Le président de la République continue ses échanges avec les différents acteurs de la société. Après les partis politiques, 7 centrales et confédérations syndicales sont conviées au Palais de la Marina, ce mardi 23 juillet 2019. Le Chef de l'Etat échangera avec les partenaires sociaux sur les réformes nécessaires pour l'amélioration de la qualité du secteur de l'enseignement au Bénin.
La séance va réunir autour du chef de l'État et certains membres du gouvernement, la Centrale des syndicats unis du Bénin (CSUB), la Confédérations des organisations syndicales indépendantes du Bénin (COSI-Bénin), l'Union nationale des syndicats des travailleurs du Bénin (UNSTB), la Confédération générale des travailleurs du Bénin (CGTB), la Confédérations des syndicats autonomes du Bénin (CSA-Bénin), la Confédération syndicale des travailleurs du Bénin (CSTB) et la Centrale des syndicats des secteurs privé, parapublic et informel du Bénin (CSPIB).
Il n'est pas exclu que les résultats syndicaux profitent de l'occasion pour rappeler au chef de l'État leur plateforme revendicative.
G.A.
Le chef de l'État et son gouvernement prendront les jours à venir un petit congé. Selon l'information révélée par "Jeune Afrique " ce dimanche, c'est la Côte d'Ivoire qui sera la destination du président pour y passer ses congés.
En fin de semaine, le président Patrice Talon et son gouvernement pourront s'offrir quelques jours de repos. Programmée depuis des mois, ce temps de repos permettra au chef de l'Etat béninois de souffler un peu après une période électorale et post-électorale tendue et mouvementée. Il s'agit d'un congé bien mérité qui serait pour le chef de l'État un moment pour se ressourcer d'mavantage afin de poursuivre son combat pour la nation.
Contrairement à son programme initial où il serait annoncé pour la France afin d'accorder quelques entretiens aux médias français, le président Patrice Talon a préféré finalement la Côte d'Ivoire. Selon la publication JA de ce dimanche 21 Juillet 2019, le président Talon a choisi de se rendre dès la fin de la semaine en Côte d'Ivoire.
G.A.
Le chef de l'État et son gouvernement prendront les jours à venir un petit congé. Selon l'information révélée par "Jeune Afrique " ce dimanche, c'est la Côte d'Ivoire qui sera la destination du président pour y passer ses congés.
En fin de semaine, le président Patrice Talon et son gouvernement pourront s'offrir quelques jours de repos. Programmée depuis des mois, ce temps de repos permettra au chef de l'Etat béninois de souffler un peu après une période électorale et post-électorale tendue et mouvementée. Il s'agit d'un congé bien mérité qui serait pour le chef de l'État un moment pour se ressourcer d'mavantage afin de poursuivre son combat pour la nation.
Contrairement à son programme initial où il serait annoncé pour la France afin d'accorder quelques entretiens aux médias français, le président Patrice Talon a préféré finalement la Côte d'Ivoire. Selon la publication JA de ce dimanche 21 Juillet 2019, le président Talon a choisi de se rendre dès la fin de la semaine en Côte d'Ivoire.
G.A.
Le renouvellement du bureau directeur du conseil national du patronat de la presse et de l'audiovisuel constitue en ce moment une problématique du fait non seulement du tripatouillage des textes mais aussi de la violation de ceux -ci notamment les statuts en son article 29.
En plus de ce que les membres du bureau sortant avaient pris l'initiative de modifier des dispositions des statuts du cnpa en catimini, ils s'apprêtent à faire tenir by force une assemblée générale élective en violation des dispositions de l'article 29 des Statuts de l'organisation.
En effet, l'article 29 stipule clairement que " En dehors du contrôle effectué par les commissaires aux comptes,il est procédé avant chaque assemblée générale élective à l'audit administratif et financier du conseil par un cabinet d'audit choisi par le commissariat aux comptes après un appel à candidature dont le procès verbal de dépouillement et de sélection est adressé au bureau directeur pour contrôle de régularité et de transparence."
Ayant choisi délibérément d'organiser l'Assemblée générale élective dans des conditions flous en violation des statuts, le commissaire aux comptes a déjà adressé un courrier aux membres du bureau directeur, les tenant informés de ce qu'il entend mettre en œuvre cette disposition de l'article 29 des statuts avant la tenue de l'Assemblée générale élective. Et depuis lors, des pressions de toutes natures sont exercées par personnes interposées sur la personne du commissaire aux comptes pour l'empêcher de jouer son rôle. Ceci prouve à bien des égards qu'il y a anguille sous roche. Et comme pour camoufler le forfait, le bureau sortant a mis en place un comité d'organisation qui convoque l'Assemblée générale pour le weekend prochain sans faire le point des participants et pis, décide de faire tenir l'Assemblée générale à kandi dans le département de l'alibori.
Tout ceci ressemble a n'en point douter à des manœuvres de bas étages pour orchestrer l'imposture et favoriser la forfaitaire dans un environnement où les patrons de presse sont conduits comme un troupeau de moutons.
Déjà des voix s'élèvent contre cette machination qui n'honore guère la presse béninoise. Les jours à venir réservent beaucoup de surprises. En attendant des révélations sur la gestion chaotique et catastrophique du bureau sortant qui fait trembler des adeptes des couvents et des thuriféraires.
