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Afrique

Les bacheliers bénéficiaires de bourses pleines à l'UNSTIM

24 Heures au Bénin - Sun, 09/14/2025 - 18:10

Liste des nouveaux bacheliers bénéficiaires de bourses pleines à l'Université nationale des Sciences, technologies, ingénierie, et mathématiques (UNSTIM) au titre de l'année académique 2025-2026.

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Categories: Afrique, Central Europe

Les bénéficiaires de bourses pleines à l'UP

24 Heures au Bénin - Sun, 09/14/2025 - 18:08

Liste des étudiants bénéficiaires de bourses pleines à l'Université de Parakou (UP).
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Categories: Afrique, Central Europe

L'autisme et les menstrues : "Je ne peux pas séparer la douleur physique de la douleur émotionnelle"

BBC Afrique - Sun, 09/14/2025 - 16:05
Les règles peuvent représenter un défi pour de nombreuses personnes - qu'il s'agisse de gérer les crampes, les fluctuations hormonales et les sautes d'humeur, ou de trouver des produits d'hygiène adaptés à des corps et à des modes de vie différents. Mais pour les autistes, elles peuvent être particulièrement intenses.
Categories: Afrique, European Union

Zulu king challenges professor to stick fight

BBC Africa - Sun, 09/14/2025 - 15:23
Prof Musa Xulu tells the BBC he has received threats from hired assassins and has complained to the police.
Categories: Africa, Afrique

Pourquoi l'élection présidentielle ivoirienne est-elle importante ?

BBC Afrique - Sun, 09/14/2025 - 12:05
Poids lourd économique de l’Afrique de l’Ouest, la Côte d’Ivoire joue gros : sa présidentielle, au-delà des défis internes, concentre aussi des enjeux géopolitiques suivis de près en Afrique et dans le monde.
Categories: Afrique, European Union

Malawi - where the petrol queue might overshadow the queue to vote

BBC Africa - Sun, 09/14/2025 - 02:05
With long petrol queues on city roads, everyday issues dominate in the run-up to Tuesday's vote.
Categories: Africa, Afrique

Istanbul : Du chant byzantin à la tradition Mevlevi / Ensemble vocal Byzantin - Derviches tourneurs d'Istanbul

Courrier des Balkans - Sat, 09/13/2025 - 23:59

Concert • Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
De haut vol, cette soirée éminemment fervente met en résonance la liturgie orthodoxe, transmise par l'Association du Chœur Byzantin de Constantinople-Athènes, avec le tournoiement des derviches mevlevi, véhiculé par les Derviches Tourneurs d'Istanbul.
Créée en 1985, l'Association du Chœur Byzantin de Constantinople-Athènes rassemble des chanteurs chevronnés et des nouveaux talents. Héritière de l'historique Association musicale de (…)

- Agenda / ,

Effets secondaires des contraceptives : L'autre cauchemar des femmes

24 Heures au Bénin - Sat, 09/13/2025 - 22:50


Contrôler sa fécondité, c'est-à-dire limiter ou espacer les naissances pour mieux gérer sa santé, sa vie familiale et ses conditions de vie afin de limiter les risques de mortalité maternelle liée aux grossesses rapprochées ou non désirées. Telles sont les raisons fondamentales qui poussent les femmes à adopter une méthode contraceptive de leur choix. Mais derrière ce choix, des effets parfois désastreux.

Cécile a 34 ans et est mère de deux enfants. Ménagère habitant à PK 11 dans la commune de Sèmè-Podji - commune située entre Cotonou et Porto-Novo, la capitale du Bénin - nous l'avons rencontré ce matin du 19 août 2025 devant son étagère de marchandises de divers. Dans sa robe en satin bleu et rouge, tresse soigneusement arrangée et attachée en queue de cheval, Cécile nous reçoit avec un sourire et une poignée de main si chaleureuse. A peine les civilités terminées qu'elle soupire profondément en prononçant : « je souris, mais je souffre et je suis à bout, monsieur ».

