You are here

Afrique

Annaba: Un stock de médicaments prend feu

Algérie 360 - Sun, 11/25/2018 - 10:23

A. Ouélaa

Un important stock de médicaments, situé dans la zone d’activité commerciale de Sidi Salem, commune d’El Bouni, wilaya de Annaba, appartenant à une unité pharmaceutique implantée dans la wilaya d’El Tarf, a pris feu depuis la nuit de jeudi à vendredi et des éléments de la protection civile ont déployé des efforts pour le circonscrire. Une enquête est en cours pour connaître les causes exactes de cet incendie, probablement dû à un court-circuit, ainsi que les dégâts occasionnés par ce feu qui a presque tout ravagé.

The post Annaba: Un stock de médicaments prend feu appeared first on .

Categories: Afrique

Un nouveau recteur de l’université

Algérie 360 - Sun, 11/25/2018 - 10:21

A. O.

  Le SG du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, en présence du wali, de l’intérimaire du P/APW, des doyens, des chefs de département, des représentants syndicaux de l’Université Bendjedid, a procédé, dans l’après-midi de jeudi dernier, à l’installation du nouveau recteur de l’Université Chadli Bendjedid, en la personne de Bachkhenzi Abdelmalek, en remplacement du professeur Layachi.

Ce changement intervient à un moment où l’université est secoué par de nombreux problèmes ponctués par des grèves et contestations du côté d’une partie des enseignants et des étudiants sans oublier la colère en sourdine des enseignants qui ont remis en cause le cas de certains enseignants qui viennent de bénéficier d’un logement dans le quota des 50 logements attribués aux enseignants de l’Université Chadli Bendjedid.

Ces enseignants, comme ils nous l’ont déclaré, vont demander au nouveau recteur de vérifier les enquêtes en ce qui concerne le fichier national afin de s’assurer que ces bénéficiaires dont le nombre se compte sur les doigts d’une seule main méritent vraiment ces logements.

The post Un nouveau recteur de l’université appeared first on .

Categories: Afrique

Le parti de Benflis dénonce: «Confusion générale au sommet de l’État»

Algérie 360 - Sun, 11/25/2018 - 10:20

R. N.

  Pour le Bureau politique de Talaie El Hourriyet, la scène politique algérienne vit sur le rythme de la « confusion générale qui règne au sommet de l’État». Elle est marquée par la «lutte entre des centres de décision au sein de la même famille politique, des dérives institutionnelles, l’instrumentalisation de la justice dans des règlements de compte et le piétinement de dispositions constitutionnelles et législatives», indique un communiqué du parti de Ali Benflis à l’issue de sa réunion mensuelle ordinaire organisée hier. «Chaque jour apporte son lot de «ratés» au sein du système, des signes de l’état de déliquescence dans lequel se trouve la plupart des institutions du pays», affirme le communiqué pour qui «tout ce remue-ménage sur la scène politique nationale a comme toile de fond une lutte ouverte entre différents centres du pouvoir politique, et des forces extraconstitutionnelles, pour influer sur la prochaine échéance électorale».

«Ni l’impasse politique, ni la crise économique qui gagnent en complexité, ne semblent assez graves aux yeux du pouvoir politique en place, accaparé obsessionnellement par l’échéance 2019 qu’il considère comme une simple formalité pour perpétuer la situation du statu quo qui assure la pérennité du régime politique, au point où il semble que les élections ne concernent que le pouvoir politique en place, les autres forces politiques devant servir de décor », ajoute la formation politique de l’ancien chef de gouvernement.

Le communiqué note que « les appels de partis d’opposition et de personnalités politiques nationales pour l’ouverture d’un dialogue politique national pour une sortie de crise consensuelle, n’ont pas encore pu infléchir l’obstination et l’entêtement du pouvoir politique en place à suivre sa feuille de route qui mènera le pays vers l’inconnu». «Le Bureau politique a, de nouveau, exprimé son inquiétude face à la vague d’arrestations qui a, récemment, touché des journalistes, des blogueurs, des artistes, pour faire taire toute voix critique du projet funeste du statu quo et condamne le recours abusif et injustifié à la détention provisoire préventive et aux peines d’emprisonnement pour des délits de presse. La place des journalistes n’est pas dans les geôles, ni dans les prisons, ni dans le box des accusés », ajoute la même source.

Le Bureau politique a, par ailleurs, condamné le recours injustifié à la force à l’encontre du rassemblement et de « la marche pacifique pour les Libertés » organisés à Béjaia le 20 novembre courant, et constate que les autorités se font encore plus répressives à mesure que s’approche l’échéance électorale de 2019 alors que le droit à manifester pacifiquement est garanti par la Constitution.

Loi de finances 2019 approuvée de «manière expéditive»

Concernant la situation économique, le communiqué de Talaie El Hourriyet note « le peu d’intérêt accordé par les députés de la « majorité » au projet de loi de finances 2019 et la manière expéditive avec laquelle il a été « approuvé » par une assemblée législative plus que jamais en manque de légitimité après le coup de force mené contre son président ».

Pour le Bureau politique du parti, la LF 2019 « ne repose sur aucune stratégie économique et financière », «ne contient aucune mesure concrète pour lutter contre l’évasion et la fraude fiscales et aucune mesure de lutte contre la corruption et de régulation de l’informel», et «reflète un manque de volonté politique d’engager des réformes et de rationaliser les dépenses publiques, notamment la réduction du train de vie de l’Etat ». Sur le même sujet, le communiqué estime que la LF 2019 «maintient la gestion opaque des comptes d’affectation spéciale » et « ne comporte aucune stratégie de lutte contre le chômage». En conclusion, le parti de Ali Benflis estime que la LF 2019, «fortement influencée par la prochaine échéance électorale », sera de nature à «aggraver les problèmes en différant les solutions». Par ailleurs, le communiqué «félicite les syndicats autonomes qui ont été à l’origine de la création de la « Confédération des Syndicats Algériens » » qu’il considère comme « acquis important à la fois pour le monde du Travail et sa capacité de défendre ses acquis et droits socio-professionnels mais également pour la lutte pour la démocratie dans notre pays dans la mesure où il consacre le pluralisme et la liberté syndicaux ».

The post Le parti de Benflis dénonce: «Confusion générale au sommet de l’État» appeared first on .

Categories: Afrique

El-Tarf: Changement à la direction de la radio locale

Algérie 360 - Sun, 11/25/2018 - 10:16

A. Ouélaa

  L’adjoint du directeur général des radions algériennes a procédé dans l’après-midi de jeudi dernier à l’installation de Beleulmi Fatma, ancienne animatrice à la radio de Laghouat, en tant que nouvelle directrice de la radio régionale de la wilaya d’El Tarf, en remplacement de Mohcène Ghéraibia, appelé à d’autres fonctions.

Pour rappel, l’ex-directeur de la radio El Tarf, originaire de la wilaya de Souk Ahras, a commencé sa carrière d’animateur radio, spécialisé en sport à la radio de Annaba. Il a été ensuite promu directeur des radios de Souk Ahras, Guelma et depuis plus de six ans dans la wilaya d’El Tarf.

The post El-Tarf: Changement à la direction de la radio locale appeared first on .

