J'ouvre avec ce billet une série qui reprend mes réflexions sur la transformation digitale et ses relations avec la stratégie. Il s'agit des éléments de ce qui constituera mon prochain livre, sans doute. Bonne lecture et n'hésitez pas à commenter, pour améliorer le produit final !
L’absence de définition
Septembre 2016 : j’arrive à l’état-major de l’armée de Terre comme officier en charge de la Transformation digitale. Personne ne sait très bien ce que c’est, mais le mouvement a été enclenché dans les grandes entreprises et l’état-major des armées, celui de l’armée de l’Air et la direction du service du Commissariat ont également mis en place un tel poste. Il s’agit de défricher, d’explorer, de mettre en place, de convaincre, de préparer l’avenir.
La fiche de tâche est donc assez floue, comme toujours quand il s’agit d’aller vers des domaines nouveaux. Surtout, je n’ai pas de définition de ce qu’est cette « transformation digitale » que je suis désormais chargée de porter. Je me tourne donc vers des consultants d’un grand cabinet de conseil, avec qui je vais travailler. Comme tous les consultants, ils montrent une belle assurance, expliquent que leur cabinet mondial a une grosse expérience, me remettent un livre sur la dite transformation digitale qui décrit comment la mener et à quel point c’est indispensable pour prendre le pas sur ses concurrents. Le livre compte plus de 200 pages . Nulle part la transformation digitale n’est définie.
Voici donc un objet qui ferait des miracles économiques, qui serait indispensable et inévitable, mais dont on n’a aucune définition. Je vais donc en librairie consulter la littérature sur le sujet (ce doit être mon côté rétrograde, je lis encore les livres sur papier et ai besoin de les compulser avant de les acheter) pour constater le même phénomène. Pas de définition !
Les tentatives de définition
Par exemple, le professeur Aurélie Dudézert propose un petit opuscule sur la transformation digitale des entreprises . Elle ne donne pas de définition stricto sensu, même si dans un encadré elle rassemble des « définitions » de CDO (Chief Digital Officer : Officier en charge de la transformation digitale). On apprend ainsi que « la transformation digitale, c’est l’irruption du digital dans la vie de l’entreprise, y compris dans les produits », qu’elle est « avant tout stimulée par le client », que « le digital est une réelle opportunité et aussi une remise en cause en profondeur des business models », qu’elle « implique tous les métiers, tous les aspects de l’entreprise », que « le digital doit être intégré partout, dans toutes les fonctions et dans tous les métiers de l’entreprise », ou encore que « la transformation digitale, c’est créer un état d’esprit numérique au sein de l’entreprise » (Dudézert, 2018, p. 15).A l’évidence, il n’y a aucune « définition » dans cette liste. Le Pr Dudézert poursuit en montrant, de façon fort intéressante d’ailleurs, les différentes caractéristiques de cette transformation digitale. Au détour d’un paragraphe, elle propose ce qui ressemble le plus à une définition : « la transformation digitale pour les entreprises, c’est l’exploration et l’exploitation des nouveaux « possibles » engendrés par ces technologies de l’information, en particulier au niveau organisationnel ». Cette définition correspond particulièrement bien à son approche académique, à mi-chemin entre les sciences de gestion et la sociologie des organisations. Elle est toutefois décevante pour celui qui chercherait à savoir ce qu’est la transformation digitale.
Ultime signe : dans Wikipédia en français, il n’existe pas d’article sur la Transformation digitale (en août 2018). Un article assez compact existe dans la version anglaise , publié fin 2017. Il expose successivement la digitization, la digitilization puis la digital transformation. La digitization est « la conversion d’une information analogique en forme numérique ». La digitilization comprend « les changements produits par les nouvelles technologies dans certains secteurs technologiques » (médias, banque, télécoms, santé…). La digital transformation serait alors « l’effet total et global de la digitalisation sur la société ». Notons que l’article ne fait pas l’unanimité puisque plusieurs mentions le précèdent : il relèverait d’une opinion personnelle et son style ne correspondrait pas à l’ambition académique de Wikipédia (on devine en effet qu’il a été rédigé par un étudiant en master qui veut mettre en valeur ses propres travaux). Il reste que l’approche est intéressante car elle distingue plusieurs niveaux : un niveau purement technique, un niveau économique, un niveau sociétal. Toutefois, la définition ne convainc pas vraiment.
Pourquoi une telle absence ? Probablement parce qu’il s’agit d’abord d’un phénomène, d’une pratique sociale et économique dont on a vu les effets, dont on a pris progressivement conscience. La transformation digitale s’observe d’abord dans ses résultats et ses effets. Les praticiens qui l’ont examinée ont relevé des méthodes, des mécanismes, des facteurs de succès, sans pour autant déceler une universalité de ces méthodes et procédés. Voici donc un phénomène très divers et épars, dans lequel on a peine a relever des régularités et des répétitions, mais dont on observe malgré quelques similitudes, sinon de procédures au moins d’approche. Surtout, le phénomène est assez massif pour apparaître comme évident.
Cette dimension opératoire explique partiellement l’absence de définition. L’époque est au pragmatisme : les praticiens de la vie économique (car la Transformation digitale vient d’abord du monde économique) se fichent des belles théories ; ils veulent des recettes qui fonctionnent et qui produisent des effets. C’est pourquoi aussi bien ceux qui conduisent des transformations digitales que ceux qui les accompagnent n’ont pas eu le besoin de donner des définitions.
