Encore une journée réussie pour les Guépards et Amazones dans ce tournoi UFOA-B qualificatif pour la CAN Scolaire 2025. Les deux formations béninoises sont qualifiées pour disputer les deux finales samedi prochain.
En début de matinée de ce jeudi 21 novembre 2024, ce sont les Guépards qui affrontaient le Burkina Faso. Les jeunes béninois ont dominé leur adversaire en s'imposant 2-0. Les buts sont signés Soumayirou TCHAOUNA et Nicanor MEHOUNOU AGBO. En finale, samedi prochain, le Bénin retrouvera la Côte d'Ivoire qui a sorti le Ghana grâce à une victoire 1-0.
Quelques heures après la qualification des jeunes hommes, les Amazones scolaires ont décroché leur ticket pour la finale du tournoi UFOA-B au centre technique de la Fédération Nigérienne de Football. Elles ont réussi à se défaire du Burkina Faso lors de la séance des tirs au but (3-2). C'est notamment suite à un score de parité (2-2) au terme du temps réglementaire. Cette qualification féminine est l'œuvre de la gardienne Moustaliratou YESSOUFOU, qui a stoppé deux tirs adverses. Les Amazones défieront le Ghana en finale samedi.
J.S
Le budget alloué au ministère de la Justice et de la Législation du Bénin pour l'année 2025 s'élève à 37 655 467 244 FCFA. Une part significative (25,24 %) de cette enveloppe financière soit environ 9,5 milliards FCFA, sera consacrée au fonctionnement des juridictions. Ce financement couvrira notamment les charges liées au personnel, incluant les primes et indemnités.
9 506 431 439 FCFA des 37 655 467 244 FCFA qui seront alloués au Ministère de la Justice et de la Législation en 2025 sont destinées aux juridictions spéciales soit 25,24%. La Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (CRIET) verra son budget passer de 1,3 milliard FCFA en 2024 à 1,78 milliard FCFA en 2025. De même, la Cour Spéciale des Affaires Foncières (CSAF) bénéficiera d'une forte hausse, avec une dotation passant de 65 millions à 182 millions FCFA.
Les cours d'appel enregistrent également une augmentation notable. La Cour d'appel de Cotonou disposera de 760 millions FCFA en 2025, soit une augmentation par rapport aux 691 millions de 2024. La Cour d'appel d'Abomey bénéficiera également d'une hausse, avec un budget de 754 millions FCFA, contre 683 millions FCFA l'année précédente. Enfin, la Cour d'appel de Parakou verra son budget augmenter de manière significative, passant de 456 millions FCFA à 674 millions FCFA.
Ajustements budgétaires pour les tribunaux de première instance
Les tribunaux de première instance, en revanche, présentent des ajustements plus variés. Le Tribunal de première instance de Cotonou subira une baisse notable de son budget, qui passera de 1,37 milliard FCFA à 754 millions FCFA en 2025. À l'inverse, le Tribunal de commerce de Cotonou verra une légère augmentation, avec une dotation prévue de 383 millions FCFA, contre 375 millions FCFA en 2024.
D'autres juridictions, comme celles de Porto-Novo et Parakou, enregistrent également des baisses. Le budget du Tribunal de première instance de Porto-Novo passera de 602 millions à 429 millions FCFA, tandis que celui du tribunal de Parakou passera de 617 millions à 460 millions FCFA.
Cependant, certaines juridictions bénéficieront de hausses notables. Le Tribunal de première instance de Savalou recevra 256 millions FCFA, contre 181 millions FCFA l'année précédente, et celui d'Allada verra son budget augmenter à 281 millions FCFA, contre 261 millions FCFA en 2024.
Les juridictions du nord du pays, telles que celles de Natitingou, Kandi et Djougou, bénéficient également de budgets réajustés. Le Tribunal de Natitingou recevra 295 millions FCFA (contre 316 millions en 2024), tandis que ceux de Kandi et Djougou obtiendront respectivement 249 millions et 222 millions FCFA, avec des ajustements par rapport aux années précédentes.
M. M.
Le Médiateur de la République a présenté son budget pour l'année 2025, estimé à 880 millions 222 mille 825 francs CFA. Ce montant représente une légère augmentation de 29 millions 745 mille 825 francs CFA, soit 3,5% de plus que le budget de l'année précédente, qui s'élevait à environ 850 millions 477 mille francs CFA.
