1kg de calamars surgelés, 250 g de riz, 2 tomates, 1 litre de bouillon, 2 oignons, 2 c. à soupe d’huile d’olive, laurier, safran, sel, poivre
Dans une poêle, mettre l’huile d’olive, puis les calamars à cuire à feu doux, les mettre de côté. Dans la même poêle, laisser fondre les tomates, les oignons émincés, puis ajouter le riz, le bouillon. Ajouter le safran, le laurier, les calamars, le sel et le poivre. Laisser cuire doucement 15 minutes environ.
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100 g de chocolat noir, 50 g de beurre, 3 œufs, 1 c. à soupe de sucre en poudre
Placez les petites verrines au congélateur pour qu’elles soient bien froides. Faites fondre le chocolat et le beurre au bain-marie en mélangeant doucement à la spatule puis retirez du feu.
Cassez les œufs, séparez les blancs des jaunes et incorporez les jaunes un à un au chocolat. Montez les blancs en neige avec une pincée de sel, puis ajoutez le sucre en pluie tout en continuant de battre jusqu’à ce que les blancs soient fermes et brillants.
Prélevez une cuillerée de blanc et incorporez-la, au fouet, au mélange au chocolat, puis versez celui-ci en filet sur les blancs montés en incorporant délicatement les deux préparations à la spatule. Répartissez la mousse dans les petites verrines à l’aide d’une poche à douille et placez 1 heure au moins au réfrigérateur.
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ALGER – Le Président Abdelaziz Bouteflika annonce sa candidature à la présidentielle d’avril 2019 dans un message adressé à la nation et qui sera diffusé par l’APS ce dimanche.
M.Bouteflika prévoit dans son message d’initier « dès cette année », s’il est élu, une conférence nationale inclusive qui aurait pour objectif l’élaboration d’une « plateforme politique, économique et sociale », voire « proposer un enrichissement de la Constitution ».
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La première opération d’exportation d’une cargaison de 2.000 tonnes de ciments a été effectuée samedi vers le Niger à partir de la cimenterie du groupe El-Hamel Sidi Moussa, implantée dans la commune de Timegtène (270 km à l’Est d’Adrar).
« Cette importante opération traduit les orientations de la sage politique du Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, visant la promotion et l’encouragement de l’investissement dans le Sud du pays pour impulser la cadence de développement local », a souligné le secrétaire général (SG) de la wilaya d’Adrar, Abed Belmehal, lors de la cérémonie du lancement de cette première exportation.
Le Président directeur général (P-dg) du groupe de transport de marchandises et logistique (Logitrans), Boualem Kini, a indiqué que « les services du groupe ont mobilisé d’importants moyens humains et matériels, dont 50 camions, pour acheminer régulièrement le produit vers la région d’Agades (Niger), sur une distance de 2.000 km, via le poste frontalier d’In-Guezzam, (wilaya de Tamanrasset).
L’exportation de ciments s’effectue en coordination avec ce groupe qui prend en charge le transport, en tranches de 8.000 tonnes par mois, de cette matière vers le Niger, a-t-on expliqué .
Pour sa part, le directeur régional du commerce, Djilani Seboui, a fait savoir que « cette opération d’exportation s’insère au titre de la stratégie nationale visant la promotion et la diversification des exportations hors-hydrocarbures », ajoutant que « le secteur du commerce s’emploie à accompagner les opérateurs exportateurs par le biais de diverses facilités et mesures incitatives pour soutenir le produit national qui », a-t-il dit, « demeure sollicité sur le marché extérieur, qui se traduit par les caravanes du produit algérien vers la Mauritanie ».
Le directeur de la chambre du commerce et de l’industrie « CCI-Touat », Ahmed Belalem, a, de son côté, valorisé cette démarche qui constitue « un bon qualitatif » en termes de promotion du commerce extérieur entre l’Algérie et les pays du Sahel dans le but de consolider les relations économiques entre l’Algérie et les pays africains.
Le gérant de la cimenterie de Timegtène a fait part, à ce titre, que des programmes d’exportation sont projetés en perspective vers d’autres pays africains, dont le Mali, la Mauritanie, le Burkina-Faso, à la faveur de la mise en service d’un autre train de production annuelle au niveau de cette cimenterie d’une capacité de 1,2 millions de tonnes, qui vient se greffer à l’actuel train de production d’une quantité de production similaire.
Le Président de l’Assemblée populaire communale (P/APC) de Timegtène, Hassani Cherif, a, à cette occasion, souligné que cette collectivité constitue depuis une destination de l’investissement à la faveur des énormes potentialités prometteuses qu’elle recèle notamment dans les créneaux de l’industrie, l’agriculture et le tourisme, susceptibles de propulser la dynamique de développement économique et de développement local, la création de richesses et d’emplois.
Le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi, avait déclaré que « l’Algérie ambitionnait d’augmenter ses exportations en ciment à un demi-milliard Dollars (USD), dans les cinq prochaines années ».
S’exprimant en marge de sa dernière visite dans la wilaya de Béchar, le ministre avait fait savoir que « l’excédent de la production du ciment devrait atteindre, au cours de cette future échéance, entre 10 à 15 millions de tonnes, ce qui permettra, a-t-il ajouté, de porter les exportations de cette matière à 500 millions Dollars (USD) ».
Les exportations du ciment ont atteint un (1) million de tonnes en 2018, a rappelé M. Yousfi, ajoutant qu’elles devront atteindre les deux (2) millions de tonnes en 2019.
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La coopération entre les Nations Unies et l’Union africaine est un « vecteur stratégique fondamental pour la paix, la sécurité et le développement », a déclaré le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres.
« Il y a un vent d’espoir dans le continent africain », a affirmé M. Guterres lors d’un point de presse samedi à l’issue de sa rencontre avec le président de l’Union africaine.
Selon lui, ce vent d’espoir est « à la fois lié aux initiatives conjointes de l’Union africaine (UA) et des Nations Unies (ONU), et aux initiatives de chefs d’Etats et de gouvernements africains ».
M. Guterres s’est ainsi félicité du programme de l’UA pour éliminer les armes en 2020 et de la nouvelle impulsion de la diplomatie pour la paix de l’ONU. Il a salué l’accord historique conclu cette semaine, sous l’égide de l’UA avec l’appui de l’ONU, en République Centrafricaine, ainsi que de l’accord signé par Salva Kiir et Riek Machar au Soudan du Sud.
Il s’est également félicité de l’initiative prise par le nouveau Premier ministre éthiopien qui a proclamé la paix entre l’Ethiopie et l’Erythrée, des relations entre l’Erythrée et la Somalie et des rapports entre Djibouti et l’Erythrée.
Le chef de l’ONU a signalé que les deux organisations avaient « complètement aligné » leurs agendas de développement.
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Plus de 500 déserteurs de l’armée malienne, sur le millier qui avaient rejoint en 2012 les rangs de la rébellion dans le nord du pays, ont répondu positivement à un appel de rejoindre l’armée, a annoncé samedi un responsable de la mise en œuvre du processus de paix.