Paul Tonon
Le renouvellement du bureau directeur du conseil national du patronat de la presse et de l'audiovisuel constitue en ce moment une problématique du fait non seulement du tripatouillage des textes mais aussi de la violation de ceux -ci notamment les statuts en son article 29.
En plus de ce que les membres du bureau sortant avaient pris l'initiative de modifier des dispositions des statuts du cnpa en catimini, ils s'apprêtent à faire tenir by force une assemblée générale élective en violation des dispositions de l'article 29 des Statuts de l'organisation.
En effet, l'article 29 stipule clairement que " En dehors du contrôle effectué par les commissaires aux comptes,il est procédé avant chaque assemblée générale élective à l'audit administratif et financier du conseil par un cabinet d'audit choisi par le commissariat aux comptes après un appel à candidature dont le procès verbal de dépouillement et de sélection est adressé au bureau directeur pour contrôle de régularité et de transparence."
Ayant choisi délibérément d'organiser l'Assemblée générale élective dans des conditions flous en violation des statuts, le commissaire aux comptes a déjà adressé un courrier aux membres du bureau directeur, les tenant informés de ce qu'il entend mettre en œuvre cette disposition de l'article 29 des statuts avant la tenue de l'Assemblée générale élective. Et depuis lors, des pressions de toutes natures sont exercées par personnes interposées sur la personne du commissaire aux comptes pour l'empêcher de jouer son rôle. Ceci prouve à bien des égards qu'il y a anguille sous roche. Et comme pour camoufler le forfait, le bureau sortant a mis en place un comité d'organisation qui convoque l'Assemblée générale pour le weekend prochain sans faire le point des participants et pis, décide de faire tenir l'Assemblée générale à kandi dans le département de l'alibori.
Tout ceci ressemble a n'en point douter à des manœuvres de bas étages pour orchestrer l'imposture et favoriser la forfaitaire dans un environnement où les patrons de presse sont conduits comme un troupeau de moutons.
Déjà des voix s'élèvent contre cette machination qui n'honore guère la presse béninoise. Les jours à venir réservent beaucoup de surprises. En attendant des révélations sur la gestion chaotique et catastrophique du bureau sortant qui fait trembler des adeptes des couvents et des thuriféraires.
Paul Tonon
L'eau est source de vie dit-on. Mais dans le village de Tchicomey, situé dans la commune d'Athiémé, il est difficile d'avoir accès à l'eau potable, malgré le forage aménagé par la mairie. Certaines populations préfèrent toujours consommer l'eau du marigot. Les raisons sont diverses et variées.
Accroupie à côté d'un tonneau métallique servant de puits, enfoui dans le sol, dame Ayaba Sossou puise l'eau avec un bol pour remplir sa bassine. La scène se déroule dans le lit asséché du marigot, un affluent du fleuve Mono, situé à 200 m du village de Tchicomey-centre, dans la commune d'Athiémé. Le lieu qui ressemble plutôt à une carrière de sable.
« En période de crue du fleuve Mono, nous ne sommes pas obligés de creuser avant d'avoir l'eau. Mais en période de sécheresse, comme c'est le cas maintenant, nous avons juste à creuser à peine 50 cm à 1 m pour avoir de l'eau potable. Et dans ce cas, nous plaçons un tonneau dans le trou pour protéger l'eau et pour empêcher la fermeture du puits », explique Mme Sossou.
L'accès à l'eau potable est encore un luxe pour les populations de certaines localités dans le département du Mono. C'est le constat qui frappe à Tchicomey, un village de l'arrondissement d'Adohoun. Dans ce hameau de la commune d'Athiémé, une frange non négligeable de la population préfère l'eau du marigot, affluent du fleuve Mono, à celle des forages.
« Dans mon village, il y a trois forages desservis par un château d'eau. Il y a un dans le hameau de Tchivissa, un à Watchi et le troisième à Tchicomey-centre. Malgré cela, les gens préfèrent l'eau du marigot », témoigne Thomas Babato, chef du village Tchicomey.
C'est tout de même paradoxale ce choix fait par certains habitants de Tchicomey-centre et environs, alors que l'eau du forage ne coûte pas si chère.
« Nous nous sommes organisés dans le village et nos femmes n'ont pas besoin de payer grand-chose avant de prendre l'eau du forage. Avec 25 FCFA, elles ont une bassine d'au mois 25 litres d'eau », précise Honoré Houédonou, un conseiller de village résidant à Tchivissa.
Si l'eau du forage est presque gratuite et de surcroît potable, pourquoi tant d'engouement autour de celle du marigot qui, même à vue d'œil, pourrait rendre malade.
Une question d'habitude
L'eau du marigot à une couleur qui tire tantôt sur le jaune-or tantôt légèrement sur le brun. Et pourtant certains habitants de cette localité continuent de priser la consommation de ce liquide.
Les raisons évoquées par ceux qui ont fait de cette eau leur source première sont diverses. « C'est vrai que certains villageois continuent d'utiliser l'eau du marigot pour leurs besoins. Et quand j'ai cherché à comprendre ce qui les motivait à agir ainsi, il m'a été servi comme argument que l'eau provenant du forage et des bornes fontaines n'a pas le même goût que celle du marigot », rapporte le chef du village de Tchicomey, non pas sans peine.
