Le 58ème anniversaire de l'accession du Bénin à la souveraineté internationale a été célébré avec beaucoup de nouveautés. En plus de la réduction du chronogramme, la nouvelle tenue de la police républicaine révélée au public, le chef de l'État s'est montré proche du peuple à travers quelques tours de salutations.
1er août 1960 - 1er août 2018. Il y a 58 ans, le Bénin s'est affranchi de la domination coloniale. Une fois de plus, l'anniversaire de l'accession à l'indépendance a été célébré avec faste. C'est la ville de Cotonou qui a abrité la cérémonie officielle marquée par le défilé des différentes composantes de l'armée béninoise. Après le dépôt de gerbe à 9h30 par le chef de l'État, au monument aux morts, s'en est suivie la revue des troupes, puis le défilé marquant la célébration de cette festivité. Avec de nouvelles touches à la célébration, tout s'est déroulé dans l'ordre et la discipline.
Célébrée dans une sobriété totale, dans un chronogramme bien défini, l'accent été mis sur le défilé purement militaire. Le défilé piédestal et celui motorisé ont marqué aussi cette fête. Aucune composante civile qui met en scène les différentes couches socio-culturelles n'a été associée cette fois-ci. La présence remarquée des membres d'institutions et des têtes couronnées témoigne de la vigueur de la cérémonie.
Le chef de l'État, le président Patrice Talon a suivi de long en large cette cérémonie riche en couleurs. La nouvelle tenue de la police républicaine a été révélée au cours du passage des ses différentes composantes. La cérémonie comme prévue s'est déroulée en 90 mn. À la fin du défilé, le chef de l'État a tenu à saluer les personnalités présentes à ses côtés. Il a aussi au cours d'une courte marche salué le public venu suivre la cérémonie. Une touche particulière à cette célébration.
Aucun ancien président de la République n'a honoré ce rendez-vous cher à la nation.
Giscard AMOUSSOU
Le président américain Donald Trump envisage désormais une taxe de 25% sur 200 milliards de biens chinois importés, contre 10% évoqués jusque-là, en plein bras de fer commercial avec Pékin qu’il accuse depuis des mois de pratiques « déloyales », rapporte mardi le Washington Post. Après avoir imposé des taxes à l’importation sur les machines à laver, les panneaux solaires, l’acier et l’aluminium et déjà 34 milliards de dollars de produits chinois, Washington a annoncé le 10 juillet une nouvelle liste de produits visés, portant sur 200 milliards de dollars de marchandises chinoises.
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Le prochain vainqueur de la Coupe arabe des clubs empochera un cheque de 6 millions dollars contre 2,5 millions pour le perdant, selon le tableau des récompenses dévoilé par l’Union arabe de football (UAFA).
Par ailleurs, chaque formation recevra la somme de 50 mille dollars à chaque tour pour couvrir les frais de ses matches aller et retour.
L’Union arabe de football (UAFA) rappelle que chaque fédération nationale recevra 10% du total des gains des équipes qui prennent part à cette compétition.
Trois clubs algériens: l’ES Sétif, l’USM Alger et le MC Alger prennent part à l’édition 2018-2019 de la coupe arabe.
Tableau des récompenses:
Vainqueur : 6 millions de dollars
Finaliste : 2,5 millions de dollars
Equipes éliminées en demi-finales : 500 mille dollars
Equipes éliminées en quarts de finale : 200 mille dollars
Equipes éliminées en huitièmes de finale : 50 mille dollars
Equipes éliminées en 16èmes de finale : 25 mille dollars.
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Le Plan national de lutte contre la sécheresse sera finalisé à fin 2018 pour être mis en œuvre dès 2019, a indiqué mercredi à Alger le premier responsable de la Direction générale des forêts (DGF), Ali Mahmoudi.
