You are here

Feed aggregator

Pétrole: Les sanctions des États-Unis à l’encontre de l’Iran dopent les cours

Algérie 360 - Mon, 08/27/2018 - 16:41

Les cours du pétrole continuent leur hausse. Les sanctions décrétées par les Etats-Unis à l’encontre de l’Iran inquiètent les investisseurs qui craignent une baisse de l’offre sur le moyen terme. Hier à Londres, le baril du Brent de la mer du nord pour livraison en octobre a gagné 31 cents par rapport à la clôture de vendredi pour terminer à 76,13 dollars, poursuivant sa hausse entamée il y a une semaine, soit une hausse de près de 6% en semaine. Idem pour le baril de «light sweet crude» qui, pour la même échéance, a enregistré une variation de 89 cents à 68,72 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
Les raisons de cette hausse des prix de l’or noir, selon les analystes, restent les inquiétudes des investisseurs dans le contexte géopolitique ambiant. Baker Hugues avance que cela est dû à «la baisse du nombre de puits de forage en activité aux Etats-Unis (-9 unités à 860 puits)», ce qui est annonciateur d’une moindre production à venir. «Le pétrole a reçu un coup de fouet du marché des changes avec la baisse du dollar», a relativisé Stephen Brennock, analyste chez PVM. Mais, la plupart des analystes pensent que ce sont les sanctions iraniennes qui devraient perturber le marché. Les investisseurs craignent justement une baisse de l’offre mondiale à moyen terme. «Les cours sont soutenus en grande partie par une offre qui reste limitée et le probable repli à moyen terme des exportations iraniennes», ont estimé les analystes de Schneider Electric. «L’Iran est le troisième plus grand producteur de l’Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole), et sa production pourrait reculer d’entre 1 million et 2,5 millions de barils par jour», a renchéri Artjom Hatsaturjants, analyste chez Accendo Markets.
L. H.

The post Pétrole: Les sanctions des États-Unis à l’encontre de l’Iran dopent les cours appeared first on .

Categories: Afrique

The Brief – Horrendous hindsight

Euractiv.com - Mon, 08/27/2018 - 16:39
Anyone hoping that a summer break and some time at the beach would cure the UK of its virulent bout of Brexit madness is in for a disappointment. The illness continues to resist all forms of treatment, only the clock is now ticking in earnest.
Categories: European Union

Romania Summons US Ambassador For Criticising Giuliani

Balkaninsight.com - Mon, 08/27/2018 - 16:36
Romania has recalled its ambassador to Washington after he took former New York Mayor Rudolph Giuliani to task for his letter criticising the country’s anti-corruption drive as excessive.  
Categories: Balkan News

Mauritanie. Enrôlement: Aziz promet un assouplissement des conditions d'accès à l'état civil

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 08/27/2018 - 16:33
Le360 - Le président mauritanien a engagé l’administration en vue d’un assouplissement des conditions d’accès aux documents d’état...
Categories: Afrique

Rentrée scolaire : après les dépenses de l’Aïd, les parents y vont à nouveau de leurs poches

Algérie 360 - Mon, 08/27/2018 - 16:30

A quelques jours de la rentrée scolaire 2018/2019, la chaine 3 de la Radio Algérienne a porté, lundi, son intérêt sur l’achat par leurs proches, des fournitures destinées aux écoliers.

Le journaliste traitant de ce sujet signale que les grandes surfaces, en particulier, sont prises d’assaut par des parents soucieux d’anticiper l’acquisition des fournitures dont ont besoin leurs enfants durant leur scolarité.

« Alors que le jour de la rentrée approche, déclare un chef de famille, j’en profite pour acheter les effets destinés à mes enfants, maintenant, afin de  m’éviter les habituelles bousculades ».

Un autre parent explique quant à lui qu’il s’est déplacé dans le but de prendre connaissance du niveau des prix des tabliers et des cartables, « en attendant la liste qui sera remise à nos enfants lorsqu’ils auront rejoint l’école.

Un commerçant d’articles d’écoliers assure que lorsque les parents viennent chez lui, ils sont toujours sûrs de trouver des « prix raisonnables », ce à quoi l’un des acheteurs rétorque que si les prix sont « raisonnables » rien n’indique qu’ils ne connaitront pas de flambée dans les jours à venir.

Une dame note, pour sa part, que la notion de « prix abordables » est tout à fait relative, ajoutant que « si moi je considère que tel article est abordable, d’autres personnes estimeront de leur coté qu’il est « cher ou très cher ».

L’auteur du reportage remarque que lorsqu’il s’agit de faire l’acquisition l’un article, les parents et les enfants « ne sont pas toujours d’accord », ces derniers ayant tendance à choisir ceux imprimés de personnages de bandes dessinées alors que les seconds accordent leur préférence aux produits neutres, pensant ainsi « minimiser les dépenses ».

The post Rentrée scolaire : après les dépenses de l’Aïd, les parents y vont à nouveau de leurs poches appeared first on .

Categories: Afrique

Rentner verlor in Linkskurve die Kontrolle: Auto fliegt über Riggisalpbach

Blick.ch - Mon, 08/27/2018 - 16:26

SCHWARZSEE FR - Ein Rentner (74) verlor in Schwarzsee FR die Kontrolle über seinen Wagen und baute einen Unfall. Dabei wurde der 74-Jährige schwer verletzt.

Sonntag, kurz nach 13.30 Uhr, in Schwarzsee: Ein Rentner (74) ist von der Riggisalp Richtung Brüggera unterwegs. In einer Linkskurve verliert der 74-Jährige die Kontrolle über den Wagen, kracht in ein Holzgeländer und brettert auf den Riggisalpbach zu. Dort schlägt er auf und fliegt über den Riggisalpbach, um schliesslich auf der anderen
Seite, auf dem Dach, zum Stillstand zu kommen.

Rega brachte den Mann ins Spital

Der Rentner wird bei dem Unfall schwer verletzt. Mit der Rega musste er ins Spital geflogen werden. Er schwebt nicht in Lebensgefahr, wie die Kantonspolizei in der Mitteilung schreibt.

