Cette semaine, des tonnes de confiseries de type M&M’S ont été saisies, par la Gendarmerie Nationale. D’après les informations du quotidien Ennahar, ces bonbons auraient été fabriqués dans un atelier clandestin à Boumerdes.
L’enquête a déduit que le propriétaire fabriquait des confiseries colorées type M&M’S, dont les emballages portaient le nom de « Confiserie Mitidja ». Outre l’illégalité de l’activité, ce sont les matières premières utilisées dans leur fabrication qui ont accéléré l’intervention des éléments de la BRI.
Ainsi, trois employés ont été immédiatement arrêtés, puis le propriétaire « A.M », âgé de 50 ans.
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D’après M. Reffas Driss, président du conseil de l’Ordre des dentistes, ils seraient 30% à exercer dans le secteur public à Sidi-Bel-Abbès sans être inscrits au tableau du conseil de l’Ordre régional de l’Ouest des dentistes et chirurgiens-dentistes, ce qui est d’après lui contraire au règlement. «Il est interdit de pratiquer sans que le nom du dentiste ou chirurgien-dentiste figure au tableau du conseil de l’Ordre régional des dentistes et chirurgiens-dentistes», a-t-il tenu à réitérer lors de son intervention sur les ondes de la radio-Sidi-Bel-Abbès.
Il ajoutera : «Maintes fois, nous avons évoqué cette “omission” aux responsables de la Direction de la santé sans qu’il y ait de suite. Nous la soulevons, une fois de plus, afin que tous ces praticiens soient inscrits au tableau du conseil de l’Ordre régional avant de se lancer dans leur noble mission.»
Mise en service de la nouvelle gare routière de Ras-el-Ma
La nouvelle gare routière de Ras-el-Ma, réalisée depuis peu, a été mise en service, et ce, sur instruction du wali pour desservir plusieurs wilayas, à savoir Saïda, Tlemcen, Tiaret, Mascara et le chef-lieu Sidi-Bel-Abbès. Cette localité qui est située au fin fond du sud de la wilaya de Sidi-Bel-Abbès, à plus d’une centaine de kilomètres du chef-lieu, aura grâce à cette nouvelle gare routière la possibilité d’être reliée à plusieurs autres wilayas en matière de transport.
Elle sera gérée par une entreprise privée et elle concernera 26 transporteurs qui prendront en charge les voyageurs.
Des fellahs d’El Hoceïba demandent l’électrification
Des fellahs de la localité d’El Hoceïba, plus exactement de la zone dite «barrage», se sont manifestés pour demander l’électrification rurale pour faire fonctionner leurs exploitations agricoles. Le P/APC qui a été interrogé lors d’un forum sur les ondes de la radio-Sidi-Bel-Abbès, a donné des explications quant à cette situation déclarant que l’APC a bénéficié de deux projets d’électrification il y a quelque temps qui se sont avérés insuffisants pour couvrir toute la région en électricité.
De plus, a-t-il ajouté, ces fellahs ont érigé leurs exploitations après la réalisation de ces deux projets d’électrification rurale qui n’ont pu les concerner. Nous attendons d’autres projets pour couvrir leurs besoins en électricité, a-t-il promis.
A. M.
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Deux jeunes, âgés d’une trentaine d’années, ont été arrêtés et écroués pour possession de kif traité à Aïn M’lila.
Selon le communiqué de la cellule de communication de la Sûreté de wilaya d’Oum-el-Bouaghi, nous avons appris que les éléments de la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) de la Sûreté d’Oum-el-Bouaghi, agissant dans le cadre d’un plan de lutte contre tous genres de crimes et délits et sur informations parvenues à leurs services, ont réussi à appréhender deux jeunes en détention de près de deux kilogrammes de kif traité. Selon les mêmes sources, les faits de cette affaire importante, se sont déroulés en date du 16 du mois en cours, suite à des informations parvenues aux services de la BRI, faisant état de circulation de la drogue dans les milieux de jeunes dans les quartiers de Aïn M’lila.
Suite à ces informations, les éléments de la BRI ont tendu une souricière, ce qui leur a permis d’identifier les malfaiteurs qui ont fini par être arrêtés. Le piège tendu par les policiers a permis la découverte de 1,865 kg de kif traité sous forme de 20 plaquettes.
Une fois les lieux investis par la police, un véhicule touristique et une grosse moto ont été saisis, un troisième complice identifié demeure toujours en fuite et est activement recherché.
Après la confection d’un dossier judiciaire à l’encontre de ces malfaiteurs, ils ont été présentés le 16 du mois en cours devant le procureur de la République près le tribunal de première instance de Aïn M’lila qui les a écroués au motif de constitution de bande de malfaiteurs, détention et vente de drogue.
Moussa Chtatha
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La mettant sous le slogan «Mettre le casque=sauver une vie», la gendarmerie nationale (GN) a lancé, à travers tout le pays, et ce, jusqu’au 5 janvier 2019, une campagne de sensibilisation des conducteurs des motocyclettes.
Le phénomène des motos a connu ces dernières années, un grand développement mais, jusqu’à présent, dans l’anarchie et le laisser-faire.
C’est devenu un fléau qui alimente, malheureusement, la longue liste des pertes humaines, particulièrement chez les jeunes qui, souvent, ne respectent aucune norme de sécurité ni les obligations qu’impose le code de la route, lorsqu’ils foncent avec leurs motos.
