14% de la population algérienne adulte sont atteints de diabète et la wilaya de Jijel compte pas moins de 50 000 diabétiques dont 29 200 sont pris en charge par la Cnas, c’est ce qui a été recensé jusqu’au 31 octobre 2018, nous a affirmé mercredi dernier l’endocrinologue Bouab Daie Eddine en marge de la journée de sensibilisation sur le diabète au profit du personnel des collectivités locales de la wilaya tenue à la salle de conférences de la cité administrative.
Organisée à l’initiative du ministère de l’intérieur, des collectivités locales et de l’aménagement du territoire et de l’urbanisme, cette journée a pour objectif de vulgariser les informations sur cette maladie qui prend de plus en plus ampleur. Le Dr Bouab a souligné par ailleurs que cette initiative qui s’inscrit dans le cadre de la célébration de la journée mondiale du diabète et conformément au slogan de la fédération internationale. le diabète concerne chaque famille, ajoutant que la meilleure manière de l’éviter est de connaître ses signes. Selon lui, cette connaissance passe obligatoirement par la prévention à travers un certain nombre d’actions dont la pratique de l’activité physique et de l’hygiène alimentaire.
Abordant l’état des lieux de cette maladie, Bouab Daie Eddine a estimé que la situation est alarmante avançant le chiffre de 400 millions de diabétiques dans le monde soulignant que l’ampleur du diabète ne cesse de connaître une augmentation, notamment dans les pays du tiers-monde et dont l’Algérie fait partie.
Il a ajouté que cette maladie est coûteuse vu ses complications car elle est la première cause de la cécité et des amputations et l’une des causes des maladies cardiovasculaires mettant en avant l’importance de la prévention parce qu’elle ne coûte pas cher mais elle est efficace.
Pour rappel, le nombre des patients diabétiques pris en charge par la Caisse nationale de sécurité sociale à l’échelle nationale est de l’ordre de 1 779 362 dont 32% sont des assurés sociaux et 62% sont des ayants droit, selon le directeur général adjoint de la Cnas Mahieddine Ouagnouni lors d’une rencontre nationale tenue récemment à Alger.
Bouhali Mohammed Cherif
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C’est dans un cadre féerique et dans une ambiance sympathique et bon enfant que le club «El Tarf lit», affilié à la bibliothèque publique «Françoise-Louise», a organisé, hier, une journée consacrée, exclusivement, à la lecture en plein air, au niveau de la placette publique 11-Décembre-1960, sise au centre-ville d’El Tarf. Il y avait foule lors de cet événement inédit où une masse hétéroclite et bigarrée composée de jeunes, d’écoliers et d’adultes, des férus de la lecture ont pris d’assaut les bancs publics, chacun un livre à la main. «Cette initiative est louable à plus d’un titre et elle sera renouvelée plus souvent. Notre premier objectif est une lutte sans merci contre les fléaux sociaux et la propagation des drogues parmi la frange juvénile. Et le meilleur antidote, c’est la culture sous toutes ses coutures et formes», a indiqué un membre du club.
Seul bémol, au niveau de la placette indiquée, existe une caféteria qui est un repaire de délinquants des deux sexes, de tout acabit, et là, c’est le rôle des services de sécurité d’agir et d’interdire ce genre d’activité préjudiciable à la société dans son ensemble. Reste que le club en question compte, dans les prochains jours, organiser d’autres initiatives dans la même veine. Egalement, les membres du club sont en train de mettre les dernières retouches sur un sondage réalisé, dernièrement, concernant la relation de lecture avec l’individu selon les avis des lecteurs, dans un objectif de mieux cibler les jeunes et leur penchant littéraire. La lecture a sauvé des milliers de personnes des maux sociaux. Chapeau bas.
Daoud Allam
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le moins qu’on puisse dire, c’est que le miel du terroir et les différents produits de la ruche connaissent, depuis un certain temps, une réelle dynamique de développement et de valorisation.
Les foires organisées à travers les différentes communes de la capitale, par l’Association des apiculteurs d’Alger et qui offrent un rapport qualité-prix particulièrement attractif, constituent une politique de proximité très porteuse, en témoignent les retombées économiques mais aussi l’impact de la sensibilisation des citoyens de plus en plus nombreux, quant aux multiples vertus bienfaitrices et l’arnaque des pseudo-vendeurs de miel sans scrupules.
Jetant cette fois l’ancre dans l’enceinte de la coopérative apicole de Djasr Kacentina (Gué-de-Constantine), la 4e foire du miel de la saison (à portée nationale cette fois) durera une semaine (depuis jeudi dernier).
Comme à leur habitude, les organisateurs se sont de nouveau mobilisés pour assurer le meilleur accueil possible aux nombreux visiteurs-acheteurs.
«Avec des investissements et des gros efforts de qualité, mais également des prix qui défient toute concurrence, les apiculteurs professionnels de notre association sont en train de permettre au miel algérien 100% naturel et à une vingtaine de parfums, de conquérir ses titres de noblesse», dira Saïd Chaâbane, apiculteur de métier, vice-président de l’association.