O. Kempf
Acht Milliarden Franken will der Bundesrat für neue Kampfjets und Boden-Luft-Raketen ausgeben. Über das Verteidigungspaket soll das Stimmvolk entscheiden. Die CVP ist gegen diese Verknüpfung. Sie befürchtet einen Absturz der Vorlage.
Die CVP werde die Grossvorlage in dieser Form nicht mittragen, sagte Parteipräsident Gerhard Pfister am Samstag in der «Tagesschau» von Fernsehen SRF. Die Mittepartei ist zwar für neue Armeeflugzeuge und ein neues System der bodengestützten Luftverteidigung (Bodluv).
Aber im Parteipräsidium sei man sich am Freitag einig gewesen, es sei zu gefährlich, beides zu einem einzigen referendumsfähigen Paket zu schnüren, wie dies der Bundesrat wolle.
«Die Verknüpfung ist ein grosses Risiko, denn sie überlädt das ganze Paket, sagte Pfister. »Der Betrag ist viel zu gross und sie verbindet zwei Themen, die nur indirekt miteinander etwas zu tun haben." Wenn man sicher sein wolle, Kampfjets beschaffen zu können, müsse man diese Frage alleine dem Volk vorlegen, sagte der CVP-Präsident.
Ab 2025 sollen neu Kampfjets die Tiger und die F/A-18 der Schweizer Armee ablösen. Neue Boden-Luft-Raketen sollen die heute eingesetzten Luftverteidigungssysteme ersetzen.
Im März beschloss der Bundesrat, das Volk einzubeziehen. Erstmals will er dem Parlament einen so genannten Planungsbeschluss von grosser Tragweite vorlegen. Ein solcher würde dem fakultativen Referendum unterstehen.
Über den Schutz des Luftraums und den Preis dafür soll demnach das Volk abstimmen können. Keine Abstimmung ist jedoch über die Wahl des Flugzeugtyps und das Bodluv-System vorgesehen.
Moskau – Der russische Oppositionspolitiker Alexej Nawalny ist nach Angaben einer Sprecherin am Samstag in Moskau einmal mehr festgenommen worden. Angaben zu den Anschuldigungen gegen den prominentesten Kritiker von Präsident Wladimir Putin machte die Sprecherin nicht.
Nawalny sei auf eine lokale Polizeistation gebracht worden, hiess es auf Twitter weiter. Der Oppositionspolitiker war zur Präsidentschaftswahl, die Putin im März mit einer Mehrheit von 77 Prozent der Stimmen gewonnen hatte, aus fadenscheinigen Gründen - wegen angeblichen Diebstahls von Holz - nicht zugelassen worden.
Der Rechtsanwalt Nawalny und seine Unterstützer werfen Putin vor, das Land in eine autokratische Richtung zu steuern.
2011 hat Nawalny die Nichtregierungsorganisation «Fonds zur Korruptionsbekämpfung» gegründet, die sich aus Spenden finanziert und laufend die staatliche Korruption dokumentiert und publik macht. Regierungschef Dmitri Medwedew zum Beispiel war als milliardenschwerer Immobilienbesitzer im In- und Ausland entlarvt worden.
Am Montag gehts in New York mit den US Open los. Legende Marc Rosset (47) verrät, wen er bei den Männern als Favoriten auf dem Zettel hat – und wie Roger Federer für den Coup spielen muss.
Das Los meint es mit den Schweizern an den US Open in New York für einmal nicht optimal. Während Stan Wawrinka (ATP 101) schon zum Auftakt auf Grigor Dimitrov (ATP 8) trifft, droht Roger Federer (ATP 2) später im Turnier ein Viertelfinal-Schocker gegen Novak Djokovic (ATP 6).
Legende Marc Rosset (47) hofft zwar, dass seine Landsleute in Flushing Meadows gut abschneiden werden, doch zu den drei Top-Favoriten zählt er Federer (37) und Wawrinka (33) nicht. Der Genfer sagt zu BLICK: «Klar kann man Federer nie ganz von der Liste streichen, aber es wird ein hartes Stück Arbeit für ihn. Ich wünschte mir, er spielt so wie 2017. Wie ein Jäger und nicht wie ein Gejagter. In Wimbledon dünkte er mich zu passiv.»
Nadal, Djokovic und Del Potro als FavoritenGrösser auf der Rechnung hat Olympiasieger Rosset die üblichen Verdächtigen – Rafael Nadal, Novak Djokovic und Juan Martin Del Potro. Über Titelverteidiger und Weltnummer 1, Nadal, sagt er: «Ihn muss man nicht gross erklären. Er ist ein Kämpfer, gibt immer 100 Prozent. Nadal spielt aggressiv wie eh und je.»
Die wundersame Auferstehung von Djokovic mit dem Wimbledon-Titel beeindruckt auch Rosset. «Die Rückkehr von Trainer Marian Vajda hat ihm gutgetan. Er fokussiert sich wieder aufs Tennis», sagt er über den Serben.
Ähnlich siehts bei Del Potro (30) aus. Der Argentinier, der vor neun Jahren die US Open gewann, ist nach vielen verletzungsbedingten Rückschlägen topfit und als ATP-Nummer 3 so gut klassiert wie nie.
Rosset: «Ich liebe die Spielweise Del Potros, seine Leidenschaft, die von Herzen kommt. Schön, dass er endlich zurück ist. Er verdient es, noch einmal ein Grand Slam zu gewinnen.»