Il suffit de se poster, de nuit, au bord de la rocade de dar-el-Beïda, au niveau de Ben Aknoun, pour constater de visu ce comportement irresponsable et délictueux de bandes organisées qui transforment cet axe routier ou d’autres en champs de course causant par ailleurs des désagréments au voisinage.
Toute la nuit, des bandes de motards foncent et font le va-et-vient à plus de 150 km/h dans une impunité totale.
On veut bien croire que la campagne de sensibilisation qu’organise la Gendarmerie nationale apportera un résultat positif, force cependant est de constater que ces «conducteurs» ont longtemps joui du laxisme des services de sécurité qui ont laissé faire.
En fait, une moto n’est-elle pas un engin motorisé qui circule à vive allure sur la route et qui transporte des vies humaines ? Le conducteur de moto n’est-il pas astreint aux règles de conduite au même titre qu’un automobiliste pour épargner des vies humaines ? D’ailleurs, cette institution sécuritaire (GN) fait un constat accablant.
Les accidents de circulation causés par des motocyclettes, représentent, selon les statistiques de la GN, 12,30% de tous les accidents en zone rurale déplorés en 2018. L’année n’est pas encore terminée. Par ailleurs, les gendarmes ont relevé 24 832 infractions de non-port de casque. C’est certainement, pire lorsque l’on y ajoute les sinistres relevés en milieu urbain.
Durant cette campagne, les services de la gendarmerie axeront principalement leur action de sensibilisation sur «l’importance du port du casque de sécurité, les résultats dramatiques de l’excès de vitesse, l’impact des manœuvres dangereuses sur la route (dépassements dangereux, la circulation dans les sens interdits, la conduite sur une seule roue,…), les risques liés au transport de plus d’un passager, le dérangement des usagers de la route et la provocation d’embouteillages résultant de l’organisation de courses non autorisées sur les routes publiques et la circulation sans pot d’échappement».
Abachi L.
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La wilaya d’El-Bayadh a encore enregistré un autre accident mortel en fin de journée de samedi dernier, après celui, rappelons-le, qui a décimé une famille complète.
Il s’agit d’une collision entre un taxi allant de Béchar vers El-Bayadh et un véhicule utilitaire roulant en sens inverse qui se sont percutés violemment. Le drame a eu lieu sur la RN47 à hauteur de Oued-Karimia, sis à une quarantaine de kilomètres de la ville d’El-Abiod-Sidi-Cheikh. Une personne y a trouvé la mort et quatre autres ont été grièvement blessées, a indiqué la Protection civile, qui a transporté toutes les victimes vers l’hôpital d’El-Abiod-Sidi-Cheikh. Une enquête a été aussitôt ouverte pour déterminer les circonstances exactes de cet accident.
B. Henine
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Les deux compères âgés de 18 et 23 ans opéraient dans les parages de la cité des 200 logements à Mostaganem.
Leur procès s’est déroulé en comparution immédiate devant le parquet siégeant ce dimanche dernier. Les deux acolytes étaient impliqués dans une affaire d’association de malfaiteurs et de vols qualifiés.
Les deux accusés ont commis plusieurs agressions avec menace en vue de délester des personnes de leur portable dont la dernière victime tomba entre leurs mains et s’est fait voler son mobile de marque Samsung. A la suite de nombreuses plaintes parvenues à la 6e sûreté urbaine, les deux accusés ont été identifiés et interpellés et formellement reconnus par leurs victimes.
Les deux accusés reconnus coupables écoperont de 6 mois de prison ferme chacun, ils s’en sortent à bon compte.
A. Bensadok
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4 jolies bananes, 2 c. à s. de sucre, vanille en poudre, cannelle en poudre, eau de fleur d’oranger, 100 g de farine, 2 œufs, 1/3 de litre de lait, huile
Dans une jatte, mélanger 1 bonne cuillerée à soupe d’eau de fleur d’oranger, le sucre, 1 pincée de vanille, 1 pincée de cannelle et ajouter les bananes pelées et coupées en tronçons d’environ 5 cm. Les laisser mariner pendant 1 heure et remuer de temps en temps. Préparer la pâte à frire avec la farine, 1 pincée de sel, 2 jaunes d’œufs, 2 cuillerées à soupe d’huile, 1 d’eau de fleur d’oranger et le lait. Laisser reposer 1 heure. Incorporer les blancs battus en neige. Plonger les morceaux de bananes dans la pâte, puis dans la friture bien chaude. Egoutter, sucrer, servir.
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2 courgettes, 1 oignon, 3 œufs, 1 c. à s. de crème fraîche épaisse, 20 cl de lait, 1 c. à c. de curry, sel, poivre
Préchauffez le four th 6. Lavez les courgettes et râpez-les avec la peau. Pelez l’oignon et coupez-le finement. Dans une poêle, faites revenir l’oignon puis les courgettes. Laissez cuire 5 à 7 minutes sans les colorer, juste pour que leur eau s’évapore. Dans une jatte, mélangez les œufs, la crème, le lait, le sel, le poivre et le curry. Dans un moule à cake beurré, placez les courgettes cuites puis versez dessus l’appareil. Enfournez 20 minutes en prenant soin d’ajouter un fond d’eau dans la plaque du four sur laquelle vous poserez le moule, pour une cuisson plus douce.
