Emirats Arabes Unis –12 Fev, 2025 – La Fondation Tony Elumelu (TEF), la principale organisation philanthropique qui émancipe les jeunes entrepreneurs africains des 54 pays africains, a signé aujourd'hui un accord de partenariat stratégique de 6millions de dollars américains avec le Bureau des affaires de développement des Émirats arabes unis et la Fondation Khalifa Bin Zayed Al Nahyan (une filiale d'Erth Zayed) pour fournir une formation commerciale, un mentorat, un accès à des réseaux et un capital de démarrage non remboursable de 5 000 dollars. à 1 000 jeunes entrepreneurs africains supplémentaires.
L'accord signé lors du Sommet mondial des gouvernements par le fondateur de TEF, Tony O. Elumelu, et le directeur général de la Fondation Khalifa Bin Zayed Al Nahyan, Son Excellence Mohamed Haji Al Khoori, témoigne de l'engagement commun des deux organisations à favoriser l'autonomisation économique et l'entrepreneuriat à travers l'Afrique.
Dans le cadre de ce partenariat, la Fondation Khalifa Bin Zayed Al Nahyan tirera parti de l'expertise et de la capacité d'exécution de la Fondation Tony Elumelu pour catalyser l'entrepreneuriat par le biais du programme d'entrepreneuriat Tony Elumelu, qui a été le pionnier de la formation en gestion d'entreprise, du mentorat et du financement en capital pour les entrepreneurs africains. La Fondation Khalifa Bin Zayed Al Nahyan, une organisation philanthropique distinguée, affiliée à Erth Zayed, s'engage depuis longtemps dans des projets humanitaires et de développement, axés sur l'éducation, les soins de santé, l'autonomisation économique et le développement des entreprises.
« L'autonomisation des entrepreneurs n'est pas seulement un impératif moral, mais aussi un investissement stratégique dans l'avenir de l'Afrique. En fournissant l'accès nécessaire au capital, au mentorat et aux ressources, nous libérons le potentiel des talents entrepreneuriaux de l'Afrique, éradiquons la pauvreté, favorisons l'autonomie et ouvrons la voie à une croissance inclusive et à la prospérité sur le continent.
Ce partenariat entre la Fondation Tony Elumelu et la Fondation Khalifa Bin Zayed Al Nahyan reflète non seulement notre vision commune de l'autonomisation de la prochaine génération de chefs d'entreprise africains, mais créera également un effet d'entraînement de transformation économique sur le continent », a déclaré Tony Elumelu.
Son Excellence Mohamed Haji Al Khoori a ajouté : « La mission d'Erth Zayed est de favoriser des partenariats efficaces qui stimulent les progrès humanitaires et de développement. Soutenir les jeunes entrepreneurs africains s'inscrit dans notre objectif de renforcer les économies et de créer des entreprises durables qui améliorent les communautés.
Depuis le lancement du programme d'entrepreneuriat TEF en 2015, la Fondation Tony Elumelu a permis à jusqu'à 2,5 millions de jeunes Africains d'accéder à des formations sur son centre numérique, TEFConnect, et a versé plus de 100 millions de dollars US en financement direct à plus de 21 000 femmes et hommes africains, qui ont collectivement créé plus de 1,5 million d'emplois directs et indirects. Grâce à ses initiatives, la Fondation Tony Elumelu a sorti 2 millions d'Africains de la pauvreté. En plus de ses programmes autofinancés, TEF travaille avec des partenaires internationaux tels que l'UE, le PNUD, le CICR et la Fondation Ikea. Le partenariat avec la Fondation Khalifa Bin Zayed Al Nahyan est le premier avec une philanthropie basée dans le Golfe et représente un nouvel exemple des liens forts, d'investissement, diplomatiques et culturels entre le CCG et l'Afrique.
La Fondation Tony Elumelu accepte actuellement les candidatures de jeunes entrepreneurs de toute l'Afrique ayant des idées commerciales innovantes ou d'entreprises existantes datant de moins de cinq ans sur TEFConnect. Les entrepreneurs africains sont encouragés à postuler à des initiatives pour recevoir de la formation, du mentorat, l'accès à des réseaux et du financement. La date limite pour postuler est le 1er mars 2025.
