Pas de panique ! La prise de poids n’est pas inéluctable. Un spécialiste du sevrage tabagique nous livre ses explications et ses conseils pour garder la ligne.
Quels sont les risques de prendre du poids si on renonce à la cigarette ?
Le tabac a un effet à la fois anorexigène et lipolytique, autrement dit «coupe-faim» et «brûle-graisse». Le fait de fumer vous maintient en sous-poids. Lorsque vous arrêtez, il se produit un ajustement naturel vers le haut. La prise de poids peut se situer entre 0 et 6 kg.
Ces kilos éventuels gênent la motivation !
Dites-vous que l’inconvénient d’une prise de poids est sans commune mesure avec les bénéfices que vous allez tirer de l’arrêt du tabac. Votre tentative fait partie du processus normal vers l’arrêt définitif. Vous pouvez y parvenir sans aide.
Quel conseil pour réussir ?
C’est l’occasion de remettre à plat vos habitudes. Tous les fumeurs sont attirés par les plats riches,les graisses saturées, le sucre et le sel – ce qu’on appelle la «néfaste-food» ! Il est important de réintroduire les fruits et légumes, de préférence frais, de saison. Consommez des légumes secs, des «bons féculents», évitez les céréales raffinées (riz, pain blanc…) Cela vous aidera à ne pas grignoter entre les repas.
Ce sera difficile de résister…
Le grignotage sucré entraîne une hypoglycémie réactionnelle, générant des pulsions alimentaires. Pour lisser la glycémie sanguine, prévoyez un fruit de saison entre les repas. Le matin, prenez un solide petit-déjeuner ; les protéines ont un effet starter sur la vigilance et permettent de réguler la satiété dans la journée. Enfin, il est bon de reprendre une activité physique – au minimum, une heure de marche par jour. Après arrêt, vous allez retrouver rapidement un premier souffle. La reprise d’un sport devra être progressive. Après 40-45 ans, un bilan cardiovasculaire préalable est conseillé.
The post Bon à savoir: Arrêter de fumer fait grossir ? Pas forcément ! appeared first on .
L’inspecteur régional de la police, Rabah Mahmoud, a animé, en présence du directeur de la Sûreté de la wilaya d’Alger, Mohamed Bettache, une conférence de presse à la caserne du groupe d’intervention basée à Kouba pour présenter les activités des services de police de 11 wilayas du Centre du pays (Aïn Defla, Chlef, Médéa, Tipasa, Blida, M’sila, Djelfa, Alger, Boumerdès, Tizi-Ouzou et Bouira).
Le conférencier a entamé son intervention sur ce bilan par la rubrique de la criminalité et la délinquance du ressort de la police judiciaire. En termes du nombre d’affaires, cette criminalité a enregistré, l’année passée, sur un territoire de 81 814 km2 — des espaces urbains — où résident, selon les services de police — 12 988 197 personnes, une augmentation de 9,77%. En effet en 2017, les éléments de la PJ (police judiciaire) de ces 11 wilayas avaient pris en charge 90 485 affaires. En 2018, ce nombre a grimpé pour atteindre 99 325 affaires.
Dans ces affaires, sont impliquées 85 849 personnes des 11 wilayas et les policiers ont résolu 69 506 dossiers (69,98%). Les affaires d’agression contre les biens d’autrui sont les plus nombreuses en 2018 (33 121 affaires). Elles sont suivies des agressions contre les personnes (27 964), trafic de drogue (21 956), atteintes aux deniers publics (10 338), crimes économiques (3 977), atteintes aux mœurs (1 266) et
1 063 cas de cybercriminalité. Si l’on décortique le chapitre portant atteintes aux personnes – le cœur de la violence urbaine — l’on constate que les coups et blessures volontaires (CBV) sont en tête avec 14 632 affaires enregistrées, les menaces (9 384) et les homicides volontaires (44).
Au niveau de la criminalité économique, le bilan de l’inspecteur général enregistre une augmentation en 2018 (3 977) par rapport à 2017 (3 558) de 11,78%. Alger
(1 730 affaires), Blida (660), Tizi-Ouzou (389), Chlef (347) et Bouira (211) se partagent la mauvaise réputation. On peut parier sur d’autres augmentations dans les années à venir car le climat politique délétère et l’affaiblissement des institutions constituent le terrain où prospère cette criminalité.
Le trafic de drogue : l’explosion
Concrètement, le bilan de l’inspecteur de la police régionale allume les clignotants disant que le trafic de drogue connaît d’une part une forte augmentation et d’autre part, et c’est plus grave, qu’il s’installe dans le durée. Les policiers ont, en effet, enregistré une augmentation de 2017 à 2018 (plus de 49,18%). En chiffres, cela nous donne 14 476 affaires traitées en 2017 et ce chiffre fait un bond pour atteindre 21 956 affaires dans lesquelles sont impliquées 24 808 personnes. 802,42 kg de kif ont été saisis.
La crise économique qui sera de plus en plus sévère contre les franges fragiles de la population, le chômage en augmentation, la promiscuité, les pressions sociales, les injustices et les frustrations politiques et sociales n’arrangent rien. Inéluctablement, ces problèmes vont pousser cette criminalité.
Le terrorisme routier : la continuité
S’il y a bien une véritable continuité en Algérie, c’est bien celle qui fauche quotidiennement des vies humaines sur nos routes. La police des 11 wilayas citées plus haut, ont en effet, enregistré 192 morts dans les zones urbaines en 2018. Ce sinistre nombre était de 191 en 2017. Fort heureusement, l’on a enregistré une légère baisse sur le nombre de blessés. Ils étaient
5 354 en 2017 pour 4 540 accidents et ont reculé jusqu’à 5 078 blessés pour 4 377 accidents. Toujours dans le cadre de la délinquance routière, les policiers ont recensé en 2017, 24 997 délits. En 2018, ce nombre a fortement augmenté dans ces 11 wilayas pour atteindre 31 093 cas.
Violence urbaine et violence dans les stades : l’escalade
Dans le chapitre de la violence découlant des protestations et des émeutes, le nombre de ces manifestations a diminué. Il était de
1 714 en 2017 et est descendu jusqu’à 1 294 manifestations et émeutes. Par contre, il y a eu plus de violence. Et pour cause, si pour 1 714 manifestations survenues en 2017, les services de l’ordre ont déploré 14 policiers blessés et 568 citoyens dont 37 mineurs arrêtés, ce n’est pas le cas en 2018. Ils ont en effet recensé 154 dont 88 policiers blessés et 1 478 citoyens dont 26 mineurs arrêtés.
Les policiers font également face à un autre phénomène de violence en nette augmentation. Il s’agit de la violence dans les stades. Pour 2018, le bilan fait ressortir que les policiers antiémeutes sont intervenus 41 fois, souvent pour séparer les supporters de deux équipes. Au cours de leurs interventions, ils ont arrêté 1 005 personnes dont 48 mineurs. Durant ces 41 interventions, 38 personnes (dont 28 policiers) ont été blessées.
Questionné au sujet des policiers accusés de violence sur des personnes, l’inspecteur général a affirmé que les décisions administratives ne peuvent être prises contre ces agents fautifs de l’ordre qu’une fois la justice ait rendu son verdict dans les procès intentés contre ces fonctionnaires. Ce qui est normal. En fait, cette forme de violence va certainement en augmentation.