Categories: Afrique

France: La manifestation des «gilets jaunes» sur les Champs-Elysées vire au chaos

Algérie 360 - Sun, 11/25/2018 - 10:12

Celine Agniel Et Sarah Brethes (Afp)

Barricades incendiées, fumée noire, feux tricolores arrachés, pavés descellés, canons à eau… Envahi de gaz lacrymogène, le quartier des Champs-Elysées au cœur de Paris a pris samedi des airs de zone de guérilla lors d’une nouvelle manifestation des «gilets jaunes«. Les «gilets jaunes», ainsi baptisés en raison des vestes fluorescentes que chaque automobiliste doit détenir en cas d’accident, protestent contre la hausse des taxes sur le carburant, et plus généralement pour défendre leur pouvoir d’achat malmené. Leur manifestation de samedi n’avait été autorisée qu’au Champ-de-Mars, au pied de la Tour Eiffel, entourée de barrières et ceinturée de forces de l’ordre. «Mais les gens n’ont pas envie d’être parqués, on veut être visible, nous!», clamait à l’aube Jérémy Clément, un chef d’entreprise de Montargis (centre) de 41 ans essayant de rassembler du monde dès l’aube aux abords de Paris avant de converger vers le centre de la capitale. En milieu de matinée, de petits groupes épars, gilet fluo sur le dos, ont rapidement afflué vers la grande avenue des Champs-Elysées, barrée par des cordons de policiers anti-émeutes et de gendarmes mobiles qui interdisaient l’accès à une large zone autour du palais présidentiel voisin. Le président français était au cœur du mécontentement : «Macron démission», «Macron, rends le pognon» et l’hymne français répondaient aux sirènes des forces de l’ordre. Très vite, un cordon policier a été débordé par la marée jaune qui voulait rallier la place de la Concorde, située en zone interdite.

Policiers débordés

«C’est n’importe quoi, on n’a pas d’ordre», peste alors un policier casqué, bras au ciel.

La situation dégénère ensuite très rapidement : des jeunes gens au visage souvent masqué par des foulards et capuches, disséminés dans le cortège, font face aux forces de l’ordre, essayant d’aller au contact. Tirs de grenades lacrymogènes et jet puissant des canons à eau répondent aux tirs de mortiers d’artifice et jets de projectile de toutes sortes : bouteilles, pavés, planches… La place est envahie par les fumées irritantes.

Les manifestants fuient dans les rues adjacentes ou reculent vers l’Arc de Triomphe, en haut des Champs-Elysées. «On vient juste manifester pacifiquement et on se fait gazer… On voit comment on est reçu à Paris!», lâche avec dépit Christophe, 49 ans, venu avec son épouse depuis l’Est de la France.

Derrière le couple, les explosions de grenades, de pétards, de mortiers se succèdent, les canons à eau repoussent la foule. Des barrières métalliques de chantier sont arrachées pour servir de barricades improvisées au milieu de «la plus belle avenue du monde». Des projectiles pleuvent sur les casques et boucliers des policiers anti-émeutes ou gendarmes mobiles.

Ces derniers chargent à plusieurs reprises. Franck, 54 ans, un ex-commercial au chômage depuis quelques mois, venu de la banlieue nord de Paris, semble déçu par la mobilisation, plus faible que le week-end dernier. «On devrait être beaucoup plus nombreux à montrer notre mécontentement par rapport à ce que fait le gouvernement. (Emmanuel Macron ne) laisse pas parler les Français, il fait de la dictature ni plus ni moins«, ajoute le quinquagénaire, pancarte faisant allusion à la révolution française de 1789 sur l’épaule. Plus bas sur l’avenue, une cabine de chantier renversée sur la chaussée brûle.

Une terrasse couverte d’une chaîne de boulangerie s’enflamme à son tour. C’est l’un des rares commerces de l’avenue qui sera touché.

The post France: La manifestation des «gilets jaunes» sur les Champs-Elysées vire au chaos appeared first on .

Categories: Afrique

Une trentaine de terroristes «neutralisés» dans un raid français au Mali

Algérie 360 - Sun, 11/25/2018 - 10:12

R.N.

L’armée française a mené dans la nuit de jeudi à vendredi une opération dans le centre du Mali qui a permis la « mise hors de combat » d’une « trentaine de terroristes », a annoncé vendredi soir l’état-major dans un communiqué. La ministre des Armées Florence Parly a salué « une action d’ampleur, complexe et audacieuse qui a permis de neutraliser un important détachement terroriste au sein duquel se trouvait probablement l’un des principaux adjoints de Iyad ag Ghali, Hamadoun Kouffa, chef de la katiba Massina ». Cette opération, dans la région de Mopti, « a combiné l’action de nombreux moyens aériens: avions Mirage 2000, hélicoptères Tigre et Gazelle appuyés par des drones Reaper, ravitailleur C135 et hélicoptères de manœuvre.

Des frappes aériennes ont permis de réaliser un effet de sidération sur l’objectif », a détaillé l’état-major. Le chef d’état-major des armées, le général François Lecointre, a souligné « la préparation minutieuse et la parfaite coordination de l’ensemble des forces françaises déployées au Sahel qui ont permis la réussite de cette opération.

The post Une trentaine de terroristes «neutralisés» dans un raid français au Mali appeared first on .

Categories: Afrique

Les nouveaux défis du secteur de la santé

24 Heures au Bénin - Sun, 11/25/2018 - 10:09

L'Atelier-Bilan du Programme d'Appui à la Santé Maternelle et Infantile (PASMI) a démarré dans la matinée du vendredi 23 novembre 2018 à Azalaï Hôtel à Cotonou. Présidé par le Ministre de la Santé, Dr Benjamin Hounkpatin, la cérémonie a connu la présence du Directeur de l'Agence Française de Développement (AFD), M. Adrien Haye.

À l'ouverture de l'atelier, Secrétaire Général du Ministère, Didier Agossadou, a souligné que cette rencontre est organisée pour célébrer les résultats positifs du PASMI « qui a permis de renforcer les capacités des ressources humaines, les équipements dans les hôpitaux de façon générale et plus particulièrement dans les unités de transfusion sanguine ».
Le Directeur de l'Agence Française de Développement a déclaré que l'institution dont il assure la direction a accompagné le Ministère de la Santé dans la mise en œuvre du Plan National du Développement de la Santé (PNDS 2009-2018). Il met spécialement l'accent sur la stratégie de réduction de la mortalité maternelle et infantile à travers l'octroi, en novembre 2011 d'une subvention de 10 millions d'euros (6,6 milliards FCFA) pour le financement du PASMI. « Au terme de six années d'exécution et malgré les défis auxquels ce projet a été initialement confronté (...) le PASMI a in fine réussi à renforcer significativement et de manière concrète l'offre de soins dans les structures sanitaires appuyées », a-t-il indiqué.
Selon Adrien Haye, « L'AFD se réjouit de cette exécution réussie, malgré les difficultés traversées et les doutes qu'il a fallu surmonter ».
« Grâce à cet appui, le PASMI a réalisé une performance de 98,81% laquelle performance a permis d'impacter positivement le système de santé », a précisé le ministre de la santé. Benjamin Hounkpatin indique que 26% des hôpitaux bénéficiaires ont pris en charge en moyenne 2049 personnes de tous âges entre juin 2018 et fin octobre 2018.
« C'est fort de ces différents résultats satisfaisants, que j'ai autorisé l'organisation de la présente cérémonie de partage des grandes réalisations du Programme d'Appui à la Santé Maternelle et Infantile », confie le Ministre. Au nom du Président de la République, le ministre a exprimé sa gratitude au gouvernement français et à l'AFD pour cet important appui dont les résultats sont palpables.
Ces résultats montrent la volonté du gouvernement et de ses partenaires à renforcer le plateau technique des centres hospitaliers afin de répondre efficacement aux besoins sanitaires des populations.

Giscard A.

