Etant un des secteurs ayant le «plus pâti» de la longue nuit terroriste, le tourisme revient à pas sûrs au-devant de la scène une fois la paix et la sécurité retrouvées par la grâce de la politique judicieuse de la réconciliation nationale.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – C’est ce que le ministre du Tourisme et de l’Artisanat soutient.
Présentant, hier, le plan de développement du tourisme et de l’artisanat à l’horizon 2030 devant les membres de la commission culture, communication et tourisme de l’APN (Assemblée populaire nationale), Abdelkader Benmessaoud a étalé la stratégie des pouvoirs publics visant à faire retrouver à ce secteur «stratégique» son lustre d’antan, sinon plus.
Une stratégie contenue dans un «plan d’orientation» avec, a-t-il dit, «des objectifs, des priorités, des étapes et des mécanismes définis». Elle est étalée sur deux «étapes essentielles» dont la première consiste à «déblayer le terrain» à travers notamment «l’assainissement des cadres législatif et réglementaire» régissant le secteur.
Quant à la seconde phase, elle consiste principalement en la réduction du déficit en capacités d’accueil avec, selon le ministre, un saut quantitatif enregistré déjà puisque les capacités d’accueil sont passées à 140 000 lits alors que 110 000 lits sont en chantier.
Soit une évolution de 200%, avec l’objectif d’atteindre 250 000 lits en 2030 et celui d’attirer 15 millions de touristes dont 5 millions d’étrangers. Et comme le tourisme ne se suffit pas de l’aspect lié aux capacités d’accueil, le ministre du Tourisme et de l’Artisanat a également mis l’accent sur la qualité des services avec son corollaire, la formation des différents intervenants ou encore la modernisation des méthodes promotionnelles de la destination Algérie.
Ou encore la tarification avec des réductions concédées en saison estivale et en saison touristique dans le Grand-Sud. Et comme le tourisme va de pair avec l’artisanat, Benmessaoud a fait état des énormes efforts consentis pour valoriser au mieux les énormes atouts dont dispose le pays en la matière.
Un créneau qui emploie à présent près d’un million de personnes avec la contribution au PIB national de l’ordre de 324 milliards de dinars.
Le ministre du secteur table sur le doublage de ces deux données avec deux millions d’emplois prévus à l’horizon 2030 et une contribution au PIB national de 760 milliards de dinars.
M. K.
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Sur les 720 189 logements sociaux-locatifs mis en service avant 2004 et proposés à la vente par les Offices de promotion et de gestion immobilière (OPGI), à peine 226 852 ont été cédés à leurs occupants.
Auditionné hier par la Commission de l’habitat, de l’équipement, de l’hydraulique et de l’aménagement du territoire de l’Assemblée populaire nationale (APN), le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar, a présenté un rapport qui récapitule la situation de son secteur, faisant, entre autres, le bilan de l’opération de vente des logements sociaux mis en service avant 2004, lancée, faut-il le rappeler, au temps du ministre Noureddine Moussa.
Abdelmadjid Tebboune s’était expliqué déjà – en mai 2016 devant le Conseil de la Nation – sur les lenteurs que connaît cette opération. Mais, la situation n’a pas vraiment évolué depuis.
En effet, selon les chiffres communiqués hier par Abdelwahid Temmar, à peine 226 852 logements sociaux-locatifs ont été cédés à leurs occupants sur les 720 189 mis en service avant 2004 et proposés à la vente par les Offices de promotion et de gestion immobilière (OPGI). Soit 31,5% des logements mis en vente et qui représentent près des deux tiers (63,94%) du parc géré par les OPGI et qui s’élève à 1,14 million de logements. L’opération a rapporté jusqu’ici 48,5 milliards DZD. Ainsi, près de 500 000 unités (493 337) n’ont pu être cédées et ce, pour de multiples raisons.
Si l’audition, hier, de Abdelwahid Temmar a été tenue à huis clos, Abdelmadjid Tebboune, lui, avait donné, dans sa réponse à une question orale au Conseil de la Nation en mai 2016, quelques explications qu’il est utile de rappeler.
Tebboune, qui avait rendu publics les résultats partiels de l’enquête réalisée par une commission installée au niveau de son département afin d’analyser les difficultés que connaît l’opération, a indiqué que «beaucoup d’occupants de ces logements à loyers modérés ne comptent pas parmi les bénéficiaires initiaux et n’ont pas le droit de jouir de ces logements». «Le nombre des indus occupants tourne autour de 250 000», avait-il déclaré. Dans ce contexte, il convient de souligner que même si la loi limite la cession du droit de jouissance des logements sociaux-locatifs aux seuls descendants du bénéficiaire, elle n’a pas empêché les bénéficiaires de la contourner et de vendre le «pas de porte» moyennant une reconnaissance de dette.
Un véritable marché parallèle où les logements sociaux changent de main comme s’ils étaient la propriété de leurs occupants s’était développé à l’ombre du mode de distribution de ces logements où le piston est érigé en règle. Cette situation a fortement déséquilibré les trésoreries des OPGI qui accumulent des milliers de milliards d’arriérés de loyers et trouvent énormément de difficultés à les recouvrer.
Or, la décision de vendre ceux mis en service avant 2004 à leurs occupants n’a pas réglé le problème. Et malgré les prix bas desquels seront déduits les montants des loyers versés jusque-là par l’acquéreur, l’opération, lancée en 2008, n’a pas abouti. La régularisation d’une partie des indus occupants en 2016, les membres de la famille du bénéficiaire initial notamment (ascendants, frères et sœurs, beaux-frères), n’a pas boosté la vente. A peine le tiers de ces logements a pu être cédé en dix ans.
