Recent years have seen a remarkable shift in the way in which governments justify their actions in the global sphere. We truly seem to have entered an “age of national interests”, where policy-makers base all decisions in international relations on self-interest-driven considerations. Even those advancing the importance of global sustainable development, rule-based global governance, development cooperation and international climate action are increasingly basing their arguments on supposed “national interests”. It is understandable that the current pressure on international cooperation leads many to resort to such narratives. However, this discursive shift is dangerous because it strengthens nationalist narratives and has adverse consequences for the practice of international cooperation.
Recent years have seen a remarkable shift in the way in which governments justify their actions in the global sphere. We truly seem to have entered an “age of national interests”, where policy-makers base all decisions in international relations on self-interest-driven considerations. Even those advancing the importance of global sustainable development, rule-based global governance, development cooperation and international climate action are increasingly basing their arguments on supposed “national interests”. It is understandable that the current pressure on international cooperation leads many to resort to such narratives. However, this discursive shift is dangerous because it strengthens nationalist narratives and has adverse consequences for the practice of international cooperation.
Recent years have seen a remarkable shift in the way in which governments justify their actions in the global sphere. We truly seem to have entered an “age of national interests”, where policy-makers base all decisions in international relations on self-interest-driven considerations. Even those advancing the importance of global sustainable development, rule-based global governance, development cooperation and international climate action are increasingly basing their arguments on supposed “national interests”. It is understandable that the current pressure on international cooperation leads many to resort to such narratives. However, this discursive shift is dangerous because it strengthens nationalist narratives and has adverse consequences for the practice of international cooperation.
Le ministre de l’Industrie, Sifi Ghrieb, a reçu une délégation omanaise de haut niveau représentant la société SARL Hyundai Motors Manufacturing Algeria. Au cœur de […]
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Une nouvelle ère s'ouvre pour le transport aérien béninois avec l'annonce du prochain partenariat entre ‘'Qatar Airways'' et ‘'Amazone Airlines''.
Dans le cadre du renforcement de la coopération bilatérale, le président du Bénin, Patrice Talon et Son Altesse Cheikh Tamin Bin Hamad Al-Thani, Emir de l'Etat du Qatar ont exprimé la volonté des deux pays d'intensifier les relations dans plusieurs secteurs dont celui de l'aviation civile.
Le Bénin et le Qatar explorent la possibilité d'une coopération entre les deux transporteurs nationaux, Qatar Airways (fondée depuis novembre 1993) et la nouvelle compagnie aérienne du Bénin "Amazone Airlines".
Le Bénin marquera donc un tournant dans le développement du secteur aérien avec sa toute nouvelle compagnie aérienne ‘'Amazone Airlines''.
Les deux pays envisagent aussi la mise en place d'un vol direct entre Cotonou-Doha et plusieurs autres destinations africaines et européennes. Ce nouveau couloir aérien facilitera les échanges économiques, attirera davantage d'investisseurs vers le Bénin, stimulera le tourisme et encouragera les échanges culturels entre les deux pays.
Avec Amazone Airlines, le Bénin affirme sa volonté de prendre son envol sur la scène internationale et de se positionner comme un hub régional de connectivité et d'échanges internationaux.
A.A.A
À l’aéroport international d’Alger, une opération menée, la semaine dernière, conjointement par la police aux frontières et les éléments de la douane, a permis de […]
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Depuis plus d'un mois, les feux tricolores au carrefour Marina Sikècodji, dans le 7ᵉ arrondissement de Cotonou, sont en panne. La circulation est un casse-tête pour les usagers.
Carrefour stratégique conduisant à l'Etoile rouge ou au marché international Dantokpa, Marina Sikècodji est sans ses feux tricolores.
La situation est déplorable depuis plus d'un mois. Ce mardi 19 mai 2025 les feux tricolores sont toujours éteints au carrefour Marina. Conducteurs de motos et de voitures venant de différents sens, tout le monde veut passer en même temps.
Entre 12h et 15h, le carrefour se transforme en champ de bataille mécanique. Klaxons, cris, jurons… les accrochages ne sont pas rares.
Les vendeurs des boutiques environnantes confirment : cela dure depuis des semaines. « Depuis deux mois environ, il est difficile de traverser ce carrefour quand les policiers ne régulent pas la circulation », confie un chauffeur de minibus.
Même son de cloche chez les conducteurs de taxi-moto, qui sont nombreux à emprunter cet axe chaque jour.
Les feux sont en panne depuis un mois, selon les autorités.
Une régulation à heures fixes
Pour éviter le pire, les agents de la Police républicaine sont présents chaque jour. Mais seulement de 8h à 12h le matin. Et de 16h à 20h ou 22h le soir.
Les interventions ponctuelles sont parfois déclenchées quand un bouchon devient ingérable.
Interpellées, les autorités municipales assurent qu'une solution est en cours. Les feux seront réparés, promettent-elles. Mais aucun délai n'a été communiqué. Les usagers, eux, attendent.
Les coupures intempestives d'électricité provoqueraient des disfonctionnements au niveau des feux tricolores, selon les informations. L'idéal serait de mettre en place des dispositifs de feux fonctionnant à l'énergie solaire.
M. M.
Il est « pro-européen » mais très conservateur sur le plan social. Certains des « amis » du maire de Bucarest sont liés à des réseaux d'intérêts russes... Qui est donc Nicușor Dan, le nouveau président « anti-système » de la Roumanie ? Portrait.
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