Categories: Afrique

A l’issue d’une visite d’inspection du wali: 7 milliards de cts pour la voirie et la régie des Pompes funèbres

Algérie 360 - Sun, 11/25/2018 - 10:07

D. B.

  A l’issue d’une sortie d’inspection de plusieurs quartiers de la ville, le wali d’Oran a décidé de débloquer une enveloppe de 2 milliards de centimes pour réhabiliter la voirie de Haï Derb et 5 autres milliards pour la régie autonome des Pompes funèbres, a-t-on appris, hier, de sources proches de l’APC d’Oran. Le wali d’Oran a constaté, sur place, la dégradation du réseau de voirie dans ce quartier populaire, qui fera l’objet d’une grande opération de réaménagement, à l’issue du relogement des familles. L’initiative du wali intervient en marge d’une opération de réhabilitation de la voirie urbaine lancée il y a plus de 3 mois à travers plusieurs quartiers de la ville. Pour cette opération une enveloppe budgétaire de 30 milliards de centimes été débloquée par la wilaya d’Oran. Les travaux ciblent 40 km de routes urbaine.

L’opération est chapeautée par la direction des Travaux publics. Des opérations successives de revêtement des chaussées sont lancées, à chaque occasion et sans occasion programmée. Cependant réalisées, à coups de milliards, elles n’arrivent pas à donner les résultats tant espérés et les Oranais se plaignent toujours de l’état dégradé de la chaussée. Les solutions apportées sont, malheureusement provisoires, car à cause des pluies, du froid ou même des grandes chaleurs, c’est le retour à la case départ : les routes retapées la veille redeviennent impraticables le lendemain. Outre la voirie, le wali d’Oran a tenu à soutenir les efforts consentis par les responsables de la Régie communale des Pompes funèbres, en débloquant quelque 5 milliards de centimes. Le cimetière de Aïn el Beida, accueille, quotidiennement, une moyenne de 20 inhumations. Avec ce rythme, d’ici 3 ans, ce cimetière, l’unique ouvert actuellement, à Oran sera complètement saturé.

Selon nos sources « la Régie communal d’Oran gère 4 cimetières musulmans à savoir : Moul Douma, Sidi El Ghrib, El Melh et Ain El Beida et le cimetière chrétien Tamazouat d’El Hamri. Sur les 4 cimetières musulmans, 3 sont entièrement utilisés. Il s’agit de Moul Douma, Sidi El Ghrib, El Melh ». Dans les cimetières saturés, plus personne n’a le droit d’enterrer des défunts. Selon les mêmes interlocuteurs , « cette croissance démographique, a donné lieu à de nouveaux besoins, tous secteurs confondus : habitat, emplois, espaces de loisirs et même des cimetières. Oui de nouveaux besoins en matière d’espaces réservés pour l’inhumation des habitants décédés de cette ville, qui a été multipliée par dix, voire plus, depuis l’indépendance à nos jours. Les cimetières musulmans sis dans le périmètre d’Oran et qui datent de l’ère coloniale sont dans leur majorité, arrivés à saturation, aujourd’hui. La création d’un nouveau cimetière est devenue une urgence pour accueillir les futurs défunts».

Mais comment en est-on arrivé à cette situation? Hormis les cimetières datant de l’ère coloniale, il faut signaler qu’aucun nouvel espace n’a été réservé pour l’inhumation, et même le projet visant la création d’un nouveau cimetière à l’est d’Oran semble avoir été abandonné. Pour rappel, le cimetière sidi Gherib, ouvert avant 1792, d’une surface de 62,94 ares est le plus ancien cimetière musulman situé sur la rive gauche de Oued Raz-el Ain. Le cimetière Moul -Ed-Douma a été ouvert en 1868, alors que celui connu sous le nom El Melh , date de l’année 1929. Le cimetière musulman de Ain el Beida a commencé accueillir les morts à la fin de 1956. Depuis sa création, il a déjà connu 2 extensions, en 1986 et en 2008. Avec ses 140 ha, il est actuellement, le plus grand cimetière de la ville d’Oran.

The post A l’issue d’une visite d’inspection du wali: 7 milliards de cts pour la voirie et la régie des Pompes funèbres appeared first on .

Categories: Afrique

EHU «1er Novembre 1954»: Ouverture, cette semaine, de l’unité de soins palliatifs au profit des cancéreux

Algérie 360 - Sun, 11/25/2018 - 10:03

J. Boukraâ

  Une nouvelle unité de prise en charge des soins palliatifs et de support destinés aux personnes atteintes des maladies graves, évolutives ou terminales, notamment les cancéreux, sera inaugurée, cette semaine, dans l’Etablissement hospitalier universitaire ‘1er novembre 1954′. Selon la cellule de communication de l’EHU, l‘unité qui sera inaugurée, le 29 du mois en cours, est destinée aux personnes atteintes des maladies graves, évolutives ou terminales. « La création de cette entité qui est un élément du plan ‘Cancer’, a pour objectif d’apporter au patient l’assistance nécessaire afin d’alléger ses souffrances, améliorer le confort des patients porteurs des pathologies lourdes et procurer le soulagement de la douleur et des autres symptômes gênants, en mettant à leur disposition tout l’arsenal de soins palliatifs et de soutien.

Les spécialités impliquées, dans une première phase, sont : l’Oncologie, la Médecine interne et la Réanimation médicale. L’entité pourrait, ultérieurement, faire participer d’autres spécialités dans le cadre de l’élargissement de ses missions. L’entité de soins palliatifs et de support est constituée d’une unité d’hospitalisation classique, une unité d’hôpital du jour, une unité de prise en charge de la douleur et un bloc technique de mise en condition pour la réalisation des actes médicaux » selon la même source. Cette unité, première du genre au niveau national, créée dans le cadre du Plan national anti-cancer, permet d’accompagner des malades atteints de cancer en phase terminale, mais aussi des malades chroniques en état très avancé, en leur fournissant des traitements contre la douleur avec un accompagnement psychologique adéquat à leur situation. Louverture de cette unité est très attendue surtout que le nombre des cas de cancer ne cesse d’augmenter. Après la pathologie cardio-vasculaire, le cancer vient en 2ème position, dans la morbidité générale.

En Algérie, des milliers de nouveaux cas de cancer sont enregistrés annuellement. Le Service d’Oncologie médicale de l’établissement hospitalier ‘1er novembre 1954′ a enregistré durant le premier semestre de l’année en cours, près de 9.000 consultations et près de 6.000 hospitalisations du jour avec des séances de cure de chimiothérapie. Dans le même cadre une journée de réflexion sur les soins palliatifs, sera organisée jeudi 29 novembre, à l’EHU. « Cette journée vise à déterminer la notion d’accompagnement palliatif, ce nouveau concept de soin correspond à une vision humaniste de la médecine préoccupée de la prise en charge de la souffrance globale du malade traversant une phase critique d’une affection, potentiellement, mortelle ou vivant la période terminale de sa vie, en sus, ces soins peuvent, indubitablement, influencer de manière positive l’évolution de la maladie et augmenter le taux de survie tout comme les autres traitements », selon un communiqué de l’EHU.

The post EHU «1er Novembre 1954»: Ouverture, cette semaine, de l’unité de soins palliatifs au profit des cancéreux appeared first on .

Categories: Afrique

Djamel Belmadi: « Les places seront très chères en sélection »

Algérie 360 - Sun, 11/25/2018 - 10:00

Par Mohamed BENHAMLA

«Je le dis et redis, tout le monde aura sa chance, qu’il s’agisse de joueurs locaux ou expatriés», a indiqué le sélectionneur national, Djamel Belmadi.

Le sélectionneur national, Djamel Belmadi, a poussé un grand ouf de soulagement après la qualification de son équipe pour la phase finale de la CAN-2019. Il a affirmé qu’un nouveau souffle a été donné au groupe des Verts par les joueurs eux-mêmes, animés d’une grande volonté pour aller de l’avant et honorer les couleurs nationales. Dans un long entretien accordé à la télévision nationale, le driver des Verts dira: «Après la défaite face au Bénin, j’étais vraiment très touché. A notre arrivée à Alger, j’ai trouvé des supporters avec le drapeau algérien en train de nous attendre et nous encourager. Il fallait, donc, leur rendre la pareille. Lors du match face au Togo, j’étais très stressé parce qu’il fallait gagner, chose que nous avons réussi à faire».

