K. Assia
Dans le cadre de la lutte contre la criminalité et la délinquance juvénile, 24 individus ont été arrêtés de la période allant du 21 au 23 novembre par les services de la police judiciaire de la sûreté de la wilaya d’Oran. Ainsi cinq personnes ont été appréhendées pour port d’armes prohibées.Trois autres personnes faisant l’objet de mandats d’arrêt ont aussi été arrêtées et six dealers ont été placés sous mandats de dépôt pour détention et commercialisation de stupéfiants. Les policiers ont saisi 96 comprimés psychotropes de différentes marques. Pour ce qui est affaires de vol par effraction ou avec violence, le bilan de la sûreté de la wilaya d’Oran fait état de l’arrestation de deux individus et de la récupération d’un véhicule. D’autre part, les services de la 3e, 13e, 2e et 18e sûreté urbaine ont mis hors d’état de nuire 8 individus pour CBV. Toujours dans le cadre de la lutte contre la criminalité, 13 opérations de police ont été menées durant ces trois jours par les services de la Sûreté de la wilaya d’Oran dans plusieurs quartiers de la ville. L’objectif était de renforcer la sécurité urbaine et améliorer le rapprochement des citoyens des services de la police. Ainsi, et selon le bilan de ces opérations, on apprend que 2 personnes ont été arrêtées pour détention et commercialisation de stupéfiants et 4 autres font l’objet de recherches. Au total, les policiers ont arrêté 30 individus en trois jours pour différents délits liés au vol, aux coups et blessures volontaires (CBV), à l’usage et à la détention de stupéfiants.The post Port d’armes prohibées, commerce de stupéfiants, CBV, vols… 30 individus arrêtés en trois jours appeared first on .
Houari Barti
Le porte-parole du Rassemblement National Démocratique, RND, M. Seddik Chiheb a défendu, hier, le choix de son parti de soutenir Abdelaziz Bouteflika pour un cinquième mandat à l’occasion de la présidentielle de 2019.Lors d’une session extraordinaire du Conseil de wilaya, élargi aux cadres du parti, tenue à la Cinémathèque d’Oran, en présence de membres de l’APN et du Sénat et des militants de la wilaya d’Oran, M. Seddik Chiheb a, tout d’abord, exprimé la confiance « totale et absolue » du RND au Président Bouteflika, depuis 1999 jusqu’à ce jour et le renouvellement de cette confiance, en prévision du prochain mandat.
La projection, en début de rencontre d’un reportage qui met en relief les différentes réalisations et projets dont la wilaya d’Oran a bénéficiés durant les deux dernières décennies, a constitué une bonne matière pour le porte-parole du RND, dans son argumentaire de soutien au 5ème mandat. «Ensemble pour la continuité » a été, ainsi, le leitmotiv de cette rencontre avec les militants de base et son slogan officiel. « N’ayez pas honte et n’ayez aucun complexe de ce choix pour la continuité qu’il faut assumer, pleinement et fièrement. Et soyez convaincus que c’est le choix le plus approprié, » a-t-il lancé à l’adresse de ses militants. Soulignant la clairvoyance du parti d’Ahmed Ouyahia, à travers des positions qui privilégient, avant tout, l’intérêt de la Nation, Seddik Chihab n’a pas omis de rappeler « le choix du parti à défendre le recours au mode de financement non-conventionnel (la planche à billets) pour faire face à la crise financière que traverse le pays. Un choix souverain pour lequel on a opté, en dépit de tous les avis alarmistes. Un choix qui a été, surtout, préféré à l’option de l’endettement auprès du Fonds Monétaire International, auquel l’Algérie a déjà fait appel par le passé mais qui l’a payé très cher », a-t-il martelé. Et d’ajouter : « Nous défendons, donc, nos choix et nous les assumons complètement, car nous estimons qu’ils sont les mieux à même de garantir les intérêts suprêmes du pays ». Répondant aux questions des journalistes présents lors d’une conférence de presse, organisée à l’issue de cette rencontre, le porte-parole du RND a affirmé que l’objectif premier de cette session extraordinaire du Conseil de wilaya, élargi aux cadres du parti est « de se rapprocher des militants de la base pour les convaincre du bien-fondé de nos décisions. C’est un travail auquel contribue