Un scandale a secoué l’Agence nationale des déchets. La justice révèle une somme faramineuse détournée, cinq personnes sont écrouées. Les investigations judiciaires approfondies ont révélé […]
L’article Scandale à l’Agence nationale des déchets : 15 milliards détournés, 5 personnes écrouées est apparu en premier sur .
Le gouvernement béninois a autorisé l'indemnisation de 227 personnes affectées par le projet d'aménagement et de bitumage de la route Banikoara–Kérémou–Frontière du Burkina Faso.
Les sinistrés recensés dans le cadre du projet d'aménagement et de bitumage de la route Banikoara–Kérémou–Frontière du Burkina Faso seront indemnisés. Cette décision fait suite aux travaux de la Commission départementale interministérielle chargée d'évaluer les compensations à verser aux propriétaires touchés par le chantier. Selon le rapport, l'évaluation a permis de recenser 227 sinistrés qui recevront une indemnisation conforme aux textes en vigueur.
Le projet de bitumage de cet axe stratégique vise à améliorer la mobilité des populations, faciliter les échanges commerciaux avec le Burkina Faso et stimuler le développement économique local. L'étape de l'indemnisation constitue une phase clé pour assurer la poursuite sereine des travaux dans le respect des droits des populations impactées.
A.A.A
Une délégation marocaine du secteur agroalimentaire est en mission B2B à Cotonou depuis le 20 octobre 2025. Cette initiative, portée par la Fédération nationale de l'agroalimentaire du Maroc (FENAGRI) en partenariat avec l'Agence de Promotion des Investissements et des Exportations (APIEX), a officiellement démarré ses travaux ce mercredi 22 octobre à l'hôtel Sofitel Marina.
Créer un pont durable entre opérateurs économiques béninois et marocains pour dynamiser la coopération industrielle et commerciale dans le secteur agroalimentaire. Tel est l'objectif de la mission B2B Agro-Industrie, Maroc-Bénin. Dans son mot de bienvenue, le Chef de mission adjoint à l'Ambassade du Royaume du Maroc au Bénin, Mohammed El Yamani, a salué l'organisation de cette rencontre qu'il qualifie de « louable initiative » de la Fédération nationale de l'agroalimentaire du Maroc. « Ces rencontres B2B, tant souhaitées par les deux parties, sont à même de consolider davantage les liens d'amitié et de coopération entre le Royaume du Maroc et la République du Bénin », a-t-il affirmé.
Le Maroc en quête de partenariats gagnant-gagnant
L'experte en stratégie export et développement international Ghadah Al Nouno, représentante de la FENAGRI a présenté les performances du secteur agroalimentaire marocain, l'un des piliers de l'économie nationale. « Il regroupe plus de 2000 entreprises marocaines, emploie directement plus de 207 000 personnes et contribue à près de 30 % de la valeur ajoutée industrielle du pays », a-t-elle indiqué. En 2024, poursuite-elle, les exportations alimentaires marocaines ont dépassé les 4,5 milliards de dollars, enregistrant une croissance annuelle moyenne de près de 8 % au cours des cinq dernières années.
Selon Ghadah Al Nouno, le Bénin offre d'importantes opportunités d'investissement et de partenariat dans l'agroalimentaire, la distribution et la logistique. « Les relations commerciales entre le Maroc et le Bénin se renforcent d'année en année, portées par la vision de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, qui fait du partenariat africain un pilier de la politique économique du Royaume. Cette mission B2B s'inscrit pleinement dans cette dynamique. Elle vise à consolider les liens entre nos opérateurs, à stimuler les échanges commerciaux et à encourager des partenariats concrets et durables », a déclaré la représentante de la FENAGRI. A travers ces rencontres B2B, soutient-elle, nous avons l'ambition de renforcer les bases de coopération gagnant-gagnant fondées sur la confiance, la proximité et la durabilité.
Vue partielle des participantsLe Bénin, une destination attractive pour les investisseurs
Le directeur des études à l'APIEX (Agence de promotion et d'investissement et de l'exportation), Éric Akouété a présenté le Bénin comme un pays « pro-business » ayant réalisé d'importantes réformes depuis 2016 pour améliorer le climat des affaires. « L'investissement au Bénin est détaxé », a-t-il affirmé. Éric Akouété informe que les dispositifs d'accompagnement mis en place (zones économiques spéciales, code des investissements, partenariats public-privé) permettent aux investisseurs d'évoluer dans un cadre fiscal et administratif avantageux.
Le représentant de l'APIEX a détaillé les facilités offertes telles que les exonérations douanières, guichet unique, accès simplifié aux titres de séjour pour les investisseurs, infrastructures modernes et disponibilité des matières premières. « L'État ne veut pas que les droits et taxes de douane soient un frein à l'investissement », a-t-il expliqué, ajoutant que « les investisseurs disposent de plusieurs régimes incitatifs, adaptés à la taille et à la nature de leurs projets ».
