La wilaya de Tizi-Ouzou a réalisé cette année une récolte record de liège en augmentant sa production de plus de 100%, a-t-on appris mardi du conservateur local des forêts, Youcef Ould Mohamed.
La campagne qui a démarré en juillet dernier et qui a été clôturée en octobre, a permis de récolter un total de 16.570 qx de liège durant la campagne 2018 a indiqué, à l’APS, M. Ould Mohamed.
Il s’agit d’une »récolte record qui n’a pas été réalisée à Tizi-Ouzou depuis 20 ans », a souligné ce même responsable qui a rappelé que la récolte moyenne de liège réalisée sur les 15 dernières années est de 6.000 qx, et qu’en 2017 elle a été de 8.000 qx.
Ces résultats ont été obtenus »grâce aux facilitations accordées par l’administration à l’entreprise régionale de génie rurale (ERGR) Djurdjura, a précisé M. Ould Mohamed qui a indiqué que cette production »exceptionnelle » a permis à Tizi-Ouzou de se classer cette année, première en matière de production de liège sur les 13 wilayas productrices en assurant 24% de la récolte nationale de cette ressource forestière.
Malgré cette performance, le conservateur des forêts a observé que cette quantité de liège récolté n’a pas permis d’atteindre les objectifs prévus par l’ERGR-Djurdjura et qui sont de 22.900 qx de liège.
Cela est dû essentiellement aux conditions climatiques défavorables qui ont retardé la récolte qui devait débuter en juin, mais qui n’a commencé effectivement qu’en juillet, ainsi qu’au retard accusé par l’ERGR dans l’organisation de ses chantiers, a-t-il dit.
D’autre contraintes liées à la difficulté d’accéder à certaines zones, faute de pistes et à cause du relief très accidenté et au manque de la main d’œuvre spécialisée dans l’opération de démasclage (récupération de liège), ont également empêché d’attendre le chiffre des 22.900 qx, a ajouté ce même responsable qui a observé que l’ERGR-Djurdjura a dû faire appel à des démascleurs de la wilaya de Skikda pour épauler ceux de Tizi-Ouzou issus principalement de la région de Yakourene, et dont le nombre (de cette main d’œuvre locale) « n’est pas suffisant » pour toute l’opération, a-t-il insisté.
L’opération de démasclage qui a été prise en charge par un total de 621 saisonniers étant achevée, l’ensemble des équipes ont été redirigées vers l’empilage qui se fait selon la catégorie du produit, dont le liège femelle (premier choix) et le liège mal et flambé (deuxième choix) afin de faciliter les visites des acheteurs lors des ventes qui débuteront incessamment. Un taux de 20% des ventes est versé au trésor public, a-t-on indiqué de même source.
Cédé entre 4.000 et 12.000 Da le quintal selon sa qualité, à des unités nationales de transformation (fabrication de bouchons, de panneau d’isolation) et à l’exportation pour le liège de premier choix, cette ressource forestière rare, est un produit important pour l’économie nationale, a souligné M. Ould Mohamed.
Il a rappelé à cette occasion, que l’Algérie fait partie des 7 pays producteurs de liège au monde.
Abordant les perspectives de développement de la filière liège au niveau local, le conservateur des forêts a annoncé que des mesures seront engagées pour réunir tous les moyens nécessaires pour réussir la prochaine campagne.
« Nous allons tenir des réunions de coordination et préparer le recrutement de main d’œuvre à l’avance », a-t-il dit, ajoutant que des visites dans l’ensemble des cantons seront effectuées et un programme d’ouverture et d’aménagement d’accès vers les subéraies sera lancé.
La conservation des forêts a également demandé l’inscription d’une opération débroussaillement notamment pour les cantons les plus producteurs tel que Yakourene, a indiqué le même responsable, qui a souligné que les efforts seront concentrés sur la mobilisation des moyens humains et matériels et les réseaux de pistes pour aménagé les accès dégradés et ouvrir d’autres là ou il n’en existe pas.
Le chêne liège est la principale espèce forestière de la wilaya de Tizi-Ouzou, elle occupe une superficie totale de 23.100 ha. Les subéraies les plus importantes sont celles des Ath Ghobri, Ath Jennad, et une partie de Tamgout, a-t-on appris de la conservation des forêts.
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L’Organisation Mondiale de la Santé a déclaré lundi avoir installer un groupe d’études sur la manipulation génétique après l’annonce par un scientifique chinois de la naissance de deux jumelles génétiquement modifiées, une première dans le monde.
Une telle manipulation « ne peut avoir lieu sans des directives claires », a commenté le responsable de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, devant la presse.
« L’OMS réunit des experts et nous travaillons avec les Etats membres (…) pour discuter des critères et des directives pouvant répondre aux problèmes éthiques et de sécurité au sein de la société », a ajouté l’ancien ministre éthiopien de la Santé.
Un chercheur chinois, He Jiankui, a annoncé dans une vidéo diffusée la semaine dernière sur YouTube la naissance de deux jumelles dont l’ADN a été modifié pour les rendre résistantes au virus du sida. Leur père est infecté par le VIH.
La condamnation a été générale dans la communauté scientifique chinoise et ailleurs dans le monde, et a suscité une dénonciation vigoureuse des autorités de Pékin, qui ont exigé la suspension des « activités scientifiques des personnes impliquées ».