Sieg wird an einen Routinier gehenFür Rosset steht ausser Frage, dass einer der Routinierten dieses Jahr an den US Open triumphiert. Die junge Garde um Zverev (21), Tsitsipas (20) oder Shapovalov (19) guckt nochmals in die Röhre.
«Ich wäre sehr überrascht, wenn einer der Jungen gewinnen würde», prophezeit Rosset. Am 9. September, dem Tag des Finals, werden wir Gewissheit haben.
Schon übernächstes Jahr will die Nasa wieder auf dem Mond landen. Zunächst mit Robotern. Später werden auch Touristen auf den Mond fliegen, ist Nasa-Forschungschef Thomas Zurbuchen aus Heiligenschwendi im Berner Oberland überzeugt.
US-Wissenschaftler haben Eis auf der Oberfläche des Mondes gefunden. Es sei «das erste Mal, dass Wissenschaftler einen definitiven Beweis für die Existenz von gefrorenem Wasser auf der Mondoberfläche haben», sagte Shuai Li vom Hawaii Institute of Geophysics and Planetology. «Das ist ein Durchbruch für die Weltraumforschung», sagt der Wissenschaftsdirektor der US-Raumfahrtagentur Nasa, der Berner Oberländer Thomas Zurbuchen (50), und erklärt im Interview, warum das so ist.
BLICK: Herr Zurbuchen, wie wichtig ist die Gewissheit, dass es auf dem Mond Wasser gibt?
Thomas Zurbuchen: Sehr wichtig! Diese Erkenntnis ist ein absoluter Durchbruch in der Weltraumforschung.
Weshalb?
Wasser brauchts zum Beispiel, wenn wir auf dem Mond selber Treibstoff für Mondraketen herstellen wollen. Und das ist eine Voraussetzung für künftige Mondmissionen. Das Wasser auf dem Mond ist quasi wie eine Ölquelle, die den Treibstoff für den Rückflug zur Erde liefert. Die Erkenntnisse, die wir daraus ziehen, werden auch für die Flüge auf den Mars in den 2030er-Jahren wichtig sein, denn für den Rückflug müssen wir den Treibstoff vor Ort auf dem Mars produzieren. Sonst haben wir keine Chance, jemals zurückzukommen.
Wann wird die Nasa denn wieder auf den Mond fliegen?
Wir wollen schon 2020 mit Robotern auf dem Mond landen. Innert der nächsten zehn Jahre werden wir dann wieder mit Menschen um den Mond fliegen und Ende der 2020er-Jahre werden wir auch wieder mit Menschen auf dem Mond landen.
Wie lange werden sie unterwegs sein?
Die Reise wird ein paar Tage oder Wochen dauern, das wissen wir noch nicht. Vor allem aber wollen wir nicht nur hinfliegen und wieder zurück. Menschen sollen längere Zeit, ein paar Monate, auf dem Mond verbringen. Wir müssen jetzt lernen, wie wir längere Zeit so weit weg von der Erde überleben können. Darin haben wir noch keine Erfahrung.
Warum erst dann wieder? Die letzten Menschen waren vor 46 Jahren auf dem Mond.
Es war nicht Priorität. Das Ziel war, auf dem Mond die US-Flagge zu hissen und Fussabdrücke zu hinterlassen. Und das haben wir erreicht. Nachher war die Forschung und Zusammenarbeit in der Internationalen Raumstation ISS wichtiger, auch aus politischen Gründen. Und jetzt sind Mondmissionen wieder prioritär, weil der Mond quasi ein Test- und Übungsgelände für spätere Marsmissionen ist.
Möchten Sie selber auf den Mond mitfliegen?
Das ist für mich nicht vordringlich. Wenn es mit dem vertretbaren Aufwand für einen Ferienflug möglich wäre, auf den Mond zu fliegen, würde ich es machen. Angst habe ich keine. Aber eigentlich organisiere ich lieber eine neue Weltraummission, die einen Roboter an einen Ort schickt, wo noch keiner gewesen ist. Mich interessiert es mehr, in neue Dimensionen vorzustossen, die Grenzen zu verschieben und Neues zu entdecken.
Glauben Sie, dass auch Touristen auf den Mond fliegen werden?
Absolut sicher! Die Frage ist nicht ob, sondern wann.
Vor kurzem hat die Nasa ein Projekt für Häuser auf dem Mars prämiert. Ist das mehr als eine Spielerei?
Es wird immer unterschätzt, wie wichtig spielen ist, wenn man neue Ideen entwickeln will. Natürlich brauchen wir diese Häuser nicht in den nächsten fünf Jahren. Wir müssen jetzt Projekte fördern für Dinge, die wir in 20 Jahren brauchen.
Neben den USA forcieren auch Europa, China und Indien die Raumfahrt. Gibt es wieder ein Gerangel um die Vorherrschaft im Weltraum wie in den 1960er- und 1970er-Jahren, zur Zeit der ersten Mondflüge?
Jeder will in den Weltraum. Aber die USA können nicht allein dort sein. Wichtig ist uns, dass alle Nationen ihre Raumfahrtprogramme zu friedlichen Zwecken nutzen. Tatsache ist aber, dass es in der internationalen Gemeinschaft eine Diskussion über Bestrebungen gibt, den Raum anders zu gebrauchen. Das macht uns Sorgen.
Ist die Space Force, die Weltraum-Armee, die Präsident Donald Trump angekündigt hat, die Antwort auf diese Sorgen?
Die Space Force ist eine Möglichkeit, damit umzugehen. Der Weltraum wird zunehmend zu einem Lebensraum, und diesen haben wir zu schützen. Genauso wie wir die Meere als Lebensraum mit Schiffen beschützen.