l’ensemble des cadres du parti qui sortent sur le terrain et animent des assemblées pour expliquer et vulgariser, au maximum, la pertinence des choix adoptés au niveau des instances ». Une précision qui sonne comme un appel à serrer les rangs, dans une conjoncture marquée par la défection, dernièrement, d’élus locaux du RND, à Oran, ayant fait le choix de rallier les rangs du frère ennemi, le FLN, mais aussi et surtout, par les attaques portées par le ministre de la Justice et un des actuels ténors du FLN, Tayeb Louh contre le chef du RND, Ahmed Ouyahia. A ce propos, M. Seddik Chiheb rappellera que « l’alliance entre le RND et le FLN ne date pas d’aujourd’hui ». « C’est un parti nationaliste de la même mouvance que nous et avec lequel on partage les mêmes référents, » a-t-il souligné. « Beaucoup de dénominateurs communs nous unissent, même si dans nos relations, nous avons, bien évidemment, des hauts et des bas ». Cependant, a-t-il précisé, « l’objectif que nous nous sommes assigné dépasse de loin les considérations d’ordre personnel. On ne s’arrête pas sur des déclarations mal comprises ou mal reprises.» Par conséquent, « on fait toujours preuve de maturité politique pour ne pas tomber dans le piège de la surenchère. Nous restons attachés à notre alliance stratégique avec le FLN, au-delà de tout ce qui peut émaner des personnes », a-t-il souligné.The post Seddik Chiheb à Oran: Le cinquième mandat, la planche à billets et les attaques contre Ouyahia appeared first on .
Yazid Alilat
Menaçant de recourir à un sit-in national des imams si leurs revendications ne sont pas satisfaites, Djelloul Hadjimi, secrétaire général de la Coordination nationale des imams, en a gros sur le cœur, et s’interroge sur la passivité et le refus du ministre des Affaires religieuses et des Waqfs, Mohamed Aïssa, de satisfaire la revendication de hausse des salaires des imams. Il a expliqué hier samedi dans une déclaration au Le Quotidien d’Oran que le ministre «nous a donné des assurances quant à la satisfaction de nos revendications», mais il a par la suite fait machine arrière, alors qu’il y a «des PV de réunions sur ce dossier» avec la société civile et l’association des Imams. «Le ministre n’a pas à nous refuser cette hausse des salaires, il doit soumettre nos revendications au gouvernement», estime encore M. Djelloul Hadjimi selon lequel l’autre importante revendication de la fédération des imams est la révision du statut particulier de l’Imam. «Il (le ministre) ne veut accéder à notre demande de révision du statut particulier de l’imam», précise t-il avant de souligner qu»’un imam, qui a un grade de professeur, est payé en moyenne à 30.000 dinars. Ce n’est pas normal.» «Nous revendiquons autant une hausse des salaires des imams que la mise en place d’un nouveau statut particulier», explique M. Djelloul Hadjimi, qui a indiqué que «nous avons demandé une intervention du président Bouteflika, pour satisfaire la principale revendication de la fédération des imams algériens.Après une période d’accalmie qui aura duré deux à trois ans, après la promulgation fin 2008 du dernier statut particulier de l’imam du temps de l’ex-ministre des Affaires religieuses et des Waqfs Bouabdallah Ghlammallah, le bras de fer entre la fédération des imams et le ministère a repris en mai dernier, lorsque l’imam de la grande mosquée d’Alger, Ali Ayya, avait publiquement dénoncé les conditions de vie des imams, et appelé à une amélioration de leur pouvoir d’achat et de leurs conditions de vie. Sur un plateau de télévision le 16 mai dernier, il s’était emporté, et a lancé que «l’imam a honte devant l’épicier, devant le vendeur de légumes, l’Etat doit donner à l’imam de quoi suffire à ses besoins». Globalement, les salaires des imams, qui sont des fonctionnaires, varient de 30.000 DA à 40.000 DA, plus les primes. La revendication de la profession à une amélioration des salaires n’est pas nouvelle, et dure depuis la dernière revalorisation des salaires en 2008 avec les nouveaux statuts des imams, payés selon les barèmes de la fonction publique, puisqu’ils émargent au budget du ministère des Affaires religieuses et des Waqfs.
