Un total de 38 promoteurs économiques représentants 12 wilayas prendront part au Salon national du jeune investisseur du 12 au 14 de ce mois à Tizi-Ouzou, ont indiqué samedi les organisateurs de cette manifestation.
Le salon qui sera abrité par l’auberge de jeune de Tala-Allam (commune de Tizi-Ouzou), sera accompagné par l’ensemble des organismes publics qui participent au processus d’investissement, banques, assurances et dispositifs d’aides à l’emploi, ainsi que la Chambre de commerce locale.
Au programme de cette manifestation, une exposition permanente, des conférences et tables rondes, des formations gratuites au profit des promoteurs participants sur plusieurs aspects liés à l’investissement et un concours du meilleur projet.
Une conférence inaugurale sur la promotion de « l’entreprenariat auprès des jeunes en Algérie » sera animée conjointement, à l’ouverture du salon par l’ancien secrétaire d’Etat chargé des statistiques et de la prospective, Bachir Messitfa et l’économiste Smail Lalmas.
Deux séminaires de formation, sont, aussi, inscrit au menu dont l’un sur la compréhension des « principales dispositions du code des marchés publics et des délégations du service publics » et un autre sur la « prospective sur l’état des lieux et l’économie numérique en Algérie ».
Pour comprendre les mesures d’encouragement et d’appui à la promotion de l’emploi, contenues dans la loi 06-24 du 11 décembre 2006, une table ronde sera organisée en collaboration avec la direction locale de l’emploi.
La clôture du salon sera marquée par l’organisation de la finale d’un concours pour la sélection de 03 meilleurs projets parmi une dizaine de concurrents sélectionnés depuis un mois et demi.
L’objectif attendu de ce salon est » de contribuer à promouvoir l’investissement et l’entreprenariat local en mettant en relation l’ensemble des acteurs intervenants dans ce créneau » a soutenu, Anis Bentayeb, président de la boite organisatrice.
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Treize candidats à l’émigration clandestine ont été secourus en mer, vendredi soir, au nord de Cap Aiguille (Oran) par les unités du groupement territorial des gardes-côtes d’Oran, a-t-on appris, samedi, auprès de la cellule de communication de ce corps constitué.
Sur les 18 personnes se trouvant à bord d’une embarcation, 13 ont été secourues par les gardes-côtes, à 13 miles, au nord de Cap Aiguille (Oran), a indiqué à l’APS la même source, précisant qu’il s’agit de 11 étrangers et de deux algériennes. Cette opération de sauvetage est intervenue suite au chavirement de l’embarcation à bord de laquelle se trouvaient ces candidats à l’émigration clandestine.
Par ailleurs, deux corps sans vie, de sexe masculin, ont été repêchés par les mêmes unités du groupement territorial des gardes-côtes d’Oran.
Trois autres passagers sont portés disparus, a-t-on ajouté de même source, faisant savoir que les opérations de recherche se poursuivent en mer.
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Un manifestant présent dans le cortège des « gilets jaunes » à Paris a eu la main arrachée samedi à la mi-journée, à hauteur de l’Assemblée nationale où les tensions étaient vives, ont rapporté des secouristes.
Cet homme a été évacué par les pompiers, un bandage au bout de l’avant-bras. La chaîne de télévision RT a diffusé des images du manifestant blessé. La cause de la blessure n’était pas connue dans l’immédiat. Mais, selon un témoin direct qui a filmé la fin de la scène, Cyprien Royer, il s’agit d’une « grenade de désencerclement » lancée par les forces de l’ordre, alors que des manifestants tentaient d’enfoncer les palissades protégeant l’entrée de l’Assemblée nationale.
La victime est « un photographe +gilet jaune+ » qui « prenait des photos des gens en train de pousser les palissades de l’Assemblée nationale » à la mi-journée, a rapporté cet homme de 21 ans. « Quand les flics ont voulu disperser les gens, il a reçu une grenade de désencerclement au niveau de son mollet, il a voulu mettre un coup de main dedans pour ne pas qu’elle explose vers sa jambe et elle a explosé quand il l’a touchée », a affirmé M. Royer.
« On l’a mis sur le côté, on a appelé les street-medics, c’était pas beau: il hurlait de douleur, il n’avait plus aucun doigt, il n’avait plus grand-chose au-dessus du poignet », a-t-il témoigné.
La préfecture de police a confirmé à l’AFP qu’un « manifestant blessé à la main » a été pris en charge par les pompiers, sans plus de précisions.
De même source, peu avant 13H00 GMT, dix personnes avaient été interpellées. Vers la mi-journée, la situation avait commencé à se tendre autour de ce cortège parti des Champs-Elysées pour rallier le Champ-de-Mars, au pied de la Tour Eiffel. Des tirs de grenades lacrymogènes ont répondu à des jets de projectiles, selon l’agence. Quelques abribus ont été cassés sur le passage du cortège.
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Une exposition de photos, d’affiches et de livres mettant en exergue le parcours militant de Benyoucef Benkhedda a été ouverte samedi au musée du moudjahid de la wilaya de Tissemsilt à l’occasion de la commémoration du 16e anniversaire de la mort de ce moudjahid (1923-2003) organisée sous le slogan « Combat d’un homme ».