UNTERÄGERI ZG - Die SVP-Grössen stimmte sich an Delegiertenversammlung mit scharfen Voten für den Abstimmungskampf zur Selbstbestimmungsinitiative ein, die am 25. November an die Urne kommt. Roger Köppel findet dabei die schärfsten Worte.
Umsetzung der Masseneinwanderungs-Initiative, Durchsetzungsinitiative, Energiestrategie 2050, Unternehmenssteuerreform III, No Billag: Die SVP hat so gut wie alle bedeutenden Abstimmungen in dieser Legislatur verloren (BLICK berichtete). Einzig bei der gescheiterten Rentenreform (Altersvorsorge 2020) gehörte sie zu den Siegern.
Eine weitere happige Niederlage gilt es am 25. November dringend zu verhindern. Dann kommt die Selbstbestimmungsinitiative der Partei zur Abstimmug. Die tonangebenden Kräfte preschen nun vor, um die Wende zum Guten herbeizuführen. Mit scharfen Voten läuteten sie am Samstag an der Delegiertenversammlung in Unterägeri ZG den Kampf gegen die fremden Richter ein.
Verfassung letztes Bollwerk vor EU-BeitrittDie Initiative «Schweizer Recht statt fremde Richter» – oder eben Selbstbestimmungsinitiative – verlangt, dass Landesrecht Vorrang gegenüber Völkerrecht hat. Widerspricht ein völkerrechtlicher Vertrag einer Verfassungsbestimmung, muss der internationale Vertrag angepasst oder gekündigt werden. «Volk und Stände sind oberster Souverän», macht Thomas Matter (52) klar. So stehe es in der Verfassung.
Diese sei das letzte Bollwerk, der «letzte Schutz vor dem schleichenden EU-Beitritt», beschwört der Zürcher Nationalrat. «Unsere Gegner sind die Abschaffer der direkten Demokratie.» Das Stichwort ist gegeben. Roger Köppel (53) meldet sich zu Wort und zählt auf, wer diese sind: «Unsere Gegner sitzen nicht in der EU, sind nicht der schwankende Herr Juncker und seine Kollegen. Unsere Gegner sitzen in Bern, sitzen in der Verwaltung, sind die anderen Parteien, sind Bundesräte.»
Martullo: «Selbstbestimmung macht glücklich»«Selbstbestimmung macht glücklich», führt Martullo-Blocher wieder auf einer sachlicheren Ebene weiter aus. Die Schweiz habe einen hohen Wohlstand, eine tiefe Arbeitslosigkeit und ein gutes Bildungswesen. Keine Bürokraten in Brüssel oder Bern müssten der Schweiz vorschreiben, was sie zu tun habe. «Denn das wissen wir selber ganz genau», meint die Ems-Chefin.
Ausländische Geschäftspartner würden sie beneiden wegen der guten wirtschaftlichen Rahmenbedingungen in der Schweiz, erzählt Martullo. Sie erklärt diesen dann stets, dass das mit der Selbstbestimmung zu tun habe und nicht etwa damit, dass Bundesrat und Parlament besonders fähig seien. «Wir brauchen kein ausländisches Recht, keine höheren Steuern, keinen vollregulierten Arbeitsmarkt», so Martullo. Die Schweiz sei attraktiv, gerade weil sie anders und nicht gleichgeschalten sei wie viele andere Länder.
Mit der Annahme der Selbstbestimmungsinitiative wäre ein Rahmenabkommen mit der EU definitiv vom Tisch, meint Parteipräsident Albert Rösti (51): «Wir müssen der Schweiz unmissverständlich klar machen, dass nichts über die Selbstbestimmung geht.» Die Delegierten applaudierten begeistert den Votanten zu, ehe sie einstimmig die Ja-Parole fassten.
Doppeltes Nein zu Agrar-InitiativenDoch die Delegiertenversammlung steht nicht nur im Zeichen der alles dominierenden Debatte um die fremden Richter. Auch «Fair Food» und Ernährungssouveränität – also die beiden Agrar-Initiativen, die am 23. September zur Abstimmung kommen – sind traktandiert.
Nach einer Diskussionsrunde fassten die Delegierten schliesslich die Parolen: Wenig überraschend lehnen die Delegierten beide Initiativen ab. Diese führten nur zu unnötiger Bürokratie, zumal ihre Anliegen bereits in der Verfassung geregelt seien, argumentiert die SVP.
Le système de péage sur l’autoroute Est-Ouest entrera en vigueur en novembre prochain dont les tarifs de péage oscillent entre 1 et 1.5 DA par kilomètre. Ainsi, tout usager parcourant tout le trajet (1216 km) aura à payer environ 1824 DA.
Echorouk a appris vendredi d’une source officielle auprès de l’Algérienne des autoroutes (ADA) que le système de péage entrera en vigueur dans la deuxième moitié du mois de novembre, affirmant que le taux de réalisation des gares de péage de pleine voie (BPV) réparties sur trois parties (Est, Ouest et Centre) a atteint 85%, insistant sur la levée de tous les obstacles entravant l’état d’avancement de ces chantiers.
Le même responsable a indiqué la mise en place de 55 stations de péage permettant aux usagers de la route de bénéficier d’un service de proximité et d’une prise en charge, précisant que ses services sont en concertation avec d’autres secteurs, entre autres les services de sécurité (Police, gendarmerie) ainsi que la protection civile (PC) et c’en prévision de la formation des employés qui seront chargés de gérer ces gares de péage dans les quelques jours à venir.