Die Feuerwehr konnte das Auslaufen von Benzin unterbinden und so eine Verschmutzung von Fauna und Flora verhindern. Das Fahrzeug wurde durch einen Abschleppdienst geborgen. (jmh)

Categories: Swiss News

Il finit sa course dans une rivière au lac Noir

24heures.ch - Mon, 08/27/2018 - 16:26
Un homme de 74 ans a été grièvement blessé après avoir perdu la maîtrise de sa voiture. Son véhicule s'est renversé dans le lit d'un cours d'eau.
Categories: Swiss News

Wie Erdogans Regierung Rache an eigenen Offizieren nahm

EuroNews (DE) - Mon, 08/27/2018 - 16:24
Ehemaliger türkischer NATO-Offizier erzählt, wie ihm eine Falle gestellt wurde, die ihn 16 Monate ins Gefängnis brachte. Heute geniesst er Asyl in Belgien.
Categories: Europäische Union

Handi-Basket / Mondial-2018 (Dames): Les Pays-Bas nouveaux champions du monde

Algérie 360 - Mon, 08/27/2018 - 16:11

La sélection néerlandaise (dames) de handi-basket a remporté le titre mondial en battant l’Angleterre 56-40 (mi-temps: 31-20), samedi soir en finale du Championnat du monde à Hambourg (Allemagne). Dans une finale très intense, les Pays-Bas ont eu des difficultés à contourner l’équipe britannique qui a atteint la finale, à la grande surprise des observateurs. En effet, tout le monde attendait des sélections comme l’Allemagne (vice-championne paralympique), les Etats-Unis (champions paralympiques) ou même la Chine. Face aux Pays-Bas, les Britanniques ont été prises de vitesse dès le premier quart-temps. La médaille de bronze du Mondial féminin est revenue aux hôtes allemandes, difficiles vainqueurs de la Chine (44-43) dans un match très serré. Les Chinoises détenaient la plus grande avance du match avec un avantage de six points juste avant la mi-temps (28-23). Soutenue par sa galerie, la sélection allemande, rajeunie, est revenue en seconde période avec l’intention de monter sur le podium. L’équipe a réussi à revenir au score durant les deux derniers quarts, remportés 13-9 et 8-6, ce qui lui a permis de monter sur la 3e marche du podium. A la fin du match, l’entraîneur en chef de la sélection allemande, Martin Otto, était tout content : «J’ai toujours cru que nous pouvions gagner le match.
Pendant la pause, j’ai discuté avec mes joueuses et j’ai apporté les changements qu’il fallait. Le match était plus difficile que celui qu’on a joué en phase de poules (et gagné 58-42), car l’enjeu était cette fois-ci la médaille de bronze.»

The post Handi-Basket / Mondial-2018 (Dames): Les Pays-Bas nouveaux champions du monde appeared first on .

Categories: Afrique

Basket-Ball / Afrobasket U18 garçons, Bamako-2018: Forfait confirmé de la Côte d’Ivoire

Algérie 360 - Mon, 08/27/2018 - 16:11

Comme en 2016 de l’Afrobasket U18 où la sélection nationale ivoirienne féminine juniors avait déclaré forfait, c’est au tour des juniors garçons de la Côte d’Ivoire de faire l’impasse, à la dernière minute, du Championnat d’Afrique des nations de la catégorie (Afrobasket U18) qui se déroule actuellement (24 août au 2 septembre) à Bamako, Mali.
La Fédération ivoirienne de basket-ball (FIBB) n’a confirmé le forfait de sa sélection qu’à quelques minutes du match Algérie – Côte d’Ivoire. Et pour cause, la sélection ivoirienne juniors, qui devait affronter samedi soir l’Algérie, ne s’est pas présentée au Palais des Sports Salamatu-Maiga de Bamako où devait se dérouler la rencontre de la 2e journée entre la Côte d’Ivoire et l’Algérie.
«La Fédération ivoirienne de basket-ball a le regret de vous annoncer l’annulation de la participation de l’équipe nationale masculine des U18 aux phases finales de l’Afrobasket U18 qui se tiennent actuellement à Bamako au Mali. Cette décision découle d’une suite de contraintes majeures.
La FIBB s’excuse auprès de tous pour les désagréments causés, particulièrement les athlètes et le staff», a écrit la FIBB sur sa page Facebook. La Fiba Afrique devrait, par ailleurs, prendre des mesures qui s’imposent. Ainsi, toutes les rencontres que devait livrer la Côte d’Ivoire, versée dans le groupe B, sont donc annulées.
Ce qui diminue les chances de la sélection algérienne de se qualifier pour le second tour à moins de remporter ses dernières rencontres. Pour rappel, les quatre meilleures équipes de chaque groupe se qualifieront pour les quarts de finale.
Dès lors, le tournoi se jouera avec des matchs à élimination directe.

Sénégal-Algérie 70-50
Seconde défaite des Verts 

La sélection nationale de basketball junior a subi sa seconde défaite en s’inclinant devant le Sénégal (70-50) en match comptant pour la 3e journée de la phase finale du championnat d’Afrique des nations junior (Afrobasket U18) qui se déroule à Bamako. Une défaite qui compromet les chances de qualification pour les quarts de finale.
Ahmed A.

The post Basket-Ball / Afrobasket U18 garçons, Bamako-2018: Forfait confirmé de la Côte d’Ivoire appeared first on .

Categories: Afrique

Monterey Car Week 2018: Neue Supersportler zur Oldie-Woche: Renner statt Retro

Blick.ch - Mon, 08/27/2018 - 16:08

Statt zur Oldie-Woche wird die Monterey Car Week in Kalifornien zunehmend zur Supersport- und Studien-Bühne. Im Blickpunkt diesmal: Der neue Bugatti Divo.

Von wegen Oldtimer-Woche: Längst verwandelt sich die «Monterey Car Week» in Kalifornien (USA) – zu der nicht nur, aber auch der legendäre Klassik-Concours-d'Elegance in Pebble Beach zählt – zur Show der Neuwagen und Studien. Während die Autohersteller klassischen Shows wie dem Genfer Salon zunehmend den Rücken kehren, widmen sie sich exklusiven Events wie in Kalifornien etwa «The Quail»: Hier nippen die Schönen und Reichen am Champagnerglas und schreiten über den Golfrasen, während an Ständen Yachten und Privatjets feilgeboten werden wie anderswo Bratwürste. Oldies gibts zuhauf, aber die interessieren diese Klientel offenbar kaum.

Überraschung: Bugatti Divo

Sogar CNN hat eine Crew geschickt, deren Kamera sich wie das ganze Interesse hier nicht auf Oldies, sondern Newbies richtet. Vor allem auf einen davon: Der Bugatti Divo gesellt sich als unerwartete Serienauto-Premiere zum Bruder Chiron. Zwar gebietet die Elektronik dem Divo statt bei 420 «schon» bei 380 km/h Einhalt, aber dafür müssen die 1500 PS des Achtliter-W16 hier 35 Kilo weniger bewegen und werden von 90 Kilo mehr Abtrieb und um 1,6 g höherer möglicher Querbeschleunigung unterstützt.