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Les pathologies de la thyroïde sont fréquentes, s’accroissent avec l’âge et touchent plus particulièrement les femmes. Les signes sont vicieux, donc il serait sage de faire des analyses.
L’hypothyroïdie
L’hypothyroïdie, provoquée par la baisse des hormones thyroïdiennes, entraîne des manifestations variées, comme un ralentissement du rythme cardiaque et du transit intestinal, une frilosité, une prise de poids ainsi qu’une baisse de la libido.
L’hyperthyroïdie
L’hyperthyroïdie, provoquée par une augmentation des hormones thyroïdiennes, entraîne un amaigrissement, une sensation de chaleur, de la nervosité et de la tachycardie (augmentation du rythme cardiaque), ainsi que des troubles des règles. Dans la majorité des cas, l’hyperthyroïdie peut être déclenchée par un stress important.
Dépistage et traitements
Le dépistage des troubles de la thyroïde s’effectue par palpation et par une prise de sang. Celle-ci permet d’évaluer les taux d’hormones T3 et T4 et le taux d’hormone hypophysaire TSH. Un taux de TSH élevé signale une hypothyroïdie tandis qu’un taux de TSH en baisse est un signe d’hyperthyroïdie. L’échographie permet quant à elle de déterminer le nombre et la taille d’éventuels nodules et kystes sur la thyroïde.
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L’exportation des produits algériens était à l’honneur hier. C’est le cas de le dire au vu du bouillonnement qui caractérisait l’Entreprise portuaire de Annaba (Epan).
Aux ministres de l’environnement Fatima-Zohra Zerouati et du commerce, Saïd Djellab ainsi que le wali de Annaba Toufik Mezhoud, s’ajoutaient tous les représentants des corps assermentés (gendarmerie, police, douanes…). Ils paraissaient avoir été mobilisés pour assurer la réussite de l’événement. Celui-ci porte sur une importante opération d’exportation hors hydrocarbures. Il s’agit de 35 000 tonnes de clinker, un produit semi-fini que le groupe Ciment Lafarge Souakri Cilas destine à la Côte d’Ivoire, port d’Abidjan. Il faut savoir que Cilas a été créée en partenariat avec le groupe Lafarge-Holcim.
C’est ce que révèle le responsable Cilas chargé de l’exploitation : «Cette opération s’inscrit pleinement dans l’objectif du groupe Lafarge-Holcim Algérie de contribuer à exporter les surplus de production avec un objectif d’exportation de plus de 2 millions de tonnes en 2020. Cette nouvelle opération souligne l’engagement sans faille du groupe Lafarge-Holcim à agir en faveur de la diversification des revenus extérieurs du pays hors hydrocarbures.» Une déclaration qui n’a pas manqué d’intéresser les responsables présents à la cérémonie. Il y avait de quoi, d’autant qu’il était question d’«une demande nationale en matière de ciment de 23 millions de tonnes pour 35 millions de tonnes de capacités installées en 2018.
L’objectif est d’atteindre 46 millions de tonnes en 2020 soit 100% de surcapacités. D’où l’impératif de l’exportation pour écouler la production nationale et préserver les investissements et les emplois en Algérie». Il ne fallait apparemment pas en dire plus pour le ministre qui paraissait s’être déplacé à Annaba bien informé de tout ce qui a trait à cette grande opération, la 2e du genre pour une même quantité réalisée la veille, c’est-à-dire le samedi 21 décembre au port de Annaba. C’est que l’Epan avait assuré tout le nécessaire pour que l’opération se déroule sans accroc. Avant de se rendre au siège de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI Seybouse Annaba), le ministre Saïd Djellab s’est déplacé à l’unité Fertial «Fertilisants d’Algérie» sise à Seybouse. Celle-ci est spécialisée dans la production des engrais phosphatés et s’oriente vers de plus importantes opérations d’exportation. Telle est l’interprétation des données qui lui ont été exposées par les gestionnaires de cette entité socioéconomique.
A la CCI Seybouse, le ministre s’est attardé à développer ses idées sur le créneau des exportations hors hydrocarbures. Il a souligné la nécessité de poursuivre la dynamique mise en place pour l’exportation hors hydrocarbures à travers toutes les régions du pays. Il a également abordé la question d’inversement des tendances pour passer de pays importateur vers celui exportateur. «Nous avons toutes les capacités pour qu’il en soit ainsi. Nous accompagnerons tous les exportateurs. La logistique existe, reste les segments à développer. Nos produits sont appréciés pour leur qualité et, également, leurs prix. Ils sont connus de par le monde, notamment à travers notre continent.»
Interrogé sur les objectifs assignés à son secteur pour l’année 2019, le ministre a révélé l’existence de 53 contrats d’exportation dans le domaine du ciment, l’électroménager, l’électronique et les produits agricoles. Il a également précisé que l’année 2018 a permis d’enregistrer l’équivalent de 2,6 milliards de dollars hors hydrocarbures. Abordant la question de la mission des chambres de commerce et d’industrie, le ministre a indiqué que ces structures doivent revenir à leur rôle de facteur de développement des exportations.
