Le médecin Angèle Azon Kouanou, spécialiste en médecine interne, a rejoint les autres membres de l'équipe médicale devant examiner l'état de santé des candidats à l'élection présidentielle de 2026. Elle a prêté serment ce lundi 03 novembre 2025.
Dans le cadre de la présidentielle de 2026 au Bénin, l'équipe médicale chargée d'examiner l'aptitude physique et mentale des duos de candidats est au grand complet. Le troisième membre, le médecin Angèle Azon Kouanou a prêté serment ce lundi 03 novembre. Elle rejoint ainsi les professeurs Francis Tognon Tchegnonsi (psychiatre) et Léopold Houétondji Codjo (cardiologue) qui avaient prêté serment le 17 octobre dernier.
F. A. A.
L'Association du transport aérien international (IATA) a publié ses données sur les marchés mondiaux de fret aérien en septembre 2025.
« La demande dans le secteur du fret aérien a augmenté de 2,9 % en septembre, en glissement annuel, ce qui représente un septième mois d'affilée de croissance globale. Dans cette croissance se cache néanmoins une dégradation importante des modèles commerciaux, alors que les politiques tarifaires américaines, y compris la fin des exemptions de minimis, se font sentir », a déclaré Willie Walsh, directeur général de l'IATA.
D'un côté de l'équation, poursuit-il, on constate un déclin du trafic Amérique du Nord–Asie depuis les cinq derniers mois. « Mais cela a été plus que contrebalancé par la forte croissance intra-asiatique et sur les routes reliant l'Asie à l'Europe, à l'Afrique et au Moyen-Orient. Alors que plusieurs craignaient un déclin du commerce mondial, nous constatons plutôt que le fret aérien s'adapte bien à l'évolution de la demande du marché », informe le directeur général de l'IATA.
Plusieurs facteurs liés à l'environnement opérationnel méritent d'être mentionnés :
– Le commerce mondial de biens a augmenté de 3,7 % en août, en glissement annuel.
– Les prix du carburéacteur ont augmenté de 5,4 % en septembre, malgré la baisse des prix du pétrole, en raison du resserrement du marché du diesel, où la marge de craquage a doublé, d'une année sur l'autre.
– Le sentiment sur la fabrication mondiale s'est renforcé en septembre, alors que l'indice PMI a monté pour un deuxième mois d'affilée, atteignant 51,3. La composante des nouvelles commandes d'exportation s'est améliorée légèrement, à 49,6, mais est demeurée sous la barre de 50, qui représente le seuil d'expansion, ce qui reflète la prudence dans le contexte de l'incertitude tarifaire.
Résultats régionaux en septembre
Les transporteurs d'Asie-Pacifique ont enregistré une croissance de la demande de fret de 6,8 % en septembre, en glissement annuel. La capacité était en hausse de 4,8 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Amérique du Nord ont vu la demande de transport de fret diminuer de 1,2 % en septembre, en glissement annuel. La capacité a diminué de 1,5 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Europe signalent une augmentation de la demande de 2,5 % en septembre, en glissement annuel. La capacité a augmenté de 4,4 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs du Moyen-Orient ont enregistré une augmentation de la demande de 0,6 % en septembre, en glissement annuel. La capacité a augmenté de 5,5 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Amérique latine ont vu la demande de transport de fret diminuer de 2,2 % en septembre, en glissement annuel. C'est le résultat le moins bon parmi les régions. La capacité a augmenté de 3,1 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Afrique affichent une croissance de 14,7 % en septembre, en glissement annuel. C'est la plus forte croissance parmi toutes les régions. La capacité a augmenté de 7,4 % d'une année sur l'autre.
