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L'audience du procès Olivier BOKO et Olwald HOMEKY a repris ce mercredi 22 janvier 2025 à la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET) sans les avocats de la défense. La juge a pris une importante décision permettant la poursuite du procès.
La juge a demandé aux accusés s'ils ont pu désigner de nouveaux avocats après la déconstitution de leur défense à l'audience du mardi 21 janvier dernier. Les prévenus ont répondu qu''ils n'ont pu contacter d'autres avocats.
Selon le procureur spéciale de la CRIET, le procès ne peut se dérouler dans ces conditions.
Le Ministère public a proposé le renvoi de l'audience pour permettre la constitution d'avocats commis d'office.
L'audience a été renvoyée au jeudi 23 janvier 2025 par la juge Chrystelle ADONON.
M. M.
Hautement dangereuse et contagieuse chez les enfants et les adolescents, la méningite fait des ravages actuellement en France. Causes, symptômes, traitement… Voici l’essentiel à savoir […]
L’article Méningite en forte hausse en France : l’essentiel à savoir sur cette infection mortelle est apparu en premier sur .
Qu'on l'aime cette fameuse compétition : la Ligue des Champions ! L'exploit de ce mardi 21 janvier 2025 est signé le FC Barcelone lors d'un match comptant pour la 7e journée de la phase de Ligue de la Ligue des Champions. Menés 3-1 à la pause, les Blaugrana ont renversé l'hôte, le Benfica, 4-5.
La 7e journée de Ligue des Champions démarrait ce mardi avec neuf rencontres au programme. Une affiche aura marqué l'ouverture de cette 7e journée. C'est notamment celle disputée à l'Estadio da Luz, où le FC Barcelone a arraché une incroyable victoire sur la pelouse de Benfica (5-4). Les Blaugrana, menés 4-2 jusqu'à la 78e minute suite à un triplé de Pavlidis, ont pris l'avantage grâce à Raphinha au bout du temps additionnel. Avant ça, leur défense n'a pas brillé avec un but contre son camp d'Araujo et une prestation catastrophique du gardien Szczesny, auteur d'une énorme bourde.
Voici les résultats de la soirée :
Atletico Madrid 2-1 Bayer Leverkusen
Benfica 4-5 FC Barcelone
Bruges 0-0 Juventus Turin
Bologne 2-1 Dortmund
Liverpool 2-1 LILLE
Etoile rouge de Belgrade 2-3 PSV Eindhoven
Slovan Bratislava 1-3 Stuttgart
AS MONACO 1-0 Aston Villa
Atalanta 5-0 Sturm Graz
J.S
Le procès de l'homme d'affaires Olivier Boko et de l'ancien ministre des sports, Oswald Homéky, poursuivis pour complot contre la sureté de l'Etat s'est ouvert ce lundi 20 janvier 2025, à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). A l'ouverture du procès, les avocats de la défense ont estimé que la composition de la juridiction est irrégulière. La CRIET, par un communiqué ce mardi 21 mars 2025, prouve qu'il s'agit d'un faux prétexte.
La CRIET réagi à l'attitude des avocats de Boko et Homéky sur sa composition à l'ouverture de leur procès ce lundi 20 janvier 2025. A travers un communiqué publié ce mardi 21 janvier 2025, la juridiction spéciale souligne que l'article 254 nouveau du code de procédure pénale tel que modifié le 18 mai 2018 ne s'applique pas à elle. A cette loi générale, le législateur a substitué une loi spéciale plus récente. « Il s'agit de la loi 2020-07 du 17 février 2020 relative à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme », renseigne le communiqué. Celle-ci dispose en son article 6 nouveau que « la chambre de jugement siège en formation collégiale composée d'un (01) juge président et de deux (02) accesseurs », lit-on dans le communiqué signé de Mario METONOU. « Ainsi, depuis le 17 février 2020, le nombre de magistrat devant siéger pour chaque audience correctionnelle ou criminelle à la CRIET, a été réduite de cinq à trois », précise le communiqué. Et c'est en application de cette disposition légale que la CRIET selon le communiqué, a tenu toutes ses audiences criminelles au cours des cinq dernières années.
L'article 254 évoqué par les conseils de Boko et de Homéky stipule que « Le tribunal de première instance statuant en matière criminelle est composé d'un (01) président et de quatre (04) accesseurs ».
La CRIET à travers son communiqué a dénoncé la stratégie de la défense qui s'inscrit dans la logique de « multiplication des incidents pour éviter à tout prix le débat public sur le fonds du dossier.
Boko et Homéky devraient répondre devant la Chambre de jugement statuant en matière criminelle, des infractions de complot contre la sureté de l'Etat, corruption d'agent public national, faux et usage de faux.
Lire l'intégralité du communiqué de la CRIET
F. A. A.
Au Bénin, le procès de l'homme d'affaires Olivier Boko et de l'ex-ministre Oswald Homeky reprend ce mercredi 22 janvier 2025 devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Les mis en cause sont accusés d'avoir voulu fomenter un coup d'État contre le président Patrice Talon.