Deux semaines plus tôt, Cécile nous avait contacté pour nous faire part de son calvaire suite à son choix d'adopter une méthode contraceptive. Touchée au téléphone par son histoire, l'équipe a décidé de la rencontrer afin qu'elle raconte son histoire qui pourrait être un cas d'école. Les faits remontent en décembre 2024, entame Cécile, où elle a décidé de faire une injection contraceptive (celle faite tous les 3 mois).
« Deux semaines après cette injection, j'ai eu des saignements alors que j'ai eu mes m3nstrues deux semaines plutôt. Du retour au centre de santé, l'agent de santé m'a rassuré qu'il s'agit d'un effet normal et que ce saignement devrait s'arrêter deux ou trois jours plus tard. Mais depuis décembre 2024 à ce jour 19 août 2025, les saignements n'ont jamais cessé. Je suis en couche tout temps, je n'en peux plus ». Cécile confie être dans un état de gêne depuis ce temps et s'est éloignée, involontairement, de son mari depuis décembre. Son mari, un jeune homme de 35 ans se dit aussi dépassé par la situation alors qu'il pensait que les effets de cette injection devrait se terminer trois mois, au plus grand tard.

Cécile a consulté d'autres centres de santé, a suivi les prescriptions médicales des agents, a été suivie par un gynécologue, mais son mal n'a pas connu une satisfaction. Avant la publication de ce témoignage, Cécile qu'on suivait depuis ce temps, nous a confié qu'elle a finalement fait recours aux méthodes traditionnelles et le saignement n'est plus en permanence, mais peut apparaître une ou deux fois par semaine,en petite quantité.
Suite à cette histoire de Cécile, nous avions lancé un appel à témoin pour des histoires pareilles. Des témoignages reçus relatent des histoires certes différentes, mais toutes liées à l'adoption d'une méthode contraceptive. Rebecca, par exemple, est une jeune fille célibataire de 26 ans et est auxiliaire de pharmacie. Fiancée, elle dit qu'elle voudra rejoindre son futur mari sans une contrainte de grossesse. S'approchant du « fruit défendu », elle a décidé d'opter pour l'implant sous-cutané. Cette méthode (l'implant sous-cutané) est une petite tige flexible, d'environ 4 cm de long et 2 mm de diamètre, qui est insérée juste sous la peau, généralement dans le bras et qui libère en continu une hormone progestative (soit l'étonogestrel soit le lévonorgestrel) qui empêche l'ovulation, modifie la glaire cervicale rendant difficile la pénétration des spermatozoïdes, et amincit l'endomètre pour empêcher la fixation de l'ovule. Selon les études, cette méthode est à 99 pour cent sûre.

L'histoire de Rebecca est liée à sa prise de poids, l'irrégularité de ses m3nstrues et l'anémie constante. Quand Rebecca se faisait cet implant, elle n'avait que 24 ans, était une jeune fille bien svelte et sans problème anémique. Deux ans plus tard, elle a pris plus de 20 kg devenant ainsi une fille grosse, a constaté l'irrégularité de ses m3nstrues (deux fois par mois) et surtout l'anémie constante.

« Au début, je me disais que c'était l'aisance et que le fait d'avoir un travail stable et de subvenir à mes besoins les plus élémentaires étaient les raisons de ma prise de poids. Et pour l'anémie, je l'avais lié au fait d'avoir plus d'une fois mes m3nstrues par mois », nous a confié Rebecca. Toutefois, elle reconnaît que l'agent de santé de l'Association Béninoise pour la Promotion de la Famille (ABPF) qui l'avait reçu en son temps lui avait clairement signifié qu'il pourrait y avoir des perturbations menstruelles et aussi une prise légère de poids, selon la réaction de son organisme. Mais aujourd'hui, se plaint Rebecca, le poids devient de plus en plus gênant et le budget pour s'occuper de l'anémie devient également de plus en plus colossal. Le 2 Septembre 2025 au moment où elle nous donnait son témoignage, elle dit avoir enlevé l'implant, s'est mise au sport au quotidien et ne souffre plus de l'anémie ni du vertige permanent dans lequel elle était souvent plongée.