A. Bouacha
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Maillon faible du système éducatif, l’orientation scolaire pourrait enfin retrouver la place qui doit être la sienne. Les conseillers à l’orientation confinés souvent à des tâches administratives vont peut-être enfin pouvoir accompagner les élèves dans le choix de leur cursus. Le département de Benghabrit donne des instructions dans ce sens.
Nawal Imès – Alger (Le Soir) – Les conseillers à l’orientation, souvent frustrés de ne pouvoir jouer pleinement leur rôle, auront la possibilité d’accompagner les élèves, notamment ceux qui sont en fin de cycle.
C’est, en effet, à ce moment que beaucoup d’élèves se retrouvent désarmés, ne sachant vers quelle filière se tourner, ni vers quelles études universitaires lorsqu’il s’agit de nouveaux bacheliers. Pourtant, c’est le cœur même du métier de conseiller à l’orientation.
Au fil des années, ces derniers se sont retrouvés à accomplir plus de tâches administratives que de conseil auprès des élèves.
En réunissant les directeurs et les inspecteurs des centres d’orientation et de guidance scolaires, la ministre de l’Education a donné des instructions afin que les missions d’orientation reprennent leur place au niveau des établissements scolaires des paliers moyen et secondaire. Les élèves ont, à différentes périodes de leur scolarité, besoin d’informations pour s’inscrire dans un projet personnel prenant compte des possibilités qui s’offrent à eux mais également de leurs capacités.
A la fin du cycle obligatoire, à savoir le moyen, beaucoup de collégiens se retrouvent à la croisée des chemins. Certains font face au dilemme du choix de la filière au niveau du secondaire tandis que, pour d’autres, c’est le saut vers l’inconnu puisqu’ils n’ont pas pu obtenir la moyenne requise pour accéder au lycée.
C’est à ce niveau-là que l’orientation prend toute son importance. Il s’agit de guider les futurs lycéens vers la filière dans laquelle ils ont le plus de chance de s’épanouir mais également d’éviter de perdre dans la nature ceux qui n’ont pas les capacités de poursuivre leurs études. Les conseillers à l’orientation peuvent à ce moment proposer les alternatives que sont les centres de formation professionnelle.
Au niveau du lycée, il s’agit d’anticiper et de guider au mieux les lycéens dans le choix de leurs futures études universitaires. Très souvent, les nouveaux bacheliers n’ont aucune connaissance des possibilités qui peuvent s’offrir à eux. Ils ne s’intéressent à la question qu’après avoir obtenu les résultats du baccalauréat. Le laps de temps qui leur est laissé pour s’inscrire ne leur donne pas la possibilité de prendre connaissance de l’ensemble de l’offre de formation universitaire.
Le conseiller à l’orientation a pour rôle de, justement, les aider à construire un projet et à se donner les moyens de le réussir en faisant les bons choix au bon moment.
Très souvent, un mauvais choix est à l’origine de l’abandon des études, ce qui aurait pu être évitable si le projet avait fait l’objet d’un bon accompagnement.
N. I.
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Tout le monde en convient, les services de sécurité du pays, au sortir de la «décennie noire», sont devant un défi aux multiples facettes : ils doivent, selon les experts, se moderniser, se professionnaliser davantage, augmenter leur vigilance autour du pays cerné par des risques et, surtout, encourager l’Algérien à devenir l’acteur principal de sa propre sécurité et, par conséquent, de celle du pays.
Il est évident qu’aucune transition, qu’elle soit politique, économique, sociale ou culturelle, n’aboutira si elle n’est pas précédée par l’instauration de la sécurité sur l’ensemble du territoire. Plus important, cette transition sécuritaire exige la mobilisation et se pratique tous les jours de l’année et toutes les heures de la journée. Elle n’a pas besoin de discours politique mais de soutien. Une chose est sûre, la population refuse de revivre le cauchemar des années 1990. Concernant, justement, la reconquête de l’espace sécuritaire, l’expérience que mènent les policiers de Boumerdès depuis des mois est intéressante. Faut-il rappeler que la wilaya de Boumerdès sort, à l’instar d’autres régions du pays, de la décennie noire ?
Par ailleurs, bon nombre de spécialistes disent que cette décennie noire laissera forcément des séquelles sur la société fortement traumatisée. De plus, la région de Boumerdès a subi un second traumatisme en 2003 (séisme). En clair, la région de Boumerdès risque d’entrer dans un processus de violence perpétuelle qui sera en outre alimenté par les frustrations sociales découlant de la crise économique.
Sur un autre plan, le directeur de la Sureté de la wilaya de Boumerdès, le contrôleur de police Ali Badaoui, qui a fait toute ses classes dans la région, a vécu la naissance et le développement de la violence islamiste dans cette région. Et pour cause, il était un acteur majeur dans la lutte contre cette violence aveugle déployée par les islamistes armés. Il l’a vue dans toute son horreur. Il s’est sûrement posé cette question un jour : comment arrêter le cercle de violence ? «Moi, j’investis sur le long terme», rétorqua-t-il lorsque nous l’avons interrogé sur le nombre impressionnant d’actions de sensibilisation que mènent continuellement depuis des mois les services qu’il dirige. «Nous avons un plan annuel de communication», précise le commissaire de police chargé de la cellule de communication, Krimo Touati.