Plusieurs paramètres sportifs et sociaux en sont le terreau. D’une part, l’opinion publique en général et l’opinion sportive particulièrement observent avec indignation les magouilles qui régissent le football algérien et d’autre part, les maux sociaux et les difficultés économiques et sociales des jeunes mettent ces derniers dans une situation de colère. Les frustrations collectives sont difficiles à contenir.
Abachi L.
The post Sécurité dans 11 wilayas du centre du pays: Attention au trafic de drogue et à la violence urbaine ! appeared first on .
Selon une nouvelle étude publiée mercredi par le comparateur britannique Comparitech, l’Algérie serait un bonnet d’âne en terme de Cyber-sécurité !
L’étude, qui se base sur le Global Cybersecurity Index (GCI) de l’Union internationale des télécommunications, concerne 60 pays répartis sur tous les continents du globe, et les classe dans un ordre croissant (du pire au meilleur) grâce à 7 critères comme le pourcentage des mobiles infectés par des logiciels malveillants, ou encore nombre d’attaques de logiciels malveillants financiers…
Avec un score de 55,7 points sur 100, l’Algérie arrive à la première place, suivie de l’Indonésie (54, 8 points) et le Vietnam (52,4). De ce fait, notre pays est le pays vulnérable en matière de cybersécurité.
Sur le plan régional, les voisins surpassent largement l’Algérie. En effet, selon le rapport, le Maroc est 25e et la Tunisie 27e.
Mondialement, le Japon (60e), la France (59e) et le Canada (58e), sont considérés comme etant les pays les plus sécurisés par le rapport.
The post Cyber-sécurité: l’Algérie mauvaise élève appeared first on .
Le PRA (Parti du renouveau algérien) joint sa voix à la symphonie du cinquième mandat.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – Ce fut, hier mercredi, à l’occasion d’une session ordinaire du conseil national du parti tenue à l’hôtel Mouflon d’Or, sur les hauteurs de la capitale.
Une session pliée en un quart de tour puisque levée en un peu moins d’une heure, et dont l’entame a accusé un retard d’une heure par rapport à l’horaire convenu. Un retard en raison de l’arrivée tardive des conclavistes, pour la plupart venus de Médéa, wilaya d’origine du secrétaire général du PRA. Mais pas que cela puisqu’il fallait aussi attendre l’arrivée des chefs des partis de l’Alliance présidentielle. Sauf que ni Ahmed Ouyahia ni Moad Bouchareb ni Amara Benyounès n’étaient du rendez-vous puisque seul Amar Ghoul s’est manifesté, volant même la vedette avec, notamment, une longue séance de prise de photos et de selfies avec lui.
A tel point, d’ailleurs, que l’on a cru à une activité organique de TAJ, parti que préside l’ancien ministre qui a discouru plus longuement que le secrétaire général du PRA. Dans son allocution, Kamel Bensalem a repris le même argumentaire que ses pairs de l’allégeance pour appeler le président de la République à briguer un cinquième mandat de suite. Consolidation des acquis, nécessité de réformes politiques ou encore le contexte national, régional et international plaident, selon lui, pour la continuité, rappelant dans la foulée que son parti a été parmi les tout premiers à faire sien l’appel, en août dernier, du président de la République pour la constitution d’un front interne solide.
Il faut noter que la résolution portant appel au président de la République de candidater lors du scrutin prévu le 18 avril prochain n’a même pas été proposée à l’approbation de la soixantaine de présents dont une majorité d’adolescents et de vieux.
M. K.
The post Appel à un 5e mandat: Le PRA joint sa voix appeared first on .
Après avoir bouclé la phase aller mardi 5 février avec le déroulement de la 15e journée, le championnat de la division nationale 1, messieurs, observe une trêve de dix jours. La 16e journée est ainsi programmée pour vendredi 15 février, la 16e pour mardi 19 et la 17e journée pour samedi 23 février.
Les quarts de finale de la Coupe d’Algérie sont prévus vendredi 1er mars. La commission des compétitions de la Fédération algérienne de basket-ball (FABB) a, par ailleurs, décidé d’arrêter la compétition durant la période électorale de l’élection présidentielle du 18 avril. Le championnat devrait s’arrêter vendredi 29 mars avant de reprendre samedi 27 avril, soit près d’un mois d’arrêt.
Stage de l’EN du 9 au 13 février à Alger
Profitant de la trêve de 10 jours du championnat de la division nationale 1, la direction technique nationale a programmé un stage d’une semaine pour la sélection nationale séniors qui aura lieu à l’hôtel Beau-Fayet, ouest d’Alger, pour des entraînements à la salle de Staouéli. Un 3e regroupement sous la houlette de l’entraîneur national Mohamed Yahya et son assistant Saïd Didi.
Un stage qui regroupe les joueurs locaux. Outre les 15 joueurs issus du championnat national retenus, la DTN a fait appel à quatre éléments évoluant à l’étranger à savoir Ammour Kamal (Andrézieux, France), Ghazzoul Touhami (Arabie Saoudite), Bernaoui Mounir (Saint-Chamond, France) et Tahraoui Djamel (Allemagne).
Ah. A.
The post Basket-ball / Après avoir bouclé la phase aller: Trêve de dix jours pour la division nationale 1 appeared first on .
Le leader du championnat de Ligue 2 Mobilis le NC Magra accueillera l’un de ses deux dauphins l’ASO Chlef dans un choc qui s’annonce palpitant et indécis pour le compte de la 21e journée prévue vendredi et samedi, alors que dans le bas du classement, deux duels directs pour le maintien sont au programme : USM El Harrach-ASM Oran et MC Saïda-RC Kouba.
Le promu NC Magra, surprenant premier du championnat et qui reste sur une courbe ascendante tentera de confirmer à l’occasion de la réception de l’ASO pour creuser l’écart sur son adversaire, mal en point depuis l’entame de la phase «retour». Une autre affiche du haut du tableau opposera le MC El-Eulma (5e) et le RC Relizane (4e), avec la possibilité pour chacun d’entre eux de monter sur le podium en cas de victoire. Le WA Tlemcen qui a retrouvé le podium la semaine dernière après son succès contre l’USMH, effectuera un périlleux déplacement à Mostaganem pour croiser le fer avec l’ESM, un adversaire difficile à manier sur son terrain.
Les débats s’annoncent tout aussi intéressants dans le bas du tableau, particulièrement entre l’USM El-Harrach et l’ASM Oran : deux mal classés qui s’affrontent dans un duel direct pour le maintien. Un match capital pour chacun de ces deux clubs, respectivement 13e et 14e au classement général et qui, probablement, n’auront aucun droit à l’erreur, surtout que l’actuel 11e, la JSM Skikda les devance déjà de six points. La JSMS recevra l’USM Annaba dans son antre du 20-Août-1955, au moment où les deux autres mal-classés, le MC Saïda et le RC Kouba s’affrontent dans un autre duel direct pour le maintien au stade du 13-Avril-1958.