L'effet d'abandon

Tout comme Cécile et Rebecca qui ont fini par abandonner ces méthodes, des études révèlent que 38% des femmes ayant un besoin non satisfait de contraception moderne ont choisi de l'abandonner. Ce phénomène, appelé abandon de la contraception, est défini comme le fait de commencer à utiliser un contraceptif puis de l'arrêter pour quelque raison que ce soit alors que l'on est toujours exposé au risque d'une grossesse non désirée. Il est de notoriété de tous que l'arrêt du traitement pour des raisons autres que le désir de grossesse contribue à une fécondité non désirée et peut conduire à des grossesses susceptibles d'être interrompues par un avortement pratiqué dans des conditions douteuses et parfois très dangereuses.
En moyenne, parmi les femmes optant pour une méthode contraceptive moderne, plus d'un tiers interrompent son utilisation au cours de la première année, et plus de la moitié avant deux ans. Parmi ces interruptions, plus de la moitié résultent d'un échec de la contraception ou de complications inhérentes à la méthode choisie, soulignant ainsi le besoin persistant d'une contraception efficace afin de prévenir les grossesses non désirées. Suivant les études, en plus des cas évoqués supra, chez 10 % des femmes, les contraceptifs hormonaux peuvent augmenter le risque de dépression. Les cycles hormonaux sont strictement contrôlés par les hormones elles-mêmes. Lorsque les niveaux de progestérone augmentent, des processus sont activés dans les cellules qui empêchent la production de progestérone supplémentaire. C'est ce qu'on appelle une boucle de rétroaction négative. L'œstrogène et la progestérone contenus dans la pilule quotidienne, ou d'autres formes courantes de contraception telles que les implants ou les anneaux vaginaux, entraînent une diminution de la production de ces hormones par l'organisme, les ramenant à des niveaux observés en dehors de la fenêtre fertile du cycle.

A chaque méthode ses conséquences

Dans ses recherches lors de sa soutenance de thèse de doctorat, Nangazanga Dao, a relevé la problématique liée aux effets secondaires de la contraception injectable au centre de santé de référence de la commune V du district de Bamako, Mali. Pour le doctorant, 54,06 pourcent de femmes interrogées souffrent de la métrorragie. La métrorragie est un saignement vaginal d'origine utérine qui survient en dehors des règles normales ou en l'absence de règles. Le cas de Cécile, par exemple. Le doctorant expose également que 39,40 pourcent des personnes interviewées souffrent de l'aménorrhée. L'aménorrhée désigne l'absence de menstruations (règles) chez une femme en âge de procréer. 4,24 pourcent des femmes avec la contraception ont pris du poids (le cas de Rebecca) et 2,30 pourcent ont eu des céphalées.
Au Bénin, grâce à la sensibilisation accrue, le nombre de patientes adoptant une méthode contraceptive s'accroît selon Geneviève Agoumba, responsable de ABPF Ouémé, désormais à la retraite. Tout en saluant les prouesses de ces méthodes, elle recommande la poursuite inlassable de la sensibilisation afin d'éviter la fécondité incontrôlée et les risques de mortalité maternelle pour cause de grossesses trop rapprochées.
Interrogé sur les cas des dames Cécile et Rebecca, le médecin gynécologue obstétricien, Oluwolé Adjagbé souligne que les implants normalement ne donnent pas un saignement continu . « Au contraire, les implants arrêtent les menstrues et lorsque ces dernières doivent venir sous l'implant, elles sont abondantes pendant plusieurs jours, mais ne font pas des mois comme c'est le cas avec Cécile », clarifie le gynécologue. Pour lui, des analyses gynécologiques plus approfondies pourront aider à déterminer les causes exactes de ce phénomène chez cette patiente (Cécile, NDLR).

Et que dirent des femmes qui se plaignent des infections vaginales une fois l'implant adopté ? A-t-on demandé au médecin Adjagbé. Et sa réponse est sans équivoque, « pas d'infections proprement liées aux moyens contraceptifs. Toutefois, le problème peut se poser au moment de la pose de l'implant du DIU si les mesures d'asepsie ne sont pas respectées ». Les mesures d'asepsie sont un ensemble de pratiques et de techniques visant à empêcher l'introduction et la propagation de micro-organismes (comme les bactéries, virus, et champignons) dans l'organisme.