En somme, une virée à la coopérative de Djasr Kacentina s’impose. Aussi, on ne saurait passer sous silence les produits cosmétiques (cosmabeille) à base de miel qui ne cessent d’avoir la cote auprès de la gent féminine, notamment.
Abdenour Belkheir
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ALGER – Un élément de soutien aux groupes terroristes a été arrêté samedi, à Adrar, par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP), indique dimanche le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué.
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce à l’exploitation de renseignements, un détachement de l’Armée nationale populaire a arrêté, le 24 novembre 2018, un élément de soutien aux groupes terroristes à Adrar (3ère Région militaire) », précise la même source.
Par ailleurs, et dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, des détachements combinés de l’Armée nationale populaire « ont appréhendé, à Tlemcen (2e RM) et Biskra (4e RM), quatre (4) narcotrafiquants et saisi (34) kilogrammes de kif traité et une quantité de munitions », tandis que des éléments de la Gendarmerie nationale « ont intercepté, à Ouargla (4e RM), deux (2) contrebandiers et saisi (6.298) unités de différentes boissons ».
D’autre part, un détachement de l’ANP « a arrêté, à In Guezzam (6e RM), vingt-trois (23) immigrants clandestins de différentes nationalités et saisi quatre (4) groupes électrogènes et quatre (4) marteaux piqueurs », alors que des Garde-côtes « ont mis en échec, à Annaba (5e RM), une tentative d’émigration clandestine de dix-huit (18) personnes à bord d’une embarcation de construction artisanale », rapporte le communiqué.
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ALGER- L’Organisation internationale des employeurs (OIE) et la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA), membre de l’OIE, ont tenu samedi à Alger une réunion dans le cadre de la promotion de l’investissement et de l’emploi en Algérie.
Dans un discours prononcé à cette occasion, la présidente de la CGEA, Saida Neghza, a souligné l’importance de cette collaboration portant notamment sur la promotion de la femme dans le monde de l’entreprise et sur le soutien des jeunes à intégrer le monde du travail.
Mme Neghza a également estimé que l’appui de l’OIE aux organisations patronales algériennes arrive au moment où l’Algérie a besoin d’investissements dans tous les secteurs économiques, notamment l’industrie, l’agriculture, le tourisme et les nouvelles technologies.
Intervenant lors de cette rencontre, le président de l’OIE, Erol Kiresepi, a estimé que tout développement économique passe par la dynamisation du tissu d’entreprises de toutes tailles pour bâtir une économie productive, compétitive et durable.
Il a ainsi affirmé la disponibilité de l’OIE à soutenir les organisations patronales algériennes pour £uvrer dans ce sens et répondre à la problématique du chômage des jeunes en particulier.
Par ailleurs, les représentants des deux organisations doivent s’entretenir sur les actions à entreprendre conjointement afin de travailler en faveur d’une économie sociale et solidaire tournée vers l’emploi, ont indiqué les intervenants.
Pour rappel, basée à Genève, l’OIE compte plus de 150 organisations d’employeurs à travers 143 pays dans le monde. La CGEA étant l’unique organisation patronale représentant l’Algérie au sein de cette organisation internationale.
Depuis près de cent ans, l’OIE est présente dans les débats portant sur la politique sociale et de l’emploi au sein de l’Organisation internationale du travail (OIT), auprès de laquelle l’OIE est la seule représentante de l’entreprise, ainsi que dans l’ensemble du système des Nations Unies, auprès du G20 et d’autres instances.
Lors de cette visite les 24 et 25 novembre, le président de l’OIE, Erol Kiresepi, et son secrétaire général, Roberto Suarez Santos, doivent s’entretenir avec différents chefs d’entreprises ainsi que des acteurs économiques et sociaux algériens.
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ILLIZI- Le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville Abdelwahid Temmar a appelé, samedi à Illizi, les cadres de son secteur et les autorités locales, à multiplier les campagnes de sensibilisation en vue de faire connaître les différentes formules de logement mises en place par l’Etat.
» Nous avons relevé une certaine incompréhension chez des citoyens de cette région à l’égard des différentes formules de logement qui ont été mises en place par l’Etat pour le citoyen.
C’est pourquoi, vous devez faire un travail intense de sensibilisation , en impliquant les élus et l’ensemble des acteurs, et ce, en vue d’expliquer les différents types de logement existants pour permettre au citoyen de connaître la formule qui lui convient », a indiqué le ministre qui s’adressait aux cadres de son secteur, lors d’une visite de travail et d’inspection dans la wilaya d’Illizi.
M.Temmar a , d’autre part, fait état de la mobilisation, au titre de l’année 2019, d’une enveloppe financière » dépassant 1,3 milliards DA, en vue de parachever tous les projets de lotissements ruraux », dans la wilaya d’Illizi, mettant l’accent sur la nécessité de » respecter » l’architecture de la région en ce qui concernant les projets de logements ruraux.