Ce plan est en cours d’élaboration par l’expert algérien Safar Zaitoun, désigné par la Convention des Nations-Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD), en partenariat avec les organismes et les centres de recherche nationaux habilités, a indiqué M. Mahmoudi à la presse en marge d’une réunion d’information sur cette initiative lancée par cette agence onusienne. Cette rencontre a permis de présenter et de mettre en débat le projet de ce plan national proposé par ce consultant, d’apporter les amendements nécessaires pour aboutir à un système fiable et fonctionnel pour faire face au problème de sécheresse et de se préparer à une résilience efficace.
Selon le Directeur général de la DGF, dans le cadre de ce plan, qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des décisions approuvées lors de la COP13 tenue à Ordos (Chine) en septembre 2017, l’ONU octroie son aide aux pays les plus touchés par la sécheresse ou la désertification. Ainsi, sur les 34 pays qui ont été sélectionnés, figurent 20 pays africains dont l’Algérie, a-t-il fait savoir. Dans ce sens, un appel à candidature pour la sélection d’experts a été lancé par l’UNCDD afin de charger ses experts d’élaborer un plan de lutte contre la sécheresse spécifique à chaque pays concerné par ce plan d’aide.
Lors de cette rencontre, il a été expliqué qu’à travers cette initiative de l’UNCDD, il s’agit d’aider les pays retenus à renforcer la résilience à la sécheresse en mettant en œuvre des actions concrètes sur les systèmes de préparation à la sécheresse pour renforcer la résilience des personnes, des communautés et des écosystèmes. L’objectif consiste également à aider les pays sous la forme d’une « boîte à outils » de techniques reconnues à partir de laquelle les pays pourraient choisir un meilleur ajustement compte tenu de leur situation particulière.
La première phase de l’initiative contre la sécheresse se concentrera à aider les pays à élaborer des plans complets de sécheresse nationale. Le plan national de la sécheresse précisera le processus pour faire face à la sécheresse et les activités liées à la sécheresse, telles que l’alerte précoce et la prévision, la définition des niveaux de déclaration de déclencheurs, des analyses d’impact, des recommandations d’intervention et les mesures d’atténuation.
Ce plan créera également une structure nationale du gouvernement pour coordonner les informations, identifier les moyens de se préparer à la sécheresse, identifier les différentes zones touchées par la sécheresse, d’identifier les risques liés à la sécheresse, et communiquer l’étendue et de l’ampleur de ces conditions de sécheresse. De plus, en cas d’urgence de la sécheresse inévitable, le plan permet d’identifier les moyens d’atténuer les effets des sécheresses, a-t-on expliqué.
Par ailleurs, M. Mahmoudi a avancé que l’Algérie envisage d’adhérer à un autre projet onusien intitulé « Initiative Grande Muraille Verte » dans le cadre du fonds Climat Vert afin de pouvoir financer la réhabilitation du Barrage vert du pays. « Le Grande Muraille Verte est un vaste projet de la FAO contre la désertification qui concerne toute l’Afrique de l’est à l’Ouest et nous souhaitons en faire partie », a-t-il souligné. À cet effet, il a fait savoir que l’Algérie avait déjà déposé sa candidature auprès de la FAO pour un certain nombre de projets dans le cadre de ce programme.
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Une bagarre entre Booba et Kaaris, deux rappeurs bien connus du milieu du rap français, a éclaté ce mercredi après-midi à l’aéroport d’Orly.
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Un sondage typiquement britannique prétend mettre fin à un très vieux débat sur le thé : le lait doit être versé après l’eau, selon une majorité de personnes interrogées.
Le sondage, réalisé par l’institut YouGov auprès de 1 600 personnes, relève que 80% d’entre elles versent l’eau avant le lait sur leur thé. La question, qui peut sembler superficielle aux non-Britanniques, fait couler beaucoup d’encre et avait même été abordée dans un essai par le célèbre écrivain britannique George Orwell, intitulé Une bonne tasse de thé, en 1946, dans lequel il plaidait pour que l’eau soit versée avant le lait. L’ordre dépend de l’âge : un tiers environ des personnes âgées de 65 ans et plus ajoutent encore le lait d’abord, contre 4% seulement des 18-24 ans, selon le sondage. La question a un arrière-plan de classe sociale, explique YouGov sur son site : la porcelaine fine était censée mieux résister au choc de l’eau bouillante donc seuls les moins riches versaient
le lait d’abord pour diminuer la température du breuvage. Mais YouGov nous rassure : de nos jours, cette distinction n’existe plus et les classes laborieuses comme les classes moyennes versent l’eau avant le lait.