Visitez la page d'impact du TEF et les histoires de réussite africaines pour en savoir plus sur l'impact de la Fondation Tony Elumelu à travers le continent, ainsi que sur les initiatives menées par les anciens bénéficiaires du programme d'entrepreneuriat du TEF.
Le Bénin et le Royaume d'Arabie Saoudite ont signé un mémorandum d'entente, ce12 février 2025, à Djeddah . Ce partenariat a pour objectif de promouvoir la coopération culturelle entre les deux pays. Il couvre des domaines variés : patrimoine, musées, cinéma, mode, musique, arts culinaires, arts visuels, et bien d'autres.
Le Bénin voit la culture comme un moteur de développement. Depuis plusieurs années, il développe des partenariats avec des institutions internationales, notamment l'UNESCO. Le pays a renforcé ses liens avec l'Organisation de la Coopération Islamique (OCI) et l'ICESCO. Dans cette dynamique, il participe activement au Comité du patrimoine du monde islamique. Un projet ambitieux, en collaboration avec cette organisation, vise à mettre en valeur la grande mosquée de Porto-Novo. C'est dans ce cadre que le Bénin et le royaume d'Arabie Saoudite ont signé, le 12 février 2024, un Mémorandum d'entente, en marge des travaux de la 13ème Conférence des Ministres de la Culture du Monde Islamique qui se déroule à Djeddah en Arabie Saoudite.
Jean-Michel Abimbola, ministre béninois de la Culture, a souligné l'importance des cultures arabes dans la construction de ponts interculturels. Il a présenté le projet de Centre culturel arabe à Cotonou comme un moyen d'enrichir les échanges culturels avec le monde arabe. Ce projet, soutenu par le Président Patrice Talon, vise à rendre ces échanges plus dynamiques et plus fructueux pour les populations africaines.
Grâce à son implication dans l'ICESCO, le Bénin aspire à devenir un véritable carrefour culturel mondial. Le pays met en œuvre des réformes ambitieuses pour renforcer sa coopération culturelle. Les autorités béninoises investissent massivement dans la valorisation de leur patrimoine et dans le développement des industries créatives.
Le Haut-Commissariat à la Prévention de la Corruption (HCPC) salue les avancées significatives réalisées par le Bénin dans le classement selon l'Indice de perception de la corruption (IPC) 2024 publié par Transparency International.
Le Bénin occupe le 69è rang sur 180 pays et la 7è place au niveau africain avec un score de 45/100 sur l'Indice de Perception de la Corruption (IPC) 2024 publié par l'Organisation internationale non gouvernementale Transparency International. Pour le Haut-Commissariat à la Prévention de la Corruption (HCPC), cette « position témoigne des efforts constants et soutenus en matière de transparence et de bonne gouvernance ».
Tout en saluant les « avancées significatives réalisées par le Bénin », le HCPC rend hommage au Chef de l'Etat Patrice Talon dont le « leadership visionnaire et la volonté politique ferme ont été déterminants dans les progrès accomplis ».
C'est sous l'impulsion du président de la République que des « réformes audacieuses ont été mises en place pour renforcer le cadre juridique dans une lutte sans merci contre l'impunité, promouvoir la transparence dans les procédures administratives et garantir la responsabilité des acteurs publics et privés ».
Le Haut-Commissaire, Jacques Acheffon MIGAN, a réaffirmé la détermination de l'institution qu'il dirige à poursuivre les efforts pour prévenir et réprimer tout acte de corruption.
L'INTÉGRALITÉ DU COMMUNIQUE PUBLIE CE 12 FÉVRIER PAR LE HCPC
Le gouvernement béninois a lancé, le 12 février 2025 au Novotel Hôtel à Cotonou, les activités du Projet de Développement des Infrastructures Agricoles et de Désenclavement de la Basse et Moyenne Vallée de l'Ouémé (PDIAD-BMVO).
