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Afrique

Une sanction administrative en perspective pour des enseignants

24 Heures au Bénin - Sat, 08/18/2018 - 19:25

Les enseignants qui ont boycotté l'évaluation du 28 juillet dernier dans le sous-secteur des enseignements maternel et primaire doivent s'attendre à une sanction administrative. Salimane Karimou, Ministre des Enseignements Maternel et Primaire l'a précisé, ce vendredi 17 août 2018, sur la Télévision nationale dans une émission où l'occasion lui était donnée pour faire le bilan des actions entreprises au cours de l'année 2017-2018.

« C'est une sanction administrative que moi je ne saurais dévoiler ici », répond Salimane Karimou, par rapport à ce qui est prévu pour les enseignants qui ont boycotté l'évaluation du 28 juillet 2018.
Le Ministre en charge des Enseignements Maternel et Primaire affirme que des dispositions de la loi prévoient les sanctions à cet effet. « Quand vous allez dans la loi portant sur la fonction publique, une sanction est prévue pour l'agent qui se met dans une position de manquement à l'autorité, lorsque vous êtes dans une situation d'insubordination, une sanction est prévue », souligne le ministre qui a assuré qu'il n'y aura pas de mutation punitive pour les enseignants qui n'ont pas participé à ladite évaluation.
Se désolant du faible taux de participation à l'initiative du Gouvernement de s'enquérir des besoins réels du personnel enseignant des écoles maternelle et primaire, il a précisé que le taux de participation à cette évaluation tourne autour de 20% au plan national.
Malgré la réticence des instituteurs qui n'épousent pas majoritairement la méthode utilisée, il a réitéré que le plan de l'amélioration de la qualité de l'éducation prévu par le Gouvernement sera mis en œuvre.
Pour cela, le ministère va mettre sur pied un nouveau plan de formation et d'évaluation qui seront sanctionnées par des décisions en fin de compte. « Au cours des formations, il y aura une évaluation formative et les enseignants seront notés du point de vue de leur présence, du point de vue de leur assiduité au travail. Après les formations, ils auront une évaluation sommative à la fin qui pourrait déboucher à la limite sur une attestation », a-t-il annoncé.
Selon le Ministre, après toutes ces évaluations, s'il est constaté des enseignants mauvais, ils ne seront plus maintenus dans le système.
« Au terme de tout ça, si on découvre toujours qu'il y a des gens qui, malgré les formations, malgré tout ce qui a été fait, ils continuent d'être mauvais pour le système éducatif, de grâce, qu'on ne nous demande pas de maintenir », avertit Salimane Karimou.
Autres points évoqués par le ministre, c'est les primes et les mutations qui viendront à temps pour faciliter la tâche aux enseignants en vue de l'effectivité de la rentrée le 17 septembre 2018. « La rentrée aura lieu, l'année sera apaisée, nous y travaillons », a-t-il conclu, confiant.

Boniface CAKPO

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Un prix pour pérenniser la mémoire d' Oscar Kidjo

24 Heures au Bénin - Sat, 08/18/2018 - 19:07

Les artistes étaient jeudi dernier réunis à la salle Canal Olympia de Cotonou pour rendre un hommage mérité à l'artiste-musicien-arrangeur-producteur, Oscar Slim Kidjo ou Dah Kandjo manta Zogbin. Une occasion pour le ministre d'annoncer un prix en hommage au disparu.

C'est en prélude aux cérémonies de ses obsèques, que les artistes ont rendu un grand hommage à Oscar Slim Kidjo ou Dah Kandjo manta Zogbin, rappelé à Dieu le vendredi 13 juillet dernier dans sa 68ème année. Cet hommage est couronné de plusieurs prestations tant heureuses qu'éprouvées. Ces cérémonies d'hommage se sont déroulées à Canal Olympia de Wologuè dans la soirée de ce jeudi 16 août 2018.
Ancien directeur de la promotion artistique et culturelle au ministère de la culture du Bénin et membre du Conseil d'administration du Festival international de théâtre du Bénin (Fitheb) jusqu'à sa mort, Oscar Slim Kidjo est un icône de la musique qui a passé sa vie pour servir sa passion. Une vraie mobilisation de plusieurs acteurs notamment musiciens, arrangeurs, producteurs, cinéastes, comédiens, journalistes culturels, autorités politico-administratives. Des témoignages n'ont pas manqué au cours de cette cérémonie qui fait honneur à la mémoire du disparu. Que ça soit Alèkpéhanhou, Zolawadji, Anice Pépé, Sagbohan Danialou, Vincent Ahéhéhinnou, Madou, Zeynab, Ignace Don Métok, El-Régo, Ousmane Alédji, Romuald Hazoumè et autres grandes figurent des arts, les témoignages étaient à la hauteur de la personne qu'est Oscar Kidjo.

Préserver la mémoire de Oscar Kidjo

Le ministre du tourisme, de la culture et des sports, Oswald Homéky a dévoilé au cours de cette cérémonie d'hommage, l'instauration du prix Oscar Kidjo. Ce prix dédié en la mémoire du grand artiste Oscar Kidjo permettra chaque année, de primer le meilleur arrangeur ou tout autre talent dans le secteur notamment de la musique, selon la formule qui sera retenue. C'est la seule manière selon le ministre de rendre hommage à l'artiste-musicien-arrangeur-producteur à qui la nation béninoise ne saura jamais payer l'entièreté des services rendus.

