Les habitants de la commune de Sidi-Ben-Adda distante de quatre bornes kilométriques du chef-lieu de wilaya constatent avec regret que les actes de vol de biens ont repris ces derniers temps d’une manière on ne peut plus inquiétante.
Pour preuve, un véhicule utilitaire de marque Mazda a été enlevé près du domicile de son propriétaire la semaine dernière par des individus qui se sont volatilisés dans la nature, un autre vol a été signalé dans une ferme agricole où un troupeau de 12 moutons a disparu de ladite ferme sans que personne s’en aperçoive. Malgré l’implantation d’une brigade de Gendarmerie nationale, les auteurs de ces vols n’ont pas encore été arrêtés ,ce qui inquiète quelque peu les citoyens de cette localité de trois marabouts. Les supputations vont bon train, selon certains dires, les auteurs de ces vols seraient des postulants à l’émigration clandestine, ils dérobent ce qu’ils trouvent pour se procurer l’argent en vue de payer le prix de la harga à bord d’une embarcation vers les côtes espagnoles.
Il est à signaler que cette commune côtière enregistre de plus en plus de candidats à la harga depuis que ce phénomène est apparu. Les habitants de Sidi-Ben-Adda s’impatientent pour l’ouverture d’une unité de Sûreté urbaine pour pouvoir juguler un tant soit peu les actes de vol et même pour assurer la sécurité des personnes et de leurs biens.
S. B.
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800 g à un 1 kg de pommes de terre, 1 poivron rouge, 1 poivron vert, 75 cl de lait entier, 30 cl de crème fraîche épaisse, 1 gousse d’ail, 1 tige de sauge, sel, poivre
Lavez les poivrons. Plongez-les une minute dans l’eau bouillante. Egouttez-les, rafraîchissez-les et pelez-les. Epépinez-les et coupez-les en larges lanières. Pelez et coupez les pommes de terre en rondelles. Lavez, séchez, effeuillez et ciselez la sauge. Préchauffez le four th 5 (150°). Frottez l’intérieur d’un plat à gratin avec la gousse d’ail coupée en deux. Faites une couche de pommes de terre dans le fond du plat. Recouvrez-la d’une couche de crème fraîche puis d’une couche de poivron vert. Parsemez de sauge, salez et poivrez. Recommencez l’opération en recouvrant cette fois les pommes de terre de poivron rouge puis terminez par une couche de pommes de terre. Versez le lait pardessus et enfournez. Faites cuire 2 heures.
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4 pommes (petites), 10 g de beurre, le zeste d’un citron, un jaune d’œuf, une cuillère à soupe de sucre
Préchauffer le four à 180°. Eplucher 2 pommes, les évider avec un vide-pomme, les couper en deux dans le sens horizontal.Les enfourner 10 minutes à 180° sur une plaque recouverte de papier sulfurisé. Les laisser ensuite tiédir puis reformer les deux pommes en associant chaque moitié. Pendant ce temps, éplucher les deux autres pommes, les évider et les râper. Dans un récipient, mélanger le jaune d’œuf, le zeste de citron, le beurre et le sucre. Ajouter ensuite les pommes râpées et mélanger délicatement. Recouvrir les pommes précuites de ce mélange et les poser sur une plaque recouverte de papier sulfurisé. Enfourner 20 minutes à 180°, sortir du four et déguster tiède.
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Le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a décidé ce jeudi de la dissolution de l’Office central de la répression de la corruption (OCRC), pour le remplacé par un Pôle pénal financier.
L’Agence officielle avait annoncé que le projet de loi relative à la prévention et à la lutte contre la corruption aller être examiné lors du Conseil des ministres qui s’est tenu aujourd’hui.
Ce projet prévoit la dissolution de l’Office central de la répression de la corruption. Celui-ci, créé en août 2010, n’aurait pas répondu aux attentes des autorités qui ont fini par découvrir une « complexité de sa composition et un manque de coordination entre les différents services représentés à son niveau ».
Le projet de loi prévoit la création d’un pôle pénal financier, doté d’une compétence nationale, pour remplacer l’OCRC. Il sera créé au niveau de la Cour de justice d’Alger et principalement chargé de traiter les affaires financières les plus complexes.
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Opérations tous azimuts que celles qu’entreprend le ministre du Tourisme et de l’Artisanat pour faire retrouver à ce secteur son lustre d’antan.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – Dernière en date, la signature, hier, d’une convention-cadre entre le Groupe touristique hôtellerie, tourisme et thermalisme (HTT) et l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA). Une convention, la seconde de rang après celle de juin dernier qui, selon Abdelkader Benmessaoud, a pour objet d’«encourager l’activité touristique pendant la période hivernale, que ce soit au Sahara ou dans les thermes». Pas que cela puisque cette démarche vise également à promouvoir le «tourisme écologique dans les régions montagneuses» dont raffolent nombre de gens en cette périodes de grand froid.
Une démarche en droite ligne de la philosophie de la tutelle du tourisme et de l’artisanat de réhabiliter le tourisme local avec «plus d’opportunités d’évasion». Et au ministre du Tourisme et de l’Artisanat d’annoncer d’autres contrats avec la Fédération nationale des hôtels pour, notamment, des baisses dans les tarifs «entre 20 et 30% sur les réservations dans des hôtels». Toujours dans la même démarche encourageant le tourisme dans le sud du pays, Benmessaoud annonce des rabais dans les réservations des billets d’avion d’Air Algérie à hauteur de 50% pour les familles des travailleurs. Ceci pour le tourisme local alors que pour le segment des touristes étrangers, le ministre a réitéré les facilités d’octroi de visas par nos ambassades pour les étrangers désirant se rendre dans notre pays. Puisque, a-t-il annoncé, ces délais «ne dépassent pas 72 heures» avec un «meilleur accueil possible» accordé à ces touristes étrangers. S’exprimant à son tour, à l’occasion, le patron de la centrale syndicale a conféré à cette convention une dimension «sociétale et culturelle» puisque, selon Abdelmadjid Sidi-Saïd, «elle va permettre aux familles de travailleurs algériens de se déplacer aisément à travers leur pays» avec les corollaires positifs de «construire le tissu sociétal au sein d’un espace touristique qui réunira toutes les catégories» et de «renforcer notre diversité culturelle et créer des liens entre les Algériens des quatre coins du pays».