Un match couperet, là-encore, où le faux-pas sera interdit, au risque de voir le perdant sombrer de manière irréversible dans les abysses du classement. De son côté, la lanterne rouge USM Blida, qui compte dix points de retard sur le premier non-relégable recevra l’US Biskra (6e), avec l’objectif d’abattre ses dernières cartes dans la course au maintien. Une tâche qui s’annonce ardue, car les gars des «Ziban» restent sur une importante victoire contre l’ASO Chlef, et voudront profiter des malheurs de l’USMB pour recoller au podium.
Le dernier match de cette 21e journée mettra aux prises la JSM Béjaïa et l’Amel Bou-Saâda, deux clubs du milieu de tableau, qui semblent errer dans un exercice où le maintien demeure un objectif.
The post Ligue 2 Mobilis (21e journée): NC Magra-ASO Chlef à l’affiche appeared first on .
Football
Ligue 1 Mobilis (21e journée)
Vendredi 8 février
(16h) : MCO-Paradou AC
(17h) : CSC-AS Aïn M’lila.
Samedi 9 février
(15h) : OM-CR Belouizdad
(17h45) : DRBT-ES Sétif
(17h45) : JS Kabylie-MC Alger
(18h) : USMA-USM Bel-Abbès.
Lundi 1er avril
(15h) : NA Hussein Dey-MOB
(17h) : CABBA-JS Saoura.
Ligue 2 Mobilis (21e journée)
Vendredi 8 février (15h)
USM El-Harrach-ASM Oran
JSMS-USM Annaba
JSMB-A Bou-Saâda
USMB-US Biskra
NCM-ASO Chlef.
Samedi 9 février (15h)
ESM-WA Tlemcen
MCS-RC Kouba
(17h) : MCEE-RC Relizane.
Championnat amateur (20e journée)
Groupe Centre
Samedi 9 février (15h)
ES Ben Aknoun-NRB Touggourt
JS Haï Djabel-CRB Aïn Oussera
NT Souf-NARBR (à huis clos)
AR Ouargla-RC Arbaâ
WA Boufarik-ESM Koléa
IBK El Khechna-CR Béni Thour
WR M’sila-US Béni Douala
RC Boumerdès-IB Lakhdaria.
Groupe Est
Vendredi 8 février (15h)
CR Village Moussa-USM Aïn-Beïda
US Chaouia-AB Merouana
CRB Kaïs-JSD Jijel
CRB Ouled Djellal-E Collo
US Tébessa-HB Chelghoum Laïd.
Samedi 9 février (15h)
AB Chelghoum Laïd-AS Khroub
CA Batna-CRB Ain Fekroune
MO Constantine-USM Khenchela.
Groupe Ouest
Vendredi 8 février (15h)
ASB Maghnia-JSM Tiaret
CRB Dar-el-Beïda-MB Hassasna
MCB Oued Sly-OM Arzew
SCM Oran-IRB Maghnia.
Samedi 9 février (15h)
US Remchi-SA Mohammadia
CRB Ben-Badis-SKAF Khemis
GC Mascara-USMM Hadjout
RCB Oued R’hiou-IRB El-Kerma.
Interrégions (19e journée)
Groupe Est
Vendredi 8 février (15h)
ESB Besbès-ES Bouakeul
CRB Aïn Yagout-WM Tébessa
NRB Grarem-CRB Dréan
CB Mila-NASR El-Fedjoudj
MB Rouissat-MSPB (à huis clos)
O Magrane-IRB Robbah
NRC Boudjelbana-IRB El-Hadjar
ES Guelma-Hamra Annaba.
Groupe Centre-Est
Vendredi 8 février (15h)
Hydra AC-US Oued Amizour
JS Azazga-US Souf
MB Bouira-ASC Ouled Zouaï
Samedi 9 février (14h)
DRB Baraki-MB Hassi Messaoud
USM Sétif-IRB Berhoum
FC Bir-el-Arch-SA Sétif
AS Bordj Ghedir-OM Ruisseau
IRB Aïn Lahdjar-NRB Teleghma.
Groupe Ouest
Vendredi 8 février (15h)
JS Sig-ICS Tlemcen
IS Tighennif-USM Oran
IRB Aïn Hadjar-MB Sidi-Chahmi
WA Mostaganem-ZSA Témouchent
CRC Tiaret-CRB Hennaya
CSR Tindouf-CRB Sfisef (huis clos).
Samedi 9 février (15h)
JS Emir Abdelkader-CRM Bouguirat
CR Témouchent-CRB Adrar.
Centre-Ouest
Vendredi 8 février (15h)
IRB Boumedfaâ-FCB Frenda
RA Aïn Defla-IRB Laghouat
IRB Aflou-ORB Oued Fodda
E Sour Ghozlane-SC Aïn Defla
CRB Sendjas-ARB Ghriss
ES Berrouaghia-USB Tissemsilt
CRB Boukadir-JSM Chéraga
CRB Froha-CR Zaouia
Angleterre (26e journée)
Samedi 9 février (16h)
Fulham-Man United (13h30)
Watford-Everton
Southampton-Cardiff City
Crystal Palace-West Ham
Huddersfield-Arsenal
Liverpool-Bournemouth
Brighton-Burnley (18h30).
Dimanche 10 février
Tottenham-Leicester (14h30)
Manchester City-Chelsea (17h).
Lundi 11 février (21h)
Wolverhampton-Newcastle.
Allemagne (21e journée)
Vendredi 8 février (20h30)
Mayence-Bayer Leverkusen.
Samedi 9 février (15h30)
Dortmund-Hoffenheim
Mönchengladbach-Hertha Berlin
Hanovre-Nuremberg
Fribourg-Wolfsburg
RB Leipzig-Eintracht Francfort
Bayern Munich-Schalke 04 (18h30).
Dimanche 10 février
Werder Brême-Augsbourg (15h30)
Fortuna Düsseldorf-Stuttgart (18h).
Italie (23e journée)
Jeudi 7 février (20h30)
Lazio Rome-Empoli.
Vendredi 8 février (20h30)
Chievo Vérone-AS Rome.
Samedi 9 février
Fiorentina-Naples (18h)
Parme-Inter Milan (20h30).
Dimanche 10 février (15h)
Bologne-Genoa (12h30)
Atalanta Bergame-SPAL
Sampdoria Gênes-Frosinone
Torino-Udinese
Sassuolo-Juventus Turin (18h)
AC Milan-Cagliari (20h30).
France (24e journée)
Vendredi 8 février (20h45)
Dijon-Marseille.
Samedi 9 février (20h)
Paris SG-Bordeaux (17h)
Nantes-Nîmes
Amiens-Caen
Strasbourg-Angers.
Dimanche 10 février
Montpellier-Monaco (15h)
Toulouse-Reims (15h)
Guingamp-Lille (17h)
Rennes-Saint-Etienne (17h)
Nice-Lyon (21h).
Espagne (23e journée)
Vendredi 8 février (21h)
Valladolid-Villarreal.
Samedi 9 février
Getafe-Celta Vigo (13h)
Atlético Madrid-Real Madrid (16h15)
Espanyol-Rayo Vallecano (18h30)
Gérone-Huesca (20h45).