G. A.

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S. Hanana appelle au changement à travers les urnes

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 08/18/2018 - 18:45
Alakhbar - Saleh Ould Hanena, chef du parti Union pour le changement (Hatem) appelle à des changements économiques, politiques et sociales à...
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Elim CAN 3X3 : la Mauritanie valide sa qualification

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 08/18/2018 - 18:00
Rim Sport - L’équipe nationale de Mauritanie de Basket ball 3X3 a composté, ce vendredi (17 août 2018), son billet pour la phase finale de la...
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La Palestine met en garde l’occupant israélien après la fermeture de la mosquée d’El-Aqsa

Algérie 360 - Sat, 08/18/2018 - 17:23

EL QODS occupée – La présidence palestinienne a averti vendredi l’occupant israélien des « conséquences dangereuses » de la fermeture de la mosquée d’Al-Aqsa dans la Vieille ville d’Al Qods.

Les autorités d’occupation israéliennes ont rouvert vendredi la mosquée pour les fidèles palestiniens après plusieurs heures de fermeture. Le département des Biens des Musulmans de la ville a déclaré dans un communiqué que les prières de l’aube seraient tenues à l’heure dans la mosquée. L’agence de presse palestinienne WAFA a rapporté que la police israélienne avait forcé les fidèles palestiniens à quitter la cour de la mosquée, fermant une de ses portes, et avait arrêté quatre personnes.

Selon l’agence, la police israélienne a empêché l’accès et la tenue de la prière du soir dans l’édifice. Dans le même temps, la présidence palestinienne a annoncé que le président Mahmoud Abbas avait tenu vendredi soir une réunion d’urgence pour suivre l’évolution de la situation dans la mosquée d’Al-Aqsa.

« Ces mesures sont totalement rejetées et nous en tenons le gouvernement israélien pleinement responsable. »

« Je le répète, Al Qods-Est et la mosquée d’Al-Aqsa sont une ligne rouge, il n’y aura ni paix ni sécurité tant que celle-ci sera franchie« , a déclaré M. Abbas dans une déclaration présidentielle publiée par WAFA. Al Qods est l’une des questions relatives au statut final dans le cadre des négociations israélo-palestiniennes, bloquées depuis 2014 après neuf mois de pourparlers sans progrès sous l’égide des Etats-Unis.

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Djelfa : notable dynamique des marchés hebdomadaires du bétail

Algérie 360 - Sat, 08/18/2018 - 17:23

DJELFA – Les marchés hebdomadaires du bétail à Djelfa enregistrent une dynamique « notable » à la faveur d’une grande affluence des citoyens en quête de moutons pour l’Aïd el Adha.

Réputés pour la qualité de leur bétail, les marchés de Ain Roumia, Hassi Bahbah, Dar Chioukh et El Birine connaissent ces derniers jours une affluence inégalée de citoyens venant de plusieurs wilayas, tant de l’est que de l’ouest du pays. Ainsi, les prix des moutons qui avaient stagné au début enregistrent une « reprise » oscillant entre 60.000 et 80.000 DA pour les moutons à cornes et entre 35.000 et 56.000 DA pour les moutons de moins d’une année. Nombreux sont les citoyens déçus par les prix de la brebis en raison de la forte demande qui a entrainé une hausse des prix passant de 25.000 DA à 30.000 et même 35.000 DA.

Des maquignons mécontents et des citoyens dépités

A Souk El Ténine, les maquignons approchés par l’APS ont exprimé leur mécontentement concernant les rumeurs sur une prétendue prolifération de maladies contagieuses touchant le cheptel, arguant qu’après la grande peine qu’ils se donnent dans l’élevage de leurs bêtes, l’approche de l’Aïd el Adha est toujours le moment propice à la propagation de rumeurs fallacieuses, voire tendancieuses visant à déstabiliser le marché ».

En contrepartie, les citoyens se plaignent de la cherté des prix du mouton d’autant que l’Aïd el Adha intervient cette année après les vacances d’été et coïncide avec la rentrée sociale et scolaire, sans parler des frais qu’impliquent les fêtes de mariage et le Hadj. Cependant, la dynamique qui marque le marché de bétail ne traduit pas le mécontentement des deux parties (maquignons et acheteurs), l’activité commerciale paraissant des plus normale, voire toujours favorable aux revendeurs qui saisissent ce genre d’occasions pour se remplir les poches.

Les prix des moutons soumis à l’offre et la demande

Les responsables du secteur agricole et les connaisseurs du marché s’accordent à dire que les prix du bétail sont soumis, en général, à l’équation de l’offre et de la demande qui constituent de véritables indicateurs sur lesquels se base le commerce du bétail qui diffère souvent d’un marché hebdomadaire à un autre et d’une période à une autre. Néanmoins, la grande affluence que connaissent les marchés hebdomadaires dans la wilaya de Djelfa s’explique par la qualité de son cheptel qui bénéficie d’une grande attention de la part des maquignons djelfaouis, soucieux de garantir leur qualité en prévision de l’Aïd, ce qui fait du mouton de Djelfa une marque qui fait la réputation de toute la région.

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Banque d’Algérie : une approche « prudente et pragmatique » de la gestion du taux de change

Algérie 360 - Sat, 08/18/2018 - 17:17

ALGER – La Banque d’Algérie, « dans son approche prudente et pragmatique de gestion du taux de change, a maintenu sa trajectoire en matière de politique de change inaugurée à compter de juin 2016 », ont indiqué à l’APS des responsables de cette institution financière.