« Cette eau, nos grands-parents et nos parents en ont consommé sans dégât. Nous aussi nous la consommons, même si actuellement bon nombre de personnes ont adopté l'utilisation de l'eau du forage. De plus, l'eau du marigot est plus douce que celle du forage et puisqu'on est à proximité, on n'a pas besoin de faire un long trajet avant d'en prendre. Alors que pour le forage, il faut encore effectuer une grande distance et aller débourser en plus 25 francs au moins », confie Ayaba Sossou, vendeuse de haricot.
Pour d'autres, le goût de l'eau n'est pas la seule raison qui les pousse à la consommer. Ils pensent que c'est une eau propre et qui ne contient aucun microbe du fait que ce n'est pas une eau stagnante.
« L'eau coule et le sable filtre les déchets en dessous de l'eau. Cette eau est donc potable et nous pouvons la prendre sans traitement juste après un petit temps de repos », renchérit Félix Comlan Elékoussi, un jeune du village.
Certains expliquent l'habitude de certains usagers du marigot comme une question d' « héritage ». Les gens ne sont pas prêts à laisser tomber cette « vieille tradition », expliquent-ils. «
C'est une question d'habitude. Les gens ne veulent pas se séparer des vieilles habitudes. Malgré tout ce qu'on dit, ils ne veulent pas comprendre. Mais ils évoquent aussi la raison du goût de l'eau du marigot », ajoute le premier adjoint au maire de la commune d'Athiémé.
Entre le goût de l'eau du marigot et le fait que leurs aïeuls aient utilisé cette eau toute leur vie, les points de vue sont divergents.
L'inquiétude se trouve au niveau de l'impact de la consommation de cette eau sur la santé des populations qui continuent de l'adopter.
« Mais au-delà de la question d'habitude, si les gens continuent d'aller vers l'affluent du fleuve, même quand il est sèche, c'est parce que l'eau des forages est impropre à la consommation. Car, quelque trente minutes après, l'eau des forages initialement incolore, devient rougeâtre avec des dépôts de déchets au fond des récipients. Et cela effraie les gens qui se trouvent renforcés dans leur choix de continuer la consommation de l'eau du marigot », avoue le chef du village, Babato.
Certaines personnes ne cachent pas qu'ils continuent d'aller au marigot par contrainte du fait de la « mauvaise qualité » de l'eau des forages. « Moi, je ne vais pas prendre mon argent pour aller acheter une eau qui va dégrader ma santé », s'insurge dame Collette Loko.
Mais les spécialistes de l'hydraulique assurent que les forages sont mis en service en tenant compte de la qualité de l'eau sur la santé des consommateurs.
« En fait, la couleur rougeâtre observée signifie simplement qu'il y a excès de fer dans cette eau et ceci est sans conséquence sur la santé. Dans tous les cas, avant qu'un forage ne soit mis en service, nous procédons à un prélèvement d'un échantillon que nous envoyons pour analyse à la direction générale de l'eau. Cette analyse nous permet d'avoir le taux de tous les éléments constitutifs de l'eau. Quand il y a anomalie, on signale et on procède à la fermeture pure et simple de l'ouvrage », clarifie un agent de la direction départementale de l'eau qui a requis l'anonymat.
Attention danger !
Les populations du village de Tchicomey se retrouvent entre le marteau et l'enclume. Pour pallier le problème de consommation de l'eau souillée du fleuve, la mairie y a installé des forages. Malheureusement, l'eau de ces forages aussi est de qualité douteuse mettant plus en difficulté les populations.
« Les gens qui pensent que c'est parce que leurs grands parents ont utilisé l'eau du fleuve pour leurs besoins dans l'ancien temps qu'ils se doivent de perpétuer la tradition se trompent largement. D'abord, en plein 21ème siècle, les réalités ne sont plus les mêmes. Je ne comprends pas mes concitoyens qui soutiennent que les anciens ont toujours utilisé cette eau sans aucun danger. Mais là, ils se méprennent suffisamment puisque, le soin que les anciens prenaient de ce marigot n'est plus d'actualité de nos jours. Avant, les femmes ne se baignaient pas dans le marigot et pour leurs besoins de lessive ou autres, elles allaient prendre l'eau, s'éloignent complètement des rives avant d'en user. Mais aujourd'hui, ce n'est plus le cas. On fait tout dans le marigot sans gêne. Mais de l'autre côté aussi, l'eau des forages n'offre aucune garantie car, elle n'est pas potable. Du coup, nous sommes confrontés à un dilemme », souligne le chef village de Tchicomey.
Les constats faits sur le terrain montrent que populations utilisent anarchiquement cette ressource naturelle. Ce marigot sert à tout faire. Là dedans, on fait de la vaisselle, de la lessive. Aux abords, on y défèque en ignorant les latrines construites à grand coût. On se baigne dans le marigot et les femmes y font parfois leurs toilettes. Et c'est cette même eau qu'on trouve potable à la consommation.