M. K.
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Inquiétudes chez l’Association générale des entrepreneurs algériens (AGEA). L’avenir des entreprises du BTPH est en péril, déclare-t-elle. Ses membres estiment que la survie des entreprises dépendra des décisions que prendra le gouvernement. Dans une lettre adressée à Ouyahia, il lui est demandé de revenir aux codes du marché et d’annuler le gré à gré.
Nawal Imès – Alger(Le Soir) – Ce n’est ni plus ni moins que l’asphyxie financière que risquent les entreprises du domaine du bâtiment et des travaux publics. C’est ce qui ressort de la lettre adressée par le bureau national de l’AGEA au Premier ministre.
Dans cette dernière, l’association écrit que «confrontées à des difficultés de plan de charge, les entreprises du secteur du BTPH risquent actuellement de faire faillite, et ces difficultés ne concernent pas uniquement les entreprises affiliées à I’AGEA, mais touchent l’ensemble des entreprises du BTPH implantées à travers le territoire national», ajoutant que «par conséquent, un grand risque pèse actuellement sur la préservation de l’emploi et la survie même des entreprises. Les entreprises activant dans le domaine du BTPH sont confrontées à des problèmes de baisse drastique de leur activité, due à un manque flagrant de plan de charge».
Dans son cri de détresse, l’AGEA note que «le contexte actuel est caractérisé par une détérioration sans précédent du climat des affaires de nos entreprises, qu’elles soient publiques ou privées». Que faire face à cette situation ? L’AGEA estime qu’il est «impératif» de procéder à l’annulation «pure et simple» de la short-list des entreprises accédant aux projets via le gré à gré et de revenir au code des marchés publics avec la préférence de 25% au profit des entreprises locales publiques et privées. Même si cette mesure a ses limites, assure l’association, cela permettrait aux entreprises algériennes de bénéficier des marchés publics, et, par conséquent, assurer leur survie.
S’adressant au Premier ministre, l’AGEA rappelle que «l’entreprise algérienne est un patrimoine de l’Etat, ce dernier doit la préserver et veiller à sa pérennité, en solutionnant ses problèmes et en lui assurant un plan de charge» et de lui réunir les meilleures conditions en lui assurant un plan de charge lui permettant de sauvegarder des emplois et d’en créer de nouveaux.
Elle rappelle, également, que le secteur du BTPH «constitue le moteur principal de la croissance. Il est le premier générateur d’emplois dans le pays, ajoutant que la petite et moyenne entreprise tendait à devenir de plus en plus la cheville ouvrière de l’économie et qu’il était, à ce titre, «vital que les pouvoirs publics apportent réellement et concrètement leurs contributions et facilitent I’émergence irréversible de ce stratégique tissu d’entreprises».
N. I.
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D’après la chaine Ennahar TV, le président de la république algérienne a décidé de créer quatorze nouvelles wilayas déléguées. Ces dernières seront créées sous l’autorité de 5 wilayas du Nord du pays. Il s’agit des wilayas de Annaba, Blida, Alger, Constantine et Oran.
Un décret Présidentiel paru dans le Journal officiel n°72e modifie et complète celui portant création de circonscriptions administratives dans certaines wilayas et fixant les règles particulières qui leur sont liées.
Par ce même décret présidentiel, de nouvelles prérogatives ont été octroyées aux walis délégués. Ces mesures mèneraient vers une décentralisation de l’administration.
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par Djamel Labidi
En 2011, les révoltes arabes avaient posé, avec des destins divers, la question de la démocratie comme une question historique urgente. L’Occident avait voulu alors donner en modèle sa démocratie aux Arabes. Mais ces révoltes arabes étaient revenues comme un boomerang sur les pays occidentaux pour montrer les limites de la démocratie occidentale.Le 15 mai 2011, à Madrid, la place de «la Puerta del sol», avait les mêmes accents que la place Tahrir en Égypte et le mouvement des «Indignés» s’était répandu comme une traînée de poudre en Grèce, à Londres, à New York, à Montréal, et jusqu’à Tokyo. L’Histoire dira peut-être que tout cela a commencé un 17 décembre 2010 à Sidi Bouzid, en Tunisie. Des mots d’ordre comme «le dégagisme» de la révolution tunisienne ou «le peuple veut» de la révolution égyptienne vont gagner l’Europe pour influencer désormais les mouvements de masse, tel celui aujourd’hui des «Gilets jaunes». Emmanuel Macron avait repris le mot d’ordre de «dégagisme» à son compte. Accusé aujourd’hui d’abus de confiance, il en fait lui-même les frais.
En France, divers évènements avaient d’ailleurs annoncé la crise actuelle de la démocratie française. Citons parmi eux l’affaire Strauss-Kahn. Elle éclate le 14 mai 2011, c’est à dire, par un de ces étranges rendez-vous dont l’Histoire a le secret, la veille du «15 de Mayo» à Madrid.