«Der Divo ist wie gemacht für Kurven», sagt uns Bugatti-Chef Stephan Winkelmann. Und strahlt. Kein Wunder bei diesem Preis: Der Divo kostet irre 6,8 Millionen Franken. Man darf schockiert sein, wie viele Menschen sich das leisten können: Alle 40 Divo-Exemplare sind bereits verkauft.

Lambo legt Mega-Aventador nach

Beinahe harmlos und günstig wirkt dagegen der Konter von VW-Konzernschwester Lamborghini. Der alternde Aventador gibt als SVJ nochmals richtig Gas und donnert mit 770 PS in 2,8 Sekunden auf Tempo 100. Spitze? Über 350 km/h! Die Nürburgring-Nordschleife? In 6:44,97 Minuten! 900 Stück werden gebaut. Wem das noch nicht exklusiv genug ist, der greift zu einem von 63 Aventador SVJ 63 (Wieso 63? 1963 war das Lamborghini-Gründungsjahr).

Audi zeigt die E-Tron-Zukunft ...

Dafür gibts dann beim SVJ-63-Italiener mehr Karbon. Bei den Deutschen gibts dagegen mehr Strom. Audi zeigt die x-te Elektrostudie, den mit futuristischer Feststoff-Batterie versehenen PB18 E-Tron. Der wird so nie in Serie gehen, aber Details wie der Antriebsstrang mit drei E-Motoren (vorne einer mit 150 kW/204 PS, hinten zwei mit 450 kW/612 PS) und beim Boosten gesamthaft bis zu 570 kW/775 PS und das Design könnten Vorboten der Zukunft sein.

... und Mercedes EQ-Visionen

Eher noch eine reine Fingerübung der Designer glänzt bei Mercedes. Der EQ Silver Arrow ist stolze 5,30 Meter lang und erinnert als silberne Zigarre an die Rennsport-Silberpfeile, die in den 1930er-Jahren von Sieg zu Sieg eilten. Mit 550 kW/750 Elektro-PS und Designdetails von einst deutet er an, wohin die Mercedes-Strommarke EQ eines Tages will. Die Studie rollt 400 Kilometer weit ohne Ladestopp und auf 25-Zoll-Rädern mit je 160 roségoldenen Speichen.

BMW zeigt Realität, Infiniti die Zukunft

Derweil in Kalifornien BMW erstmals den serienmässigen Z4 zeigt, blickt Nissan-Tochter Infiniti ebenfalls in die Zukunft: Der Prototype 10 betont, dass es ab 2021 in neuen Infinitis ein elektrifizierter Antriebsstrang gibt – und nimmt stilistisch Retro-Bezug auf eine Historie, welche diese erst 1989 lancierte Marke ja eigentlich noch gar nicht hat ... .

Categories: Swiss News

Dammschnitt: Häufig eine Qual – und nicht mal nötig

Blick.ch - Mon, 08/27/2018 - 16:06

Fast keine Schwangere möchte einen Dammschnitt. Jede Fünfte bekommt ihn im Spital trotzdem – und die Pein hinterher.

Veronika Peters* erinnert sich an diesen Moment, als der Chefarzt in den Gebärsaal trat und vor ihrem Unterleib auf und ab ging, während sie schweissgebadet und unter Schreien ihr Kind aus dem Geburtskanal zu schieben versuchte. Nach ein paar Minuten befand er: «Sie arbeiten da nicht richtig mit. Machen wir mal lieber einen Dammschnitt.» Eine Hebamme schaute fragend. Die Herztöne des Kindes waren normal, dennoch klapperte auch schon die Schere.

An den Schnitt erinnert sich Peters später kaum. Wohl aber an die Zeit danach. Sie kann sich nicht normal auf einen Stuhl setzen, ohne dass der vernähte Damm unglaublich schmerzt. Beim Wasserlassen brennt die Wunde. Der Stuhlgang ist eine solche Qual, dass sie ihn verwünscht. Zwei, drei Wochen geht das so. Dann wird es langsam besser. Aber der erste Sex nach neun Wochen ist ein Alptraum. Ihr Scheideneingang ist wie zugeschnürt, fast so eng wie beim ersten Mal, aber noch dazu brennend wund. Ihr vergeht die Lust. Es dauert Monate, bis die Pein nachlässt.

Nur weil Peters kurz darauf ihr zweites Kind ohne Dammschnitt entbindet, weiss sie, dass es ganz anders sein kann. Danach ist ihr Vaginaleingang gedehnt von den 34 Zentimetern Kopfumfang ihres Kindes, aber nichts tut dermassen weh. Ganz langsam über Monate kräftigt sich ihr Beckenboden und strafft sich das Gewebe.

Populär gemacht hat den Dammschnitt, in der Fachsprache Episiotomie genannt, in den zwanziger Jahren des vorigen Jahrhunderts ein einflussreicher Geburtsmediziner aus den USA. Joseph DeLee verglich die Geburt mit einem Sturz auf eine Heugabel. Der Unterleib werde so sehr in Mitleidenschaft gezogen, dass hinterher nichts mehr ist wie zuvor. Mit dem Dammschnitt wollte er den Unfall abwenden: Das Kindchen sollte schneller zur Welt kommen. Die Muskulatur im Beckenboden sollte weniger Risse davontragen, die Organe infolge des intensiven Pressens nicht so leicht nach unten rutschen. So stellte sich der Mediziner das vor.

Seither wird in vielen Ländern bei der Austreibung der schnelle Schnitt praktiziert. Der Scheideneingang wird seitlich oder diagonal in Richtung des Anus mit einer Schere aufgeschnitten, damit der durchschnittlich 35 Zentimeter umfassende Kopf des Kindes leichter und schneller hindurchtreten kann. Noch in den 1980er-Jahren erhielten fast 90 Prozent aller Frauen in der Schweiz bei einer Spontangeburt einen Dammschnitt. Heute sind es viel weniger. Denn gerechtfertigt ist der Eingriff gemäss Leitlinien nur, wenn etwa die Herztöne des Kindes abfallen, es also einen handfesten medizinischen Grund gibt, um das Kind rasch auf die Welt zu holen. Aber der Fall von Peters lässt erahnen, dass die Indikation oft auf dürrer Grundlage gestellt wird. Bei einer Befragung des deutschen Vereins Greenbirth gab mehr als die Hälfte von 21 Frauen an, dass ihnen die Gründe für den Dammschnitt nicht genannt und sie nicht einmal gefragt wurden.