Evoquant la Loi de finances 2019, le ministre a indiqué » il y a un programme global consacré aux régions du Sud, financé par le Fonds de soutien au Sud », soulignant que la wilaya d’Illizi » bénéficiera de 2.000 nouveaux logements, ce qui donnera un nouveau souffle au secteur dans la wilaya ».
Il a été également décidé, poursuit le ministre, de l’octroi d’un quota de 400 logements dans le cadre du programme de logement LPA -Logement participatif aidé) et de 150 logements AADL, en sus de deux groupements scolaires et d’un centre de santé « .
Le ministre a annoncé que le gouvernement a décidé d’éradiquer les chalets dans le Sud et de les aménager en logements, moyennant une enveloppe financières s’élevant à environ 100 milliards de centimes, répartis entre 20 logements à Illizi, 611 logements à Ain Amenas, 106 logements à Bordj Omar Driss et de 103 autres à Djanet.
Lors de visite dans cette wilaya, le ministre a procédé à l’inauguration du nouveau siège de l’agence de la Caisse nationale du logement (CNL), ainsi qu’à l’inspection de plusieurs projets de logement, tous segments confondus, mettant l’accent à cette occasion, sur la nécessité de » faire le bon choix des entrepreneurs chargés de la réalisation de ces projets, en vue de donner » un appui au secteur et de respecter les délais de réalisation ».
A cette occasion le ministre a appelé les citoyens à l’impératif de » s’acquitter de leurs redevances aux Offices de promotion et de gestion immobilières (OPGI), en vue de prendre en charge les différentes opérations de rénovation, car, a-t-il expliqué, ces OPGI sont des entreprises nationales publiques » à caractère commercial ».
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ORAN – Le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Youssfi, a annoncé, samedi à Oran, l’étude de la possibilité d’exploiter la mine de Ghar Djebilet (dans le sud-ouest du pays).
Inaugurant la 3e phase d’investissement au complexe d’acier de l’opérateur turc « Tosyali », le ministre a déclaré « nous avons entamé l’étude sur la possibilité d’exploiter la mine de Ghar Djebilet en adéquation avec le développement de la dynamique de fabrication de l’acier en Algérie », soulignant qu’il est nécessaire de réfléchir à l’exploitation de la mine de Ghar Djebilet.
« Nos capacités productives actuelles estimées à 5 millions de tonnes/an de fer et d’acier atteindront 12 millions de tonnes dans 4 à 5 années et 16 millions à l’horizon 2030, ce qui nécessite de fournir 20 millions à 25 millions de tonnes/an », a-t-il ajouté.
Youcef Yousfi a estimé que l’exploitation des mines d’El Ouenza et de Khadra, dans l’Est du pays, « ne peuvent pas couvrir les besoins pour développer l’aciérie et la sidérurgie », d’où la nécessité de réfléchir à la possibilité d’exploiter la mine de Ghar Djebilet. « Faisons que ce grand projet dans le Sud-ouest équivaut à celui du phosphate dans l’Est du pays. Deux projets qui peuvent opérer un immense changement au développement économique des deux régions », a-t-il soutenu.
« Nous demandons à nos partenaires, spécialisés dans ce domaine, surtout dans l’aciérie à contribuer à réfléchir au projet de l’exploitation de la mine Ghar Djebilet », a indiqué le ministre.
Par ailleurs, Youcef Yousfi a mis en exergue l’importance de la 3e phase d’investissement au complexe Tosyali qui traitera des minerais, saluant la programmation d’une 4e phase d’investissement permettant d’atteindre une capacité productive de 6 millions de tonnes/an dans deux ans et demi.
Le ministre a affirmé, dans ce cadre, que Tosyali satisfait les besoins nationaux en ce produit, valorisant l’exportation de son surplus.
Youcef Yousfi a annoncé que la quatrième phase permettra de couvrir d’autres besoins du marché national, de se diriger vers l’exportation pour toucher les marchés étrangers et de satisfaire les besoins de l’industrie automobile en Algérie.
Le ministre a, au passage, appelé à réhabiliter cet investissement pilote reflétant le développement de l’industrie algérienne à la faveur de la politique du pays qui encourage les investissements nationaux et étrangers, sur laquelle veille le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.
« La dynamique que connait l’investissement de l’opérateur Tosyali est le meilleur exemple de l’encouragement de l’Algérie à l’investissement », a-t-il déclaré dans ce sens, tout en exprimant sa satisfaction quant au développement de l’industrie algérienne de manière continue.
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TIZI-OUZOU- La pièce théâtrale ‘‘Mackbett’’ (de William Shakespeare, réécrite par le dramaturge roumain Eugène Ionesco) mise en scène par Ahmed Khoudi a été présentée, samedi au théâtre régional Kateb Yacine de Tizi-Ouzou, devant un public qui l’a fortement appréciée, a-t-on constaté.
