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La CDC Bénin mobilise des ressources et investit dans des projets à fort impact

24 Heures au Bénin - Mon, 12/16/2024 - 22:37

La Caisse des Dépôts et Consignations du Bénin (CDC Bénin) a organisé, vendredi 13 décembre 2024, son deuxième Talk de l'année axé sur les impacts de ses investissements sur le développement économique et social du Bénin. Cet événement a réuni entre autres des promoteurs des entreprises dans lesquelles la CDC Bénin a investi, des banques, partenaires techniques et financiers, des régulateurs du secteur financier etc.

Depuis son opérationnalisation en 2020, la CDC Bénin mène des actions stratégiques pour soutenir la croissance économique du Bénin. Dans une démarche de vulgarisation de ses activités et de reddition de comptes auprès de ses parties prenantes externes, l'institution a organisé son deuxième talk de l'année 2024. « Ce sont des moments d'échanges et de débats durant lesquels nous pouvons concevoir ensemble des solutions innovantes et concrètes face au défi de financement de notre développement. (…) Il était important pour nous également de clôturer l'année en recevant nos partenaires pour consolider nos partenariats », a déclaré la directrice générale de l'Institution, Maryse Lokossou.

Investie d'une mission d'intérêt général, la CDC Bénin mobilise et gère de façon sécurisée l'épargne et tous les fonds réglementés qu'elle fructifie et canalise pour financer le développement accéléré des secteurs public et privé en vue de l'atteinte rapide des objectifs économiques et sociaux du Bénin. « Au cours de cette année 2024, nous sommes intervenus dans différents secteurs d'activité, notamment l'agro-industrie, le coton, la noix d'anacarde, les agrumes, l'industrie pharmaceutique, le numérique, l'immobilier, le transport, la logistique, les énergies renouvelables. (…). Nous avons renforcé notre démarche responsabilité sociétale de l'entreprise en mettant un accent particulier sur l'intégration d'une grille de notation RSE dans l'instruction de nos dossiers », a affirmé Maryse Lokossou.

Le premier panel modéré par Romuald Allagbé, Chef de division Études et Stratégies à la CDC Bénin a permis d'aborder la question de mobilisation des ressources avec le coordonnateur DCP Arnaud Adovèlandé, la Responsable de pôle de l'Agence Française de Développement (AFD) Alexandra Chauveau et le directeur général de l'Agence de Développement des Petites et Moyennes Entreprises, Laurent Gangbès.

Selon Arnaud Adovèlandé, au 30 novembre 2024, la CDC Bénin a mobilisé 929 milliards de ressources dont 66 % proviennent de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS). La mobilisation des ressources étant le défi majeur, la CDC Bénin avec ses partenaires envisagent de mettre en place de nouveaux produits d'épargne publique. Avec l'appui de l'AFD et Expertise France, une étude est en cours pour la mise en place d'un Fonds de pension par capitalisation des retraites destiné aux professions libérales et à la diaspora. L'institution prévoit aussi la création d'un produit d'épargne collective basé sur la culture de la tontine au Bénin. La CDC Bénin joue aussi un rôle central en tant qu'agent fiduciaire pour le Projet d'Appui à l'Entrepreneuriat Béninois (PAEB) exécuté par l'ADPME. Elle intervient également de façon indirecte en mettant à la disposition des banques des ressources. A en croire Laurent Gangbès, dans le cadre du partenariat avec la CDC Bénin, l'ADMPE envisage de mettre en place un dispositif qui permet un décaissement accéléré des fonds dès que la décision d'accompagnement est prise.

Des projets à fort impact

Le second panel dirigé par Paulin Hazoumè, Directeur du Département des Finances a été l'occasion de présenter la stratégie d'investissement et de financement de la CDC Bénin. Selon Edmond Djidonou, Chef Division Ingénierie financière et financement des PME, les ressources mobilisées par la CDC Bénin lui permettent de financer des projets ayant des impacts significatifs sur le développement et créant des emplois directs et indirects au sein des communautés. Au titre des projets phares financés dans la zone de la GDIZ, il y a le projet de construction et d'exploitation d'une usine de transformation intégrée de la fibre de coton produite localement en textiles de maison ainsi que celui relatif à la transformation de noix de cajou. « Ces deux projets cumulent aujourd'hui près de 9000 emplois créés et 30% environ de femmes travaillent dans ces usines », a indiqué Edmond Djidonou. Le président de SIKA Capital, Tchègnon Amoussou a partagé l'exemple de son projet de construction et d'exploitation de 4 centrales photovoltaïques pour une capacité de 50 MW. Ce projet, soutenu par la CDC Bénin, représente une contribution significative au secteur énergétique du Bénin.