« Aujourd’hui, sur un millier de déserteurs, 538 ont répondu physiquement présents », a indiqué samedi Zahabi Ould Sidy Mohamed, président de la Commission nationale Désarmement, démobilisation et réinsertion (DDR), un processus né de l’accord de paix de 2015.
« Ils ont rallié les localités indiquées. C’est une bonne chose pour le processus du DDR et pour la paix », a-t-il ajouté, interrogé par l’AFP.
Mi-janvier, trois ministères – Cohésion sociale, Défense, Sécurité – avaient « invité les militaires anciennement membres des Forces armées et de sécurité à se faire enregistrer » auprès des autorités militaires les plus proches de leur lieu de résidence.
« Certains de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) ont répondu à l’appel. Et d’autres militaires qui sont encore tapis dans les groupes armés ont déjà annoncé qu’ils arrivaient. C’est vraiment très bon signe pour le processus », a estimé Zahabi Ould Sidy Mohamed.
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Les travaux de la 32ème session du Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine (UA) ont débuté, dimanche à Addis-Abeba, pour procéder à l’examen et l’adoption de plusieurs rapports thématiques sur des dossiers stratégiques de l’Union.
Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, représente le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à ce sommet dont le thème est : « Réfugiés, rapatriés et personnes déplacées : vers des solutions durables aux déplacements forcés en Afrique ».
Les pays africains sont appelés à agir « plus efficacement » sur les conflits et crises dont l’éclatement et la persistance sont considérés comme la cause première des déplacements forcés.
L’Algérie présentera, pour sa part, un rapport du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, sur la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent en Afrique. « Le rapport du président Bouteflika, qui avait été désigné par ses pairs comme champion compte tenu de l’expérience de l’Algérie en matière de lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent, comportera certainement des recommandations qui feront l’objet d’une décision du sommet », avait indiqué M. Messahel.
Ce rapport figure parmi les plus importants dossiers inscrits au 32ème sommet de l’Union, qui verra aussi le renouvellement d’une partie de la composante du Conseil de paix et de sécurité de l’UA.
Le sommet aura aussi à examiner d’autres grands chantiers de l’UA, visant à faire aboutir les réformes entamées, notamment le renforcement de l’intégration économique en Afrique et la mise en œuvre de la zone de libre-échange continentale.
Il est aussi demandé, lors de ce sommet un soutien « énergique » afin de consolider davantage le processus de réformes institutionnelles indispensables de l’Union, visant à renforcer la capacité organisationnelle de l’UA, réaliser sa vision et sa mission et renforcer son leadership sur la scène internationale.
Il sera procédé également à l’élection du président du Bureau de la Conférence de l’UA pour l’année 2019 et du président de l’UA pour l’année 2020.
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D’importantes quantités de pluies ont été enregistrées à travers le territoire national depuis début janvier, avec des précipitations « records » dans certaines régions du pays, particulièrement l’Est, confirmant les prévisions hivernales annonçant des cumuls au-dessus de la normale, avec plus de 85% de probabilité, relève le Centre climatologique national (CCN).
Ainsi, « hormis les quantités importantes de neige enregistrées notamment dans l’Est du pays, le cumul des précipitations enregistré au niveau de Annaba en espace de trois jours au 25 janvier reste le plus important depuis octobre 1983 qui a atteint les 150 mm », a indiqué le directeur du CCN, Salah Sahabi Abed.
Il a précisé également, que « la quantité de pluie tombée en l’espace de trois heures le 24 janvier dernier, qui était de l’ordre de 33 mm, est également la plus importante durant trois jours de pluie continue depuis cette date ».
La wilaya de Skikda n’est pas en reste, puisqu’elle a connu durant la même période une quantité « avoisinant les 80 mm en trois jours, qui reste la plus importante depuis 2010. L’intensité maximale de pluie au courant de ces trois jours a également dépassé les 30 mm le 24 janvier 2019 », a-t-il relevé.
Constantine a, pour sa part, enregistré « plus de 50 mm » de pluie durant cette même période, a ajouté M. Sahabi, notant que « le ruissellement très important en zone imperméable urbanisée ajouté aux causes naturelles liées aux aléas climatiques et phénomènes météorologiques (pluie torrentielle) sont souvent à l’origine des inondations ».
Nécessité de prendre en considération les prévisions de l’ONM
Il a mis l’accent, à cet égard, sur « la nécessité de prendre en considération les prévisions de l’Office national de la météorologie (ONM), y compris les prévisions saisonnières, quotidiennes et les bulletins météorologiques spéciaux (BMS), en vue de prendre les mesures nécessaires pour faire face aux conséquences météorologiques extrêmes qui deviennent de plus en plus fréquents ».
Evoquant les intempéries qui affectent le pays, il a relevé que « ce qui exceptionnel c’est la persistance des pluies qui ne laisse pas le temps au sol d’absorber l’eau, son ruissellement et son drainage, ce qui augmente les risques d’inondations ».
Le directeur du CCN a expliqué, qu’en terme d’intensité de précipitations, les pluies supérieures à 10 mm par heure sont considérées comme des « pluies fortes », rappelant que « le caractère des précipitations dépend de la climatologie locale ».
Pour l’équivalence entre millimètres de pluie et volumes d’eau précipitées, il a précisé que « 1 mm est l’équivalant de 1 litre/m2. Donc, un fort volume d’eau tombant sur une surface plus ou moins importante peut entraîner une quantité d‘eau précipitée surprenante« , a-t-il fait observer.
A titre d’exemple, « une surface de 1 km2 touchée par les précipitations de 100mm est équivalente à 100.000 m3 de volume d’eau », a-t-il indiqué.
Dans le même cadre, selon M. Sahabi, la recrudescence des phénomènes extrêmes, comme évoquée par le groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), « sera de taille », en soulignant que l’Algérie, à l’instar des pays de l’Afrique du Nord, « connaitra de plus en plus de phénomènes extrêmes attribués au changement climatique ».
De ce fait, « les projections climatiques à l’horizon 2050 pour un scénario moyen des gaz à effet de serre prévoient une diminution sur les totaux annuels de pluie pour l’Algérie, mais en même temps une augmentation dans la fréquence des intensités exceptionnelles de précipitations, c’est-à-dire une forte quantité de pluie en laps de temps réduit, tout comme les longs épisodes caniculaires, de sécheresse …) », a-t-il noté.
M. Sahabi est revenu, à ce propos, sur la prévision « consensuelle » des températures et des précipitations pour la saison hivernale annoncée lors du forum régional organisé fin novembre en Egypte sous l’égide de l’Organisation météorologique mondiale (OMM), ayant réuni des experts de centres climatiques spécialisés de plusieurs pays, et de services hydrométéorologiques nationaux et d’instituts de recherche de la région méditerranéenne.