Ein Eingriff, der meist keinen Nutzen bringt

Das Bundesamt für Gesundheit erfasste 2016 knapp 11’000 Dammschnitte. Allerdings sind die Daten nicht vollständig, da es keine Meldepflicht für die Spitäler gibt. Laut der Klinikberichte liegen die Raten häufig in der Grössenordnung von 20 Prozent: Triemlispital Zürich: 18 Prozent, Inselspital in Bern: 22 Prozent, Daler-Spital in Freiburg: 26 Prozent. Das ist viel – die Weltgesundheitsorganisation WHO hält allenfalls eine Rate von zehn Prozent für medizinisch begründet. Im Nachbarland Deutschland hat man die Quote bereits auf durchschnittlich zwölf Prozent abgesenkt. Aber hier wie dort gehört der Dammschnitt immer noch zu den fünfzig häufigsten Operationen. Und es ist der häufigste Eingriff bei der natürlichen Geburt. Das erstaunt, denn die Frauen lehnen den schnellen Schnitt mehrheitlich ab, berichtet Andrea Weber-Käser, Geschäftsführerin des Schweizer Hebammenverbands.

Erdrückend sind die Studien zu dessen Sinnlosigkeit. Schon vor Jahren hielt die Weltgesundheitsorganisation fest, dass der Eingriff routinemässig durchgeführt keinen Nutzen habe. Der Beckenboden der Frauen ist nicht unversehrter, die verbreiteten Probleme nach der Geburt nicht seltener, nämlich, dass die Mütter Stuhl und Wasser nicht mehr so gut halten können. Im Fachjournal JAMA stand es schon 2005 ganz prägnant: «Die Studien zeigen durchgängig keinen Nutzen des Dammschnittes zum Schutz vor Inkontinenz und für den Beckenboden.» Und dann erkannten die Experten auch noch, dass ein gerissener Damm oft besser und schneller heilt als ein geschnittener. Deshalb lassen viele Hebammen und Geburtsmediziner das Gewebe inzwischen reissen. Der Dammschnitt ist rückläufig, aber nichtsdestotrotz immer noch beliebt.

Das Problem mit der Naht

Fragt man nach dem Wohlbefinden der Frauen, dann ist er sogar eine miese Sache. Zwar haben nicht alle Frauen anhaltende Beschwerden. Doch in einer Studie von 2016 gaben von 648 Frauen mit Dammschnitt 16 Prozent an, unter beachtlichen Schmerzen beim Geschlechtsverkehr nach der Geburt gelitten zu haben. Frauen, die natürlich und ohne Dammschnitt oder Dammriss entbunden haben, sind früher wieder sexuell aktiv – nach durchschnittlich viereinhalb Wochen. Mit Dammschnitt sind es siebeneinhalb. Das künstliche Öffnen des Scheideneingangs verursacht vor allem in den drei Monaten nach der Entbindung Schmerzen, belegt eine französische Erhebung. Ein Trost: Ganz allmählich kehren Lust und sexuelle Zufriedenheit in der Regel wieder zurück.

Das Problem ist nicht der Schnitt, sondern die Naht und die Narbe. Die Leiterin des Beckenbodenzentrums an der Universitätsfrauenklinik in Tübingen, Christl Reisenauer sagt: «Wichtig ist, dass das Gewebe anatomisch sauber wieder genäht wird. Man kann schön nähen und weniger schön. Das macht den Unterschied.»

Doch manchmal nähen Ärzte den Dammschnitt offenbar schlampig zusammen. Zum Leidwesen der Frauen. Darauf lassen zahllose Fallgeschichten in Internetforen schliessen: Eine Frau beschreibt etwa, dass sie über Wochen Schmerzen hatte und nicht mehr mit ihrem Partner schlafen konnte. Ihre Frauenärztin sei geschockt gewesen, als sie die Narbe sah, weil «alle Hautschichten quer durcheinander zusammengeflickt» gewesen seien. Die Ärztin trennte das Gewebe wieder auf und nähte es erneut. Nach vier Tagen habe sie keine Schmerzen mehr gehabt, schreibt die Betroffene.

Auch die Intimchirurgin Luise Berger aus München hat immer wieder Patientinnen, deren Dammschnitt so genäht wurde, dass an der Kante zum Damm nach hinten eine Narbe entstanden ist. «Dann haben die Frauen auf Monate, wenn nicht Jahre Schmerzen beim Geschlechtsverkehr», warnt sie.

Was hilft: Betreuung und richtige Kommunikation

Im Licht der Studien und Probleme muss man fragen: Wieso wird der Dammschnitt immer noch häufiger durchgeführt, als er eigentlich medizinisch nötig wäre? Denn Dammschnitte lassen sich häufig vermeiden, vor allem, indem die Gebärende richtig angeleitet wird, sodass sie ihr Kind mit aller mentalen und körperlichen Kraft gebären kann. Wie bei der zweiten Geburt von Veronika Peters. Da sagte ihr eine der Hebammen, sie solle bei der Austreibung wie auf der Toilette pressen. «Aber mein Baby soll weiter vorne heraus», vergewisserte sich Peters erstaunt. «Es sind dieselben Muskeln», erklärte die Hebamme. So klappte es dieses Mal ganz ohne Schnitt.

Zwei Metaanalysen von 2017 und 2016 von mehr als einem Dutzend Studien belegen den Zusammenhang: Wenn Gebärende durchgängig von einer Geburtshelferin oder einem Geburtshelfer betreut werden, braucht es deutlich weniger Dammschnitte – übrigens auch weniger Schmerzmittel und andere operative Eingriffe.

Alltag in den Spitälern ist aber eine dünne Personaldecke. Die mangelnde Zeit des Personals in Schweizer Spitälern ist für Hebammenverbandsfrau Andrea Weber-Käser denn auch der wichtigste Grund, weshalb dort die Dammschnittrate viel höher ist als in hebammengeleiteten Geburtshäusern und Gebärsälen. «Mit einer Eins-zu-eins-Betreuung kann man die Gebärende am ehesten so anleiten und versorgen, dass sie gar keinen Schnitt braucht.» In einem der grössten Geburtshäuser der Schweiz, dem Delphys in Zürich, benötigte 2015 nur ein Prozent der Frauen einen Dammschnitt.

Die Geburtshelferinnen wissen, wie sich ein Dammschnitt vermeiden lässt. Dazu gehört das Erwärmen des Damms mit nassen warmen Tüchern. «Ich vergleiche die Geburt gerne mit einer Bergwanderung», sagt die leitende Hebamme Elfriede Lochstampfer vom Klinikum Stuttgart. Wir sind die Bergführerinnen, die die Frau hinaufbegleiten. Der Arzt ist die Bergwacht, der einschreitet, wenn etwas nicht wie vorgesehen läuft.» Diese unterschiedlichen Rollen bedingen auch eine andere Perspektive. Ärzte haben die Risiken einer Geburt vor Augen. Deshalb greifen sie tendenziell schneller zur Operationsschere.