Parmi les partenaires de la CDC Bénin, il y a aussi la Banque Ouest Africaine de Développement. Elle accompagne la CDC Bénin sur plusieurs projets. « Lorsque la CDC Bénin intervient dans une opération, elle apporte une certaine crédibilité (…). Depuis la création de la CDC Bénin, nous avons développé un partenariat gagnant-gagnant. Nous avons accompagné ensemble des projets dans lesquels la CDC est actionnaire et nous avons apporté notre participation en dette », a déclaré Sandra Amichia De Souza, Cheffe de Mission Résidente BOAD.

De son côté, Vincent Floreani, représentant résident de la Société Financière au Bénin a mis en avant les différents axes de collaboration possible avec la CDC Bénin pour cofinancer des projets structurants. « L'un des axes pourrait prendre la forme d'un mécanisme dans lequel la CDC Bénin serait actionnaire des projets et nous pourrions intervenir comme prêteur. La deuxième approche, c'est de travailler ensemble sur des secteurs d'intérêts. (…). Le 3e axe de collaboration serait de travailler ensemble pour permettre à la CDC Bénin de lever des ressources notamment sur les marchés obligataires via différents mécanismes que nous pourrions mettre en place », a ajouté le représentant résident de la SFI au Bénin.

En mobilisant des ressources et en investissant dans des projets à fort impact, la CDC Bénin soutient la croissance économique du Bénin et améliore la qualité de vie des concitoyens.« L'année 2025 sera encore plus active pour la CDC Bénin », a rassuré la directrice générale de la CDC Bénin.

Akpédjé Ayosso

Categories: Afrique

Estonia levelling the playing field, including more girls and women in football [Advocacy Lab Content]

Euractiv.com - Mon, 12/16/2024 - 22:36

Thirty-eight per cent of the Estonian Football Association are women, and only eight per cent of the executive committee members are women - a stark gender imbalance persists in women's sports.

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Categories: European Union

SOTEMA GROUPE SARL, son PDG et sa Gérante exclus

24 Heures au Bénin - Mon, 12/16/2024 - 22:35

Pour production de fausses pièces et de déclarations mensongères dans le cadre de la l'appel d'offres du 22 décembre 2023 relatif aux travaux de construction de la salle de conférence, du bâtiment des masters de type ROC extensible et de l'amphithéâtre de trois cent (300) places de type ROC extensible à Baka au profit du rectorat de l'Université de Parakou (3 lots), la société « SOTEMA GROUPE SARL », son PDG et sa Gérante ont été exclus des marchés publics.

Sont exclus respectivement de la commande publique en République du Bénin :

monsieur TAWEMA EI-Anrif, agissant en qualité de Président Directeur Général (PDG) de la société« SOTEMA GROUPE SARL », pour une durée de dix (10) ans, à compter du 12 décembre 2024 au 11 décembre 2034 ;

madame BIAOU GBOGOU Koubouratou, agissant en qualité de Gérante de la société« SOTEMA GROUPE SARL », pour une durée de cinq (05) ans, à compter du 12 décembre 2024 au 11 décembre 2029 ;

la société « SOTEMA GROUPE SARL », pour une durée de deux (02) ans, à compter du 12 décembre 2024 au 11 décembre 2026.

L'article 4 de la décision de l'ARMP précise que : « Pendant la période de leurs suspensions respectives, les intéressés ne peuvent exercer aucune fonction dans la chaîne de la commande publique au sein de l'administration publique ou dans les projets sur financement extérieur au Bénin, ni postuler à des marchés publics à titre de consultant individuel ou personnel d'un cabinet. »

Les attestations de travail du personnel retrouvées dans l'offre de la société SOTEMA GROUPE SARL » n'ont pas été délivrées par les soins de la société « SILCO SARL », selon l'ARMP.

Il est reproché à Monsieur TAWEMA EI-Anrif, déjà sous sanction d'exclusion de la commande publique, de s'être volontairement présenté à l'audition du vendredi 31 mai 2024 alors qu'il n'avait pas été invité à y prendre part. Celui-ci a également signé la liste de présence des participants en qualité de « Président Directeur Général>> de la société« SOTEMA GROUPE SARL ».

Ces agissements, selon la décision de l'ARMP en date du 05 décembre 2024, constituent une violation grave des règles de concurrence ainsi qu'une fraude manifeste à la réglementation en matière de marchés publics.
M. M.

Categories: Afrique

La PRMP de l'Université de Parakou exclue pour 10 ans

24 Heures au Bénin - Mon, 12/16/2024 - 22:32

La Personne Responsable des Marchés Publics (PRMP) de l'Université de Parakou a été sanctionnée, le 05 décembre 2024, pour des irrégularités dans la procédure d'appel d'offres relatif aux travaux de construction de la salle de conférence du bâtiment des Masters et d'un amphithéâtre de 300 places à l'Université de Parakou.

Monsieur BIAOU Affouda Jacques, Personne Responsable des Marchés Publics (PRMP) de l'Université de Parakou, est exclu de la commande publique en République du Bénin pour une durée de dix (10) ans, à compter du 12 décembre 2024 au 11 décembre 2034.