Elle montrait aux yeux d’une opinion publique littéralement sidérée, le côté obscur de la personnalité du directeur général du FMI, celui-là même qui allait être vraisemblablement le président de la République française avec le soutien intense des médias(1). Elle révélait aussi la crise profonde des élites dominantes, dont une bonne part s’était portée au secours de Dominique Strauss-Kahn.
En janvier 2014, une campagne médiatique d’une grande violence était déclenchée contre l’humoriste français Dieudonné, accusé de masquer un antisémitisme derrière sa dénonciation d’Israël. Dieudonné dénonce aussi régulièrement ce qu’il appelle «le système». L’acharnement dont va faire preuve contre lui la quasi-totalité des médias et des partis politiques de droite comme de gauche, qui se sont succédé au pouvoir en France, fournira, par là même, la preuve de l’existence écrasante de ce système médiatico-politique. Le large soutien dont Dieudonné va bénéficier auprès de l’opinion publique, notamment à travers l’Internet, révèle fortement, à cette occasion, l’existence actuelle de deux grands systèmes de communication, les médias traditionnels et les réseaux sociaux, voire leur opposition. L’un nécessitant des capitaux, l’autre étant à la portée de chacun, ce conflit entre ces deux grands systèmes va lui-même exprimer et amplifier, ici comme ailleurs, les aspirations à la justice sociale ainsi que cette crise de la démocratie.
La crise de la démocratie française, apparaît clairement aux élections présidentielles françaises de 2017. Plus personne ne se réclame désormais du «système» et chacun le dénonce ou fait mine de le faire. La situation est inédite. Le bipartisme droite-gauche s’écroule. Emmanuel Macron reprend le mot d’ordre du «dégagisme» à son compte. Il est élu à la suite d’élections «introuvables», marquées par une suite de rebondissements et de coïncidences étonnantes. Il bénéficie d’un large appui des médias mais son score, au premier tour, dépasse à peine celui de ses principaux concurrents. De plus, le nombre de bulletins blancs et le taux d’abstention sont si considérables qu’ils marquent aujourd’hui son élection d’un déficit de représentativité.
Aux États Unis, où on a toujours une longueur d’avance, le système médiatico-politique suscite depuis longtemps la défiance dans la population. Comme en Europe et en France, les chaînes de télé ont eu à faire face à une crise de confiance grandissante, voire à de l’hostilité. Les journalistes sont même parfois agressés. Mais Donald Thrump a su utiliser cette situation, en concentrant cette défiance sur les médias et journaux proches du parti démocrate, notamment la chaîne CNN et les élites, gravitant autour d’elle, politiciens, artistes, journalistes, intellectuels. Il a réussi ainsi à orienter, pour le moment, la colère grandissante de la population, au profit d’un projet de domination nationaliste, facilité par l’avantage économique et militaire que conservent les États-Unis sur le monde.
Cette situation, soit celle d’une sortie «par le bas», nationaliste chauvine, autoritaire, voire xénophobe, soit d’une sortie «par le haut», lutte contre les inégalités sociales, démocratie plus avancée, humanisme, caractérise d’ailleurs, partout où elle se manifeste, la crise actuelle de la démocratie occidentale.
(1) Djamel Labidi, «Affaire Strauss-Kahn, FMI et Démocratie», le Quotidien d’Oran», 2 juin 2011.
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La situation de certains malades au niveau du CHUO risque de devenir très difficile dans les prochains jours, comme expliqué hier par l’«Association Rêve de Vivre Positive», une association agréée en 2018 et qui s’occupe des personnes vivant avec le VIH.
Dans une conférence de presse qui a été organisée au bureau de la LADDH d’Oran, qui a prêté ses locaux à l’association, la présidente de l’association a révélé que depuis deux mois, une pénurie de médicaments est enregistrée. «D’ici la fin de l’année, c’est sûr il y aura une rupture totale des médicaments pour les porteurs du virus du sida.»
Accompagnés d’une avocate qui les soutient et les aide pour les questions juridiques et du droit à la santé, les membres de l’association ont longuement témoigné de leur calvaire, rupture de médicaments, état délabré du service infectieux du CHUO, pas assez de moyens pour que les médecins auscultent et traitent dignement les malades, non-respect de l’anonymat. La pénurie de médicaments touche aussi le traitement pour les enfants et les bébés, dénoncent les membres de l’association.
Les pannes récurrentes des équipements du chu constituent un autre problème soulevé. «La charge virale, on ne peut plus la faire à l’hôpital, l’appareil est en panne, il n’y a pas de réactif. Dans le privé, c’est
14 000 DA et il faut faire cette analyse régulièrement, c’est vital pour nous afin de connaître quelle ligne du traitement de la trithérapie à prendre. Depuis des mois, les molécules de la première ligne ne sont plus disponibles, on nous met tous à la deuxième ligne et ce n’est pas forcément bon pour tout le monde.» Le transfert de certains pour leur prise en charge à Sidi-Bel-Abbès, comme souhaité par le CHUO, pose problème. Il nécessite un coût financier que les familles ne peuvent pas supporter. «On me demande à Bel-Abbès de refaire tout mon dossier médical, alors que je suis suivi depuis 10 ans au CHUO, c’est 40 000 DA au minimum, c’est trop !», témoigne un homme de Tiaret.
L’association souhaite que le ministre de la Santé puisse intervenir en urgence «car, début 2019, il n’y aura plus de médicaments pour nous et c’est une question de vie ou de mort», dira la présidente de l’association, appuyée par les autres membres.