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Le jardin du 1er-Novembre, situé au centre-ville de Tizi Ouzou,
est devenu une décharge à ciel ouvert, comme le démontrent ces sacs poubelles remplis de canettes de bière, amassés après le passage des agents de la commune. Ce qui explique pourquoi les citoyens refusent toujours de s’aventurer à l’intérieur de ce jardin pourtant situé au centre-ville !
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Le torchon brûle entre le wali de Bouira et son chef du protocole, à en croire des sources proches de l’institution. Ce dernier cumule les bourdes et autres écarts de langage avec certains proches collaborateurs
du wali, des élus et même des directeurs de l’exécutif.
Ce qui a poussé le wali à lui adresser des avertissements pour qu’il cesse son excès de zèle. Il a récidivé en omettant de présenter au ministre du Commerce, en visite dans la wilaya, les élus locaux, suscitant une polémique. Il s’est même permis d’empêcher des membres du conseil local de l’Ordre des architectes (Cloa) d’accéder au bureau du wali. Et pour terminer, il s’en est pris le mois dernier à la directrice de la culture, qui a saisi par écrit le wali où elle fait part de la brutalité de ce chargé de mission. Cette fois, la coupe semble pleine.
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Le célèbre réalisateur de films documentaires, Abderrazak Larbi-Cherif, vient d’enrichir la filmothèque algérienne avec un nouveau film documentaire consacré à l’histoire de la JSK, allant de 1946, année de sa création, jusqu’à 1996, soit un parcours historique d’une cinquantaine d’années. La projection de ce film documentaire a eu lieu lundi dernier à partir de 16 heures sur l’écran de la grande salle des spectacles de la maison de la Culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou. A ce rendez-vous étaient présents beaucoup d’anciennes gloires de la JSK, des supporters, des intellectuels, des personnalités politiques, des artistes, des gens du monde associatif et autres personnes à l’empreinte propre à elles mais d’une importance certaine.
Pour ce film documentaire, dont la projection s’est faite en présence du réalisateur, l’accent a été mis sur les besoins et les conditions de création de ce club kabyle en 1946 puis son cheminement jusqu’à l’année 1996. A travers les différents personnages interviewés par les réalisateurs, il ressort que la première équipe footballistique de la ville des Genêts remonte à l’année 1908 et avait pour appellation Olympique de Tizi Ouzou. L’Olympique de Tizi Ouzou, dont les dirigeants et les joueurs étaient d’origine européenne, était destiné exclusivement aux amoureux de la balle ronde européens. Les Algériens étant ouvertement brimés par l’occupant. C’est pourquoi des personnalités algériennes, conscientes des enjeux identitaires, ont décidé de créer la JSK. C’était exactement le 29 juillet 1946.
L’agrément fut obtenu par ses fondateurs le 2 août 1946. Le 8 septembre de la même année, la JSK joua son premier match. C’était en 3e division. Trois années plus tard, le club accéda à la 2e division. En 1956, alors que la guerre faisait rage, le FLN donna l’ordre à la JSK de geler ses activités footballistiques. En même temps, beaucoup de joueurs et de techniciens du club rejoignirent le maquis sous la bannière, bien sûr, du FLN-ALN. Deux années après l’indépendance nationale, soit au cours de l’année 1954, la JSK a repris ses activités sportives, et ce en évoluant en 2e division. Avant la guerre d’indépendance, la JSK avait pour mission, à travers ses couleurs et son identité, de mener une mission idéologique et politique face à l’occupant. Après l’indépendance, ce même club sportif avait la charge de mener le combat pour l’identité et la culture amazighes. Sur le plan purement sportif, elle accéda en première division en 1969. Le match décisif fut joué au stade Oukil-Ramdane face à l’équipe de Boufarik qui, à l’époque, était une grande référence nationale en matière footballistique.
