'accord en vue des élections générales 2026. L'annonce a été faite à l'issue d'une rencontre tenue, jeudi 02 octobre 2025, au siège du BR, à Cotonou.
La délégation de Moele-Bénin était conduite par son président, Jacques Ayadji. Elle a été reçue par Abdoulaye Bio Tchané, président du Bloc Républicain.
Dans un communiqué conjoint, les deux partis annoncent un accord législatif « imminent » en vue de mutualiser leurs forces pour mieux peser lors des prochains scrutins législatifs et communaux.
Le texte précisera les modalités de collaboration entre les deux formations. Il vise à « renforcer leur synergie et leur engagement commun au service du développement du Bénin », dans la continuité de la gouvernance initiée par le président Patrice Talon.
Le BR n'en est pas à sa première entente politique. Il a déjà scellé des accords avec l'Union Progressiste le Renouveau (UP-R) et la Force Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE).
Pour Moele-Bénin, en revanche, ce serait une première incursion dans une alliance électorale à cette échelle.
Le parti de Jacques Ayadji veut franchir un cap. Il espère obtenir des sièges à l'Assemblée nationale et dans les conseils communaux à l'issue du double scrutin de janvier 2026.
La signature officielle du protocole est attendue dans les prochains jours.
M. M.
La Société d'investissement et de promotion de l'industrie (SIPI-BENIN), en collaboration avec la Caisse des dépôts et consignations (CDC Bénin), la Banque ouest-africaine de développement (BOAD), et la West african alliance for carbon markets and climate finance (WAA), organise depuis ce jeudi 2 octobre 2025, un atelier de haut niveau sur les marchés carbone à l'intention du secteur privé béninois. L'initiative vise à promouvoir la compréhension et l'engagement des opérateurs économiques béninois au sein des marchés carbone, en mettant en lumière les opportunités économiques et réglementaires.
En dépit du potentiel significatif dont dispose le Bénin en matière de crédits carbone, la participation du secteur privé reste limitée. Et ce, par manque d'information, d'expertise technique et de projets structurants. La SIPI-BENIN, structure en charge de l'exploitation et du développement de la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ), et ses partenaires, ont alors décidé de mobiliser le secteur privé béninois autour des opportunités offertes par les marchés carbone, en particulier dans le cadre de l'Accord de Paris et des mécanismes de croissance économique bas-carbone.
Par cet atelier, les organisateurs selon la directrice générale de la CDC Bénin, ambitionnent d'apprendre, de comprendre, et surtout, d'expérimenter avec pragmatisme, « la manière dont les crédits carbone peuvent être monétisés à travers des projets concrets ». Il s'agit d'une « opportunité unique » de passer de la connaissance générale à l'« application appliquée de la pratique », a-t-elle souligné évoquant l'ambition des organisateurs, celle qui consistent à « maîtriser les mécanismes de marché volontaire et de conformité, d'explorer le cadre béninois et surtout, dégager une feuille de route opérationnelle pour transformer les projets en leviers de réduction des émissions, et en ressources de revenus additionnels.
Maryse LOKOSSOU a formulé le vœu que les participants soient plus édifiés au terme des assises avec une idée claire de la manière dont on peut exploiter le plein potentiel des crédits carbone sur les différents projets.
Partenaire d'ARISE, la SIPI-BENIN, pionnière des opportunités du marché carbone au Bénin
Partenaire du groupe ARISE dans le développement de la Zone industrielle de Glo-Djigbé, la SIPI-BENIN selon son directeur général, investit dans le marché du carbone depuis 2021 avec l'acquisition de 35% d'AERA, leader dans le développement de projets carbone, et plus récemment dans Crystalchain, une entreprise spécialisée dans la traçabilité du carbone. ARISE a par la suite, développé des capacités en interne en créant OKALA, leader dans le domaine du monitoring de la biodiversité, et SEQUOIA, développeur de projets carbone d'agroforesterie et d'énergie, a expliqué Létondji BEHETON. Ce faisant, le Groupe d'après lui, a créé ainsi une équipe consolidée (plus d'une vingtaine de chercheurs, un desk carbone en interne), capable de couvrir la chaîne de valeur de création de projets carbone dans son entièreté : comptabilisation des émissions, conception et développement des projets, monitoring des émissions (MRV), coordination des audits et commercialisation.
Ces efforts, informe le DG de la SIPI-BENIN, ont été couronnés par plusieurs distinctions internationales en matière de durabilité et de performance carbone. Il a cité entre autres, Environmental Finance en 2022, Sustainable Development Pioneer en 2023, et décerné par Reuters, EDGE Champion en 2024, attribué par la Société financière internationale (SFI), pour l'engagement du Groupe dans la réduction des émissions dans le secteur des infrastructures.
« En 2023, la valeur du marché mondial du carbone a atteint près de 949 milliards de dollars US, donc 87% concentrés en Europe. En Afrique de l'Ouest, le potentiel est considérable, estimé à plus de 50 millions de tonnes équivalent CO2 par an dans des secteurs clés tels que l'énergie, l'agriculture, la foresterie et la gestion des déchets », a informé Létondji BEHETON, mettant l'accent sur le marché du carbone comme « une source majeure de financement pour le continent ».
Selon les données de l'Africa carbon markets Initiative (ACMI), l'Afrique pourrait mobiliser jusqu'à 6 milliards de dollars US par an, offrant aux États et aux entreprises, une opportunité unique pour accompagner la transition bas-carbone. « Au Bénin, ce potentiel est énorme avec plus de 4 millions d'hectares de forêts et de terres agricoles éligibles, représentant un atout stratégique sur les marchés carbone », a poursuivi le DG de la SIPI-BENIN, précisant qu'au-delà du secteur forestier, des opportunités existent également pour les acteurs industriels.
L'entreprise Benin Cashew, un modèle à la GDIZ
A la zone industrielle de Glo-Djigbé, la société Benin Cashew, spécialisée dans la transformation des noix de cajou avec une capacité annuelle de 120 000 tonnes, a initié un projet carbone grâce à son unité de transformation de coque de noix de cajou en huile, le Cashew nut shell liquid (CNSL), qui pourrait lui permettre de générer, selon les estimations, plus de 300 000 tonnes de CO2 valorisables en crédit carbone sur une période de 10 ans.
Toutefois, la participation du secteur privé à cette dynamique demeure très limitée, freinée par un déficit d'informations, de compétences techniques et de projets structurés. Des fonds d'amorçage et une gouvernance nationale claire sont également nécessaires pour permettre l'émergence de projets nationaux. Ces deux journées seront donc l'occasion de mieux comprendre les marchés du carbone, d'identifier les opportunités pour les entreprises locales, de partager les défis et les besoins, et de renforcer les partenariats entre acteurs publics, privés et investisseurs.
Pour Jonathan DOSSEH, représentant la BOAD, la lutte contre le changement climatique exige des solutions novatrices et inclusives. Et les marchés carbone, en particulier ceux développés dans le cadre de l'article 6 de l'accord de Paris offrent de réelles opportunités comme la mobilisation de financement climatique additionnel, la possibilité de stimuler l'innovation technologique et industrielle, et enfin, valoriser les efforts de réduction d'émissions déjà entrepris par les secteurs productifs. Ces opportunités, a-t-il souligné, ne pourront être pleinement saisies qu'avec une forte implication du secteur privé.
Ces premières assises sur les marchés carbone s'achèvent ce vendredi 03 octobre 2025.
F. A. A.