«Les supporters ont le droit de voir plus grand»
Après la victoire au Togo (4-1) et la qualification pour la CAN-2019, les supporters algériens voient, désormais, plus grand et espèrent voir leur sélection brandir le trophée pour la seconde fois de leur histoire. Et cette revendication ne semble pas pour autant inquiéter Belmadi qui dira dans ce sillage: «Parfois, nous avons besoin de cette pression de nos supporters pour réaliser de bons résultats. Il s’agit là d’une pression positive et les supporters ont le droit de demander à voir leur sélection au-devant de la scène. Nous allons faire de notre mieux afin de les ravir, comme nous l’avions fait lors du match face au Togo.»

«Ceux qui méritent seront au Cameroun»
Maintenant que les Verts sont qualifiés pour la phase finale de la CAN, les joueurs doivent cravacher dur pour mériter leur place dans le groupe qui sera retenu pour ce tournoi continental. «A la fin du match face au Togo, je me suis réuni avec les joueurs. Je les avais félicités, mais en leur demandant d’oublier vite cette qualification pour se consacrer à la préparation de la CAN et à chacun de prouver, désormais, qu’il mérite de figurer sur la liste des joueurs qui feront le déplacement du Cameroun», a indiqué Belmadi. Pour lui, ceux qui ont contribué à la qualification pour le tournoi final ne sont pas assurés de faire partie du groupe retenu. «Les places seront très chères. L’avantage que j’ai, c’est de disposer de plusieurs bons joueurs à chaque poste, ce qui me donne l’embarras du choix», a-t-il averti.

«Tout le monde aura sa chance»
Le premier responsable technique des Verts a évoqué, par la suite, le niveau du championnat algérien. «Quand on dit que le niveau du championnat algérien est faible, cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de bons joueurs. J’ai repéré plusieurs bons joueurs et j’attends le stage des locaux le mois prochain pour voir à l’oeuvre encore d’autres joueurs. Je le dis et redis, tout le monde aura sa chance, qu’il s’agisse de joueurs locaux ou expatriés. Celui qui sera convoqué, et s’il veut réussir, doit jouer sans complexe, comme le font ceux qui forment actuellement cette sélection», rappelle-t-il encore.

«Qu’on laisse Mahrez tranquille»
L’intervenant a profité de ce passage à l’ENTV pour évoquer le cas de son pro dige, Ryad Mahrez, critiqué sévèrement par certains consultants: «Il faut savoir critiquer d’une manière constructive. Arriver jusqu’à consacrer des émissions complètes pour le critiquer, cela devient inacceptable. Je sais comment faire avec lui et le pousser à sortir le grand jeu, mais je ne le dis pas en public. Cela reste en interne.»

«C’est l’amour de mon pays qui m’a ramené»
Belmadi est revenu sur son intronisation à la tête de la sélection nationale. «Déjà en tant que joueur, je suis venu en sélection à l’âge de 20 ans. A l’époque, seul l’amour du pays a tranché dans mon choix. Presque 20 ans plus tard, je reviens en tant que sélectionneur et avec la même ambition, celle de servir mon pays. Au Qatar, j’étais très à l’aise et j’yai gagné plusieurs titres, mais quand il y a un appel de mon pays, il passe avant tout. Les joueurs actuels ont, eux aussi, la même motivation, ce qui est un très bon signe nous permettant de travailler dans le même sens», a affirmé encore le successeur de Rabah Madjer.

The post Djamel Belmadi: « Les places seront très chères en sélection » appeared first on .

Categories: Afrique

Journée mondiale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes

Algérie 360 - Sun, 11/25/2018 - 10:00

La journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes est célébrée le 25 novembre et soutenue par l’Organisation des Nations unies.

La violence à l’égard des femmes et des filles constitue une atteinte grave aux droits fondamentaux. Ses conséquences sur la santé physique, sexuelle et mentale des femmes et des filles sont multiples ; elles peuvent être immédiates ou de long terme. La violence a des effets négatifs sur le bien-être général des femmes et les empêche de participer pleinement à la vie sociale.

De nombreux pays  disposent de lois contre la violence domestique, les agressions sexuelles et les autres formes de violence. Toutefois, il reste plusieurs défis à relever pour faire appliquer ces lois afin que les femmes et les filles puissent jouir de la sécurité et de la justice.

En Algérie il existe de nombreuses associations qui prennent en charge les femmes victimes de violence conjugale. Sur le plan juridique de nombreuses lois protègent la femme contre la violence.

The post Journée mondiale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes appeared first on .

Categories: Afrique

Bilan des dernières intempéries: 14 morts à déplorer

Algérie 360 - Sun, 11/25/2018 - 09:59

Par Madjid BERKANE

La vague de pluie ayant marqué certaines wilayas du pays durant ces dernières 48 h n’ a pas été sans dégâts à signaler. Ce sont pas moins de 14 personnes qui ont perdu la vie à cette occasion. Le bilan le plus lourd a été causé comme de coutume par les accidents de la route. Les services de la Protection civile ont rendu public dans l’après-midi d’hier, un communiqué de leurs interventions où ils ont fait part de 11 décès et neuf blessés. La capitale arrive en tête des wilayas concernées par ces accidents avec deux décès.

Pour ce qui est des autres victimes enregistrées durant cette même période, le communiqué de la Protection civile a précisé que trois personnes ont trouvé la mort à cause de l’inhalation du monoxyde de carbone. Les victimes ont été enregistrées à Constantine (deux personnes) et Batna (une personne). «Dans la wilaya de Constantine, le drame a eu lieu au niveau de la nouvelle cité de Ali Mendjeli (commune d’El-Khroub). Il s’agit de deux femmes. A Batna, la victime a été enregistrée au niveau de la cité de Kechida au centre-ville de Batna», a précisé le communiqué.
Par ailleurs, le même communiqué a indiqué que les éléments de la Protection civile ont été sollicités pour l’évacuation de six (6) personnes retrouvées décédées à l’intérieur d’une habitation à la cité Chéraga dans la commune de Ghazaouet à Tlemcen. «Les causes du décès de ces personnes demeurent inconnues», note le communiqué. Il faut dire que ce bilan n’est malheureusement pas le premier que les services de la Protection civile ont enregistré cette année à cause des pluies diluviennes.

De nombreuses victimes ont été répertoriées depuis le mois de septembre dernier à travers le pays. Ces bilans macabres continuent à être enregistrés hélas en dépit de toutes les campagnes de sensibilisation initiées jusque-là aussi bien par la Protection civile que par la police à l’intention des citoyens, quant à la prudence et à la bonne utilisation des appareils de chauffage.
Doit-on changer les procédés de communication? La question mérite débat. En outre, il est à rappeler que des pluies assez marquées sous forme d’averses orageuses ont été enregistrées hier, dans pas moins de 26 wilayas du pays. Les wilayas côtières et proches-côtières du nord et du centre du pays ont été cette fois-ci les plus concernées. «Les cumuls enregistrés dans les wilayas de Chlef, Tipasa, Alger, Medéa, Blida, Aïn Defla, Boumerdès, Béjaïa, Bouira, Tizi Ouzou et Jijel ont atteint et dépassé les 25 mm», a précisé l’ONM dans un bulletin métrologique spécial(BMS) émis dans la matinée. «La validité dudit BMS devrait prendre fin dans les wilayas respectives aujourd’hui dimanche à 3 h du matin», a précisé la même source. Les pluies enregistrées dans ces wilayas ont été accompagnées de chutes de températures.