Et si on en parlait…

L'éducation sexuelle demeure peu recommandée en Afrique surtout en Afrique de l'ouest compte tenu de certains tabous et normes traditionnelles et ancestrales. De ce fait, l'éducation pour l'adoption d'une méthode contraceptive demeure problématique et quasi inexistante. Cécile dit avoir pris la décision en se basant uniquement sur les dires d'autres femmes et de l'opinion publique. Et c'est le cas pour beaucoup d'autres femmes que nous avons contactées.
Permettre aux femmes de discuter des effets secondaires potentiels puisque lorsque les femmes ont la possibilité de discuter des effets secondaires avec leurs prestataires et les membres de leur réseau social, la poursuite du traitement peut augmenter et le changement peut être facilité par une meilleure compréhension de la nature des effets secondaires. Et pour y arriver, il faut aussi impliquer les partenaires masculins. L'amélioration de la communication au sein du couple sur les caractéristiques des méthodes peut s'avérer efficace pour soutenir l'utilisation continue, en particulier dans la période post-partum.
Au Bénin par exemple, seuls les agents assermentés et travaillant à l'Association Béninoise pour la Promotion de la Famille (ABPF), s'évertuent à expliquer convenablement les différentes méthodes et à accompagner les femmes désireuses dans leur choix. « L'ABPF sensibilise, informe, oriente et accompagne. Nous y mettons un point d'honneur », nous confie Solange, agent de l'ABPF. Ce qui n'est souvent pas le cas dans des centres de santé ou centres hospitaliers où l'agent de santé se contente d'appliquer la méthode souhaitée par la cliente sans autres formes de sensibilisation ou d'orientation. C'est ce que dénonce Cécile qui dit n'avoir pas eu assez d'information sur les différentes méthodes avant d'opter pour la méthode injectable.
Le choix d'une méthode contraceptive est certes personnel, mais doit prendre en compte des facteurs tels que l'état de santé, l'âge, et les préférences individuelles, et nécessite l'avis d'un professionnel de santé ou celui d'un agent assermenté.

Par Josaphat Finogbé

Categories: Afrique, Central Europe

Listes des bacheliers bénéficiaires de bourses d'excellence

24 Heures au Bénin - Sat, 09/13/2025 - 21:13

Le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique a publié la liste des bacheliers bénéficiaires de bourses d'excellence dans les écoles et facultés à l'Université d'Abomey-Calavi (UAC).
Liste des bénéficiaires des bourses d'excellence

Categories: Afrique, Central Europe

Liste des étudiants bénéficiaires de bourses partielles UAC

24 Heures au Bénin - Sat, 09/13/2025 - 18:01

Le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique a publié la liste des nouveaux bacheliers sélectionnés au titre de l'année académique 2025-2026, pour bénéficier de bourses partiellement payantes dans les écoles et facultés.

Liste des étudiants retenus à l'UAC

Categories: Afrique, Central Europe

Blog • Le livre-poème de l'ancien combattant sur une rivière de Bosnie

Courrier des Balkans / Bosnie-Herzégovine - Sat, 09/13/2025 - 15:24

Le Livre de l'Una, de Faruk Šehić, traduit du bosnien par Olivier Lannuzel, éditions Agullo, 2023, 256 pages, 22,50 euros

- Lettres de l'Est et des Balkans • Le blog de Pierre Glachant / ,

Listes des bacheliers bénéficiaires de bourses partielles UNSTIM

24 Heures au Bénin - Sat, 09/13/2025 - 14:58

La liste des nouveaux bacheliers bénéficiaires de bourses partiellement payantes au titre de l'année académique 2025-2026, à l'Université nationale des sciences, technologies, ingénierie et mathématiques (UNSTIM).

Liste des bénéficiaires

Categories: Afrique, Central Europe

Liste des bacheliers bénéficiaires de bourses partielles UP

24 Heures au Bénin - Sat, 09/13/2025 - 14:56

Les nouveaux étudiants dont les noms suivent bénéficient de bourses partiellement payantes à l'Université de Parakou, au titre de l'année académique 2025-2026

Liste

Categories: Afrique, Central Europe

Schuman traineeship in the EPRS

If you hold a university degree, you can apply for a Robert Schuman Programme traineeship in the European Parliament. The application period for the traineeship session from 1 March 2026 to 31 July 2026 starts on 1 October 2025 and ends on 31 October 2025. You can apply here.

A paid traineeship will enhance your education and your vocational training and will provide you with an insight into the work of the European Parliament and the EU institutions. Find more info on the application criteria and process here.

Who we are

The European Parliament’s Directorate-General for Parliamentary Research Services (DG EPRS) provides comprehensive research and analytical support to the Members of the European Parliament, its parliamentary committees and the European Parliament as a whole. The EPRS philosophy is to provide independent, objective and authoritative information. More than 300 staff work in the DG’s 25 units and services.  