L. H.
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Même si l’arboriculture n’occupe que 3% de la superficie utile à l’agriculture, la production de cette filière et sa valeur sont en courbe ascendante depuis quelques années. La preuve, la production a atteint dans ce domaine l’exportation.
Rym Nasri – Alger (Le Soir) – Pour le ministre de l’Agriculture, la filière arboriculture occupe une place importante dans la politique de son secteur. Chiffres à l’appui, il rappelle que la superficie plantée en arbres fruitiers, tous fruits confondus, était de 154 000 ha en 2000 avant d’atteindre 262 000 ha en 2018 soit une hausse de 70%. «En 2018, les arbres occupent 3% de la superficie utile à l’agriculture», précisait-il, hier lors de la rencontre sur la filière arboriculture, tenue à Alger.
Abdelkader Bouazghi s’est attardé sur les différentes statistiques qui montrent qu’en 2018, la production arboricole a été de 16 892 480 quintaux contre 4 523 370 quintaux en 2000 soit une hausse de 273%. Il cite l’exemple des fruits à noyaux dont la production est de 6 110 640 quintaux et celle des fruits à pépins où leur production est de 8 095 581 quintaux.
Il souligne également la hausse de la valeur de la production fruitière nationale en 2018 pour atteindre 197,8 milliards de dinars contre 121,6 milliards en 2010, soit une augmentation de 63%. «Cette valeur représente 8% de la valeur de la production agricole globale en 2018», dit-il.
Quant aux exportations, le ministre affirme que l’Algérie a exporté en 2017, près de 409 tonnes de fruits à noyaux et à pépins vers essentiellement la Thaïlande, l’Espagne, le Viêtnam et la Russie.
Il souligne, par ailleurs, le rôle important que jouent les pépinières dans la filière de l’arboriculture puisqu’«elles constituent un centre de reproduction et de production des plants de hautes qualités».
De son côté, Mohamed Kheroubi, directeur central chargé de la régulation et de développement de la production agricole au ministère de l’Agriculture, fait remarquer une «nette expansion» des superficies arboricoles plantées. Selon lui, les agriculteurs manifestent de plus en plus d’engouement pour cette filière. «Nous avons tous constaté qu’il n’y a pas eu d’importation l’année dernière, notamment de pommes et de poires», note-t-il.
Qualifiant la production nationale de «très bonne» qualité, il estime toutefois, qu’il reste encore des efforts à déployer pour le développement de cette filière. Pour ce faire, il insiste sur la mise en place de nouvelles plantations, la régénération des vieilles plantations et l’introduction de nouvelles variétés productrices et intensives afin de «garantir un bon revenu aux agriculteurs».
Mohamed Kheroubi évoque la dernière campagne de plantation de plus de 9 000 ha. Celles-ci, précise-t-il, «vont entrer en production crescendo». En 2022, poursuit-il, «nous comptons augmenter la production pour atteindre 22 millions de quintaux qui vont assurer les besoins de la population nationale, et ce, concernant les différentes espèces y compris le kiwi et la banane». Il précise, par ailleurs, que la filière arboriculture mobilise plus de 1,5 million d’emplois directs ainsi que des postes d’emploi générés à travers les transformations et les conditionnements.
Ry. N.
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Les services de la Direction générale des forêts ont relevé 797 foyers d’incendie cette année, s’étalant sur 2 312 ha, compris dans une superficie totale de 4,1 millions d’hectares de formations forestières, dont 3 millions de barrage vert.
Nedjma Merabet – Alger (Le Soir) – Le nombre d’interventions de la Protection civile concernant des incendies de forêt s’est élevé à 85 cette année, ce qui reste faible étant donné que le chiffre pouvait atteindre quelques centaines d’interventions les années précédentes.
Pour ce qui concerne les récoltes touchées par les incendies, le nombre s’est quant à lui accru : 4 000 ha contre 2 140 l’an dernier. Pour les palmeraies, ce sont 7 861 palmiers incendiés, contre 12 461 l’an dernier, donc une baisse importante que l’on note également pour les arbres fruitiers passant de 246 000 arbres l’an dernier à 100 000 en 2018. Par ailleurs, durant la réunion tenue hier au siège du ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, en présence de divers corps coordonnés à la Direction des forêts, dressant le bilan des incendies et des efforts déployés pour lutter contre les incendies, les présents ont exposé une batterie de chiffres précis, quant au matériel acquis. Le nombre de colonnes mobiles a doublé depuis 2004, passant à 27, et 13 nouvelles colonnes sont prévues pour 2019. Cela comprend également l’acquisition de camions.
On apprend, par ailleurs, qu’un effort appréciable a été consenti pour la coordination intersectorielle, avec une participation active du ministère de l’Intérieur entre autres, qui a concédé à l’installation de 40 comités opérationnels.
Le feu de forêt étant un agent de renouvellement naturel, pas seulement de destruction, les chargés de la lutte contre les incendies se préoccupent également d’évaluer la régénération végétale, dépendant de la survivance des graines. Guelma a connu 90% de régénération, 71% à Taref, 78 % à Jijel, et un taux très faible à Sidi-Bel-Abbès, atteignant seulement les 25%. Le stress hydrique, qui touche principalement les wilayas de l’Ouest dans le nord du pays, est sans doute le facteur le plus important du déclenchement des feux de forêt, et de l’empêchement de la régénération végétale. Compte tenu du printemps pluvieux que nous avons connu cette année, l’on comprend mieux la baisse du nombre d’incendies, et la régénération végétale non négligeable qui a pu s’opérer, du moins dans certaines wilayas.