Ist der Dammschnitt nun also ein Fluch der Frauen? Zumeist. Aber nichts gilt immer: Ein behutsamer Schnitt und eine saubere Naht tun weniger und kürzer weh. Und fraglos verkürzt der Dammschnitt die Endphase der Geburt und kann so ein schwaches Kind, dessen Herztöne nachlassen, vor einer Schädigung bewahren. Dafür nimmt wohl jede Frau monatelange Schmerzen in Kauf. Aber eben nur dann.

* Name geändert

Mehr Wissen auf higgs – das Magazin für alle, die es wissen wollen.

 

Categories: Swiss News

Bouira: Des villageois de Guerrouma ferment la route

Algérie 360 - Mon, 08/27/2018 - 16:05

Plusieurs dizaines de citoyens des villages de Zrarqa et Cheqouf, relevant de la commune de Guerrouma, à 70 kilomètres au nord-ouest de Bouira, ont procédé hier à la fermeture du CW17 reliant leur commune à la RN5, du côté de Lakhdaria, afin d’attirer l’attention des pouvoirs publics sur leur situation.
Dans une requête portant des dizaines de signatures et adressée au P/APW, les villageois demandent en toute urgence l’intervention des pouvoirs publics afin de sortir leur localité de l’état de sous-développement, en citant en priorité, la réfection de la route menant vers leurs deux villages, ainsi que le raccordement à l’eau potable. Dans cette requête, les villageois rappellent que dans leur commune, ces deux villages restent les derniers à n’avoir pas bénéficié du bitumage de leur route, le CW93 qui passe sur ces deux villages du côté de Makhchen, en rappelant les souffrances qu’ils endurent pour rallier le chef-lieu de la commune, surtout en temps de pluie, où cette route enregistre des dizaines de nids-de-poule, et devient impraticable à cause de la boue, alors qu’en été, c’est la poussière qui s’y dégage au passage des véhicules et qui devient insupportable pour les passants. Outre ce problème de route, les villageois demandent également le raccordement de ces deux villages au réseau d’AEP ; surtout que dans la région, et depuis que le barrage Koudiate Acerdoune a été mis en service, toutes les communes de la daïra de Lakhdaria ont été raccordées et bénéficient d’une eau du robinet H24. Hier matin, et après plusieurs heures de fermeture de cette route, le chef de daïra de Lakhdaria s’est déplacé sur les lieux et après avoir entendu les doléances des protestataires et promis de les transmettre au wali pour leur prise en charge, la route a été libérée et la circulation a repris sur ce chemin de wilaya qui relie la commune à la RN5, du côté est mais également à la RN8 du côté ouest et le CW92, aux frontières avec la wilaya de Médéa, dans la région de Tablat.
Y. Y.

The post Bouira: Des villageois de Guerrouma ferment la route appeared first on .

Categories: Afrique

Aïn-Sefra: Conférence-débat sur Frantz Fanon

Algérie 360 - Mon, 08/27/2018 - 16:04

L’annexe de la maison de la culture Beghdadi-Belkacem a abrité dernièrement, à l’occasion du double anniversaire (l’offensive du nord-constantinois 20-08-1955 et le congrès de la soummam 20-08-1956), journée commémorative du moudjahid, une conférence-débat sur l’un des grands fils adoptifs algériens. II s’agit de Ibrahim-Omar Fanon (Frantz Fanon).
«Chaque fois qu’un homme a fait triompher la dignité de l’esprit, chaque fois qu’un homme a dit non à une tentative d’asservissement de son semblable, je me suis senti solidaire de son acte.» C’est ainsi que l’écrivain Frantz Fanon définit son engagement politique dans son livre Peau noire, masques blancs ou encore son ouvrage intitulé Les damnés de la terre.
Une rencontre organisée conjointement avec l’association culturelle «Safia-Ketou», les membres de l’APC et les moudjahidine de la région des monts des ksour et présentée par le Dr Kinzi Kaddour, de l’université de Bordeaux, enfant de Aïn-Séfra, auteur de plusieurs ouvrages, dont Fleurs d’exil. C’est ainsi qu’un long aperçu sur la vie de cet «Algérien d’adoption» a retracé la vie et la personnalité de Frantz Fanon, avec un film-documentaire à l’appui.
Frantz Fanon était un psychiatre et essayiste français de souche martiniquaise, fortement engagé dans la lutte pour l’indépendance de l’Algérie. En 1953, il devient médecin-chef à l’hôpital psychiatrique de Blida, et y introduit des méthodes modernes de sociothérapie et psychothérapie institutionnelle qu’il adapte à la culture des patients algériens.
Pour Fanon, c’est plutôt la colonisation qui entraîne une dépersonnalisation, qui fait de l’homme colonisé un être «infantilisé, opprimé, rejeté, déshumanisé, acculturé, aliéné». Notons que F. Fanon est né le 20 juillet 1925 à Fort-de-France, il a abandonné ses études secondaires au lycée Schoelcher (où il fut l’élève de Césaire), prenant les armes à l’âge de 18 ans pour aller combattre les nazis qui allaient occuper la France. Fanon est blessé dans les Vosges alors qu’il combat avec les volontaires antillais. Il découvre le racisme et la discrimination propres à la France hexagonale. Il revient en Martinique pour passer son baccalauréat avant de repartir en France où il fait ses études de médecine à Lyon. En 1952, il publie son essai fondamental Peau noire, masques blancs.
La question du racisme et de ses victimes, véritablement aliénées, y est abordée d’un point de vue psychiatrique. Cet essai fait scandale, y compris dans les milieux intellectuels parisiens dits progressistes, où Fanon découvre à quel point les préjugés sont virulents sous le vernis de la bonne conscience. En 1953, Fanon est médecin-chef à l’hôpital psychiatrique de Blida (Algérie). Un an plus tard, il prend résolument le parti du FLN pour l’indépendance de l’Algérie. En 1956, renonçant à sa carrière, il remet sa démission au gouverneur de l’Algérie, Robert Lacoste, qui l’expulse. Dès lors, Fanon, réfugié à Tunis, prend une part active au FLN, s’exposant à plusieurs attentats.
Après avoir participé en 1959 à la délégation algérienne au congrès panafricain d’Accra, il est nommé ambassadeur du gouvernement provisoire algérien au Ghana.
Atteint d’une leucémie, il se fait soigner à Moscou, puis, en octobre 1961, à Bethesda près de Washington, où il meurt le 6 décembre 1961 à l’âge de 36 ans, quelques mois avant l’indépendance algérienne, sous le nom d’Ibrahim Omar.
Dans une lettre laissée à ses amis, il demandera à être inhumé en Algérie. Son corps est transféré à Tunis, et sera transporté par une délégation du GPRA à la frontière. Son corps sera inhumé par Chadli Bendjedid, futur président algérien, dans le cimetière de Sifana près de Sidi Trad, du côté algérien. Avec lui, sont inhumés trois de ses ouvrages : Peau noire et masques blancs, La cinquième année de la révolution algérienne et les damnés de la terre. Sa dépouille sera transférée en 1965, et inhumée au cimetière des «Chouhada» (cimetière des martyrs de la guerre) près de la frontière algéro-tunisienne, dans la commune de Aïn-Kerma (El-Taref). Il laisse derrière lui son épouse, Marie-Josèphe Dublé, dite Josie (morte le 13 juillet 1989 et inhumée au cimetière d’El Kettar au centre d’Alger), et deux enfants : Olivier, né en 1955, et Mireille, qui épousera Bernard Mendès France (fils de Pierre Mendès France). En hommage à son travail en psychiatrie et à son soutien à la cause algérienne, deux hôpitaux en Algérie, l’hôpital psychiatrique de Blida où il a travaillé, et un des hôpitaux de Béjaïa, portent son nom.
B. Henine