En 2008, le département des Affaires religieuses avait proposé dans le projet de statut particulier des fonctionnaires du secteur, et selon les grades, des primes entre 6 000 et 10 000 DA, alors que le salaire de base des imams est de 28.000 dinars. Signé le 24 décembre 2008 par Ahmed Ouyahia, Premier ministre, le décret exécutif n° 08-411 du 24 décembre 2008 portant statut particulier des fonctionnaires appartenant aux corps spécifiques de l’administration chargée des affaires religieuses et des wakfs prévoit en son chapitre III quatre corps pour les imams (art.33), à savoir le grade d’imam instituteur (catégorie 10, mis en voie d’extinction), le grade d’imam Mouderess (instructeur, catégorie 11) ), le grade d’imam professeur (catégorie 13) et celui d’imam professeur principal (catégorie 14). Quant aux postes supérieurs, le même décret exécutif fixe le salaire de l’Imam Mufti (niveau 9), l’imam agréé (niveau 7) et le Premier imam de la mosquée.
Le même décret portant statut particulier des imams a fait passer la liste des postes de dix à dix-neuf, selon la responsabilité et l’importance de la tâche. Mais, le décret exécutif du 24 décembre 2008 portant statut particulier de l’Imam interdit à cette profession toute action de protestation. Ce statut particulier des fonctionnaires des affaires religieuses interdit ainsi aux hommes de culte l’adhésion à des organisations à caractère politique, le recours à la grève et les astreint au respect de la référence religieuse officielle. D’où le recours, a annoncé au Le Quotidien d’Oran Djelloul Hadjimi, à un sit-in national de protestation si les revendications de la fédération ne sont pas satisfaites, ou prises en considération. «Nous allons déterminer avec les imams la date et le lieu de ce rassemblement de protestation», a-t-il ajouté. «Ce n’est pas au ministre de nous refuser une hausse des salaires, ou la révision des statuts de la profession», estime-t-il par ailleurs, avant de dénoncer les niveaux bas des salaires des imams algériens.Déjà, au mois de mai dernier, durant le mois sacré de ramadhan, la coordination nationale des imams et des fonctionnaires des Affaires religieuses avait organisé un sit-in devant le siège de l’Union générale des Travailleurs algériens (UGTA), à laquelle elle est affiliée, à l’appui de revendication portant sur l’amélioration de leur situation socioprofessionnelle. «Nous sommes affiliés à l’UGTA», a insisté M. Hadjimi, qui a appelé le ministère de tutelle au dialogue afin de trouver des solutions urgentes aux doléances des imams, dont le logement. Il y a également la «dépénalisation du métier de l’imam», car le statut particulier prévoit en cas d’incitation à la violence, des poursuites judiciaires, l’ouverture d’une formation continue dans les universités et l’application du principe d’égalité des chances. Dans son coup de gueule du 16 mai dernier, l’imam de la Grande mosquée d’Alger Ali Ayya avait proposé pour les imams un salaire mensuel de 80.000 dinars, un logement et une voiture de fonction. «C’est un minimum. L’imam doit également pouvoir bénéficier d’un logement social», a-t-il ajouté.
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H. Hichem
Pourquoi Adlene Guedioura ne fait plus partie de la liste de Belmadi ? Une question qui en remorque d’autres, qui n’ont pas pour objectifs de perturber la liste du sélectionneur, nous-dit-on, mais les fans de ces joueurs bénéficie de beaucoup d’éloges des Britanniques, notamment des médias et des supporters.Ils ne souhaiteraient pas qu’il y ait une cassure entre le terrain national et cet homme qui a évolué face à la Gambie, où il n’aurait pas fourni le meilleur jeu qui aurait fait la différence. Adlene se dit qu’il est «un joueur, un être humain où il y a des moments où on n’est pas en forme, cela ne veut pas dire que ne je ne suis pas honoré de porter le maillot de l’Equipe nationale». Un ex-international jugera Adlene, comme le joueur qui ressemblerait à des Mahrez ou Brahimi qui ne paraîssent pas sur le terrain et provoquent toute la nation qui crie sa colère sur ces joueurs qui ne produisent pas grand-chose sur le terrain. En janvier, l’international algérien est revenu à Forest après avoir accepté un accord qui le maintiendrait au City Ground jusqu’en 2020-21.