« Je ne sais pas sur quoi se basent les gens pour affirmer que cette eau est sans danger sur la santé humaine. Rien que les matières fécales posent déjà de problème. On n'a pas besoin d'être médecin pour affirmer cela ! Et même si on suppose que l'eau du marigot coule, il n'est pas exclu que cette eau ne prend pas sa source à l'endroit où l'on la prend. Ce qui veut dire qu'elle coule et avec elle, les déchets également. Donc cela pose inévitablement un problème de santé. Même en période sèche où il faut d'abord creuser avant d'avoir accès à l'eau, les risques de contamination sont toujours présents. Sans une analyse au laboratoire pour connaître la composition, on ne saurait dire que cette eau est potable », explique le major du centre de santé d'Adohoun.
« Nous recevons régulièrement des patients qui souffrent de maux de ventre et autres maladies hydriques. Et c'est une situation qui est préoccupante », a-t-il ajouté.
« C'est vrai qu'il y a des cas de maladies liés à l'eau que nous consommons. Mais tout porte à croire que c'est plutôt l'eau des forages qui nous rend plus malade », affirme le chef du village.
« A priori, l'eau de forage est saine. Mais au cours du transport, elle peut devenir malpropre à la consommation », reconnais l'agent de la direction départementale de l'eau.
Face à la réticence des populations, les autorités communales n'ont pas cessé de multiplier des actions de sensibilisation.
La sensibilisation pour éviter l'épidémie
« Nous avons plusieurs fois mené des campagnes de sensibilisation sur l'assainissement et la nécessité de laisser l'usage de l'eau du marigot pour celle du forage dans cette localité. Nous avions même engagé des animateurs pendant plusieurs mois pour cette fin. Mais, grande est notre surprise de constater que jusqu'à présent, les gens continuent de consommer cette eau pour des raisons que je ne saurais vraiment apprécier. Car les plaintes majeures que nous recevons sont relatives au goût de l'eau du forage déprécié par les populations qui préfèrent l'eau du marigot », explique le maire de la commune d'Athiémé. « Toutefois, il est fort heureux de voir qu'un grand nombre de populations a compris la leçon et a commencé par utiliser le forage pour les besoins quotidiens », se réjoui Joseph Amavi Anani.
Une dame puisant l'eau d'un puits de fortune non loin de la borne fontaine
Les populations elles-mêmes reconnaissent qu'elles ont été sensibilisées sur les bienfaits de l'eau du forage et surtout sur les dangers qu'elles courent en continuant de boire l'eau du fleuve.
Les autorités communales et le chef du village ne veulent pas baisser la garde en matière de sensibilisation. Comme l'a souligné le maire, la tendance se renverse déjà peu à peu et le nombre des villageois qui utilisent l'eau du forage devient de plus en plus important, malgré la qualité douteuse qu'ils dénoncent. Le maire envisage d'inviter le médecin de l'hôpital pour une séance de sensibilisation avec les villageois.
« Quand nous élus nous parlons, les gens se demandent si nous sommes médecins. Je crois que quand un spécialiste viendra leur parler de l'opportunité d'utiliser de l'eau potable et leur expliquer comment cette eau du fleuve est impropre à la consommation, ils y accorderaient plus de crédit », espère le chef du village.
Du côté de la mairie aussi, des actions sont en cours pour amener les habitants du village à adopter définitivement l'eau du forage. « Nous sommes entrain de prendre les mesures pour corriger le tir. J'enverrai les techniciens sur le terrain pour vérifier la qualité de l'eau du forage car, ce forage dessert plusieurs localités », promet le maire d'Athiémé.
Les séances de sensibilisation visent à orienter les populations vers l'eau potable afin d'éviter une épidémie en cas de contamination des eaux de surface.
Cokou Romain AHLINVI
La commune d'Adja-Ouèrè est confrontée depuis quelques années à un phénomène en matière d'éducation. Il s'agit de la déscolarisation et l'abandon des écoles créées dans les zones rurales. Le phénomène est surtout remarquable en milieu Holli, malgré la présence d'infrastructures scolaires et la disponibilité du personnel enseignant. Le constat fait dans certains établissements de la commune montre l'ampleur des réalités. Certains apprenants abandonnent les classes, attirés par les mirages du Nigéria voisin.
Le rythme adopté par le président Patrice Talon révèle que le Bénin est dans la bonne direction de développement. Avec les résultats issus des réformes dans beaucoup de domaines, le peuple béninois a maintes raisons d'être satisfaits. Des progrès qui se réalisent grâce à son ambition de faire développer le Bénin, mais aussi et surtout son caractère que l'on qualifie d'autoritaire.
La sécurité est renforcée au Bénin avec la fusion de la Police et de la Gendarmerie en une seule entité, la Police Républicaine, des investissements sont faits dans le domaine de l'approvisionnement en eau potable en milieu rural.
Dans le secteur de l'électricité, le délestage que vit la population jusqu'en 2016 est conjugué au passé et l'Etat œuvre davantage dans le but d'assurer la disponibilité totale de l'électricité pour tous.
Le secteur de la santé s'améliore avec l'exécution de plusieurs programmes sociaux pour le bonheur des populations.
De bonnes performances sont enregistrées dans le secteur de l'enseignement. L'environnement et le cadre de vie des populations sont améliorés avec les travaux d'aménagement urbain à travers la première phase du Projet Asphaltage. Le Bénin commence à se révéler au monde et est rentré dans l'histoire du sport notamment du football suite à l'exploit réalisé par l'équipe nationale à la Coupe d'Afrique des Nations.