Au cours de ce forum, les experts ont conclu que les prévisions portent sur des « conditions d’instabilité et donc de pluviosité importante sur le sud de l’Europe et les régions côtières de l’Afrique du nord », avec une « tendance probable à un déplacement vers le sud des systèmes de basses pressions pour l’hiver 2018/2019 qui seront associés à des perturbations génératrices de pluies et de conditions humides ».
La succession de perturbations donnent lieu à d’importantes quantités de pluies et de neige
Confirmant cette tendance, la directrice de la Communication à l’ONM, Mme Houaria Benrekta a, de son coté, indiqué que des quantités importantes de pluies ont été enregistrées du 20 au 26 janvier dernier avec, notamment, 143mm à Médéa, 124mm à Annaba, 123mm à Miliana, 106mm à Skikda, 103 à Bouira, 98 à Tizi-Ouzou et à Bejaia, 97 à Guelma, 96mm à Souk-Ahras, et 95mm à Jijel.
Elle a précisé, à cet effet, que « l’Algérie a connu une succession de perturbations qui ont donné lieu à des quantités appréciables de précipitations et aussi de neige« , ajoutant que « ce qui marque la tendance météorologique est la fréquence des perturbations atmosphériques qui était élevée, et quasi continue, même si ça reste une situation hivernale normale ».
La mer était très agitée durant cette période, avec des vagues qui ont atteint les 9 mètres de hauteur, a-t-elle poursuivi.
D’autres situations météorologiques pareilles attendues pour ce mois de février
Dans le même contexte, elle a précisé que les BMS émis durant cette période « ont été à 95% justes », et ce, grâce au travail de veille des services de l’ONM qui suivent l’évolution des perturbations de manière continue.
Elle a fait observer, en outre, qu’avec les aléas climatiques et les phénomènes extrêmes que connaît l’Algérie ces derniers temps, le nombre de BMS, tous types confondus (pluies, neige, vents, canicule) émis par Météo Algérie, a augmenté d’année en année, alors qu’ils étaient de l’ordre de 33/an entre 2012 et 2016, le nombre de BMS sont passés à 49 en 2017, et à 70 en 2018″.
Elle a appelé, toutefois, à l’utilisation de la vigilance qui devrait remplacer le système BMS, du fait qu’elle est plus pratique et plus fiable.
Selon Mme Benrekta, la tendance devra persister avec « d’autres situations météorologiques pareilles attendues pour ce mois de février ».
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Le taux de chômage en Algérie a atteint 11,7% en septembre 2018, contre 11,1% en avril 2018, soit une augmentation de 0,6 point entre ces deux périodes, selon l’office national des statistiques qui fait état d’une stagnation par rapport à septembre 2017.
L’ONS a, d’autre part, estimé le nombre de la population sans emploi à 1,442 millions de personnes, en septembre dernier, contre 1,440 millions en septembre 2017.
Le taux de chômage chez les hommes est, par ailleurs, passé de 9% chez les hommes en avril 2018 à 9,9% en septembre de la même année.
Ce taux a accusé une légère baisse chez les femmes, passant de 19,5% en avril 2018 à 19,4% en septembre 2018.
L’ONS a, d’autre part, relevé des disparités significatives selon l’âge, le niveau d’instruction et les diplômes obtenus.
Pour ce qui concerne la population juvénile, celle dont la tranche d’âge varie de 16 à 24 ans, le taux de chômage qui l’affecte a atteint 29,1% en septembre en septembre 2018 contre 26,4% pour la même période de l’année précédente, en hausse de 2,7 points.
Pour cette catégorie de citoyens, ce taux a attein 24,6% chez les hommes et 51,3% chez les femmes.
Le taux de chômage des adultes (25 ans et plus), il a été établi à 8,9% en septembre 2018, à raison de 7,4% chez les hommes et de 15,2% chez les femmes.
L’ONS note en outre qu’en moyenne, plus d’une personnes sur deux (56,9%) est sans emploi sur une longue durée et cherche à travailler depuis une année ou plus.
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A partir de 2030, l’Algérie devrait mobiliser quelque 4,3 milliards de mètres cubes d’eau, contre les 3,3 milliards consommés actuellement, pour répondre aux besoins de sa population.
Convié, dimanche, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, le ministre des Ressources en eau, signale que d’ici là, le pays comptera environ 50 millions d’âmes, d’où la nécessité, dit-il, de continuer à réaliser des barrages, à investir dans les techniques de dessalement d’eau de mer et dans celles de régénération des eaux usées.
Se référant au Plan national de l’eau, M. Hocine Necib indique qu’il y est tenu compte des aléas naturels « pour pouvoir s’adapter aux effets du changement climatique » et répondre ainsi aux besoins de consommation des ménages et de l’économie.
Il annonce, en outre, qu’en prévision de l’augmentation des besoins attendus à l’échéance fixée, il a été projeté la construction d’une « vingtaine de barrages de taille moyenne », appuyés par des installations de transfert d’une région à une autre, notamment en direction des Hauts Plateaux.
Compte tenu, dit-il, de l’irrégularité des précipitations, par ailleurs inégalement réparties à travers le territoire, M. Necib explique que le Shéma hydraulique retenu consiste à résorber les déficits « là où ils existent », en densifiant la construction de stations de dessalement, dont il précise que celles actuellement en activité contribuent à produire 17% de l’offre nationale d’eau potable.
Des fortes précipitations observées au cours des dernières semaines, celui-ci annonce qu’elles ont permis de réaliser une moyenne nationale de remplissage de 75%, notant au passage que les plus grandes réserves sont constituées des nappes d’eau souterraines.
S’exprimant, par ailleurs, à propos d’une éventuelle réévaluation de la tarification, le ministre des Ressources en eau répond que celle-ci n’est pas « à l’ordre du jour ».
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L’hésitation est toujours en cours chez le Parti des travailleurs (PT) qui, en dépit d’un retrait des formulaires de candidature à la présidentielle d’avril prochain, n’arrive pas à trancher.
Sa secrétaire générale Louisa Hanoune se montre, par ailleurs, «pessimiste» quant à la transparence du rendez-vous électoral vu les pressions et autres pratiques «maffieuses» constatées dans la collecte des signatures. C’est ce qu’elle a indiqué, hier, à l’ouverture des travaux de la session du bureau de wilaya d’Alger de son parti.
Sur la participation ou pas du PT à la présidentielle, Mme Hanoune a affirmé que le bureau politique du parti se réunira à la fin de la semaine en cours pour évaluer la concertation au sein du parti autour de cette question. Cette réunion «va préparer la réunion du comité central, prévue à la fin du mois qui, elle, tranchera définitivement sur cette question de participation ou pas», a-t-elle expliqué.