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‘Empowering through knowledge’ is the guiding principle of EPRS. As an EPRS trainee, you will be exposed to the core of the research and analysis process in the European Parliament. Surrounded by colleagues working on publications covering a wide range of EU policies, you will gain detailed knowledge of the EP’s workings while honing your skills in your specific topic of interest. If you choose a traineeship in one of EPRS’s library units, you will help the parliamentary community find the resources they need for their work.

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Categories: Afrique, European Union

The 'iron lady' taking a shot at Ivory Coast's presidency

BBC Africa - Sat, 09/13/2025 - 03:31
Feared by some, loved by others, ex-first lady Simone Gbagbo is vying to become the country's next leader.
Categories: Africa, Afrique

The 'iron lady' taking a shot at Ivory Coast's presidency

BBC Africa - Sat, 09/13/2025 - 03:31
Feared by some, loved by others, ex-first lady Simone Gbagbo is vying to become the country's next leader.
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KM eje 390-essel

Air Power Blog - Fri, 09/12/2025 - 23:59

A hosszas (2020-25), merevszárnyú, ugróképes/rámpás, szállítórepülő hiátus lezárulta és az ÖKMP ejtőernyős század felállítása nyomán erőre kapóban van ez a két, hagyományosan egymásra utalt fegyvernemi kultúra a Magyar Honvédségben. Ennek lehettünk ma tanúi a hajmáskéri "0"-ponton, ahol a KC-390 első nyilvános hazai ugratásaira került sor.

Cseh OVP-12-es ernyőjével úton a föld felé a KM ejések egyik katonája, háttérben a hosszúfalon az ugratást végző első KC-390-esünk, a 610-es.

JTAC irányítása mellett érkezik délkelet felől a dobózóna fölé a "mini-C-17-es".

Félszemből az egyik ugrás pillanata.

Haslövés "két folyamatban lévő üggyel"....

Rárepülésenként felváltva használták a bal és jobb ugróajtót az ejtőernyősök, de természetesen van lehetőség a szimultán ugratásra is.

Na még egy kicsit közelebbről a gépelhagyás, mert érdekes.

Ejtőernyős füzér a gép mögött nagyobb látószöggel. Rárepülésenként ezúttal 10+ ugró hagyta el a gépet az 1,7 kilométeres DZ felett.

A teherzsák éppen földet ért, jöhet a többi.

A kupola gyors összeszedése kulcskérdés.

Elszállításra várnak a teherzsákok és az összecsomagolt ernyők.

A ZVP-80.08A mentőernyő m2 multi AAD barometrikus vésznyitója.

Búcsúzóul billegtetve repül át a 390-es.

Zord


L'audience du procès de l'ancien président congolais Joseph Kabila renvoyée au 19 septembre

BBC Afrique - Fri, 09/12/2025 - 18:47
Joseph Kabila nie soutenir les rebelles du M23, qui ont occupé de grandes parties de l’est du pays riche en minéraux.
Categories: Afrique, European Union

Data Act: Data sharing and competitiveness

Written by Polona Car.

The Data Act aims to create value from data generated by connected products and services, by introducing data-sharing obligations. The principles enshrined in the Act have received general approval, but concerns have been expressed about the clarity of certain definitions, the sharing of commercially sensitive data and its regulatory complexity. Most provisions of the Data Act will apply from 12 September 2025.

Why it matters

Combining data with next-generation connectivity and emerging technologies can boost productivity, improve citizens’ health and wellbeing, and enhance public services. The EU’s data economy is projected to reach €630 billion this year, accounting for 4.7 % of the EU’s GDP. Forecasts suggest it will range between €743 billion and €908 billion by 2030. To unlock the full potential of data, the European Commission introduced the European strategy for data in 2020. This initiative aimed to create a single market for data, ensuring the EU’s competitiveness and data sovereignty. The strategy’s core components were the Data Governance Act (DGA) and the Data Act.

The Data Act in short

While the Data Governance Act establishes a new data governance model, enabling voluntary data sharing across the EU, the Data Act clarifies the rules for creating value from data and introduces data-sharing obligations. The Data Act grants businesses and legitimate users of connected products and services the right to access the data – both personal and non-personal – generated through their use. This concerns, for example, data from smart home appliances or industrial data. Manufacturers must ensure the exercise of these rights and create a secure, timely and interoperable data access. This means that manufacturers do not have exclusive rights over data generated by connected machines and devices, which would encourage competition and innovation and improve service options for consumers. Access to data could also enable machine-learning technologies, such as artificial intelligence, to use such data for improving supply-chain management or industrial and agriculture production processes.