The post Aïn-Sefra: Conférence-débat sur Frantz Fanon appeared first on .

Categories: Afrique

La 3ème session extraordinaire s'ouvre avec 57 députés

24 Heures au Bénin - Mon, 08/27/2018 - 16:02

La troisième session extraordinaire de l'Assemblée nationale sollicitée par 52 députés a été ouverte ce lundi 27 août 2018 par le président de l'Assemblée nationale, Me Adrien Houngbédji. A l'ouverture de la séance, 57 députés aussi bien de la majorité que de la minorité parlementaires étaient présents. Au cours de cette session qui va durer 15 jours, 12 points sont à l'ordre du jour et concernent des propositions et projets de lois, des ratifications et des demandes de poursuites judiciaires à l'encontre de cinq anciens ministres cités dans des affaires.
Le président a proposé de programmer l'examen du code électoral à la prochaine séance plénière pour permettre aux députés d'examiner les rapports.
La séance plénière est suspendue et sera reprise mardi matin à 10h.
F. A. A.

Categories: Afrique

Iran: Nouveau revers pour Rohani après le limogeage du ministre de l’Économie

Algérie 360 - Mon, 08/27/2018 - 16:01

Le Parlement iranien a voté hier en faveur du limogeage du ministre de l’Economie, Massoud Karbassian, un nouveau revers pour le gouvernement du président Hassan Rohani, qui fait face à une crise économique sur fond de rétablissement de sanctions américaines.
M. Karbassian est le deuxième ministre limogé depuis le début du mois sur vote du Parlement, après celui du Travail, Ali Rabiie, le 8 août.  Le gouvernement de M. Rohani essuie les critiques pour ne pas avoir saisi les opportunités liées à l’accord nucléaire de 2015 et ne pas s’être attaqué au chômage et à l’inflation.
Et depuis que les Etats-Unis se sont retirés de l’accord en mai et ont rétabli au début du mois des sanctions contre Téhéran, la capacité du président Rohani à attirer des investissements étrangers semble encore moindre.
Par peur des sanctions américaines, un grand nombre de groupes internationaux ont déjà annoncé leur retrait du pays, à l’instar des groupes français Total, Peugeot et Renault, et des allemands Siemens et Daimler.
Les opposants conservateurs au président Rohani, hostiles depuis longtemps à sa volonté de rapprochement avec les pays occidentaux et de souplesse en matière de libertés civiles, imputent en outre la crise traversée à la corruption du gouvernement.
«L’inefficacité et le manque de programme (du gouvernement) n’ont rien àvoir avec les sanctions», a argué un député conservateur avant le vote de défiance envers le ministre de l’Economie et des Finances. Selon Abbas Payizadeh, «les mauvaises décisions ont nui au peuple et conduit certains à piller les ressources publiques».  S’il peut toujours compter sur le soutien de l’important bloc réformateur au Parlement, Hassan Rohani, considéré comme politiquement modéré, voit certains de ses alliés lui échapper.
«Qu’avons-nous fait avec cette nation ? Nous l’avons rendue misérable (…). La classe moyenne s’approche de la pauvreté», a déploré Elias Hazrati, un député du camp réformateur, qui s’est désolidarisé de son gouvernement en votant en faveur du limogeage du ministre de l’Economie.   M. Karbassian a été désavoué par 137 parlementaires contre 121, et deux abstentions lors d’un vote de confiance retransmis à la radio. Cette décision avec effet immédiat laisse au président Rohani la tâche de lui désigner un successeur.
Selon M. Hazrati, le gouvernement ne s’est pas non plus préparé aux conséquences des sanctions américaines, dont la deuxième vague, contre le secteur énergétique, entrera en vigueur le 4 novembre.
«Nous n’étions pas préparés et nous ne le sommes toujours pas», a-t-il déploré.  «Le ministre de l’Economie est le seul que nous pouvions tenir pour responsable. Sinon, c’est au président que nous aurions dû retirer notre confiance», a-t-il ajouté.
Réélu l’an dernier après un premier mandat de quatre ans, le président Rohani bénéficie toujours du soutien du guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, qui a déclaré ce mois-ci que le destituer reviendrait «à jouer le jeu de l’ennemi».
Convoqué par le Parlement pour la première fois, le président Rohani doit s’exprimer mardi à propos de la crise actuelle, dont l’effondrement de la monnaie — qui a perdu près des deux tiers de sa valeur en six mois ­—, est le fait le plus marquant.
Si cette baisse s’explique en partie par l’hostilité américaine, elle est également due à la décision de la banque centrale en avril d’imposer un taux de change fixe face au dollar, qui a conduit à une explosion du marché noir. Elle est finalement revenue sur sa décision ce mois-ci.
Les acteurs économiques iraniens pointent du doigt d’autres problèmes enracinés comme la dette bancaire et le rôle opaque joué par des organisations proches de l’armée dans l’économie. M. Rohani a tenté de résoudre ces problèmes mais la plupart des Iraniens restent mécontents.
Plusieurs villes ont récemment été le théâtre de manifestations sporadiques et de grèves, protestant contre le coût de la vie et les salaires impayés, et qui ont pu dégénérer en rassemblements violents contre le système lui-même.
Des chiffres publiés samedi par la banque centrale montrent une hausse considérable du prix de certains produits de première nécessité comparé à l’année dernière.  Le prix des produits laitiers a augmenté d’un tiers, celui du poulet de 20% et des fruits frais de 71%.