Le budget du Médiateur de la République pour 2025 sera réparti comme suit : les dépenses liées au personnel pour l'année prochaine sont estimées à 199 millions 067 mille 825 francs CFA, contre 169 millions 322 mille francs CFA alloués en 2024, marquant ainsi une hausse de 17,57%. Cette augmentation est principalement due à la couverture des charges salariales des agents qui travaillent pour le Médiateur de la République, afin d'assurer le bon fonctionnement de l'administration.
En plus des dépenses salariales, une enveloppe de 677 millions 755 mille francs CFA est prévue pour l'achat de biens et services. Cette ligne budgétaire reste inchangée par rapport à l'année précédente. Concernant les transferts courants pour l'exercice 2025, ils sont estimés à 3 millions 400 mille francs CFA, soit le même montant que pour 2024. Ces dépenses concernent principalement le paiement des cotisations aux organisations auxquelles le Médiateur de la République est affilié.
Plaidoyer pour un budget supplémentaire
Au cours de sa présentation, Pascal Essou a plaidé pour une augmentation de son budget, soulignant que 2025 serait une année charnière pour l'institution. Il a expliqué que l'année à venir marquerait l'activation effective de toutes les entités prévues dans le décret définissant les attributions, l'organisation et le fonctionnement du Médiateur de la République. Selon lui, les ressources allouées ne suffiront pas à couvrir l'ensemble des charges liées à ces activités. Il a ajouté qu'une rallonge budgétaire serait nécessaire, notamment pour étendre les Délégations au niveau départemental, et pour mener des actions de sensibilisation, de formation et de mobilisation des acteurs politiques en vue des élections générales de 2026. Cette augmentation, selon lui, reste insuffisante pour répondre aux enjeux de l'année à venir.
M. M.
La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) annonce le premier déclenchement de son produit de « Prêts Adaptés aux Catastrophes Naturelles » (PACAN), en faveur de la République Togolaise.
Suite aux fortes pluies et aux inondations, qui ont frappé plusieurs régions du Togo, en octobre dernier, ce mécanisme d'assurance novateur a été activé pour offrir un soutien budgétaire et des liquidités rapides au pays, lui permettant de faire face aux dommages et aux besoins urgents des populations touchées par cette catastrophe.
En effet, l'African Risk Capacity Limited (Arc Ltd) reversera une indemnité de 6,6 millions d'euros à la BOAD pour couvrir les deux prochaines échéances des prêts inclus dans le portefeuille PACAN du Togo. La couverture des obligations de remboursement des prêts par l'assurance PACAN permettra ainsi de libérer des fonds pour le pays et de les réorienter vers l'aide d'urgence et la reconstruction.
Pour rappel, le produit innovant PACAN lancé en août 2024, couvre dans sa phase pilote le Bénin, la Côte d'Ivoire, le Sénégal, et le Togo, et offre des prêts à des conditions avantageuses pour financer des projets d'adaptation au changement climatique, combinés à une assurance paramétrique, qui s'active automatiquement et rapidement en cas de catastrophe.
Le succès de ce premier déclenchement au Togo, est le fruit d'une collaboration entre la BOAD, la KfW, la Frankfurt School of Finance and Management, Munich Re, et l'ARC Ltd. Cet événement démontre l'efficacité du dispositif, tout en confirmant l'engagement de la BOAD à faciliter des solutions innovantes et durables, pour le financement du développement et la résilience climatique de ses États membres.
A propos de la Banque Ouest Africaine de Développement
La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) est l'institution commune de financement du développement des Etats de l'Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA). Etablissement public à caractère international, la BOAD a pour objet, aux termes de l'Article 2 de ses statuts, « de promouvoir le développement équilibré des Etats membres et de réaliser l'intégration économique de l'Afrique de l'Ouest » en finançant des projets prioritaires de développement. Elle est accréditée auprès des trois mécanismes de financement de la finance climat (GEF, AF, GCF). Depuis 2009, la BOAD siège en tant qu'observateur à la CCNUCC et participe activement aux discussions relatives à la construction d'une architecture internationale de la finance climat. Elle abrite, depuis janvier 2013, le premier Centre régional de collaboration (CRC) sur le Mécanisme pour un développement propre (MDP) dont le but est d'apporter un soutien direct aux gouvernements, aux ONG et au secteur privé, pour l'identification et le développement de projets MDP. Depuis le 15 octobre 2023, la Banque co-préside avec Bancoldex, la Banque Colombienne de développement des affaires et de l'exportation, l'International Development Finance Club (IDFC), qui rassemble 27 banques nationales, régionales et bilatérales de développement du monde entier.