Cette pièce produite par le Théâtre national algérien Mehieddine Bachtarzi, et qui traite de la soif de pouvoir et des moyens mis en branle par l’homme pour s’emparer du pouvoir allant jusqu’à tuer les personnes qui lui sont les plus proches, a été jouée par 9 comédiens de l’Institut supérieur des métiers des arts du spectacle et éd l’audio visuel de Bordj El Kiffan, issus de puiseurs wilayas du pays.
Elle met en scène l’histoire de deux généraux qui complotent contre leur roi ‘‘dictateur’’ Duncan pour le renverser et s’emparer du trône.
Deux généraux fidèles au roi, Banco et Mackbett, réussiront à faire échouer ce complot mais finissent eux aussi par convoiter le trône et parviennent à tuer le roi. Dans cette folle course au pouvoir Mackbett tue son très porche ami Banco, qu’il soupçonne de comploter contre lui mais Mackbett sera lui aussi assassiné par le fils de Banco.
Pour cette tragi-comédie d’environ deux heures, jouée en arabe dialectal, le metteur en scène, a fait le choix d’une scénographie très légère faisant l’économie du décor. ‘‘Nous avons essayé de passer un message mais aussi de divertir, d’où le choix de la dérision et du grotesque un peu caricatural, car c’est ce qui fonctionne le mieux avec le public algérien qu’une tragédie noire’’ a indiqué, Ahmed Khoudi à la fin du spectacle.
Pour ‘‘tirer des comédiens le maximum de ce qu’ils peuvent donner’’ le metteur en scène a laissé une grande liberté ‘‘contrôlée’’ aux comédiens ‘‘pour leur donner du plaisir à jouer afin qu’à leur tour ils puissent offrir beaucoup de plaisir au public’’, a souligné M. Khoudi. Mackbett, dont la scénographie est signée Slimane Bedri, est un spectacle riche et diversifié, ou la danse, la simulation de batailles, le jeu parfois très physique des comédiens ainsi que leur mimes et gestuelles très expressives, font de cette pièce, un spectacle à voir et à revoir.
Cette pièce sera jouée encore demain (dimanche) et aprés-demain (lundi) au théâtre de Tizi-Ouzou, puis elle sera présentée mardi à Bejaïa, avant d’être jouée dans les villes d’El Eulma, Constantine et Annaba. En Outre elle participera National du théâtre professionnel, a indiqué M. Khoudi.
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CONSTANTINE – Un large panel de costumes traditionnels reflétant toute la richesse et la diversité du patrimoine algérien est exposé au troisième salon nation de l’habit traditionnel, ouvert samedi soir au palais de la culture Mohamed Laid Al Khalifa de Constantine, a-t-on constaté.
Selon le directeur local de la culture, Aribi Zitouni, cette nouvelle édition de ce salon se veut de »valoriser le rôle des artisans dans la préservation du patrimoine culturel immatériel algérien, mettre en avant toute la richesse du patrimoine national et participer à la sauvegarde de la culture locale, à l’heure où la modernité ne cesse de phagocyter tout ce qui a un rapport avec la tradition ».
Organisé en collaboration avec l’association »El baha » des arts et des cultures populaires, ce salon qui devra se poursuivre jusqu’au 5 décembre prochain, a vu la participation de 28 artisans venus des wilayas de Tizi-Ouzou, Béjaia, Khenchela, Batna, M’sila, Alger, Tlemcen , Oran, Ouargla et Constantine.
A travers ses multiples pavillons, cette manifestation offre l’opportunité au public constantinois de découvrir des habits traditionnels distinguant chaque région du pays qu’il s’agisse de la Gandoura locale, de la chedda tlemcenienne, du karakou algérois, de la robe traditionnelle kabyle ou encore d’El-Melhfa portée par les femmes du sahara.
Miroir d’un patrimoine qui a allégrement résisté aux affres du temps,le 3e salon national de l’habit traditionnel a drainé pour son ouverture un public nombreux venu spécialement apprécier la virtuosité des exposants.
Il est à noter que plusieurs artisans ont été honorés lors de la cérémonie d’ouverture du salon qui a également donné lieu à un défilé d’habits traditionnels et un spectacle musical signé Foufi Ksantini.
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RELIZANE- La ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fatima Zohra Zerouati, a souligné, samedi à Relizane, que la protection de l’environnement n’est pas l’affaire d’un secteur ou du ministère mais de toutes les couches de la société.
A l’occasion de l’arrivée de la « caravane de la ville verte » à Relizane, la ministre a déclaré à la presse que la préservation de l’environnement nécessite l’implication de toutes les couches de la société dans le cadre de l’instauration de la culture environnementale.
« Nous sommes tous responsables de l’environnement à l’école et au quartier pour vivre ensemble dans un espace sain et beau », a fait valoir Fatima-Zohra Zerouati, annonçant le lancement prochain de la réalisation de 33 centres de gestion de dérivés de déchets au niveau national, dotée d’une enveloppe financière de 7 milliards DA. Ces centres contribueront à une prise en charge efficace des déchets et à leur tri, a-t-elle assuré.