Selon la même source, l’autoroute Est-Ouest sera dotée d’une radio qui diffusera toute information qui concerne cette autoroute, de 1.289 caméras de surveillance, d’un système météorologique, d’un réseau de fibres optiques et d’un réseau d’appel d’urgence (RAU).
Interrogé sur l’exploitation de ladite autoroute, notre interlocuteur a dit que “le paiement est inéluctable, car il s’agit d’un outil garantissant le financement des opérations de maintenance, de suivi, de la sécurité des usagers et d’affronter les urgences”.
Notre source a précisé également que “la tarification dépend de la taille du véhicule et de la distance parcourue, ajoutant qu’elle oscille entre 1 et 1.5DA par kilomètre.
Nouara Bachouche / Traduit par: Moussa. K.
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Désormais, l’origine du choléra qui est apparu ces derniers jours et qui a semé la panique dans plusieurs wilayas du pays est connue.
En effet, le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a affirmé samedi que la source d’eau de Sidi El Kebir (Tipasa) est à l’origine de cette épidémie.
Echoroukonline / Moussa. K.
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C’est dans ce contexte de rebond des cours de l’or noir qu’est annoncée une réunion restreinte de l’Opep et de ses alliés.
La hausse des prix du pétrole est à nouveau d’actualité. La probabilité d’un baril à
80 dollars revient sur le devant de la scène. Après avoir donné l’impression de vouloir plonger sous les 70 dollars, le baril a entamé sa remontada. Il est parti à la recherche du gain perdu. Il cartonne! Reste à savoir quand il franchira la barre des 80 dollars. Une cible qui reste largement à sa portée. Les prix du pétrole se sont en effet envolés. Depuis cinq séances consécutives pour marquer une pause jeudi, puis repartir de nouveau de plus belle hier. Vers 14h45 heure algérienne, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre valait 76, 08 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 1,35 dollar par rapport à la clôture de jeudi. Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» pour la même échéance prenait 1,15 à 68, 98 dollars. Le Brent a touché vers 10h20 à Alger son plus haut niveau après un mois et demi à 75,49 dollars. Un coup de fouet qui est dû à la déprime du billet vert. C’est ce que certains experts affirment. «Le pétrole a reçu un coup de fouet du marché des changes», alors que le dollar reculait, avançait Stephen Brennock, analyste chez PVM. D’autres y voient des raisons différentes. «Les sanctions iraniennes commencent à mordre sur l’offre du marché de l’énergie», a indiqué de son côté Artjom Hatsaturjants, analyste chez Accendo Markets. Dès début novembre les mesures prises par Washington dans le cadre de la sortie des Etats-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien auront pour effet d’empêcher les pays importateurs de pétrole de se fournir auprès de la République islamique d’Iran.
Alors que les acheteurs se préparent à l’entrée en vigueur de ces sanctions, les exportations iraniennes ont commencé à décliner. «L’Iran est le troisième plus grand producteur de l’Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole), et sa production pourrait reculer d’entre 2,5 et un million de barils par jour», a souligné M. Hatsaturjants. C’est dans ce contexte de rebond des cours de l’or noir qu’est annoncée une réunion restreinte de l’Opep et de ses alliés. Un comité chargé de contrôler si la baisse des quotas, dans le cadre de la diminution de la production des pays producteurs (Opep hors-Opep) de 1,8 million de barils par jour entrée en vigueur le 1er janvier 2017, est respectée. Les sanctions que compte rétablir Donald Trump contre Téhéran et qui touchent de plein fouet ses exportations de pétrole, sa principale ressource, réduiraient l’offre mondiale selon toute vraisemblance d’au moins 1 million de barils par jour. L’Arabie saoudite qui a applaudi des deux mains la décision du successeur de Barack Obama, s’est dite prête à pallier cette carence. «Le royaume (saoudien) travaillera avec les principaux producteurs de pétrole à l’intérieur et à l’extérieur de l’Opep, ainsi qu’avec les principaux consommateurs, pour limiter l’impact de toute pénurie d’approvisionnement», a annoncé mardi, le ministère saoudien de l’Energie.Le chef de file de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole acteur qui s’est engagé à soutenir la stabilité du marché et de participer activement à son équilibre. Acteur majeur de l’accord de la baisse de la production de 1,8 million de barils par jour des pays Opep-non Opep, Riyadh se retrouve entre deux chaises, mais assume. Reste à savoir si cela suffira à endiguer cette envolée des cours de l’or noir portée par une conjoncture géopolitique qui fera sans coup férir tache d’huile. «A très court terme, l’impact de la montée des tensions géopolitiques paraît se limiter au marché pétrolier, mais ce n’est pas la fin de l’histoire», avait estimé Norihiro Fujito, responsable de la stratégie d’investissement pour Mitsubishi UFJ Morgan Stanley Securities qui n’a pas écarté leur propagation à d’autres secteurs. Pour l’Algérie, la question est tranchée: elle souhaite le maintien de l’accord de 2016…
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Des petites insuffisances ont été signalées, il y a aussi quelques canards boiteux qui n’ont pas joué le jeu, mais il faut surtout retenir la participation citoyenne.