Le programme, qui braque la lumière sur l’itinéraire militant du regretté moudjahid Benyoucef Benkhedda qui fut proclamé Président du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) le 28 août 1961, prévoit également, durant les deux jours de la manifestation, une visite à des écoles primaires pour donner aux élèves un aperçu historique sur la vie de ce moudjahid et une conférence animée par le directeur du musée sur cette personnalité historique.
Le musée diffuse aussi sur son portail électronique et sa page officielle sur réseaux sociaux un aperçu sur le parcours de ce moudjahid.
Né en 1923 à Berrouaghia (Médéa), Benyoucef Benkhedda a entamé son activité politique au début des années 40 au sein du Parti du peuple (PPA), puis au comité de rédaction du quotidien « La nation algérienne », avant de prendre part au congrès du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD) en 1947 où il fut élu membre de la centrale, puis secrétaire général en remplacement de Hocine Lahouel.
Il rejoignit les rangs de l’Armée de libération nationale en 1955 et fut désigné membre du Conseil national de la révolution algérienne, puis membre du comité de coordination et d’exécution.
Feu Benkhedda a été désigné président du GPRA en 1961 en remplacement de Ferhat Abbes jusqu’à septembre 1962 . il est mort le 4 février 2003 à Alger.
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Huit (08) personnes ont trouvé la mort et 17 autres ont été blessées durant les dernières 48 heures dans 08 accidents de la circulation survenus sur le territoire national, indique, samedi dans un communiqué, la Direction générale de la Protection civile.
« Le bilan le plus lourd a été enregistré au niveau de la wilaya de Saïda, avec deux (02) personnes décédées et deux (02) autres blessées, suite à une collision entre deux (02) camions, survenue sur le C.W n 09, commune et daïra d’El-Hassasna », est-il détaillé.
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Les Jeux méditerranéens prévus en 2021 à Oran se distingueront par leur « cachet écologique », a affirmé samedi le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Hattab, lors d’une visite de travail dans la wilaya.
« Les JM-2021 d’Oran auront un cachet écologique », a souligné le ministre en inspectant le chantier du stade de football en voie d’achèvement au sein du complexe olympique en construction à Belgaïd, dans la daïra de Bir El-Djir.
« L’empreinte écologique assignée à l’événement des JM-2021 est un objectif à la mesure de l’excellence atteinte par la wilaya d’Oran dans différents domaines de l’économie verte », a soutenu M. Hattab.
Il a, dans ce contexte, mis l’accent sur la performance relevée dans la capitale de l’Ouest, notamment dans les domaines de traitement et de recyclage des déchets, de l’économie de l’eau et de la gestion des espaces verts.
Le ministre s’est également félicité de l’état d’avancement des travaux, tout en insistant auprès des responsables de l’entreprise de réalisation sur le respect des engagements contractuels pour la concrétisation des étapes à venir selon les délais convenus.
Les délais annoncés, dans ce cadre, par les responsables du projet tablent sur la livraison du stade de football en avril prochain, tandis que la réception des infrastructures complémentaires est fixée à avril 2020.
Dans une déclaration à la presse, le ministre de la Jeunesse et des Sports a fait savoir que trois autres grands complexes de standard international seront livrés cette année à Tizi Ouzou, Baraki et Bouira.
« Ces acquis comptent parmi les plus importantes réalisations à voir le jour à la faveur du programme du Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, permettant ainsi à l’Algérie de gagner sa juste place dans le cercle des nations organisatrices de rendez-vous sportifs majeurs », a indiqué M. Hattab.
Le ministre a, par la même occasion, donné le coup d’envoi d’une campagne de plantation d’arbres dans le périmètre du complexe olympique, avant d’achever sa visite au chevet de Kaddour Bekhloufi (âgé de 85 ans), ancienne gloire du football algérien et membre de l’équipe du FLN.
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Neuf (09) personnes sont décédées à Alger et Skikda, durant les dernières 48 heures, par asphyxie au monoxyde de carbone CO émanant des appareils de chauffage et chauffe-bains, indique, samedi dans un communiqué, la Protection civile.
« Les secours de la protection civile sont intervenus pour prodiguer des soins de première urgence à 23 personnes incommodées par le monoxyde de carbone CO émanant des appareils de chauffage et chauffe-bains, à Blida, Alger, Skikda, Constantine, Jijel, Ain Defla, Djelfa, Tlemcen, Béchar, Saïda, M’sila et Annaba », précise la même source.
« Les victimes ont été prises en charge sur les lieux puis évacuées vers les structures de santé par les secours de la protection. Par contre, 09 personnes sont décédées intoxiquées par le monoxyde de carbone CO émanant de chauffe-bains, dont 06 à Alger et 03 autres à Skikda », est-il détaillé.
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Des discussions bilatérales seront « très prochainement » entamées sur la facilitation aux opérateurs économiques algériens d’investir au Gabon et aux gabonais d’investir en Algérie, a indiqué l’ambassadeur d’Algérie au Gabon Mohamed-Antar Daoud.