« L’ajustement du cours du dinar n’ayant obéi, essentiellement, qu’à des fluctuations, sur les marchés financiers internationaux des changes, des monnaies de référence » que sont l’euro et le dollar », avancent-ils Faisant une rétrospective de la politique de change du pays, ils rappellent que le régime de change adopté par la Banque d’Algérie, au début des années 90, est celui de « flottement dirigé ». Ce régime se situe entre les deux régimes extrêmes : le régime de « parité fixe » et celui de « taux de change flottant ».

Selon les mêmes responsables, ce régime de flottement dirigé « s’écarte ainsi de la fixation purement administrative du taux de change sans, pour autant, abandonner totalement la détermination du taux de change aux seules forces des marchés internationaux ». Cette relative flexibilité « permet à la Banque d’Algérie d’ajuster le taux de change en fonction des déterminants structurels et macroéconomiques, internes et externes, tout en tenant compte des évolutions des taux de change des principales monnaies sur les marchés internationaux », poursuivent-ils.

Dans ce cadre, la politique de change de la Banque d’Algérie se fixe, pour variable cible, « le maintien du Taux de change effectif réel (TCER) à un niveau proche de son niveau d’équilibre ». Le TCER est défini comme étant le taux de change effectif nominal, rapporté aux prix relatifs de l’économie nationale et des principaux pays partenaires, qui permet de favoriser, simultanément, une croissance non inflationniste (équilibre interne) et un compte courant de la balance des paiements soutenable à long terme (équilibre externe).

A ce propos, ils soulignent que la détermination du TCER s’appuie sur les fondamentaux de l’économie nationale, identifiés comme étant le différentiel de productivité et le différentiel d’inflation entre l’économie nationale et les pays partenaires, le degré d’ouverture de l’économie, le prix de pétrole et les dépenses publiques. C’est ainsi qu’en pratique, la Banque d’Algérie détermine chaque année le niveau cible du taux de change effectif réel d’équilibre en fonction de l’évolution de ces fondamentaux, font-ils savoir.

Au cours de l’année, la Banque d’Algérie intervient sur le marché interbancaire des changes pour « veiller à ce que l’évolution du taux de change effectif nominal (et donc des taux nominaux bilatéraux), sous l’effet des fluctuations des monnaies des pays partenaires sur les marchés internationaux de change, n’induise pas d’écarts significatifs entre le niveau mesuré du TCER et son niveau d’équilibre de moyen terme », détaillent les mêmes responsables.

Questionnés sur l’évolution du taux de change du dinar entre 2000 et mi-2018, ils soutiennent que durant les années 2000, « la bonne tenue des fondamentaux de l’économie nationale, notamment le niveau des prix du pétrole, celui des dépenses publiques et le différentiel du niveau d’inflation avec ceux des principaux pays partenaires, a permis de stabiliser le taux de change effectif réel à son niveau d’équilibre fondamental de l’année 2003 ». Ce qui s’est traduit, dès 2003, par une appréciation progressive du dinar contre le dollar (le cours passant de 79,7 DA pour 1 dollar en moyenne en 2002 à 64,6 DA pour 1 dollar en moyenne en 2008, soit une appréciation de 23,4 % sur la période).

En revanche, le dinar s’est déprécié de 26,8 % vis-à-vis de l’euro sur la même période, en raison de la forte appréciation de l’euro contre le dollar américain (le taux de change de l’euro par rapport à la monnaie américaine étant passé de 0,9236 en moyenne en 2000 à 1,4708 en 2008). Mais au cours de l’année 2009, les fondamentaux de l’économie nationale ont connu une forte détérioration dans le sillage de la crise économique et financière internationale (chute des prix du pétrole, forte baisse des recettes d’exportation d’hydrocarbures, hausse du ratio dépenses budgétaires/PIB ), relèvent-ils.

Ces évolutions ont induit une dépréciation du dinar par rapport au dollar de 11,1%, en moyenne en 2009 et de 2,1% par an sur la période 2010-2013. Sur ce point, ils notent que cette dépréciation en nominal a permis de limiter la déviation du TCER mesuré, par rapport à son niveau d’équilibre, à 2,17 % sur la période. Quant à l’effondrement du prix du pétrole à partir du deuxième semestre de 2014, cela s’est traduit, en 2015, par un déficit du compte courant extérieur de 16,4 % du PIB et un déficit budgétaire de 15,3 % du PIB.

« Cette forte détérioration de l’un des principaux fondamentaux de l’économie nationale, en contexte de différentiels d’inflation et de productivité défavorables et de nécessaire maintien de la dépense publique à un niveau élevé pour soutenir la croissance et l’emploi, a entraîné une dépréciation du dinar, en moyenne annuelle, de 19,8 % vis-à-vis du dollar et de 4,07 % contre l’euro entre 2014 et 2015, tenant compte de l’évolution des cours de change entre ces deux devises sur les marchés internationaux »

Selon eux, « face au choc externe de grande ampleur et durable, le taux de change du dinar a joué, dans une large mesure, son rôle d’amortisseur, en l’absence de consolidation budgétaire ». Cela a permis de contenir la forte déviation du TCER par rapport à son niveau d’équilibre, induite par la dégradation substantielle des fondamentaux et de contribuer à limiter l’impact du choc externe sur la stabilité macroéconomique, à moyen terme, commentent-ils.