Contribuer à l'amélioration de la sécurité alimentaire des populations cibles de la Vallée de l'Ouémé par l'aménagement des périmètres irrigués, la création de voies d'accès et la construction d'infrastructures socio-économiques ; procéder à la construction de sept (07) Poste d'Eau Autonome (PEA), à l'acquisition d'équipements pré et post-récolte, à la création de 2 500 nouveaux emplois dans l'agriculture et les industries non agricoles. Tels sont les objectifs du Projet de Développement des Infrastructures Agricoles et de Désenclavement de la Basse et Moyenne Vallée de l'Ouémé (PDIAD-BMVO).
Ce projet du gouvernement béninois d'un coût global 144,8 millions d'Euros équivalant à environ 95,044 milliards de F.CFA est financé par la Banque Islamique de Développement (à hauteur de 100,6 millions d'Euros soit 65,99 milliards de F.CFA) et la Banque Ouest Africaine de Développement ( 42,7 millions d'Euros soit 28 milliards de F.CFA) et le budget national à hauteur de 1,5 millions d'Euros soit 983 millions de F.CFA.
PDIAD-BMVO couvre les Communes d'Adjohoun, de Dangbo et des Aguégués du département de l'Ouémé. Il impactera 7.000 ménages, soit 45.000 bénéficiaires et direct et 10.000 bénéficiaires indirects dans 18 villages seront touchés. Le projet promeut les filières riz, maïs, poisson et maraichage.
Le projet prévoit l'aménagement de 2.155 hectares de terrain avec maîtrise d'eau ; la construction de 120 Km de pistes rurales ; la construction de quatre ouvrages de franchissement, notamment, des ponts de divers gabarits pour relier la rive gauche à la rive droite du fleuve Ouémé en plusieurs points ; la construction de 14 entrepôts ; 28 aires de séchage et 14 hangars de marché.
L'eau potable autrefois considérée comme un luxe dans le département des Collines coule déjà dans plusieurs localités ; et d'ici deux ans, les localités non encore desservies pourront avoir accès au liquide précieux nécessaire pour plusieurs besoins vitaux. Le porte-parole du gouvernement a rassuré les populations de Savè lors d'une séance d'échanges à la mairie.
La commune de Savè sera bientôt une source d'approvisionnement en eau potable pour une bonne partie du Bénin. Le gouvernement entend déployer un vaste programme d'approvisionnement en eau potable. L'annonce a été faite par le porte-parole du gouvernement lors d'une séance d'échanges à la mairie. Selon les projections faites par Wilfried L. Houngbédji, d'ici 2 ans, cette commune du département des Collines pourra conjuguer définitivement au passé, les mauvais souvenirs d'approvisionnement en eau qui autrefois, obligeaient les femmes à chercher l'eau du marigot pour divers besoins. « […] A partir de maintenant et d'ici à 2 ans, il n'y aura plus un seul enfant de Savè qui va naître et maman va dire qu'il faut chercher l'eau à la rivière pour boire, il va avoir l'eau dans son robinet. Ça c'est quelque chose de fondamental », a-t-il rassuré.
« C'est pareil pour Savè Oké Owo et on veut plus. Mais comme nous sommes des gens honnêtes, on commence par reconnaître ce qui est fait, qui est très important et qui n'avait pas été fait avant, et qui, si on avait continué à faire la politique comme on la faisait jusqu'en 2016, aujourd'hui on serait encore en train de parler de promesse avec Savè-Kétou, Savè-Oké-Owo. On n'aurait pas l'eau potable. Parce qu'il y a des gens qui ont dit que ce n'est pas possible d'avoir de l'eau potable dans les Collines », a laissé entendre le porte-parole du gouvernement.
Sous la gouvernance du chef de l'Etat Patrice Talon, des efforts importants ont été faits dans le cadre du Programme ‘'Accès à l'eau potable pour tous'', pour satisfaire les besoins en eau dans plusieurs localités, et dans les Collines en particulier.
Selon le ministre de l'énergie et de l'eau, un avenant est fait pour la réhabilitation d'autres infrastructures pour porter à 12, voire 14 millions d'ici les 20 et 30 prochaines années, la quantité actuelle qui est de 2 millions de mètres cube de production d'eau dans les Collines.
F. A. A.