« La caravane de la ville verte » est arrivée samedi dans la wilaya de Relizane, troisième étape de cette manifestation écologique de sensibilisation après les wilayas de Bordj Bou Arréridj et de Chlef.
Le programme de cette caravane, regroupant des artistes, des journalistes et des sportifs, a comporté la mise en terre de 100 arbustes à la cité 618 logements au chef-lieu de wilaya, un cross scolaire au centre- ville de Relizane et un espace de lecture à la place de la commune.
Un match de football entre anciens joueurs du RC Relizane et joueurs faisant partie de la caravane a été organisée pour la circonstance, en plus de l’inauguration d’une fresque au niveau du boulevard « Mustapha Benaâma » de Relizane.
La ministre qui a inauguré, lors de cette visite, un club vert à l’école « Ahmed Boushaba » de Relizane, a présidé une réception à l’honneur d’enfants lauréats du concours du meilleur dessin sur l’environnement et a donné le coup d’envoi pour le reboisement du barrage de Saâda, dans la commune de Sidi Mhamed Benaouda, en procédant à la plantation de 2.000 arbustes.
Les étapes de cette caravane de sensibilisation à dimensions environnementale, culturelle, sportive et médiatique se poursuivront jusqu’au 21 mars de 2019. La caravane sillonnera toutes les wilayas du pays dans le cadre du « Prix de la ville verte », lancé à l’initiative du Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.
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Invitée sur l'émission 90 min pour convaincre de l'Ortb, le contrôleur de gestion, administrateur des services financiers à la retraite, conseiller technique de feu Président Général Mathieu Kérékou, présidente de la Cellule de moralisation de la vie publique, Anne Cica Adjaï a fait sa lecture de la lutte contre la corruption et les risques y afférentes. Elle invite le gouvernement de la Rupture à beaucoup communiquer sur ses actions et étendre sa lutte tant vers l'opposition que ceux qui l'entourent.
« La lutte contre la corruption au Bénin : des avancées et des insuffisances » est le thème de l'émission de ce dimanche 25 novembre 2018, co-animée par Cécile Goudou-Kpangon et Marie-Léa Yémadjro. Comme une référence en matière de lutte contre la corruption au Bénin, Anne Cica Adjaï explique que la corruption c'est « tout fait contraire à l'éthique ». Elle a cité entre autres, les abus de pouvoir, le népotise, les dessous de table. D'abord, elle fait comprendre que la lutte contre la corruption au Bénin n'a pas commencé par elle. « A l'époque, c'était la cellule SOS corruption créée par le président Soglo qui faisait le travail. Je crois que ça paniquait un peu quand nous avons pris les commandes », dira-t-elle. Indiquant n'avoir pas hérité des dossiers clairs lors de la passations de service, elle souligne que « lorsque nous avons déposé notre feuille de route au chef de l'Etat, il a validé ». C'est alors que certains problèmes ont pu trouver des solutions surtout en matière de renforcement de personnel. Même si elle estime que personne ne voulait travailler dans la cellule puisque « les gens voyaient derrière la cellule de la moralisation de la vie publique, la cellule de la mort ». Bien que le travail n'ait pas été facile, Anne Cica Adjaï indique que « de 1996 à 2006, nous nous sommes battus comme un lion ». Plusieurs propositions ont été faites pour impliquer tous les acteurs utiles. « Lorsque nous avions pris fonction nous nous sommes dit qu'il faut avoir un bras de la société civile et il y a eu la Fonac ». D'autres initiatives ont suivi notamment l'élaboration du code de l'éthique dans la gestion publique, la formation des jeunes dans le but de les amener à adopter des comportements décents et l'implication de la justice. Bien que ces dispositions aient été prises, elle déclare : « nous n'étions pas autonome mais sommes rattachés au chef de l'Etat ». Néanmoins comme actions phares, « il y a le fameux dossier des 70 milliards ». Ce dossier qui a coûté plus de 300 millions à l'Etat n'a malheureusement pas abouti puisque dira-t-elle, « les magistrats disaient qu'on confondait tout en tant que société civile et qu'il faut les laisser aller au bout ». Mais plus rien.
L'autre dossier est celui relatif aux frais de justice criminelle. Même si ce dossier a eu des échos positifs, Anne Cica Adjaï regrette ne pas avoir reçu le bâton de la répression dans ses attributions. « J'ai eu le sentiment de n'avoir pas réalisé mon objectif », regrette-t-elle.
Un travail délicat
Selon la dame de fer, « Le décret qui créait la cellule n'avait pas intégré la répression. Nous faisons juste la prévention et la sensibilisation ». Elle explique que « quand on parle de corruption, il faut la sensibilisation, la prévention et la répression et c'est ce dernier bâton que nous n'avions pas eu. Ce qui nous manque dans notre combat, c'est la répression. Ce qui fait que lorsque nous publions la liste des gens c'est dissuasif. C'est déjà le premier pas ».