Dans le bassin méditerranéen, l’Algérie se place loin derrière la Turquie, le Portugal, la Grèce, l’Italie, l’Espagne et la France en superficie forestière touchée par les incendies.
Dans ces pays, ou encore aux USA, les incendies peuvent atteindre quelques centaines d’hectares, tandis qu’elle ne dépasse pas les 4 ou 5 ha dans le plus grand pays d’Afrique.
L’Algérie, depuis l’indépendance, a mis au point divers programmes pour lutter contre les incendies et la désertification : chantiers populaires de reboisement (CPR) dans les années 1960, barrage vert dans les années 1970, grands travaux forestiers dans les années 1990, plan national de reboisement (PNR) à partir de 2000, plan national de développement agricole et rural (Pndar) dans les années 2000 et le développement rural de 2009 à 2014. Aujourd’hui, c’est avec la FAO que les autorités nationales collaborent dans le cadre de la lutte contre les incendies de forêt.
N. M.
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Les établissements de l’enseignement supérieur n’ont toujours pas mis en application le décret relatif à la prévention et la lutte contre le plagiat.
La commission nationale d’évaluation de la recherche scientifique et de développement technologique vient de lancer un appel au ministre de l’Enseignement supérieur afin de demander son application. La commission, qui demande aussi la mise en place d’une base de données de toutes les publications au niveau de chaque établissement de l’enseignement supérieur afin d’éviter le plagiat, estime qu’il y a une réticence au niveau de certains établissements vis-à-vis de l’application de ce décret.
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De nombreux médias marocains ont annoncé que la bâtisse de la famille Bouteflika, qui menaçait depuis quelques temps de tomber en ruine, a été démolie.
Le site Al Youm 24 affirme que la décision s’est faite après des discussions entre les autorités algériennes, via le Consulat d’Algérie à Oujda, et les autorités marocaines.
Cette information a été par la suite démentie par le média Yabiladi: « La maison appartenant à la famille du président algérien Abdelaziz Bouteflika n’a pas été démolie comme l’affirment certains médias. Les autorités viennent à peine de mettre en place une commission pour la préparation de cette procédure ».
Le président du conseil Communal de la ville d’Oujda Omar Hejira, explique : « Il y a une femme qui a été mandatée par la famille Bouteflika pour les représenter auprès des autorités de la ville d’Oujda. Nous sommes en contact avec elle pour préparer le dossier technique et le volet juridique, pour ainsi pouvoir procéder à la démolition de la maison ».
Par ailleurs, le maire de la ville d’Oujda a expliqué: « Nous allons accompagner cette proche de la famille de Bouteflika dans cette procédure, non pas parce qu’il s’agit d’une maison appartenant à des proches du président algérien, mais parce que la maison est située dans l’ancienne médina, ce qui nécessite un traitement spécial s’agissant des opérations de démolition ».
Ainsi, le président Bouteflika ne figure plus sur la liste des héritiers de la maison d’Oujda qui l’a vu naître et où il a passé une partie de son enfance. Selon une source bien informée au conseil de la ville, «le président algérien Abdelaziz Bouteflika ne figure plus parmi les héritiers et sur la liste des propriétaires de la maison. La propriété de la maison revient à ses autres frères. Le chef d’état algérien avait cédé ses parts dans la maison familiale quelques moins après son élection à la Présidence de la république », affirme H24 info.
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La direction de la formation du ministère de la Santé, qui a organisé sept sessions de formation au titre de l’année 2018 au profit des psychologues coordinateurs, vient d’adresser une note aux directeurs de la santé leur demandant d’instruire les directeurs d’établissements de santé à l’effet d’accompagner cette catégorie de personnel en vue d’accomplir les tâches qui leur sont assignées vis-à-vis de leurs collègues psychologues, de l’administration et des équipes médicales et paramédicales.
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Vesna Despotovic, entraîneur de la sélection serbe filles U18 vice-championne d’Europe 2017, et ancienne internationale serbe et yougoslave avec laquelle elle a remporté la médaille de bronze aux Jeux olympiques de 1980 à Moscou, a fait honneur aux Algériens, qui poursuivent un camp d’entraînement, avec une présentation théorique et pratique sur les fondamentaux de la discipline.
Organisé par Sport Élite management, que dirige l’Égyptien Ahmed Fawzy, en partenariat avec des Serbes, une vingtaine de jeunes basketteurs algériens, venus des quatre coins du pays Oran, Mascara, El-Eulma, Alger et Cherchell entre autres, accompagnés d’une dizaine d’entraîneurs de jeunes catégories, poursuivent un stage de perfectionnement des techniques de basket-ball d’une semaine dans la ville de Kragujevac, distante de près de 150 km de la capitale Belgrade. Un stage encadré par Abdelkader Chebab, DTS du MC Aïn El-Türck (MCAET) dans la wilaya d’Oran, assisté par Mimoun Youcef, ancien entraîneur des jeunes catégories de l’USM Alger, et M’hamed Belgaïd, ancien entraîneur des U16 filles de la Tunisie et actuel formateur de l’équipe de Boukadir dans la wilaya de Chlef. Les cours et les entraînements sont assurés par Nikola Despotovic Macak, ancien basketteur serbe et entraîneur de l’équipe Radnicki Kragujevac.