Dimanche 10 février
Leganés-Betis Séville (12h)
Valence-Real Sociedad (16h15)
Séville FC-Eibar (18h30)
Bilbao-FC Barcelone (20h45).
Lundi 11 février (21h)
Alavés-Levante.
Volley-ball
Coupe d’Algérie seniors-dames (8es de finale)
Vendredi 8 février
USP Akbou-ASW Béjaïa (10h)
WA Aïn Taya-RC Béjaïa (10h)
JSN Hamri-ATMA Aïn Türck (11h)
NC Béjaïa-Seddouk VB (15h)
MB Béjaïa-GS Pétroliers (15h)
USF Dellys-CRR Toudja (15h).
Samedi 9 février
WA Béjaïa-OS Tichy (14h)
NR Chlef-Hassi Messaoud (15h).
Superdivision seniors-messieurs (9e journée)
Vendredi 8 février
Poule Centre-Ouest
O El Kseur-MB Béjaïa (16h)
WA Tlemcen-PO Chlef (17h)
RC M’sila-NC Béjaïa (17h)
Exempt : GS Pétroliers.
Poule Centre-Est
JM Batna-NRBBA (10h)
OMK El Milia-EF Aïn Azel (16h)
ES Tadjenant-ES Sétif (16h)
Exempte : JSC Ouled Adouan.
Handball
Division Excellence seniors-dames (10e journée)
Jeudi 7 février
CHB Bachdjarah-NRFC (15h)
GS Pétroliers-FC Boumerdès (17h).
Vendredi 8 février (11h)
HBC El-Biar-CR Didouche Mourad
Hawa Saïda-ASFAK Constantine
JS Awzellaguen-US Akbou.
Basket-ball
Division nationale 1 seniors-dames (10e journée)
Vendredi 8 février (15h)
USA Batna-RCBBA
GS Pétroliers-MT Sétif
DRNB Staouéli-H-Dey Marines
JF Kouba-OC Alger.
The post Votre week-end sportif appeared first on .
Soumia Lalaoui
La direction générale de la Sûreté nationale a dressé, hier le bilan annuel de ses activités dans les wilayas du centre durant l’année 2018. Le trafic de drogue a enregistré une hausse remarquable de 49,18%.Intervenant lors d’une conférence d’information animée hier au siège du Groupe de réserve et d’intervention de la Sûreté nationale à kouba, pour présenter le bilan annuel des activités du service de la sûreté des wilayas du centre durant l’année 2018, a révélé le bilan annuel de l’année 2018. Mahmoud Rabah, contrôleur de police, inspecteur régional de la police du Centre, a révélé que durant l’année 2018, les services de la sûreté nationale ont traité 21 492, affirmant la saisie de 802,42 kilogrammes de cannabis et 552 512 comprimés psychotropes. Contre 14 476 affaires traitées en 2017 et la saisie de 379,58 kilogrammes de cannabis et 235 814 comprimés psychotropes.
Soit une hausse de (49,18%). «Les services de la Sûreté nationale de la capitale ont enregistré 99 325 affaires durant l’année 2018, dont 69 012 ont été traitées, soit une moyenne de 69,98%, portant sur des infractions contre les biens, les droits des personnes, la cybercriminalité et la drogue», a-t-il détaillé. Le conférencier a fait savoir que dans le cadre de la lutte contre la criminalité des droits communs, les services de la Sureté nationale ont traité 23 473 affaires en 2018, contre 28 793 affaires traités en 2017, soit une baisse de 2,88%. Mahmoud Rabah, Contrôleur de police, inspecteur régional de la police du Centre a confirmé que le taux de la couverture de sécurité dans la capitale a atteint 96,62%.
Abordant le volet de la sécurité routière, les activités des services de sécurité publique, l’inspecteur régional de la police du centre a déclaré que la sûreté de la capitale a enregistré 4 377 accidents de la route au niveau urbain, causant la mort de 192 personnes et 5 078 blessés. En ce qui concerne les infractions liées à l’environnement et à l’urbanisation, les services de la Sûreté nationale du centre ont enregistré 20 450 infractions, dont 15 789 infractions de l’environnement et 4 661 infractions liées à la construction. Il a noté que les services de la sûreté nationale ont renforcé leurs moyens de répressions contre les chauffards en multipliant les dispositifs sur le terrain, en occupant tous les axes routiers et en dotant les brigades spécialisées en moyens innovants dont les radars de dernières générations sans oublier le dispositif de véhicules banalisés pour la surveillance des comportements dangereux de certains conducteurs.
Il convient de rappeler que La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) avait lancé, le mois passé une campagne nationale de sensibilisation aux dangers des psychotropes animée par des cadres spécialisés au profit des élèves et stagiaires dans les centres de formation professionnelle et des usagers des clubs internet, maisons de jeunes et espaces publics. Cette campagne qui avait pour objectif de «sensibiliser les jeunes aux dangers des psychotropes, en partenariat avec les associations actives, la société civile et les médias, pour les impliquer dans la prévention contre la consommation des drogues et des psychotropes» a été lancée à travers 48 wilayas.
The post Une hausse de 49,18% du trafic de drogue appeared first on .
Les enseignants et les travailleurs de l’Université de Béjaïa ont observé, hier dans la matinée, un rassemblement devant le rectorat du campus d’Aboudaou en signe de protestation contre «le blocage des salaires de cette nouvelle année 2019».
«Les salaires sont bloqués alors que nous sommes déjà à la première semaine de février sachant que les derniers salaires ont été versés vers le 15 décembre dernier», a indiqué le Cnes de Béjaïa dans une déclaration.
Le même syndicat déplore que le même scénario se répète depuis des années «sans aucune explication convaincante».
«Est-il concevable de réajuster les rappels et autres indemnités tout en privant 3 000 employés et pères de famille de leurs salaires au point que des dizaines, pour ne pas dire des centaines, n’ont pas de quoi nourrir leurs enfants ?», s’indigne le Cnes, estimant que cette situation «incombe totalement à l’incompétence et à la mauvaise gestion devenues des marques de fabrique de l’administration de l’Université de Béjaïa».
A. K.
The post Béjaïa: Protestation contre le retard dans le versement des salaires à l’université appeared first on .
Lors de sa visite de travail mardi dans la wilaya de Médéa, Mustapha Guitouni, ministre de l’Energie, a procédé à la mise en service du réseau de gaz naturel en faveur de près de 70 ménages dans la commune de Aïn Boucif.
Cette aide vient corroborer la démarche initiée par les pouvoirs publics visant à encourager les populations à repeupler leurs terres désertées lors de la décennie noire.
Il est à signaler dans ce sens, et d’après M. Guitouni, que le taux de pénétration de la wilaya en énergie gazière et électrique a permis un taux de repopulation avoisinant les 80% de localités abandonnées pour cause de terrorisme. On rappellera également que Médéa a réalisé de gros exploits en matière de raccordement au réseau de gaz naturel et d’électricité notamment dans les hameaux et les zones enclavées dans les limites de la faisabilité bien entendu.