L'Autorité de Régulation des Marchés Publics (ARMP) a pris cette décision à la suite d'un recours de la PRMP pour des présomptions de fausses pièces produites par un soumissionnaire d'une part et des dénonciations anonymes à l'encontre de la PRMP d'autre part.
Cette affaire est relative à la procédure d'appel d'offres relatif aux travaux de construction de la salle de conférence du bâtiment des Masters et d'un amphithéâtre de 300 places à l'Université de Parakou.

L'ARMP a relevé le « non-respect du secret des délibérations par la Personne Responsable des Marchés Publics de l'Université de Parakou ».

Il est également reproché à la PRMP d'avoir initié, en pleine procédure d'évaluation, des rencontres avec la Gérante d'une entreprise soumissionnaire, en vue d'influer la décision d'attribution du marché en cause.

La PRMP aurait refusé de « prendre en compte les observations de la DNCMP, organe de contrôle compétent, dans le cadre de la procédure en cause ».
M. M.

Categories: Afrique

Ademola Lookman élu Ballon d'Or africain 2024

24 Heures au Bénin - Mon, 12/16/2024 - 22:25

Dans la soirée de ce lundi 16 décembre, la CAF a organisé la cérémonie des CAF Awards 2024 à Marrakech, au Maroc. La récompense suprême de la soirée est celle de meilleur joueur de l'année. Le Ballon d'or africain est décerné à l'international nigérian Ademola Lookman.

La CAF a aussi récompensé d'autres personnalités du ballon rond qui ont brillé au cours de la saison. Découvrez ci-dessous la liste de tous les récipiendaires des CAF Awards 2024 :

Joueur de l'année : Ademola Lookman

Joueuse de l'année : Barbra Banda

Entraîneur masculin de l'année : Emerse Faé

Entraîneur féminin de l'année : Lamia Boumehdi

Gardien de l'année : Ronwen Williams

Gardienne de l'année : Chiamaka Nnadozie

Joueur interclub de l'année : Ronwen Williams

Joueuse interclub de l'année : Sanaa Mssoudy

Jeune joueur de l'année : Lamine Camara

Jeune joueuse de l'année : Doha El Madani

Équipe nationale masculine de l'année : Côte d'Ivoire

Équipe nationale féminine de l'année : Nigeria

Club masculin de l'année : Al-Ahly

Club féminin de l'année : TP Mazembe

Arbitre féminine de l'année : Bouchra Karkoubi

Arbitre assistante féminine de l'année : Dania Chikotzsha

J.S

Categories: Afrique

EU budget is ‘clearly not the place to look’ to finance twin transition, say economists [Advocacy Lab Content]

Euractiv.com - Mon, 12/16/2024 - 22:08

Without an investor-friendly mindset in Europe, a key driver for raising the green and digital transition funds will be missing.

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Categories: European Union

Ademola Lookman, meilleur joueur africain de l'année 2024

BBC Afrique - Mon, 12/16/2024 - 21:56
Ademola Lookman dit qu'il n'est « jamais satisfait » malgré ses performances avec le Nigeria et l'Atalanta qui lui ont valu ce titre de meilleur joueur africain en 2024.
Categories: Afrique

Lookman and Banda named African players of the year

BBC Africa - Mon, 12/16/2024 - 21:39
Nigeria's Ademola Lookman and Zambia's Barbra Banda are crowned Africa's best footballers at the Caf Awards in Marrakesh.
Categories: Africa

Jackpot de la semaine : gagnez chaque semaine !

24 Heures au Bénin - Mon, 12/16/2024 - 20:49

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Categories: Afrique

Bangladesh in Crisis: Which way out?

Africa - INTER PRESS SERVICE - Mon, 12/16/2024 - 20:36

By Anis Chowdhury
SYDNEY, Dec 16 2024 (IPS)

This piece is not about the crisis or the chaos that the country is now facing after successfully toppling the autocratic regime of Sheikh Hasina. Rather, it is about the crisis of confidence and social capital or trust — interlinked, nonetheless.

Anis Chowdhury

The thread that binds a nation together is trust or social capital. There could be many factors that contribute to social capital, but one that stands out is equity or fairness. Social capital or trust is low in a country where income and wealth gaps are high, and the general people feel unfairly treated or deprived.

The fallen autocratic regime prided itself on rapid economic growth, averaging approximately 6 per cent a year. However, the regime’s kleptocratic system of ruling by plunder and favour to its cronies has contributed to accelerated wealth and income gaps as well as relative deprivation; thus, it has caused fissures in the social fabric.

Rising relative deprivation

Income and wealth gaps have yawned wide, turning a reasonably equitable society at the time of independence into one of the most unequal societies. The Gini coefficient, a common measure of income inequality, has increased from 0.36 in 1973 to 0.499 in 2022, according to the latest (2022) Household Income and Expenditure Survey (HIES) of the Bangladesh Bureau of Statistics.

