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By Yasmine Sherif
NEW YORK, Feb 20 2025 (IPS-Partners)
The central theme of this year’s World Day of Social Justice is to “strengthen a just transition for a sustainable future.” Education is the very foundation for achieving social justice. Without an education we cannot end extreme poverty and advance economic growth. Without an education we cannot empower young girls to become teachers, doctors, nurses, lawyers, engineers, let alone financially self-reliant. Without an education we cannot achieve good governance, the rule of law and peaceful co-existence.
Social justice in all its forms requires education, be it formal education through grade 12, onto tertiary education, or vocational skills training. There is simply no other way. Education is the path to social justice. As a global community, we are all interconnected and it is thus in our interest to ensure that children worldwide benefit from an education. However, nearly a quarter of a billion children living on the frontlines of the world’s most devastating humanitarian crises do not access a quality education. This will not bode well for them, nor for us.
This global education crisis will have vast impacts on our global society, and our quest for social justice. I think of the brave women of the Afghan Girls Robotics Team, including our own ECW Global Champion Somaya Faruqi, who broke gender norms on their quest to learn more about science, technology, engineering and math. Coming out next month, their story will be told in the inspiring movie Rule Breakers. But, much more needs to be done. Social justice does not exist for the women and girls of Afghanistan today, nor in many other parts of the world torn apart by brutal conflicts, forced displacement, climate change or oppressive societal norms.
Since ECW was founded just a few years ago, this global fund for education in emergencies and protracted crises, together with all our strategic donor partners and implementing partners, have reached a total of 11.4 million children with quality education. With increased funding support, we can provide millions more with access to quality education, and contribute to social justice.
The provision of a quality education fit for the 21st Century is the single best investment we can make to empower children and youth, create stronger economies, and ensure a peaceful co-existence in the world. There is no other promise, and no other pathway that can substitute education as the safest road to social justice.
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Les travaux en cours au Port autonome de Cotonou (PAC), pourraient relancer le trafic portuaire pour atteindre 15 millions de tonnes en 2026 grâce aux interventions de la Banque africaine de développement (BAD). L'annonce a été faite par l'institution financière lors de la revue à mi-parcours du Document de stratégie pays 2022-2026, publiée le 11 février 2025.
Le trafic au Port autonome de Cotonou pourrait évoluer et atteindre 15 millions de tonnes d'ici 2026. Et ce, grâce aux interventions de la Banque africaine de développement. C'est l'un des points essentiels à retenir de la revue à mi-parcours du Document de stratégie pays 2022-2026 de la BAD, publiée le 11 février 2025.
Moderniser les équipements et étendre les infrastructures du PAC
Dans le cadre de ses interventions au port de Cotonou, la BAD a signé un accord de financement de 98,3 millions d'euros avec le PAC. Le but visé est de moderniser les équipements et étendre les infrastructures du port de la capitale économique du Bénin. L'accord a été paraphé le 12 février 2025 par le directeur du département des Infrastructures et du Développement urbain de la Banque africaine de développement, Mike Salawou, et le directeur général du Port autonome de Cotonou (PAC), Baart Van Eenoo.
F. A. A.
Le choix de l'unique candidat de la mouvance pour la présidentielle de 2026 sera connu sous peu.
Le chef de l'Etat vient de lancer le processus d'évaluation des potentiels candidats. De sources concordantes, on apprend que cette tâche est confiée à un comité pluridisciplinaire de cinq experts dont un statisticien de l'ex Insae, un diplomate à la retraite, un ancien cadre de Bretton Woods, un expert en ressources humaines et un sociologue.
Dans un cahier de charge bien défini, les experts auront à évaluer puis noter les potentiels candidats sur un échelle de 0 à 10. Le statisticien aura à faire un sondage d'opinion afin de recueillir l'avis des populations.
Le diplomate quant à lui a pour mission de noter les candidats sur la maîtrise des relations internationales et la géopolitique. En ce qui concerne l'économiste, il aura à évaluer la maîtrise des institutions financières internationales.
La même mission est conviée au sociologue et à l'expert en ressources humaines. Au terme de leur rapport sectoriel, une modélisation sera faite et le candidat que le chef de l'Etat aura à soumettre à l'approbation de la mouvance sera celui qui aurait recueilli plus de score que les autres.
Nous y reviendrons
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