D’ailleurs et dans ce sens, le ministre a affiché son satisfecit et a loué les efforts consentis par les responsables locaux et tous les opérateurs à l’origine de ce rendement. Ainsi, un grand nombre d’habitants dont ceux de certaines zones éparses et enclavées passent aujourd’hui l’hiver au chaud. Cependant, l’opération se poursuit afin de passer à un taux de couverture de l’ordre de 75% aujourd’hui à celui de 90% à l’issue de l’année en cours ; ce qui n’est pas très évident vu le relief accidenté de la région.
En cette même occasion, Mustapha Guitouni a donné le coup de starter pour le mise en service du réseau de distribution de gaz dans la commune de Tlat Douaier. Ainsi, 1 000 foyers seront alimentés par cette énergie après de longues années de souffrance et de contraintes et pourront, désormais, tourner le dos à la rudesse de l’hiver qui caractérise cette région de Médéa.
M. L.
The post Gaz naturel et électricité à Médéa: Vers une couverture optimale de la région appeared first on .
Depuis le printemps dernier, au lendemain de la mise sous contrôle judiciaire du directeur de l’agence foncière de la wilaya, Ali Mansouri et sa suspension provisoire par le wali, cette institution qui est un Epic patauge dans des problèmes monstre au point où presque tous les programmes qui lui ont été confiés en terme de réalisation de logements de type LPA sont aujourd’hui soit complètement à l’arrêt, soit avancent à un rythme très lent.
Cette situation est induite avant tout par les responsables de la wilaya qui avaient, dans un premier temps, installé à la tête de cette institution, un cadre issu du cabinet du wali. Un cadre qui fut moins d’un mois plus tard, impliqué dans un scandale d’octroi d’un marché à un entrepreneur qui avait falsifié le cahier des charges. Cela s’était passé au mois de mai dernier. Suite à cette affaire, le wali Limani Mustapha, a procédé à l’installation d’un autre cadre mais cette fois-ci, un cadre issu de l’agence foncière. Cela tout en rappelant au cabinet, le cadre qui était derrière le scandale ; et sans qu’il soit inquiété outre mesure.
Cependant, malgré l’installation d’un cadre issu de la boite, les choses ne sont jamais allées au mieux au niveau de l’agence foncière de la wilaya puisque, semaines après semaines, puis après des mois, les programmes qui étaient en cours au niveau de l’agence accusaient des retards considérables, quand ils ne sont pas tout simplement à l’arrêt. D’après nos informations, plusieurs entrepreneurs et autres bureaux d’études, ont arrêté de travailler avec l’agence suite à des problèmes que celle-ci vit et surtout aux retards dans les payements des situations. Et comme il fallait s’y attendre, l’arrêt de ces programmes, a poussé les souscripteurs aux rassemblements périodiques devant le siège de l’agence d’abord, et le siège de la wilaya ensuite, mais sans aucun résultat. Aussi, la colère a été telle que certains souscripteurs avaient carrément menacé début décembre dernier, l’actuel directeur de l’agence de représailles, au cas où les projets en cours ne redémarreraient pas dans les plus brefs délais.
Fin décembre, lors d’un rassemblement devant le siège de l’agence, les souscripteurs, toujours eux, ont récidivé et ont carrément envahi le bureau du directeur et n’ont quitté les lieux qu’après l’intervention du P/APW qui leur a promis de transmettre leurs doléances au wali. Cependant même après ces promesses, les semaines sont passées et les choses sont toujours à l’état stationnaire, c’est-à-dire, aucun projet n’a repris d’une manière satisfaisante. Et le hic dans toute cette histoire, c’est que, pendant que les choses se compliquaient au niveau de cette agence, l’ex-directeur, Ali Mansouri qui était sous contrôle judiciaire, a eu gain de cause fin novembre avec la levée de cette mise sous contrôle judiciaire après que les enquêtes diligentées par la justice concernant les soi-disant biens immobiliers qu’il aurait à l’étranger, se soient révélés faux.
L’ex-directeur de l’agence foncière ne possédant aucun bien immobilier à l’étranger. Suite à cette conclusion et la décision de la justice de lever la mise sous contrôle judiciaire, d’aucuns pensaient qu’avec tous les problèmes que vivait cette agence ; le wali allait immédiatement réhabiliter M. Ali Mansouri dans ses fonctions. Mais le wali n’a rien fait. Et pour comprendre cette position du wali, il a fallu attendre la dernière session de l’APW tenue fin janvier dernier, suite à son interpellation sur le sujet par l’élu RCD, Meziane Chabane, concernant la débandade qui règne au sein de cette agence et le défilé de directeurs, ainsi que les retards dans les réalisations des logements qui lui ont été allouées par la wilaya, et dont le nombre dépasse les 1 500 logements LPA à l’échelle de la wilaya.
A cette question, le wali dira qu’il n’a rien contre ce directeur de l’agence qui a très bien accompli sa mission, et qu’il attend seulement la décision finale de la justice pour le réintégrer dans son poste. Ainsi donc, le wali qui connaît très bien la situation catastrophique de l’agence foncière depuis la suspension de l’ex-directeur Ali Mansouri, même après la levée du contrôle judiciaire, attend la décision finale de la justice. Et sachant que cette décision pourra prendre des mois ou des années, puisque la justice ne s’est jamais empressée pour traiter un dossier surtout quand le dossier est vide ; l’agence foncière de la wilaya de Bouira continuera et pour longtemps à vivre la situation d’anarchie.
Autant dire que l’âge d’or de l’agence foncière de la wilaya de Bouira qu’elle a connu sous le règne d’Ali Mansouri qui a réussi pendant les 13 années passées à sa tête, des centaines de logements, des dizaines d’aménagements urbains, ainsi que la fameuse promotion immobilière Benabdellah qui est prise comme exemple à l’échelle nationale et pour laquelle le directeur Ali Mansouri fut remercié par l’actuel ministre de l’habitat, de la construction et de la ville ; l’agence foncière qui a dégagé des bénéfices pour l’Etat en atteignant plus de 400 milliards alors que lors de sa prise de fonctions en 2005, l’agence foncière était déficitaire, cet âge d’or là est définitivement clos. A moins que…
Y. Y.
The post Alors que la majorité des projets sont à l’arrêt: L’agence foncière de Bouira patauge dans des problèmes appeared first on .
Peut-on dire que les fortes pluies qui se sont abattues sur la région ont gonflé les ressources en eau à Guelma ? Quel impact sur le barrage de Bouhamdène ? le directeur de wilaya des ressources en eau (DRE) S. Kechoud, se montre mesuré dans l’évaluation de l’impact des pluies sur le niveau de cet ouvrage réalisé en 1980, considéré comme le plus important de Guelma, à laquelle il fournit pas moins de 20 millions de m3 d’eau potable.
Un mois de février particulièrement arrosé que vient de traverser la région de Guelma. Même si la prudence est de mise dans ce domaine, «les deux années à venir s’annoncent plus sereines en matière d’hydrologie, de quoi espérer des étés moins préoccupants que l’an dernier. Plusieurs communes de la wilaya avaient été concernées par des restrictions d’eau en période de chaleur des dernières années. Le niveau du barrage de Bouhamdène est remonté, annonce le premier responsable local du secteur de l’hydraulique. Guelma était dans le rouge ces deux dernières années, mais ces niveaux ont été très influencés par les dernières précipitations, mais il faut garder des bonnes pratiques dans notre utilisation de l’eau», prévient le DRE qui a souligné que les dernières pluies ont apporté des dizaines de millions de mètres cubes d’eau à cet ouvrage.