Mais à partir de juin 2016, dans un contexte de quasi stabilité des cours de change euro/dollar sur les marchés internationaux de change entre juin 2016 et juin 2017, « le second semestre de 2016 et le premier semestre de 2017 ont connu une relative stabilisation du cours de change du dinar vis-à-vis des deux principales monnaies de règlement de l’Algérie ». Cependant, sur l’ensemble de l’année 2017, l’euro a enregistré une appréciation sensible de 12,4 % par rapport au dollar. En conséquence, le dinar s’est déprécié de 3,3% vis-à-vis de la monnaie européenne, et de 1,3% vis-à-vis de la monnaie américaine. En cours de fin de période, le dinar s’est déprécié de 15,4 % par rapport à l’euro et de 3,8 % vis-à-vis du dollar, entre fin décembre 2016 et fin décembre 2017.

Ces dépréciations sont intervenues essentiellement au second semestre de l’année 2017, soit des dépréciations de 10,5 % et 6,2 % vis-à-vis de l’euro et du dollar, respectivement. Pour les responsables de la Banque d’Algérie, « le glissement du dinar, en cours de fin de période, notamment par rapport à l’euro, reflète donc et dans une très large mesure l’évolution des cours de change des deux principales monnaies de règlement de l’Algérie (de l’euro par rapport à la quasi-totalité des monnaies, et du dollar par rapport à certaines monnaies de pays partenaires) dans un contexte de persistance des déséquilibres des comptes extérieurs et publics et d’évolution défavorable de certains fondamentaux de l’économie nationale, notamment le différentiel d’inflation avec nos principaux partenaires commerciaux ».

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Mali: manifestation de l'opposition contre la réélection du président Keïta

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 08/18/2018 - 17:16
Romandie News - Des partisans de l'opposant malien Soumaïla Cissé manifestaient samedi à Bamako pour protester contre la réélection du...
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Marché parallèle : l’Euro en baisse face au Dinar algérien

Algérie 360 - Sat, 08/18/2018 - 17:12

L’Euro a enregistré au cours des derniers jours une légère baisse de sa valeur sur le marché parallèle algérien, où se font les principaux échanges de devises en Algérie.

Ainsi, l’Euro s’échange à 205 Dinars à l’achat et entre 208 et 209 Dinars à la vente. Au début de la semaine dernière, la monnaie unique européenne s’échangeait à 208 Dinars à l’achat et 210 Dinars à la vente.

À contrario, le Dollar américain a enregistré une hausse de sa valeur et se maintient au dessus de la barre des 180 Dinars au marché parallèle, après avoir enregistré il y a quelques jours un record de 182 Dinars pour 1 Dollar.

La baisse de l’Euro est due à la grande quantité disponible actuellement sur le marché, du fait de l’affluence des algériens établis à l’étranger qui viennent passer leurs vacances avec leurs familles, explique notamment un habitué de ce marché interrogé par Observ’Algérie.

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EN : La FIFA sanctionne l’Algérie financièrement

Algérie 360 - Sat, 08/18/2018 - 17:01

La commission disciplinaire de la FIFA a décidé de sanctionner la FAF après les deux matchs disputés face à la Mauritanie avec la dernière CAN ( 7 et 10 janvier 2017) .

La FIFA a condamné la FAF à payer une amende de 6000 francs Suisse pour non-respect du code disciplinaire de la FIFA et du Règlement des matches amicaux de la fédération Algérienne sous l’ère Raouraoua. En effet ces deux matchs amicaux n’avaient pas été signalés à la FIFA comme il est réglementaire de le faire.

Cette décision assortie d’une mise en garde est définitive et n’ouvre droit à aucun appel .

De son côté la FAF a pointé du doigt l’ancien bureau fédéral et indique qu’elle va assainir toutes les erreurs qui ont été commises pas celui-ci.

DZfoot.com

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Tlemcen : une fillette de 12 ans enlevée et violée par plusieurs individus

Algérie 360 - Sat, 08/18/2018 - 16:57

Une fillette âgée de 12 ans a été victime d’un enlèvement suivi d’un viol collectif de la part d’une bande de malfaiteurs dans la commune de Aïn Youcef, dépendant administrativement de la wilaya de Tlemcen (500 kilomètres à l’Ouest d’Alger).

Selon des sources locales, les faits ont eu lieu au cours de cette fin de semaine, lorsque la victime a été enlevée non loin du domicile de sa famille situé dans la commune sus-citée. Les suspect auraient conduit leur victime dans un bois à proximité où ils l’auraient forcée à consommer de l’alcool avant de la violer, pour ensuite l’abandonner sur les lieux et prendre la fuite.

Retrouvée par des passants, la victime a été reconduite auprès de sa famille qui s’est immédiatement rapprochée du groupement local de la gendarmerie nationale pour déposer plainte suite aux faits.

Ayant ouvert une enquête, les éléments de la gendarmerie nationale sont parvenus à identifier et interpeller deux suspects dans cette affaire, des armes blanches et une quantité de boissons alcoolisées ont également été saisies, ajoutent les mêmes sources. L’enquête de la gendarmerie nationale se poursuit toujours pour identifier et arrêter les complices des deux suspects, qui seront incessamment présentés devant le procureur de la République près le tribunal de la Daïra de Remchi, a-t-on par ailleurs indiqué.