Parmi les secteurs jugés prioritaires figurent l'agro-industrie, le numérique, la santé, le tourisme et la culture. Le Bénin recherche notamment des partenaires pour la transformation du riz, du soja, de l'anacarde, du coton et pour le développement d'industries d'emballage alternatives aux plastiques.
Les entreprises marocaines ayant fait le déplacement au Bénin sont Rio De Oro, Cosumar, Navoc, Complexe Alimentaire Zine, Bmz Biscuiterie Moderne Zine, Societe Amani Agroalimentaire, Ifbp Sa– Institut De Formation En Boulangerie & Patisserie, Detroit Industrie S.A, Epices Taiba, Moroccan Food Processing S.A., Silver Food. Elles échangent avec plusieurs béninoises du secteur agroalimentaire, désireuses d'explorer des partenariats. Des rencontres d'affaires directes sont prévues tout au long de la semaine avec des visites de sites (Supermarché Erevan, marché de gros, GDIZ, marché Dantokpa). La mission prend fin le 24 octobre 2025.
Cette Mission B2B Maroc–Bénin 2025 illustre la vitalité du partenariat entre les deux pays, fondé sur une approche pragmatique de la coopération sud-sud. Elle ouvre la voie à de nouvelles opportunités d'investissement dans l'agro-industrie et confirme la place du Bénin comme pôle d'attraction régional pour les acteurs économiques marocains.
Akpédjé Ayosso
En conseil des ministres, mercredi 22 octobre 2025, le gouvernement a décidé de mettre de nouvelles ressources à disposition de l'Agence Béninoise de la Protection Civile
Les ressources mises à disposition de l'Agence Béninoise de la Protection Civile permettront d'améliorer les équipements, la formation du personnel et la coordination des secours. « Dans un contexte d'exposition aux aléas naturels et anthropiques, il s'avère indispensable de renforcer les capacités opérationnelles de l'Agence », souligne le compte rendu du Conseil du 22 octobre 2025.
Créée en juillet 2024, l'Agence Béninoise de la Protection Civile remplace l'ancienne Compagnie des sapeurs-pompiers. Ce changement marque, selon le gouvernement, un « passage de l'approche gestionnaire des risques et catastrophes à celle de leur réduction, dans une démarche d'anticipation ».
Le gouvernement explique avoir mené « une évaluation approfondie des besoins à court et moyen termes » afin de garantir l'efficacité durable des interventions de l'Agence Béninoise de la Protection Civile. En dotant l'Agence de moyens renforcés, le gouverneement veut réduire les pertes humaines et assurer « une réponse rapide, efficace et coordonnée aux situations d'urgence ».
M. M.
Le Conseil des ministres réuni, ce mercredi 22 octobre 2025, a autorisé la construction d'infrastructures socio communautaires et de sécurité dans les localités frontalières du Bénin.
De nouvelles infrastructures sont annoncées dans des localités frontalières du Bénin. L'initiative vise à renforcer la présence de l'État dans ces zones stratégiques, en vue de préserver la sécurité des populations et leur faciliter l'accès aux services sociaux de base.
Les travaux concernent la construction de blocs administratifs, de postes de police, de modules de classes, d'aires de jeux et de centres de loisirs, ainsi que la réalisation de forages et d'aménagements de voirie.
Le projet prend également en compte la réhabilitation de commissariats, de logements destinés aux enseignants et au personnel de sécurité.
A.A.A
La Confédération africaine de football a dévoilé les listes des entraineurs, joueurs, clubs et sélections nationales nommés pour les CAF Awards-2025. À la grande surprise, […]
L’article CAF Awards 2025 : L’Instance africaine snobe Petkovic et Amoura est apparu en premier sur .
Le gouvernement a adopté et transmis, mercredi 22 octobre 2025, à l'Assemblée nationale un projet de loi relatif à l'industrie du cinéma et de l'image animée.
Un projet de loi a été tranmis pour examen et vote à l'Assemblée nationale à l'issue du Conseil des ministres du mercredi 22 octobre 2025. Selon le compte rendu du Conseil, « le vote du (...) texte par la Représentation nationale favorisera le renforcement de l'arsenal juridique du domaine ». L'objectif est de doter le secteur d'un cadre normatif moderne, adapté aux réalités actuelles, et surtout propice à un véritable essor économique et culturel.
Le texte prévoit la définition des conditions d'exercice des activités cinématographiques, l'appui au financement de l'industrie du cinéma et de l'image animée, ainsi que le dépôt légal des œuvres cinématographiques.