Il dresse un bilan «Le barrage de Bouhamdène est rempli à 54%. La quantité d’eau collectée au niveau de ce plus grand barrage de la wilaya, dont la capacité maximale est de 185 millions de m3, a atteint 55 millions de m3 grâce aux dernières averses».
Ce même responsable précise que ce barrage alimente les conductions d’eau de la ville de Guelma et 5 autres communes à savoir, Ben Djerrah, Hammam Debagh, Houari Boumediene, Medjez-Amar, et Roknia.
Le barrage de Bouhamdène, présenté comme révélateur en matière d’hydrologie dans la wilaya de Guelma, n’a jamais été aussi rempli : plus de 100 millions de mètres cubes.
«Nous entamons l’année avec les apports en eau les plus importants depuis les remplissages consécutifs à 100% en 2011 et 2012», déclare le DRE de Guelma.
Noureddine Guergour
The post Guelma: Les réserves du barrage de Bouhamdène passent à 100 millions de m3 appeared first on .
ALGER – Les citoyens ont la possibilité d’introduire des recours à partir de jeudi, à l’issue de la clôture de l’opération de révision des listes électorales qui s’est déroulée du 23 janvier au 6 février, en prévision de l’élection présidentielle prévue le 18 avril 2019.
La période des recours qui s’étalera jusqu’au lundi, permettra aux citoyens de formuler des réclamations en inscription ou en radiation sur les listes électorales.
La nouvelle loi relative au régime électoral souligne l’obligation de procéder à l’affichage d’un avis d’ouverture et de clôture de la période de révision des listes électorales et offre aux citoyens, omis sur la liste électorale, la possibilité de présenter leurs réclamations au président de la commission administrative électorale, dans les formes et délais prévus par la loi.
« Tout citoyen inscrit sur l’une des listes de la circonscription électorale peut faire une réclamation justifiée pour la radiation d’une personne indûment inscrite ou l’inscription d’une personne omise dans la même circonscription, dans les formes et délais prévus par la présente loi organique », stipule l’article 19 de cette loi organique.
Les réclamations en inscription ou en radiation, doivent être formulées dans les 10 jours qui suivent l’affichage de l’avis de clôture de l’opération de révision des listes électorales et ce délai est ramené à 5 jours en cas de révision à titre exceptionnel, prévoit la nouvelle loi.
Les réclamations doivent être soumises à la commission administrative électorale, qui doit statuer par décision dans un délai ne dépassant pas 3 jours.
Selon le régime électoral adopté en juin 2016, les intéressés peuvent formuler un recours dans les 5 jours ouvrables à partir de la date de notification de la décision.
A défaut de notification, le recours peut être introduit dans un délai de 8 jours ouvrables, à compter de la date de la réclamation.
« Ce recours, formé par simple déclaration au greffe, est porté devant le tribunal territorialement compétent ou le tribunal d’Alger pour la communauté algérienne établie à l’étranger qui statue par jugement dans un délai maximal de 5 jours sans frais de procédure et sur simple notification faite 3 jours à l’avance à toutes les parties concernées. Le jugement du tribunal n’est susceptible d’aucune voie de recours », précise la nouvelle loi.
L’opération de révision des listes électorales qui doit permettre aux jeunes âgés de 18 ans et aux personnes ayant changé de résidence de s’inscrire dans leur nouvelle commune de résidence, a été lancée conformément aux dispositions de la loi organique n 16-10 relative au régime électoral, et la signature du décret présidentiel portant convocation du corps électoral pour le 18 avril 2019 en vue de l’élection du Président de la République.
Au total 22.883.772 électeurs étaient inscrits sur les listes électorales lors des élections locales du 23 novembre 2017.
The post Présidentielle : début des recours suite à la clôture de la révision électorale appeared first on .
ALGER – La générale de la pièce de théâtre, « Une tempête », une réflexion sur le concept de race, sur le pouvoir, et la décolonisation, du célèbre écrivain Aimé Césaire a été présentée, mercredi à Alger, par « La troupe du Festin », devant un public très peu nombreux.
Accueilli au Théâtre national Mahieddine-Bachtarzi (TNA), le spectacle a été mis en scène par Afifa Bererhi et Lionel Longubardo sur un texte tiré de « La tempête », œuvre originale de William Shakespeare, réécrite et réadaptée en 1969 à la période « post-coloniale et anticolonialiste » par Aimé Césaire (1913-2008), « fondateur et représentant majeur », dès les années 1930, du mouvement littéraire et politique de la « Négritude » avec Léon-Gontran Damas et Léopold Sédar Senghor, entre autres.
Servie par une dizaine de comédiens amateurs, la trame a été focalisée dans sa réécriture sur les personnages de, « Prospéro », maître blanc incarnant le colonisateur et ses pratiques de déculturation et de déshumanisation, ainsi que ses deux serviteurs opprimés et soumis, « Ariel » la mulâtre, et « Caliban » l’esclave, qui, tous deux, vont proposer deux visions différentes du combat pour la liberté.
Ainsi, si Caliban, jadis propriétaire de l’île envahie par Prospéro et ses hommes, s’est résolu à mener une révolte avec ses compatriotes, rejetant sa condition d’esclave, Ariel, elle, espiègle, prône la non-violence, préférant la ruse et la sagesse à toute autre forme d’affrontement, car elle sait que son peuple est démuni de la puissance nécessaire à sa libération.
Sur un espace doté uniquement de quelques accessoires, les metteurs en scène ont choisi de miser sur la densité du texte et la direction d’acteur, faisant valoir le jeu des comédiens, qui se sont donné la réplique, 90 mn durant, dans des échanges soutenus, occupant l’ensemble de la scène.
« Nous n’avons bénéficié d’aucune subvention, d’où la difficulté de monter un décor et habiller les comédiens », a tenu à préciser Afifa Bererhi.
Foulant la scène pour la première fois pour bon nombre d’entre eux, les comédiens, Adem Ayach, Linda Bensid, Yaniss Boudjelouah, Anès Boumaaza, Merouene Ghalloussi, Sarah Guessab, Fawzi Kara, Réda Messaoud-Nacer et Zine El Abidine Mezaoui, tous universitaires et amateurs de théâtre, ont su porter le texte, soutenus par des projections vidéos, pour illustrer des flashs back reconstituant la genèse de l’histoire.
La bande son, faite de reprises choisies par l’ensemble des éléments de la troupe du Festin, et l’éclairage sombre, vertical ou latéral, ont été concluants, assurant au spectacle les atmosphères adéquates à chacune de ses scènes.
« La troupe du Festin » a déjà monté durant son année de création, en 2018 par Afifa Bererhi, « Don Juan » pièce de Molière présentée au Tna avec quelques uns des comédiens qui récidivent cette année avec « Une tempête », un spectacle intellectuellement contenu, et qui demande, cependant, plus de travail dans son volet biomécanique notamment.
Organisé par La troupe du Festin, en collaboration avec le TNA, la pièce de théâtre « Une tempête » est reconduite jeudi au Tna, aux mêmes horaires.