Pendant une semaine, les participants à ce camp d’entraînement travaillent leur technique et corrigent, chacun, ses lacunes avec des séances biquotidiennes à l’issue duquel chacun repart avec un diplôme. Ce n’est, d’ailleurs, pas le premier stage qu’organise Sport Elite Management, nous explique Ahmed Fawzy, puisque deux autres camps d’entraînement se sont déjà déroulés auparavant dans d’autres régions serbes en faveur des Algériens. «Si nous avons opté pour la Serbie, que la sélection égyptienne choisit aussi pour ses préparations, c’est parce que c’est un pays qui offre toutes les bonnes conditions de travail et de préparation. La Serbie est une grande nation de basket-ball», souligne Ahmed Fawzy, entraîneur de formation, qui affirme que la Fédération algérienne de basket-ball (FABB) l’avait chargé de programmer un stage pour la sélection nationale avant d’être annulé à la dernière minute.
Ahmed Ammour
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Mercato agité au sein du club Doyen. L’arrivée de deux attaquants, Benaldjia et Frioui, devrait être suivie par d’autres recrues mais aussi des séparations.
Parmi les priorités de la direction du MCA, le transfert de l’un des deux Africains, des milieux de terrain, en l’occurrence Amada et Dieng, afin de pouvoir s’attacher les services d’un attaquant étranger. Si Amada, sollicité par nombre de clubs du Golfe, ne veut quitter les Vert et Rouge qu’en juin prochain, date de fin de son contrat, les responsables mouloudéens espèrent toujours tirer profit d’un éventuel transfert de leur malgache. Pour le Malien, les «pressions» se font plus nombreuses aussi bien de la part des clubs d’Arabie que ceux d’Europe.
Parmi ces derniers, les Helléniques de l’AEK Athènes qui ont fait savoir qu’ils sont intéressés par le profil de ce milieu de terrain récupérateur de 21 ans. Aliou Dieng, ramené par Casoni lors du dernier mercato hivernal, a déjà plu à des clubs français dont Bordeaux et Toulouse dont les offres n’ont pas convenu au club algérien. Le jeune Malien qui aurait demandé une revalorisation de son salaire est sous contrat jusqu’en janvier 2020.
Que d’absents face à Village-Moussa
Le déplacement à Jijel où le MCA affrontera le 1er janvier le CRB Village-Moussa pour le compte des seizièmes de finale de la coupe d’Algérie risque de se faire sans plusieurs des éléments-cadres d’Adel Amrouche. Ce dernier qui pourrait compter sur la nouvelle recrue offensive, Samy Frioui, ne pourra probablement pas bénéficier des services de quelques-uns de ses artificiers, Nekkache et Derrardja en l’occurrence, en sus du malgache Amada, pas encore remis de sa blessure contractée au sein de sa sélection début décembre dernier.
M. B.
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Le club de handball algérien, la JSE Skikda affrontera ce soir (19h) la formation qatarie d’Al-Arabi pour le compte des quarts de finale de la Coupe arabe des clubs seniors-messieurs qui se déroule à Sfax (Tunisie). Le seul représentant algérien encore en lice dans ces joutes arabes aura un match difficile face à la formation qatarie d’Al Arabi, drivée par le technicien algérien Omar Azeb qui connaît parfaitement l’équipe algérienne.
La JSE Skikda, vice-championne d’Algérie, avait remporté un seul match durant le tour préliminaire face à Al-Khaleej d’Arabie Saoudite (30-24) contre deux défaites face au club organisateur du CS Sakiet Ezzit (23-24) et aux Koweïtiens d’Al-Salimiya (19-20). Elle s’est qualifiée aux quarts de finale de la compétition arabe avec 2 points au classement (3e du groupe A). De son côté, l’IC Ouargla, autre représentant algérien, a été éliminé dès le tour préliminaire avec quatre défaites en autant de matchs et une dernière place dans le groupe B. La 34e édition de la Coupe arabe des clubs de handball, qui se poursuit jusqu’au 29 décembre, enregistre la participation de 9 équipes, après le forfait de dernière minute d’Al Ittihad (Libye).
Programme des quarts de finale
(12h) : Al Khaleej (Arabie Saoudite)-ES Tunis (Tunisie)
(14h) : Al-Salmya (Koweït)-SC Moknine (Tunisie)
(16h30) : CS Sakiet Ezzit (Tunisie)-Koweït Al Koweïti (Koweït)
(19h): JSE Skikda (Algérie)-Al Arabi (Qatar).
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Les 36 crossmen algériens retenus pour disputer les prochains Championnats arabes des nations (Toutes catégories), prévus le 5 janvier 2019 à Amman (Jordanie), effectueront un stage bloqué du 28 décembre au 2 janvier à Zéralda, a appris l’APS lundi auprès de la Fédération algérienne d’athlétisme (FAA). «La sélection nationale de cross séjournera à la résidence Ouled Sidi Brahim», a encore précisé l’instance fédérale .
La liste des 36 représentants algériens à Amman a été arrêtée samedi soir par la Direction technique nationale (DTN), juste après le cross de la Soummam, disputé à Béjaïa. Chez les seniors, cinq des six candidats retenus par la DTN sont membres de la sélection nationale militaire (CREPSM), en l’occurrence : Bourouina Kheireddine, Laâmèche El Hadi, Hadjlaoui Hamza, Khaouas Rabah et Zengli Mansour, alors que le sixième représentant, Yousfi Hamza est sociétaire du CSF Sétif. Chez les dames, la DTN a essentiellement privilégié les athlètes de Bordj Bou-Arréridj et de l’AS Protection civile d’Alger, considérées comme les plus en forme du moment, tout en renforçant le groupe par deux émigrées.Il s’agit de Bouakila Athina et Bahi Azoum Fatiha, qui évoluent en France, et qui représenteront l’Algérie lors des prochains Championnats arabes aux côtés de Kenza Dahmani et Tinhinane Boumaâza (Bordj Bou Arréridj), ainsi que Riham Sennani et Malika Benderbal de l’AS Protection civile d’Alger.
