Die Abteilung Makroökonomie des Deutschen Instituts für Wirtschaftsforschung (DIW Berlin) analysiert gesamtwirtschaftliche Zusammenhänge mit empirischen und theoretischen Methoden. Die Forschungsarbeiten der Abteilung ordnen sich den drei Themenbereichen Konjunkturpolitik der europäischen Währungsunion, Makroökonomie und Verteilung und Makroökonomische Aspekte des Klimawandels zu. In den Forschungsarbeiten werden Modelle entwickelt und Datensätze generiert. Die Forschungsergebnisse bilden die Grundlage für die Infrastruktur der Prognose und Politikberatung. So fließen die Ergebnisse direkt in die Prognosen des DIW Berlin und die Gemeinschaftsdiagnose ein. Wir suchen zum nächstmöglichen Zeitpunkt eine studentische Hilfskraft (w/m/div) für 10 Wochenstunden.
Cette décision fait suite à une enquête de plusieurs mois, considérée comme une mesure de rétorsion à la suite des droits de douane imposés par l'UE sur les véhicules électriques chinois.
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Die Abteilung Makroökonomie des Deutschen Instituts für Wirtschaftsforschung (DIW Berlin) analysiert gesamtwirtschaftliche Zusammenhänge mit empirischen und theoretischen Methoden. Die Forschungsarbeiten der Abteilung ordnen sich den drei Themenbereichen Konjunkturpolitik der europäischen Währungsunion, Makroökonomie und Verteilung und Makroökonomische Aspekte des Klimawandels zu. In den Forschungsarbeiten werden Modelle entwickelt und Datensätze generiert. Die Forschungsergebnisse bilden die Grundlage für die Infrastruktur der Prognose und Politikberatung. So fließen die Ergebnisse direkt in die Prognosen des DIW Berlin und die Gemeinschaftsdiagnose ein. Wir suchen zum nächstmöglichen Zeitpunkt eine studentische Hilfskraft (w/m/div) für 10 Wochenstunden.
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a lancé ce mercredi 2 juillet 2025, l'initiative « 3 d'ici à 2035 ». Elle consiste à faire augmenter les taxes sur les produits nocifs pour la santé et à sauver des millions de vies.
L'OMS cible le tabac, l'alcool et les boissons sucrées dans une nouvelle initiative de grande ampleur dénommée « 3 d'ici à 2035 ». L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a lancé cette initiative afin que « les pays augmentent les prix réels du tabac, de l'alcool et des boissons sucrées d'au moins 50 % d'ici à 2035, par le biais de la fiscalité, dans le but de freiner les maladies chroniques et d'obtenir des recettes publiques essentielles ». Selon l'OMS, « le lancement de l'initiative « 3 d'ici à 2035 » intervient au moment où les systèmes de santé sont soumis à une pression énorme en raison de l'avancée des maladies non transmissibles (MNT), de la diminution de l'aide au développement et de l'augmentation de la dette publique ».
« Les taxes sur les produits nocifs pour la santé sont l'un des outils les plus efficaces dont nous disposons », a affirmé le Dr Jeremy Farrar, Sous-Directeur général de l'OMS chargé de la promotion de la santé, de la prévention et de la lutte contre les maladies. A l'en croire, la réduction de la consommation de produits nocifs permettra d'obtenir des recettes que les pouvoirs publics peuvent réinvestir dans les soins de santé, l'éducation et la protection sociale.
L'initiative « 3 d'ici à 2035 », pilotée par l'OMS, réunit des partenaires mondiaux pour aider les pays à instaurer des taxes sur les produits nocifs à la santé. Grâce à une collaboration étroite, ces organisations apportent un appui technique, stratégique et pratique, tout en sensibilisant le public et en soutenant les actions nationales.
Après le Guatemala, il y a quelques jours, c'est un autre pays d'Amérique Latine qui réitère aussi son soutien à la souveraineté et à l'intégrité du Royaume du Maroc sur l'ensemble de son territoire. L'Équateur considère aussi l'initiative d'autonomie comme "la base pour la résolution du différend" régional autour du Sahara marocain.
La République d'Équateur, par la voix de son chef de la diplomatie, a affirmé, vendredi 4 juillet 2025, à Rabat, que l'initiative d'autonomie est "la base pour la résolution du différend" régional autour du Sahara marocain.
La position de Quito sur le dossier du Sahara marocain a été réaffirmée par la ministre des Relations extérieures et de la Mobilité humaine de l'Équateur, Gabriela Sommerfeld, lors du point de presse, tenu à l'issue de sa rencontre avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita.
Dans la même dynamique que la majorité des États membres de l'ONU, la République d'Équateur a également réitéré son appui aux efforts déployés par le Maroc pour parvenir à une solution politique, réaliste, pragmatique, durable et mutuellement acceptable à ce différend régional, dans le cadre des Nations-Unies.
Pour le renforcement diplomatique de l'axe Rabat-Quito, la République d'Equateur avait retiré, le 22 octobre 2024, sa reconnaissance de la pseudo "rasd" et mis un terme à tout contact avec ses dirigeants.
La ministre du Numérique et de la Digitalisation, Aurélie Adam Soulé Zoumarou, et le président du Conseil économique et social (CES), Conrad Gbaguidi ont échangé, jeudi 3 juillet 2025 sur les défis liés à l'inclusion numérique au Bénin.
Des échanges entre la ministre du Numérique et de la Digitalisation, Aurélie Adam Soulé Zoumarou, et le président du Conseil économique et social (CES), Conrad Gbaguidi autour de l'inclusion numérique. Les discussions ont porté entre autres sur l'accès aux services digitaux, la vulgarisation du Code du numérique, l'intégration des outils technologiques dans les zones rurales et les opportunités offertes par l'intelligence artificielle pour faciliter les interactions entre citoyens, notamment ceux non alphabétisés, et l'administration publique.
Aurélie Adam Soulé Zoumarou, et Conrad Gbaguidi ont exprimé une volonté commune de faire du numérique un levier d'équité sociale, en mettant l'accent sur la proximité avec les populations.
A.A.A
Written by Mar Negreiro.
Deepfakes – videos, images and audio created using artificial intelligence (AI) to realistically simulate or fabricate content – are booming on the internet. They are becoming increasingly accessible, as what previously required powerful tools can now be done with free mobile apps and limited digital skills. At the same time, they are becoming increasingly sophisticated and therefore more difficult to detect, especially audio deepfakes. While deepfakes have applications in entertainment and creativity, their potential for spreading fake news, creating non-consensual content and undermining trust in digital media is problematic, as they are evolving faster than existing legislative frameworks. A projected 8 million deepfakes will be shared in 2025, up from 500 000 in 2023. The European Commission states that pornographic material accounts for about 98 % of deepfakes.
Deepfakes pose greater risks for children than adults, as children’s cognitive abilities are still developing and children have more difficulty identifying deepfakes. Children are also more susceptible to harmful online practices including grooming, cyberbullying and child sexual abuse material. This highlights the need for legal action and cooperation, including developing the tools and methods needed to tackle these threats at the required scale and pace. Furthermore, there is a growing need for enhanced generative AI literacy for children, educators and parents. There is also a need for increased industry efforts and better implementation of relevant European Union (EU) legislation such as the Artificial Intelligence Act and the Digital Services Act. Monitoring indicators on children’s online use at the EU level are currently non-existent, highlighting the need for their implementation.
Read the complete briefing on ‘Children and deepfakes‘ in the Think Tank pages of the European Parliament.