The post « Une Tempête », pièce de théâtre d’Aimé Césaire, présentée à Alger appeared first on .
Le ministre du Commerce, Saïd Djellab, qui se trouve actuellement en Allemagne, où il conduit une délégation d’une vingtaine de producteurs nationaux qui participe au Salon international des fruits et légumes « Fruits Logistica 2019″ de Berlin, affirme que les taxes applicables aux produits agricoles et agroalimentaires importés est « modifiables en tant que de besoin ».
Dans une déclaration exclusive au micro de Hakima Kamel, envoyée spéciale de la Chaine 3 de la Radio Algérienne au « Fruits Logistica 2019″ de Berlin, le ministre du Commerce affirme que « tous les opérateurs ont été consultés à travers les filières » avant de signer l’arrêté relatif à l’application d’un droit additionnel provisoire (DAP) aux produits agricoles et agroalimentaires importés. Cependant, M. Djellab rassure que l’arrêté, en question, est « souple et adaptable à la conjoncture », et annonce : « j’ai programmé de revoir les associations des filières, donc, on va les rencontrer encore pour voir si tout va bien. S’il y a des produits qui sont surtaxés ou moins taxés, on corrige ».
L’arrêté relatif au DAP, publié dans le Journal officiel (JO), prévoit une taxe à l’importation, allant de 30 à 120%, applicable à une liste de 1.000 produits finis agricoles et agroalimentaires, précédemment interdits provisoirement à l’importation.
Cette mesure de sauvegarde et de protection du marché national satisfait globalement les producteurs nationaux, qui relèvent, toutefois, certaines anomalies.
Questionné à ce sujet par Narimène Mendil, de la radio Chaine 3, le président de l’Association des producteurs algériens de boissons (APAB), Ali Hamani donne l’exemple d’un intrant « la purée de mangue » soumise, selon lui, à un droit additionnel « avec un taux de 70% ».
De son côté, le président de la Confédération des industriels et producteurs algériens (CIPA), Abdelwahab Ziani relève que, par certains aspect, l’arrêté relatif au DAP encourage les gens à l’importation. « Nous avons des adhérents qui nous disent pourquoi produire lorsque des matières premières sont taxées de 15 à 30% alors qu’on peut importer un produit fini avec 5% de droit de douane », conclut M. Ziani.
The post DAP sur les produits agricoles et agroalimentaires : « s’il y a des produits surtaxés ou moins taxés, on corrige », répond le ministre du Commerce appeared first on .
Les travaux de la 34ème session ordinaire du Conseil exécutif de l’Union africaine (UA) ont débuté jeudi à Addis-Abeba (Ethiopie) en présence du ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel.
M. Messahel dirige la délégation algérienne aux travaux de cette session de deux jours, préparatoire à la 32ème session ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UA, prévue les 10 et 11 février.
Cette réunion permettra aux ministres des Affaires étrangères des Etats membres d’examiner les rapports thématiques sur les dossiers stratégiques à l’agenda de l’organisation continentale.
Ils examineront notamment la réforme institutionnelle et le financement de l’UA, la zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF) ainsi que les rapports portant sur les activités des organes de l’UA, des sous-comités du Conseil exécutif et des comités ad hoc.
Le Conseil exécutif examinera également la note conceptuelle sur le thème de l’année 2019: « réfugiés, rapatriés et personnes déplacées : vers des solutions durables aux déplacements forcés en Afrique », en prélude à son lancement par le sommet de l’UA.
Il procèdera également au renouvellement des composantes de certains organes et comités de l’UA à savoir le Conseil de paix et de sécurité, le Comité d’experts sur les droits et le bien-être de l’enfant, la Commission sur le droit international et le conseil consultatif de l’Union sur la corruption.
Le Conseil exécutif examinera également l’ordre du jour du sommet de l’Union africaine.
The post Messahel prend part à Addis-Abeba au 34ème Conseil exécutif de l’UA appeared first on .
Plus de 135.000 enseignants ont été promus à de nouveaux grades de 2015 à 2017, a affirmé, Mohamed Chaïb Draa, conseiller au ministère de l’Education nationale, qui était jeudi matin l’Invité de la redaction de la Chaine 3 de la radio algérienne.
Pour l’année 2018, 45.000 autres enseignants seront promus, a ajouté M. Chaïb Draa, qui a précisé que le grade de professeur principal et celui de professeur formateur sont deux grades nouvellement crées
L’école de qualité passe par la qualité des enseignants, dira l’intervenant, qui précise que ces derniers sont le moteur de la réussite de la reforme. C’est pour cela, ajoutera t-il, que la formation des enseignants est un levier, très important, qui a été pris en charge depuis l’année dernière par la tutelle.
Abandonné les instituts de formations d’enseignants est une grave erreur, estime l’invité de la redaction, qui révéle que le ministère a déjà récupéré 28 de ces établissements. Cela va nous permettre, précisera t-il, de prendre en charge l’amélioration des pratiques de classes et la didactique de discipline.
Selon lui, ce n’est qu’à travers ces centres de formation qu’on peut atteindre l’objectif de l’école de qualité et amener l’enseignant à aimer son métier, qui est avant tout une vocation. « Nous avons établi un plan de formation étalé sur trois années pour des compétences définies, des contenus arrêtés et pour des méthodes choisis », a t-il dit.
Enfin, M. Chaïb Draa, a indiqué que les résultats des examens professionnels de promotion aux grades de professeur principal et professeur formateur, tenus la mi-janvier dernier, vont être proclamés cet après-midi au niveau de toutes les directions de l’éducation en afirmant que « le taux de réussite dans ce test a atteint les 78 % ».
Les enseignants admis se répartissent comme suit: 13.860 dans le primaire (43,54%), 10.284 dans le moyen (32,31%) et 7.690 dans le cycle secondaire (24,15%), a-t-il expliqué, ajoutant que les examens « se sont déroulés dans la transparence et l’équité les plus totales ».
The post Chaïb Draa : Plus de 135.000 enseignants ont été promus à de nouveaux grades depuis 2015 appeared first on .
Par Ikram GHIOUA
L’ANP place l’intérêt suprême du pays au-dessus de toute autre considération dès lors que l’Algérie est au centre de ses préoccupations et le moteur des efforts soutenus qu’elle déploie dans nombre de domaines.
La prochaine «élection présidentielle du 18 avril prochain sera une autre occasion pour l’ANP de réaffirmer ses hautes aptitudes à assurer la sécurité de tels rendez-vous nationaux et sa disponibilité à contribuer au succès de cette fête démocratique», rapporte l’édito de la revue El Djeïch dans son dernier numéro.
De tels propos interviennent dans un climat de stabilité «permettant aux électeurs, d’accomplir leur devoir envers la patrie dans des conditions normales», souligne encore l’éditorialiste, qui assure que «de par son engagement patriotique constant, s’agissant notamment de la sécurité et de la stabilité du pays, l’ANP réaffirme qu’elle ne déviera jamais des missions que la Constitution lui a assignées, comme elle a démontré en de nombreuses occasions, qu’elle était prête à consentir les sacrifices les plus lourds pour la défense des intérêts suprêmes du pays, de ses frontières et de sa souveraineté».