A propos d'ARC Ltd
African Risk Capacity Ltd (ARC Ltd) est une organisation financière panafricaine spécialisée dans la gestion des risques liés aux catastrophes naturelles, en particulier les risques climatiques. Créée sous l'égide de l'Union africaine, ARC Ltd fournit des solutions d'assurance sur mesure aux pays africains pour les aider à faire face aux impacts dévastateurs des phénomènes climatiques tels que les sécheresses, les inondations et les cyclones. L'objectif principal de l'ARC Ltd est de permettre aux gouvernements africains de répondre rapidement et efficacement aux crises en débloquant des fonds d'urgence dès qu'une catastrophe survient, réduisant ainsi la dépendance à l'aide internationale et renforçant la résilience des communautés. Grâce à ses produits d'assurance innovants, ARC Ltd joue un rôle crucial dans la promotion de la sécurité alimentaire et la protection des moyens de subsistance à travers le continent africain.
La salle de conférence de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (CCI Bénin) a abrité, mardi 19 novembre 2024, la cérémonie de remise de diplôme à dix (10) récipiendaires du processus de Validation des Acquis de l'Expérience (VAE), standard français.
Dix (10) récipiendaires de l'Institut pour le Renforcement de l'Accompagnement Entrepreneurial de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (IRAE-CCI Bénin ; un département de l'école de l'institution consulaire) ont réussi à passer avec succès les étapes du parcours de la validation des acquis de l'expérience (VAE). Ces lauréats sont des employés de diverses entreprises. Ils ont obtenu leur diplôme grâce au partenariat entre la CCI Bénin et la CCI Métropole de Bourgogne (France). « La validation des acquis de l'expérience est un processus qui permet à toute personne quel que soit son âge, son niveau d'étude ou son statut de faire valider les acquis de ses expériences pour obtenir une certification professionnelle », a déclaré le président de la Commission Formation de la CCI Bénin, Christian MONDJANNAGNI. La VAE, poursuit-il, permet donc de reconnaître l'expérience acquise par un individu et de la valoriser par un diplôme. Le Président de la Commission Formation de la CCI Bénin n'a pas manqué de féliciter les récipiendaires.
La CCI Bénin a lancé son programme de formation sur la Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) en 2022. Ce diplôme est inscrit dans le registre national des certifications RNCP de France. À en croire Kisito José CODJIA, référent VAE de CCI Métropole de Bourgogne, le programme a enregistré au total près de 321 candidatures en trois ans. « On a retenu 38 dossiers et on a diplômé 21 candidats à ce jour. Ce qui représente un taux de réussite d'environ 70 %. C'est un parcours individuel (…) il y a beaucoup de candidats qui sont encore in process. Ils seront diplômés une fois que leur dossier sera complet », a déclaré le référent VAE. Il a invité les récipiendaires à poursuivre le processus de renforcement de capacités afin d'actualiser leurs connaissances.
La cérémonie a été aussi l'occasion de proclamer les résultats des candidats ayant soutenu les 18 et 19 novembre 2024 dans le cadre du parcours VAE. 7 candidats dont 1 du diplôme Assistant manager (Bac+2), 3 du diplôme responsable de développement commercial (Bac+3) et 3 du diplôme Master Développement des Affaires Internationales ont été déclarés admis par le président de jury, Olivier DALLA PIAZZA, représentant de la CCI Métropole de Bourgogne en France. Dans son allocution, il a salué la qualité des présentations et le professionnalisme des candidats. Olivier DALLA PIAZZA a également mis en avant le rôle déterminant de la CCI Bénin dans la réussite de ces diplômés, rappelant que la VAE est un processus exigeant nécessitant un accompagnement rigoureux. « Nous sommes convaincus à la CCI Métropole de Bourgogne que le partenariat que nous avons avec le Bénin depuis déjà trois ans n'est qu'au début de son potentiel », a-t-il confié.
Le Secrétaire général de la CCI Bénin, Raymond ADJAKPA ABILE s'est réjoui du succès de ce programme mis en place dans le cadre de l'atteinte des objectifs assignés à la mandature 2020-2025 de l'institution consulaire. « Encore une fois, le secteur privé va faire confiance à la CCI Bénin pour inscrire des étudiants. (…). Je suis persuadé que dans les années à venir, nous allons célébrer plus de récipiendaires », a-t-il affirmé. Raymond ADJAKPA ABILE a salué l'accompagnement de la CCI Métropole de Bourgogne dans la mise en œuvre de ce programme de formation de la CCI Bénin.