Patrice Talon a inculqué aux citoyens la culture de la rigueur, le respect de la chose publique en menant une lutte implacable contre la corruption et l'impunité.
Mieux la création de la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET) renforce cette lutte.
Des acteurs politiques et autres opérateurs économiques impliqués dans des affaires ont dû s'exiler pour échapper à la justice.
Avec la réforme du système partisan chère à Patrice Talon, l'opposition n'a pas pris part aux élections législatives puisque cette dernière n'a pas pu se conformer aux exigences de la Charte des partis et au code électoral. Malgré les diverses contestations, l'homme de la Rupture n'a pas cédé aux moindres menaces de certaines personnalités. L'ancien président Boni Yayi, grande figure de l'opposition béninoise malgré ces multiples tentatives pour faire annuler les élections législatives déroulées dans une crise socio-politique s'est vu très tôt en résidence surveillé avant d'être libéré des semaines après.
Pragmatique et autoritaire au modèle du président rwandais Paul Kagamé, comme le pensent certains, le chef de l'exécutif béninois a su comment bousculer les habitudes et redonner confiance au peuple béninois.
Akpédjé AYOSSO
Le rythme adopté par le président Patrice Talon révèle que le Bénin est dans la bonne direction de développement. Avec les résultats issus des réformes dans beaucoup de domaines, le peuple béninois a maintes raisons d'être satisfaits. Des progrès qui se réalisent grâce à son ambition de faire développer le Bénin, mais aussi et surtout son caractère que l'on qualifie d'autoritaire.
La sécurité est renforcée au Bénin avec la fusion de la Police et de la Gendarmerie en une seule entité, la Police Républicaine, des investissements sont faits dans le domaine de l'approvisionnement en eau potable en milieu rural.
Dans le secteur de l'électricité, le délestage que vit la population jusqu'en 2016 est conjugué au passé et l'Etat œuvre davantage dans le but d'assurer la disponibilité totale de l'électricité pour tous.
Le secteur de la santé s'améliore avec l'exécution de plusieurs programmes sociaux pour le bonheur des populations.
De bonnes performances sont enregistrées dans le secteur de l'enseignement. L'environnement et le cadre de vie des populations sont améliorés avec les travaux d'aménagement urbain à travers la première phase du Projet Asphaltage. Le Bénin commence à se révéler au monde et est rentré dans l'histoire du sport notamment du football suite à l'exploit réalisé par l'équipe nationale à la Coupe d'Afrique des Nations.
Patrice Talon a inculqué aux citoyens la culture de la rigueur, le respect de la chose publique en menant une lutte implacable contre la corruption et l'impunité.
Mieux la création de la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET) renforce cette lutte.
Des acteurs politiques et autres opérateurs économiques impliqués dans des affaires ont dû s'exiler pour échapper à la justice.
Avec la réforme du système partisan chère à Patrice Talon, l'opposition n'a pas pris part aux élections législatives puisque cette dernière n'a pas pu se conformer aux exigences de la Charte des partis et au code électoral. Malgré les diverses contestations, l'homme de la Rupture n'a pas cédé aux moindres menaces de certaines personnalités. L'ancien président Boni Yayi, grande figure de l'opposition béninoise malgré ces multiples tentatives pour faire annuler les élections législatives déroulées dans une crise socio-politique s'est vu très tôt en résidence surveillé avant d'être libéré des semaines après.
Pragmatique et autoritaire au modèle du président rwandais Paul Kagamé, comme le pensent certains, le chef de l'exécutif béninois a su comment bousculer les habitudes et redonner confiance au peuple béninois.
Akpédjé AYOSSO
La 3ème édition de la Fête Nationale du Cotonculteur (FNC) a eu lieu ce samedi 20 juillet 2019 au stade de Savalou dans le département des Collines.
Le gouvernement du président Patrice Talon s'est fait représenter par les ministres Gaston DOSSOUHOUI de l'agriculture et Serge AHISSOU du commerce et de l'industrie.
Le Directeur Général de l'AIC (Association de l'Interprofession du Coton), Mathieu ADJOVI était aussi présent à la cérémonie.
Depuis l'avènement du gouvernement de la Rupture et du Nouveau Départ, le Bénin a battu des recordsqui l'ont hissé au rang des meilleurs producteurs de coton en Afrique. Pour preuve, la campagne 2016-2017 : 451.000 tonnes ; 2017-2018 : 598.000 tonnes et 2018-2019 : 678.000 tonnes. Des records jamais enregistrés dans l'histoire de l'or blanc au Bénin.
Célébration de la 3è édition de la Fête Nationale du Cotonculteur ce samedi 20 juillet 2019 au Stade de #Savalou en présence des ministres #GastonDOSSOUHOUI de l'agriculture et #SergeAHISSOU du commerce ainsi que le DG/AIC #MathieuADJOVI . #AgricultureBenin #FNC2019 #Wasexo pic.twitter.com/09Lo3RLqhn
— MÉDIAPART BÉNIN (@MediapartBenin) July 21, 2019
Pour encourager les paysans à produire davantage, des équipements et matériels roulants leur ont été remis durant la célébration de la fête.
F. A. A.
Quelques images de la cérémonie
La 3ème édition de la Fête Nationale du Cotonculteur (FNC) a eu lieu ce samedi 20 juillet 2019 au stade de Savalou dans le département des Collines.