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Niger: L’insécurité fait fuir 17 000 personnes dans l’Ouest

Algérie 360 - Sat, 08/18/2018 - 16:41

Plus de 17 000 personnes déplacées ont été enregistrées depuis janvier dans l’ouest du Niger, une zone instable, frontalière du Mali, théâtre de nombreuses incursions de groupes terroristes, a annoncé jeudi l’ONU. “Les acteurs de la protection estiment qu’au moins 17 382 personnes déplacées internes ont fui les attaques des groupes armés non étatiques et les conflits intercommunautaires dans la région de Tillabéri” dans l’ouest nigérien, indique le Bureau de coordination des affaires humanitaires (Ocha) de l’ONU dans son bulletin.
Le nombre de déplacés “pourrait encore augmenter”, surtout “en cas de détérioration de la situation sécuritaire”, prévient l’agence onusienne. L’ONU signale que “les habitants de 74 villages non encore affectés par les mouvements et situés le long de la frontière avec le Mali sont considérés à haut risque de déplacement”.
En janvier, seulement 540 déplacés avaient été officiellement dénombrés dans cette zone, où l’état d’urgence, en vigueur depuis mars 2017, a été récemment reconduit. “Des opérations militaires conjointes sont en cours dans la région afin de réduire les capacités de nuisance des groupes armés”, constate Ocha. Un corridor humanitaire, “négocié” avec la Force conjointe du G5-Sahel (Mali, Niger, Burkina Faso, Mauritanie et Tchad), a permis au Programme alimentaire mondial PAM et à des ONG d’acheminer fin juillet 96.000 tonnes de vivres et des biens non alimentaires à 5 570 déplacés installés dans deux localités d’accueil situées dans la “zone rouge”. Ces mouvements de population sont également liés “aux effets des mesures sécuritaires visant à juguler les infiltrations meurtrières et récurrentes de terroristes venant du Mali voisin”, avait expliqué un responsable local à l’AFP.  Pour lutter contre les terroristes, le Mali, le Niger, le Burkina Faso, la Mauritanie et le Tchad ont monté la force du G5-Sahel, qui doit compter 5 000 hommes à terme.

R. I./Agences

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Mauritanie: la défense de Biram dénonce un harcèlement politico-judiciaire

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 08/18/2018 - 16:33
Le360 - La défense de Biram Ould Dah Ould Abeid, leader de l’Initiative de résurgence du mouvement abolitionniste (IRA-ONG antiesclavagiste)...
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Saïd Sadi au café littéraire d’Aokas: “Le message de la Soummam doit être revisité”

Algérie 360 - Sat, 08/18/2018 - 16:29

Les premières attaques subies par le projet soummamien avaient émané de Ben Bella qui ne cessait de mener une campagne de dénigrement contre l’architecte du Congrès de la Soummam, le défunt Abane Ramdane.

Le Dr Saïd Sadi a qualifié, hier, depuis la ville d’Aokas, la plateforme de la Soummam d’acte de naissance de l’État algérien et d’un certificat d’incompatibilité démocratique du système politique de l’Algérie indépendante, précisant que “la charte de la Soummam avait donné naissance aux institutions ayant permis à l’Algérie combattante de mener sa Révolution jusqu’au bout”.
Animant hier un café littéraire à la salle de cinéma de la station balnéaire d’Aokas, l’ancien leader du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) a abordé le thème “Plateforme de la Soummam : repères historiques, acquis politiques et référents culturels”.
Intervenant devant une assistance nombreuse, l’orateur a d’emblée estimé que “la plateforme de la Soummam, qui fut une démarche intellectuelle, politiquement opérationnelle, doit être revisitée et réétudiée. Elle fut élaborée par des hommes modernes, très audacieux, non dogmatiques, mais plutôt pragmatiques. Ce qui explique leur capacité de transcender leurs considérations partisanes devant la priorité de la cause nationale”.
Selon le conférencier, la charte de la Soummam prône les principes fondamentaux de la démocratie, dont la laïcité. Afin d’étayer ses propos, le Dr Sadi citera, à ce titre, le témoignage du défunt Lakhdar Bentobal, l’un des acteurs de la rencontre d’Ifri, qui lui avait confié que “la question de la laïcité a bel et bien été débattue et assumée lors du Congrès de la Soummam”, ce qui l’avait amené à suggérer à l’ancien président du RCD de “ne pas lâcher prise à propos de ce principe fondamental de la démocratie et de la modernité”.
Après avoir décortiqué les grands axes de la charte de la Soummam, ainsi que sa portée historique, le Dr Saïd Sadi se demandera : “Pourquoi le projet soummamien a-t-il avorté ?” La réponse réside, selon lui, dans ce qu’il qualifie de “premier coup d’État contre l’Algérie” qui avait eu lieu en août 1957, soit une année après la tenue du Congrès de la Soummam, au Caire (Égypte). Allusion faite aux “pressions” exercées à l’époque par le président égyptien d’alors, Djamal Abdel Nasser, via Fathi Dib, alors patron des services secrets, sur celui qui deviendra le premier président de la République algérienne, le défunt Ahmed Ben Bella. Selon le Dr Sadi, les premières attaques subies par le projet soummamien avaient émané de Ben Bella qui ne cessait de mener une campagne de dénigrement contre l’architecte du Congrès de la Soummam, le défunt Abane Ramdane. “Les attaques de Ben Bella, qui revendiquait ouvertement son appartenance au courant arabo-musulman, ont coûté l’isolement d’Abane. Néanmoins, à travers celui-ci, ce fut le projet de la Soummam qui était réellement visé”, a-t-il soutenu. Et pour conclure, le Dr Sadi se dit persuadé que “la bataille entre les malgaches (anciens du Malg) et le message de la Soummam se poursuivront jusqu’au jour où l’Algérie pourra se relever”.

KAMAL OUHNIA

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Ligue 1 (2e journée ) : MOB 1 – JSK 1 « Les Canaris méritaient mieux »

Algérie 360 - Sat, 08/18/2018 - 16:27

Finalement le derby kabyle n’a pas connu de vainqueur. Un résultat qui contente les deux équipes.