Le discours sécuritaire à la portée de tous
Si les policiers de Boumerdès ont organisé en 2018 – l’année est encore chargée – 1 043 actions de sensibilisation, les sorties sur le terrain ne se font pas au hasard. «Nous adaptons notre discours aux spécificités de la région et de la population ciblée (écoliers, collégiens, lycéens, universitaires ou apprentis, ndlr)», rappelle le commissaire Touati qui est entouré de six officiers universitaires tous titulaires d’un master en communication option informations sécuritaires. Le septième est spécialisés en droit. Cible privilégiée des policiers : les écoliers. «Nous voulons accompagner les écoliers dans les trois paliers», clame le commissaire.
Le danger des réseaux sociaux et la drogue sont les principaux sujets qu’abordent ces éducateurs. Ils déplorent la démission des familles. «Parfois, la mère et le père travaillent.»
A travers une discussion avec ces officiers, nous avons saisi leur méthode pour gagner la confiance des enfants et des adolescents afin de les rendre réceptifs au message qui concerne la vigilance contre les fléaux sociaux et la délinquance. «Souvent, nous parlons à nos vis-à-vis en tamazight. Pour ce faire, nous avons de bons locuteurs qualifiés», dira l’officier Touati qui laisse entendre qu’ils ne cherchent pas à moraliser la société mais se contentent d’éveiller l’esprit de vigilance de leurs vis-à-vis particulièrement les enfants et les adolescents qui sont eux-mêmes des relais entre leurs familles et la police. Ils appliquent tout simplement le concept de la police de proximité avec toutes ses exigences de rigueur et de présence permanente sur le terrain. Ils veulent, en outre, inculquer aux jeunes la culture de la sécurité. Changer le comportement de l’Algérien par rapport au problème de la sécurité. C’est la transition sécuritaire.
Des policiers animateurs de radio
Rester sur le terrain et répéter inlassablement le message sur la vigilance sont le leitmotiv de ces policiers passionnés par leur mission. Ils n’hésitent pas, par ailleurs, à chercher le moindre espace médiatique en vue de relancer leur message. Fait unique en Algérie, des policiers animent des émissions journalières, certaines en direct, sur une radio locale. Et ça marche. Il faut miser sur les capacités intrinsèques des policiers, l’envie d’innover et un peu d’audace pour exposer un agent de l’ordre public devant des auditeurs parfois agressifs. Pour le chef de la cellule de communication, il s’agit de rester professionnel. «Nous restons calmes et nous mettons nos auditeurs, s’ils sont trop agressifs et réfractaires à notre opinion, devant leurs propres contradictions. Nous cherchons à gagner l’opinion pas à sortir vainqueurs d’un débat.»
En 2018, les policiers de Boumerdès ont assisté ou animé 1 243 émissions de radio. Le travail par le biais de la radio est beaucoup plus destiné aux adultes, particulièrement aux automobilistes pour les sensibiliser ou leur fournir des indications utiles. Quand on sait que la wilaya de Boumerdès est la seconde destination des vacanciers après Oran, on imagine le plan de charge des policiers pendant l’été en matière de prévention. Un autre moyen – le 1 048 – est également utilisé comme instrument de prévention. Vers le 20 décembre, le nombre de ces appels avoisine les 100 000. «Nous répondons à tous les appels même les plus insignifiants. C’est d’abord notre devoir et c’est un moyen de rassurer le citoyen», souligne le directeur de la Sûreté de la wilaya de Boumerdès. Pour un policier qui reçoit un appel de quelqu’un qui a perdu ses clés, il faut qu’il soit d’un calme olympien.
Abachi L.
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Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi, a instruit, lors d’une visite de travail qu’il a effectuée hier à Blida, les professionnels et les responsables de son secteur sur la nécessité d’augmenter le nombre des terres agricoles qui, pour lui, reste très faible.
C’est, ainsi, qu’il a recommandé à ce que la superficie s’élève de 32 000 hectares à 40 000 hectares aux fins d’améliorer la production agricole qui demeure, selon le ministre, une priorité incontournable pour assurer l’autosuffisance.
Dans son périple qui l’a conduit dans un premier temps au club hippique où un certain nombre d’investisseurs l’attendaient, Abdelkader Bouazghi leur a fait savoir l’importance de l’assainissement du foncier agricole et la régularisation de la situation des exploitations agricoles non encore réalisée, ainsi que la mise en application de la conversion du droit de jouissance perpétuelle en droit de concession dont les délais arrivent bientôt à terme.
A ce sujet, il a informé que les dossiers en suspens sont estimés à 4 000, ce qui est énorme au vu de l’importance de cette opération, dira-t-il.
Sur un autre plan, le ministre a violemment critiqué les producteurs de lait à Blida. Pour ce dernier, la production reste sensiblement faible puisque celle annuelle est de 50 millions de litres par an. A cet effet, il a incité les éleveurs de vaches laitières à entreprendre une stratégie collective à même d’améliorer la production de lait dans l’objectif de réduire la facture d’importation de la poudre de lait.
Il en est de même pour la production céréalière dont Blida a régressé en matière de blé. «il est grand temps que la wilaya de Blida recouvre son activité dans ce secteur», insistera Abdelkader Bouazghi.
Les chambres frigorifiques n’ont pas été en reste dans le programme du ministre qui a tenu à visiter une chambre froide à Boufarik.