Le but historique fut inscrit par Aezki Kolli. Et depuis cette année, le club kabyle ne cessait de connaître le prestige et la gloire. En cette décennie 1970, la science footballistique connut une avancée fulgurante. La décennie 1980, ce fut l’apogée du club canari. A noter que les personnalités et acteurs interviewés par le réalisateur de ce film documentaire sont très nombreux. Il s’agit, entre autres, de certains fondateurs de la JSK, des joueurs de ces décennies 1960, 1970 et 1980 ainsi que Rabah Madjer et l’ancienne gloire du MCA, Ali Bencheikh. Ces deux grandes figures du football national et international ont mis en exergue la grande valeur de la JSK et surtout son ancien libéro, Miloud Iboud. Celui-ci a, lui aussi, parlé durant longtemps face à la caméra de Abderrazak Larbi-Cherif. Beaucoup d’autres joueurs se sont exprimés face à la caméra du réalisateur. Il est impossible de les citer tous tant ils étaient nombreux. Concernant les gens de la presse, Abderrazak Larbi-Cherif-donné la parole à Méziane Ourad, Mohamed Haouchine et Rachid Hamoutène. Ces deux derniers cités sont des témoins privilégiés de l’évolution footballistique des Canaris. Et, par conséquent, leur témoignage vaut leur pesant
d’or. Mounis Aït-Menguellet, dans son témoignage au réalisateur, a parlé de la symbolique identitaire de la JSK. « Même les non-amoureux de la balle ronde se reconnaissent à travers la JSK », a dit le célèbre artiste. Le célèbre libraire et éditeur de la capitale du Djurdjura, Amar Cheikh, a fait également partie des personnalités interviewées par Abderrazak Larbi-Cherif. Amar Cheikh n’est pas seulement un intellectuel, mais aussi un homme qui a tapé dans la balle ronde au sein de la JSK entre 1968 et 1972.
Son témoignage a été des plus précieux sur ce long et glorieux parcours des Canaris. Après la projection du film, il y a eu plusieurs personnalités qui ont demandé à prendre la parole. Leurs interventions ont permis de relever ce que le réalisateur appelle « des oublis » et « des détails manquants ». Aux précisions apportées par ces intervenants, le réalisateur a promis les correctifs nécessaires. Il convient de relever également que ce film documentaire n’a aucunement mentionné Moh-Chérif Hannachi, encore moins le passage de son interview. Et pourtant, Dans les années 1970 et le début des années 1980, Moh-Cherif était l’un des piliers de la JSK. En sa qualité de libéro, il a su même révolutionner les missions propres à ce poste. Ses grandes compétences footballistiques lui ont même valu de porter au bras le brassard de capitaine d’équipe. A notre question au réalisateur de savoir pourquoi il n’a pas interviewé Moh-Cherif Hannachi, sa réponse a été que c’était Hannachi en personne qui ne voulait pas sparticiper à ce film documentaire.
Notons également que cette production encouragée et financée par l’APW de Tizi-Ouzou à l’époque où Hocine Haroun était à sa tête n’a pas été du goût d’un ancien élu de l’APW. « Pourquoi donc ce film documentaire n’est pas allé au-delà de l’année I996 », nous dit cet ancien élu qui a préféré parler sous couvert de l’anonymat. Il a ajouté : « Il fallait mentionner les dernières coupes et titres remportés par la JSK ! (…) Est-ce pour éviter de parler de Moh-Cherif Hannachi ? Et pourtant, l’histoire retient que ces titres en question ont été remportés par la JSK alors que Hannachi se trouvait à sa tête », a conclu notre interlocuteur avec amertume.