Pour cette large concertation, le parti a lancé au niveau de la base cette question de la présidentielle. Hanoune affirme que «selon les rapports dégagés, il y a un rejet quasi-unanime du maintien de la situation actuelle caractérisée par la décomposition politique et de la poursuite de l’impunité en faveur de la minorité trop riche». «Nous mettons en garde contre cette situation du fait que le front intérieur est trop fragile, le fossé entre la majorité du peuple et les institutions de l’Etat est devenu très vaste. Il y a aussi une continuité du refus à l’égard du régime en place, et ce, dans un monde qui a, lui aussi, changé et devenu dangereux plus que jamais», ajoute-t-elle. Elle a noté, par la même occasion, que le bureau politique ainsi que le comité central du parti « ont décidé de rassembler toutes les conditions juridiques pour que ce comité central puisse prendre seul la décision finale».
Il faut, en outre, relever qu’à l’occasion de cette réunion d’évaluation, qui a regroupé les cadres du parti de la wilaya d’Alger, Louisa Hanoune s’est montrée pessimiste quant aux conditions de déroulement du scrutin, estimant que la transparence ne sera pas au rendez-vous. « Dès maintenant, des pratiques mafieuses se manifestent dans les opérations de collectes des signatures en faveur des candidats ainsi que des pratiques de certains responsables dans quelques wilayas», a-t-elle déploré. Sur sa lancée, elle dira qu’il y a aussi «des hommes d’affaires qui investissent dans la campagne électorale pour imposer le statu quo et il en est de même pour les partis politiques qui ont déjà tiré profit lors des élections précédentes».
Raison pour elle de soutenir que le prochain scrutin est celui de tous les dangers, parce qu’en cas de recours à la fraude, l’Algérie subira des ingérences étrangères et même si les puissances étrangères manifesteront du silence à cet égard, cela voudra dire que notre pays fera des concessions ». Louisa Hanoune dénoncera, dans ce sens, les pressions occidentales exercées actuellement contre le président vénézuélien Nicolas Maduro pour laisser le pouvoir à l’opposition dans ce pays. Elle s’est par ailleurs montrée très critique à l’égard des partis et des candidats qui se sont engagés dans la bataille de la présidentielle. « Qu’on participe ou pas à cette élection, nous n’allons pas ignorer les choses. Nous n’avons enregistré aucun discours ni aucun programme électoraux qui contiennent des solutions», a-t-elle souligné.
Sur un autre volet, Louisa Hanoune a défendu farouchement la ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit, après les propos de cette dernière qui s’est opposée à l’accomplissement de la prière dans les écoles, ce qui a généré de vives critiques à l’égard de la ministre. Louisa Hanoune dira que « le silence des pouvoirs publics à cet effet est très douteux», ajoutant que «Mme Benghebrit a raison parce que l’école en Algérie est civile». Pour elle, le silence des officiels « est une preuve que ce système porte en lui un certain obscurantisme ».
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La réception de 5 millions de doses du vaccin contre la peste du petit ruminant (PPR) ne semble pas avoir réglé toutes les difficultés dont souffrent les éleveurs depuis l’apparition et la propagation rapides de la maladie. Le dispositif mis en place pour les opérations de vaccination du cheptel semble avoir du mal à fonctionner pleinement. Les professionnels de la filière s’impatientent.
On parle même de lenteurs contre lesquelles se sont insurgés certains éleveurs impatients de voir leur cheptel vacciné. Concernant ces mécontentements enregistrés ici et là, des membres de la Fédération nationale des éleveurs ovins, que Reporters a pu joindre par téléphone hier, nous ont indiqué que «ce sont là des réactions tout à fait légitimes».
Azzouzi Djillali, nous a en effet expliqué que devant la vitesse de propagation de l’épizootie «c’est normal que les éleveurs, dont l’élevage est le seul gagne-pain, espèrent voir leurs bêtes vaccinées au plus vite de peur que la maladie fasse son apparition au sein de leur troupeau et par voie de conséquence décime plusieurs têtes.
Les équipes de vétérinaires tardant à pointer du nez dans leur enclos, ils s’impatientent et parfois même prennent la décision de se rendre au niveau des services vétérinaires de leur région pour s’enquérir des raisons qui font que les équipes chargées de vacciner leurs ovins tardent à venir».
Pour notre interlocuteur, cette inquiétude n’a pas lieu d’être puisque « le vaccin est arrivé et donc ce n’est plus qu’une affaire de jours. Et d’ailleurs nous ne cessons pas à chacune de nos rencontres avec les éleveurs de leur assurer que leurs bêtes vont être bientôt vaccinées».
De son côté, Bouzid Salmi a tenu à nous faire savoir, à propos de l’arrivage des cinq millions de doses de vaccin, considérées très inférieures par rapport au nombre du cheptel, «aucun laboratoire ne peut livrer 20 millions de vaccins en une seule fois ». Et d’ajouter : «Un autre arrivage d’un même volume est attendu dans les prochaines semaines, comme nous l’avons appris des services vétérinaires auprès du ministère de tutelle.»
Ce dernier a toutefois reconnu que le dispositif en place a manqué d’efficacité par endroits, « notamment où il y a une forte activité pastorale ». Toujours à propos de cette défaillance, Bouzid Salmi nous a indiqué que « c’était tout à fait prévisible au vu du nombre d’éleveurs et quand bien même un maximum de personnel chargé de vacciner les ovins a été mobilisé, cela n’a pas suffi. Ce qui a provoqué de l’inquiétude chez certains éleveurs, qui attendent en vain les équipes de vaccination, impatients de préserver leurs bêtes ». Notre interlocuteur s’est dit par contre tout à fait étonné d’apprendre que « des éleveurs ont tenté d’intimider des vétérinaires pour qu’ils passent en priorité chez eux ».
«Je n’y crois pas trop car dans notre profession nous acceptons les coups du sort. Les agneaux et agnelles que nous avons perdus à cause de la peste seront vite remplacés par les prochains agnelages (mise-bas). C’est pour dire qu’au sein de notre profession on ne dramatise pas trop. Et quand c’est le cas, cela vient de faux éleveurs», a-t-il souligné.
Notons que du côté des services vétérinaires « on reste confiant que le dispositif en place va permettre de vacciner un maximum d’ovins en un temps record», a souligné un docteur vétérinaire. Rappelons que le nombre de décès d’ovins recensés depuis l’apparition de l’épizootie, en décembre 2018, s’est élevé, selon le ministère de l’Agriculture, à 3 500 bêtes.
Peut-être bien plus, si l’on en croit les déclarations à ce sujet des membres de la Fédération nationale des éleveurs d’ovins. On comprend donc toute l’impatience des éleveurs à voir leur cheptel vacciné au plus vite.
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Le déficit commercial de l’Algérie a sensiblement baissé en 2018, se chiffrant à 5,03 milliards de dollars contre 10,87 milliards en 2017, soit un recul de 5,84 milliards de dollars (-53,73%), selon le Centre national des transmissions et du système d’information des Douanes (CNTSID).
Un recul qui n’aura toutefois pas suffi à libérer la balance commerciale du pays de sa tendance négative, poussant les pouvoirs publics à aller chercher l’équilibre dans des réserves de changes qui s’amenuisent progressivement.