« Nous avons proposé (aux autorités gabonaises) de créer un groupe de travail mixte pour étudier les moyens de rendre avantageuses les conditions d’investissement », et pour les Algériens au Gabon et pour les gabonais en Algérie, a déclaré le diplomate dans une interview accordée écemment au quotidien gabonais Le Journal coopération internationale.
Il a, d’autre part, mis en exergue certaines démarches qui seront bientôt concrétisées pour stimuler les échanges entre les deux pays.
La prochaine étape sera la mise en place par Air Algérie, juste après l’inauguration du nouvel Aéroport international d’Alger, d’une liaison aérienne Alger-Libreville à raison de trois vols directs par semaine et avec un tarif concurrentiel, a-t-il indiqué au journal gabonais, qui a consacré un dossier spécial pour la coopération algéro – gabonaise à la suite de l’exposition spécifique des produits algériens, tenue à Libreville du 27 novembre au 2 décembre 2018.
Il y aura lieu d’étudier également la mise en place d’une ligne maritime, selon lui.
Revenant sur l’exposition spécifique des produits algériens à Libreville, couronnée par la signature de 12 accords de partenariat entre les hommes d’affaires des deux pays et d’un accord de coopération entre les deux chambres de commerce algérienne et gabonaise, M. Daoud l’a qualifiée de « franc succès ».
Ce succès a été, selon lui, le fruit d’une bonne qualité d’organisation, aussi bien au niveau gabonais qu’algérien, d’une diversité des produits exposés couvrant plusieurs secteurs (l’agriculture, l’agroalimentaire, l’électronique, la climatisation, l’électroménager, la pharmacie, le machinisme agricole….) et enfin de l’intérêt accordé par les hautes autorités gabonaises.
Il a également cité comme facteur de réussite de cette manifestation la décision prise par l’Etat de prendre en charge la totalité des frais du transport des marchandises et de la location des stands, alors qu’auparavant 80% seulement de ces frais étaient pris en charge.
Pour lui, les accords signés lors de l’exposition « ont posé les jalons du partenariat entre les entreprises privées algériennes et gabonaises » alors que l’accord de coopération entre les deux chambres de Commerce « constitue désormais le socle de la coopération future » entre les opérateurs des deux pays.
Estimant que le Gabon constituait une « priorité » pour l’Algérie, Libreville pouvant « constituer un centre de rayonnement vers les autres pays d’Afrique Centrale », a-t-il affirmé, ajoutant que l’avenir de l’Algérie « ne saurait se concevoir en dehors de l’Afrique ».
A noté que la Commission mixte algéro-gabonaise ne s’est pas réunie depuis 1987. La dernière exposition des produit algériens au Gabon remonte à 1985.
Accordant lui aussi une interview au même journal gabonais, le président du club des entrepreneurs et des industriels de la Mitidja (CEIMI), Kamel Moula, a appelé à encourager les exportations algériennes vers le Gabon en développant un comptoir de la production nationale pour faire connaitre ses innovations à ce pays africain ami.
« L’exposition spécifique des produits algériens qui avait eu lieu récemment (du 27 novembre au 2 décembre derniers) dans la capitale gabonaise a permis de démontrer que la production algérienne était de qualité et d’un haut niveau de compétitivité », a-t-il indiqué.
S’agissant de l’accord signé entre les deux chambres de commerce algérienne et gabonaise, M. Moula a estimé que cela permettrait aux opérateurs économiques des deux pays d’élaborer ensemble une stratégie de communication pour permettre aux consommateurs gabonais d’investir sur les offres commerciales algériennes.
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Deux (02) bombes de confection artisanale ont été détruites, vendredi à Boumerdès et Médéa, par des détachements de l’Armée nationale populaire (ANP), indique, samedi dans un communiqué, le ministère de la Défense nationale (MDN).
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste, des détachements de l’Armée nationale populaire ont détruit, le 08 février 2019, lors de deux opérations distinctes menées à Boumerdès et Médéa/1eRM, deux (02) bombes de confection artisanale », précise la même source.
« Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, des détachements combinés de l’ANP ont intercepté, à Sétif/5eRM et Biskra/4eRM, deux (02) individus en possession de deux (02) fusils de chasses de confection artisanale, une (01) paire de jumelles, (816) cartouches de différents calibres, ainsi que des outils de remplissage de cartouches et divers objets, tandis que (3500) unités de tabac ont été saisies à Ghardaïa/4 RM », est-il ajouté. »Au niveau de la 2ème Région militaire, une unité des Garde-côtes a réussi, lors d’une opération de recherche et de sauvetage menée à (09) miles marins au Nord-ouest de Cap Igoui à Oran, à secourir (15) candidats à l’émigration clandestine de différentes nationalités, qui ont été pris en charge par les services compétents ».
« Par ailleurs, des éléments des Garde-côtes ont déjoué, à Oran, des tentatives d’émigration clandestine de (23) personnes à bord d’embarcations de construction artisanale, alors que (06) immigrants clandestins de différentes nationalités ont été arrêtés à Naâma et Tlemcen », conclut le MDN.