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Mme Nora Frioui a été en effet installée lundi au département de Hocine Necib en tant que directrice centrale chargée de l’assainissement. Elle a été pressentie pour le poste de directrice des ressources en eau de la wilaya d’Alger durant le premier mandat du ministre. Plus qu’une femme aux compétences avérées, Mme Frioui a eu à gérer des projets et non des moindres durant sa carrière à l’Office national de l’assainissement, dont les deux mégaprojets d’El-Oued et d’Ouargla. Durant la période où elle occupait le poste de directrice générale adjointe de l’ONA, Mme Frioui tenait d’une main de fer les réseaux d’assainissement de l’ensemble des wilayas du pays. C’est une femme qui a blanchi sous le harnais dans le domaine de l’assainissement. Elle a été l’un des principaux acteurs ayant eu à gérer les lendemains des inondations de Bab El-Oued et de Ghardaïa. Mme Frioui est diplômée en chimie industrielle, option génie de l’environnement.
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Le député FLN, Bahaeddine Tliba, est un parlementaire à part. Non seulement il refuse toujours de restituer deux véhicules appartenant à l’Assemblée populaire nationale, mis à sa disposition avec chauffeur, lorsqu’il était dans les instances, notamment vice-président de la Chambre basse du Parlement, mais il a équipé ses véhicules personnels de plaques minéralogiques atypiques, ne portant que le numéro d’enregistrement à la wilaya. Pourtant, les caractéristiques de ces plaques sont codifiées par décret.
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En octobre, Isabelle Adjani va tourner un film mis en scène par Yamina Benguigui dans le pays natal de son père. Une première pour l’actrice, indique le Parisien.
« C’est un grand moment pour nous », confie avec émotion Yamina Benguigui. A partir de fin octobre et pendant onze semaines, la cinéaste tournera « Sœurs » avec Isabelle Adjani, d’abord entre Alger, Oran et Constantine, puis à Paris et dans le nord de la France. « Pour la première fois, Isabelle va tourner en Algérie, dans un rôle d’Algérienne », souligne la réalisatrice. Le long-métrage racontera comment trois sœurs – interprétées par Isabelle Adjani, Rachida Brakni et Maïwenn – se déchirent lorsque l’une d’elles (jouée par la star) décide de raconter au théâtre la vie de leur père mourant, ajoute le Parisien.
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Le public constantinois était convié durant trois soirées à des spectacles féeriques. Intitulée « Underwater bubbles » (bulles sous l’eau) la représentation a été très appréciée par les spectateurs, notamment les enfants venus en force.
Une aventure digne des légendes ayant inspiré les grands écrivains des histoires d’aventure. Le public convié à la salle des spectacles Ahmed Bey a été invité à plonger dans un monde tiré de l’éphémère vie de bulles conçues de liquide savonneux. Durant presque deux heures, des bulles prennent vie un moment sous des formes et des couleurs multiples avant de disparaître pour laisser place à d’autres plus petites ou plus grandes, dans un spectacle où s’enchaînent des scènes admirablement exécutées par d’habiles artistes maniant parfaitement les tours de magie, les acrobaties ou encore la danse.
L’histoire est tirée de l’imaginaire d’un important homme d’affaires rongé par le stress et qui d’un coup, se retrouve dans un univers sous-marin plein de bulles peuplé de créatures subaquatiques. Hippocampes, méduses et autres poulpes et poissons aux couleurs sublimes nageant sur scène, offrant un spectacle unique, ont laissé peu de répit aux spectateurs qui furent aussi immergés dans le décor fabuleux.
« Je suis très contente. On a vécu un moment exceptionnel. Je n’ai jamais vu un spectacle pareil. Un grand merci pour les artistes et surtout les organisateurs. Encore bravo », ont été d’ailleurs les propos d’une petite fille à la sortie de la salle.
Dace Pezzoli, artiste et épouse du metteur en scène Enrico Pezzoli au Jeune Indépendant
« Le public algérien est merveilleux »
D’origine lettonienne, une ex-république de l’Union soviétique, Dace Pezzoli, une des actrices de la troupe Bubleland, donne ses impressions à la sortie d’une des trois soirées présentées à la salle Ahmed Bey de Constantine par la troupe dirigée par son mari le réalisateur italien Enrico Pizzoli
C’est quoi au juste l’idée qui vous a inspiré pour faire ce genre de spectacle ?