Pour rappel, le stock de devises est descendu au-dessous des 80 milliards de dollars à la fin 2018, avait indiqué la semaine dernière le Chef du gouvernement Ahmed Ouyahia, suscitant inquiétudes et préoccupations parmi les observateurs et experts de la scène économique nationale.
Et si le déficit commercial demeure négatif, c’est parce que la facture des importations est restée supérieure par son montant par rapport aux recettes engrangées par les exportations. De quoi confirmer une énième fois l’échec d’une stratégie de commerce extérieur, axé sur un dispositif d’interdiction d’importation de nombreux produits sans arriver à développer la production nationale, encore moins à réduire de la facture des achats extra-muros.
Une situation qui risque d’ailleurs de perdurer et fragiliser davantage les équilibres financiers du pays, ou ce qu’il en reste, si la production locale ne monte pas réellement en cadence pour réduire de cette dépendance de plus en plus dangereuse de produits étrangers chèrement payés en monnaie forte.
L’année dernière, l’Algérie a exporté pour à 41,168 milliards de dollars (mds usd) contre 35,191 mds usd en 2017, soit une hausse de 5,977 mds usd (+16,98%), mais a aussi importé pour 46,197 mds usd contre 46,059 mds usd en 2017, soit une hausse de 138 millions de dollars (+0,3%).
C’est dire que les importations auraient pesé beaucoup plus lourd sur la balance commerciale si celle-ci n’avait pas pu compter sur des prix de pétrole en hausse en 2018 qui ont, plus ou moins, permis de limiter les pertes après avoir gagné 7,077 mds usd (+15,26%) par rapport à 2017 pour se chiffrer à 38,338 mds usd, représentant l’essentiel des ventes algériennes à l’étranger (93,13% du montant global des exportations)
Quant aux exportations hors hydrocarbures, elles sont demeurées marginales en représentant 6,87% du montant global des exportations, soit une valeur de 2,83 mds usd, malgré une augmentation de 46,63% par rapport à 2017. Concernant les importations, la satisfaction vient des produits énergétiques et lubrifiants (dont les carburants notamment) dont la facture a connu une baisse significative de 977 millions usd (-49,05) en 2018, après être passée à 1,015 mds usd contre 1,992 mds usd en 2017.
Par contre, des hausses des importations ont été enregistrées pour les groupes des biens alimentaires, des produits bruts et des biens de consommation non alimentaires. La facture des produits alimentaires s’est établie à 8,573 mds usd contre 8,438 mds usd (+1,6%), alors que les importations des produits bruts ont atteint 1,898 mds usd contre 1,527 mds usd (+24,3%). Concernant les biens de consommation non alimentaires, ils ont été importés pour 9,75 mds usd contre 8,511 mds usd (+14,63%).
L’Italie premier client, la Chine premier fournisseur
Au classement des partenaires commerciaux de l’Algérie pour 2018, l’Italie a conservé sa place de premier client avec 6,127 mds usd (14,9% des exportations globales algériennes), suivie de l’Espagne avec 5 mds usd (12,15%), de la France avec 4,6 mds usd (11,25%), des Etats-Unis avec 3,86 mds usd (9,4%) et de la Grande-Bretagne avec 2,8 mds usd (6,7%).
Pour sa part, la Chine est restée premier fournisseur du pays avec 7,85 mds usd (17% des importations globales algériennes), suivie de la France avec 4,78 mds usd (10,35%), de l’Italie avec 3,65 mds usd (7,91%), de l’Espagne avec 3,53 mds usd (7,65%) et de l’Allemagne avec 3,18 mds usd (6,88%).
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Aujourd’hui s’ouvre à Addis-Abeba le 32e Sommet de l’Union africaine. Un Sommet qui devrait se pencher sur la réforme de l’institution panafricaine fondée depuis 55 ans.
Les rapports sur la réforme institutionnelle et le financement de l’organisation, la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF) ainsi que les rapports portant sur les activités des organes de l’UA, des sous-comités du Conseil exécutif et des comités ad hoc seront soumis aux dirigeants africains qui devront procéder à leur examen avant de les adopter. L’objectif affiché est que l’Afrique finance elle-même les trois quarts des programmes de l’Union africaine. Pour rappel les Etats se sont mis d’accord en juillet 2016 pour instaurer une taxe de 0,2% sur les importations de certains produits, pour ce faire.
Aujourd’hui, seulement 24 pays appliquent cet accord, moins de la moitié des Etats membres. C’est dire les difficultés de l’UA à imposer ses propres accord dans un environnement de plus en plus compliqué. D’après ses promoteurs, il s’agit de sécuriser le paiement des contributions des Etats. Ces derniers n’auront plus à trouver des ressources budgétaires puisque le produit de la taxe leur permettra de payer leurs contributions. En cas de surplus, si la taxe rapporte davantage que la contribution, l’Etat le garde pour lui. Lors de ce Sommet, les Etats membres doivent aussi se mettre d’accord sur le nouveau barème des cotisations. Les disparités souvent importantes entre les Etats de l’Union Africaine compliquent l’application de ce type d’accord. Le chemin vers l’autonomie financière semble encore long même si il y a une nette disposition à participer au renforcement de l’organisation panafricaine. La 34ème session ordinaire du Conseil exécutif de l’UA, qui avait débuté jeudi avait adopté certains rapports et décisions qui seront soumis durant ce Sommet.
Conseil de paix et de sécurité, l’Algérie pour 3 ans
Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel a dirigé la délégation algérienne aux travaux de cette session préparatoire qui a été marquée par l’examen et l’adoption de plusieurs rapports thématiques sur les dossiers stratégiques à l’agenda de l’organisation continentale. Le Conseil exécutif a également examiné la note conceptuelle sur le thème de l’année 2019 : «Réfugiés, rapatriés et personnes déplacées : vers des solutions durables aux déplacements forcés en Afrique ». Cette question inquiète au plus haut point les Etats d’Afrique, un continent toujours fragilisé par les conflits et les guerres. Les ministres des Affaires étrangères de l’UA ont également procédé au renouvellement des composantes de certains organes et comités de l’UA, à l’instar, du Comité d’experts sur les droits et le bien-être de l’enfant, de la Commission sur le droit international et du conseil consultatif de l’Union sur la corruption et enfin du Conseil de paix et de sécurité.
Pour ce dernier, l’Algérie avait été remarquablement élue au sein de cette instance par le Conseil exécutif de l’UA pour un mandat de trois ans (2019-2022). Une « reconnaissance de l’apport de l’Algérie à la stabilité régionale, notamment dans le contexte actuel marqué par de grandes turbulences » avait commenté le chef de la diplomatie algérienne. Le commissaire de cette instance Smail Chergui qui a réussi l’accord de Khartoum devant mettre un terme aux violences récurrentes qui déstabilisent la Centre-Afrique depuis six ans, a estimé dans une déclaration à la radio française Rfi que « l’Afrique avance ». Il a espéré en outre avoir les mêmes rapports « francs » de coopération avec le représentant de l’Onu en Libye pour venir à bout de l’instabilité de ce pays d’Afrique du Nord. Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia représentera l’Algérie au Sommet du Mécanisme africain d’évaluation par les pairs (Maep) et au Sommet du Nepad.