Le stade de l’Union maghrébine de Béjaïa a abrité, hier, le neuvième derby entre le MOB et la JSK. Une fois de plus, cette confrontation entre les deux clubs kabyles a été très disputée. Les deux équipes se sont quittées sur un score de parité (1-1) même si les Canaris, auteurs d’une bonne deuxième période, méritaient mieux. En effet, la première période a été équilibrée et marquée par une extrême prudence des deux côtés où le jeu s’est concentré au milieu du terrain.
En effet, il n’a été enregistré que deux occasions, une pour chaque équipe, concrétisées par des buts. Le Malien du MOB a lancé en profondeur Kadri, ce dernier a profité d’une faute de la charnière centrale de la JSK et de la sortie du portier Salhi pour ouvrir le score (9’).
Les poulains de Franck Dumas, jusque-là très crispés, ont réagi et ont obtenu un penalty après le fauchage dans la surface de réparation de Hamroune par le défenseur Bouldiab. Benaldjia se charge de la sentence et remet lespendules à l’heure (25’). Au retour des vestiaires, les visiteurs, qui ont gagné en confiance au fil du temps, ont profité des espaces laissés par les Crabes pour dominer les débats. Après une première alerte de Benyoucef (57’) qui a vu son tir rater de peu le but gardé par Bencherif, les poulains de Dumas ont failli prendre l’avantage par Renai (82’). Ce dernier qui s’est joué de Bouldiab s’est retrouvé face au gardien des Vert et Noir qui s’est interposé au tir de l’attaquant des Vert et Jaune. Sur la lancée, le même Renai, qui s’est faufilé dans la surface de réparation, a été crocheté par Mazari (84’).
Les visiteurs ont longuement réclamé un penalty. La décision de l’arbitre qui a refusé un but inscrit par Hamroune (86’) pour une position de hors-jeu, a été encore une fois contestée.
Les Béjaouïs, en panne d’inspiration tout au long de cette deuxième période, n’ont eu à leur actif qu’une seule occasion de but signée par l’intermédiaire de Kadri dont le tir des 20 mètres est passé à côté des bois de Salhi. Pour leur première sortie devant leurs supporters, les Crabes n’ont pas fourni le rendement escompté notamment après le large succès du week-end dernier à Médéa.

Résultats partiels
MO Béjaïa-JS Kabylie 1-1
USM Bel-Abbès-O Médéa 1-2
Aujourd’hui :
Paradou AC-CR Belouizdad (21h00)
Samedi 25 août à 17h :
NA Hussein-Dey-USM Alger
AS Aïn M’lila-ES Sétif
DRB Tadjenanet-MC Alger

Par Z. Tairi

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Maladie mystérieuse à Bouira: L’eau hors de cause, selon la DSP

Algérie 360 - Sat, 08/18/2018 - 16:23

L’origine de la maladie demeure inconnue, la piste de l’eau est exclue.

Les résultats de l’enquête diligentée par les services du ministère de la Santé quant à l’infection d’origine virale qui a fait deux morts à Bouira ne sont toujours pas connus, a-t-on appris, hier, auprès de la direction locale de la santé. Toutefois, une chose est certaine : selon cette direction, l’eau est hors de cause. En effet, les prélèvements effectués par les services de la direction de l’hydraulique se sont avérés négatifs.
“Toutes les analyses effectuées dans les daïras d’Aïn Bessam, de Bir Ghbalou et dans les différents points d’eau de la région ont démontré que l’eau consommée est hors de cause”, ont affirmé, ce jeudi, les responsables de la direction des ressources en eau. Pour ce qui est des quatre patients admis à l’Établissement hospitalier spécialisé (EHS) d’El-Kettar à Alger, leur état est stationnaire, a-t-on appris auprès de leurs familles. “Leur état de santé ne prêtait plus à l’inquiétude ces dernières 48 heures. Ma sœur (le quatrième cas diagnostiqué mercredi, ndlr) va mieux et son insuffisance rénale a nettement regressé”, a assuré Mohamed, le neveu de la première victime. S’agissant de l’origine de cette maladie, elle demeure inconnue. Ni les services de la DSP ni ceux du centre local d’épidémiologie n’étaient en mesure de communiquer sur le sujet. “Nous n’en savons pas plus que vous (les médias, ndlr)”, lâchera le docteur Boualem Hani, chef de service du département prévention à la DSP de Bouira. Le pavillon des urgences de l’hôpital d’Aïn Bessam, où le premier cas a été diagnostiqué le 8 août dernier, est toujours en quarantaine. Le personnel médical est soumis à une hygiène très stricte, a-t-on constaté sur place. Là encore, aucune information n’a filtré sur les causes de cette infection. Les médecins, tout comme les infirmiers et les ambulanciers, vivent, depuis mardi, la peur au ventre. “Nous avons, certes, peur, mais nous évitons d’y penser. Nous attendons les résultats du ministère, comme tout le monde”, indique le personnel médical interrogé jeudi. Devant un tel manque en matière de communication, les spéculations et autres rumeurs enflamment les réseaux sociaux locaux, ce qui accentue la panique, voire la psychose, chez les citoyens. Ces rumeurs évoquent des maladies telles que le choléra, la typhoïde, ou encore un virus provenant du moustique tigre. Face à ces spéculations sans fondement, aucun communiqué d’aucune institution compétente ne les a contredits. Pis encore, la cellule de crise mise en place au lendemain du décès du second cas, soit mardi dernier, n’a, pour l’heure, émis le moindre communiqué, laissant ainsi libre cours aux rumeurs les plus alarmistes. Contactés jeudi, les services de l’Institut Pasteur d’Alger n’ont pas souhaité s’exprimer sur le sujet, tout indiquant que les résultats des analyses seront communiqués “prochainement”, sans donner de date précise. Pour rappel, depuis le 12 du mois en cours, la wilaya de Bouira est au cœur de l’actualité à cause d’une étrange maladie qui a déjà coûté la vie à deux femmes âgées. Cette infection virale provoque des troubles gastriques et surtout une insuffisance rénale pouvant entraîner la mort.