«Depuis qu’il a rejoint les hommes d’Aitor Karanka, l’ancien joueur du Sporting Charleroi a déjà marqué 13 fois en championnat et il est heureux de continuer son séjour avec l’équipe du championnat. En football, on ne sait jamais ce qui va arriver. Je ne pensais pas partir en premier lieu. Mais quand quelque chose de spécial se produit, quand vous vous sentez bien quelque part, vous voulez revenir» déclarait-t-il à un journal anglais «C’est pourquoi, je suis revenu et c’est pourquoi je suis très heureux d’être ici. C’est un de mes clubs préférés pour lequel j’ai joué». Ainsi Guedioura devrait être impliqué lors de la visite de la forêt de Nottingham au stade KCOM pour affronter Hull City.
Un média s’est aussi interrogé sur le «pourquoi Adlene Guedioura est devenu l’un des prénoms de la feuille d’équipe de Nottingham». Lors du premier passage d’Adlene Guedioura à Nottingham Forest, il était de trop, un homme de spectacle que de joueur d’équipe. Dans diverses interviews enregistrées auprès de ses coéquipiers, tous évoquent un Guedioura qui a amélioré son jeu jusqu’à devenir un homme incontournable. «J’ai toujours senti qu’il passait trop de temps à chercher cette longue balle parfaite. Quelqu’un m’a dit un jour que la passe la plus difficile à choisir était parfois la plus simple. Vous n’avez pas toujours besoin de chercher le ballon parfait.
Et c’est quelque chose qu’Adlene a évidemment appris pendant son séjour loin de City Ground. Parce que maintenant, quand on le voit jouer pour les Reds, il a trouvé le bon équilibre. En fait, il est un très bon fabricant de jeu. Il maintient le ballon en mouvement avec une simple passe quand il le souhaite et, de temps en temps, il tentera quelque chose de plus spectaculaire. Nous savons tous qu’il a ce meurtrier dans son casier, mais il a apparemment appris que ce n’est pas quelque chose qu’il doit essayer à chaque fois qu’il joue le ballon. Mais Guedioura a atteint le point où il doit être l’un des premiers noms de la feuille d’équipe. Guedioura, Yacob et Colback auront tous un rôle important à jouer. Et il est toujours un bon joueur et un homme qui sait ce qu’il faut pour réussir à ce niveau et au-dessus. Il a de la qualité.» Cet extrait d’une interview d’un de ses coéquipiers illustre parfaitement qu’il restera un joueur qui devra avoir sa place parmi les Verts qu’il a de tout honorés lorsqu’il est appelé.
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Le Ministre de l'énergie Dona Jean-Claude Houssou a annoncé vendredi 23 novembre, l'organisation au Bénin, du Sommet International pour le développement de l'Electricité en Afrique (SIDE-AFRICA), les 6, 7 et 8 décembre prochain. C'est au cours d'une conférence que le Ministre de l'énergie entouré des cadres de son ministère et les partenaires techniques et financiers a annoncé la tenue du SIDE-AFRICA à Cotonou.
Pendant trois jours (du 6 au 8 décembre 2018), Cotonou sera le carrefour sur la réflexion du développement énergétique de l'espace CEDEAO. Cette rencontre s'articulera autour du thème :
« gestion des risques pour un meilleur sécurité d'approvisionnement à moindre coût de l'énergie électrique ».Son objectif est de réunir dans un même creuset, les principaux acteurs et partenaires du secteur électrique en Afrique et évaluer les apports de solution pour une meilleure indépendance électrique des pays africains.
Pour le ministre l'énergie Dona Jean-Claude Houssou, ce sommet sera une rencontre d'enjeu pour Bénin et le Continent africain. « Nous devons faire en sorte que des éminences de différentes parties prenantes du secteur puissent se rencontrer pour faire avancer le secteur de l'énergie en Afrique de l'ouest et dans toute l'Afrique », a-t-il indiqué. Il a précisé que ce sommet donnera de la visibilité à la destination Bénin pour en faire un hub énergétique sous régionale.
Il est prévu plusieurs activités durant les trois jours de rencontre qui verra la présence des ministres de l'énergie l'espace CEDEAO. « (…) Les échangent de haut niveau attendus se feront à travers quatre panels organisés en ateliers, avec une vingtaine de sous thème portant sur les questions de régulation, l'éducation, le gaz et les énergies renouvelables », a expliqué M. Patrick Akplogan, membre du comité d'organisation et représentant la société partenaire New Génération associates.