Le gouvernement du président Patrice Talon s'est fait représenter par les ministres Gaston DOSSOUHOUI de l'agriculture et Serge AHISSOU du commerce et de l'industrie.
Le Directeur Général de l'AIC (Association de l'Interprofession du Coton), Mathieu ADJOVI était aussi présent à la cérémonie.
Depuis l'avènement du gouvernement de la Rupture et du Nouveau Départ, le Bénin a battu des recordsqui l'ont hissé au rang des meilleurs producteurs de coton en Afrique. Pour preuve, la campagne 2016-2017 : 451.000 tonnes ; 2017-2018 : 598.000 tonnes et 2018-2019 : 678.000 tonnes. Des records jamais enregistrés dans l'histoire de l'or blanc au Bénin.
Célébration de la 3è édition de la Fête Nationale du Cotonculteur ce samedi 20 juillet 2019 au Stade de #Savalou en présence des ministres #GastonDOSSOUHOUI de l'agriculture et #SergeAHISSOU du commerce ainsi que le DG/AIC #MathieuADJOVI . #AgricultureBenin #FNC2019 #Wasexo pic.twitter.com/09Lo3RLqhn
— MÉDIAPART BÉNIN (@MediapartBenin) July 21, 2019
Pour encourager les paysans à produire davantage, des équipements et matériels roulants leur ont été remis durant la célébration de la fête.
F. A. A.
Quelques images de la cérémonie
Le président de la République Son Excellence Patrice Talon va procéder à l'installation officielle des membres de la 6ème mandature de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (HAAC) ce lundi 22 juillet 2019.
Au cours de la cérémonie, le chef de l'Etat recevra le serment des neuf nouveaux conseillers.
Outre Franck Kpochémè, Armand Hounsou et Cécile Ahoumènou, élus au terme des élections en juin dernier pour représenter les professionnels des médias, le gouvernement en Conseil des ministres mercredi 17 juillet dernier, a désigné Rémy Prosper Moretti pour présider la nouvelle mandature de l'organe de régulation des médias.
En plus du président, l'Exécutif béninois a également choisi Me Bastien Salami et Bilikissou Ali Machiffa pour siéger dans l'institution.
L'Assemblée nationale pour sa part a désigné Ali Camarou, Mariane Domingo et Fernand Gbaguidi pour siéger au sein de l'institution.
Conformément aux textes, cette nouvelle mandature qui sera installée ce lundi 22 juillet, aura un mandat de 05 ans.
F. A. A.
Le président de la République Son Excellence Patrice Talon va procéder à l'installation officielle des membres de la 6ème mandature de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (HAAC) ce lundi 22 juillet 2019.
Au cours de la cérémonie, le chef de l'Etat recevra le serment des neuf nouveaux conseillers.
Outre Franck Kpochémè, Armand Hounsou et Cécile Ahoumènou, élus au terme des élections en juin dernier pour représenter les professionnels des médias, le gouvernement en Conseil des ministres mercredi 17 juillet dernier, a désigné Rémy Prosper Moretti pour présider la nouvelle mandature de l'organe de régulation des médias.
En plus du président, l'Exécutif béninois a également choisi Me Bastien Salami et Bilikissou Ali Machiffa pour siéger dans l'institution.
L'Assemblée nationale pour sa part a désigné Ali Camarou, Mariane Domingo et Fernand Gbaguidi pour siéger au sein de l'institution.
Conformément aux textes, cette nouvelle mandature qui sera installée ce lundi 22 juillet, aura un mandat de 05 ans.
F. A. A.
Après deux jours de compétition, les Béninois s'en sortent déjà près d'une dizaine de médailles. Ce résultat à mi-parcours est obtenu dans le cadre de la 26ème édition du Tournoi international de la Solidarité d'athlétisme, lancée, vendredi 19 juillet 2019 au stade Seyni Kountché de Niamey avec la participation des athlètes du Togo, du Burkina Faso, du Mali, du Niger et le Bénin.
En première journée, les Béninois ont décroché 5 médailles dont un en or. La première médaille a été obtenue par la jeune Aïchatou Aboudou de Parakou. Elle s'en est sortie avec une médaille de bronze aux 800 mètres dame. « Je suis très déçue parce que, je m'étais engagée pour la première place. Je n'ai pas pu résister, mais j'ai pu tirer mon épingle du jeu », a-t-elle confié. La deuxième médaille du Bénin revient à Karim Soumanou de Élite athlétique club de Parakou aux 800 mètres hommes. Il a décroché la médaille d'or de cette discipline pour les 800 m. Quant à Romainio Houndéladji, il arrache la deuxième place et obtient la médaille d'argent au lancer de poids avec un jet de 13m34.
Aux 10 000 m, Sylvain Azonhin s'en est sorti avec une médaille de bronze et Béatrice Midomidé avec un chrono de 12s 36 décroche la médaille de bronze aussi sur les 100 m.
Pour le compte de la deuxième journée de ce Tournoi d'athlétisme, le Bénin décroche quatre médailles en plus.
Pour les 5000 m dame, Alassane Bentille arrache l'or avec un chrono de 17mns 35s 77. Romainio Houndéladji termine deuxième avec un jet de 42 mètres 02 et obtient la médaille d'argent dans sa discipline qui est le lancer de disque.