Il insistera sur leur rôle capital pour la préservation du produit agricole, d’où son encouragement à investir dans ces projets aux fins de maintenir l’équilibre dans les prix des produits agricoles, tout comme ils peuvent concourir à établir une base stratégique en matière d’exportation vers l’étranger.
Dans le même sillage, le ministre de l’agriculture a visité la plus grande unité de production de poulets en Algérie avec un nombre 43 millions de poulets par an. A ce propos, Abdelkader Bouazghi dira que cette unité contribue à maintenir un équilibre assez conséquent en matière de production de viande blanche.
M. B.
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Après Mohamed Amine Kabari, la JS Kabylie vient de faire signer deux nouvelles recrues. Il s’agit de l’ex-défenseur de l’AS Aïn M’lila, Mohamed Benchaïra, âgé de 26 ans, et l’ex-attaquant de la JSM Béjaïa, Walid Belgherbi âgé de 28 ans.
Les deux joueurs se sont engagés avec les Canaris respectivement pour trois ans et demi et deux ans. Benchaïra portera le numéro 7 tandis que Belgherbi endossera le maillot 24. Les deux nouvelles recrues ont d’ailleurs exprimé leur satisfaction d’avoir rejoint les rangs des Canaris. Benchaïra et Belgherbi deviennent ainsi la 2e et la 3e recrue hivernale du club, après le recrutement de l’ex-milieu de terrain de l’US Biskra, Mohamed amine Kabari (25 ans). «Les deux nouvelles recrues vont dans le sens d’apporter un plus.
La plupart des joueurs nous ont demandé de recruter des éléments qui pourront apporter un plus avec leur expérience (…) Maintenant c’est à eux de faire leur boulot, moi j’ai confiance en eux et il n’y a aucun souci de ce côté. Ils sont contents de rejoindre la JSK et ce qu’on attend d’eux c’est de mouiller le maillot. Je voudrais rassurer tout le monde que la direction n’a pas changé de projet. Tout simplement on essaye de garder ce standing et ne pas gâcher ce qu’on a construit pendant cinq mois», a déclaré Franck Dumas, l’entraîneur des Canaris, lors de la présentation des deux nouveaux éléments.
Ah. A.
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Le directeur du site d’information Dzair Presse Adlène Mellah, a été condamné aujourd’hui, à un an de prison ferme par le tribunal de Bab el Oued, annonce son site. Le procureur avait requis trois ans de prison lors du procès.
Adlène Mellah avait été arrêté le 9 décembre à Alger, pendant qu’il participait à une manifestation de soutien au chanteur Reda City 16, en détention depuis octobre dernier.
Il est ainsi, accusé “d’attroupement”, “incitation à un attroupement non armé”, “outrage à fonctionnaire dans l’exercice de ses fonctions” et “rébellion”.
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Les nostalgiques de l’ex-Eugène-Etienne attendent toujours que leur coquette ville soit débarrassée de cette profonde blessure béante qui défie l’homme et la nature. Mais, depuis le temps que l’on en parle, les citoyens de Hennaya n’osent plus croire à une réelle prise en charge : oued Galiane traverse toute la ville en charriant tous les déchets et autres matières dangereuses, qui nuisent non seulement à l’environnement mais mettent en danger les habitants et les riverains de l’oued.
A Hennaya, il y a une véritable menace, et donc, il y a urgence, les pouvoirs publics se doivent de prendre cet épineux problème en charge et rassurer une fois pour toutes les 30 000 habitants de cette commune, distante de 10 km du chef-lieu de la wilaya.
Oued Galiane est plutôt une mauvaise carte de visite pour les étrangers qui empruntent cette entrée nord de la capitale des Zianides.
Dès l’entrée de la ville, les narines du visiteur sont agressées par une forte odeur nauséabonde des déversements d’eaux usées, dérivés de produits chimiques et autres substances toxiques; enfin oued Galiane ramène tout ce qui peut nuire à l’homme et la nature. les habitants des cités du Moulin et de Sidi Chaïb vivent dans une angoisse permanente. «Les gens ont peur comme s’ils vivaient à proximité d’une centrale nucléaire», nous confie notre confrère Khaled Boumediene, natif des lieux, qui ajoute que «la situation menace toute une génération à venir». Oued Galiane traverse la ville sur une distance de plus de 2 km, et on imagine les conséquences qui en découlent dans le cas où l’oued sort de son lit. Mais au fait, qu’est devenue la promesse faite par M. Abdelkader Bensalah, président du sénat ?
Faut-il rappeler que lors de son passage dans la région, il a constaté de visu le danger de cette plaie et a promis que l’aménagement sera l’une de ses priorités. Certes, c’est une promesse de campagne, mais le danger est bien réel. Mais enfin, qu’attendent les autorités concernées pour lancer une opération d’envergure pour l’assainissement de la zone
riveraine ? Il est vrai que la tâche n’est pas aisée, mais elle se complique chaque jour un peu plus faute d’entretien.
Les services sanitaires et la direction de l’environnement sont les premiers concernés par le pressant appel des Hennaouis. On a souvent focalisé sur les dangers de l’environnement sur la ville de Ghazaouet, sauf que oued Galiane est un vrai «Bhopal».