Plusieurs partenaires techniques comme l'AFD, La GIZ, le RECASEB etc… soutiennent l'évènement. Et au Directeur adjoint de l'Agence Française du développement Maurizio Cascioli d'exprimer les impressions de l'AFD à accompagner le Bénin. « (…) Nous sommes ravis d'accompagner le Bénin dans la densification et l'extension de ses réseaux de distribution électrique ainsi que dans un projet exemplaire de central solaire », a-t-il indiqué.
Il faut préciser que environ 250 personnes sont attendus à ce sommat qui verra la présence d'une dizaine de ministre de l'énergie de la CEDEAO.
Marcel HOUETO
Les accidents de la route ont fait 26 morts, percutées par des véhicules, au cours des dix (10) premiers mois écoulés, dans la wilaya d’Alger, sur un total de 53 victimes déplorées dans la wilaya, a-t-on appris samedi d’une source à la Direction de wilaya de la Protection civile.
Le nombre d’accidents de la circulation enregistré dans la wilaya d’Alger, de janvier jusqu’à octobre dernier, a atteint 5019 accidents ayant fait 53 morts (38 hommes, 9 femmes et 6 enfants), et 5123 blessés, sachant que les accidents de la route où les victimes ont été percutées par des véhicules, ont causé le plus grand nombre de victimes (26 morts), a indiqué le Chargé de Communication à la Direction de wilaya de la Protection civile, le lieutenant Khaled Benkhalfallah, dans une déclaration à l’APS.
La même source indique qu’en ce qui concerne les victimes percutées par des véhicules, il a été enregistré 1139 blessés, 26 morts, contre 2148 blessés et 17 morts, suite au télescopage de véhicules, ainsi que 275 blessés et 4 morts, victimes de renversement de véhicules, outre 1561 blessés et 6 morts, suite à d’autres accidents.
Le nombre d’interventions enregistré, au cours des 10 premiers mois écoulés de l’année en cours 2018 à Alger, en matière de secours et d’évacuation, a atteint 43.002 interventions lors desquelles, 34.333 personnes ont été secourues, mais 975 décès sont à déplorer, précise-t-on de même source.
D’après le bilan des interventions de la Protection civile d’Alger, les services mêmes services ont effectué 7784 interventions et ont fait état, de 4062 incendies, au cours desquels 139 victimes ont été secourues et 5 victimes déplorées. Quant au nombre des incendies industriels survenus dans la capitale, ils sont au nombre de 3, contre 230 incendies urbains.
Le nombre total des feux de végétaux, de forêts, de récoltes et de palmiers dans la wilaya, s’élève à 2411, outre 458 divers véhicules, ainsi que 14 engins, ayant pris feu.
D’autre part, 2207 personnes ont été secourues, dont des personnes sans abris, souligne-t-on de même source.
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Les services de la gendarmerie de la wilaya d’El Tarf ont arrêté, récemment, un dangereux criminel qui faisait l’objet de dix (10) mandats d’arrêt pour divers crimes et délits, a-t-on appris samedi auprès de ce corps de sécurité.
Se déployant dans le cadre de leurs activités visant la lutte contre la criminalité dans toutes ses formes, les gendarmes ont intercepté un véhicule, immatriculé dans la wilaya d’Annaba, « en stationnement suspect sur la route menant à la daïra de Dréan », a ajouté la même source, détaillant qu’après vérification d’usage de l’identité du conducteur, il s’est avéré que le conducteur était un criminel activement recherché.
L’individu en question, répondant aux initiales A.D, âgé de 37 ans, fait l’objet de mandat d’arrêt pour, entre autres, homicide volontaire, vol de bétail, non-assistance à personne en danger, tentative de cambriolage, coups et blessures, a-t-on précisé.
Présenté devant le procureur de la République près le tribunal de Dréan, le mis en cause dans ces affaires criminelles a été placé sous mandat de dépôt, a-t-on indiqué de même source.
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Le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Youssfi, a annoncé, samedi à Oran, l’étude de la possibilité d’exploiter la mine de Ghar Djebilet (dans le sud-ouest du pays).
Inaugurant la 3e phase d’investissement au complexe d’acier de l’opérateur turc « Tosyali », le ministre a déclaré « nous avons entamé l’étude sur la possibilité d’exploiter la mine de Ghar Djebilet en adéquation avec le développement de la dynamique de fabrication de l’acier en Algérie », soulignant qu’il est nécessaire de réfléchir à l’exploitation de la mine de Ghar Djebilet.