Au niveau du relais 4x100 homme, le Bénin se contente d'une médaille de bronze.
Mariam Issifou n'a pu faire mieux en saut en longueur puisqu'elle termine avec un saut de 5m 59 et prend la médaille de bronze.
Le Bénin a donc à son actif en deux jours 9 médailles dont 2 en Or, 2 en Argent et 5 en Bronze.
La dernière journée est celle de ce dimanche 21 juillet 2019, où les champion béninois promettent de décrocher d'autres médailles.
G.A.
Après deux jours de compétition, les Béninois s'en sortent déjà près d'une dizaine de médailles. Ce résultat à mi-parcours est obtenu dans le cadre de la 26ème édition du Tournoi international de la Solidarité d'athlétisme, lancée, vendredi 19 juillet 2019 au stade Seyni Kountché de Niamey avec la participation des athlètes du Togo, du Burkina Faso, du Mali, du Niger et le Bénin.
En première journée, les Béninois ont décroché 5 médailles dont un en or. La première médaille a été obtenue par la jeune Aïchatou Aboudou de Parakou. Elle s'en est sortie avec une médaille de bronze aux 800 mètres dame. « Je suis très déçue parce que, je m'étais engagée pour la première place. Je n'ai pas pu résister, mais j'ai pu tirer mon épingle du jeu », a-t-elle confié. La deuxième médaille du Bénin revient à Karim Soumanou de Élite athlétique club de Parakou aux 800 mètres hommes. Il a décroché la médaille d'or de cette discipline pour les 800 m. Quant à Romainio Houndéladji, il arrache la deuxième place et obtient la médaille d'argent au lancer de poids avec un jet de 13m34.
Aux 10 000 m, Sylvain Azonhin s'en est sorti avec une médaille de bronze et Béatrice Midomidé avec un chrono de 12s 36 décroche la médaille de bronze aussi sur les 100 m.
Pour le compte de la deuxième journée de ce Tournoi d'athlétisme, le Bénin décroche quatre médailles en plus.
Pour les 5000 m dame, Alassane Bentille arrache l'or avec un chrono de 17mns 35s 77. Romainio Houndéladji termine deuxième avec un jet de 42 mètres 02 et obtient la médaille d'argent dans sa discipline qui est le lancer de disque.
Au niveau du relais 4x100 homme, le Bénin se contente d'une médaille de bronze.
Mariam Issifou n'a pu faire mieux en saut en longueur puisqu'elle termine avec un saut de 5m 59 et prend la médaille de bronze.
Le Bénin a donc à son actif en deux jours 9 médailles dont 2 en Or, 2 en Argent et 5 en Bronze.
La dernière journée est celle de ce dimanche 21 juillet 2019, où les champion béninois promettent de décrocher d'autres médailles.
G.A.
Le ministre Dona Jean-Claude HOUSSOU a vu juste en initiant le concours « Talents de la 19ème » qui promeut l'entrepreneuriat des jeunes. C'est le sentiment général qui se dégage de sa visite rendue, vendredi 19 juillet 2019, à Mouhaemine ADÉCHOKAN et Fèmi TANKPINOU, respectivement premier et troisième meilleurs lauréats de la 1ère édition dudit concours. Cette descente entre dans le cadre d'un plan de suivi du devenir de ces lauréats.
Promoteur du concours entrepreneurial « Talents de la 19ème », le ministre Dona Jean-Claude HOUSSOU, quelques mois après cette compétition, ne lâche pas ses poulains à leur sort. Il a décidé d'investir leur univers, de s'enquérir de leurs difficultés à l'œuvre afin de mieux les orienter sur le long chemin de l'entrepreneuriat parsemé d'embûches. Et c'est justement pour les aider à lever ou surmonter les obstacles qui se dressent sur leur parcours qu'il a entrepris dans l'après-midi du vendredi 19 juillet 2019 une tournée dans leurs unités de production. Pour la première étape de son périple, il s'est rendu dans le Centre de formation en Anglais « Martin Luther King English Center » de Abel Kèmi TANKPINOU, troisième meilleur jeune entrepreneur de la 1ère édition dudit concours. Emerveillé par cette démarche du parrain, Fèmi Tankpinou y a lu l'humilité et le don de soi aux autres qui caractérisent l'actuel ministre de l'Energie. « Je suis très honoré de recevoir le ministre dans mon centre. Qu'il se déplace pour venir vers moi, c'est un signe de considération et qui me pousse à désormais donner le meilleur de moi-même pour toujours mériter sa confiance », a-t-il lancé. Après avoir présenté tous les compartiments de son centre à son hôte, il a profité de l'occasion pour lui faire part de ses difficultés. Des difficultés qui, a-t-il dit, ont trait aux tracasseries administratives pour avoir l'agrément. « Ce dont nous avons besoin, c'est la facilitation pour l'obtention des agréments pour être un centre reconnu afin que nos certificats aient une grande valeur aux plans national et international. Je voudrais demander au ministre de nous aider en entrant en contact avec ses collègues en charge de ce secteur. Nous allons remplir les conditions pour l'obtention de ces agréments. Nous voulons votre accompagnement pour les avoir plus facilement », a-t-il souhaité. Prenant bonne note de cette sollicitude, le ministre Dona Jean-Claude HOUSSOU a confié toute sa joie de voir l'un de ses protégés résolument engagé à faire aboutir son rêve d'entrepreneur. Pour rappel, Fèmi TANKPINOU, lors du concours entrepreneurial « Talents de la 19ème » a défendu le projet « Ben Zém » qui vise la mise en place d'une flotte de 500 taxis motos dans les Communes de Porto-Novo, Sèmè-Podji, Aguégués, Adjarra. Après-Abomey-Calavi, le ministre Dona Jean-Claude HOUSSOU a mis le cap sur Agblangandan dans la Commune de Sèmè-Podji. Là-bas, il y a rencontré le premier lauréat du concours « Talents de la 19ème », Mouhaemine ADÉCHOKAN. C'était sur le site en phase de finition qui abritera dans quelques jours son usine de production des meubles modernes dénommé KUISINA. L'ambiance a été la même. Le ministre s'est aussi réjoui de voir l'œuvre de ce jeune entrepreneur.