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Présenté comme l’approche la plus efficace et la plus appropriée pour la prévention et la lutte contre le cancer du sein, le programme national dénommé « Dépistage organisé » a été officiellement lancé au début du mois en cours à partir de Biskra.
C’est le Pr Bendib, président de la Conférence nationale des doyens des facultés de médecine, qui l’a annoncé à l’ouverture des 2es Journées de formation continue de cancérologie (JFCC), organisée au siège de l’APW de Tizi Ouzou par la Société algérienne de formation continue en collaboration avec la faculté de médecine de l’UMMTO et des associations médicales de la wilaya de Tizi Ouzou. Initiée dans le cadre du plan national cancer, cette opération a eu l’aval du ministère de la Santé qui l’a validée par la signature d’un décret récemment promulgué.
Sa mise en œuvre est confiée, essentiellement, aux équipes pluridisciplinaires du CPCM d’Alger, avec l’implication des intervenants du secteur médical au niveau local. Lancé de façon expérimentale, puisqu’il concerne, dans un premier temps, un groupe de wilayas, ce programme sera élargi, progressivement, à l’ensemble du territoire national, annoncera le Pr Bendib. Cette approche de la prise en charge et de la lutte contre le cancer du sein (et de toutes les maladies cancéreuses) par le diagnostic et le dépistage précoce a été au centre des débats des 2es JFCC de Tizi Ouzou.
Un cancer diagnostiqué et dépisté à temps revient à 60 millions de centimes par an. Une approche qui a le double avantage de constituer un espoir de guérison pour le patient et un coût économique moindre au Trésor public. Selon le Pr Kamel Bouzid, président de la Société algérienne d’oncologie médicale, la prise en charge d’un patient dont la maladie cancéreuse a atteint un stade invasif et métastasique, coûte un milliard de centimes/an au Trésor public, alors qu’un cancer diagnostiqué et dépisté à temps revient à 60 millions de centimes par an et par patient. Le Pr Abdelhamid Salah Laouer, président de la Société algérienne de la formation continue en cancérologie, a fait un véritable plaidoyer en faveur de cette méthode de lutte et de prévention du cancer du sein, basée sur le diagnostic et le dépistage précoce.
« Lorsque le cancer du sein est dépisté à un stade précoce, et si des traitements appropriés sont disponibles, il y a de fortes chances qu’il puisse être soigné et guéri. Et s’il est dépisté tardivement, il est fréquent que le traitement curatif ne soit plus possible, et c’est justement ce qui caractérise le cancer du sein en Algérie, c’est-à-dire l’atteinte de la femme jeune comparativement à la femme occidentale avec un diagnostic souvent tardif, c’est-à-dire au stade métastasique où, malheureusement, il n’y aura à proposer que des soins palliatifs », fera observer le Pr Salah Laouer, mettant en cause dans cette situation « l’absence d’informations sur le dépistage et sa généralisation à l’ensemble du territoire national, et surtout, à un diagnostic au stade tardif de la maladie, en raison d’une insuffisance dans la formation des professionnels de la santé d’une part, et de l’anarchie dans la prise en charge et de l’accès aux soins, d’autre part. »
Mise à niveau de tous les professionnels de la santé
Et de préconiser que cette situation « peut changer radicalement si des programmes de santé publique appropriés sont mis en place, et surtout de bien les appliquer, d’autant plus que l’Algérie dispose d’un plan national cancer et d’une loi sanitaire qui sont des outils institutionnels qui permettent aux professionnels de la santé de travailler dans un cadre organisé et avoir des actions coordonnées avec des objectifs à atteindre à court, moyen et long termes pour lutter efficacement contre le cancer.»
L’efficacité de la méthode passe aussi, selon le président de la Société algérienne de formation continue en oncologie, par « la mise à niveau de tous les professionnels de la santé (médecins, paramédicaux, oncopsychologues, personnels de l’administration, etc. Cette mise à niveau passe par une formation continue, un partage des expériences et le travail en réseau ». La promotion de la prévention qui doit aller en direction des personnes cibles et de la population en général font partie des préconisations du Pr Ahmed Salah Laouer qui insiste sur la vulgarisation de l’information sur les facteurs de risque et les biens du dépistage.
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Quatre-vingt-douze (92) orpailleurs ont été interceptés samedi dans des opération distinctes, menées à Tamanrasset, In Guezzam et Djanet, par des détachements de l’Armée nationale populaire (ANP) qui ont également saisi (22) détecteurs de métaux et d’autres objets, indique dimanche le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué.
« Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, des détachements de l’Armée nationale populaire, ont intercepté, le 9 février 2019, lors d’opérations distinctes menées à Tamanrasset, In Guezzam (6e Région militaire) et Djanet (4e RM), quatre-vingt-douze (92) orpailleurs et saisi trois (3) camions, quatre (4) véhicules tout-terrain, vingt-et-une (21) motos, (36) groupes électrogènes, (18) marteaux piqueurs, (22) détecteurs de métaux et d’autres objets », précise la même source .
D’autre part, un détachement de l’ANP « a arrêté, à El Oued (4e RM), un contrebandier à bord d’un camion chargé de (36,890) Tonnes de blé tendre », tandis que des éléments de la Gendarmerie nationale « ont appréhendé, à Tiaret (2e RM), trois (3) individus en leur possession trois (3) fusils de chasse et une quantité de munitions ».
Par ailleurs et, dans le cadre de la lutte contre l’immigration clandestine, des Garde-côtes « ont déjoué, à Béni-Saf (2e RM), une tentative d’immigration clandestine de dix-sept (17) personnes à bord d’une embarcation de construction artisanale », rapporte également le communiqué.
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Le sommet «se tiendra à Hanoï, au Vietnam, les 27 et 28 février». «J’ai hâte de rencontrer le président Kim et de faire avancer la cause de la paix!», a déclaré le président Trump. La Corée du Nord n’a pas donné d’information officielle à propos de ce sommet.
Donald Trump a révélé vendredi que la capitale du Vietnam, Hanoï, accueillerait le deuxième sommet historique entre le président américain et le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un fin février, tout en prédisant un avenir économique radieux pour la Corée du Nord. Le pays, ainsi que la date de ce deuxième sommet historique -après celui ayant eu lieu à Singapour en juin- étaaient déjà connus, mais pas sa localisation exacte. «Mes représentants viennent juste de quitter la Corée du Nord après une réunion très productive», a écrit le locataire de la Maison Blanche sur Twitter. Le sommet «se tiendra à Hanoï, au Vietnam, les 27 et 28 février». «J’ai hâte de rencontrer le président Kim et de faire avancer la cause de la paix!», a-t-il déclaré. La Corée du Nord n’a pas donné d’information officielle à propos du sommet. Kim Jong Un ne l’a pas non plus mentionné durant une réunion vendredi avec les hauts gradés de l’armée du pays.