Croissance du commerce
Les volumes de fret aérien ont augmenté en septembre 2025 dans la plupart des grands corridors commerciaux. Les corridors Europe–Asie et intra-asiatique affichent une robuste croissance dans les deux chiffres, tandis que les corridors Moyen-Orient–Asie, Amérique du Nord–Europe et Afrique–Asie ont connu des gains notables. Par contraste, les corridors Asie–Amérique du Nord, Moyen Orient–Europe et intra-européen affichent des déclins.
L'Association du transport aérien international (IATA) a publié ses données sur les marchés mondiaux de fret aérien en septembre 2025.
« La demande dans le secteur du fret aérien a augmenté de 2,9 % en septembre, en glissement annuel, ce qui représente un septième mois d'affilée de croissance globale. Dans cette croissance se cache néanmoins une dégradation importante des modèles commerciaux, alors que les politiques tarifaires américaines, y compris la fin des exemptions de minimis, se font sentir », a déclaré Willie Walsh, directeur général de l'IATA.
D'un côté de l'équation, poursuit-il, on constate un déclin du trafic Amérique du Nord–Asie depuis les cinq derniers mois. « Mais cela a été plus que contrebalancé par la forte croissance intra-asiatique et sur les routes reliant l'Asie à l'Europe, à l'Afrique et au Moyen-Orient. Alors que plusieurs craignaient un déclin du commerce mondial, nous constatons plutôt que le fret aérien s'adapte bien à l'évolution de la demande du marché », informe le directeur général de l'IATA.
Plusieurs facteurs liés à l'environnement opérationnel méritent d'être mentionnés :
– Le commerce mondial de biens a augmenté de 3,7 % en août, en glissement annuel.
– Les prix du carburéacteur ont augmenté de 5,4 % en septembre, malgré la baisse des prix du pétrole, en raison du resserrement du marché du diesel, où la marge de craquage a doublé, d'une année sur l'autre.
– Le sentiment sur la fabrication mondiale s'est renforcé en septembre, alors que l'indice PMI a monté pour un deuxième mois d'affilée, atteignant 51,3. La composante des nouvelles commandes d'exportation s'est améliorée légèrement, à 49,6, mais est demeurée sous la barre de 50, qui représente le seuil d'expansion, ce qui reflète la prudence dans le contexte de l'incertitude tarifaire.
Résultats régionaux en septembre
Les transporteurs d'Asie-Pacifique ont enregistré une croissance de la demande de fret de 6,8 % en septembre, en glissement annuel. La capacité était en hausse de 4,8 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Amérique du Nord ont vu la demande de transport de fret diminuer de 1,2 % en septembre, en glissement annuel. La capacité a diminué de 1,5 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Europe signalent une augmentation de la demande de 2,5 % en septembre, en glissement annuel. La capacité a augmenté de 4,4 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs du Moyen-Orient ont enregistré une augmentation de la demande de 0,6 % en septembre, en glissement annuel. La capacité a augmenté de 5,5 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Amérique latine ont vu la demande de transport de fret diminuer de 2,2 % en septembre, en glissement annuel. C'est le résultat le moins bon parmi les régions. La capacité a augmenté de 3,1 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Afrique affichent une croissance de 14,7 % en septembre, en glissement annuel. C'est la plus forte croissance parmi toutes les régions. La capacité a augmenté de 7,4 % d'une année sur l'autre.
Croissance du commerce
Les volumes de fret aérien ont augmenté en septembre 2025 dans la plupart des grands corridors commerciaux. Les corridors Europe–Asie et intra-asiatique affichent une robuste croissance dans les deux chiffres, tandis que les corridors Moyen-Orient–Asie, Amérique du Nord–Europe et Afrique–Asie ont connu des gains notables. Par contraste, les corridors Asie–Amérique du Nord, Moyen Orient–Europe et intra-européen affichent des déclins.
Le Centre hospitalier universitaire Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM) de Cotonou dispose d'un deuxième scanner de 64/128 coupes. Cet équipement important de prise en charge de patients a été inauguré la semaine écoulée par le ministre de la santé, Benjamin Hounkpatin, en présence de la ministre conseillère à la santé, Claudine Prudencio, du préfet du Littoral, Alain Oroula et du maire Luc Atrokpo.