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Le déficit commercial de l’Algérie s’est chiffré à 5,03 milliards de dollars en 2018, contre un déficit de 10,87 milliards de dollars en 2017, soit une baisse de 5,84 milliards de dollars (-53,73%), a appris l’APS auprès des Douanes.
En 2018, les exportations ont grimpé à 41,168 milliards de dollars (mds usd) contre 35,191 mds usd en 2017, soit une hausse de 5,977 mds usd (+16,98%), précise le Centre national des transmissions et du système d’information des Douanes (CNTSID) dans ses données provisoires.
Quant aux importations, elles se sont établies à 46,197 mds usd en 2018 contre 46,059 mds usd en 2017, soit une hausse de 138 millions de dollars (+0,3%).
Les exportations ont assuré la couverture des importations à hauteur de 89% contre 76% à la même période de l’année 2017.
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L’obésité touche 30% des femmes algériennes, a révélé une récente étude, menée par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, et dont les résultats ont été rendus publics récemment, a-t-on appris du président de la Société algérienne de médecine interne (SAMI) le Pr Amar Tebaïbia.
Interrogé en marge de la 12ème Journée de diabétologie de l’EHU d’Oran qui prend fin samedi, le Pr Tebaibia a indiqué qu’il s’agit d’une étude sur le diabète, le surpoids et l’obésité, qui a touché 15 wilayas du pays.
Cette étude qui a concerné un échantillon de 7.000 patients, montre que l’obésité touche 30% des femmes, contre 14,5% des hommes. Le surpoids, quant à lui, touche 52% de la population.
« Ces chiffres sont alarmants », a estimé ce spécialiste qui souligne que « ce taux énorme d’obésité laisse supposer que les données sur la prévalence du diabète vont augmenter ».
Dans ce contexte, la même source a fait savoir que les statistiques de l’année 2018 font état de 14,4% de la population atteinte de diabète. En 2003, ce taux ne dépassait pas les 7%, ce qui indique que la maladie gagne du terrain dans la société algérienne, à cause d’un ensemble de facteurs dont la sédentarité et le manque d’exercices, une alimentation riche en sucre, en plus du tabagisme, a-t-il expliqué.
Des programmes de sensibilisation pour lutter contre le tabagisme et la mal nutrition et encourager l’exercice physique devraient être la première démarche à suivre par les autorités pour baisser le taux du diabète et repousser l’âge d’atteinte par cette maladie, dont les complications peuvent être lourdes et parfois fatales, a-t-on estimé.
La 12ème Journée de diabétologie de l’EHU d’Oran, qui s’est tenue du 7 au 9 février en cours, a réuni des spécialistes de différentes régions du pays et de l’étranger (500 participants).
Cette rencontre est organisée sous l’égide de la Société francophone du diabète, avec la participation de conférenciers du Maroc, de Tunisie, du Mali, de Mauritanie, du Burkina Faso, du Sénégal, de Côte d’ivoire, de France, de Belgique, Guinée et des Etats-Unis.
Plusieurs thématiques liées au diabète ont été débattues au cours des trois jours de la rencontre, telles que « la place de l’insuline dans le traitement du diabète de type 2 », le « démembrement des diabètes de l’adulte », « le choix des antidiabétiques pour traiter le diabète de type 2 » et « L’individualisation de la prise en charge du DT2 mythe ou réalité ».
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L’Algérie vient de réaliser un nouveau succès à l’échelle africaine après avoir été élue membre du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine (UA) en marge de la 34ème session ordinaire du Conseil exécutif de l’UA à Addis-Abeba en Ethiopie.
En effet, sur 52 pays membres, 48 ont voté en faveur de l’élection l’Algérie en tant que membre du CPS de l’UA tandis que quatre autres se sont abstenus.
“L’Algérie a été brillamment élue au Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine par le Conseil exécutif de l’UA pour un mandat de trois ans (2019-2022)”, a écrit le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel sur son compte Twitter.
“Cette élection consacre, une nouvelle fois, la crédibilité de la diplomatie algérienne… “, a précisé le chef de la diplomatie algérienne.
Les pays qui ont voté pour l’élection de l’Algérie sont connus pour leur appui aux positions algériennes, notamment l’Afrique du Sud, le Nigeria, l’Ethiopie, l’Égypte et la Tunisie…
Qui sont en revanche les Etats qui n’ont pas voté pour l’Algérie?
Il s’agit en l’occurrence du royaume du Maroc, du Sénégal et de la Côte d’Ivoire, tandis que le quatrième pays n’est pas connu…En tout cas, ces trois pays sont connus pour leur dépendance de la France.
Une telle attitude n’a absolument pas joué en faveur du Maroc et de ses alliés qui se comptent sur les doigts d’une main au sein du continent africain.
Par contre, ce vote témoigne du poids de l’Algérie au sein des instances de l’Union africaine par rapport à son voisin le Maroc.
Sofiane. A. / Traduit par: Moussa. K.
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Le marché des jus de fruits et nectars est estimé à 700 millions de litres par an. C’est dire que c’est un marché bien juteux ! Des sachets de fruits instantanés aux jus compacts, la place du jus naturel était bien réduite. Sauf qu’aujourd’hui beaucoup se donnent la peine de presser eux-mêmes leurs fruits.