M. Zenasni
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El Bilad a annoncé que le premier ministre, Ahmed Ouyahia, a dépêché une commission interministérielle afin d’enquêter sur les circonstances de la mort du jeune Ayache.
La commission est composée des secrétaires généraux du ministère de la solidarité, de l’intérieur et de la santé. Elle devra principalement assister la famille du défunt et leur fournir toute l’aide nécessaire.
La délégation s’occupera des opérations d’extraction de la dépouille du jeune homme coincée au fond d’un puits artésien depuis une semaine. La protection civile a signalé la mort du jeune homme il y a deux jours.
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Créée récemment au niveau de l’Etablissement hospitalo-universitaire (EHU) 1er-novembre d’Oran, l’unité de prise en charge du syndrome de l’apnée obstructive du sommeil, dans le service de pneumologie, a pris en charge ces 3 dernières années quelque 100 cas de malades souffrant de cette pathologie particulière.
Dans un communiqué de presse, l’EHU explique que cette pathologie, peu considérée par les malades, peut être très dangereuse pour ces derniers et provoquent des répercussions graves pour la santé (baisse brutale du taux d’oxygène, obstruction des voies respiratoires, arrêt de la respiration pendant le sommeil).
Majoritairement, les personnes souffrant d’apnée obstructive sont des hommes, surtout avant l’âge de 60 ans.
Dépassé cet âge, la proportion est quasiment la même chez l’homme que chez la femme, est-il expliqué. La fréquence des apnées et la durée (plus de 10 secondes) sont comptabilisées pour mesurer l’ampleur de la pathologie, ses effets et les risques encourus par le malade.
Ainsi «les interruptions respiratoires sont entre 15 et 30 évènements, on parle d’une forme modérée. Au-delà de 30 évènements par heure, le syndrome est considéré comme grave, 60% des cas enregistrés présentent un syndrome de l’apnée modéré à sévère, ce dernier est produit en grande partie chez des personnes en surpoids, cependant 40% des cas enregistrés souffrent d’une apnée légère», a précisé le professeur Bouhadda dans le communiqué.
Les arrêts répétitifs de la respiration durant la nuit peuvent influencer de manière négative la qualité de vie et le bien-être quotidien, vu que ce syndrome entraîne une fatigue au réveil, des maux de tête, l’irritabilité et le manque de concentration.
Par ailleurs, plusieurs pathologies sont déclenchées par ce syndrome, comme l’hypertension artérielle, diabète type 2 et d’autres maladies cardiovasculaires.
M. Fayçal
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ALGER – L’Office national des publications scolaires (ONPS) s’est doté de 18 nouvelles machines d’impression dont dix (10) en braille, d’une capacité de production supplémentaire de 22 millions de copies pour atteindre, ainsi, une capacité de 60 à 80 millions de copies.
A ce propos, la ministre de l’Education nationale, Nouria Benghabrit, qui a visité lundi le siège de l’ONPS à El Achour (Ouest d’Alger), a affirmé que « ces nouvelles machines sophistiquées augmenteront sensiblement la capacité de l’ONPS en matière d’impression et de production des manuels scolaires, ce qui nous permettra d’assurer la disponibilité de ces livres à même de les distribuer à tous les élèves à la fin de l’année scolaire en cours ».
Mme. Benghabrit qui était accompagnée des ministres de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Ghania Eddalia, et de la Communication, Djamal Kaouane, a affirmé qu’aucun problème liés à la production et à la distribution des manuels scolaires ne « sera posé » l’année prochaine, indiquant , dans ce sens, que « toutes les mesures matérielles et techniques nécessaires ont été prises dans ce sens ».
Rappelant qu’il sera procédé, à la fin de l’année scolaire en cours, à la distribution et à la vente des manuels scolaires de tous les cycles, la ministre a qualifié cette démarche d' »importante » pour la préparation préalable de la rentrée scolaire 2019-2020″.
« Un grand nombre de manuels produits et imprimés l’année passée est en cours de distribution », a souligné Mme. Benghabrit, précisant que « près de 20.000 manuels ont été imprimés via des imprimantes en braille ».
A une question sur les programmes des nouveaux manuels, la ministre a rappelé que l’inspection générale de la pédagogie avait élaboré « un plan national pour l’apprentissage et un autre pour l’évaluation, tout en adaptant les contenus des manuels de la 5e année primaire et de la 4e année moyen aux nouveaux programmes ».
De son côté, la ministre de la solidarité nationale a affirmé que la production de l’office en matière des manuels en braille « couvre les besoins des élèves non voyants et des écoliers au niveau des classes spéciales ».
Elle a fait savoir que ses services ont recensé « 1219 handicapés visuels », soulignant que l’imprimerie en braille qui se trouvait au ministère de la Solidarité nationale avait été « transférée ces dernières années à l’ONPS pour qu’il soit un centre d’impression unifié des manuels en braille, d’autant que le ministère adopte les programmes du ministère de l’Education nationale en matière de prise en charge éducative de cette catégorie de la société ».
La ministre s’est félicitée de la coopération « étroite » entre les directions de l’action sociale et de l’éducation au niveau national notamment en termes de prise en charge des handicapés visuels pour leur assurer tous les livres d’enseignement nécessaire via la technique du braille.