Un deuxième scanner de 64/128 coupes renforce désormais les capacités opérationnelles du CNHU-HKM. Cet équipement ultra moderne de dernière génération acquis pour une meilleure prise en charge des malades, est doté d'intelligence artificielle avec option cardiologique. Il allie finesse, précision du diagnostic et une rapidité inégalée des résultats.
Selon le directeur général par intérim de l'Agence nationale de la maintenance hospitalière, le scanner mis en service est également doté d'algorithmes spécifiques pour la réalisation avec précision d'examens neurologiques, thoraciques, abdominaux, oncologiques et ostéoarticulaires. Il dispose de l'option cardiologique qui permet de réaliser des coronarographies de haute précision et d'effectuer des diagnostics cardiologiques à très faible dose avec une résolution temporelle et spatiale exceptionnelle.
« L'installation de cet équipement en ces lieux, vient pour conjuguer définitivement au passé, les longs délais de rendez-vous mais également et surtout, les risques de rupture de la continuité des services liés aux pannes qui pourraient survenir sur le seul appareil qui existait », a déclaré le ministre de la santé. Son acquisition a-t-il poursuivi, garantit la célérité dans la réalisation des examens et relève d'un progrès majeur en matière de respect des standards. « Il est nécessaire d'avoir dans les hôpitaux, des équipements en miroir pour que lorsque l'un tombe en panne l'autre puisse automatiquement prendre le relais », a fait savoir le ministre de la santé. L'objectif étant de rendre les résultats des examens de radiologie en 24 heures au plus selon les recommandations du gouvernement.
Le CNHU-HKM s'était doté d'un scanner de 64 barrettes en 2022 et l'IRM (1,5 tesla) en 2020. La mise en service de ce 2e scanner vient renforcer les capacités de l'hôpital et permet d'offrir une prise en charge optimale aux patients.
F. A. A.
La commune d'Abomey-Calavi abrite un laboratoire National de Contrôle de Qualité des produits de santé et de l'eau.
Le Bénin dispose désormais d'un laboratoire national ultramoderne à Abomey-Calavi pour mieux assurer la sécurité sanitaire du pays. « Le gouvernement a fait l'option, il y a de cela 5 ans, de dédier un laboratoire exclusivement au contrôle de qualité des produits de santé notamment les médicaments, les dispositifs médicaux, les compléments alimentaires et évidemment les produits cosmétiques », a affirmé le ministre de la Santé, Benjamin Hounkpatin. Ce laboratoire permettra aussi le contrôle de la qualité de l'eau. Les travaux de ce laboratoire conforme aux normes internationales sont achevés à plus de 99 %.
« Nous avons déclenché depuis plusieurs années, une lutte acharnée contre les produits de santé notamment les médicaments falsifiés. C'est l'un des compartiments indispensables pour que cette politique que nous avons commencée, puisse aller à son terme », a ajouté le ministre de la Santé.
Selon Prof Achille Yemoa, directeur général de l'Agence nationale de Contrôle de Qualité des produits de santé et de l'eau (ANCQ), après la réception provisoire, il sera procédé à l'aménagement des locaux, à l'installation des équipements ainsi qu'à la formation du personnel technique. « La mise en service complète est prévue pour janvier 2026 avec les premiers contrôles sur les produits de santé et l'eau », a indiqué Prof Achille Yemoa.
A.A.A
Written by Pieter Baert.
As many women and girls continue to face barriers in accessing affordable menstrual products, menstrual poverty remains a significant socioeconomic issue. To combat it, the EU Value Added Tax (VAT) Directive now allows Member States to apply reduced or zero VAT rates to sanitary products. On 4 November 2025, the European Parliament’s Subcommittee on Tax Matters (FISC) will hold a public hearing on this issue in light of the Parliament’s Gender Equality Week.