The Gini coefficient was 0.39 in 1990–1991, marginally above the 1973 value (0.36), accelerating to 0.46 in 2010. Income inequality in Bangladesh has deepened since 2016. The 2022 survey reveals that about 30 per cent of the income generated in the country is concentrated within the top 5 per cent of household. This proportion was 27.82 per cent in the 2016 Household Income and Expenditure Survey.

Furthermore, the top 10 per cent of the wealthiest households in Bangladesh hold about 41 per cent of total income. This proportion was about 38 per cent in 2016. Concurrently, the income share for the bottom 50 per cent of households decreased to about 19 per cent in 2022 from 20.23 per cent in 2016.

Disturbingly, there has been a secular transfer of income from the lowest quintile of the households to the highest quintile. The average annual loss of the bottom 1st quintile’s share in the national income has been -0.71 per cent as opposed to the average annual gain of 0.46 per cent for the highest (top) quintile during 1973–2010. The middle-class also lost; income shares of 2nd, 3rd and 4th quintiles declined since 1973.

This does not augur well for our democracy. Nor can we celebrate this development in a country where one of the founding principles is socialism.

Suppression of democracy driving growing disparities

PROFESSOR MG Quibria of Morgan State University and ADB’s former Senior Advisor pointed out, ‘possession of political capital opens up myriad economic opportunities, including preferential access to finance and business, restructuring and loan default options, lucrative employment, access to privileged information, tax evasion or even outright corruption’.

The link between corruption and economic growth could be debated, but it is a method of plunder and primitive capital accumulation by the lumpen bourgeoisie that exacerbates inequality of wealth.

An environment conducive to unchecked corruption emerges when democracy is suppressed and the institutions that ensure accountability, transparency and the separation of powers between various branches of the government are weakened. Where democratic institutions are weak, political capital is a powerful instrument for advancing one’s economic and social position.

Unfortunately, suppression of democracy in Bangladesh began as soon as it emerged as an independent nation with the rigging of its first parliamentary elections in 1973. It is ironic that a country, where democracy is one of its founding principles, turned into a one-party state in 1975 within four years of its independence, shutting down most of the news media and allowing only state-run ones.

Sadly, instead of trust — built through accountability and transparency — election manipulations became the norm for all political parties to gain power and then retain it. Therefore, each successive government became more repressive, more lacking in accountability and more vigorous in election rigging.

However, such regimes suffer from legitimacy deficits — both legal and moral; they can only survive by allowing corruption and distributing favour. Thus, a vicious circle develops — a regime that resorts to more election manipulations becomes more beholden to its cronies, allowing them to plunder the state.

Undoubtedly, this process reached its zenith during Sheikh Hasina’s rule. Unchecked corruption, tax evasions and financial crimes such as defrauding bank loans enabled Bangladesh to become the global leader in wealth growth during 2010–2019. New York-based research firm Wealth-X, reported a remarkable 14.3 per cent annual increase in the number of individuals with a net worth exceeding $5 million, surpassing Vietnam, which ranked second with a 13.2 per cent growth rate.

Neoliberalism and the demise of democracy

BANGLADESH is not alone in witnessing widening income and wealth gaps and consequently democratic backslides. This is a global phenomenon coincided with the embrace of the neoliberal economic philosophy of privatisation, liberalisation, deregulation and globalisation dictated by the interests of the corporate power.

In the process of multinational corporations-driven globalisation, the civil society simply became apolitical NGOs, happy to receive crumbs from the donors to engage in so-called development activities. Citizens became ‘stake-holders’ together with the large corporations and donors, instead of ‘right-holders’.

Bereft of rights and no longer an end itself of development, citizens are now ‘human resources’, an epitaph cleverly designed to hide that they are simply fodder for the profit machines of corporations. In a deregulated economy, workers are dehumanised, constrained to socialise and participate in political activities.

Should one be surprised in the falling share of wages in the national income, stagnating or falling real wages and tragedies like the ‘Rana Plaza incident’?

Under the corporate globalisation, schools and universities — both public and private — are no longer places of learning where youths are transformed into enlightened citizens and agents of change, and where visionary future social-political leaders are produced. They are simply factories for mass-producing so-called ‘job-ready’ certificate or diploma holders, apathetic to social, economic and political issues.

An additional boost to accelerating inequality in Bangladesh comes from a three-stream education system (Bengali-medium national curriculum, traditional religious curriculum and English-medium overseas curriculum). It perpetuates inter-generational inequality.

Which way out?

ONE can get some cue in AK Sen’s observation that ‘a country becomes fit through democracy,’ and democracy versus development is a false dichotomy. Sen defines development as freedom — freedom from hunger and poverty; freedom from fear and persecution; and freedom to express, associate and participate. In sum, freedom to enhance one’s capabilities to attain one’s full potential as a human being.

Sen insists that political and civil rights are ends in themselves. Their denial cannot be acceptable even if it promotes economic growth and some well-being as such a development path is not sustainable. Suppression of political and civil rights results in growing income and wealth inequalities, where obnoxious, luxurious living by the few coexists with a large populous struggling to survive. This fuels a sense of relative deprivation contributing to violent social conflict.