« Nos capacités productives actuelles estimées à 5 millions de tonnes/an de fer et d’acier atteindront 12 millions de tonnes dans 4 à 5 années et 16 millions à l’horizon 2030, ce qui nécessite de fournir 20 millions à 25 millions de tonnes/an », a-t-il ajouté.
Youcef Yousfi a estimé que l’exploitation des mines d’El Ouenza et de Khadra, dans l’Est du pays, « ne peuvent pas couvrir les besoins pour développer l’aciérie et la sidérurgie », d’où la nécessité de réfléchir à la possibilité d’exploiter la mine de Ghar Djebilet. « Faisons que ce grand projet dans le Sud-ouest équivaut à celui du phosphate dans l’Est du pays. Deux projets qui peuvent opérer un immense changement au développement économique des deux régions », a-t-il soutenu.
« Nous demandons à nos partenaires, spécialisés dans ce domaine, surtout dans l’aciérie à contribuer à réfléchir au projet de l’exploitation de la mine Ghar Djebilet », a indiqué le ministre.
Par ailleurs, Youcef Yousfi a mis en exergue l’importance de la 3e phase d’investissement au complexe Tosyali qui traitera des minerais, saluant la programmation d’une 4e phase d’investissement permettant d’atteindre une capacité productive de 6 millions de tonnes/an dans deux ans et demi.
Le ministre a affirmé, dans ce cadre, que Tosyali satisfait les besoins nationaux en ce produit, valorisant l’exportation de son surplus.
Youcef Yousfi a annoncé que la quatrième phase permettra de couvrir d’autres besoins du marché national, de se diriger vers l’exportation pour toucher les marchés étrangers et de satisfaire les besoins de l’industrie automobile en Algérie.
Le ministre a, au passage, appelé à réhabiliter cet investissement pilote reflétant le développement de l’industrie algérienne à la faveur de la politique du pays qui encourage les investissements nationaux et étrangers, sur laquelle veille le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.
« La dynamique que connait l’investissement de l’opérateur Tosyali est le meilleur exemple de l’encouragement de l’Algérie à l’investissement », a-t-il déclaré dans ce sens, tout en exprimant sa satisfaction quant au développement de l’industrie algérienne de manière continue.
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Le Directeur du Crédit et de la Régulation bancaire à la Banque d’Algérie (BA), Mohamed Lahbib Koubi a indiqué, samedi à Alger, que le taux d’épargne nationale en circulation en dehors des banques était estimé à 31% de la masse monétaire en Algérie.
Intervenant lors du premier Symposium algérien sur les Assurances et la Finance islamiques (SAAFI 2018), M. Koubi a qualifié cette part de « très élevée », préconisant de drainer ces ressources vers les banques pour mieux financer l’activité économique notamment en matière d’investissement.
« Dans un contexte caractérisé par un défaut de ressources bancaires conventionnelles, la collecte des ressources via la diversification et l’adaptation des produits d’épargne et de financement afin de répondre aux attentes de l’ensemble des opérateurs et citoyens, s’avère une nécessité impérieuse pour l’économie nationale », a-t-il soutenu.
A ce propos, le responsable a fait état d’un nouveau règlement devant être publié prochainement dans le journal officiel, un texte définissant les règles applicables aux produits dits participatifs, approuvé le 4 novembre par le Conseil de la monnaie et du crédit (CMC).
Ce système définit ces produits et leur cadre procédural, tout en les distinguant des activités bancaires conventionnelles.
M. Koubi a estimé que ce nouveau texte, élaboré par la BA, ne prenait pas en compte toutes les opérations bancaires participatives à l’instar des opérations en Open Market et des opérations interbancaires, ce qui requiert « de fournir davantage d’efforts afin d’aboutir à de nouveaux textes complémentaires à l’arsenal juridique et encadrer l’ensemble du financement participatif ».
Pour ce faire, une méthode proposée par la BA a été adoptée, basée sur les principes de la graduation dans l’application, la consultation dans l’élaboration, et l’inclusion de l’ensemble des opérateurs économiques et sociaux.
Le responsable a estimé, par ailleurs, que la mise en place d’un cadre organisationnel et comptable complémentaire couvrant cette activité « prendrait plus de temps et requerrait un souffle long et plus d’efforts, de patience et de persévérance ».
La réussite du projet du financement participatif repose également, selon M. Koubi, sur l’efficacité d’un personnel qualifié et formé de manière « suffisante et globale ».