Anne Cica Adjaï martèle : « nous n'avons pas le pouvoir. Nous n'avons pas le pouvoir répressif et c'est délicat ». Elle montre combien de fois la lutte contre la corruption peut-être un risque permanent. « J'ai risqué ma vie et ma famille en a souffert tout le temps. Les menaces au quotidien », regrette-t-elle avant d'ajouter « il faut une certaine éthique quand on exerce le pouvoir de la République ». Durant tout son séjour à la cellule de la moralisation de la vie publique, sa famille était exposée avec non seulement des menaces mais aux des traumatismes assortis avec des séquelles physiques et morales.
Regard global
« Sous le régime Yayi, j'avais un peu cru mais il n'y a pas eu un grand changement », déclare l'ancienne conseillère de Kérékou. Selon elle, « si un chef d'Etat vient, il est entouré de gens qui l'ont aidé et à un moment donné, ils font ce qui va de leur mieux ». Pour elle, « Ce citoyen de type éthique n'existe plus. Il faut que vous vous habituez à gérer dans la transparence et l'éthique ».
Ayant confiance dès le début du mandat de Boni Yayi, elle dit avoir participé de manière accidentelle à la marche verte contre la corruption. « Je l'ai fait mais la lutte est tournée en bourrique », a-t-elle regretté. Même si elle explique que les gens ne disent pas la vérité aux chef de l'Etat, « Ce n'est pas forcément l'environnement. (...) il y a des conseillers qui mentent beaucoup au chef de l'Etat. J'ai fait avec le président Kérékou et j'en ai trop entendu. Mais dire que ce sont les autres seulement qui mentent au chef de l'Etat, vous êtes venus et vous devriez avoir une feuille de route ». Néanmoins, elle martèle que « Sous le régime Boni Yayi, ce dernier a fait quelque chose de positif qui est à son actif. C'est une loi qui était élaborée pour lutter réellement contre la corruption ».
L'article 6 de la convention des Nations-Unies contre la corruption disait qu'il fallait créer une autorité de lutte contre la corruption mais pas rattachée au chef de l'Etat. « Si nous voulons que la cellule travaille et on le rattache au chef de l'Etat, c'est une cellule de moralisation de la vie publique qui sera influencée par le chef de l'Etat. « Si vous voulez lutter contre la corruption et vous le rattachez au chef de l'Etat c'est une cellule de moralisation bis », dira-t-elle. C'est donc pour cela « j'ai écrit en son temps pour dire que l'Anlc doit être indépendante mais on l'a rattachée au président de la République ».
Pour elle, « La lutte contre la corruption relève de la volonté du chef de l'Etat. Si l'autorité n'est pas rattachée au chef de l'Etat, c'est pour qu'elle ne soit pas influencée par le chef de l'Etat. Si vous mettez un millième de budget pour faire rentrer le triple c'est une avancée. Si nous voulons une autorité donnez-les, les moyens pour travailler. Dans mon cas ce qui me bloquait c'est que je n'ai pas le pouvoir répressif ».
Sous le régime Talon
D'abord, Anne Cica Adjaï fait coire que « la lutte contre la corruption attire les investisseurs privés. Le secteur privé aide à créer l'emploi. Il faut prévoir des flexibilités pour aider ces derniers ». Il y a beaucoup de répression et la première prévention, c'est la répression. Il y a la sensibilisation formation, la prévention et la répression. Au regard des critiques à l'endroit du gouvernement Talon, elle affirme que « si nous faisons une lutte à deux mesures, il n'y aura pas de résultats ». Voulant savoir si la création de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) était conforme, elle explique que « Nous avons ratifié des conventions internationales. La convention contre la criminalité transfrontalière organisée (Cto). Il y a 56 pays qui ont ratifié dont le Bénin. C'est un texte qui s'impose à nous. J'imagine que la Criet a été créée suivant cette convention ». Puisque selon celle-ci, « La Cto est le premier instrument contre la criminalité ».
Elle se demande donc, « Est-ce que le Criet respecte notre droit interne. C'est là le débat. J'imagine que c'est sur la base de la Cto que la Criet a été mise en place››.
Quant aux débats qui se mènent sur la Criet, elle dit simplement : « Je ne vais pas remettre en cause ce que les magistrats ont dit, je ne vais pas aller contre ce que les avocats ont dit mais, je reste formel sur une chose, la création de la Criet doit être en harmonie avec notre loi interne comme le demande la Cto ».