A cette occasion, le ministre de la Communication a indiqué que l’acquisition de ces nouvelles imprimantes en faveur de l’ONPS « renforcera nécessairement les capacités d’impression des manuels scolaires tant en quantité qu’en qualité et partant, répondre à la demande croissante de ces manuels au niveau national ».
« La disponibilité du manuel scolaire rassurera davantage les parents d’élèves », a soutenu le ministre, affirmant que les nouvelles imprimantes constituaient « une contribution importante au secteur de l’imprimerie publique ».
Selon les chiffres de l’ONPS, les besoins du secteurs de l’éducation en matière des manuels scolaires durant la prochaine rentrée scolaire s’élèvent à 60 millions de manuels environ au moment où près de 25 millions se trouvent à l’intérieur des stocks.
Concernant les manuels destinés aux handicapés visuels via la technique du braille, l’ONPS compte imprimer 24.667 manuels pour le cycle primaire et 26.715 pour l’enseignement moyen.
Le directeur général de l’ONPS, Brahim Atoui, avait annoncé l’impression de 78 millions de manuels scolaires durant cette année contre 75 millions l’année précédente.
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ALGER – Le président de la Fédération algériennes des consommateurs, Zaki Hariz, a appelé lundi à Alger à l’impératif d’intensifier le contrôle des fruits et légumes pour s’assurer qu’ils ne contiennent pas de taux importants en résidus et polluants chimiques dont les retombées sont néfastes pour la santé du consommateur.
Intervenant lors d’une journée d’études et d’information sur les polluants chimiques dans la filière des fruits et légumes, M. Hariz a mis l’accent sur la nécessité d’utiliser rationnellement les produits chimiques en raison de leurs risques sur la santé du consommateur, soulignant l’importance d’intensifier les campagnes de sensibilisation en faveur des agriculteurs sur les dangers d’utilisation abusive de ces produits et des pesticides agricoles par rapport à la santé publique.
Précisant, dans ce sens, que l’objectif de cette journée était d’interpeller les autorités publiques et les investisseurs dans le domaine agricole et même les consommateurs sur le risque chimique préjudiciable à la santé du consommateur, le même responsable a appelé à l’impératif d’intensifier le contrôle des fruits et légumes pour s’assurer de leur salubrité.
Après avoir expliqué que le manque de contrôle dans la filière des fruits et légumes est dû à l’insuffisance des équipements de laboratoire et de la formation dans les techniques d’analyse, il a exprimé à ce propos, son souhait de créer dans les plus brefs délais une commission de suivi composée de toutes les parties concernées en vue de limiter le risque chimique.
D’autre part, Kahna Bettane, représentante du Centre national de toxicologie (CNT), a indiqué que les fast-foods étaient à l’origine de l’aggravation du taux d’intoxication notamment chez les enfants et les personnes âgées.
Elle a appelé également à l’importance d’utiliser rationnellement les pesticides et les engrais dans les fruits et légumes vu leurs effets néfastes sur le consommateur. Les agriculteurs doivent observer également les quantités autorisées à cet effet pour la préservation de la santé publique, a-t-elle ajouté.
Pour sa part, le directeur de la formation, de la recherche et de la vulgarisation au ministère de l’Agriculture, Mekersi Iskander a fait savoir que les efforts se poursuivent pour l’accompagnement et la sensibilisation des agriculteurs quant aux dangers de l’utilisation excessive des engrais et des pesticides chimiques sur la santé des consommateurs.
« Nos actions consistent principalement en la prévention et la mise en place des moyens nécessaires pour la sensibilisation, l’information et l’accompagnement des agriculteurs en vue d’adopter la prévention biologique au lieu de la prévention chimique, notamment lors de la prévalence des maladies touchant la filière des fruits et légumes », a-t-il poursuivi.
Dans le même contexte, la directrice générale de l’Institut national de la protection des végétaux (INPV), Basta Dalila a évoqué dans son intervention les différentes maladies des végétaux et les moyens mobilisés pour la lutte biologique au lieu de la prévention chimique ayant des impacts négatifs sur la santé du consommateur à long terme.
A ce propos, elle a appelé à la nécessité de revoir la réglementation et de rendre impératif le contrôle sur la filière des fruits et légumes afin de connaitre le degré des polluants chimiques, en sus de la nécessité de renforcer et de doter les laboratoires en moyens sophistiqués pour un contrôle efficace.
De son côté, la représentante du ministère du Commerce a évoqué les différentes législations relatives à la pollution chimique des aliments et les mesures prises pour leur contrôle, affirmant, dans ce cadre, que la garantie du contrôle ne peut être atteint qu’à travers la conjugaison des efforts et les actions communes entre les différents secteurs et la société civile.
Elle a précisé que la question du contrôle demeure la préoccupation primordiale du ministère du Commerce qui a mobilisé « tous les moyens matériels et humains pour garantir la protection de la santé du consommateur », a-t-elle dit.
Lors de cette rencontre, les intervenants ont appelé à la nécessité d’adopter la prévention biologique au lieu de la prévention chimique en cas de prévalence de maladies touchant les filières agricoles, affirmant que les polluants chimiques existent dans les légumes, les fruits et tous les produits de consommation à cause de l’aggravation de la prévalence des différentes maladies.
Ils ont appelé, en outre, à la nécessité d’inculquer aux enfants les bonnes habitudes nutritionnelles tout en en s’éloignant de la consommation des fast-foods.
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