Nous avons voulu innover, moi et mon époux. Faire du cirque sur une scène de théâtre avec de nouvelles idées jamais réalisées auparavant. A l’origine, une idée simple et géniale à la fois nous est venue à l’esprit. La bulle et son éphémère existence.
L’histoire en elle-même raconte les aventures d’un certains Mister B, homme d’affaires de son état qui, rongé par le stress de la vie quotidienne et du business, se voit un jour introduit dans un endroit magique nommé « Bubland », où il croise les habitants de cet univers semblable à celui des fonds abyssaux océaniques. Un monde peuplé d’hippocampes, d’étoiles de mer, de méduses géantes, de sirènes ou encore de poissons dragons. Mister B est petit à petit plongé dans cet univers et il finit par se laisser entraîner par la féerie des lieux.
Ce ne fut certainement pas facile pour vous de monter ce spectacle ?
On a toujours baigné moi et mon époux dans le milieu du spectacle. Le cirque, les acrobaties et tout ce qui gravite autour de cet art ne nous est pas étranger. Nous avons vécu plusieurs étapes où nous avons côtoyé les scènes pour des shows de magie et de danse.
Personnellement j’ai d’abord commencé à me produire dans mon pays, la Lettonie, avant des aventures merveilleuses ailleurs à travers plusieurs pays.
Nous avons plus de 22 ans d’expérience dans le monde du divertissement et avec une vaste expérience dans le monde entier. Cela nous a énormément aidé. Nous nous sommes dit, après des années, qu’il était temps d’innover et de présenter autre chose et d’offrir un spectacle mémorable, et on a dû mettre à profit tout notre savoir-faire en mariant la magie, la danse et les acrobaties. Mon époux Enrico Pezzoli est le metteur en scène ; il est aussi acteur. « B » est le premier spectacle à bulles qui donne un sens et une nouvelle dimension à l’art des bulles de savon, en le portant à un niveau inégalé. C’est un spectacle, comme vous avez pu le constater, très excitant.
Un mot sur le public algérien
Nous avons été étonné et surpris de découvrir que le public algérien en général est très réactif ; il était magnifique. Il est très attentionné et nous a applaudis durant tout le spectacle. Ceci nous a facilité la tâche ; vous savez bien que si vous voulez qu’un artiste s’éclate sur scène et donne tout ce qu’il a, il faut lui montrer que vous vous intéressez à ce qu’il présente. C’est véritablement un signe d’échange d’amour pour l’autre. Le public algérien a été génial puisque nous nous sommes déjà produits à Alger et Oran. Ce fut la même réaction.
Avez-vous visité Constantine ?
Nous avons été en randonnée en soirée ; nous avons découvert une ville unique à mon avis. Constantine est très belle ; elle porte le surnom, à juste titre je dirai, de bridges-city (La Ville des ponts. Nous avons pu visiter certains ponts et personnellement j’ai été impressionnée par celui bondé de jeux de lumière (le pont suspendu). Et nous avons prévu avec les organisateurs de faire une tournée avant de partir.
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L’Aïd el-Adha est une grande fête musulmane, célébrée avec enthousiasme, un resserrement des liens familiaux et une profonde ferveur religieuse. Cependant, en pleines vacances, les Algériens n’y pensent pas encore. Pour le moment, seuls les pouvoirs publics prennent déjà les dispositions nécessaires pour que cette fête se déroule dans de bonnes conditions.
Parmi ces mesures, le ministère de l’Hydraulique arrive en tête. Ainsi M. Necib, a rassuré, au cours d’un déplacement sur le terrain à l’intérieur du pays, quant à la disponibilité totale de l’eau durant les deux jours de l’Aïd. D’autre part, les abattoirs se mobilisent déjà pour être à la disposition des citoyens. Il en de même des vétérinaires qui s’y préparent activement et seront tous présents ce jour-là. Il n’y a que le mouton, élément essentiel de l’Aïd el-Adha, qui n’est pas encore visible. Pour des familles avisées, soucieuses de leur pouvoir d’achat, on achète un agneau plusieurs mois à l’avance que l’on nourrit jusqu’au jour de l’Aïd. Pour d’autres, ayant le sens des affaires, c’est un troupeau d’agneaux qu’on achète, que l’on prend en charge et qui seront revendus adultes avec un bénéfice juteux.