Therefore, the first step is strengthening democratic institutions or consolidation of democracy. This requires the depoliticisation of administration and civic associations.

There exists a large volume of research findings showing that the politicisation of administration and the organisation of civic associations along party lines not only boost corruption but also accelerate social cleavage.

Civic associations where members hold different political views help build trust among political parties. They can agree on critical national issues while still disagreeing on details.

A depoliticised public administration serves a wider citizenry. In the process, the government, even though led by the winning party, governs for all and becomes inclusive, thus strengthening the trust between the state and the governed.

As for the political parties, they need to practise democracy themselves. That is, all party posts should be open for contest and there should be transparent rules for elections. As the primary organisational vehicles of electoral democracy, political parties are themselves judged in terms of their democratic character.

The most engaging models of internal party democracy are inclusive, participatory, deliberative and accountable and include fair distribution of power. It involves non-discriminatory open memberships and the inclusion of all party members in decision-making processes, leadership selection, policy formulation, as well as ensuring accountability of party leadership to its members. In short, internal rules of political parties should be guided by inclusiveness, clarity, transparency, accountability and independence. Their interaction with society should be based on dialogue, interdependence and cooperation.

In the economic arena, there is an urgency for reorienting to pursue strategies for growth with equity. This is an imperative if Bangladesh is serious about its state principle of socialism. The state has to recapture its lost leverage over the corporate sector to protect the interest of the wider community and to ensure decent jobs and a fair living wage.

It has to give priority to citizens’ well-being over balancing the budget and be bold enough to use its fiscal power to redistribute the growing wealth by using progressive taxation and widening public provisions of basic services, such as healthcare, education, housing and universal social protection. There is ample evidence of a close negative association between the tax-GDP ratio and inequality as well as between public social expenditure and inequality, clearly indicating the redistributive role of the government.

State actions are needed to smoothen the rough edges of the market forces that manifest in exclusion and inequality, which are found to fuel social and political unrest harming growth in the long run. Equity of access, opportunities and outcomes are fundamental aspects of socialism. They enhance both economic and political freedom, essential for rights-based development that empowers citizens and expands their capabilities.

Weakened democratic institutions and rising inequality create a vicious circle that leads to diminished trust — among citizens and between the state and citizens — which chips away social capital, the glue that binds society.

Bangladesh has to find the solution to its woes in its founding principles — a democratic polity and a socialist economic construct. Both are critical in rebuilding trust and social capital, needed to overcome the current national crisis.

Anis Chowdhury is emeritus professor, Western Sydney University, Australia. He held senior United Nations positions (economic and Social affairs) in New York and Bangkok.

IPS UN Bureau

 


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Categories: Africa

La Première cotation de la LNB enregistrée à la BRVM

24 Heures au Bénin - Mon, 12/16/2024 - 20:32

C'est la salle de conférence du ministère de l'économie et des finances qui a abrité le vendredi 13 décembre dernier, la cérémonie de première cotation de la Loterie Bénin LNB SA. Une cérémonie grandiose sous la présidence effective du Ministre d'État, Ministre de l'Économie et des Finances en charge de la Coopération du Bénin, Romuald Wadagni, avec la présence effective du président du Conseil d'Administration de la BRVM, du Président du Conseil d'Administration de la LNB et bien d'autres. La maison du trésor se met ainsi sur la bonne voie et dans les 3 prochaines années, d'autres entreprises tant privées que publiques vont lui emboîter les pas, fruits des investissements et réformes du gouvernement du gouvernement Patrice Talon, a laissé entendre l'autorité de tutelle le ministre d'État Romuald Wadagni qui dans on speech a remercié les 8 mille souscripteurs pour avoir fait confiance à la LNB et à l'Etat béninois. La cérémonie, à en croire le ministre d'État rentre dans la droite ligne du président Talon et du programme d'action du gouvernement. Très fier de ses prouesses, le Directeur Général de la LNB Gaston Zossou de son côté n'entend pas dormir sur ses lauriers : << Votre confiance nous pèse et nous pèse lourdement. On sera à la hauteur et plus qu'à la hauteur. Si en 8 ans on a connu une poussée de chiffre d'affaires de quasiment 1000%, on peut rêver d'un doublement de ce que nous faisons aujourd'hui dans un temps raisonnable>> a t-il laissé entendre.
La cérémonie a connu également la présence de la Directrice Générale de la SGI EDC Investment Corporation, et de nombreuses personnalités ainsi que Directeurs Généraux de SGI.

Selon le Directeur Général de la BRVM, Dr Edoh Kossi Amenounve, cette première cotation de la LNB est un moment clé pour la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) pour trois grandes raisons. Il s'agit de la privatisation d'entreprise publique, la représentation d'un nouveau secteur et la deuxième entreprise béninoise cotée.