Boko exprime son mécontentement
09 heures 22 minutes : après la suspension de l'audience, Olivier Boko a exprimé son mécontentement. « J'ai les moyens de me prendre mes propres avocats. Je ne veux pas d'avocats commis d'office », a déclaré Olivier Boko dans une colère. L'homme d'affaires dénonce l'impossibilité pour lui de téléphoner à des avocats depuis la prison
09 heures 17 minutes : le procureur spécial Mario Mètonou demande à la Cour de renvoyer le dossier et de saisir le bâtonnier pour des formalités de commissions d'office d'avocats. Le juge accède à cette demande et renvoie le dossier à jeudi 23 janvier 2025.
09 heures 15 minutes : ouverture du dossier
Après l'ouverture du procès, les accusés Olivier Boko, Oswald Homeky sont convoqués à la barre. Interrogés, l'homme d'affaires Olivier Boko, l'ex-ministre Oswald Homeky indiquent à la Cour qu'ils n'ont pas pu constituer en raison des conditions difficiles à la prison civile de Missérété. Olivier Boko affirme qu'il est enfermé 24 heures sur 24 et qu'il lui est impossible de téléphoner et qu'il n'a pas pu constituer
09 heures 00 minutes : L'audience n'a pas encore repris à la CRIET
08 heures 30 minutes : Aucun avocat n'est encore dans la salle d'audience pour défendre les accusés
08 heures 3 minutes : L'homme d'affaires Olivier Boko et l'ex-ministre des Sports Oswald Homeky sont arrivés dans la salle d'audience. Les autres accusés également
Après un renvoi du dossier, le procès de Olivier Boko, Oswald Homeky et de leurs co-accusés va reprendre lors d'une deuxième journée. Ce mercredi 22 janvier 2025, les accusés comparaissent à nouveau devant la chambre de jugement de la CRIET siégeant en matière criminelle.
À l'ouverture du procès, mardi 21 janvier 2025, les débats n'ont pas pu prospérer en raison d'une demande de la défense qui n'a pas abouti. En effet, la défense a contesté la composition de la Cour qui siégeait en matière criminelle et qui était composée de trois juges dont un président de céans et deux assesseurs.
Selon la défense, cette formation judiciaire serait contraire aux dispositions de l'article 254 du Code de procédure pénale. Cet article dispose que la composition d'une Cour siégeant en matière criminelle doit être composée de cinq juges dont un président de céans et 4 magistrats assesseurs. Les Conseils ont donc demandé à la Cour de respecter cette disposition avant la poursuite des débats.
Mais, le juge chargé du dossier a rejeté la demande de la défense. Il a décidé de joindre au fond ses exceptions et d'ordonner la poursuite des débats. Cette décision de la Cour a fortement déplu à la défense de Olivier Boko et de Oswald Homeky. Tous les avocats se sont alors déconstitués du dossier. La Cour qui siégeait en matière criminelle ne pouvant pas mener les débats en raison de l'absence d'avocats pour les accusés a renvoyé le dossier à ce mercredi 22 janvier 2025. La loi fait obligation que les accusés dans une affaire criminelle aient des avocats pour leur défense.
Au cours de cette deuxième journée d'audience, Olivier Boko et Oswald Homeky comparaissent pour des chefs d'accusation retenus contre eux. Ils sont jugés les 21, 22, 23 et 24 janvier 2025 lors de la session criminelle de la CRIET.
En dehors de Olivier Boko et son beau-frère, ainsi que l'ancien ministre des Sports Oswald Homeky, trois autres personnes sont également poursuivies dans ce dossier. Il s'agit de Ganiou Sanoussi, chauffeur de Oswald Homeky, de Corneille Ahodégnon Gbaguidi, un entrepreneur, de Rock Salvin Nieri, beau-frère de Olivier Boko. Les chefs d'accusation sont : complot contre l'autorité de l'État, corruption d'agent public et faux certificats.
08 heures 40 minutes : L'audience n'a pas encore repris à la CRIET
08 heures 30 minutes : Aucun avocat n'est dans la salle d'audience pour défendre les accusés
08 heures 3 minutes : L'homme d'affaires Olivier Boko et l'ex-ministre des Sports Oswald Homeky sont arrivés dans la salle d'audience. Les autres accusés également
The European Union must bind its defence industry close together and develop weapons systems collaboratively, the new Head of the European Defence Agency (EDA), High Representative Kaja Kallas, told the 2025 EDA Annual Conference. She also called for the Agency to do more.
“We need to consolidate our defence industry and develop common weapons systems,” Kallas said. “Our European defence industry could then utilise the same military systems and help Member States’ militaries become more interoperable ... the EU should also work towards establishing a Single Market for Defence.”
Kallas said that the EU does not require a single European armed force but rather 27 militaries capable of working together to deter and defend against any threat, particularly from Russia. Addressing over 400 participants at the Concert Noble in Brussels and more than 800 online attendees, Kallas’ vision reinforced the EDA’s mission as it leads Europe’s response to renewed security challenges.
In her first major policy speech since taking office in December, Kallas warned that the time for papers and declarations had passed. “Russia’s defence industry is churning out tanks, artillery shells, and glide bombs faster than we can match. This is a heavily militarised country, spending over a third of its national budget on the military, three times what it spent before the war. We must be realistic about the scale of this threat,” she said.