VAT rates on feminine hygiene productsOver the years, the tax cost of menstrual products has been a topic of growing public debate. Since these products are used exclusively by women, the issue has drawn attention for its gendered economic impact. Advocates of lowering or removing VAT on menstrual products argue that the tax places an unfair, systematic financial burden on women, and contributes to menstrual poverty. Unlike other consumer products, these goods are considered a biological necessity rather than a matter of choice.
In April 2022, a revision of the EU VAT Directive introduced greater flexibility for Member States to reduce VAT rates on female sanitary products. This change allowed Member States to lower the VAT rate to as little as 0 %, compared with the previous minimum rate of 5 % (Annex III, paragraph 3). The European Parliament urged Member States to take advantage of this increased flexibility. However, while several Member States have since reduced their VAT rates on such goods, levels remain divergent.
VAT rate on tampons (EU, July 2025)Tax policy experts are generally cautious about VAT rate reductions, citing the likelihood for suppliers to bypass these reductions by increasing their profit margins instead. However, a recent study by academics from the Vienna University of Economics and Business, which looked at VAT rate cuts on menstrual products in Belgium, Germany, France and Austria, found that the tax reduction had been fully passed on to consumers over time. Moreover, low-income households had increased their purchase volume of menstrual products, highlighting the potential of such reforms to improve access for disadvantaged groups. Another recent study examining Germany’s 2020 VAT rate reduction on female hygiene products found that the tax cut was fully passed on to consumers, suggesting a perfectly inelastic demand. The VAT rate cut was estimated to have cost Germany 0.02 % of VAT revenue.
While reducing VAT rates can be one approach to making female hygiene products more affordable, some Member States and local governments have chosen to provide these goods for free in schools, public restrooms and other public spaces.
Gender-based price discriminationA related phenomenon is that of gender-based price discrimination. Although not an explicit tax issue as such, this refers to the situation where women sometimes incur extra costs for products and services marketed to them compared with similar items for men, with the products differing often only in superficial aspects, such as colour, name or description. Common examples include shampoo, razors and hairdressing services. While no comprehensive EU-wide research has been conducted to assess the prevalence of such practices, a study by the German Federal Anti-Discrimination Agency examined over 1 500 products in Germany and found that female variants were priced higher in 2.3 % of cases, while male variants were more expensive in 1.4 % of cases.
EU Directive 2004/113 already prohibits discrimination in access to goods and services based on gender. In 2023, in an answer to a parliamentary question, the European Commission said it had no plans at the time to introduce additional measures in that directive to address gender price discrimination.
Read this ‘at a glance note’ on ‘VAT policy and menstrual poverty in the EU‘ in the Think Tank pages of the European Parliament.
Le débat autour de l’accord franco-algérien de 1968 s’intensifie. Après l’adoption d’une résolution du RN le dénonçant et la déclaration de Laurent Nuñez, ministre français […]
L’article Colonisation française de l’Algérie: Zemmour dérape dans un échange musclé avec un imam marseillais est apparu en premier sur .
Une nouvelle ère s'ouvre pour le monde des affaires et de la tech en Afrique avec le lancement de Ewaji.com.
Ewaji est une plateforme d'avis clients robuste dédiée à renforcer la transparence, la crédibilité et la confiance entre les entreprises et leurs clients en Afrique. Dans un marché où la confiance influence plus de 70 % des décisions d'achat, la transparence devient un enjeu stratégique pour toutes les entreprises.
Pensé pour un écosystème entrepreneurial moderne, Ewaji.com contribue à faire briller en visibilité les entreprises en comptant sur les expériences clients partagées sous forme d'avis avec d'autres consommateurs sur sa plateforme. Au final, la note attribuée à l'entreprise sert à augmenter l'indice de confiance de celle-ci pour une relation équilibrée entre la marque et le consommateur.