Dans beaucoup de wilayas, la circulation a été réduite à son strict minimum, a-t-on appris de sources sûres. Par ailleurs et dans le même BMS, l’ONM a indiqué que des cumuls atteignant et dépassant les 20 mm ont été enregistrés dans les wilayas de Laghouat, Djelfa, Ghardaïa et le nord de Ouargla. La validité du BMS dans ces wilayas devait prendre fin, précise l’ONM, vers 18h. Il est à rappeler en outre que les wilayas de Béchar, le nord d’Adrar, Naâma et El Bayadh ont connu depuis vendredi dernier une vague de pluie sans pareille.Les services de l’ONM ont fait part des cumuls ayant atteint 30 mm. Le ciel s’est toutefois éclairci dans ces wilayas depuis hier, à partir de 12h. A noter que la saison hivernale n’a pas encore commencé. Elle entrera en vigueur à partir du 21 décembre prochain.

The post Bilan des dernières intempéries: 14 morts à déplorer appeared first on .

Categories: Afrique

Routes impraticables, manque de structures sanitaires, d’un lycée…: Les habitants de «Hai El Istiklal» à Hassiane Toual interpellent le wali

Algérie 360 - Sun, 11/25/2018 - 09:58

K. Assia

Les habitants des 510 lotissements ‘Hai El Istiklal’ de Hassiane Toual (ex Fleurus) ont lancé, hier, un appel pressant au wali d’Oran pour leur venir en aide. Les riverains dénoncent l’état alarmant des chaussées et le manque de commodités alors qu’ils sont bénéficiaires d’actes de propriétés depuis les années 80. Les voies d’accès sont impraticables surtout en hiver où ils faut porter des sachets en plastique pour traverser les ruelles parsemées de nids de poule, a indiqué, hier, l’un des habitants. Outre l’état déplorable de la voirie, les concernés dénoncent, également, l’absence d’un lycée puisque les élèves sont contraints de parcourir, chaque jour, 2 km pour rallier les bancs de leur établissement à Benfreha. Une situation pénalisante, à la fois, pour les élèves et pour les parents, ajoute-t-on. Désespérés de la détérioration de leur cadre de vie, ils signalent, également, l’absence d’un dispensaire, structure indispensable pour les soins d’urgence en cas d’accidents. Les riverains doivent aussi se déplacer à Benfreha, parfois, dans les communes avoisinantes, en cas de blessures ou de malaises explique-t-on. A cela s’ajoutent les coupures répétées dans le réseau d’alimentation en eau potable et les désagréments qu’elles occasionnent.

Ainsi et tout en précisant que ces doléances ont été, déjà, transmises aux autorités locales, les familles ont souhaité qu’une solution soit apportée afin d’y remédier. Par ailleurs, les familles ont également, évoqué l’autre problème des cambriolages signalés dans ce quartier. Contacté hier, pour d’amples informations, le maire de Benfreha était injoignable.

The post Routes impraticables, manque de structures sanitaires, d’un lycée…: Les habitants de «Hai El Istiklal» à Hassiane Toual interpellent le wali appeared first on .