Cette situation ramène tout le monde en arrière puisqu’en 2011 déjà, une pénurie de plusieurs mois avait eu lieu, et les familles avaient dû, pour se faire entendre, tenir un sit-in de protestation à l’époque. Cette action, qui avait fait grand bruit, avait poussé les responsables à réagir en urgence. Aujourd’hui, c’est à nouveau pareil et toujours au CHUO et à Oran.
M. Fayçal
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DAMAS – La Syrie et le Liban ont réclame au Conseil de sécurité d’ »assumer ses responsabilités dans la préservation de la paix et la sécurité internationales » et de prendre des mesures « immédiates afin d’interdire la répétition des agressions israéliennes » contre leurs territoires et d’obliger Israël à respecter le droit international et les résolutions de l’ONU.
Mardi, la défense antiaérienne de l’armée syrienne est entrée en action contre des missiles tirés par l’aviation israélienne sur des cibles près de Damas, a rapporté l’agence Sana, citant une source militaire qui a fait état de trois soldats blessés et des dégâts dans un entrepôt de munitions.
« La majorité de ces missiles ont été interceptés avant d’atteindre leurs cibles », a souligné l’agence, affirmant que les avions israéliens avaient tiré depuis l’espace aérien libanais.
Dans deux messages adressés au secrétaire général de l’ONU et au président du Conseil de sécurité sur les raids israéliens survenus mardi soir contre Damas et sa banlieue, le ministère syrien des Affaires étrangères a indiqué que « l’agression flagrante est une tentative de faire perdurer la crise en Syrie et la guerre terroriste déclenchée contre elle afin de rehausser le moral de ses agents des terroristes », a indiqué l’agence syrienne Sana.
La diplomatie syrienne a condamné vigoureusement dans ces messages « cette agression israélienne aux missiles contre les territoires syriens visant un certain nombre de positions dans la ville de Damas et dans sa banlieue au moment où des Syriens célébraient dans la joie la fête de Noël pour la première fois après la purification de Damas et de sa banlieue du terrorisme », a ajouté l’agence syrienne.Soulignant qu’elle constitue « une violation flagrante » de la résolution du Conseil de sécurité 350 de l’an 1974, le ministère syrien des Affaires étrangères a indiqué que « la tentative des autorités de l’occupant israélien de terrifier le peuple syrien pendant les fêtes confirme que les actes d’Israël ne sont pas différents de ceux perpétrés par les réseaux terroristes du Front Nosra et de Daech », a poursuivi la même source.
Considérant que « la poursuite de la ligne hostile suivie par Israël est irréalisable sans le soutien illimité et permanant apporté par l’administration américaine », la diplomatie syrienne a réclamé au Conseil de sécurité d’ »assumer ses responsabilités dans la préservation de la paix et la sécurité internationales, de prendre des mesures immédiates afin d’interdire la répétition des attaques israéliennes contre les territoires syriens ».
Beyrouth dénonce des « violations israéliennes dangereuses »
Dans ses deux lettres, la Syrie a appelé le Conseil de sécurité d’ »obliger Israël à respecter les résolutions de l’ONU relatives à l’accord sur le dégagement des forces et au rejet de l’annexion du Golan syrien occupé », exigeant des instances onusiennes de demander des « comptes à Israël pour ses actes commis à l’encontre des Syriens (…) qui constitue une transgression flagrante de la charte de l’ONU, des dispositions du droit international, des résolutions du Conseil de sécurité et de toutes les mesures relatives à la lutte contre le terrorisme ».
De son côté, le Liban a dénoncé vigoureusement l’agression israélienne et dénoncé la violation de son espace aérien par les avions militaires d’Israël, a indiqué l’agence de presse libanaise.
Le chef de la diplomatie libanaise, Gebrane Bassil, a demandé à l’ambassadrice du Liban à l’ONU, Amal Mudallali, de saisir le Conseil de sécurité concernant « les dangereuses violations israéliennes ayant mis en danger l’aviation civile et qui auraient pu causer un désastre majeur », a-t-il indiqué dans un communiqué repris par l’agence libanaise.En septembre dernier, des manoeuvres provocatrices similaires menées par l’armée israélienne dans l’espace aérien syrien ont provoqué le crash d’un avion militaire russe II-20 causant la mort de 17 officiers supérieurs russes qui étaient en mission en Syrie.
Cette tragédie avait provoqué consternation et condamnation internationale interpellant l’ONU à faire cesser ces actes meurtriers. Face à « l’irresponsabilité » et à « l’arrogance » d’Israël, la défense russe a décidé alors d’équiper la Syrie de batteries anti-aériennes (S.300) d’interception de missiles afin de protéger son territoire et sa population.
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A quelques jours de l’organisation des élections sénatoriales, pour le renouvellement du tiers élu à la Chambre haute du Parlement, prévu pour ce 29 décembre et qui verra le collège des grands électeurs (élus locaux des APC et APW) élire leur représentant au Sénat, en remplacement au parlementaire sortant après avoir rempli un mandat de six années, rien ne semble filtrer des services de l’administration locale (DAL) qui ont catégoriquement refusé de fournir la moindre information à ce sujet, prétextant que des instructions fermes leur ont été données dans ce sens et que seul le directeur de l’administration locale est habilité à le faire.
A Mila, donner le nombre de candidats et la composante des élus locaux par formation politique est frappé du sceau du secret. Et dire que le wali ne cesse de crier haut et fort que toutes les portes de ses services restent grandes ouvertes devant les administrés et les représentants des organes de presse, en particulier, une corporation qu’il considère comme étant un partenaire privilégié ! Voilà, monsieur le wali est informé que rien de tel n’est respecté par ses subalternes…
A. M’haimoud
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Dans 10 jours, une deuxième opération d’exportation aura lieu et une troisième dans 15 jours, en direction de Dakar.