Sofiane, agent de sécurité, marié, deux enfants : «Je n’ai pas d’autres choix»
«Vous savez, j’achète les jus parce que ce n’est pas cher. Ni plus ni moins. Vous imaginez que si j’achetais un kilo d’orange, cela ne remplirait à peine que deux verres. Alors qu’avec 50 DA, j’ai un litre ! Franchement avec mon maigre budget, je suis déjà heureux de pouvoir faire plaisir à ma petite famille avec une bouteille de jus. Et heureusement que cela existe. Parce que même les fruits, je ne peux pas me permettre d’en acheter souvent. Quant à savoir que le jus que nous achetons est mauvais pour la santé, je me dis qu’aujourd’hui tout est dangereux pour notre santé. Tout est pourri, alors… ?!»
Nawel, femme au foyer, trois enfants : «Je n’achète plus de jus, tout est fait maison»
Pour moi, c’est un sujet très important. C’est simple, chez nous, nous n’achetons ni boissons gazeuses ni jus de fruits industriels. Nous avons fait ce choix après la naissance de notre premier enfant. Et avec toutes les publicités sur les conséquences nocives sur la santé, cela nous incite à continuer à ne pas en consommer du tout. Lorsqu’on se rend compte que nous buvons du sucre mélangé avec des produits additifs et de la poudre de fruits séchés, il y a de quoi réfléchir à deux fois avant d’en acheter.
Pour les personnes qui disent qu’ils n’ont pas les moyens et que c’est pour cela qu’ils en achètent, je leur dis mieux vaut consommer de l’eau, c’est plus sain.
Pour ma part, je me suis équipée d’une centrifugeuse. Je trouve que cela prend moins de temps pour préparer les jus et c’est très pratique. Je suis plus rassurée par rapport à la santé de mes enfants. Et de cette façon, ils ne sont pas frustrés de ne pas consommer de jus. Dernièrement, j’ai appris que la centrifugeuse déforme la composition du fruit et altère ses bienfaits. Je ne sais pas si c’est une réalité ou une campagne pour encourager les gens à se procurer les extracteurs de jus, censés être mieux adaptés. Mais c’est pour vous dire que le choix du jus industriel est banni à tout jamais.
Yasmine, secrétaire, trois enfants : «Plus de jus industriels à cause de mon diabète»
Le jour où mon médecin a confirmé mon diabète, la première recommandation qu’il m’a faite portait sur mon alimentation. Il a insisté pour que je fasse attention à ce que je mange et m’a formellement interdit de consommer des jus industriels. Il m’a conseillé de presser moi-même les fruits et légumes maison qui sont une source importante de vitamines et de minéraux. Il faut savoir que les légumes et les fruits contiennent naturellement des éléments nutritifs essentiels. La consommation de fruits et légumes sous la forme de jus permet de concentrer leurs apports en vitamines et minéraux.
A la différence des jus du commerce, les jus maison sont d’un apport nutritif plus important. Ils se conservent plus longtemps, et la teneur en jus est plus importante. Ils sont sans conteste plus sains. Et bien sûr, il ne faut pas ajouter de sucre car ils en contiennent déjà sous une forme naturelle.
Salah, médecin généraliste : «Même par gourmandise, il est important de s’abstenir de trop consommer de jus industriels.»
Vous savez, dans mon entourage, beaucoup de personnes consomment du jus de fruits industriel par faute d’informations ou par gourmandise. Il y en a même qui considèrent que les jus de fruits industriels permettent de bénéficier rapidement de tous les effets bénéfiques des fruits entiers. Pourtant, chaque année des études démontrent la nocivité de ce type de jus comme le risque d’obésité, de diabète et d’accidents cardiovasculaires (AVC). Les jus industriels ont pour inconvénient d’accroître le taux de glycémie à grande vitesse à cause de leur forte concentration en glucose et fructose. Aussi, cela peut même provoquer une certaine addiction perturber l’appétit et affecter ainsi le métabolisme.
Je profite de l’occasion de mon témoignage pour signaler que ce n’est pas uniquement le contenu qui pose problème mais le contenant aussi. Selon une étude scientifique d’une équipe américaine de l’Université de Cincinnati (Ohio), les contenants des bouteilles en plastique peuvent être aussi nocifs. C’est-à-dire que le polyéthylène et les autres éléments chimiques, comme le bysphénol A, peuvent entraîner des problèmes de santé (perturbation des œstrogènes, cancer du sein).
Par Sarah Raymouche
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Des jeunes chômeurs ont bloqué hier l’accès d’entrée à l’entreprise Hyundai dont le siège se trouve à l’intérieur de la zone industrielle de Bellara abritant le complexe sidérurgique relevant de la commune d’El Milia en signe de protestation contre le rejet par une commission des candidatures des postulants à des postes d’emploi au sein de ladite entreprise lors d’un entretien pour le recrutement des soudeurs homologués de pipeline et leur remplacement par des travailleurs étrangers.