Categories: Afrique

Sécurité alimentaire: L’Algérie sur le point d’atteindre l’autosuffisance

Algérie 360 - Sun, 11/25/2018 - 09:55

Dossier préparé par Ammar Zitouni

Ces dernières années, l’Algérie s’est engagée  dans  d’importants processus  de transformation et de modernisation de son agriculture Les efforts immenses qui ont été, ainsi, déployés ont été  restitués  dans leurs fondements, leur portée et leur finalité vers l’autosuffisance alimentaire menés conformément aux  orientations définies par le programme présidentiel. Tous les moyens et conditions sont réunis En ce sens, le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, M. Abdelkader Bouazgui ne s’est pas trompé  dès sa prise de fonction à la tête de ce département ministériel en disant  que l’Algérie est  sur le point  d’atteindre l’autosuffisance alimentaire  en produits  agricoles  et que tous les moyens et les conditions  sont favorables    pour atteindre  cet objectif. Les statiques en présence finalisent cet objectif  à un taux de plus de 80% pour atteindre prochainement  son objectif qui est de 100 %. Les investissements concrétisés dans le secteur de l’agriculture ont été de fait une base et un moyen pour contribuer efficacement à la croissance économique. La mise  en œuvre de l’important programme de soutien  au développement agricole annoncé  par le président de la République, Monsieur Abdelaziz Bouteflika à Biskra, en 2009  a permis  à l’économie agraire de faire un saut  qualitatif avéré. L’agriculture qui constituait en 2016  plus de 12 %  du PIB, représente désormais  une production proche de  3000  milliards de dinars. Elle est aussi le premier  secteur économique  fournisseur d’emplois  dans le pays. C’est donc une dynamique  que l’actuel ministre de l’Agriculture  s’attèle à maintenir  et à accroître conformément au programme de soutien  à l’agriculture mis en place par  le chef de l’Etat  en 2009  à savoir : l’extension  des surfaces  agricoles irriguées  pour les porter  à un million  d’hectares, grâce à la valorisation  et la consolidation  du potentiel  existant sur une surface de 261 000 hectares ; la création de  nouveaux périmètres avec la mise en valeur  effective de 370 000 hectares et la création de nouveaux périmètres  d’irrigation totalisant 331 000 hectares ; la poursuite de la valorisation du développement de l’agriculture saharienne  par la création  de  nouveaux périmètres  de mise en valeur ; la mise en valeur    des fermes-pilotes par le biais de leur concession  à des  investisseurs sur la base d’un cahier des charges ; la résorption de la jachère sur une surface de 550 000 hectares consacrés aux légumineuses fourragères ;le renforcement  sanitaire et  phytosanitaire, le développement de la  mécanisation agricole, ainsi que le développement  et l’utilisation  de semences à haut potentiel  productif . Un marché plus large pour la production agricole En parallèle, l’action du ministère de l’Agriculture se focalise sur le développement des industries agro-alimentaires  à l’effet d’assurer en aval un marché plus large  pour la production agricole en croissance continue, et cela par la transformation et par la promotion  des exportations. Il s’agit de mettre en relief sur le terrain  les porteurs de projets et des entreprises qui sont capables de  contribuer  au développement du secteur agricole et du monde rural. Parallèlement à la performance politique et démocratique, l’Algérie  s’est engagée à d’importants défis socio-économiques. La croissance économique ne peut être durable  sans le développement et la modernisation du secteur agricole tout comme les disparités régionales ne peuvent s’équilibrer sans ce secteur. Ce tableau est aujourd’hui positif et devrait se maintenir sous l’angle de nouveaux aspects positifs liés  à l’œuvre de renouveau  agricole qui est en  train de s’opérer. Ainsi, la bonne gouvernance du renouveau agricole connaît un élan appréciable à travers de nombreuses filières. Elle montre que les efforts consentis pour rétablir le secteur agricole et le monde rural, les équilibres macro-économiques, améliorer le  climat des investissements, valoriser le potentiels de la terre, développer les  nouvelles technologies, n’ont pas été vains. Le plus important défi : l’autosuffisance alimentaire Le plus important de ces défis est, sans nul doute, l’autosuffisance alimentaire du pays. D’ailleurs une stratégie qui repose sur  le développement durable, le renouveau rural, le renouveau de l’économie agricole, un tout qui vise notamment  le renforcement de la sécurité alimentaire du pays. Cette stratégie s’articule  autour  de quatre  principaux axes : la promotion d’un environnement incitatif pour les exploitations  agricoles, les opérateurs  de l’agro-alimentaire et d’une politique de soutien adaptée.  La mise en œuvre de divers programmes d’intensification  des productions et de plans spécifiques. Le rajeunissement des exploitations agricoles et le renforcement    de leurs  capacités  techniques, grâce  à une dynamisation de l’appui à la formation, de recherche  et de vulgarisation. La modernisation de l’administration agricole, le renforcement des institutions  publiques  concernées  (administration forestière, services vétérinaires, services  phytosanitaire, labellisation…) . Cette politique  vers une agriculture moderne, diversifiée et mobilisatrice pour la croissance économique a été aussi une nouvelle chance  donnée aux fellahs et aux éleveurs de mieux s’imprégner de ce renouveau agricole grâce à l’effacement de la totalité de leurs dettes  et qui s’est élevée à plus de 41 milliards de dinars  et qui a été suivie  par d’autres mesures d’aide par le biais  des exemptions et allégement fiscaux sur beaucoup d’intrants agricoles. Objectif : atteindre  l’autosuffisance agricole à 100 % Les différentes étapes, réalisations et autres respectives dans le secteur de l’agriculture, leur bilan donne  à leurs impacts  toutes les conditions favorables  à ce succès ou à leur perfectionnement  afin de réajuster au mieux la démarche en question et pour offrir plus de résultats en ce domaine, qui pourront  être utiles  à l’étape suivante d’atteindre l’autosuffisance  en produits agricole à 100%. Selon le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et la Pêche, M. Abdelkader Bouazgui : « Ce qui a été réalisé  et les résultats obtenus à ce jour par le secteur de l’agriculture est une véritable révolution  qui a eu un impact positif en termes de produits agricoles. Le monde rural qui  était à l’origine de l’exode vers les villes est aujourd’hui plus productif et dynamique grâce aux sommes importantes  du secteur  public  débloquées pour être injectées  dans le secteur de l’agriculture et du monde rural ; La politique de bonne gouvernance  , décidée par le président de la République, Monsieur Abdelaziz Bouteflika , à travers  tous les programmes  réservés à l’agriculture  depuis 2000, vise un seul objectif réaffirmé par le plan d’action du gouvernement  qu’est  le développement rural  et l’autosuffisance «  Mettre un terme à l’importation des produits agricoles d’ici trois ans L’autosuffisance  alimentaire demeure un défi national, la croissance du secteur agricole, la production  locale est en phase de couvrir une part importante  de la demande d’où l’engagement de l’Algérie à s’investir dans la sécurité alimentaire et le développement du monde rural, sur les enjeux    du développement  de la production nationale, la céréaliculture en particulier. En effet, si les quantités de fruits et légumes produites localement sont appréciables, avec un taux de couverture de près de 80 %, les autres filières stratégiques, à l’instar  de la production céréalière, sont en deçà des attentes. L’Algérie continue  d’importer plus de 50 %  de blé dur, alors que la totalité de son blé tendre provient de l’étranger. Mais la hausse de la production agricole est en train de rapprocher l’Algérie de sa sécurité alimentaire. L’affirmation du ministre de l’Agriculture, M. Abdelkader Bouazgui :  » Nous sommes sur le point d’atteindre  l’autosuffisance  en produits agricoles. L’Algérie est en mesure de répondre à environ 70 % de la demande nationale  et mettre un terme  à l’importation de produits agricoles  d’ici trois ans « . Hausse de la production agricole C’est ce que vient de  confirmer un rapport d’Oxford  Business Group (OBG) qui souligne  que  » L’Algérie  a enregistré  une production nationale record au cours de la campagne agricole  2017-2018, récoltant  6,1 millions de tonnes de céréales entre juin  2017 et juin 2018, soit une augmentation de 74 % par rapport aux 3,5 millions de tonnes récoltées au cours de la saison précédente. Selon le rapport d’OBG, cette forte production a permis à l’Algérie d’atteindre, avant l’heure, l’objectif de produire 5,3 millions de tonnes de céréales par an avant 2022, ajoutant que les récoltes de légumes ont également été abondantes. La même source indique que la hausse de la production coïncide  également  avec une importante  augmentation des recettes d’exportations des produits agricoles. Le rapport qui fait référence  à Ali Bey Nasri, le président  de l’Association  nationale des exportateurs algériens, qui avait déclaré  que la valeur des exportations agricoles  avait grimpé  de 50%    en glissement annuel au cours des premiers mois de 2018. Selon ses prévisions, les recettes d’exportations atteindraient de 75 à 80 millions de dollars à la fin de l’année 2018, contre  57 millions  de dollars en 2017 Une croissance annuelle moyenne de 6,5 % Le  secteur  agricole  contribuait à quelque 13 % du PIB,  employant  10,8 %  de la population active. Dans le cadre du Nouveau Modèle de Croissance publié mi-2016 par le gouvernement, les autorités visent une croissance annuelle moyenne de 6 ,5 % pour le secteur  agricole entre 2020 et 2030, indique encore le rapport d’OBG. Plus loin le rapport  rappelle que si le soutien  de l’Etat a eu une incidence positive sur la récente croissance  de la production, certains chiffres montrent que la stratégie la plus efficace afin de pallier  les difficultés rencontrées  par les producteurs algériens en matière d’accès au financement, aux équipements, et au savoir -faire notamment, passe par la recherche  d’une plus grande participation des investisseurs étrangers. A. Z.

The post Sécurité alimentaire: L’Algérie sur le point d’atteindre l’autosuffisance appeared first on .

Categories: Afrique

Emmanuel Macron temporise sur le dossier des restitutions d'œuvres d'art à l'Afrique

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 11/25/2018 - 09:54
Le Figaro - Le président a reçu le rapport préconisant un retour définitif d'objets entrés dans les collections françaises pendant la...
Categories: Afrique

« Tout ce qui a été prévu a été fait » (Eric-Hector Hounkpè)

24 Heures au Bénin - Sun, 11/25/2018 - 09:40

Ouvert officiellement le 16 novembre dernier, les activités entrant dans le cadre du Festival International de Théâtre du Bénin (Fitheb) ont pris fin dans la soirée de ce samedi 24 novembre 2018 dans une ambiance de gaieté.
Ce qui a permis au directeur de dévoiler les défis futurs indispensables au festival pour son rayonnement.

Terminus tout le monde descend. Les rideaux sont désormais tombés. Le Fitheb 2018 peut désormais être conté. C'est le chœur du festival qui a égayé le public dans la salle du Fitheb à Cotonou pour marquer la fin de la célébration de cette 14ème édition de la randonnée théâtrale au Bénin.
« En difficulté, on devient plus lucide et modeste, on cherche à aller au bout, c'est l'endurance. Fitheb 2018, c'est l'endurance », a déclaré le directeur du Fitheb, dans son discours de clôture du Fitheb 2018.
Eric-Hector Hounkpè se dit fier de cette édition qui malgré les difficultés a su tenir la promesse des fleurs. Pour lui, les leçons à retenir, « c'est aussi quand nous sommes capables de faire ces choses là ». Et pour cela, il souligne « J'avais souhaité le chœur. Ça fait partie de la démarche d'industrialisation pour que le Fitheb commence par être visible sur d'autres manifestations, que nous commencions par nous vendre. Je voudrais que ce chœur finisse modestement et il l'a fait ».
Par ailleurs, Eric-Hector Hounkpè ajoute : « les leçons pour moi, c'est que les difficultés vous donnent de l'emprunt. C'est qu'il faut du courage et continuer, c'est qu'il faut être endurant. C'est qu'il faut savoir où on va, laisser les accessoires et aller à l'essentiel. Je crois que le Fitheb 2018 a beau été sobre, il est Fitheb ».
Le festival international de théâtre du Bénin prend donc fin en laissant derrière lui des souvenirs tant dans le rang des acteurs que du public.
Divers spectacles ont permis au public de connaître des talents cachés dans le théâtre.
« Nous avons programmé 8 spectacles étrangers, 9 spectacles professionnels béninois, mais une quinzaine de spectacles d'attractions dans tous les points possibles. Nous avons eu comme programme la table ronde sur deux jours, la rencontre des directeurs et programmateurs, la cérémonie de distinction et de baptême››, a rappelé Eric Hector Hounkpè.
Selon le directeur du Fitheb, « Tout ce qui a été prévu a été fait. On rend donc grâce à Dieu. C'est le plus important ».