Ewaji.com offre ainsi un espace fiable permettant aux consommateurs de partager leurs expériences, et aux entreprises de valoriser la satisfaction de leur clientèle.
Une plateforme pensée pour la transparence
Ewaji.com permet aux clients de publier des avis authentiques sur les services ou produits qu'ils ont utilisés ;
aux entreprises de collecter, afficher et gérer les retours de leurs clients ; et de renforcer la réputation en ligne grâce à un système d'évaluation clair et transparent.
Un outil puissant pour les entreprises africaines
Ewaji.com se positionne comme un véritable levier de croissance pour les commerces, petites et moyennes entreprises La plateforme aide les marques à prouver leur fiabilité auprès de nouveaux clients, améliorer leur service grâce aux retours collectés, augmenter leurs conversions grâce à la preuve sociale et se distinguer dans un marché de plus en plus digitalisé.
« Ewaji.com a été conçu pour aider les entreprises africaines à gagner la confiance des consommateurs tout en donnant une voix aux clients. La transparence est un élément clé dans le commerce moderne, et Ewaji.com apporte cette confiance au cœur des transactions », affirme un utilisateur de la plateforme.
Grâce à Ewaji.com, les marques bénéficient d'un avantage compétitif immédiat : plus de visibilité, plus de crédibilité, plus de clients.
À propos de Ewaji.com
Ewaji.com est une plateforme indépendante d'avis clients dédiée au marché africain. Elle permet aux consommateurs de partager leurs expériences en toute transparence et aux entreprises de développer leur réputation grâce à des avis vérifiés et publics. Ewaji.com ambitionne de devenir la référence de la confiance numérique en Afrique.
Sally Ncube, Equality Now, addresses the Standing Committee of the SADC Parliamentary Forum (SADC PF). Credit: Equality Now
By Cecilia Russell
JOHANNESBURG, Nov 3 2025 (IPS)
Closing the chapter on child marriages is still a distant ambition in the Southern African Development Community (SADC) region, and despite great strides at developing and passing legislation to eradicate it, existing and emerging drivers are still at play, making youngsters vulnerable to the practice.
These were key messages from Equality Now at the Standing Committee Session of the SADC Parliamentary Forum (SADC-PF) held in Kempton Park, South Africa, from October 24 to November 1, with the theme of Enhancing the Role of Parliamentarians in Advocating for the Signing, Ratification, Accession, Domestication, and Implementation of SADC Protocols.
Equality Now, in partnership with SADC-PF, launched two policy briefs—Protection measures for children already in marriage in Eastern and Southern Africa and Addressing emerging drivers of child marriages in Eastern and Southern Africa—for Parliamentarians’ consideration during a session aimed at sensitizing and increasing their knowledge on child marriage legislation and trends.
SADC countries adopted the Model Law on Eradicating Child Marriage and Protecting Children in Marriage in 2016; however, its domestication is uneven, children already in marriages need protection, and emergent drivers of child marriage need to be factored into the legal frameworks and policies.
Equality Now’s Divya Srinivasan addresses the Standing Committee of the SADC Parliamentary Forum (SADC PF). Credit: Equality Now
Equality Now’s Divya Srinivasan elaborated on the context of the domestication of the SADC model law on child marriage, noting that seven out of 16 countries (or about 45 percent) set the minimum age of 18 without exceptions. Five out of the 16 SADC countries set the age of 18 with some exceptions, with, for example, Botswana specifically excluding customary and religious marriages from the protection.
“Four countries, or around 25 percent, including Eswatini, Lesotho, South Africa, and Tanzania, provide for the minimum age of between 15 and 18. In these countries, the minimum age of marriage is different for boys and girls, with boys invariably having a higher age limit. In addition to these differences, all four countries allow for traditional and parental consent to lower the age of marriage,” Srinivasan noted.