Le Directeur général de la LNB et son staff ont gagné le pari et ne se feront pas conter l'histoire de relevement impétueux de notre pays. << Votre confiance nous pèse, elle nous enlève le sommeil, mais une insomnie saine, celle qui donne la force, la rage de gagner. Dans le fond, qu'est-ce qui est arrivé à la Loterie Nationale du Bénin depuis 08 ans ? Nous avons décidé de ne pas nous laisser conter l'histoire du relevement impétueux de notre pays. Nous nous sommes agripés avec force, dans le flanc de la fusée mère de l'actuelle gouvernance de notre pays à les monter, on va en orbite là. Vous nous avez fait confiance, on est très reconnaissant, et comme je le dis, votre confiance nous pèse et nous pèse lourdement. On sera à la hauteur et plus qu'à la hauteur. Si en 8 ans on a connu une poussée de chiffre d'affaires de quasiment 1000 %, on peut rêver d'un doublement de ce que nous faisons aujourd'hui dans un temps raisonnable. Et quand une personne apparemment chargée d'âge vous parle du futur avec confiance, c'est qu'il en est convenu avec ses cadets, ceux qui suivent. Nous en avons fait le serment et il sera tenu. Merci beaucoup pour l'honneur, merci infiniment.>> a martelé Gaston Zossou.

Cette cotation est un symbole fort d'un avenir prometteur pour le marché financier béninois, renforçant ainsi son rôle en tant que moteur de croissance économique dans la région.

Quelques images

Categories: Afrique

New Swedish cancer plan aims to prevent and reduce deaths

Euractiv.com - Mon, 12/16/2024 - 20:07

Around 74,000 people get cancer in Sweden each year, of which 1,000 are under the age of 18. Total cases are expected to increase by 26 per cent by 2040. A new strategy aims to reverse this trend.

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Categories: European Union

Lutte contre le harcèlement: Vers une inscription du «stalking» dans le Code pénal suisse

24heures.ch - Mon, 12/16/2024 - 19:53
Le Conseil des États a soutenu lundi un projet demandant que le harcèlement obsessionnel soit puni d’une peine allant jusqu’à 3 ans de prison.
Categories: Swiss News

Rachat par UBS: L’enquête sur Credit Suisse pourrait faire boum ou pschitt

24heures.ch - Mon, 12/16/2024 - 19:50
La commission d’enquête parlementaire va rendre cette semaine son rapport sur le rôle des autorités politiques et de surveillance dans cette débâcle.
Categories: Swiss News

« Nous ferons tout pour préserver les intérêts des populations » (S. A. Bakari)

24 Heures au Bénin - Mon, 12/16/2024 - 19:46

Les Chefs d'État et de Gouvernement de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) vont œuvrer pour que la décision des pays de l'AES (Niger, Burkina Faso et Mali) de quitter l'organisation sous-régionale impacte le moins possible les populations. Ce sont les assurances du ministre des Affaires étrangères du Bénin, Shegun Adjadi Bakari au cours d'une conférence de presse tenue lundi 16 décembre 2024, à Cotonou.

À l'issue du 66e sommet de la CEDEAO tenu dimanche 15 décembre 2024 à Abuja, les Chefs d'État et de Gouvernement ont approuvé le retrait des trois (03) pays de l'Alliance des Etats du Sahel (AES) à savoir le Niger, le Burkina Faso et le Mali de l'organisation régionale. Conformément aux dispositions de l'article 91 du Traité révisé de la CEDEAO, les trois pays cesseront officiellement d'être membres de l'organisation à compter du 29 janvier 2025.
La Conférence des Chefs d'Etat a décidé de la mise en place d'une période de transition qui durera jusqu'au 29 juillet 2025. « Dans cette période de 6 mois, nous allons engager les discussions pour organiser le mieux possible ce départ et bien entendu laisser la porte ouverte pour que si dans cette période de 6 mois nos pays frères du Mali, du Niger et du Burkina Faso décidaient de revenir au sein de l'organisation sous-régionale qu'ils puissent pouvoir le faire », a déclaré le ministre béninois des Affaires étrangères du Bénin Shegun Bakari. Il s'agit aussi de limiter les impacts de la décision prise par les trois pays de l'AES. « Les chefs d'État ont à cœur de s'assurer que ce départ, qui est une décision souveraine de nos trois pays frères, n'impacte pas ou impacte le moins possible les populations », a déclaré le ministre.

Pour les pays membres de la CEDEAO et plus particulièrement pour le Bénin, poursuit-il, la question de la préservation des intérêts des populations est essentielle. « Les liens entre les peuples existaient avant la naissance de la CEDEAO et nous avons une responsabilité historique, c'est de faire en sorte que ces liens soient préservés dans le futur », a relevé le ministre béninois des Affaires étrangères.

À en croire le ministre, pendant cette période de 6 mois, « tout ce qui s'appliquait auparavant continuera de s'appliquer ». « Cela veut dire qu'il aura toujours une libre circulation des biens et des personnes sur le territoire de la CEDEAO et donc des pays de l'AES vers les pays de la CEDEAO et vice-versa. (…). Nous ferons tout pour préserver les intérêts des populations », a rassuré le ministre Shegun Bakari.