Les défis du Fitheb

« Plus de mobilisation de ressources, plus de mobilisation du public, une médiation culturelle forte, plus étendue et donc une démarche à aller réellement vers le public ». Tels sont les propositions du directeur du Fitheb au regard de ses expériences à la tête du festival.
« Nous ne pouvons pas continuer à célébrer le théâtre dans les salles. Nous devons démocratiser le théâtre. Nous devons aller vers les gens. Et pour ça, je veux qu'on me comprenne et qu'on me soutienne parce que si nous passons notre temps à dire le public va venir, il ne viendra pas et il faut qu'on aille le chercher », souligne-t-il.
Pour y arriver, le directeur pense qu'il nous faut de l'investissement. Il estime qu'il est important de « noyauter les écoles, les clubs amis du Fitheb » Et tout ceci, insiste-t-il « ça fera que les innovations viennent s'installer crues et que tous les pans, tous les compartiments du public s'appropriassent sa part du Fitheb pour qu'en retour, (c'est le plus grand défi), il y ait une rentabilité économique ». Confiant, Éric Hector Hounkpè souligne : « Je sais que le Fitheb peut rapporter non seulement en diplomatie culturelle mais aussi en finance. Mais cela signifie que nous avons le courage d'y investir et de le faire migrer vers les gens et en retour, les gens paieront ».
Il fait des propositions pour le financement du festival. « Je l'ai déjà dit quelque part, quand l'Etat va décider de ceci, cela se fera c'est à dire, on prend 10.000 f chez le fonctionnaire pour le Fitheb, pour la culture par année, ce qui oblige la direction à organiser des activités. 1000 f ou 2000 f chez les étudiants par an, 500 f chez les élèves par an et on les établissent sur 10 ans, on aura financé le Fitheb, on l'aura libéré des carcans de financement. Si nous ne le faisons pas, d'autres viendrons financer à notre place et exigeront des types de spectacles qui ne conviendraient pas forcément avec notre culture. C'est de cela qu'il s'agit », propose M. Hounkpè.
Désormais les rideaux du Fitheb 2018 sont tombés. Loin des déceptions, l'événement s'est passé dans la sobriété et les spectacles ont su donner du goût aux festivités. Place maintenant aux défis futurs notamment pour la prochaine édition.
Comme l'a souligné le ministre de la culture, Oswald Homeky, lors de la cérémonie d'ouverture des festivités, « Je voudrais au nom du Président de la République du Bénin, au nom de tout le gouvernement dire que cette édition 2018 que nous aurions souhaité encore plus belle, plus forte, plus riche est pour nous une édition de retour et de renaissance. Nous gardons les yeux rivés sur 2020, année où le Bénin célèbrera ses 60 ans d'indépendance, année où le Fitheb sera à sa 15ème édition ». Soulignant que « le théâtre est l'une des choses les plus riches que l'on possède », Oswald Homeky rassure que « nous offrirons à notre pays et au monde entier, un Fitheb encore plus intéressant, encore plus rayonnant et surtout mieux organisé ».
Des défis qui rassurent que le Festival International du Théâtre du Bénin a encore de grands jours devant pour révéler davantage le Bénin tant dans la culture que dans le tourisme comme l'a voulu le chef de l'Etat à travers son Programme d'actions du gouvernement.
Giscard A.

Categories: Afrique

Lutte contre le squat des espaces publics et le commerce informel: Près de 1.000 interventions et 60 commerçants contrevenants traduits en justice

Algérie 360 - Sun, 11/25/2018 - 09:36

J. Boukraa

  Dans le cadre de la lutte contre le commerce informel, l’assainissement du secteur et la lutte contre l’occupation illégale des trottoirs et des espaces publics, la direction du commerce a effectué depuis le mois de janvier de cette année près d‘un millier d’interventions.

L’opération en question est inscrite dans le cadre de la lutte contre la prolifération du commerce informel et vise à mettre fin aux désagréments occasionnés par l’occupation des trottoirs, l’obstruction des édifices publics et des voies. Ces interventions se sont soldées par l’établissement de 60 procès verbaux, pour occupation des trottoirs et exposition de produits périssables sur la chaussée. Le commerce informel, de toute nature que ce soit, ne semble pas aller vers l’éradication que souhaitaient les pouvoirs publics dans leurs diverses actions pour endiguer le phénomène. D’autre part, malgré les efforts que déploient les autorités locales pour faire face à l’exploitation illicite de la voie publique, ce phénomène n’a jamais pu être éradiqué. Cette situation est à l’origine d’un préjudice financier. A titre d’exemple, les terrasses de cafeterias poussent comme des champignons à Oran.

Profitant de l’absence de mesures de dissuasion, nombre de gérants investissent dans l’illicite. Ils décorent les trottoirs et achètent de nouvelles tables et chaises de différentes couleurs, donnant certes une belle image aux rues mais créant de multiples désagréments à la circulation des piétons et des automobilistes.

Les gérants de magasins se dépêchent eux aussi pour s’accaparer de l’espace. Ils font sortir leur matériel pour réserver la place, alors que certains s’entendent entre eux pour se partager l’espace devant leurs commerces. La réalité est que ce phénomène a relativement diminué au centre-ville, mais a pris une nouvelle dimension dans d’autres quartiers où les habitants ont à plusieurs reprises, dénoncé cette situation qui est à l’origine de plusieurs autres problèmes. Pour mettre un terme à ces agissements, une commission chargée de contrôler les espaces sera installée par la commune d’Oran. Cette commission aura pour mission d’assainir cette situation. Des sanctions, mises en demeure et amendes seront prises contre les contrevenants.

Cette mesure entre aussi dans le cadre de la lutte contre l’informel qui pullule. Dans ce cadre, une large opération d’assainissement est projetée dans les jours à venir. A ce titre, des sorties sur le terrain vont toucher l’ensemble des secteurs urbains pour contrôler les commerçants squattant le domaine public. Des mises en demeure de 24 heures seront adressées aux contrevenants pour libérer l’espace public. Le cas échéant, il sera fait appel à la force publique pour la saisie de toutes les marchandises et la fermeture des commerces.

The post Lutte contre le squat des espaces publics et le commerce informel: Près de 1.000 interventions et 60 commerçants contrevenants traduits en justice appeared first on .

Categories: Afrique

Irrégularité des rotations de collecte des ordures et insuffisance de balayeurs: Les habitants de Aïn El Turck irrités par la dégradation du cadre de vie

Algérie 360 - Sun, 11/25/2018 - 09:33

Rachid Boutlelis

  La flagrante irrégularité de la rotation des camions chargés de la collecte des ordures ménagères et la criarde insuffisance de cantonniers, voire carrément leur absence dans la grande majorité des quartiers de la municipalité d’Aïn El Turck, contribuent grandement à une situation de pourrissement dans le véritable sens du terme. Exaspérée au plus haut point, la population ne cesse par le biais de ses représentants et de requêtes de décrier la dégradation du cadre de vie. Ce piteux état de fait est relevé à travers le sordide, qui enlaidit les rues et les boulevards de cette municipalité où désormais il ne fait plus bon d’y vivre. Selon le constat établi sur le terrain, dans certaines zones, les trottoirs sont en grande partie tapissés d’ordures, provenant des sachets poubelles éventrés par des animaux nuisibles et de cannettes de bière. Et comme le ridicule ne tue point, des dépotoirs en parpaing, ressemblant à s’y méprendre à de petits mausolées, décriés par la population, réalisés contre vents et marées sur les trottoirs des principales artères et autres rues, sont venu ajouter leur grain de sel à cette anarchie nauséabonde et ce, en se transformant comme prévu en de véritables points noirs, où les chiens errants, les chats de gouttière et les rats se disputent rageusement la pitance.