Les chômeurs protestataires issus essentiellement de la wilaya de Jijel réclament la présence du wali afin de mettre un terme aux agissements de l’entreprise coréenne qui ne respecte, selon eux, guère les conditions et les modalités de recrutement en recourant à la main-d’œuvre étrangère alors que le marché local dispose des profils des travailleurs recrutés. Selon une source de la Direction de l’emploi qui a requis l’anonymat, ces dépassements existent depuis longtemps en dépit de l’intervention des autorités locales en s’interrogeant sur le fait que les responsables de cette entreprise disent aux postulants que l’entretien est non concluant alors que certains d’entre eux ont plus de dix ans d’expérience au sein de la Sonatrach en qualité de soudeurs homologués. Par ailleurs, selon une source locale, ce «débrayage a été soutenu par les travailleurs algériens de Hyundai chargés de la réalisation de la centrale électrique de Bellara relevant de la commune d’El Milia qui ont entamé une grève illimitée pour réclamer l’homologation de leurs salaires avec les collègues étrangers. La même source a ajouté que ce débrayage était dans l’air depuis plusieurs mois car les travailleurs grévistes ont déjà exprimé leurs doléances aux responsables de l’entreprise coréenne vainement. On apprend également que ce mouvement de protestation a provoqué une anarchie totale durant la matinée d’hier à l’entrée de la zone industrielle de Bellara qui constitue un grand pôle pourvoyeur d’emplois dans la wilaya, et théâtre de certains dépassements de certaines firmes étrangères concernant les opérations de recrutement du personnel.
Bouhali Mohammed Cherif
L’usine Africaver paralysée par une grève
Les travailleurs de l’entreprise Africaver, dans la zone industrielle de Ouled Salah, ont entamé mardi une grève illimitée pour réclamer le versement des salaires des mois de décembre et janvier, a-t-on appris auprès d’une source locale. La même source a ajouté que la plateforme de revendications des travailleurs grévistes tourne autour de l’augmentation de leurs salaires, l’ouverture d’une enquête sur le sort de leur entreprise confrontée à des difficultés financières et son incapacité à écouler ses produits, notamment avec l’ouverture du marché extérieur. Selon un ancien travailleur de cette entreprise, la Direction générale a supprimé un certain nombre des primes dont celle de rendement collectif (PRC) et celle de rendement individuel (PRI). Face à cette paralysie, ils demandent l’intervention du wali pour trouver une solution à leurs revendications d’ordre socioprofessionnel. Notons qu’Africaver compte une centaine de travailleurs.
B. M. C.
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Rassemblés ce jeudi devant le siège de la Direction des services agricoles, des dizaines de producteurs de la pomme de terre de Bouira, activant en gros au niveau des deux principaux plateaux d’El Esnam et celui des Aribs à Aïn Bessem, étaient en colère.
Et pour cause ! Leur production de l’arrière-saison est à son troisième mois de maturité, non encore arrachée et toujours aucun acheteur ne se manifeste. Et quand certains se présentent, c’est pour leur proposer des prix dérisoires, en deçà du prix de revient de leur production.
Et ce qui est plus grave dans cette histoire, est que leurs créanciers, les banques qui leur ont prêté de l’argent pour l’achat des semences, et les fournisseurs d’engrais et autres produits phytosanitaires auxquels ils remettent généralement des chèques à blanc, à encaisser une fois la production est arrivée à terme, les menacent d’engager ces chèques et de se retrouver passibles de prison pour chèques sans provision.
Aussi, ce sont des producteurs tout en colère d’abord contre leur tutelle qui n’arrive pas à trouver les mécanismes pour assurer l’écoulement des produits des agriculteurs, mais également des journalistes qui, disent-ils, «sont toujours là à dénoncer la hausse des prix de la pomme de terre, mais jamais pour aider ce même producteur quand il se retrouve en faillite et menacé de prison comme c’est le cas aujourd’hui».
Ainsi, ce jeudi, et en présence du président de la Chambre d’agriculture de Bouira, Omar Demmouche, du président de l’UNPA, Hamadache Aoudia, ainsi que le président de l’Association des producteurs de pomme de terre de Bouira, Bouziane, des dizaines de producteurs étaient là à la recherche d’une solution pour éviter une faillite certaine. «Si dans trois ou quatre jours, le ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, ne trouve pas une solution, ce sera la faillite pour nous puisque actuellement, notre production qui est toujours sous terre, fait face à deux phénomènes : le verdissement dû aux rayons solaires, et qui rend la pomme de terre invendable, et la putréfaction des tubercules à cause des eaux de pluie dont regorge le sol». Aussi, pour la solution, tous les responsables que nous avons cités plus haut, sont unanimes à dire que celle-ci réside dans le lancement en urgence d’un plan Syrpalac, ou système de régulation des produits de large consommation. Selon le président de la Chambre, Omar Demmouche, «ce système a été déjà lancé au niveau de la wilaya mais d’une manière très timide puisque, à peine 7 000 tonnes ont été achetés auprès des producteurs et d’une manière très sélective, alors que la wilaya de Bouira possède des dizaines d’autres producteurs qui ont cultivé plus de 2 000 hectares et qui ont produit au total, avec une moyenne de 300 quintaux à l’hectare, plus de 60 000 tonnes. Et quand bien même une certaine quantité de cette production est orientée vers la consommation immédiate, ce qui n’est pas du tout évident avec les prix qui sont actuellement proposés aux producteurs, une grande partie de la production nécessitera le stockage».