Vers une véritable économie du cinéma
Le gouvernement mise sur une industrie « pourvoyeuse de richesse autant que d'emplois », capable de soutenir la création, la production et la diffusion des œuvres béninoises. Cette réforme vise à structurer un secteur jusqu'ici régi par une loi vieille de plus de soixante ans.
« Le projet constitue une avancée notable qui intègre les nombreuses innovations du secteur jusque-là régi par la loi n° 60-15 du 30 juin 1960 », a souligné le Conseil.
En modernisant le cadre légal, le Bénin se dote d'outils pour accompagner les créateurs, attirer les investisseurs et mieux valoriser les talents nationaux. Ce projet de loi marque une nouvelle ère pour le cinéma béninois.
M. M.
L'ancien président de la République, Boni Yayi, ainsi que le duo de candidats du parti Les Démocrates (LD) à l'élection présidentielle d'avril 2026 au Bénin, ne se sont pas présentés ce mercredi dans les locaux de la Police judiciaire, où ils étaient convoqués. Ils ont été représentés par leurs avocats.
Ce sont les avocats Me Francis Dako et Me Sadikou Alao, qui se sont rendus, ce mercredi 22 octobre 2025, à la Direction de la Police judiciaire pour répondre à la convocation de leurs clients. Ils y étaient aller pour représenter Boni Yayi, président du parti Les Démocrates et le duo candidat composé de Renaud Agbodjo et Jude Lodjou. La convocation de ces responsables du parti LD, s'inscrit dans le cadre d'une enquête en cours dont les précisions ne sont pas encore révélées. Les deux avocats étaient accompagnés de Alassane Tigri, l'un des vice-présidents du parti.
F. A. A
La déclaration faite ce mardi 21 octobre 2025 à Parakou à l'endroit des sages de la Cour constitutionnelle, n'est pas celle des sages de la cité dite des Kobourou. Il s'agirait de militants du parti Les Démocrates (LD), présents aux côtés de l'ex président Boni Yayi, lors du décès de Adjibi.
Ce jeudi 23 octobre 2025, les sages de la Cour constitutionnelle vont rendre une décision dans le dossier de fiche de parrainage du député Michel Sodjinou du parti Les Démocrates. Une décision très attende et très déterminante quant à la participation de la formation politique de l'opposition à l'élection présidentielle d'avril 2026.
Quelques heures avant la décision de la Haute juridiction, des personnes supposées être ‘'sages de Parakou'' ont fait une déclaration à la presse. A travers cette déclaration, elles ont exprimé leurs inquiétudes quant à ladite décision et signifié que les « bruits » provenant de çà et là, « ne sont pas rassurant pour la paix dans le pays ». « Une élection, c'est un débat d'idées, une fête de la démocratie. Chaque institution doit jouer son rôle pour que les élections 2026 soient véritablement inclusives, équitables et apaisées. Nous vous le disons avec le cœur.
Ne prenons pas de risque inutile. Le peuple Béninois n'a pas besoin de voir des engins de guerre dans les rues », ont-ils déclaré.
Le pays selon ces sages qui ne seraient rien d'autres que des militants LD présents aux côtés de l'ex président Boni Yayi lors du décès de Adjibi, a besoin de paix, de sérénité, et de vivre ensemble. « Nous vous prions d'agir avec une immense sagesse et un grand sens de responsabilité républicaine. La stabilité de notre cher pays le Bénin est entre vos mains. Montrez la voie de la raison et de l'apaisement. Faites pour le pays, le choix de la paix », ont-ils ajouté.
Le président du parti Les Démocrates et le duo candidat désigné pour l'élection présidentielle sont convoqués. Ils sont attendus ce mercredi 22 octobre 2025, à la direction de la Police judiciaire. Aucune précision pour l'heure, sur cette convocation des trois responsables du principal parti de l'opposition.
Le Kosovo a acheté plusieurs milliers de drones à la Turquie, provoquant la colère de la Serbie, qui y voit une menace directe et une provocation. Entre modernisation militaire, rivalités régionales et montée des tensions, la guerre des drones s'invite désormais dans les Balkans.
- Le fil de l'Info / Kosovo, Serbie, Défense, police et justice, Relations régionales, Une - Diaporama, Radio Slobodna EvropaLe Kosovo a acheté plusieurs milliers de drones à la Turquie, provoquant la colère de la Serbie, qui y voit une menace directe et une provocation. Entre modernisation militaire, rivalités régionales et montée des tensions, la guerre des drones s'invite désormais dans les Balkans.
- Le fil de l'Info / Kosovo, Serbie, Défense, police et justice, Relations régionales, Une - Diaporama, Radio Slobodna Evropa