Ce piteux désordre aux odeurs pestilentielles est majoré avec les avaloirs obstrués, qui sont à l’origine de la stagnation de liquide visqueux, ayant découlé des sachets poubelles, mélangé avec les eaux pluviales, qui ruissèlent le long des caniveaux longeant les trottoirs. Dans certains quartiers, les habitants mènent régulièrement des opérations de volontariat, qui s’avèrent malheureusement insuffisantes en raison de la limite de leurs moyens matériels, pour tenter un tant soit peu de redorer le blason terni de leur lieu de résidence. « Cela fait très longtemps que nous avons perdu espoir quant à une réaction des responsables concernés, à priori beaucoup plus occupés à une guerre des tranchées, pour endiguer cette situation de déliquescence à l’extrême, qui n’a que trop perduré et ce, sans susciter le réveil de l’hibernation, qui a plongé cette prestigieuse municipalité dans la décadence », ont fait remarquer des riverains, dépités au plus haut point, du quartier Commandant Ferradj, communément appelé douar Maroc, qui végète dans la désuétude la plus exécrable à l’instar des autres zones du chef-lieu de la daïra d’Aïn El Turck. Il importe de noter également sur un autre volet, qu’en toute vraisemblance tous les ingrédients d’un comeback de la mémorable curée estivale de l’année précédente se profilent d’ores et déjà à l’horizon.

La cruelle déchéance dans laquelle végètent aujourd’hui les plages de la contrée d’Aïn El Turck, qui n’ont pas été ciblées par aucune quelconque opération de nettoyage, risque probablement de gâcher lamentablement une fois de plus le séjour d’agrément pour les dizaines de familles, qui viendront de toutes les régions du pays et même de l’étranger, pour déstresser et profiter des plaisirs que procure la mer. La saleté repoussante des plages a figuré en pole position dans l’éventail de contraintes et de désagréments, qui ont suscité un tollé de mécontentement chez les vacanciers au cours de la dernière saison estivale.

The post Irrégularité des rotations de collecte des ordures et insuffisance de balayeurs: Les habitants de Aïn El Turck irrités par la dégradation du cadre de vie appeared first on .

Categories: Afrique

Aïn El Beida: La deuxième décharge de déchets inertes opérationnelle

Algérie 360 - Sun, 11/25/2018 - 09:30

D. B.

  Pour mettre un terme aux rejets des déblais dans le domaine forestier, ou sur les espaces publics, la deuxième décharge des déchets inertes réalisée a Ain El Beida a été mise en service et reçoit quotidiennement des dizaines de camions, a-t-on appris hier de sources proches de la commune d’Es Sénia. Nos sources indiquent que cette décharge prend en charge les déchets du groupement centre d’Oran, après la saturation de la première décharge localisée dans la même commune. Notre interlocuteur signale que cette nouvelle décharge, qui s’étend sur une superficie de trois hectares, prendra en charge les mêmes communes du groupement centre d’Oran, à savoir Oran, Es-sénia, Sidi Chahmi et Bir El Djir. La première décharge, d’une superficie de huit (8) hectares, a été saturée au bout de trois (3) années. Le terrain récupéré devra revenir à sa vocation initiale dans le domaine de l’agriculture. Le nouveau centre devra atténuer le phénomène de dépôt anarchique de déblais sur les bords des routes et dans les forêts urbaines dans le groupement centre qui connaît une accentuation du problème en raison de l’importance des projets de construction. Réglé au groupement centre, le problème reste posé aux parties est et ouest qui n’ont pas encore leurs décharges des déchets inertes. A ce titre, des sources proches de la direction de l’environnement indiquent que la direction est en prospection au groupement ouest pour en ériger un CET de déchet inertes. Signalons que la deuxième décharge de Ain El Beida va accueillir les déchets inertes qui proviennent principalement des chantiers des travaux publics, du génie civil et du bâtiment. Les déchets sont générés lors de la construction, de la rénovation, maintenance ou réhabilitation de ces ouvrages et bâtiments puis lors de leur fin de vie (déconstruction, démolition). La wilaya d’Oran a bénéficié ces dernières années de l’inscription de nombreux projets (BTP, routes, infrastructures…). Ces méga-chantiers en cours ou en voie d’achèvement produisent de grandes quantités de détritus (béton, ciment, enrobés bitumineux…) qui représentent un casse-tête pour les autorités locales. Auparavant, les déchets inertes et autres déblais étaient acheminés vers la décharge d’El-Kerma. Les déchets inertes sont des déchets minéraux non souillés dont le caractère polluant et la nature évolutive sont très faibles. Le programme euro-méditerranéen pour l’environnement avait recommandé, dès l’année 2006, la création d’une nouvelle décharge pour les déchets inertes dans la wilaya d’Oran. La grande agglomération d’Oran, qui compte 1,2 million d’habitants (chiffre officiel) et 7 zones industrielles, est confrontée en effet à de sérieux problèmes environnementaux. Il est à noter que, selon le Cadastre national des déchets spéciaux, les wilayas d’Alger, Béjaïa, Skikda, Annaba, Tlemcen et Oran produiraient à elles seules près de 87% de déchets, soit 282.800 t/an et détiennent un stock estimé à 1.905.200 t.

The post Aïn El Beida: La deuxième décharge de déchets inertes opérationnelle appeared first on .

Categories: Afrique

Des milliers d'emplois et des opportunités d'affaires en perspective

24 Heures au Bénin - Sun, 11/25/2018 - 09:30

Dans quelques mois, la localité de Monsourou, située dans la commune de Djidja, sera capable de nourrir avec son riz tout le Bénin, le Nigeria et bien d'autres pays.
Le directeur de cabinet du ministère du Plan et du développement, Me Rufino d'Almeida, a procédé, ce samedi 24 novembre 2018, à la pose de la première pierre pour la construction d'un complexe agro-industriel dans cette commune. La cérémonie a réuni diverses personnalités et les populations de Djidja et des environs.

D'un coût de plus de 70 milliards de FCFA, le complexe agro-industriel sera constitué d'une grande usine de traitement du riz étuvé et d'autres infrastructures.
Selon Me Rufino d'Almeida, ce projet sur lequel, le gouvernement accompagne les promoteurs béninois et leurs partenaires brésiliens est « porteur du vrai développement avec à la clé d'ici 18 mois la création de près de 800 emplois directs et des milliers d'emplois indirects ».
Toutes les localités environnantes de la commune de Djidja telles que Agouna, Huto, Mougnon, Dan, Setto, Agondji, y compris les régions dont les agriculteurs pourraient livrer des intrants (riz) vont tirer profit de ce projet de grande envergure.
« Ce sera simplement la plus grande usine de Djidja », a-t-il affirmé.
Me Rufino d'Almeida, directeur de cabinet du Président de l'Alliance ABT a salué la population de Djidja pour sa détermination politique.
Ce projet de complexe agro-industriel va non seulement permettre le développement de la commune de Djidja, mais aussi générer d'emplois aux jeunes de cette localité. Ces derniers se feront embaucher pour y travailler à divers postes.
Cette excellente nouvelle donne un ouf de soulagement à la jeunesse de Djidja et des environs et révèle combien de fois la question de l'emploi tient à cœur au gouvernement Talon.
Les populations après avoir exprimé leur remerciements espèrent que le gouvernement du président Talon va concrétiser la réalisation de ce grand projet qui fut un éléphant blanc du régime défunt.
Me Rufino d'Almeida, le Président national du Secrétariat Permanent de la Coalition de Rupture a tenu à rassurer les uns et les autres que Patrice Talon est un homme de parole.

Akpédjé AYOSSO

Categories: Afrique

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.