The data-sharing obligation gives users the right to transfer their data. For example, they can share it with a repair provider other than the device maker, which could create more competition in the after-sale market and extend the lifespan of machines and devices. However, the data-sharing obligation protects confidentiality, and manufacturers can stop sharing or refuse to share data if it risks exposing trade secrets.

The Data Act introduces new requirements on cloud service providers to ensure customers can easily switch between different providers. It also gives the public sector access to private companies’ data in exceptional cases, such as public emergencies, or to fulfil a specific task defined by law (e.g. statistics) or for specific research purposes. In addition, the Data Act includes safeguards against unlawful international transfers of non-personal data, and promotes the development of interoperability standards for data sharing and processing, using Common European data spaces. Most provisions of the Data Act will apply from September 2025. The obligation to design connected products in a way to make data directly available to users will apply from September 2026 and removal of cloud switching fees from January 2027.

Challenging implementation

Stakeholders generally welcomed the Data Act, but some major tech companies opposed it. One of the main concerns remains the complexity of digital regulation and offering clear definitions. Even though the Data Act preserves trade secrets and includes a safeguard to prevent development of competing products from data accessed from connected products, industry did not embrace sharing of data with enthusiasm. Companies can still challenge data-sharing refusals based on protection of trade secrets, which creates uncertainty. That is why startups, scaleups and SMEs, in particular, favour an approach adapted to the size of the company, which protects innovation while increasing access for users.

A burden or an opportunity for small companies?

Adapting to the new requirements could represent  costs and administrative burdens for small and medium-sized enterprises (SMEs), although the Data Act aims to help SMEs access data held by large companies, encouraging data-driven innovation. To support this, the EU has developed model contractual terms (MCTs) for data sharing and standard contractual clauses (SCCs) for cloud computing. These voluntary tools will help smaller companies to negotiate and protect them from unfair contracts. MCTs and SCCs were adopted by the Commission expert group and the Commission ‘shall develop and recommend’ them ‘before 12 September 2025‘. They define the roles and responsibilities of data holders and users, compensation for data access and protection of trade secrets. As such, they provide legal clarity in complex data-sharing relations. SMEs, which often lack resources to draft complex contracts, can use these templates directly.

Clarity needed: Non-personal or personal, readily available, pre-processed?

The European Data Protection Board has raised concerns about the legal clarity of the draft MCTs. Its comments relate to the interplay between the Data Act and the General Data Protection Regulation (GDPR). The Data Act complements the GDPR but does not override it, and when personal data is concerned the GDPR prevails. Therefore, clarity in defining who is the data holder and user and which data is considered personal and which non-personal, is decisive. Experts note that roles, rights and obligations remain unclear. Consequently, companies must carefully decide which law applies when users submit data requests, to ensure compliance. Moreover, according to other experts, the type of data that is within the scope of the law is also ambiguous. Definitions such as data being ‘readily available without disproportionate effort’ lack clarity, and the difference between data that is pre-processed (within the scope of the law) and processed (outside its scope) also seems vague.

Importance of enforcement

Under the Data Act, Member States need to appoint competent authorities to enforce the law, but only a few countries have done this so far. Data protection authorities retain competence for addressing breaches of personal data rules. Member States can appoint the same authority for the enforcement of two regulations simultaneously: for example, the GDPR and the Data Act regulations, the AI Act and Data Act, or a new, separate authority for the enforcement of the Data Act. Creating new authorities risks inconsistent enforcement, as different bodies interpret the rules differently, so a single authority would simplify compliance for companies. National interpretations and enforcement will ultimately shape the law’s impact. While this creates an additional uncertainty regarding its practical application, stakeholders note that it also offers an opportunity to shape the enforcement landscape.

What’s next?

As part of the digital package, the Commission has announced a new European Data Union Strategy. The strategy aims to simplify the EU’s digital regulatory framework and boost data sharing by leveraging data to enhance competitiveness. It remains to be seen to what extent the Data Act will be part of the simplification strategy. Several major companies have requested the Commission to revise the Data Act and postpone its application, as part of this strategy.

Read this ‘at a glance’ note on ‘Data Act: Data sharing and competitiveness‘ in the Think Tank pages of the European Parliament.

Categories: Afrique, European Union

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