Ainsi, l’ANP s’engage à assurer des élections en toute sécurité et de participer à cette fête démocratique «dans un climat de stabilité que connaît notre pays, grâce à la Charte pour la paix et la Réconciliation nationale initiée par le président de la République et adoptée par le peuple», soulignait l’éditorialiste en début de son écrit. Ce rappel vaut son pesant d’or dans la mesure où il étouffe dans l’oeuf tout autre appel pour entraîner l’armée dans le jeu politique. Ce message signifie également, à qui veut comprendre, que l’ANP ne sortira point de son cadre constitutionnel, chose sur laquelle le Haut commandement de l’ANP s’est toujours promis.
A cet effet, écrit encore la revue El Djeïch «l’ANP place l’intérêt suprême du pays au-dessus de toute autre considération dès lors que l’Algérie est au centre de ses préoccupations et le moteur des efforts soutenus qu’elle déploie dans nombre de domaines», d’autant plus que le pays se prépare pour un rendez-vous très important pour élire son prochain président. La revue El Djeïch ne manquera pas en la circonstance de rappeler l’une des démarches des plus importantes qui a ramené la paix et relative à la lutte antiterroriste, tout en rappelant «la démarche suivie par l’ANP, il y a de cela six années, face au groupe terroriste qui s’était infiltré depuis nos frontières sud-est pour attaquer le complexe gazier de Tiguentourine et prendre des otages dans l’optique d’en faire une arme pour négocier et marchander leur libération».
Par cette démarche, l’ANP «a prouvé le haut niveau de professionnalisme atteint par nos forces armées et leur détermination à contrecarrer toute tentative visant à ébranler la stabilité de notre pays. Elle a également démontré que notre armée a enregistré de grandes avancées sur le plan de l’aspiration constante à l’acquisition des facteurs de force dissuasive dans le cadre du système de défense et qu’elle est au diapason de l’importance de ses missions constitutionnelles».
The post L’armée rappelle ses prérogatives à la veille de la présidentielle: « Jamais hors du cadre constitutionnel! » appeared first on .
Par Mohamed BOUFATAH
«Des dizaines de décisions liées au détournement du foncier du domaine public par des responsables et leurs rejetons ont été annulées.»
La réponse du ministre de la Justice, Tayeb Louh, aux préoccupations des députés dans le cadre du texte de loi modifiant et complétant le projet de loi 06-01 de février 2006 relatif à la prévention et la lutte contre la corruption, est faite dans un hémicycle clairsemé. A peine, une cinquantaine de députés ont pris part à la séance plénière d’hier. En réponse aux responsables du RND, sans les citer, lesquels ont dénoncé des dépassements et des dérapages, ayant émaillé les sénatoriales du 29 décembre dernier, supervisées par des magistrats, sans toutefois les citer, il a indiqué que «la moralisation de la vie publique se poursuivra sans relâche par le biais de toutes les instances compétentes. Idem, concernant la lutte contre l’achat des voix et de la conscience lors des élections, y compris lors de l’élection pour le renouvellement partiel des membres du Conseil de la Nation, qui sera combattu sans relâche par les instances compétentes, dont l’autorité judiciaire».
«Personne ne peut entraver le processus de lutte contre l’achat de consciences, aussi bien au sein du Conseil de la nation que dans toute autre élection», a-t-il estimé. Il a rappelé que «la lutte contre la corruption, entamée depuis des années, était plus intense lors des précédentes élections du Conseil de la nation, qui se sont déroulées dans le respect de la loi et en toute transparence». «Nul ne peut, par une déclaration ou une critique, entraver ces procédures de lutte contre la corruption», a-t-il appuyé. Il a indiqué ajoutant que «la volonté politique sera appliquée avec force par la voie de la justice».
«Aucune déclaration aucune assertion ni aucune autre critique ne pourra entraver cette démarche, ces mesures et cette volonté politique affichée par le président de la République et le peuple, et exécutée par la justice, jusqu’à ce que le phénomène de l’achat de consciences disparaisse totalement». a-t-il proclamé. «Tant que je serai, à la tête du ministère de la Justice(…) je ne reculerais pas d’une ligne…», a-t-il juré.
Sur sa lancée, le ministre a cité le cas de certaines communes et wilayas, dont les assemblées élues furent présidées par des personnes élues sur une liste minoritaire, voire ayant obtenu une seule voix, alors que des partis représentatifs ou ayant la majorité sont écartés». Il a rappelé dans ce contexte: «La démocratie a ses outils.» D’autre part, il a rappelé qu’il existe une forte volonté de lutter contre la corruption.
Dans ce sens, il a souligné que «concernant le pénal, la justice a toujours accompli son devoir de lutte contre la corruption par le biais des audiences publiques et même par la justice civile et administrative». En mettant en avant l’audace de la justice, il a révélé que «les tribunaux administratifs ont annulé dernièrement des dizaines de décisions liées au détournement du foncier relevant du domaine public de l’Etat par des responsables et leurs rejetons». Décidément, la polémique ou le clash contre le RND de Ahmed Ouyahia ne s’arrêtera pas.
En réponse aux critiques des députés de cette formation, à l’image de Amina Slim qui a accusé «les tribunaux algériens de complicité avec les lobbys de corruption, qui défient le gouvernement et bénéficient d’impunité», le ministre a rétorqué que «les tribunaux appartiennent à l’Algérie, à l’Etat algérien, à l’autorité judiciaire et rendent des jugements au nom du peuple algérien, ils ne sont la propriété ni du ministre ni de quiconque». Avant le ministre, le président de l’APN, Mourad Bouchareb a répondu à cette députée, en soulignant le fait que «les tribunaux n’appartiennent pas au ministre de la Justice.»
«Bouteflika est le seul auprès de qui l’on a relevé la volonté de combattre la corruption, mais chez les autres, il n’est que slogans», a indiqué Amina Slim, soulignant que «le gouvernement est obligé de réactiver toutes les instances de contrôle, dont la Cour des comptes». Elle a qualifié la corruption d’«un trou noir insondable».
The post Louh et Bouchareb aux députés: « Les tribunaux n’appartiennent pas au ministre » appeared first on .
Un étudiant d’origine, zimbabwéenne, a trouvé la mort dans la soirée du mardi 5 février 2019, devant sa résidence universitaire, et cela après avoir été poignardé par des Algériens, rapporte le site d’information Alg24.
En effet, le jeune étudiant, âgé d’à peine 22 ans a été retrouvé mort après avoir été poignardé par un individu qui lui a volé son téléphone portable et lui a asséné un coup de couteau au niveau de sa cuisse gauche.
Le jeune homme a été transporté en urgence à l’hôpital d’El-Hadjar, mais malheureusement, il a succombé à ses blessures.
Suite à cet assassinat, de nombreux étudiants étrangers d’Algérie ont organisé un mouvement de protestation pour comprendre l’horreur de cette agression qui relancera à coup sûr le débat sur les agressions à caractère raciste que subissent les étudiants subsahariens en Algérie.
Zoheir.S.
The post Colère suite à la mort d’un jeune étudiant zimbabwéen à Annaba appeared first on .