Chez les juniors (garçons), la DTN a jeté son dévolu sur Oussama Cherrad (Bordj Bou Arréridj), Benkrama Mohamed (Batna), Amdani Zakaria (Bordj Bou Arréridj), Ousser Younès (Tlemcen), Drabli Amine (CREPSM) et Tibouk Fouad (Jijel), alors que chez les juniors (filles), l’Algérie sera représentée par Boudoukha Yasmine (Sétif), Habbache Asma (Bordj Bou-Arréridj), Habbache Khadidja (Bordj Bou-Arréridj), Aïb Ahlam (M’Sila), -Dahmani Yamina (Chlef) et Bouokba Fatima Zohra (Aïn Defla). Chez les cadets, la Direction technique nationale a retenu Lefilef Aïssa (Jijel), Saâda Mohamed (Chlef), Daoud Abderrahmane (Sétif), Dalaâ Yazid (Chlef), Saâdou Kheireddine (Aïn Defla) et Touati Abdeslam (Chlef), ainsi que Chibah Nawal (Tizi-Ouzou), Rezig Ghania (Chlef), Harizi Mokhtaria (Tissemsilt), Mekki Ismahane (Bordj Bou Arréridj), Hadj-Abdelkader Nouzha (Ind) et Maâmar Hadjira (Chlef). La DTN a rappelé aux athlètes ayant moins de 18 ans qu’ils devront fournir une autorisation parentale pour pouvoir accompagner la délégation en Jordanie à l’occasion de ces Championnats arabes.
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Le programme d’investissement, engagé par Algérie Télécom durant l’année 2018 a permis de porter à plus de 90% le taux de couverture de la wilaya de Tizi-Ouzou en fibre optique et en 4G LTE, a indiqué le directeur local de cette entreprise publique, Ada Amar.
Jusqu’à ce mois de décembre, le taux de couverture des chefs-lieux de communes de la wilaya en fibre optique a été porté à 91% suite à la réalisation, cette année, d’un programme de pose de 220 km, a précisé M. Ada. Cette opération a profité à huit (8) communes qui sont Aït Yahia Moussa, Agouni Gueghrane, Ath Ziki, Idjeur, Illoula Oumalou, Aït Yahia, Timizart et Tirmitine, a-t-il dit. Avec ces nouveaux branchements, Algérie Télécom a réalisé, depuis le lancement du programme de pose de fibre optique, un total de 1 580 km, a ajouté M. Ada qui a indiqué qu’en plus des chefs-lieux de commune, cette même entreprise a également raccordé, courant 2018, quelque 98 bureaux de poste.
S’agissant des zones éloignées et difficiles d’accès, Algérie Télécom a réalisé un programme de déploiement de la 4G LTE, «une technologie adaptée au relief montagneux de la wilaya», a observé M. Ada. Au titre de ce programme Algérie Télécom a déployé et mis en service, au courant de cette année, un total de 15 équipements 4G LTE et dont le dernier a été installé la semaine dernière au village Mhaga (commune d’Idjeur). «Ces 15 nouveaux équipements ont porté à 83 le nombre total des équipements 4G LTE déployés à travers la wilaya, pour une capacité de 55 600 accès et une couverture de 94% en cette technologie», a souligné le même responsable. Parallèlement aux programmes de déploiement de la fibre optique et de la 4 G LTE, Algérie Télécom a installé et mis en service des équipements d’accès aux nouvelles technologies Idoom ADSL, Idoom 4G et Idoom fibre, d’une capacité de 7 164 accès au profit de 27 cités, depuis le début de cette année.
En outre, et dans le cadre des opérations d’amélioration des prestations de service par la pose de nouveaux réseaux de distribution et la rénovation et l’assainissement des anciens, il a été procédé à la prise en charge, depuis janvier dernier, d’un total de 145 réseaux d’une consistance physique globale de 27 000 lignes, a-t-on appris du directeur local de cette entreprise publique. Sur un autre volet, le programme d’aménagement des agences commerciales d’Algérie Télécom a touché, en 2018, trois agences Actel dont deux au chef-lieu de wilaya (Nouvelle-ville et centre-ville) et la troisième dans la ville de Draâ ben Khedda. Trois autres structures sont également programmées dont celle de Larbâa n’Ath Irathen où les travaux sont en cours et celles de Boghni et d’Azazga, en voie de lancement, a-t-il indiqué.
Pour l’année 2019, la direction locale d’Algérie Télécom a inscrit sur son plan d’action le raccordement d’un total de 156 sites aux réseaux téléphonique et internet aux technologies filaires et 4G. Les prérequis pour ces nouveaux programmes sont en cours de préparation, a relevé M. Ada, qui a rappelé que «le but principal d’Algérie Télécom est d’offrir une ligne téléphonique et un accès Internet à chaque foyers».
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Les travaux de raccordement au réseau de gaz naturel de 2 839 foyers des communes d’El Mayenne, Belaâs, Hassania et Djemaâ Ouled Cheikh (Aïn Defla) seront lancés «prochainement», a annoncé le wali, Azziz Benyoucef.