Une caravane transportant des produits nationaux, dans différentes filières, a été lancée hier depuis le Palais des expositions (Safex) en direction, de Nouakchott en Mauritanie. Supervisée par le ministère du Commerce et pilotée par l’entreprise nationale Logitrans, la caravane en question est composée de 20 semi-remorques transportant 400 tonnes de différents produits nationaux. La cargaison est composée de 220 tonnes de produits agricoles (pommes de terre, oignons, citrouilles), 40 tonnes de produits électroménagers, 120 tonnes de produits agroalimentaires et 20 tonnes de produits hygiéniques. Les produits acheminés représentent 5 opérateurs économiques. Il s’agit d’ECD Foods, les Moulins Amor Benamor, la Sarl Faderco, la Sarl Sobco et Concord SPA. Le voyage devrait durer 9 jours. La caravane doit parcourir 3 500 km dont 1 800 km en territoire algérien et 1 700 km en territoire mauritanien. S’exprimant en marge de l’événement, le ministre du Commerce, Saïd Djellab, a indiqué que l’Algérie est entrée dans la bataille de l’exportation et que l’année prochaine sera pleine de bonnes surprises en matière d’exportation. Après cette caravane en direction de Nouakchott, le ministre a indiqué que dans 10 jours, une deuxième opération d’exportation aura lieu et une troisième dans 15 jours en direction de Dakar. Le ministre annoncera également que d’ici la fin de l’année, il y aura une grande opération d’exportation de matériaux de construction d’une société algérienne qui partira de Tamanrasset vers le Niger. Cette opération comprendra 150 semi-remorques de matériaux de construction. Tout porte à croire que la dynamique des exportations hors hydrocarbures en Algérie sera renforcée en 2019 par un accompagnement spécial des exportateurs sur les plans organisationnel, logistique et incitatif. Le marché africain est l’une des priorités majeures de la stratégie algérienne en matière d’exportation de produits finis. Un peu plus de 50 accords d’exportation dans divers domaines de production ont été signés avec des pays africains dont 25 contrats avec des opérateurs économiques mauritaniens. En effet, l’Algérie mise sur la Mauritanie en tant que rampe de lancement pour son déploiement économique sur le continent africain. Bien que très modeste, le marché mauritanien pourrait aider les entreprises algériennes à se lancer à la conquête des marchés de l’Afrique de l’Ouest, notamment du Sénégal. Il faut dire que l’inauguration du poste frontalier terrestre Chahid Mustapha-Ben Boulaïd entre l’Algérie et la Mauritanie a constitué la première pierre, posée pour promouvoir la coopération commerciale entre l’Algérie et la Mauritanie. Ce poste frontalier sera renforcé par la création d’une base logistique dans la wilaya de Tindouf en faveur des opérateurs économiques exportateurs. Pour rappel, le poste frontalier terrestre Chahid Mustapha-Ben Boulaïd a déjà servi pour le passage de la caravane qui avait acheminé les marchandises algériennes qui ont été exposées lors de l’exposition spécifiques des produits algériens à Nouakchott en Mauritanie, du 23 au 29 octobre 2018.
Saïd Smati
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Écrit par Samir Mouloud et NADIA BELLIL
Les imams d’Algérie vont consacrer demain leur prêche au thème de la « harga » et tenter de dissuader les candidats à l’immigration clandestine et de leur projet de quitter le pays par tous les moyens. Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs les a appelé
, en effet, à consacrer le prêche à la sensibilisation aux risques et aux périls de la « harga ». Mohamed Aïssa a expliqué son initiative par le fait que la prière du vendredi, par son côté rassembleur, permet aux imams de diffuser la bonne parole et de « soulever la question sensible de l’immigration irrégulière afin de convaincre de son caractère potentiellement meurtrier. Pour le ministre, la « Méditerranée, ce cimetière à ciel ouvert, comme les bateaux de la mort, sont devenus un cauchemar pour les familles algériennes ». « Exposer sa vie au danger est contraire aux préceptes, valeurs et principes de l’Islam. C’est un péché », ajoute le ministre dans son message posté sur sa page Facebook. Dans une déclaration à « Reporters », le président du Syndicat national des imams, Djelloul Hadjimi, indique que les responsables des mosquées et lieux de culte musulman ont été invités à consacrer une partie de leur prêche du vendredi aux dangers de la « harga ». Il a ajouté que la corporation des imams n’a pas attendu les instructions de Mohamed Aïssa pour aborder ce sujet d’actualité brûlante et appeler les fidèles à la sensibilisation contre « l’infortune » de la migration irrégulière. « Recourir à la voie irrégulière pour gagner un autre pays n’est pas une solution.
Elle est largement prohibée parce que des vies humaines sont mises en danger », ajoute l’imam, en s’appuyant sur des versets coraniques.
Les députés indépendants demandent une allocation chômage de 18 000 DA
Par ailleurs, le groupe parlementaire des indépendants à l’Assemblée populaire nationale (APN) interpelle le Premier ministre Ahmed Ouyahia à propos du phénomène de la harga. « Nous, en tant que groupe parlementaire des indépendants, avons interpellé via une question orale le gouvernement, à travers la saisine du Premier ministre en sa qualité de premier responsable exécutif, pour qu’il prenne en charge l’épineuse question de la harga », a confié, hier à «Reporters», Lamine Osmane, président du groupe parlementaire des indépendants à l’APN. Aussi, et tout en expliquant que « le peuple vit une situation sociale critique à travers cette harga », Osmane notera qu’« il est de notre devoir de tirer la sonnette d’alarme et d’alerter les pouvoirs publics sur cette problématique des plus préoccupantes».