Un stockage dans des chambres dans un cadre organisé puisque, pour le moment, les quelques propriétaires des chambres qui se manifestent, exploitent la détresse des producteurs auxquels ils proposent des prix presque symboliques, autour de 15 dinars le kilo, alors que, selon les producteurs, la vente de leur produit à moins de 28 dinars, va les ruiner. D’où leur appel pressant au ministre pour sauver cette filière et les milliers d’emplois qu’elle génère.
Faute de quoi, la campagne de la pomme de terre de saison qui devait être déjà engagée, sera compromise, et au mois d’avril, lors de la période de soudure, la pomme de terre sera vendue à 150 dinars le kilogramme. Pour le moment, rien n’est encore perdu et le ministère pourra largement intervenir.
Y. Y.
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A Béjaïa, l’ENPI vient de vendre un hôtel construit à la plage Saket. Le montant de la transaction serait nettement inférieur à celui qui se pratique généralement. Il semblerait que cette affaire suscite déjà de houleux débats au sein de la capitale des Hammadites et le ministère de l’Habitat est invité à lancer une enquête sur cette affaire.
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Le ministre de l’Industrie et des Mines vient d’instruire les directeurs de l’industrie et des mines de wilaya pour l’application de l’article 104 de la loi de finances 2018.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – Une disposition qui institue une taxe à la charge de tout bénéficiaire de terrain viabilisé à vocation industrielle, situé en zone industrielle ou en zone d’activité, mis sur le marché par voie de cession par des organismes aménageurs publics, demeuré inexploité pendant une période supérieure à trois ans, à compter de la date de son attribution.
Youcef Yousfi qui abordait le sujet, avant-hier jeudi, à l’Assemblée populaire nationale dans le sillage d’une séance de questions orales a, en effet, fait part d’«instructions données, mercredi, en vue de lancer l’application de cette taxe, collectée annuellement et fixée à 5% de la valeur vénale du terrain». Le ministère de l’Industrie et des Mines a élaboré un projet de décret exécutif fixant les conditions et modalités d’application de cette taxe, indiquant que «ce projet a été adopté par le gouvernement, en sus du lancement de poursuites judiciaires pour la résiliation de l’acte de concession».
Par ailleurs, le ministre de l’Industrie et des Mines a évoqué une batterie de mesures adoptées pour, selon lui, un «meilleur encadrement de l’industrie automobile et non pas uniquement le montage automobile, dans le but de relever la valeur ajoutée de l’économie nationale, à travers une stratégie permettant l’établissement d’une véritable industrie dans ce domaine». Pour le ministre, «l’Etat ne ménage aucun effort, aujourd’hui, en vue de développer la sous-traitance industrielle, d’asseoir une base industrielle solide, d’assurer une production de qualité et d’accélérer le rythme de réalisation, pour être au diapason de l’évolution mondiale et de la compétition internationale». Un développement de la sous-traitance indispensable, a poursuivi Yousfi, pour arriver à la fabrication d’un «véhicule algérien». Pour sa part, le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelouahid Temmar a réaffirmé à la même occasion l’engagement de l’Etat à «financer tous les programmes restants des logements AADL, en dépit des difficultés financières rencontrées par le Trésor public». Abdelouahid Temmar a révélé, à l’occasion, que sur un total de 210 000 unités non financées, 120 000 ont été inscrites en 2018 puis 90 000 autres au titre de la loi de finances 2019, pour une valeur globale de 670 milliards de dinars, sans comptabiliser les aides indirectes, soit près de 6 milliards de dollars.
M. K.
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Longtemps à l’ombre du secteur public, le privé entend aujourd’hui ne plus jouer les seconds rôles. Les entreprises privées créent de l’emploi, contribuent au produit interne brut et beaucoup d’entre elles arrivent à exporter. L’Union nationale des industriels producteurs et transformateurs estime que le privé est aujourd’hui incontournable et ne peut plus se contenter du rôle d’appoint.
Nawal Imès – Alger (Le Soir) – Pas question de se contenter d’un rôle secondaire, le secteur privé entend s’imposer comme incontournable. Le président de l’Union nationale des industriels producteurs et transformateurs (UNIPT) l’a clairement dit hier à l’occasion d’un forum qui a regroupé producteurs et transformateurs.
Ali Guerfa affirmait en effet, jeudi, que « l’évolution du secteur public s’est faite à l’ombre du secteur et des organisations étatiques pour arriver à s’imposer comme un secteur incontournable dans une conjoncture économique lourdement impactée par la crise pétrolière on lui reconnaît désormais le rôle de levier» alors que ce même secteur a été trop longtemps considéré comme un appoint de soutien au secteur public, et a toujours été relégué au second rang par les pouvoirs publics alors que, dit-il, les chiffres sont éloquents.