Il tablait sur 800.000, il en a ramassé 100.000 de plus! Le ministère de l’Industrie et des Mines a réussi le pari de la collecte des peaux de mouton de l’Aïd el Adha. «Près de 900 000 peaux d’ovins sacrifiés à l’occasion de l’Aïd El Adha ont été collectées au niveau des six wilayas pilotes sélectionnées pour cette opération, dépassant ainsi l’objectif assigné», a fièrement annoncé, jeudi dernier, le ministère de l’Industrie et des Mines dans un communiqué. Outre les cuirs, près de 500 tonnes de laine seront récupérées, destinées également à l’exportation pour une grande partie, précise la même source.
Ces chiffres confirment le ressenti général de la réussite de cette opération, avec moins de peaux qui ont envahi nos rues et ruelles après le rituel du sacrifice. Certes, il reste quelques canards boiteux qui n’ont pas adhéré à l’initiative, mais en règle générale les habitants des six wilayas pilotes ont joué le jeu. Même si dans certains cas, il leur a été difficile de trouver où les déposer. Il n’en demeure pas moins que cette expérience, qui a touché Alger, Oran, Sétif, Constantine, Jijel et Batna, a été une réussite.
Les quartiers de ces wilayas sont restés propres et surtout des millions de dollars ne sont pas partis à la poubelle. Les peaux collectées, après leur traitement, permettront aux professionnels du cuir non seulement de satisfaire les besoins du marché interne, mais également d’en exporter une partie.
Ils soulignent, d’ailleurs, l’excellente qualité du cuir et de la laine issus de l’élevage algérien, utilisé pour les produits de luxe par les plus grandes marques mondiales. Tirant tous les enseignements de cette opération de collecte, le ministère mettra en place prochainement un groupe de travail élargi composé de toutes les parties prenantes, pour préparer, d’ores et déjà, sa généralisation à toutes les wilayas du pays dès l’Aid El Adha 2019. «Au-delà de certaines insuffisances relevées, ce qu’il faut certainement retenir, c’est la participation citoyenne à cette oeuvre commune, utile pour la santé, la préservation du cadre de vie et utile pour l’économie du pays», souligne le département de Youcef Yousfi. Quand on veut, on peut!
Le ministère a salué la pleine adhésion des citoyens à cette opération. «Ce succès n’aurait pu être réalisé sans la prise de conscience des citoyens pour assurer la propreté de leur environnement, sans la contribution pleine et entière des APC, des entreprises de nettoyage et sans les aides multiformes d’entreprises ou de commerçants qui n’ont pas hésité à fournir gracieusement du sel ou sans la contribution de transporteurs bénévoles vers les lieux de collecte», a-t-il tenu à mettre en avant. Mais il faut aussi saluer ce département ministériel qui a décidé de prendre le mouton par… les cornes en lançant cette campagne qui, pourtant, aurait dû être lancée depuis bien longtemps par d’autres départements. Mais la clé de la réussite a été l’anticipation et surtout l’implication de tous les secteurs concernés.
Mettant les velléités habituelles entre les différents ministères, Hassiba Mokraoui, directrice générale de la petite et moyenne entreprise, à qui on a confié cette délicate mission, a sensibilisé tout le monde. Ce qui lui a permis d’avoir l’appui, le soutien et l’engagement des départements des affaires religieuses, de l’intérieur, des collectivités locales et de l’aménagement du territoire, de l’environnement et des énergies renouvelables, de la communication et de la poste, des télécommunications, des technologies et du numérique, des professionnels de l’industrie du cuir, et notamment l’Association des tanneurs et mégissiers d’Algérie (Atema), et de dépasser l’objectif assigné. Tout ce beau monde travaille depuis plusieurs mois à la réussite de cet événement. Il a commencé par lancer des campagnes de sensibilisation des citoyens avant de passer à l’aspect technique en fournissant tous les moyens humains et matériels nécessaires. Ce qui a «accouché» d’une belle opération citoyenne. Yousfi et les Algériens ont donc réussi à «sauver» la peau des moutons pour «booster» l’économie nationale…
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Dublin – Papst Franziskus hat zu Beginn seiner Irland-Reise den Missbrauch Minderjähriger durch Geistliche verurteilt. Er könne nicht umhin, «den schweren Skandal anzuerkennen, der in Irland durch den Missbrauch von Minderjährigen durch Mitglieder der Kirche verursacht wurde».
Diese Kirchen-Mitglieder seien beauftragt gewesen, die Minderjährigen zu schützen und zu erziehen, sagte das katholische Kirchenoberhaupt am Samstag in seiner ersten Rede im Dublin Castle unter anderem vor Mitgliedern der Regierung und Kirchenvertretern.
Die zweitägige Reise findet im Rahmen des Weltfamilientreffens statt, wird aber von einer Reihe von Missbrauchsskandalen überschattet. Mit Spannung war erwartet worden, ob der Papst das Thema offen ansprechen wird.
Franziskus beklagte, dass kirchliche Autoritäten es versäumt hätten, «mit diesen abscheulichen Verbrechen angemessen umzugehen». «Die Kirche in Irland hat in der Vergangenheit und in der Gegenwart eine Rolle bei der Förderung des Wohlergehens von Kindern gespielt, die nicht verdunkelt werden darf», sagte der Pontifex.
Regierungschef Leo Varadkar rief Franziskus dazu auf, seinen Einfluss zu nutzen, um für «Gerechtigkeit und Wahrheit» in den Missbrauchsfällen der katholischen Kirche in Irland und weltweit zu sorgen. Den Worten müssten Taten folgen. Die Wunden seien noch immer offen. «Wir bitten Sie, den Opfern und Überlebenden zuzuhören. Wir wissen, Sie werden das tun.»