Les trois pays Niger, Burkina Faso et Mali sont dirigés par des militaires arrivés au pouvoir. Ils ont annoncé leur décision de quitter la CEDEAO en janvier 2024 suite aux lourdes sanctions prises par l'organisation après les coups d'Etat notamment celui de juillet 2023 au Niger. En dépit des sanctions levées et des médiations effectuées, ces pays ont maintenu jusqu' présent leur décision de quitter l'organisation sous-régionale ouest africaine.

Akpédjé Ayosso

Categories: Afrique

How an African Bioeconomy Can Strengthen Agrifood Systems in the Context of a Changing Climate

Africa - INTER PRESS SERVICE - Mon, 12/16/2024 - 19:45

A scientist analyses a sapling in a lab.

By Ousmane Badiane
DAKAR, Senegal, Dec 16 2024 (IPS)

From increased pests and diseases to lower crop yields and extreme weather events, the adverse impacts of climate change on agriculture in Africa cannot be overstated.

Climate shocks will present major roadblocks to the continent’s rapidly growing population, especially if global temperatures remain on their upward trajectory. Urgent and effective action is therefore needed to mitigate these threats to food security and livelihoods.

Despite the growing stresses on Africa’s agrifood systems, the bioeconomy offers opportunities to improve food security, tackle climate change, and support development goals. The solution lies in sustainably leveraging Africa’s natural resources.

While the continent is highly vulnerable to climate change, its rich biodiversity offers tangible opportunities to address multiple challenges simultaneously. New evidence shows that Africa can leverage a much broader and more systemic approach to addressing the impacts of climate change on agrifood systems and beyond through its bioeconomy.

Characterized by sustainable production and use of biological resources to create innovative products, processes, and services for all economic sectors, bioeconomy involves the use of scientific knowledge to add social and economic value to biological resources in an environmentally sustainable way.

The latest ReSAKSS Annual Trends and Outlook Report (ATOR) makes a case for converging the two pressing agendas of climate change and the bioeconomy toward building resilient agrifood systems in Africa. Harnessing Africa’s ecological wealth and investing in the continent’s bioeconomy can yield multiple development benefits across various sectors while contributing to climate resilience, sustainable agriculture, and economic growth.

Science and technology offer a viable pathway for the development of bioeconomy solutions. African countries will benefit from establishing robust science, research, and technology systems to leverage opportunities offered by the bioeconomy. Research initiatives to develop climate-resilient tools for farmers can go a long way in protecting food security and livelihoods from climate shocks.

A successful example is the redesign of Uganda’s research system through the National Agricultural Advisory Services program. This program focused on rebuilding relationships across the country’s agrifood system value chain, from the farm level all the way to regional chiefs, district coordinators, and private or semi-private service delivery companies.

Through this approach, farmers defined demand and had their research and innovation needs addressed through a national coordination network combined with the private sector. This has improved the availability and quality of advisory services provided to farmers and promoted the adoption and use of modern production technologies and practices.

Furthermore, Africa’s bioeconomy can create rural and agriculture-adjacent jobs for its youthful population while enabling economic diversification and growth. Leveraging Africa’s vast untapped potential will open up new industries and value chains that can drive job creation and livelihoods across the continent, especially for rural youth and other marginalized groups.

Emerging innovations like biological waste conversion using black soldier flies (BSF), and earthworms have opened up new markets and, consequently, new job opportunities. At the same time, these circular solutions benefit natural ecosystems, in turn supporting better conditions for crop and livestock production systems.

Domestic and cross-border trade also plays a vital role in facilitating economic growth through the bioeconomy. Increasing food demand can drive specialization and intensification of the agrifood sector and bioeconomy, ultimately incentivizing productivity, supply, and income increases. Existing policy tools such as the AfCFTA can reduce trade barriers across the continent’s bioeconomy and deliver better economic outcomes.

Recent research argues for a nutrition-sensitive circular bioeconomy that can be adopted to drive food security and nutrition outcomes while tackling waste management. For example, converting biowaste to vermicompost, biofertilizers, and biopesticides can reduce the costs and environmental burdens of synthetic chemicals while simultaneously improving agricultural productivity and food availability.

Strengthening the bioscience environment across sectors is critical. Under the Advanced Agriculture and Food cluster, South Africa’s Council for Scientific and Industrial Research (CSIR) aims to increase the output of high-value foods, cosmetics, nutraceuticals, and traditional African medical products. The Biomanufacturing Industry Development Centre (BIDC) has advanced over 100 bioproducts in cosmetics, nutrition, and biotechnology. A key success story from this case study is VIDA Pharmaceuticals, which produces accessible and affordable nutritious food products from baobab and maize.