L’annonce inhérente à cette opération de raccordement a été faite par le wali au cours de la visite aux communes en question dans le but de s’enquérir du taux d’avancement des projets de développement. Une enveloppe financière de plus de 2,08 milliards de dinars a été mobilisée pour la concrétisation de ce projet, a précisé le wali, émettant le souhait de le voir opérationnel avant l’avènement de l’hiver prochain. «Le raccordement au réseau de gaz naturel constitue, en vérité, un préalable à toute opération de développement», a lancé le wali aux populations des communes en question, leur rappelant qu’en sus des sacrifices consentis par leurs aïeux pour la libération du joug du colonialisme, elles ont dû faire face aux affres du terrorisme lors de la décennie noire.
Au cours de sa visite à El Mayenne (55 km au sud-ouest de Aïn Defla), le wali a précisé qu’aux 340 millions de dinars représentant les projets en cours de réalisation viendront s’ajouter 170 millions de dinars en vue notamment de renforcer les secteurs des ressources en eau, la jeunesse, l’éducation et les TP. «Ce programme est le fruit des efforts consentis par l’Etat en direction de la population en dépit de la conjoncture financière difficile», a-t-il signalé, invitant les élus de l’APC à travailler en symbiose et à bannir les divergences qu’elle qu’en soit la nature. Dans la commune de Belaâs (60 km au sud de Aïn Defla), le chef de l’exécutif a pris la décision d’allouer une enveloppe supplémentaire de 150 millions de dinars pour la concrétisation de 8 opérations de développement inhérentes notamment à l’AEP, les routes et l’éducation.
«Cette rallonge fait passer le montant total des fonds alloués à la commune à 310 millions de dinars», a observé le wali, instruisant les membres de l’APC à lancer les projets selon l’«ordre de priorité.» Dans la commune d’El Hassania (70 km au sud de Aïn Defla), le wali a fait savoir que 80 millions de dinars viendront renforcer la dynamique de développement notamment dans les secteurs de la jeunesse et l’éducation. «Il n y a pas de petites communes mais ce sont les spécificités des unes et des autres qui différent», a-t-il souligné. A Djemaâ Ouled Cheikh (40 km au sud-est de la wilaya), et après avoir suivi un exposé exhaustif sur les opérations de développement lancées au profit de la commune, Azziz Benyoucef a annoncé l’octroi d’une enveloppe financière de 120 millions de dinars qui viendront s’ajouter aux 156 millions de dinars inhérents aux projets déjà lancés. «Il va sans dire qu’en 2019, d’autres opérations viendront s’ajouter à celles déjà lancées», a précisé le wali, faisant savoir que dans un mois, il retournera dans ces mêmes communes dans un mois pour s’enquérir du taux d’avancement des projets lancés.
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Les secouristes s’efforçaient, mardi, d’apporter de l’aide aux régions dévastées par un tsunami consécutif à une éruption volcanique en Indonésie, mais le manque d’eau potable et de médicaments se faisait cruellement sentir parmi les milliers de personnes réfugiées dans des centres d’urgence.
Les travailleurs humanitaires mettaient en garde contre les risques de crise sanitaire alors que le bilan du désastre avoisine désormais les 400 morts. «De nombreux enfants sont malades, ils ont de la fièvre, mal à la tête et n’ont pas assez d’eau», explique Rizal Alimin, un médecin de l’ONG Aksi Cepat Tanggap, dans une école transformé en abri de fortune. Le tsunami a frappé soudainement samedi soir les rives du détroit de la Sonde, qui sépare les îles de Sumatra et de Java, faisant 373 morts, plus de 1.400 blessés et 128 disparus, selon le dernier bilan de l’Agence nationale de gestion des catastrophes. Plus de 5.000 personnes ont été évacuées. Les experts mettent en garde contre le risque de nouvelles vagues mortelles dues à l’activité volcanique. La vague provoquée par le volcan connu comme «l’enfant» du légendaire Krakatoa, l’Anak Krakatoa, a rasé des centaines de bâtiments sur les côtes méridionales de Sumatra et l’extrémité occidentale de Java. Et bon nombre de réfugiés ont trop peur pour rentrer chez eux.
«Peur»
«Je suis ici depuis trois jours», déclare Neng Sumarni, 40 ans, qui dort avec ses trois enfants et son époux à même le sol de l’école, avec une trentaine d’autres. «J’ai peur car ma maison est tout près de la plage». Abu Salim, volontaire de l’association Tagana, explique que les travailleurs humanitaires peinent à stabiliser la situation. «Aujourd’hui, on met l’accent sur l’aide aux réfugiés qui sont dans des centres, on installe des cuisines, on distribue des équipements logistiques et plus de tentes dans des endroits plus adéquats», a-t-il dit à l’AFP. Les gens «n’ont toujours pas accès à l’eau potable. De nombreux réfugiés sont partis sur les hauteurs et nous ne sommes pas parvenus à les atteindre». Les secouristes acheminaient l’aide principalement par la route. Deux bateaux du gouvernement faisaient également route vers plusieurs îles proches de la côte de Sumatra où les habitants sont pris au piège. Des équipes de secouristes munis d’excavatrices et d’autres équipements lourds tentaient de dégager les débris. Certains sauveteurs travaillaient à mains nues. D’après les experts, la catastrophe de samedi est consécutive à une éruption modérée de l’Anak, qui a provoqué un effondrement sous-marin d’une partie du volcan et le déplacement de vastes quantités d’eau.