En effet, la part du secteur privé dans le produit intérieur brut est passée de 42% en 2000 à 70% en 2015. D’autre part, il intervient dans le domaine de l’emploi à hauteur de 60% et à 61% dans la rémunération des salaires. De plus, l’économie verte et numérique est presque totalement portée par de jeunes entrepreneurs issus du secteur privé qui réalisent une bonne partie des programmes gouvernementaux.
L’industrie automobile, quant à elle, se développe rapidement en Algérie encore une fois grâce aux projets d’investissements initiés par des opérateurs privés. Ces derniers interviennent également dans la réalisation des programmes de logements, de télécommunications et de l’énergie, entre autres.
Sur le plan fiscal, la contribution du secteur privé dans les hydrocarbures a augmenté de 5% entre 2010 et 2015 et de 55% en matière de contribution fiscale hors hydrocarbures. Il est le premier pourvoyeur d’emplois puisque les effectifs ont augmenté dans le secteur privé contrairement au secteur public.
C’est pour toutes ces raisons, assure le président de l’UNIPT, que le secteur privé doit être au cœur de la nouvelle politique économique pour lui permettre de jouer pleinement son rôle de contribution à l’effort de stabilisation macroéconomique, à la promotion des exportations hors hydrocarbures, à la transformation globale de l’économie par la réduction du chômage.
N. I.
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Les services des Douanes algériennes ont de nouveau mis la main sur de la cocaïne ce week-end. Décontenancée, l’opinion assiste à un phénomène nouveau qui soulève des interrogations auxquelles peu de réponses ont été apportées jusqu’à l’heure.
Abla Chérif – Alger (Le Soir) – Lundi 5 février. Les éléments de la douane du port sec de Boumerdès font une nouvelle découverte de drogue dure, 1,15 kilo, cette fois-ci dissimulée dans un conteneur de fromage.
L’information se répand très rapidement mais sans pour autant faire l’objet d’un communiqué officiel fournissant plus de détails sur l’affaire. L’enquête se met toutefois rapidement en marche et le propriétaire de la marchandise écouté par les services mis sur le dossier. La discrétion totale entoure le déroulement de l’audition qui s’est déroulée et le nom de cet importateur de fromage.
Le silence est total, tout aussi pesant que celui qui s’est installé après la découverte, il y a plus d’une semaine, de 300 kilos de cocaïne dissimulés dans des sacs hermétiques flottant au large des côtes de Skikda. Dans cette affaire, le ministère de la Défense avait cependant publié un communiqué et diffusé des images des sacs récupérés par un commando de la marine qui a été, par la suite, décoré pour avoir mené à bien cette mission.
Au cours de la même période, les Douanes algériennes ont présenté un bilan alarmant concernant les saisies de cocaïne durant l’année 2018. Médusés, les Algériens apprenaient ainsi que la quantité interceptée était de 1 300 kilos. Parmi cette dernière se trouvent naturellement les 701 kilos découverts durant l’été dernier au port d’Oran dissimulés dans un conteneur de viande congelée en provenance du Brésil.
Le propriétaire de cette marchandise se trouve aujourd’hui entre les mains de la justice qui a, tout au long de l’année, multiplié les auditions de Kamel El Bouchi, afin de faire toute la lumière sur une affaire pas comme les autres. L’opinion est aujourd’hui en attente de procès mais aussi d’explications. Or, il se pourrait bien que les pouvoirs publics se trouvent davantage face à des pistes que d’éléments concrets, un fait découlant de la grande difficulté d’avancer dans un dossier où s’entremêlent habilement les connexions mondiales de la maffia de la cocaïne.
La présence d’un drapeau russe sur les sacs contenant les 300 kilos de drogue au large de Skikda en constitue une preuve évidente ont alors commenté des spécialistes selon lesquels le procédé «ne ressemble pas à ceux utilisés. Il faut être naïf pour croire que les traficants s’identifient eux-mêmes.»
D’autres sources ont affirmé que la situation veut également dire que l’enquête autour de l’affaire Kamel El Bouchi n’a pas encore livré tous ses secrets.
Les enquêteurs planchent toutefois sérieusement sur les connexions de Valence (Espagne) et celle de Marseille, a-t-on appris récemment. «Faire de l’Algérie un déversoir de cocaïne arrange aussi les affaires de pays hostiles et connus mondialement pour produire et exporter de la drogue. On le voit bien, les médias internationaux et même africains multiplient des analyses après chaque découverte, les pays producteurs et exportateurs de la région y trouvent leur compte.»
A. C.
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Abdelwahid Temmar et Mourad Zemli, respectivement ministre de l’Habitat et ministre du Travail, sont en visite au Canada pour faire la promotion du programme de la formule de logement promotionnel public (LPP) et du dispositif Ansej, maintenant que la loi permet aux Algériens établis à l’étranger d’acquérir un logement ou de monter une microentreprise (pour les moins de 35 ans). Les deux représentants du gouvernement ont prévu de rencontrer aujourd’hui des membres de la communauté algérienne au consulat général d’Algérie à Montréal. Des rencontres similaires ont été déjà organisées à l’étranger comme Paris et New York. Les observateurs s’interrogent sur la coïncidence de cette initiative gouvernementale avec précisément cette période préélectorale.
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