F. H.
Le ministre Dona Jean-Claude HOUSSOU a vu juste en initiant le concours « Talents de la 19ème » qui promeut l'entrepreneuriat des jeunes. C'est le sentiment général qui se dégage de sa visite rendue, vendredi 19 juillet 2019, à Mouhaemine ADÉCHOKAN et Fèmi TANKPINOU, respectivement premier et troisième meilleurs lauréats de la 1ère édition dudit concours. Cette descente entre dans le cadre d'un plan de suivi du devenir de ces lauréats.
Promoteur du concours entrepreneurial « Talents de la 19ème », le ministre Dona Jean-Claude HOUSSOU, quelques mois après cette compétition, ne lâche pas ses poulains à leur sort. Il a décidé d'investir leur univers, de s'enquérir de leurs difficultés à l'œuvre afin de mieux les orienter sur le long chemin de l'entrepreneuriat parsemé d'embûches. Et c'est justement pour les aider à lever ou surmonter les obstacles qui se dressent sur leur parcours qu'il a entrepris dans l'après-midi du vendredi 19 juillet 2019 une tournée dans leurs unités de production. Pour la première étape de son périple, il s'est rendu dans le Centre de formation en Anglais « Martin Luther King English Center » de Abel Kèmi TANKPINOU, troisième meilleur jeune entrepreneur de la 1ère édition dudit concours. Emerveillé par cette démarche du parrain, Fèmi Tankpinou y a lu l'humilité et le don de soi aux autres qui caractérisent l'actuel ministre de l'Energie. « Je suis très honoré de recevoir le ministre dans mon centre. Qu'il se déplace pour venir vers moi, c'est un signe de considération et qui me pousse à désormais donner le meilleur de moi-même pour toujours mériter sa confiance », a-t-il lancé. Après avoir présenté tous les compartiments de son centre à son hôte, il a profité de l'occasion pour lui faire part de ses difficultés. Des difficultés qui, a-t-il dit, ont trait aux tracasseries administratives pour avoir l'agrément. « Ce dont nous avons besoin, c'est la facilitation pour l'obtention des agréments pour être un centre reconnu afin que nos certificats aient une grande valeur aux plans national et international. Je voudrais demander au ministre de nous aider en entrant en contact avec ses collègues en charge de ce secteur. Nous allons remplir les conditions pour l'obtention de ces agréments. Nous voulons votre accompagnement pour les avoir plus facilement », a-t-il souhaité. Prenant bonne note de cette sollicitude, le ministre Dona Jean-Claude HOUSSOU a confié toute sa joie de voir l'un de ses protégés résolument engagé à faire aboutir son rêve d'entrepreneur. Pour rappel, Fèmi TANKPINOU, lors du concours entrepreneurial « Talents de la 19ème » a défendu le projet « Ben Zém » qui vise la mise en place d'une flotte de 500 taxis motos dans les Communes de Porto-Novo, Sèmè-Podji, Aguégués, Adjarra. Après-Abomey-Calavi, le ministre Dona Jean-Claude HOUSSOU a mis le cap sur Agblangandan dans la Commune de Sèmè-Podji. Là-bas, il y a rencontré le premier lauréat du concours « Talents de la 19ème », Mouhaemine ADÉCHOKAN. C'était sur le site en phase de finition qui abritera dans quelques jours son usine de production des meubles modernes dénommé KUISINA. L'ambiance a été la même. Le ministre s'est aussi réjoui de voir l'œuvre de ce jeune entrepreneur.
F. H.
La circulation est impossible pour la traversée de voie Savalou-Dassa. La route de Logozohouè dans la commune de Savalou est complètement bloquée suite à l'effondrement du pont sur le tronçon. Il est donc impossible à tout ceux qui voyagent en passant par ce pont pour rallier les localités environnantes.
Certains usagers de la route sont obligés par exemple de contourner par Parakou pour atteindre Dassa. Outre l'état défectueux de la voie, c'est l'effondrement du pont qui vient en rajouter aux difficultés des voyageurs, des transporteurs et des riverains.
Pour le moment, les populations n'ont plus d'autres choix que de subir le dickat de la nature face à cet incident.
Tous les regards sont tournés vers le ministère des infrastructures et des transports qui doit trouver une solution permettant la reprise du trafic sur ce tronçon de la Route nationale inter-Etats n°3.
G.A.