Bevis Kapaso from Plan International said that since 2016, child marriage has dropped by 5 percentage points, going from 40 percent of all marriages to 35 percent in 2025, making it unlikely that the region will achieve SDG target 5.3, which aims to “eliminate all harmful practices, such as child marriage, early and forced marriage, and female genital mutilation” by 2030.
Most concerning was that the decrease was mainly urban, with the practice remaining fairly entrenched in rural areas.
This meant that children in marriages should be protected, and parliamentarians sensitized the drivers that were halting progress toward ending the practice.
Lawmakers should strive to ensure that married children have the right to void their marriages, retain their rights, access the property acquired during marriage, and not have their citizenship revoked, said Nkatha Murungi, an Equality Now Consultant.
“Children (in these circumstances) often end up stateless,” she said. While child marriage was a “symptom and a driver of entrenched inequality, poverty, and rights violations,” parliamentarians had a role to play in ensuring immediate, targeted measures to protect and empower children already in marriage, including the right to custody of their offspring and access to sexual and reproductive services.
Nkatha Murungi, an Equality Now Consultant, addresses the Standing Committee of the SADC Parliamentary Forum (SADC PF). Credit: Equality Now
Murungi suggested that lawmakers should also become aware of emerging issues, such as climate change. She said that after the 2019 floods in Malawi, which affected more than 868,900 people and displaced 86,980 individuals, child marriage spiked. Parliamentarians, according to Equality Now, should integrate child marriage prevention into national climate change adaptation and disaster risk management strategies.
It also suggested a gender-sensitive approach to economic empowerment by “supporting climate-resilient economic opportunities and programs for women and girls in affected communities.”
Other concerning emergent and persistent drivers include conflict and insecurity and increased migration and displacement, which often remove children from protective oversight while persistent poverty and inequality drive children into marriage.
The policy brief also warned about the rapid growth of technology, which, “while enabling advocacy and awareness, also facilitates misinformation that normalizes harmful practices, including child marriage.”
Sylvia Elizabeth Lucas, a South African parliamentarian and Vice President of the SADC parliamentary forum, on the sidelines of the meeting, stated that protecting children is non-negotiable; she emphasized that practical legislation and implementation, guided by the “spirit of ubuntu” (compassion and humanity), can effectively protect girl children.
On the sidelines of the meeting, Murungi elaborated that it was important to look at why the traditional approaches were not resulting in the ending of child marriages. Poverty has always been considered a driver, but traditional efforts to end child marriage have not benefited those living in poverty. Education was key to empowerment, not only for keeping children in school and out of marriage but also for giving them options for their futures.
The forum was reminded that it was imperative that the SADC Model Law be updated in their countries to reflect some of these emerging drivers.
“It is also necessary for Parliament and the Executive at the national level to work together to promote anti-child marriage policies and laws and ensure that targeted policy responses fill all prevailing gaps,” the policy brief on emergent drivers concluded.
IPS UN Bureau Report
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La Commission électorale nationale autonome (CENA) a délivré, ce lundi 3 novembre 2025, le récépissé provisoire au parti Union Progressiste le Renouveau (UP-R) dans le cadre des élections communales de janvier 2026.
L'Union Progressiste le Renouveau entre en possession de son récépissé provisoire de déclaration de candidatures pour les communales 2026, suite à l'examen des dossiers déposés à la CENA.
Le document a été remis par le Directeur général des élections, Abou Adam Soulé, au Secrétaire général de l'UP-R, Gérard Gbénonchi, en présence de la Directrice de la Communication Anique Djimadja et de Paul Douakoutche, membre du Bureau Politique.
Le Secrétaire général du parti a assuré que les informations complémentaires demandées seront fournies dans les plus brefs délais.
La CENA poursuit l'examen des dossiers des autres partis (FCBE, Moele Bénin, ‘'Les Démocrates'', BR). La campagne électorale est fixée du 26 décembre au 9 janvier 2026. Le scrutin est prévu pour le 11 janvier 2025.