Anne Cica Adjaï avoue qu'en matière de lutte contre la lutte contre la corruption sous le président Talon, il y a des normes qui se mettent en place puisqu'elle signale que « C'est pour dire qu'il y a des choses qui se font. C'est pour ça je salue le gouvernement mais j'insiste que les choses doivent être fait suivant la convention des Nations-Unies ». Elle met l'accent sur la justice qui doit-être au cœur de la lutte contre la corruption. Pour la présidente de la cellule de moralisation de la vie publique, « une mission, des objectifs et les moyens. Si nous voulons faire vraiment de la lutte contre la corruption, il faut donner les moyens à la justice ». Elle appelle à ce qu'il faudrait appliquer la loi aussi bien pour les opposants que pour ceux qui sont avec le pouvoir. « J'imagine que c'est la convention des Nations-Unies contre la criminalité transfrontalière organisée qui a créé la Criet », se demande-t-elle. « Je demande à ceux qui sont au pouvoir aujourd'hui de faire vraiment attention puisque ce serait une lutte qui va se poursuivre sur fond de règlement de compte. S'il y a des textes, il faut que cela soit appliqué à tout le monde », en appelle-t-elle. Néanmoins, elle se dit rassurée qu'il y a « des efforts qui se font même si on voit que la lutte va dans un sens, il faut que cela aille dans tous les sens. Et il faut que le gouvernement communique vraiment ».
G. A
A. Mallem
« On croyait que le démantèlement du marché anarchique implanté au bord même de la route dans cette ’descente de la mort» qui longe notre quartier allait régler les problèmes dont nous souffrions depuis des années. Malheureusement, ces derniers se sont surmultipliés et se montrent plus envahissants que jamais », nous ont dit, hier, des habitants de la cité Boudraa Salah.Ces derniers ont expliqué que les commerçants informels, les marchands à la sauvette qui sont toute la journée à jouer au chat et à la souris avec les services de la sûreté urbaine qui les pourchassaient, viennent maintenant d’entrer carrément dans le quartier pour l’occuper et poser leurs étals sous les balcons, devant les portes d’entrée, en obstruant toutes les issues et en créant tout un charivari du matin au soir. «Notre situation devient intenable et nous sommes à bout de nerfs», ont poursuivi nos interlocuteurs, dont l’appel qu’ils viennent de lancer ressemble à un SOS. C’est dans leur écrasante majorité maintenant que les habitants de cette cité populaire réprouvent et condamnent le comportement des marchands qui les ont envahis.
N. Y., ancien président d’association du quartier, nous raconte encore que les marchands de poulets, les marchands de sardine, de la brocante et d’objets de toutes sortes s’aventurent maintenant à proposer leurs marchandises au bord de la route à grande circulation, défiant la police autant que les bus de voyageurs et les camions poids lourds dont les roues frôlent pratiquement leurs étals en descendant ou en montant cette voie dangereuse, créant ainsi un surcroît de risques pour des accidents mortels. Notre interlocuteur a continué à parler en décrivant une situation chaotique dans la cité, faisant que les femmes vivent en permanence avec les fenêtres fermées pour atténuer le bruit que font les marchands sous leurs fenêtres, pour éviter la poussière et aussi d’entendre les obscénités et le langage de souk que ne manquent pas de se lancer les marchands.« La situation s’aggrave et il y a risque d’échauffourées entre les marchands indisciplinés et la population du quartier qui ne peut supporter plus longtemps le fait accompli imposé par les commerçants informels », a terminé N. Y. sur un air de lassitude. Hier, c’était samedi, et nous avons éprouvé beaucoup de difficultés pour entrer en contact avec un responsable au secteur urbain de Boudraa Salah, ou des responsables à la mairie centrale afin de demander des explications ou des informations sur cette situation qui perdure dans cette cité.
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A. Mallem
Le concours d’idées intitulé « Quel devenir urbain pour le centre de Constantine ? », a été lancé hier, au niveau de l’université de Constantine 1′ des Frères Mentouri. C’est un challenge que vient de lancer l’Association pour la promotion des études et de la recherche en aménagement et urbanisme (APERAU), section Afrique et Moyen-Orient (AMO), association appartenant à un réseau international qui comprend plusieurs pays, dont l’Algérie, le Liban, le Maroc, la Tunisie et d’autres pays d’Afrique, et il va s’étaler sur 6 jours, du 24 au 29 novembre 2018, et est parrainé par l’APW, l’université des Frères Mentouri et l’APC de Constantine.Le concours d’idées, qui est lancé aussi avec les établissements universitaires qui prodiguent des enseignements en urbanisme, tend à soumettre cet espace du centre-ville de Constantine au débat en vue de le réaménager de façon appropriée pour intégrer à la fois ses valeurs fortes et lutter contre ses faiblesses qu’il partage dans trois arrondissements administratifs complémentaires : celui de Sidi-Rached qui se caractérise par son site historique exceptionnel, le périmètre sauvegardé du rocher avec sa médina et le parc citadin du Bardo, celui de Kitouni Abdelmalek qui présente une centralité déclassée et des sites marginalisés et, partiellement, celui de Bellevue. Un ensemble de 7 équipes formées d’invités étrangers venus de sept pays, l’Algérie, le Liban, La Tunisie, le Maroc, le Sénégal, le Togo et le Bénin et des étudiants des établissements indiqués feront des sorties guidées pour visiter les sites, prendre des photos et restitueront à la fin leur travail sous forme de communications qui seront appréciées par un jury international en plénières.