Akpédjé Ayosso
Une protestation contre l'interdiction d'exportation du riz paddy vers le Nigéria a viré au drame, mercredi 20 novembre 2024 à Madécali, dans la commune de Malanville.
Mécontents suite à l'arraisonnement de leur cargaison de riz, des habitants de Madécali, une localité du Nord du Bénin ont organisé une manifestation le long des berges d'un affluent du fleuve Niger le mercredi 20 novembre 2024.
Face à l'ampleur du mouvement, les forces de l'ordre ont fait usage de leurs armes. Des civils ont été atteints par balles.
Un manifestant est mort sur place. On dénombre trois blessés graves dont l'un est décédé à l'hôpital dans une localité du Nigéria.
M. M.
Les soutenances pour la Validation des Acquis des Expériences (VAE) par les employés et chefs d'entreprises formés par l'institut pour le Renforcement de l'Accompagnement Entrepreneurial (IRAE) CCI BENIN se sont déroulées du 18 au 19 novembre 2024 en présence de membres du jury.
Fruit d'un partenariat entre la CCI Bénin et la CCI Métropole de Bourgogne le programme de Validation des Acquis des Expériences (VAE) attire de nombreux professionnels désireux d'avoir la preuve de leur parcours. La cohorte des lauréats VAE de 2023 formés par l'institut pour le Renforcement de l'Accompagnement Entrepreneurial (IRAE) CCI Bénin a fait sa soutenance les 18 et 19 novembre 2024.
Au nombre des candidats, Mario GOUNON, Responsable commercial dans une entreprise de production et distribution d'eau minérale a présenté, ce lundi, son parcours impressionnant lors de sa soutenance pour un bachelor en développement commercial. Avec plus de 15 ans d'expérience dans le domaine du marketing et de la vente, il s'est dit « délivré » après avoir défendu son mémoire. « C'est un programme intéressant qui permet de rester à jour avec les réalités du marché », a-t-il déclaré, en encourageant les professionnels à franchir le pas malgré les coûts associés.
Rufine Sandrine AYI, assistante de gestion et administration d'entreprise, a également partagé son expérience. Membre de la promotion VAE 2023, elle a surmonté le stress de sa première soutenance et exprimé sa satisfaction quant à la possibilité de voir son parcours validé. « Si vous avez des acquis et des expériences, mais pas de diplôme, la CCI Bénin et Smart Campus sont la solution », a-t-elle affirmé.
Siégeant en tant que membre du jury, Elisabeth DOSSOU, assistante exécutive bilingue au WAPP-CEDEAO, a reconnu que « les candidats maîtrisent leurs sujets et valident leurs acquis avec sérieux ». Elle a souligné la pertinence de ce programme dans un contexte où les diplômes restent cruciaux pour prouver ses compétences.
Président du Jury, Olivier DALLA PIAZZA, le Directeur Activités Formation CCI Métropole de Bourgogne, a fait savoir que les candidats sont à la hauteur des attentes.
IRAE CCI Bénin permet aux professionnels de tous âges de convertir leurs années d'expérience en certifications reconnues à l'international.
M. M.
Pioneering effort to protect women and children in quarantine centres in Viet Nam Credit: UN Women
By Rajat Khosla
GENEVA, Nov 21 2024 (IPS)
Each year, millions of women and children around the world die from preventable causes. Maternal, newborn, and child health (MNCH) is a shared global priority, yet we often overlook one of its most pressing—and preventable—barriers: violence against women.
As we mark the 16 Days of Activism Against Gender-Based Violence, we are reminded that gender-based violence (GBV) is not just a social issue but a critical health crisis that endangers the lives of mothers and children everywhere.
When we consider that a woman experiencing violence is 1.5 times more likely to have a low-birth-weight baby and that this condition greatly increases infant mortality, the need for urgent, integrated action becomes starkly clear. 1 Addressing violence is not peripheral to MNCH efforts—it is foundational.
Violence and Health: A Devastating Cycle
Evidence tells us that intimate partner violence (IPV) directly affects maternal and infant outcomes. Pregnant women subjected to IPV face a heightened risk of complications like preterm labor and hemorrhage, often resulting in increased maternal and newborn mortality.2 3 The problem doesn’t end with pregnancy: children born to mothers experiencing violence have a higher likelihood of malnutrition, stunting, and developmental delays, perpetuating a cycle of vulnerability. 4
The psychological toll is just as concerning. Women subjected to violence are more prone to depression and anxiety, both of which affect maternal health-seeking behavior.5 Depressed mothers are less likely to access antenatal care and postnatal services, further endangering the lives of their infants. In turn, these mental health impacts lead to cascading health and social risks for women and their families, affecting entire communities.