Troisième désastre en six mois
à la différence des tsunamis provoqués par les tremblements de terre et qui enclenchent les systèmes d’alertes, les vagues «volcaniques» ne laissent que très peu de temps aux autorités pour prévenir les gens. Dans un premier temps, l’Agence de gestion des catastrophes avait même dit qu’il n’y avait pas d’alerte au tsunami alors même que la vague tueuse déferlait sur les côtes. L’Agence avait dû par la suite présenter ses excuses, expliquant que le système de détection était défaillant.
L’Anak s’était formé aux alentours de 1928 dans la caldeira du célèbre Krakatoa, dont l’éruption en 1883 a fait 36.000 morts. Une immense colonne de fumée, de pierres et cendres s’était dressée dans le ciel à 20 km de hauteur, plongeant la région dans l’obscurité et déclenchant un puissant tsunami.
C’est la troisième catastrophe naturelle très grave subie par l’Indonésie ces six derniers mois, après la série de puissants séismes ayant frappé l’île de Lombok en juillet et août, puis le tsunami qui a rasé Palu, sur l’île des Célèbes en septembre, faisant 2.200 morts et des milliers de disparus. En 2004, au lendemain de Noël, un tsunami avait fait 220.000 morts dans les pays riverains de l’océan Indien, dont 168.000 Indonésiens, l’un des désastres les plus meurtriers de l’Histoire.
L’Indonésie, archipel de 17.000 îles et îlots qui s’est formé par la convergence de trois grandes plaques tectoniques (indo-pacifique, australienne, eurasienne), se trouve sur la ceinture de feu du Pacifique, une zone de forte activité sismique et d’éruptions volcaniques. Elle compte 127 volcans actifs.
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Le coup d’envoi de la première édition du festival local du théâtre scolaire sera donné mardi à la maison de la culture Ali Zaâmoum de la ville de Bouira, a annoncé lundi sa directrice, Saliha Cherbi.
« Des troupes de théâtre de sept collèges d’enseignement moyen (CEM) prendront part à cette première édition du festival du théâtre scolaire, qui se poursuivra jusqu’à jeudi prochain. Son ouverture sera présidée par les autorités locales, en présence des partenaires de cette manifestation à savoir les directions de l’Education et de l’Environnement », a expliqué Mme Cherbi.
Placée sous le slogan « Vivre en paix ensemble », cette manifestation culturelle se veut un espace d’animation pour les élèves en cette période des vacances scolaires hivernales. « Nous voulons inciter l’enfant à s’intéresser à ce genre d’activités ainsi qu’à leur inculquer la culture de la paix et la nécessité de protéger l’environnement », a ajouté la responsable.
Plusieurs expositions dédiées aux enfants et des ateliers de travaux manuels seront programmés pour le premier jour de cet évènement culturel. D’autres expositions seront organisées également par les clubs verts de la wilaya.
« Les enfants auront également l’occasion d’exposer au public leurs inventions. Et, ils participeront à un concours de réalisation de fresques murales », a fait savoir la directrice de la maison de la culture Ali Zaâmoum.
Le premier jour de la manifestation sera également marqué par l’installation d’un tapis de danse pour les enfants, ainsi que par la projection d’un court métrage portant le titre « Binatna hyatna », qui sera suivie d’une conférence sur l’importance du théâtre pour l’enfant, selon les détails fournis par Mme Cherbi.
« Nous voulons, à travers cette manifestation culturelle, redonner au théâtre scolaire sa place dans le secteur de l’éducation », a déclaré Mme Cherbi.
« Le théâtre scolaire peut servir comme moyen de lutte contre la violence, la drogue et tous les phénomènes sociaux dangereux, qui guettent la vie des élèves en milieu scolaire. Nous espérons donc que ce festival soit organisé chaque année dans notre wilaya pour enseigner et éduquer davantage les enfants », a-t-elle souhaité.
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Le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar, a affirmé, mardi à Alger que 1.128.424 logements sur un total de 2.153.668 unités inscrites au titre du programme quinquennal 2015-2019 ont été réceptionnés jusqu’au 24 décembre 2018 à l’échelle nationale.
Lors d’un exposé devant les membres de la commission de l’habitat, de l’équipement, de l’hydraulique et de l’aménagement du territoire de l’APN, M. Temmar a indiqué que 1.128.424 logements sur un total de 2.153.668 unités inscrites au titre dudit programme quinquennal, ont été réceptionnés jusqu’au 24 décembre 2018, précisant que 733.440 autres unités étaient actuellement en cours de réalisation, contre 291.804 autres à l’arrêt.
Le ministre a souligné que l’état d’avancement des projets était « considérable » durant les quatre premières années (2015-2018), précisant que ledit programme a été réceptionné à 52%. Il a ajouté que 34% des logements sont en cours de réalisation, alors que les chantiers n’ont pas encore démarré pour les 14% restants.
La cadence de réalisation des logements a connu un bond qualitatif, avec une moyenne annuelle de réalisation de 280.000 unités, a-t-il poursuivi.
Le budget consommé durant la période 2015-2018 était de 2.065,43 milliards de dinars, à raison de 550, 78 milliards de dinars/an, a précisé le ministre.
M. Temmar a dévoilé un autre programme de réalisation de 180.000 logements pour l’exercice 2019, dont les travaux de réalisation débuteront durant le premier semestre 2019, notant qu’il s’agit de la réalisation de 90.000 logements AADL, 40.000 logements ruraux et 50.000 logements promotionnels aidés (LPA).