Pourquoi ce concours et d’où est venue cette idée ? « L’idée est de moi », nous a déclaré hier à l’ouverture du séminaire, Mme Benabbas-Kaghouche Samia, architecte urbaniste, membre fondatrice et vice-présidente de l’Académie algérienne des sciences et technologie (AAST), qui dirige le séminaire sur le plan scientifique.
« En étant architecte, je veux construire, a-t-elle ajouté, et je voulais donner un plus à l’urbanisme à travers le cas de ma ville que j’adore ».
Après l’inauguration du séminaire, Mme Benabbas-Kaghouche a fait une communication sur l’évolution urbaine de Constantine, une intervention cadre dans laquelle elle a programmé l’ensemble des thématiques qui allaient être développées au cours de ce séminaire.
Elle a parlé de l’évolution urbaine de Constantine, comment elle a évolué sur le plan urbanistique à travers le temps, notamment depuis 1962 ». Aujourd’hui, Constantine a beaucoup changé : transfert de population, changement de paysage, changement de construction, changement d’architecture, changement même de sa dynamique, changement des couloirs d’urbanisation, déclassement de certains espaces, apparition d’autres, etc., a-t-elle souligné.
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A. El Abci
Le Palais de la Culture Mohamed Laid Al Khalifa abrite, depuis hier soir et jusqu’à jeudi 6 du mois de décembre prochain, la 3ème édition du Salon national du costume traditionnel’, avec la participation de près d’une trentaine d’artisans de différentes wilayas du pays.Ce Salon est organisé par la direction de la Culture, en coordination avec l’Association El Bahia’ pour les Arts, les Cultures populaires et la Jeunesse, selon le 1er responsable du secteur de la Culture, dans la wilaya de Constantine, Aribi Zitouni. La manifestation, fait-il observer, consiste en la participation de 28 artisans venant d’une dizaine de wilayas, représentant les régions centre, ouest, est et sud du pays, à savoir : Tizi Ouzou, Khenchela, Batna, Ouargla, Tlemcen, Oran, Alger, Msila, Béjaia et bien-sûr Constantine, présente avec 15 stands d’artisans. Il s’agit de différents stands exposition de costumes féminins et masculins traditionnels, de différentes régions d’Algérie, mais aussi d’autres stands de bijoux, joailleries et autres ornements qui vont avec ces costumes traditionnels des régions et wilayas présentes.
Toujours, selon le directeur de la Culture, l’objectif recherché par la tenue de ce genre de salon, est de montrer au public constantinois, les différentes facettes et la richesse de ce patrimoine particulier de notre culture et traditions, qui consistent en un legs à préserver. Ce qui est recherché également, à travers les diverses éditions de ce Salon national, c’est, en outre, la valorisation et la sauvegarde de ce legs ancestral, qui mérite d’être perpétué pour les trésors qu’il recèle, dit-il.
Dans ce sillage, notre interlocuteur, fera état de l’organisation en soirée d’un concert de musique du malouf, propre au terroir de la ville des ponts’, animé par « Koufi leksantini ». Et de noter, que ce concert d’ouverture sera ponctué par une cérémonie de gratifications de certains artisans, dont les efforts sont connus, en matière de protection, de préservation et de sauvegarde de ce pan de notre culture, qu’est le costume traditionnel.
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La mobilisation des « gilets jaunes » a débuté le samedi 17 novembre, en effet plus de 282.000 manifestants avaient bloqué les routes ainsi que les sites stratégiques en France, une colère due à la hausse des prix des carburants.
De nombreuses vidéos ont été diffusées, exposant la violence des forces de l’ordre à l’égard des gilets jaunes.
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A. C.
L’université de Tébessa vient d’organiser (21-22 novembre) le 4eme colloque international sur les géosciences au service du développement durable.La géoscience étant définie comme «l’étude scientifique de la planète Terre et de ses nombreux systèmes géologiques naturels. Elle inclut l’étude et l’exploration des ressources que l’on retrouve sur terre, minéraux, sol, eau et énergie », une rencontre qui se veut un échange et la mise à jour des connaissances. Autrement dit, une gestion participative consacrée à l’étude des ressources naturelles (matière minérale et énergétique), selon le comité scientifique. Les thèmes retenus auront comme objet de débats et de discussions, la préservation, la gestion durable, la matière première, énergétique et les écosystèmes.
D’autres sujets seront abordés d’après des approches scientifiques telles que la géologie, la pétrologie, la géochimie, ainsi1que la géotechnique, et les risques naturels (un dossier d’actualité vu les dernières inondations et autre érosion des sols), en sus de l’aménagement du territoire dans son volet croissance urbaine et durabilité.
Parmi les invités, notons la présence du Pr. José Joel Carrilo Riverra du Mexique, du Pr Veysel Zedef de Turquie, ainsi le Dr Khelifi Nabil, rédacteur d’édition Springer Journal.
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