Anlass für die Papstvisite ist das katholische Weltfamilientreffen diese Woche. Zuletzt besuchte Papst Johannes Paul II. vor fast 40 Jahren Irland. Damals war die katholische Kirche dort noch weitgehend unumstritten. Seitdem hat sich das Land grundlegend verändert.
Der irische Gesundheitsminister Simon Harris sprach von «gemischten Gefühlen» zum Papstbesuch. «Aufregung für viele, Gefühle von Schmerz für andere», schrieb er auf Twitter. Harris steht - wie auch der offen homosexuelle Regierungschef Varadkar - für ein liberales Irland. Beide engagierten sich bei einem Referendum im Mai vehement für eine Lockerung des Abtreibungsverbots in dem Land - und setzten sich durch.
Nach einem Besuch im Wallfahrtsort Knock im Westen Irlands steht am Sonntag in Dublin eine Messe auf dem Programm des Papstes. Dazu werden hunderttausende Gläubige erwartet. Zeitgleich sind aber auch Mahnwachen für die Opfer von Missbrauch in kirchlichen Institutionen geplant.
Cette volonté commune des Algériens de soutenir un nouveau mandat du chef de l’Etat, comme l’affirme Djamel Ould Abbès, ne peut nullement aller a contrario d’une lutte conjointe contre les fléaux de la corruption et la drogue. D’une pierre, Djamel Ould Abbès peut donc faire deux coups!
Djamel Ould Abbès ne manque aucune occasion pour exprimer sa fidélité et sa loyauté au président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Il est d’ailleurs le premier à répondre présent à l’appel du chef de l’Etat qui, dans son message à l’occasion de la commémoration de la Journée nationale du Moudjahid, a invité le peuple à former un «front populaire» pour lutter contre les fléaux de la corruption et de la drogue.
Hier, dans une interview accordée à Ennahar TV, le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN) a, de go, fait état de la décision du parti d’adhérer non seulement à l’appel du président, mais aussi de s’atteler à son édification. Et à ce propos, il faut dire que le FLN est déjà en phase de constituer un front pour soutenir un nouveau mandat qui assure la continuité à son candidat.
Le terrain semble acquis avec la grande cohésion dont jouit le parti de Djamel Ould Abbès qui a réussi à torpiller l’initiative du Mouvement de la société pour la paix (MSP) et à profiter de l’effet boomerang qu’elle a produit. Et dans sa «campagne électorale pour la reconduction du président Bouteflika à la tête du pays…», comme il l’a lui-même déclaré, Djamel Ould Abbès a déjà assuré l’adhésion d’au moins une vingtaine de formations politiques à l’initiative de «la continuité pour la stabilité et la réforme».
Cette initiative qui soutient le programme du président Abdelaziz Bouteflika et l’appelle à briguer un nouveau mandat peut facilement s’élargir et prendre la coloration d’un «front populaire» puisque comme l’affirme le SG du vieux parti «tous les Algériens appellent le président Bouteflika à briguer un autre mandat, et nous ne faisons que traduire formellement cette volonté».
Cette volonté commune des Algériens de soutenir un nouveau mandat du chef de l’Etat, comme l’affirme Djamel Ould Abbès, ne peut nullement aller a contrario d’une lutte conjointe contre les fléaux de la corruption et la drogue. D’une pierre, Djamel Ould Abbès peut donc faire deux coups! Ce travail de fourmi que tente de réaliser le FLN va être couronné par son projet de présentation du bilan des 20 années de gouvernance du président Bouteflika.
Et à ce propos, le secrétaire général du parti au pouvoir a affirmé que les manuscrits contenant la collecte des différentes réalisations depuis 1999, dans tous les domaines et pour chaque commune, seront très prochainement terminés.
Les 1541 ouvrages qui subissent les dernières retouches vont être soumis prochainement au chef de l’Etat, aux différentes institutions ainsi qu’au peuple, a annoncé Djamel Ould Abbès.
Abordant d’autres sujets d’actualité brûlante, le secrétaire général du FLN est revenu sur les derniers changements opérés par le chef de l’Etat au sein des institutions sécuritaires, notamment l’Armée nationale populaire.
Et à ce propos, l’homme politique a considéré qu’il s’agit là d’«un mouvement ordinaire» rappelant qu’«il n’y a pas de pérennité dans les postes». Selon lui, les hauts gradés de l’armée ont été limogés «sans que cela ne réduise nullement la valeur d’aucun d’entre eux».
Au sujet de l’approbation du président de financer la réalisation d’un musée dédié au patrimoine culturel et artistique du chanteur Matoub Lounès, Djamel Ould Abbes a rappelé que le président a, depuis son arrivée au pouvoir, toujours «réuni tous les Algériens» avant de déclarer que «c’est une décision qui vient au bon moment».
Elle permet, selon lui, d’éviter que «le chanteur, mondialement connu, soit utilisé par telle ou telle partie». Enfin, sur l’odieux crime qui a ôté la vie à la jeune Salsabil d’Oran et qui a secoué toute l’Algérie, le secrétaire général du FLN a tenu à présenter ses sincères condoléances aux parents et à partager leur peine. Il a, cependant, mis en garde contre les appels lancés sur les réseaux sociaux pour une marche dénonçant ce crime.
Pour Djamel Ould Abbès, il faut éviter les situations où il y a un risque de débordement et faire confiance à la justice qui suit son cours. Tout en appelant à la raison, Djamel Ould Abbès dévoile son intime conviction: «Les agresseurs et les tueurs de l’innocence ne méritent pas de vivre.»