Sławomir Wojciechowski, Poland’s Military Representative to NATO and the EU Military Committee, speaking on behalf of Minister of National Defence Władysław Kosiniak-Kamysz, said that: “For Europe, Russia's aggressive policy poses a real and direct threats to security. We must remember that Russia's objectives are not limited to Ukraine. A hypothetical victory for Moscow in Ukraine will be equivalent to the disintegration of the existing security architecture.”
Support to Ukraine and links to U.S., Britain
Kallas noted that the EU has so far provided €134 billion in support to Ukraine, including €50 billion in military aid. Additionally, the EU has trained 75,000 Ukrainian soldiers and imposed sanctions. “The Ukrainians are not just fighting for their freedom; they are defending ours too,” Kallas said. Collaboration with the United States and Britain remains essential, Kallas said, adding that the EU should be open to a new security agreement with London, now that Britain is outside the bloc.
General Brieger, Chairman of the EU Military Committee, told the conference: "For future success, we have to transform three levels in parallel: institutionally at the EU level; nationally, at the level of Member States; and in our mindset, on a personal level. For sure, this has to be coordinated to become, more and more, a real union of defence."
Both Kallas and EDA Chief Executive Jiří Šedivý, who opened the conference, underlined that NATO remains the cornerstone of Euro-Atlantic security. However, both stressed that the EU must ensure it can act decisively and independently if necessary. The EDA is instrumental in achieving this goal, Šedivý said. He said: “Over the past decade, the amount of projects we manage has grown from around 200 million euros to over one billion euros per year.”
By fostering defence integration, it helps Member States pool resources, enhance interoperability, and address critical capability gaps in areas such as air defence, long-range missiles, and military mobility.
“If Europeans don’t get serious about defence, there will be no Europe as we know it left to defend,” Kallas warned.
1940-ben új repülőgép jelent meg az amerikai haditengerészet zuhanóbombázó századainál: az SBD Dauntless. Típusjelzése feladatrendszerére, az ellenséges hadihajók felderítésére és bombázására valamint a gyártóra utalt (SBD – Scout Bomber Douglas). Hivatalos elnevezése, a Dauntless (Rettenthetetlen) is elég harciasan hangzott, de rövidesen megkapta nem hivatalos nevét is - Slow But Deadly (Lassú, De Halálos) lett.
Az Egyesült Államokban nagyjából száz évvel ezelőtt kezdődtek azok a kísérletek, amelyekkel azt vizsgálták, hogy az ellenséges hadihajókat a saját haditengerészeti erők tüzérsége és torpedói mellett, érdemes-e bombázó repülőgépekkel is támadni. A tapasztalatok azt mutatták, hogy a nagy magasságból végzett bombázás nem éri el a kívánt hatást, mert a szárazföldi célpontokkal ellentétben a vízi célok kicsik, mozognak és manővereznek. Arra jutottak, hogy inkább a repülőgép-hordozóról induló kisméretű zuhanóbombázó a megoldás, mert nagyobb valószínűséggel találja el az úszó célt, mint a hadsereg légierejének magasan és egyenesen repülő közepes- vagy nehézbombázói. Továbbá a zuhanóbombázó lelövése nem egyszerű, de ha mégis sikerül, akkor kisebb személyi veszteséggel, és olcsóbb repülőgép elvesztésével jár, mint egy két- vagy négymotoros bombázó esetében. Így vélekedtek az amerikai haditengerészetnél (US Navy) és a harmincas években több ilyen gépet is szolgálatba állítottak. Például a kétfedelű SBC Helldivert és az első egyfedelű zuhanóbombázót, az SB2U Vindicatort. A repülőgépgyárak nem ültek a babérjaikon és a következő típus Jack Northrop cégénél BT-1 jelzéssel kezdett formát ölteni.
Studie auf Basis von SOEP-Daten – Generation der 68er bleibt häufiger auch nach dem Renteneintritt ehrenamtlich aktiv – Anstieg des Engagements geht aber auch auf junge Menschen zurück – Pflicht zum Engagement für bestimmte Altersgruppen wäre nicht zielführend, stattdessen sollten flexible und niedrigschwellige Angebote für alle geschaffen werden, die ehrenamtlich aktiv sein wollen
Fast jede dritte in Deutschland lebende Person ab 17 Jahren – insgesamt also rund 22 Millionen – engagiert sich ehrenamtlich. Der Anteil der ehrenamtlich Aktiven lag im Jahr 2017 bei rund 32 Prozent und damit um fünf Prozentpunkte höher als im Jahr 1990. Sowohl junge Erwachsene als auch Rentnerinnen und Rentner sind zunehmend bereit, beispielsweise in Vereinen, Initiativen oder der Flüchtlingshilfe freiwillig mit anzupacken. Das sind zentrale Ergebnisse einer Studie des Deutschen Instituts für Wirtschaftsforschung (DIW Berlin), die auf repräsentativen Daten des Sozio-oekonomischen Panels (SOEP) basiert.