The post Iran: Nouveau revers pour Rohani après le limogeage du ministre de l’Économie appeared first on .

Categories: Afrique

Après le message attribué, mercredi dernier, à Al-Baghdadi: Daesh lorgne toujours le Maghreb

Algérie 360 - Mon, 08/27/2018 - 16:00

Abou Bakr Al-Baghdadi était donné pour mort à plusieurs reprises, notamment après un raid de l’aviation russe en juin de l’année dernière sur Raqqa, l’ex-quartier général de l’Etat islamique en Syrie, mais depuis mercredi, la conviction est forte pour ne pas dire entière, qu’il est bel et bien vivant pour les spécialistes les plus avertis des questions sécuritaires.
Mercredi soir donc, le mentor de Daesh a refait son apparition à travers un enregistrement audio qui n’a, certes, pas été formellement authentifié, mais la comparaison de la voix du message d’il y a quatre jours avec les enregistrements disponibles ne laisse subsister qu’un infime doute sur l’identité de l’auteur du message long de près d’une heure.
Après presque une année de disparition, sa dernière intrusion dans l’actualité remonte à la fin septembre de l’année dernière suite à la perte de son bastion de Mossoul, Abou Bakr Al-Baghdadi a refait son apparition à l’occasion de l’Aïd el-Adha pour appeler ses ouailles à continuer à terroriser notamment l’Occident sur ses terres, et les groupes qui lui ont prêté allégeance dans les pays arabes, en Afrique et en Asie.
Un message en réalité peu «riche en nouvelles informations sur les intentions de Daesh, sauf que l’autoproclamé calife s’est offert un tour de l’actualité internationale de ces dernières semaines, comme pour démontrer que le message est récent.
C’est surtout un message qui intervient au moment où les velléités de cette organisation terroriste de s’implanter au Maghreb semblent ne pas vouloir s’estomper malgré les coups qui lui ont été portés particulièrement en Algérie et en Tunisie.
Une région stratégique pour Abou Bakr Al-Baghdadi qui a été secouée, aux premières heures de la matinée de jeudi dernier, par une attaque perpétrée par un groupe terroriste apparenté à Daesh contre un poste de contrôle à Zliten, à l’est de Tripoli, qui n’en a pas fini avec sa longue traque menée contre Daesh qu’il a réussi à chasser en 2016 de son bastion de la ville de Syrte, certes, mais l’organisation terroriste jouit encore d’une force de nuisance sur le territoire libyen où il mène encore des opérations terroristes meurtrières, même dans les régions de Misrata et Tripoli. Une situation qui recommande la vigilance des voisins tunisiens et algériens notamment depuis la tentative de Daesh de s’incruster sur le territoire tunisien avec l’objectif d’ériger en enclave sous son autorité la localité de Ben Guerdane, dans le sud-est près des frontières avec l’Algérie.
Des velléités maghrébines que Daesh n’a jamais cachées depuis son apparition, comme le rappelait l’année dernière l’International Crisis Group (ICG) dans un de ses rapports à travers lequel que pour l’Afrique du Nord, Daesh s’est fixé trois missions : le recrutement de combattants prêts à le rejoindre dans l’immédiat, la constitution de groupuscules avec déjà des dispositions pour des attentats contre des populations civiles, et la constitution d’une organisation militaire avec tous les attributs classiques d’une armée régulière.
C’est à ce titre que le Maghreb a constitué et Daesh fait tout pour qu’il constitue encore un terrain «fertile» pour ses groupes armés. L’ICG qui rappelait encore les circonstances de la création, en Algérie, par des dissidents d’Al-Qaïda au Maghreb, reclus dans les montagnes de Kabylie et à l’est du pays, du groupe ayant déclamé son affiliation à Daesh, Jund Al-Khilafa.
L’Algérie, soutenaient les analystes de l’ICG, où deux groupuscules, Jund Al-Khilafa et Katibat Al-Ghuraba, avec un effectif de moins de 100 individus, affiliés à Daesh tentent d’opérer sur le territoire mais sans grand résultat eu égard à l’allure donnée par l’armée algérienne à la lutte antiterroriste depuis l’attaque contre l’usine de Tiguentourine en janvier 2013 puis à l’annonce de la naissance de la première branche algérienne de Daesh en septembre 2014.
Azedine Maktour

The post Après le message attribué, mercredi dernier, à Al-Baghdadi: Daesh lorgne toujours le Maghreb appeared first on .

Categories: Afrique

Schweizer Trainer sind spitze: Favre und Fischer rocken Deutschland

Blick.ch - Mon, 08/27/2018 - 15:59

Dortmund und Union Berlin thronen von der Liga-Spitze. Doch ihre Schweizer Trainer üben sich in Bescheidenheit.

Natürlich mäkelt er. Lucien Favre wäre nicht Lucien Favre, würde er selbst nach einem 4:1 gegen RB Leipzig nicht Negatives hervorheben. «Sie waren besser als wir, vor allem in den ersten 25 Minuten. Sie waren schneller, sie waren besser in den Zweikämpfen», sagt der Romand. «Ich will nicht sagen, dass wir Glück gehabt hätten, aber es ist gut gelaufen für uns.»

Sehr gut sogar! Der BVB hat nicht nur einem Konkurrenten um die Champions-League-Plätze Punkte abgeknöpft – er ist auch der erste Leader der Saison.

Einen grossen Anteil dran hat auch Roman Bürki, der Schweizer Goalie, der bereits ins vierte Dortmunder Jahr geht – obwohl immer wieder an seiner Eignung gezweifelt wurde. Mehrfach rettet er herausragend. Leipzig-Trainer Ralf Rangnick sagt: «Überragend.» Und gar Favre ringt sich ein Lob ab – für eine Tat im Stand von 1:1 gegen Augustin. «Da hat Roman Bürki sehr, sehr gut gerettet, das war eine fantastische Parade.»

Fantastisch – ein Prädikat, das sich auch Alex Witsels Seitfallzieher zum 3:1 verdient. Zweites Spiel, zweiter Treffer für den Belgier. Schon Montag rettete er den BVB im Cup gegen Greuther Fürth in die Verlängerung. Favre: «Er bringt uns etwas Ruhe im Spielaufbau. Und er macht auch Tore. Ein Tor im Pokal und eins heute. Das war heute sehr wichtig – und sehr schön.»