Rajat Khosla
The Crisis Within Crises: Humanitarian SettingsNowhere are these challenges more pressing than in humanitarian settings. Conflict, natural disasters, and displacement magnify the vulnerability of women and children, often leading to spikes in sexual violence and the breakdown of healthcare systems. In conflict zones, over 60% of women report having experienced sexual violence, according to humanitarian reports. 6 These women are not only at risk of severe trauma and infection but also of maternal mortality, with rates nearly double those found in stable environments. 7
It’s estimated that more than 500 women and girls die every day from preventable complications related to pregnancy and childbirth in humanitarian settings,8 underscoring an urgent need for an integrated approach to MNCH and GBV response. These statistics are more than numbers—they represent the lives of mothers, daughters, and children who deserve health, safety, and dignity.
The Overlooked Victims: Women Health Care Workers
It’s not only patients who suffer. Female health workers, the backbone of MNCH services worldwide, are often at grave risk. In fragile and conflict-affected settings, women health workers face high rates of violence, including harassment and physical assault.
Research suggests that up to 80% of healthcare workers in these settings report experiencing violence, a statistic that directly impacts their ability to provide care.9 High rates of violence lead to burnout, turnover, and a critical shortage of trauma-informed healthcare providers when they are needed most.10
For many, this threat is exacerbated by their roles as frontline responders to gender-based violence. The safety and mental health of our healthcare workforce are inextricably linked to the health outcomes we aim to achieve for mothers and children.
A Call to Action for Integrated Policies
The costs of inaction are too high. Each preventable death of a mother or child as a result of violence marks a failure to uphold the rights to health and safety for all. By placing violence against women at the forefront of our MNCH efforts, we can break the cycle of suffering and create the conditions needed for healthy mothers and thriving children.
This 16 Days of Activism, let’s commit to integrated action against violence—because women’s health, newborn survival, and child development depend on it. Together, we can build a world where women and children live free from violence, and where health and dignity go hand in hand.
1 World Health Organization. (2013). Global and regional estimates of violence against women: prevalence and health effects of intimate partner violence and non-partner sexual violence. Geneva: World Health Organization.
2 Shah, I. H., & Hatcher, A. (2013). The impact of intimate partner violence on women’s reproductive health: A review. Trauma, Violence, & Abuse, 14(2), 128-137. doi:10.1177/1524838012451845
3 Elizabeth P. Lockington et al. Intimate partner violence is a significant risk factor for adverse pregnancy outcomes. AJOG Global Reports. Volume 3, Issue 4, November 2023, 100283
4 Ellsberg, M., & Heise, L. (2005). Researching violence against women: A practical guide for researchers and activists. Geneva: World Health Organization.
5 World Health Organization. (2013). Global and regional estimates of violence against women: prevalence and health effects of intimate partner violence and non-partner sexual violence. Consequences. https://iris.who.int/bitstream/handle/10665/77431/WHO_RHR_12.43_eng.pdf
6 UNODC. (2021). Sexual violence in conflict: Current trends and implications. Vienna: United Nations. Retrieved from UNODC
7 UNFPA. (2019). Maternal mortality in humanitarian settings. New York: UNFPA. Retrieved from UNFPA
8 UNFPA. (2020). Maternal mortality in emergencies: The hidden crisis. Retrieved from UNFPA
9 Médecins Sans Frontières. (2018). Health workers in conflict zones: Risks and realities. Retrieved from MSF
10 World Health Organization. (2021). Violence against health workers. Geneva: WHO.
Rajat Khosla is Executive Director of the Partnership for Maternal, Newborn & Child Health (PMNCH), the global alliance for women’s, children’s and adolescents’ health and well-being, hosted by the World Health Organization, based in Geneva.
Email: khoslar@who.int
IPS UN Bureau
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C'était l'un des plus grands artistes balkaniques du XXe siècle. Vojo Stanić s'est éteint à l'âge de 101 ans. Exposé de son vivant dans le monde entier, de Paris à Tokyo en passant par New York, il s'était aussi illustré par son opposition aux dérives nationalistes et belliqueuses des années 1990.
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