Le groupe parlementaire des indépendants ne se limite pas à la saisine du Premier ministre mais formule tout autant des propositions pour mettre fin à ce fléau « qui ne cesse de prendre de l’ampleur », tient-il à préciser. C’est ainsi qu’il réclame une allocation chômage de l’ordre de 18 000 DA aux jeunes chômeurs
« jusqu’à ce qu’on leur trouve des emplois, et ne s’aventurent plus dans la harga », précise-t-il.
« Pour les jeunes de plus de 26 ans et qui sont toujours à la recherche d’un emploi, l’Etat doit mettre la main à la caisse pour les aider et leur permettre de vivre décemment dans l’honneur et de ne pas risquer leur vie dans la harga », a-t-il expliqué à cet égard. Le gouvernement accédera-t-il à cette demande intervenant dans une situation économique et financière difficile ? Rien n’est moins sûr au regard des récentes mises en garde du Gouverneur de la Banque d’Algérie (BA) Mohamed Loukal, lors de sa présentation du rapport annuel sur l’évolution économique et monétaire de l’Algérie en 2016 et 2017. C’est cette même situation financière délicate qui a été, également, à l’origine du refus de la révision de l’allocation des handicapés. En effet, la ministre de la Solidarité nationale Ghania Eddalia avait été saisie récemment par des députés, lors d’une question orale à propos de la situation de « pauvreté » dans laquelle évolue la catégorie des handicapés. La ministre, qui avait reconnu la légitimité de la revendication, compte tenu des conditions « de vie actuelles de cette frange de la société et des difficultés auxquelles elle se heurte », avait déploré une situation financière qui « ne peut pour l’heure répondre à cette exigence ». Les personnes handicapées dont le taux d’invalidité est de 100%, ne pouvant pas travailler, âgés de plus de 18 ans et sans aucune source de revenu, bénéficient d’une allocation financière de 4 000 DA/mois et les handicapés dont le taux d’invalidité est inférieur à 100% bénéficient d’une allocation de 3 000 DA/mois. Des observateurs estiment que si le gouvernement n’a pas répondu favorablement à l’exigence de revoir l’allocation des handicapés, il est peu probable qu’il alloue une allocation chômage de 18 000 DA. Peut-être que le gouvernement à défaut de mettre la main à la poche pourrait trouver d’autres solutions au phénomène de la harga.
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La sélection nationale des joueurs locaux, renforcée par deux joueurs évoluant à l’étranger, rencontrera cet après-midi (13h00 heure algérienne), l’Equipe nationale du Qatar, à Doha, en match amical à huis clos.
Pour le premier match officiel de la sélection des locaux sous la houlette du sélectionneur Djamel Belmadi, il faut dire que ce sera un match «historique» dans la mesure où c’est la première fois qu’un match amical officiel de l’équipe algérienne est annoncé à huis clos, sans la présence du public et surtout également, de la presse. L’explication à cette option est simple: c’est le sélectionneur du Qatar, l’Espagnol Félix Sanchez, qui a exigé que cette rencontre se joue sans la présence du public et de la presse. Il s’agit de l’avant-dernier test pour le Qatar qui doit affronter l’Iran le 31 décembre, avant la coupe d’Asie des nations prévue du 5 janvier au 1er février. En d’autres termes, le coach espagnol du Qatar veut cacher ses options tactiques et techniques aux différents concurrents à la phase finale de la coupe d’Asie, des nations qui débutera le 5 janvier prochain aux Emirats arabes unis. Le Qatar se trouve en effet d’une part, dans le groupe «E» en compagnie de l’Arabie saoudite, du Liban, et de la Corée du Nord, d’autre part, il est important de signaler qu’à l’issue de ce match amical, on ne pourrait faire d’analyse et on se contentera uniquement des déclarations des sélectionneurs et des joueurs. Ça serait donc un match important pour les sélectionneurs des deux équipes ainsi que pour les joueurs qui tenteront d’arracher une place avec la sélection nationale fanion. D’ailleurs, le sélectionneur des Verts et ex-sélectionneur du Qatar, retrouvera ses mêmes joueurs qataris qu’il a drivés, avant de rejoindre l’équipe d’Algérie. Il connaît bien donc, cette formation qatarie et il sait très bien qu’elle est supérieure à celle qu’il mène aujourd’hui. Encore faut-il bien préciser que le Qatar de ces dernières années est bien différent de celui des années 70 où l’Algérie pouvait le battre sur des scores lourds. Le football qatari a beaucoup progressé, contrairement au nôtre. En tout cas, ce match amical est important pour le choix des joueurs et des tactiques qu’ils pourront adopter. Pour les joueurs de Belmadi, il s’agit de montrer ce dont ils sont capables pour avoir la confiance du sélectionneur en vue d’une éventuelle convocation chez les A. «Le Qatar est en train de préparer la Coupe d’Asie des nations, ils sont sur une série de très bons matchs. C’est une équipe de qualité. Ça va être un très bon test pour nos joueurs, une bonne opportunité de pouvoir démontrer leurs qualités et une opportunité pour moi aussi de voir à ce niveau ce qu’ils sont capables de faire», a indiqué Belmadi dans un entretien vidéo diffusé samedi en fin de soirée sur le site officiel de la EAF.