Fischer furios

Der BVB thront auf Platz eins der Bundesliga – und eine Liga tiefer? Da steht ein anderer Schweizer an der Spitze: Urs Fischer mit Union Berlin. Sieben Punkte holten die «Eisernen» in den ersten drei Spielen. Furios ist gar das 4:1 gegen St. Pauli am Sonntag.

Der «Berliner Kurier» schreibt: «Köpenick schwebt auf Wolke sieben.» Wie Landsmann Favre neigt allerdings auch Fischer nicht zum Überschwang. Auch er sucht das Haar in der Suppe. «Die ersten 20 Minuten haben mir nicht so gut gefallen. Nach dem Gegentreffer hatten wir ein bisschen Glück und einen sehr guten Torwart, wäre das 3:2 gefallen, wäre das Spiel wieder offen gewesen. In dieser Phase standen wir zu tief.»

Understatement hin, Bescheidenheit her – Favre und Fischer sind exzellent gestartet. Und sie duellieren sich bald: In den Achtelfinals des DFB-Pokals kommts im Oktober zum Direktduell in Dortmund. Grossspurige Worte sind nicht zu erwarten. (mis)

Categories: Swiss News

Les capacités des femmes UN renforcées

24 Heures au Bénin - Mon, 08/27/2018 - 15:57

Les femmes cadres de l'Union fait la nation (UN) veulent désormais s'impliquer dans les différentes réformes engagées par le régime du Nouveau départ et jouer pleinement leur partition. Elles ont organisé, ce samedi 25 août 2018, une journée d'échanges et de formations sur les différentes réformes en cours dans le pays afin de mieux cerner les enjeux, les approprier et les défendre valablement au moment opportun.
Deux communications ont meublé les échanges lors de cette journée. Elles portent sur : Mécanisme d'amélioration de la représentativité des femmes dans les instances de prise de décisions ; et la réforme du système partisan, la charte des partis politiques et la proposition de loi portant code électoral.
Selon la représentante des femmes UN, Sèdami Mèdégan Fagla, cette formation apportera une compréhension poussée aux femmes. Pour elle, le défi de la représentativité des femmes dans les instances de prise de décisions est d'autant plus préoccupant pour tous qu'elles-mêmes ne doivent pas rester en retrait. Cette formation sera l'occasion, selon Sèdami Mèdégan Fagla, de voir les dispositions à prendre pour qu'en dépit de l'échec de mesures exceptionnelles en faveur des femmes, elles soient plus présentes et plus visibles dans les instances de prise de décisions du parti.
Le représentant du président de l'UN, Louis Vlavonou, a félicité les femmes pour leur initiative. Il regrette les circonstances dans lesquelles les différentes lois d'amendement constitutionnel contenant les mesures exceptionnelles à leur endroit ont échoué du fait des intérêts égoïstes de certaines personnes. Le député Vlavonou reste convaincu qu'avec l'engagement des femmes cadres du parti, les fruits tiendront sans doute la promesse des fleurs pour que beaucoup de choses puissent changer à l'avenir.
« Si les femmes étaient mieux représentées à l'Assemblée nationale, je ne pense pas que la loi portant mesures exceptionnelles à leur endroit puisse connaître ce sort », a regretté Bintou Chabi Adam Taro, ministre des affaires sociales et militante du parti. Elle dit être prête à soutenir les femmes cadres dans cette initiative dont le Bénin a besoin.
Les recommandations issues de cette journée de formation seront adressées aux députés pour une meilleure exploitation.
F. A. A.

Categories: Afrique

Stan zum US-Open-Auftakt gegen Dimitrov: «Es wird ein schwieriger Match, auch wenn ich gut spiele»

Blick.ch - Mon, 08/27/2018 - 15:56

Bei den US Open gehen heute zwei Schweizer Jäger auf die Pirsch: Roger Federer und Stan Wawrinka.

Als sich unsere beiden Tennishelden in Flushing Meadows gemeinsam auf das bevorstehende Spektakel  einspielen, wirkt es, als heckten sie zusammen einen Plan aus. Ein Schweizer Bündnis gegen die Grossen der Welt. Zwei frühere Gejagte, die sich zu Jägern verwandeln – und sich wohl in dieser Rolle fühlen.

Es gab Zeiten, da war alles anders. Federer war der King of New York des neuen Jahrtausends, der Kern des „Big Apple“, es galt, den verehrten, begehrten Seriensieger von 2004 bis 2008 zu schlagen. Dann kamen Juan Martin del Potro und allen voran Novak Djokovic, die in den folgenden Finals ihre langen Schatten vor den Sonnenkönig warfen.

Federer handelt sich nicht als Favorit

Begehrt und verehrt ist der 37-Jährige Federer in der US-Metropole immer noch – wenn auch seit zehn Jahren deutlich geschlagen. Bei keinem Grand-Slam-Turnier wartet die aktuelle Nummer 2 der Welt länger auf einen Sieg.

Grund genug, die Favoritenrolle weit von sich zu schieben: «Das sind Novak Djokovic und Rafael Nadal», sagt Roger entschieden. Stimme sein Energie-Level, sei er aber durchaus fähig, ab Dienstag eine erfolgreiche Titel-Jagd zu eröffnen (gegen den 22-jährigen Yoshihito Nishioka, ATP 177).

Harter Brocken für Stan

Ähnliches gilt für Wawrinka. Niemand erwartet vom 33-jährigen Romand die grosse Beute – und dennoch scheint der auf Rang 101 Klassierte nach den jüngsten Leistungen in Cincinnati wieder dazu fähig. Der letzte Match, den Stan hier auf grösster Tennisbühne spielte, fand vor zwei Jahren statt. Es war der US-Open-Final, sein dritter Majorsieg.

 

Auf eben dieser Bühne eröffnet er heute (18 Uhr Schweizer Zeit) gegen Grigor Dimitrov (ATP 8) das Turnier. Der Bulgare gewann vier der bisherigen sieben Duelle – die zwei an Grand Slams verlor er. Er weiss also, wie es sich anfühlt, wenn sich Stan auf Grosswildjagd begibt.

Der Waadtländer fühlt sich bereit, wie er in einem SRF-Interview berichtet: «Ich hatte eine sehr gute Trainingswoche und fühle mich wirklich gut. Ich mache weiter Fortschritte, nachdem ich in Toronto und Cincinnati zwei gute Turniere gespielt habe. Ich bin mit meiner Form wirklich zufrieden.»

Er weiss aber auch: «Es wird ein schwieriger Match, auch wenn ich gut spiele.»

Categories: Swiss News

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.