RAMDANE BOURAHLA

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Le ton monte entre les deux pays: Pas de désescalade entre la Turquie et les États-Unis

Algérie 360 - Sat, 08/18/2018 - 16:19

Le ton est encore monté, jeudi et hier, entre Washington et Ankara avec des menaces de part et d’autre de durcir les sanctions.

Réagissant aux déclarations du secrétaire américain au Trésor, Steven Mnuchin, qui avait affirmé, jeudi, que les États-Unis imposeraient de nouvelles sanctions à la Turquie si le pasteur américain détenu dans ce pays n’était pas libéré, la ministre turque du Commerce a répondu, hier, qu’Ankara répliquera à toutes nouvelles mesures de Washington à son encontre. “Nous avons répliqué (aux sanctions américaines) en accord avec les règles de l’OMC et nous continuerons de le faire”, a déclaré, hier, la ministre turque, Ruhsar Pekcan, citée par l’agence de presse Anadolu. Ainsi, la crise diplomatique entre les deux alliés de l’OTAN ne montre aucun signe d’apaisement, bien au contraire l’escalade se poursuit. Face à ces développements, la livre turque, qui a pourtant repris des couleurs cette semaine après une spectaculaire débâcle, piquait à nouveau du nez, hier, en perdant près de 5% sur la séance face au dollar, effaçant ses gains de la veille et tombant à 6,1246 pour un billet vert.

Pendant ce temps, Ankara refuse de libérer le pasteur américain Brunson, qui est au cœur de la tempête diplomatique entre les deux pays. Placé le mois dernier en résidence surveillée après plus d’un an et demi d’incarcération, il est accusé par la Turquie d’espionnage et d’activités “terroristes”. Un tribunal turc a rejeté, mercredi, la levée de l’assignation à résidence de M. Brunson, mais son avocat a indiqué à l’agence AFP qu’une autre cour de plus haute instance devait encore se prononcer. Face à cette position turque, le président Donald Trump a estimé, jeudi soir, sur son compte twitter que “la Turquie a profité des États-Unis pendant beaucoup d’années”. “Ils retiennent notre merveilleux pasteur chrétien, à qui je dois maintenant demander de représenter notre pays en tant qu’otage patriote”, a-t-il également écrit avant d’ajouter : “Nous ne paierons rien pour la libération d’un homme innocent”. Pendant ce temps, le ministre turc des Finances Berat Albayrak, par ailleurs gendre du président Recep Tayyip Erdogan, s’était efforcé, jeudi, de rassurer les marchés, au cours d’une téléconférence inédite avec plusieurs milliers d’investisseurs. Il a assuré que “son pays émergerait encore plus fort de la crise de la livre, dont la valeur a fondu d’environ 40% par rapport au dollar cette année”. Il a aussi indiqué que son pays n’était pas en contact avec le Fonds monétaire international pour un éventuel plan d’aide et qu’Ankara n’aurait pas recours au contrôle des capitaux.

Ceci étant, les économistes restent préoccupés par la dispute entre Ankara et Washington, mais aussi par la mainmise de Recep Tayyip Erdogan sur l’économie. Les marchés ont sévèrement sanctionné le refus de la Banque centrale de relever ses taux d’intérêt le mois dernier, en dépit de la chute de la monnaie nationale et d’une inflation galopante. Partisan de la croissance à tout prix, le président turc s’y oppose fermement. Dans la tourmente financière, la Turquie a néanmoins reçu un soutien de poids, mercredi, avec la promesse du Qatar d’investir 15 milliards de dollars dans ce pays.

Merzak Tigrine

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Autour d'un thé: Rire

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 08/18/2018 - 15:51
Le Calame - Moi, je regarde souvent le Parlement du rire. C’est normal. Puisque « tout reste dans l’âme, sauf le rire », nous apprend un adage...
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La loi des parkingueurs: le phénomène pourrit l’été à Oran

Algérie 360 - Sat, 08/18/2018 - 15:37

Le phénomène de l’exploitation illégale des espaces de stationnement et le racket des automobilistes qui s’ensuit ont donné lieu, dans le quotidien des Algériens, à la naissance d’un vocable qui s’est imposé par la force : parkingueur.