Le programme de logements pour la période 2015-2019 comprend 698.739 logements publics locatifs (LPL) (32%) et 470.000 logements AADL (22%), auxquels s’ajoutent 90.000 unités inscrites au titre du programme de 2019 et 681.898 logements ruraux (40.000 unités supplémentaires pour l’année 2019) et 253.031 logements promotionnels aidés (LPA) (50.000 unités supplémentaires pour l’année 2019) et 50.000 logements promotionnels publics (LPP).
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Le gouvernement en a exprimé la volonté : l’année 2019, sera celle de la promotion des exportations, a annoncé, ce mercredi, le ministre du Commerce.
Sexprimant, mercredi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, M. Saïd Djellab rappelle qu’à l’effet de faire connaitre la large panoplie des produits Algériens, des déplacements d’un grand nombre d’entreprises ont été organisés vers des marchés à l’étranger, notamment en Amérique, au Moyen Orient et en Afrique en particulier.
Il signale que durant ces visites, il est apparu que nombre de ces produits peuvent concurrencer aisément ceux d’autres pays, tant au plan de la qualité que des coûts.
D’une étude élaborée en coopération avec le Centre du commerce international de Genève, il explique que celle-ci a permis de cibler distinctement les secteurs susceptibles d’être investis sur ces marchés et, dans le même temps, de cerner les aspects pouvant contribuert à promouvoir les exportations, tels ceux relatifs à la qualité, la logistique ou encore l’information commerciale.
Entre autres actions allant dans le même sens, il souligne l’important apport que constituent les institutions d’appui à l’exportation, dont il annonce, par ailleurs, le prochain redéploiement et parmi lesquelles il cite l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex), la Société Algérienne des foires et exportations (Safex) et l’Organisme Algérien d’accréditation (Algerac)..
Tout cet ensemble d’activités va nous permettre, déclare-t-il, d’élaborer, à partir de janvier 2019, « une feuille de route » tendant à donner corps aux exportations, laquelle, indique-t-il, constituera le « sujet central » de tous les débats économiques, durant les années à venir.
L’un des aspects que M. Djellab tiendra à relever est relatif au financement des exportations sans lequel, dit-il, celles-ci se trouveront handicapées. A ce titre, il annonce qu’en plus de soutenir le transport des marchandises, le système déjà existant va être réformé, afin de le rendre efficient et palpable les activités d’exportation.
Le ministre du Commerce observe, d’autre part, qu’un regain de confiance s’est désormais créé au sein des opérateurs économiques, dont il assure qu’une majorité parmi eux souhaitent faire connaitre leurs productions sur les marchés à l’extérieur du pays.
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ALGER – Le coup d’envoi de la première édition du Concours national des courts métrages « Golden Eye » (Œil d’or) a été donné mardi à Alger avec la participation de 12 films de plusieurs wilayas.
Initié par l’Union nationale des Arts culturels (UNAC) et organisé à la salle « Al-Khiyam » relevant de la commune d’Alger centre, cet évènement, qui prendra fin le 27 décembre en cours, comprendra outre les projections, plusieurs activités culturelles et scientifiques dont des ateliers de formation.
La cérémonie d’ouverture a été marquée par la projection d’un court métrage « Harb Oukhra » (Une autre guerre) du réalisateur irakien, Ahmed Chawki Hanoun, qui traduit la réalité de la guerre menée contre la société irakienne.
De son côté, la directrice de l’UNAC, Amel Arossi, a souligné dans son allocution d’ouverture, l’intérêt qu’accorde cette institution aux innovations des jeunes en œuvrant, notamment, à les encourager et à les aider pour développer leurs compétences à travers ces manifestations.
Pour sa part, le Secrétaire général de l’Office de promotion culturelle et artistique (OPCA) d’Alger centre, Amine Zemam, a fait savoir que la mobilisation de ces espaces avait pour but de faire passer les œuvres de ces jeunes notamment en matière de production cinématographique, rappelant, à cette occasion, le projet de réhabilitation des salles de cinéma relevant de sa commune à l’image de la salle « Djazairia » qui est en cours de dotation d’un système de projection numérique (DCP).
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TAMANRASSET – Les services de la Police judiciaire (PJ) de la sûreté de la wilaya de Tamanrasset ont arrêté dernièrement un individu (40 ans) recherché par Interpolpour « constitution d’association de malfaiteurs pour but de trafic international de drogue », a-t-on appris mardi auprès de la cellule de communication et des relations générales de la sûreté de la wilaya.
Agissant suite à des informations sur un individu, en séjour à Tamanrasset, faisant l’objet d’un mandat d’arrêt international émis par Interpol, les services de la PJ ont localisé et arrêté, suite à d’intenses recherches et investigations, le suspect dans le quartier Sersouf El-Hofra, au centre ville de Tamanrasset, a précisé le chef de la cellule de communication et des relations générales de la sûreté de la wilaya,Tahar Khedeiria.
Les mêmes services ont fait savoir que le mis en cause, en dépit de l’usurpation du nom, a fini par avouer sa véritable identité après avoir été confirmée par le système d’identification automatique par empreintes digitales (AFIS), avant d’être présenté à la partie judiciaire compétente.
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Suite au relogement qui se fera demain, la circulation dans la capitale sera perturbée.
En effet, 1800 familles occupant des habitations précaires, des bidonvilles bâtis sur des zones sensibles ou à vocation industrielle ou agricole, sont concernées. Parmi elles, s’ajoutent également celles qui occupent des espaces dans des établissements scolaires.
Les zones concernées ont été délimitées:
Ainsi, les familles rejoindront leur nouvelles demeurent qui se situent dans les communes de : Ouled Fayet, Douira, Cité Mihoub et Baraki.
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