A.A.A
Chaque année, la Caisse nationale des retraites (CNR) rappelle aux bénéficiaires de pensions directes ou transférées qu’ils doivent actualiser leurs documents au cours du mois […]
L’article Retraite et pensions transférées : la CNR adresse un message important aux bénéficiaires est apparu en premier sur .
Les échanges commerciaux entre l’Algérie et l’Espagne connaissent un essor spectaculaire, marquant la pleine reprise des relations bilatérales après la crise diplomatique de 2022. Les […]
L’article L’Algérie, 3e partenaire mondial de Valence : Le boom spectaculaire du commerce avec l’Espagne est apparu en premier sur .
Les anciens présidents Nicéphore Dieudonné Soglo et Thomas Boni Yayi pourraient bientôt siéger au sein du futur Sénat de la République du Bénin. Ce sera, suite à l'adoption et à la promulgation de la proposition de révision de la Constitution déposée le 31 octobre 2025 à l'Assemblée nationale par les honorables Aké Natondé et Assan Séibou, respectivement présidents des groupes parlementaires BR et UP-R.
Le texte de proposition de révision de la Constitution prévoit la création d'une seconde chambre parlementaire et institue le Sénat comme organe de stabilité et de continuité de l'État. Selon la proposition, cette nouvelle institution aura pour mission de garantir la sauvegarde des acquis de développement, la cohésion nationale et la paix sociale, tout en participant à la consolidation du débat démocratique.
La composition du Sénat, telle qu'envisagée, fera la part belle à l'expérience et à la sagesse politique. Elle inclura les anciens présidents de la République, les anciens présidents de l'Assemblée nationale, les anciens présidents de la Cour constitutionnelle ainsi que les chefs d'état-major des forces de défense et de sécurité. C'est pour « tenir compte des exigences d'une telle chambre politique d'une part, et des expériences requises dans la gestion des dossiers d'Etat d'autre part ». À ces personnalités, seront ajoutés les membres désignés par le président de la République et le Président de l'Assemblée nationale.
Les anciens présidents Nicéphore Soglo et Boni Yayi devraient y siéger en tant que membres. Une perspective qui suscite déjà beaucoup d'intérêt dans la classe politique. Leur présence au sein du futur Sénat symbolisera la continuité républicaine et offrira à la Nation l'opportunité de bénéficier de leur expérience, de leur vision et de leur sens de l'État. Le projet de révision, s'il est adopté et promulgué en l'état, permettra de renforcer le pouvoir législatif.
A.A.A
Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a révélé les dessous d’un épisode tendu au Conseil de sécurité de l’ONU, où le Maroc a […]
L’article Attaf dévoile comment le Maroc a tenté de « manipuler » la résolution de l’ONU sur le Sahara Occidental est apparu en premier sur .
Ahmed Attaf, ministre des Affaires étrangères, a pris position suite à l’adoption par l’Assemblée française d’une résolution. Cette dernière demande la dénonciation des accords franco-algériens […]
L’article Algérie – France : Attaf dénonce les surenchères politiques autour des accords de 1968 est apparu en premier sur .
The Amazon River in Brazil. Credit: Jhampier Giron M
The 30th "Conference of the Parties" (COP30) to the UN Framework Convention on Climate Change (UNFCCC) will take place from 6-21 November 2025 in Belém, Brazil. It will bring together world leaders, scientists, non-governmental organizations, and civil society to discuss priority actions to tackle climate change. COP30 will focus on the efforts needed to limit the global temperature increase to 1.5°C, the presentation of new national action plans (NDCs) and the progress on the finance pledges made at COP29.
By Keith Tuffley
VILLARS, Switzerland, Nov 3 2025 (IPS)
As the world prepares for COP30 in Belém, all eyes are on Brazil’s proposed Tropical Forests Forever Facility (TFFF) – a bold plan to reward countries for keeping forests standing. It represents a vital part of the long-term vision we need for global forest protection.