In the wake of COP29, channeling more climate finance toward Africa’s bioeconomy is critical. Increasing investments in innovative financing models such as blended finance – which leverages concessional capital from public and philanthropic sources to de-risk private investments – can support climate goals in Africa’s agrifood systems.

There is political momentum for Africa’s converging climate change and bioeconomy agendas. South Africa was the first African country to develop a dedicated bioeconomy strategy in 2013, followed by Namibia, which published its national bioeconomy strategy in 2024. The East African Community (EAC) is the first regional economic bloc to develop a dedicated regional bioeconomy strategy in 2022.

The global shift toward sustainability and the green economy presents new opportunities for Africa to position itself as a leader in the bioeconomy. Policy action to embrace an African bioeconomy would entail the ability to deploy tailored and contextualized interventions to tackle climate change, biodiversity loss, and food insecurity while advancing sustainable growth.

Increased investments in Africa’s resilience and green growth agendas from the continent’s leaders, private sectors, and other stakeholders are the first steps towards realizing this potential. The promise of a robust bioeconomy offers a viable growth and development pathway that can contribute to lower carbon emissions, better preservation of biodiversity, and greater prospects for decent jobs and livelihoods.

Dr. Ousmane Badiane, Executive Chairperson, AKADEMIYA2063

IPS UN Bureau

 


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IPS UN Bureau

 


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Categories: Africa

La PRMP du Ministère de l'énergie suspendue

24 Heures au Bénin - Mon, 12/16/2024 - 19:40

L'Autorité de Régulation des Marchés Publics (ARMP) a ordonné, le 21 novembre 2024, la suspension de la Personne Responsable des Marchés Publics (PRMP) du Ministère de l'énergie, de l'eau et des mines. Cette décision fait suite à la violation du principe de libre accès à la commande publique.

Dans le cadre du marché public relatif à la fourniture et l'installation de 6 000 lampes pour l'éclairage public, une entreprise soumissionnaire n'a pu accéder au Dossier d'Appel d'Offres (DAO), en raison d'un prétendu dysfonctionnement de la plateforme électronique de retrait. Malgré plusieurs relances et déplacements de l'entreprise, le dossier ne lui a jamais été transmis, contrairement aux 37 autres candidats ayant réussi à le retirer.

L'ARMP s'est auto-saisie du dossier

A l'instruction du recours, la Personne Responsables des Marchés Publics (PRMP) du Ministère de l'Énergie, de l'Eau et des Mines (MEEM) au moment des faits a fait savoir que " la demande n'a pas abouti malgré'' sa " bonne volonté'' et n'a pas été faite de façon consciente.

L'ARMP a qualifié cela de "négligence et manque de professionnalisme". Ce qui constitue une discrimination et une atteinte grave aux principes de transparence et d'égalité dans les procédures de passation des marchés publics en République du Bénin.

Par conséquent, le régulateur a saisi Le Ministre de l'Energie, de l'Eau et des Mines à l'effet de prononcer des sanctions de suspension de ses fonctions au sein du MEEM à l'encontre de monsieur MOUZOUN Paul, Personne responsable des marchés publics du MEEM au moment des faits.

L'Article 4 de la décision n°2024-137 du 21 novembre 2024 précise que « pendant cette période, l'intéressé ne peut exercer aucune fonction dans la chaîne de la commande publique au sein de l'administration publique ou dans les projets sur financement extérieur au Bénin, ni postuler à des marchés publics à titre de consultant individuel ou personnel d'un cabinet. »
M. M.

Categories: Afrique

Clients lésés en Romandie: Deux serruriers sur le banc des accusés à Genève

24heures.ch - Mon, 12/16/2024 - 19:30
Deux jeunes Belges assurent avoir été «manipulés» à Genève. Leur patron est introuvable. Récit d’audience.
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Le gardien des cimetières chrétiens et musulmans de Parakou arrêté

24 Heures au Bénin - Mon, 12/16/2024 - 19:26

Soupçonné d'appartenir à un réseau de trafiquants d'organes humains, le gardien des cimetières chrétien et musulman de la ville de Parakou a été arrêté le samedi 14 décembre 2024.

Le gardien des cimetières chrétien et musulman arrêté à Parakou. Il serait de connivence avec un réseau de trafiquants d'organes humains. Le mis en cause selon plusieurs sources, aurait abusé de sa position pour faciliter des actes criminels qui portent atteinte à la dignité humaine et aux principes religieux. Interpellé le samedi 14 décembre dernier, il est gardé au commissariat de police et sera bientôt présenté au procureur de la République.
Il pourra être poursuivi pour atteinte à l'intégrité de cadavres, profanation de tombes et trafic d'organes humains.

F. A. A.

Categories: Afrique

Assurance maladie: La franchise minimale des primes pourrait augmenter

24heures.ch - Mon, 12/16/2024 - 19:23
Le Conseil national a soutenu lundi une motion demandant une adaptation à l’évolution des coûts de la santé. Le Conseil des États doit encore se prononcer.
Categories: Swiss News

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