L’émissaire des Etats-Unis pour la Corée du Nord Stephen Biegun a terminé vendredi une visite de trois jours à Pyongyang destinée à préparer ce deuxième sommet. De mercredi à ven-
dredi, il s’est entretenu avec l’émissaire nord-coréen Kim Hyok Chol, afin de permettre des progrès sur «une dénucléarisation complète, la transformation des relations Etats-Unis/Corée du Nord, et la mise en place d’une paix durable sur la péninsule coréenne», a déclaré le département d’Etat américain dans un communiqué, quelques heures avant le tweet du président Trump. Les émissaires des deux pays ont convenu de se rencontrer à nouveau avant le 27 février.
A Séoul, M. Biegun a informé samedi le ministre sud-coréen des Affaires étrangères, Kang Kyung-hwa, du déroulement de ses discussions à Pyongyang. Il a souligné qu’il restait encore du travail à faire avec les Nord-Coréens avant le sommet de Hanoï. «Nous avons un dur travail à faire avec la DPRK», acronyme anglais de la République populaire démocratique de Corée, a dit M. Biegun à M. Kang. «Je suis confiant que si les deux parties restent engagées, nous pouvons faire de réels progrès», a-t-il dit. «Nous ne savons pas où cela va aller, mais nous sommes au milieu d’une conversation», et les discussions à Pyongyang «ont été productives», a déclaré l’émissaire américain. M. Kang a dit à M. Biegun que les Etats-Unis avaient «le soutien total» de la Corée du Sud pour le sommet à venir.
Le président américain a estimé vendredi que la Corée du Nord, actuellement minée par la pauvreté, pouvait espérer de biens meilleurs jours sur le plan économique.
«La Corée du Nord, sous le commandement de Kim Jong Un, va devenir une grande puissance économique», a estimé Donald Trump dans un deuxième tweet vendredi. Kim Jong Un «pourra en surprendre certains mais il ne me surprendra pas moi, car j’ai appris à le connaître et suis entièrement conscient de ce dont il est capable», a-t-il poursuivi. «La Corée du Nord va devenir un autre type de fusée – une fusée économique!», s’est enthousiasmé celui qui traitait encore il y a peu le dirigeant nord-coréen d’»homme-fusée» («Rocket Man»), en référence aux tests de missiles balistiques nord-coréens. Après des mois de surenchère, d’insultes personnelles et de menaces, les deux dirigeants ont amorcé un rapprochement spectaculaire au début de l’an dernier. Lors de leur première rencontre, MM. Kim et Trump avaient signé une déclaration très vague en faveur de «la dénucléarisation de la péninsule coréenne». Mais aucun progrès n’a depuis été réalisé, les deux parties n’étant même pas d’accord sur le sens exact de cet engagement.
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Par Saïd MEKKI
La dernière défaite en championnat face à la JS Saoura ne semble nullement avoir affecté les joueurs qui sont totalement concentrés sur leur sortie africaine, dont ils comptent bien revenir avec un bon résultat.
Le NA Hussein-Dey s’envolera cet après-midi en direction de l’Egypte, dans la perspective de disputer son match contre le Zamalek, mercredi prochain au stade Borg El-Arab d’Alexandrie pour le compte de la 2e journée de la coupe de la CAF. Il est important de rappeler d’emblée que lors de la première journée disputée le 4 février dernier, le représentant algérien dans cette compétition s’était imposé contre les Angolais de Petro Atletico (2-1) alors que dans l’autre match de cette poule, les Kenyans de Gor Mahia ont surclassé le Zamalek (4-2). Les deux premiers à l’issue de la phase de poules se qualifieront pour les quarts de finale. Avant de rencontrer le Zamalek, les joueurs du coach Ighil Meziane ont disputé jeudi dernier un match face à la JS Saoura pour le compte de la 20e journée du championnat de Ligue 1 au stade du 20-Août de Béchar.
Les Sang et Or ont enregistré une courte défaite (1-0), mais il faut savoir que le premier responsable technique a fait reposer, lors de cette rencontre, 5 de ses joueurs et non des moindres. Il s’agit des deux défenseurs, Khiat et Khacef, le milieu de terrain Harrag, ainsi que les attaquants Yaya et Gasmi. C’est, donc, pour assurer qu’ils récupèrent bien après une succession de rencontres à court intervalle, en compétitions nationales et cette coupe de la CAF. Après ce match et de retour à Alger, Ighil Meziane a libéré ses joueurs pour se reposer vendredi dernier avant de reprendre les entraînements hier, en fin d’après-midi au complexe Bensiam, fief de l’équipe.
D’autre part, trois de ses joueurs «olympiques» sont convoqués pour le stage de l’Equipe nationale des U23, qui débute aujourd’hui et il s’agit de Mohamed Amine Tougai, Ilyes Yaiche et Zinedine Belaïd. Aux dernières nouvelles, le staff technique du NA Hussein-Dey pourrait bénéficier de l’apport de ces trois joueurs pour le déplacement d’aujourd’hui en direction de l’Egypte pour y affronter le Zamalek. Ces joueurs rejoindront directement la sélection algérienne à Tunis juste après le match contre Zamalek, mercredi prochain, afin d’être pour une éventuelle titularisation lors des deux matchs amicaux prévus par la sélection olympique algérienne, face à leur homologue tunisienne.
Encore, faut-il noter au passage que le NAHD pourrait disputer son match des quarts de finale de la coupe d’Algérie face à ses voisins du CR Bélouizdad le 19 février prochain au stade du 20-Août 55 à Alger. Ce qui explique pourquoi le staff technique des Sang et Or se trouve dans l’obligation d’effectuer un turn-over dans l’utilisation de ses joueurs afin d’assurer les différentes missions (coupe de la CAF, coupe d’Algérie et Championnat).
En tout cas, la dernière défaite à Béchar ne semble nullement avoir affecté les joueurs, qui sont totalement concentrés sur leur sortie de mercredi où ils comptent bien revenir avec un bon résultat. D’ailleurs, le milieu de terrain, Malik Raïah, le dit si bien «Nous allons nous racheter de notre dernière défaite en championnat devant le Zamalek en coupe de la CAF. L’équipe du Zamalek n’est pas à présenter et d’ailleurs elle est leader du championnat de leur pays.» Et de conclure: «Nous devons donc nous en méfier et surtout donner le meilleur de nous-mêmes une fois sur la pelouse du stade de Bordj El Arab.»
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O. HIND
Vendredi 8 février, notre voyage à La Havane se poursuit avec un programme riche de visites officielles qui nous permettent d’emblée de faire connaissance avec certaines institutions culturelles que l’on ne connaissait pas.