But while TFFF builds the architecture for the decades ahead, a proven solution is already delivering results today through large-scale forest protection programmes – initiatives that link public policy, community leadership and carbon finance.
Known as jurisdictional REDD+ (JREDD+), these programmes are designed to mobilise finance now, where it matters most.
The world doesn’t have time to wait. Forests are disappearing at the rate of 10 million hectares a year. To stay on track for 1.5°C, UNEP estimates that tropical regions need $66.8 billion in annual investment in forests by 2030. The good news is that the framework to mobilise that capital is already in motion, through the Forest Finance Roadmap and a portfolio approach that aligns multiple, complementary tools – including TFFF, JREDD+, and restoration finance.
The roadmap is clear – and it’s already working
The Forest Finance Roadmap, launched by 34 governments and partners under the Forest Climate Leaders Partnership, provides a practical framework for aligning policy, capital and accountability. It recognises that no single mechanism can close the gap: we need a suite of solutions that reward both reduced deforestation and long-term forest maintenance.
That portfolio already exists in Brazil. The federal government’s commitment to launch TFFF demonstrates long-term ambition. Meanwhile, states such as Tocantins, Pará and Piauí – among others – are advancing JREDD+ programmes that can channel private finance directly to communities, Indigenous peoples and smallholder farmers – with independent monitoring, benefit-sharing, and verified results under the ART-TREES standard. Tocantins alone covers 27 million hectares across the Amazon and Cerrado, one of the most biodiverse yet threatened regions on Earth.
Why JREDD+ matters now
JREDD+ is a state- or nation-wide approach that rewards verified reductions in deforestation. It links finance directly to government policy and land-use planning, helping entire regions shift from deforestation to sustainable production. Crucially, it also ensures transparency, permanence and equity: credits are issued only after independent verification, and benefits are shared with local communities through Free, Prior and Informed Consent (FPIC) processes.
In practice, JREDD+ allows public and private capital to flow into credible, measurable results – the kind of results that investors, regulators, and communities can trust. It also provides the connective tissue between policies like the EU Deforestation Regulation and the voluntary carbon market, helping companies meet emerging disclosure requirements under TNFD and SBTN while supporting real-world impact.
Complementary, not competing
It’s tempting to frame TFFF and JREDD+ as alternatives. In reality, they are complementary – two sides of the same forest finance coin. TFFF will reward nations for maintaining low deforestation rates, creating long-term incentives for forest-rich countries. JREDD+, on the other hand, generates near-term performance-based finance for verified emissions reductions. Together, they form the backbone of the Forest Finance Roadmap’s portfolio approach: one tool builds long-term durablity, the other creates immediate impact.
This complementarity is already visible on the ground. In Tocantins, upfront investment from Silvania, the nature finance platform backed by Mercuria, has helped establish the state’s environmental intelligence centre (CIGMA), enabling real-time deforestation tracking, and supported more than 40 consultations with Indigenous and traditional communities. These investments are already helping reduce deforestation pressures and build the systems that will sustain long-term forest protection – exactly the kind of early action TFFF will later reward.
From promises to performance
As COP30 approaches, the conversation about forests must shift from ambition to execution. Brazil’s leadership – from national policy to state implementation – is already delivering a blueprint for others to follow. We have the plan. We have the proof of concept. What’s needed is action – to channel capital into JREDD+ now, while supporting the long-term vision of TFFF. Together, these approaches can close much of the forest finance gap by 2030 and anchor a new era of durable, high-integrity nature finance.
The world will gather in Belém to discuss the future of the Amazon. But the real test is what happens after. Whether COP30 is remembered as a turning point or a missed opportunity depends on how quickly we act on the solutions already in our hands
IPS UN Bureau
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Excerpt:
Keith Tuffley was Partner at Goldman Sachs Australia, Managing Director at UBS, and CEO of The B Team. He is current CEO of Race to Belém