De 2015 à 2018
Au passage, il est utile de rappeler que, l’Algérie et le Qatar se sont déjà rencontrés le 26 mars 2015 où le Qatar était alors dirigé par le même Djamel Belmadi qui a battu sur le même stade de cet après-midi, Abdellah Bin Khalifa, la sélection algérienne drivée par le Français Christian Gourcuff (1-0). L’unique but de la partie a été marqué par Ali Saâd à la demi-heure du jeu. La sélection «A» algérienne avec les Mahrez, Taïder, Bentaleb, R. Ghezzal, Belfodil, Brahimi, Slimani et autres ont bien raté leur match face aux Qataris. Aujourd’hui, seul Belaïli était présent lors du match de 2015. A ce moment-là, il n’était que remplaçant: aujourd’hui, c’est un «cadre» qui aide les jeunes à se familiariser avec la sélection algérienne. Côté qatari, on citera le nom de ce joueur né et formé en France alors qu’il est d’origine algéro-marocaine. Il s’agit du milieu de terrain Karim Boudiaf. En 2010 lorsque Yebda, Ziani, Belhadj et Matmour faisaient des merveilles chez les Verts, Saâdane ne s’intéressait pas à Boudiaf qui avait même joué avec le fils de Rabah Madjer au Qatar. Voyant le Mondial qatari à l’horizon, Boudiaf ne réfléchit pas à deux fois pour une naturalisation et le voilà qatari. Il est en sélection du Qatar depuis 2013.
Les Qataris, c’est du solide
Et justement, question préparation, le Qatar est entré en stage, il y a une semaine environ avec pas moins de 27 joueurs. Ce qui explique pourquoi le sélectionneur espagnol de cette équipe qatari multiplie les matchs amicaux pour faire un choix le plus juste et le plus judicieux afin de bien aborder la coupe d’Asie. C’est pourquoi depuis le début de ce dernier stage, le Qatar a déjà battu en amical, dimanche dernier la Jordanie (2-0) à Doha avant de jouer, hier, son deuxième match amical toujours à Doha face au Kirghistan. Aujourd’hui, c’est au tour de la sélection algérienne des locaux renforcée par l’attaquant Baghdad Bounedjah (Al-Sadd/Qatar) et le milieu offensif Youcef Belaïli (ES Tunis/ Tunisie) d’être le sparring-partner de l’équipe du Qatar. Ensuite, les Qataris joueront leur dernier match amical le 2 janvier prochain face à l’Iran, avant de s’envoler en direction des Emirats pour disputer la phase finale de la coupe d’Asie. Avec ce nombre de matchs amicaux juste pour cette semaine, il est certain que le sélectionneur du Qatar va procéder à des changements dans son «onze» rentrant, pour «simuler» les matchs dans la même tranche de jours (48 heures) chaque match en phase de poules. Un turn over est donc obligatoire pour permettre à des joueurs de récupérer entre les matchs. Le tout pour bien préparer l’équipe à la phase finale de la coupe d’Asie. Quant à Belmadi, c’est surtout pour voir les «jeunes» Algériens à l’oeuvre pour une éventuelle convocation chez les A.
Par Saïd MEKKI
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Le ministre du tourisme, Abdelkader Benmessaoud, a évoqué hier sa feuille de route pour cette saison du Tourisme Hivernal. Et principalement la problématique que pose l’obtention du visa pour les touristes. Il a ainsi, promis les délais pour son obtention ne sauraient dépasser 3 jours.
Le ministre a évoqué également les coûts exorbitants du séjour. En affirmant que la majorité des hôtels afficheront des réductions qui oscilleront autour de 30% .
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Abane Ramdane est né le 10 juin 1920 à Azouza dans la commune de Larbaâ Nath Irathen dans la wilaya de Tizi Ouzou(Algérie), et assassiné le 27 décembre 1957 au Maroc. C’était un homme politique algérien qui a joué un rôle essentiel dans l’histoire de la révolution algérienne, il est considéré aujourd’hui encore comme le dirigeant « le plus politique » du FLN, surnommé « l’architecte de la révolution ».
Afin de lutter contre la domination française, Abane Ramdane a su regrouper et unir au sein du FLN l’ensemble des courants politiques. Il est le principal organisateur du congrès du Soummam, et a opté pour le pluralisme politique et linguistique en Algérie.
C’est lui même qui a décidé avec Larbi Ben M’Hidi et Yacef Saadi de déclencher la bataille d’Alger, durant laquelle, il est chargé avec Ben M’hidi de superviser l’action militaire, et coordonner l’action et la propagande politiques en direction de la population algérienne.
Il est assassiné le 27 décembre 1957, à l’age de 37 ans, dans une ferme proche de la ville marocaine de Tétouan. Son corps, disparu, est symboliquement rapatrié en Algérie en 1984, pour être « inhumé » au carré des martyrs du cimetière d’El Alia, à Alger.
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Houari Boumédiène de son vrai nom Mohamed Ben Brahim Boukharouba est né le 23 août 1932 à Guelma, et décédé le 27 décembre 1978 à Alger. Houari Boumédiène était un militaire promu colonel et un homme politique. Très jeune il est connu à travers les événements sanglants du 8 mai 1945 à Sétif et à Guelma, dont il précise plus tard : « Ce jour-là, j’ai vieilli prématurément. L’adolescent que j’étais est devenu un homme. Ce jour-là, le monde a basculé. Même les ancêtres ont bougé sous terre. Et les enfants ont compris qu’il faudrait se battre les armes à la main pour devenir des hommes libres. Personne ne peut oublier ce jour-là».
Houari Boumédiène a entreprit des études coraniques dans divers institut à savoir: l’institut Kettania de Constantine, puis l’institut Zitouna de Tunis ; et enfin l’institut al-Azhar du Caire.
En 1955 il retourne en Algérie où il rejoint les rangs de l’Armée de libération nationale, après l’indépendance il devient vice-président et ministre de la Défense du Conseil de la Révolution.