La grande majorité des familles attendent les derniers jours précédant la fête pour acquérir leur mouton au marché. Quelle sera sa valeur cette année avec la flambée des prix que connaît le pays, suite à la diminution des revenus des hydrocarbures. C’est une question que se posent déjà bon nombre de citoyens, qui tiennent absolument au rite du sacrifice du mouton. Leur pouvoir d’achat est devenu bien maigre avec les dépenses du ramadhan, celles des vacances, celles de la rentrée scolaire toute proche, fixée cette année au 5 septembre. Cette situation va encore mettre mal à l’aise les citoyens qui ont acquis récemment leur logement AADL et qui ont commencé à s’acquitter de leurs échéances.
Pourtant, les éleveurs n’ont aucune raison d’augmenter leurs prix. Le mouton est un produit local, ne souffrant pas des taxes à l’importation. Son alimentation n’est pas sujette ni tributaire de cette même importation. Mieux encore, la pluie abondante de cette année 2018 a fait fleurir les pâturages. Cette pluie a même été tardive avec de fortes précipitations dans tout le pays aux mois de mai et de juin, donnant une herbe abondante et généreuse pour l’alimentation du bétail.
Les éleveurs doivent tenir compte de ces facteurs favorables, don de la nature pour proposer des prix raisonnables. Ces éleveurs doivent se rappeler que vu les prix élevés de la viande chez le boucher, il existe des familles algériennes pauvres ne consomment, cette viande qu’une fois par an, le jour de l’Aïd El-Adha. Pour le moment, le mouton n’a pas encore envahi les villes, surtout les quartiers populaires. Il ne va sûrement pas tarder car on ne peut imaginer un Aïd el-Adha sans mouton.
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Algérie Poste et l’Agence nationale de promotion et de développement des parcs technologiques (ANPT) ont signé ce mercredi à Alger un protocole d’accord visant à développer le paiement électronique en Algérie.
Le protocole a été paraphé par le directeur général d’Algérie Poste, Abdelkarim Dahmani, et le directeur général de l’ANPT, Abdelhakim Bensaoula, à l’occasion des Journées d’étude sur le « e-commerce et le e-paiement », organisées sur deux jours par l’ANPT au niveau du cyber parc de Sidi Abdallah.
Cet accord porte sur « le développement des services électroniques des sites web marchands », a déclaré à l’APS le DG d’Algérie Poste, expliquant que les deux entreprises « vont mettre en place, à travers cet accord, un mécanisme de partenariat permettant aux jeunes start-up de pouvoir développer des services web marchands dans le cadre de la nouvelle politique adoptée par Algérie Poste pour le développement du paiement électronique ».
Pour le même responsable, cet accord de partenariat « va contribuer au développement des services du paiement en ligne, dans le sens où les start-up vont avoir la documentation et l’assistance nécessaires des services techniques d’Algérie Poste pour pouvoir développer des sites web marchands pour les commerçants et les fournisseurs de biens et de services ».
Il a ajouté que le développement de ces prestations, à travers les entreprises start-up au niveau de l’incubateur de Sidi Abdallah, « contribuera au développement du commerce électronique et du paiement en ligne des différentes prestations à distance pour le compte de ces commerçants ».
Pour sa part, le DG de l’ANPT a indiqué que le protocole d’accord signé « vient en réponse aux besoins exprimés par Algérie Poste en termes de développement des solutions de paiement électronique », relevant que l’ANPT « va soutenir, à travers cet accord, les efforts d’Algérie Poste pour généraliser l’utilisation de ces solutions et vulgariser la technologie auprès du citoyen ».