Et en ces jours caniculaires où les familles aspirent à la détente et au repos, le long de la corniche oranaise et également en ville, les parkingueurs sont incontournables et sévissent toujours autant. Il y a bien eu un moment de flottement et de bonnes intentions proclamées par les pouvoirs publics suite aux drames survenus cet été où de paisibles pères de famille ont été lâchement assassinés par des parkingueurs. Mais il faut croire que la nature a horreur du vide, et en cette mi-août les gardiens de parking autoproclamés sévissent toujours autant sur le moindre espace de stationnement. Dans la commune balnéaire d’Aïn El-Turck, la chaleur semble avoir assommé les résidents et les estivants. La principale place publique fait peine à voir : terre battue et ni pelouse ni fleurs ne l’agrémentent et seuls quelques palmiers, en fin de vie, y trônent. À 11 heures du matin, les gros sacs-poubelles sont encore essaimés tout autour de cette place. Le ton est donné avant même de se rendre vers les différentes plages de cette commune, les parkingueurs sont partout, se répartissant les rues, les boulevards, les espaces libres y compris juste à côté du siège de l’APC. Se donnant un air de légalité, avec un gilet fluo, le gourdin n’est pourtant jamais très loin, et les allures font penser à tout, sauf à de paisibles gardiens. Aux abords de la plage Cap Falcon, une petite crique qui a connu une extension ces dernières années, il n’aura suffi que de quelques secondes pour nous voir interpeller par un parkingueur, très particulier, criant à tue-tête : “Hé !… ne te mets pas là, va plus loin y a de la place, plus haut allez vas-y…”. C’est un gamin, torse nu, sacoche en bandoulière qui du haut de son 1m 20, veut rouler des mécaniques. Un gosse de 13 ans à qui on ne l’a fait pas. Nous lui demandons s’il est le préposé au parking et sa réponse fuse sans aucune hésitation : “Oui, mon père et moi.” Le fait que nous ne voulions rester que quelques instants n’a pas plu au père et au fils qui tenteront de percevoir leur dîme. Un tarif qui varie selon la durée de l’occupation d’une place qui est devenue la propriété de ce père et de son fils. Une activité illégale et lucrative qui restera comme un héritage dans la famille. Les estivants que nous avons rencontrés confient rapidement leur peur au quotidien, les contraignant à céder au diktat de partout. “C’est la jungle, il n’y a pas d’État, on nous laisse seuls  face à des voyous, c’est tout ce qu’ils sont”, lâche un père de famille venu de la région ouest pour 10 jours sur la corniche oranaise. D’autres vacanciers, en famille, pour une journée de plage, expliquent qu’ils n’ont d’autre choix que de payer le parkingueur, jusqu’à 200 DA, et plus grave de se taire devant le plagiste qui les somme de changer leur parasol d’emplacement. “Je suis en famille, si je réagis, je risque de me retrouver à la morgue”, confesse un quadragénaire, devant ses enfants. Ce sentiment de crainte est partagé par nombre de familles, de citoyens, qui subissent et n’osent se plaindre. Un jeune homme accompagné de son amie le dit clairement : “Si j’étais seul, entre hommes, je pourrais discuter et encore, ils sont souvent à deux ou à trois, alors je paye pour une journée, à quoi bon se bagarrer.”

Parkingueur de père en fils
Les anecdotes pullulent sur toutes les plages d’Aïn El-Turck, de Bousfer jusqu’aux Andalouses où s’affiche le prix de 100 DA le parking mais où le ticket est estampillé 200 DA. Si sur certaines plages, les choses se passent relativement bien, comme à la plage les Étoiles ou Bomo-plage, ailleurs ce n’est pas le cas. Un exemple très révélateur nous sera raconté par une mère de famille. “À Bouisville, un plagiste est venu vers moi pour nous faire partir, j’étais avec mes enfants, quand j’ai été me plaindre aux agents de l’ordre sur la plage, ils m’ont dit de ne pas m’en faire et que, la prochaine fois, j’irai les voir pour qu’ils me trouvent une place.” Cette attitude des représentants des pouvoirs publics est décriée de toutes parts et ne peut passer sous silence. Des citoyens vont même jusqu’à conclure à une “forme de complicité” ou de laisser-faire qui perdure depuis des années. Pour leur défense, les forces de l’ordre assurent sévir et faire respecter la loi en donnant des chiffres, mais qui, à vrai dire, ne sont qu’une goutte d’eau dans un océan. Ainsi, depuis ce mois d’août, 3 parkingueurs ont été arrêtés pour exploitation illégale d’espaces de stationnement à El-Ançor, et depuis le début de l’été, 6 cas d’exploitation illégale de plage ont été traités par les services de la gendarmerie à Bousfer, Mars El-Hadjadj et encore El-Ançor. On nous fait remarquer que, malgré tout, cette année la présence un peu plus visible des forces de l’ordre a permis de calmer le jeu du côté des plagistes et des parkingueurs. Mais si on se focalise sur l’état des lieux au niveau des plages, les parkingueurs sévissent tout autant en ville qu’ailleurs. Une sorte de mafia organisée, qui, à coups d’invectives, d’insultes et de menaces, fait régner sa loi, le long des trottoirs. Les jeunes femmes sont souvent les premières victimes, comme cette conductrice qui s’est vue menacée de représailles physiques par un parkingueur. “Il m’a même interdit de revenir stationner sur son territoire en brandissant un gourdin. Quand je suis allée au commissariat me plaindre, on m’a répondu qu’on allait s’occuper de lui”, mais l’individu sévit toujours au même endroit. La faute, expliquent les forces de l’ordre, aux plaignants qui ne viennent pas après quand ils sont convoqués. La situation est telle, qu’aujourd’hui, dans la société être parkingueur est un emploi, un revenu fixe, permettant à certains de se faire une situation sociale, de se construire un logement et de se marier. Mais malheureusement le phénomène est avant tout celui de l’absence de l’État et du diktat de la “voyoucratie”, dans une société qui prend des allures de far west, comme nous le diront la plupart de nos interlocuteurs.

D. LOUKIL

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Réseau des Organisations sur la Sécurité Alimentaire (ROSA) : Déclaration

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 08/18/2018 - 15:10
ROSA - La saison des pluies vient d’entamer sa seconde partie sans réellement satisfaire les besoins des agropasteurs sur le plan de la...
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