Lors des travaux du symposium, des représentants des banques ont relevé une hausse de la demande sur ce genre de produit, puisque les actifs des banques « Al Baraka » et « Essalem » -seules banques islamiques activant en Algérie- ont atteint respectivement 270 milliards de dinars et 100 milliards de DA.
Concernant l’assurance islamique « Takaful », Mohamed Benarbia, directeur de Salama assurances Algérie, la seule compagnie qui active dans ce domaine en Algérie, a fait observer le manque d’outils juridiques permettant sa croissance, étant actuellement encadrée par les lois destinées aux assurances conventionnelles.
M. Benarbia a déploré s’est plaint du fait que les textes actuels imposent à son entreprise, à l’instar des autres compagnies d’assurances l’investissement de 50% de ses actifs dans les bons de trésor adossés d’intérêts même si celle ci n’est pas conforme à la charia, en l’absence de sukuks sur la place financière algérienne, ce qui impose la déduction des rendements de ces investissements des résultats financiers de cette compagnie.
Le responsable a évoqué l’absence de compagnies de réassurance Takaful et l’existence de deux banques islamiques sur la scène financière algérienne, en dépit du fait que le règlement impose la diversification des banques qui traitent avec les compagnies d’assurance pour réduire les risques.
Pour combler ce vide législatif, le conseil national des assurances (CNA) a récemment proposé une série de mesures pouvant être introduit lors de la prochaine révision du code des assurances pour traiter ces insuffisances, selon le même intervenant.
De son côté, le directeur général de la Société de gestion de la bourse des valeurs (SGBV), Yazid Benmouhoub a précisé que la Bourse d’Alger s’intéresse au lancement des sukuk, toutefois la législation en vigueur ne le permet pas.
La bourse s’attelle actuellement en collaboration avec un laboratoire relevant de l’Université de Sétif à « élaborer un projet portant sur une nouvelle approche organisationnelle qui sera présentée à la commission de surveillance des opérations en bourse (COSOB) pour défendre un éventuel lancement des sukuk.
M. Benmouhoub a mis l’accent sur le rôle de la Bourse dans le financement de l’économie notamment dans le cadre du recul de la liquidité monétaire de 75% suite au choc pétrolier subi par l’Algérie.
Il a, par ailleurs, révélé que la Bourse d’Alger sera totalement numérisée début 2019 et que les opérateurs pourront gérer les opérations boursières de manière électronique.
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Après le rejet de leurs revendications par le ministère des Affaires religieuses, et en vu des problèmes socioprofessionnelles qui mettent en déficit le cadre de vie et le travail de l’imam, le Syndicat national des imams accélère le ton et menace d’une grève pour faire entendre leurs revendications.
En effet, le porte-parole et secrétaire général du Syndicat des imams Djelloul Hadjimi, a dénoncé vivement l’attitude du ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, qui a catégoriquement rejeté la revendication d’augmentation de salaires. Mais Djelloul Hajdimi assure que les revendications des imams ne se limitent pas à la question salariale. Il s’agit de revendications plus larges et plus globales directement liées au cadre du travail de l’imam et aux moyens matériels mobilisés pour lui permettre de réussir sa mission. Djelloul Hadjimi impute l’entière responsabilité au ministère de tutelle en cas de recours à des actions de protestation. Il n’écarte d’ailleurs pas le recours à des actions de rue. Le secrétaire général du syndicat des imams se dit «étonné» par la réaction du ministre des Affaires religieuses, qualifiant d’erreur «la fermeture des portes du dialogue» afin de trouver «ensemble» des solutions adéquates aux problèmes des imams qui persistent depuis de très longues années. Selon le même responsable, les imams n’ont réclamé que leurs droits ignorés depuis de longues années. La revalorisation salariale, le logement de fonction, un véhicule de service et plus de sécurité sont autant de revendications soulevées par le Syndicat des imams.The post Le Syndicat des imams menace d’une grève ! appeared first on .
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Le corps sans vie de Timothée Affeto, âgé de la trentaine, a été retrouvé pendu à un arbre dans la matinée de jeudi 22 novembre 2018.
La victime a été retrouvée vers 06 heures à Mayamon dans l'arrondissement de Gouka ( commune de Bantè).
Un membre de la famille de la victime aurait confié à la police que le jeune homme a des troubles mentaux.
Les circonstances du drame ne sont pas encore élucidées.
Akpédjé AYOSSO