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Malgré toutes les mesures annoncées par le ministère de l’Intérieur afin de garantir aux citoyens un accès libre et un environnement sécurisé au niveau des plages, le phénomène d’exploitation illicite est loin d’être fini. Une visite nous a menés sur quelques plages du littoral est de la capitale afin de nous enquérir de la situation sur le terrain. Nombreuse étaient les familles, samedi matin, à affluer vers la côte est de la capitale, direction la plage dite « Benyounès », à l’est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès. La plage est alors remplie de parasols. Un groupe de jeunes gère les locations.
Sur la plage, aucune place n’est libre. Les parasols sont plantés comme des champignons, les tables et les chaises en plastique sont collées afin d’occuper tout l’espace. Il n’existe aucune intimité entre les estivants, regrettent les familles rencontrées sur place. « Pour se permettre d’avoir une bonne place pied dans l’eau il faut arriver à six heures du matin », nous dit un père de famille venu de Rouiba, avant d’ajouter : « Je me suis déplacé vers cette plage vu sa bonne réputation. Mais là, il y a trop de monde et on ne trouve pas de place pour placer notre parasol. Nous sommes obligés de louer ».
Même si les prix appliqués sont exorbitants, le citoyen n’a guère d’autre choix que de payer, en l’absence de toute concurrence ou parce que les parasols et les tentes proposés à la location sont mis aux meilleurs emplacements, ou encore parce qu’il est interdit d’utiliser ses propres équipements. Même constat à la plage du Bateau cassé, à Bordj El-Kiffan, à l’est d’Alger. Une dame, la cinquantaine, nous a fait part de son mécontentement après avoir payé 1 500 DA pour 4 chaises, une table et un parasol, découvrant plus tard que des équipements gratuits relevant de l’Office des parcs des sports et de loisirs d’Alger (OPLA) sont disponibles juste à quelques mètres d’elle.
Accompagnée de ses quatre enfants, la dame regrette l’absence des agents de contrôle. « En l’absence des agents de contrôle, les squatteurs des plages font la loi ici à Bateau cassé. L’estivant doit payer le parking, la table, les chaises et le parasol. Cela est inacceptable. Une journée en mer nous revient très cher », clame la dame. Arrivant avec un parasol sous le bras, un père de famille nous apprend qu’il est obligé de planter son parasol à l’arrière puisque tous les espaces sont occupés par des parasols de location. « Je me demande comment je vais surveiller mes enfants pendant qu’ils se baignent », s’inquiète-t-il. Fort est de constater que, finalement, la plage n’est pas gratuite pour le citoyen algérien, et ce malgré les promesses des autorités.
Appel aux citoyens à déposer plainte contre les squatteurs
Le directeur du tourisme de la wilaya d’Alger, Noureddine Mansour, a mis en avant « la gratuité » des équipements disponibles sur les plages au profit des estivants, appelant chaque citoyen contraint de payer ces services, à déposer
plainte auprès des services concernés au niveau des plages.
« L’accès aux plages de la wilaya d’Alger et l’exploitation des équipements disponibles, à savoir les tables, les chaises et les parasols, sont gratuits pour tous les estivants », avait déclaré M. Mansour au sujet de la contestation de certains estivants contraints à payer ces équipements en dépit de leur gratuité. « Quiconque se trouve contraint à payer l’accès à la plage ou aux équipements n’a qu’à se diriger vers les services concernés au niveau des plages pour déposer plainte », a-t-il souligné.
Affirmant que la direction du tourisme de la wilaya d’Alger n’a reçu, à ce jour, aucune plainte de la part des estivants à ce sujet, M. Mansour a mis en garde des « comportements de certains agents qui outrepassent cette décision en demandant une contrepartie financière ». M. Mansour a rappelé que la wilaya d’Alger disposait de 87 plages, dont 21 interdites à la baignade et 67 autorisées, outre l’existence de 30 établissements hôteliers (pieds dans l’eau) d’une capacité d’accueil de 9 000 lits. Les services de la Protection civile de la wilaya d’Alger ont recensé l’affluence de quelque 752 000 estivants ayant fréquenté les plages d’Alger depuis le début du mois de juin écoulé, et ce jusqu’à la deuxième semaine du mois de juillet.
Par Lilia Ait Akli
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