L'Agence Nationale des Transports Terrestres (ANaTT) a annoncé la destruction de toutes les plaques d'immatriculation des engins à deux roues non retirées, produites avant le 31 décembre 2023.
« Toutes les plaques d'immatriculation de véhicules 2 roues, produites jusqu'au 31 décembre 2023 et non encore retirées, seront définitivement détruites à partir du mois d'octobre 2025 », a prévenu l'Agence Nationale des Transports Terrestres (ANaTT) dans un communiqué en date du 17 septembre.
Les usagers concernés ont jusqu'au 15 octobre 2025 pour se mettre en règle. L'ANaTT les invite à se rendre dans ses annexes départementales pour régulariser leur situation.
Passé ce délai, les plaques seront simplement détruites, avertit Richard Dada, le Directeur Général de l'ANaTT.
M. M.
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Les travaux du premier congrès scientifique du Service de santé des armées du Bénin ont démarré ce mercredi 17 septembre 2025, au Palais des congrès de Cotonou. La rencontre, fruit de plusieurs mois de préparation vise à promouvoir la recherche scientifique et l'innovation en médecine militaire.
Mieux prévenir, détecter et traiter les pathologies auxquelles sont confrontées les forces armées dans l'exercice quotidien de leurs missions, c'est l'objectif du premier congrès scientifique du Service de santé des armées du Bénin. Les assises officiellement lancées par le ministre de la défense nationale, Alain Nouatin, connaissent la participation du personnel médical et paramédical militaire, de médecins et paramédicaux civils ainsi que des délégations venues du Togo, du Maroc, du Sénégal, de la Côte d'Ivoire et du Gabon. Ces différents acteurs vont réfléchir au cours des travaux à l'amélioration de la prise en charge sanitaire des militaires, qu'ils soient en garnison ou en opération, mais également à leur contribution aux Objectifs de développement durable (ODD), et à la santé des populations en général.
La rencontre selon le colonel-major Léonce AHOUANVOEKE, constitue un moment fraternel et propice à la réflexion sur des enjeux cruciaux tels que la gestion des crises sanitaires, la formation continue du personnel ou encore l'adaptation aux évolutions de la médecine moderne.
« Il n'y a pas de puissance militaire sans puissance sanitaire, et pas de victoire sans la capacité de protéger et de soigner », a souligné Alain Nouatin, ministre de la défense nationale. Procédant à l'ouverture officielle des travaux, il a exhorté les congressistes à des réflexions approfondies et à nourrir des débats constructifs, afin de dégager des solutions innovantes susceptibles d'améliorer la qualité des soins et les savoir-faire des professionnels de santé militaire.
Les ministres Benjamin Hounkpatin de la santé, Alassane Séïdou de l'intérieur et de la sécurité publique, Véronique Tognifodé des affaires sociales et de la microfinance, et Eléonore Yayi Ladékan de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, des préfets des départements et plusieurs autres personnalités ont pris part à la cérémonie de lancement officiel.
F. A. A.