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A maintes reprises, les responsables de la police à Tizi Ouzou ont appelé la société à s’impliquer, à commencer par la famille, l’école et le mouvement associatif.
Alors que l’auteur de l’assassinat (égorgement) d’un homme, la veille de l’Aid El Adha, au centre-ville de Tizi Ouzou, a été arrêté par la police, les citoyens de la ville et de ses environs étaient encore sous le choc hier vendredi.
La cellule de communication de la sûreté de wilaya de Tizi Ouzou a rendu public un communiqué, hier vendredi, où elle livre les premiers éléments d’information concernant cet assassinat.
Ainsi, est-il précisé, que les forces de police relevant de la sûreté de wilaya de Tizi Ouzou, ont immédiatement procédé à l’arrestation, au niveau de l’ancienne gare routière de l’auteur de ce crime.
En effet, suite à cet homicide, dont la victime est A.T., âgé de trente-huit ans et commerçant de profession, les services de sécurité ont lancé les recherches immédiatement et ont pu retrouver le meurtrier au niveau de l’ancienne gare routière transformée depuis quelques années en une aire de jeux.
Les services de la police, précise la même source, ont retrouvé l’auteur du meurtre, ayant été commis le 20 août dernier à 17 h 30 à l’avenue Abane-Ramdane, appelée communément la Grande rue, en possession de l’arme du crime, à savoir un couteau à cran d’arrêt.
Le meurtrier est un jeune âgé de 22 ans. Ce dernier est un chômeur originaire de la wilaya de Mila, a révélé la même source.
Le communiqué rendu public par la cellule de communication de la sûreté de wilaya de Tizi Ouzou concernant la même affaire souligne, en outre, que, selon les premiers éléments de l’enquête qui est toujours en cours, «le mobile du crime serait un différend banal qui a dégénéré, et suite auquel, l’auteur a porté un coup mortel à la victime». Le mis en cause dans cet assassinat a été présenté devant le parquet près le tribunal de Tizi Ouzou jeudi 23 août 2018. Il a été mis en détention préventive, pour homicide volontaire avec préméditation, conclut enfin notre source.
Pour rappel, la victime de ce crime, ayant jeté l’émoi et la consternation chez les citoyens et commis en plein jour, dans le centre-ville devant les yeux stupéfaits de dizaines de citoyens, était très connue et estimée dans le centre-ville de Tizi Ouzou où elle vit et travaille. Il était 17 heures quand tout se passa si vite. Une altercation dégénère et prend rapidement une tournure incontrôlable et dramatique. L’inévitable se produit alors en plein coeur de la ville de Tizi Ouzou connue pour être fréquentée quotidiennement par des dizaines de milliers de citoyens qui y viennent des quatre coins de la wilaya, certains pour y travailler, d’autres pour régler leurs affaires administratives, etc.
Le meurtrier a visé directement la gorge de sa victime en l’atteignant carrément au niveau de l’artère jugulaire. Ce qui ne laissa aucune chance de survie à celle-ci. Cette dernière rendit l’âme sur place. Il y a lieu de rappeler que l’agressivité, dans les rues de la ville de Tizi Ouzou, a pris des proportions alarmantes ces dernières années. Les bagarres aussi.
A maintes reprises, on a vu des gens en venir aux mains pour un oui ou pour un nom. Des rixes, parfois violentes, éclatent entre les «parkingueurs» et les automobilistes ou carrément entre les automobilistes eux-mêmes.
Entre voisins également, la chose est devenue monnaie courante comme ce fut le cas il y a quelques semaines dans la daïra de Larbaâ Nath Irathen où un sexagénaire a tué, à l’aide de son arme à feu, deux frères à cause d’un litige foncier. Selon des spécialistes ayant eu à intervenir à plusieurs occasions sur le sujet, la prise de psychotropes et de haschisch est en grande partie responsable de cette explosion de la violence sociale. «Dans la majorité des cas, les meurtres sont commis sous l’effet des psychotropes ou du haschisch», nous a confié hier un psychiatre qui enquête sur le phénomène de la violence sociale à Tizi Ouzou depuis quelques années.
Malgré les efforts énormes fournis par les services de sécurité, tous corps confondus, pour assurer la sécurité des citoyens, mais aussi pour lutter contre la consommation et la commercialisation de la drogue, le fléau ne cesse de croître. A maintes reprises, les responsables de la police à Tizi Ouzou ont appelé l’ensemble de la société à s’y impliquer à commencer par la famille, l’école et le mouvement associatif. Car ce problème concerne tout le monde et pour l’endiguer, c’est tout le monde qui devrait s’impliquer.
Notons, par ailleurs, que les services de police de la huitième sûreté urbaine de la ville de Tizi Ouzou ont arrêté, avant-hier, deux individus en flagrant délit de vol d’un appartement et ce, suite à un dépôt de plainte effectué le 22 août passé concernant l’existence d’un groupe spécialisé dans ce genre de larcins au quartier Tala Alam, entre Tizi Ouzou et Boukhalfa.
Les deux malfaiteurs incriminés dans cette affaire sont âgés de 32 et 43 ans.
Après leur arrestation, les services de sécurité ont réussi à récupérer une quantité importante de bijoux en or et en argent.
Les deux mis en cause ont été présentés devant le procureur de la République près le tribunal de Tizi Ouzou.
Le premier a écopé de cinq ans de prison ferme assortie d’une amende de 500.000 DA et le second a été condamné à trois ans de prison ferme et à verser une amende de 20.000 DA.
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