Notons que Cuba qui est déjà un musée à ciel ouvert avec toutes ces maisons qui datent, certaines, du XIXe siècle, abrite en son sein 336 musées. Les maisons qui datent de siècles différents s’accordent et s’épousent avec harmonie. Un contraste entre le gris des bâtiments et le rose flamboyant des vieilles voitures américaines qui continuent à rouler et conduire les touristes. Ces derniers viennent de partout. Il n’est pas exclu de tomber sur un groupe de touristes accompagnées de leur guide le vendredi. Ils sont même partout! Ils viennent du Canada, d’Allemagne, de France etc. Le tourisme constitue 40% de l’économie du pays. Les petits magasins de souvenirs vantant les mérites de la culture cubaine sont légion.
L’art et l’histoire du pays sont jalousement sauvegardés. On y trouve même le musée des arts islamiques. La casa d’Afrique ou maison d’Afrique se situe au niveau de la vieille ville. Il s’agit d’un musée consacré à la culture africaine à travers son art contemporain. L’Algérie y expose de nombreuses photos représentant le patrimoine algérien, qui donnent une idée sur les lieux stratégiques à visiter à Alger, mais aussi d’autres villes du pays. La casa d’Afrique abritait encore, lors de notre venue, une grande exposition itinérante qui a trait à l’art contemporain du Sénégal. On y découvre un large panel de la diversité des arts plastiques sénégalais. Cette manifestation s’inscrit dans le cadre d’un ensemble d’événements qui expliquent le 500e anniversaire de la fondation de la ville de San Cristobal de La Havane, représentée par une installation donnant à voir le saint entouré d’offrandes, des 33 ans de la fondation de l’institution et de la Conférence internationale sur l’anthropologie sociale et culturelle afro-américaine.
L’Algérie capitale des musées africains
Aussi, à côté de cette grande exposition mettant en valeur, entre autres, des toiles, des sculptures africaines, on y découvre des peintures attachantes telle celle montrant une femme enceinte du continent noir. Séduit par cette exposition le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, proposera à ce musée de lui faire envoyer en Algérie des oeuvres d’art issues de différents pays africains et pour cause. L’Algérie sera la capitale des musées africains, à l’image d’un grand musée africain et ce, sur proposition de l’Union africaine. Aussi, Mihoubi offrira à ce musée en reconnaissance, un mandole, instrument typiquement algérien et favori des chanteurs du chaâbi.
Un instrument qui faisait écho aux très belles sculptures et qui mettent en avant l’importance de la musique dans le continuent africain. Echangeant avec le responsable du musée, Mihoubi dira tout son souci de poursuivre cette coopération dans le domaine culturel. D’ailleurs, un accord a été signé au courant de l’après-midi dans ce sens avec son homologue le ministre cubain de la Culture, après avoir rencontré dans la matinée, Martcelino Medina, le premier vice-président du ministère des Affaires étrangères. Parlant de musique, le Théâtre national de Cuba a abrité un concert de musique classique de l’Orchestre symphonique de Cuba dirigé par le maestro Amine Kouider. Il est important de signaler que les professeurs travaillent gratuitement.
L’Etat prend en charge même l’achat des instruments pour les élèves. C’est un concert de haute qualité qui a été présenté au public. Deux styles, deux genres de musique. El Menai qui avait ouvert le bal de la Foire du livre est revenu chanter en faisant un véritable tabac.
S’ensuivra un florilège de morceaux patriotiques rejoués à la sauce classique symphonique, mais aussi du Beethoven. Avant cela l’orchestre a gratifié le public d’autres morceaux tirés du patrimoine algérien à son grand bonheur. Une soirée placée sous le signe de la noblesse de la musique qui adoucit, à tous, les coups, les moeurs. Notons que dans son plan de redressement économique, Cuba accorde un intérêt croissant aux femmes enceintes et les enfants.
Une villégiature réputée et hop
L’éducation se veut le cheval de bataille du gouvernement cubain à telle enseigne que les livres pour enfants sont présents en masse au niveau de la 28e édition de la Foire internationale du livre de Cuba. Vendredi premier jour, grand public de la foire, un monde assez appréciable se précipitait vers cette magnifique forteresse entourée de verdure et donnant sur la mer. Une villégiature réputée et hop! Vous prenez des couleurs et vous vous mettez à bronzer à vue d’oeil. L’ambiance bon enfant dans cette île des Caraïbes, entourée de passionnés de littérature. Cette foire, est achalandée par les grands et les petits.
A propos de ces derniers encore, une belle nouvelle a marqué la journée, il s’agira de la remise du «Prix de l’humilité» à la conteuse algérienne, Sihem Kennouche qui a fait le déplacement à La Havanne avec le concours du ministère de la Culture et de l’Onda. Bénéficiaire de ce prestigieux prix littéraire qui porte le nom de Dora Alonzo, Sihem Kennouche est arrivée avec son allure de reine, son verbe serein et son savoir-faire bien habile à communiquer avec les enfants, et ce même sans parler leur langue parfois. Conteuse, un métier en voie de disparition qui vient ainsi d’être distingué à sa juste valeur par les organisateurs de la Foire du livre de La Havane.
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Le romancier Smaïl Yabrir a plaidé, à Tipasa, pour l’encouragement de l’acte d’écriture en tant qu’action culturelle consacrant la citoyenneté et la diversité.
Animant, vendredi à la bibliothèque communale de la ville, une soirée littéraire sur son dernier roman «Moula El Hayra», détenteur de l’édition 2018 du prix Mohamed Dib, le romancier, également journaliste, a décrit l’acte d’écriture comme «un sacrifice et un combat exigeant beaucoup de temps et de détermination, mais également des valeurs humaines à travers lesquelles le romancier fait son immersion dans la bataille de consécration de la citoyenneté et de l’humanité». Abordant les conditions d’écriture de «Moula El Hayra» qui s’étale sur 60 ans de l’histoire de l’Algérie contemporaine, Yabrir raconte que l’écriture de cette fresque humaine lui a pris cinq années «alliant, tour à tour, douleur, espoir, désespoir et certitude».
«J’ai dû arrêter de travailler durant une année, et même négliger ma petite famille pour faire aboutir ce roman», a- t-il ajouté. S’agissant du choix de la ville de Djelfa (200 km au sud de la capitale algérienne) pour son roman, Yabrir estime que la chose s’est faite naturellement, vu sa relation intime avec la région, dont il est natif. «Il s’agit là d’un patrimoine culturel acquis, sauvegardé par notre mémoire d’enfant», a-t-il indiqué, soulignant que «notre relation avec un lieu consacre en nous l’esprit de citoyenneté et d’acceptation de l’autre». «Source de fierté oui, mais pas d’arrogance et d’exclusion de tout ce qui est différent de nous», a-t-il poursuivi, rejetant le sectarisme sous toutes ses formes, car en fin de compte «nous sommes tous unis par les notions de Nation et Humanité», estime Smail Yabrir.
Il a aussi cité la lecture comme un moyen idoine pour s’ouvrir sur l’Autre et s’enquérir de sa culture, ses us et coutumes, tout en étant un facteur de cohésion sociale.
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