En 1975 il accueille le premier sommet de l’OPEP par le biais duquel les membres du cartel ont pu définir une politique pétrolière concertée. Dans le sillage de cette même réunion, il parvient à sceller la paix entre l’Iran du Chah et l’Irak de Saddam Hussein. Sur le plan intérieur, il fit voter en 1976 une charte en vertu de laquelle il promulgue la constitution d’une Assemblée législative ainsi que la création du poste de président de la République, soumis au suffrage universel.
À partir de l’année 1978, les apparitions publiques du président Houari Boumédiène diminuent, souffrant d’une maladie du sang, il décède le 27 décembre 1978.
En son honneur l’aéroport d’Alger porte son nom : « Aéroport d’Alger Houari Boumédiène », ainsi que sa commune de naissance qui se situe à l’ouest de Guelma.
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Par Hasna YACOUB
Lors de ce dernier conseil de l’année 2018, le président Bouteflika fera des déclarations importantes, comme l’a laissé entendre Louisa Hanoune, ou se suffira de donner des orientations générales à son Exécutif.
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, réunira aujourd’hui, le Conseil des ministres pour signer l’avant-projet de la loi de finances 2019. C’est du moins ce qu’ont affirmé nos sources. Ce qui reste très probable vu que le chef de l’Etat est tenu, selon les lois de la République, de signer ce document avant la fin de l’année en cours, à savoir le lundi prochain. Lors de ce dernier conseil de l’année 2018, le président Bouteflika fera des déclarations importantes, comme l’a laissé entendre, en début de cette semaine, la secrétaire générale du PT, Louisa Hanoune, ou se suffira de donner des orientations générales à son Exécutif pour une mise en oeuvre scrupuleuse et diligente du programme tracé pour le développement du pays sur tous les plans en ces temps durs de crise économique. Si le président de la République décide de faire des déclarations politiques, cela ne pourrait porter que sur la prochaine échéance électorale, ce qui permettra, à ne pas en douter, de dissiper l’épais brouillard qui s’est abattu, depuis quelques semaines déjà, sur la scène politique. Mais en ce qui concerne l’économie, des déclarations, il en fera certainement. Car, il faut rappeler que pour l’année 2019, le projet de loi de finances a été établi sur la base d’un baril de pétrole à 50 dollars. Ce prix était censé être un prix de sécurité qui offre une certaine manoeuvre aux décideurs pour rééquilibrer la balance budgétaire or, depuis quelques jours, le scénario imaginé par l’Algérie tourne presque au cauchemar, puisque actuellement avec un prix de baril oscillant autour des 50 dollars, la ligne rouge est atteinte et si elle venait à être franchie, cela remettrait sérieusement en question bon nombre d’objectifs et compromettrait les décisions prises dans le cadre de la loi de finances 2019. L’Exécutif sera peut-être appelé par le chef de l’Etat à réfléchir à un plan B pour faire face à cette situation en attendant la mise sur les rails de l’ensemble des réformes économiques permettant au pays de sortir de l’emprise des exportations des hydrocarbures. Ce qui reste certain, c’est que l’Algérie est condamnée à poursuivre ses investissements afin de lancer la machine de la production nationale et de créer son tissu de petites et moyennes entreprises. Seule manière de faire baisser sérieusement les importations et d’aller vers les exportations hors hydrocarbures. C’est cet objectif qui a été tracé dans le projet de loi de finances 2019 qui table sur une croissance de 2,6%, une inflation qui ne dépasse pas les 4,5% et une réduction du déficit jusqu’à -17,2 milliards de dollars. Tout cela sans qu’il n’y ait d’impact sur le niveau de vie du citoyen puisque aucune nouvelle taxe n’est prévue pour cette année et le montant des transferts sociaux a été revu à la hausse pour atteindre les 1772,5 milliards de dinars. Ce qui confirme donc le maintien de la politique sociale et le soutien aux familles pour lequel un budget de 445,3 milliards de dinars est prévu.
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par K. B.
Les éléments de contrôle des voyageurs des services des Douanes du port maritime de Ghazaouet ont saisi, au courant de la semaine dernière 16.000 euros, un montant qu’un voyageur qui venait d’Almeria (Espagne) n’a pas déclaré lors des formalités, à son arrivée au port, a-t-on appris hier auprès de la direction régionale des Douanes de Tlemcen.En effet, c’est au cours d’un contrôle des passagers que les douaniers chargés de la visite des voyageurs ont découvert cette somme d’argent en devises dissimulée sous les vêtements d’un individu, un Algérien établi en France, qui ne l’a pas déclarée auprès des Douanes, ce qui constitue une infraction à la législation des changes. Le contrevenant en question a été, selon la même source, présenté devant la justice, à Ghazaouet. Il devra s’acquitter d’une amende équivalente à 10 fois le montant saisi.
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La circulation dans la Capitale pourrait bien être perturbée, aujourd’hui. Et pour cause : la Wilaya d’Alger reprend la 3e et dernière
phase de la 24e opération de relogement. 1.800 familles vivants dans des habitations précaires, des bidon villes bâtis sur des zones sensibles ou à vocation industrielle ou agricole, sont concernées. Parmi elles, on compte également celles occupants des espaces dans des établissements scolaires.
Les itinéraires qui pourraient en être perturbés sont délimités dans les zones où va se dérouler l’opération.Ainsi, la zone de départ se situe au niveau des sites suivants : – La Casbah. -Cité Dergana. -Ain Kahla (Cheraga).-Cité Bentalha (Baraki ). – Bourouba.
Les familles seront conduites vers leurs nouvelles demeures au niveau de : Ouled Fayet, Douiéra, Cité Mihoubet Baraki.
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