Le groupe d’études de l’OMS est en voie d’être créé, a expliqué Tedros, sans présenter toutefois cette initiative comme une réponse directe à l’expérimentation chinoise.
Le responsable de l’OMS a refusé également d’envisager que certaines manipulations de gènes puissent à l’avenir présenter des avantages en matière de santé publique.
Les membres du groupe d’études « peuvent commencer leurs travaux en se posant cette simple question :‘devons-nous même aborder cela », a poursuivi Tedros, selon lequel le groupe d’études avait devant lui une « feuille blanche ».
« Nous devons être très, très prudents. (…) Nous ne devons pas nous engager dans la manipulation génétique sans tenir compte des conséquences non voulues », a encore dit le responsable. Le groupe d’études, a-t-il indiqué, comprendra des universitaires, des experts de l’OMS et des spécialistes médicaux gouvernementaux.
L’Organisation mondiale de la santé met engarde chaque année contre les maladies les plus menaçantes, l’organisation a lancé il ya quelques mois une alerte contre ce qui pourrait être la prochaine épidémie mondiale, la « maladie X ».
Elle pourrait représenter « un danger international et serait particulièrement contagieuse et mortelle ».
Selon L’OMS « cette maladie pourrait résulter d’une erreur de manipulation génétique ou d’un acte terroriste, et causer de nombreuses pertes humaines ».
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La sélection nationale féminine de handball et son homologue tunisienne se sont neutralisées (24-24), à l’occasion de la 3e journée (groupe A) de la Coupe d’Afrique des nations (CAN 2018), disputée ce mardi à Brazzaville (Congo).
Le derby maghrébin, Algérie vs Tunisie, s’est soldé sans vainqueur. Les deux voisins se sont quittés sur le score de 24 buts partout dans une partie âprement disputée.
Menées au score tout au long de la rencontre, les Algériennes ont réussi à sauver les meubles en arrachant le nul. Les protégées de Abdelkrim Bendjemil évitent ainsi une seconde défaite de suite après avoir été corrigées lundi par les Camerounaises (32-18).
Dans l’autre match du groupe A, le Cameroun a pris le meilleur sur la Côte d’Ivoire (34-25).
Après trois sorties, l’Algérie totalise 3 points et occupe la 3e place. Pour rappel, le Sept National a réussi son entame de compétition en battant la Côte d’Ivoire (27-25) lors de la première journée disputée dimanche.
Pour sa quatrième et dernière rencontre dans ce premier tour, l’Algérie sera opposée au Sénégal dans un match à ne pas perdre, prévu jeudi prochain à 13h00 (heure algérienne).
Mohamed Kermia
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L’Entente de Sétif est éliminée de la Coupe arabe des clubs champions en dépit du match nul réalisé ce mardi à Djeddah (Arabie saoudite) face à Al Ahly, à l’occasion de la manche retour des 8es de finale.
Le miracle n’a pas eu lieu pour l’ES Sétif en terre sainte. Les Sétifiens quittent la compétition arabe avec beaucoup de regrets au vue de leur prestation.
Après avoir complètement raté son match aller, battue sur le score de 1 but à 0, l’ESS a montré un tout autre visage lors de la manche retour, notamment en première mi-temps.
Conscients de la situation, les capés de Noureddine Zekri ont réalisé l’entame de match parfaite en scorant à la 17e minute. Banouf a permis à ses coéquipiers de refaire leur but de retard en étant à la conclusion d’une très belle action en triangle orchestrée par Djabou.
Les gars de Ain El Fouara auraient pu ajouter un autre but avant de rejoindre les vestiaires, mais le sort en a décidé autrement.
En seconde période, la formation locale, qui a loupé sa première mi-temps, s’est complètement métamorphosée. Pablo Guede, coach d’Al Ahly, a trouvé les mots justes durant la pause citron pour remotiver ses troupes.
Et il n’a fallu que six minutes aux les Saoudiens pour égaliser. Sur une action quasi-similaire à celle de l’ESS, Said El-Moueled (51’) a trouvé la faille dans une défense sétifienne jusque-là imperméable.
Par la suite, les Sétifiens ont tout essayé pour inscrire le but de la qualification mais la chance leur a tourné le dos. Bakir (65’) et Bedrane (81’), qui ont vu leurs ballons heurter la transversale, étaient à un cheveu de faire mouche.
A la 87e minute, Djabou aurait pu être le héro de la rencontre en tentant un geste acrobatique de haute classe, malheureusement son tir a été repoussé par le gardien adverse.
Alors qu’elle avait placé beaucoup d’espoir dans cette épreuve, particulièrement à cause des fortes primes, Sétif quitte l’épreuve sans même atteindre le stade des quarts de finale.
En attendant l’USM Alger
Concernant les autres représentants algériens, le MCA a validé son billet pour les quarts de finale en disposant de l’autre formation saoudienne d’Al Nasr (2-1), le 29 novembre dernier à Alger.
De son côté, l’USM Alger est toujours en course pour une place en quarts de finale. Toutefois, la tâche des Usmistes s’apparente à une mission impossible. Et pour cause, l’USMA a complètement raté son 8e de finale aller en s’inclinant sur le score de 4 buts à 1, le 20 novembre dernier à Khertoum contre l’équipe soudanaise d’Al Merrikh.
Les Rouge et Noir sont appelés à réaliser une véritable remontada le 10 décembre à Alger, à l’occasion de leur 8e de finale retour.
Mohamed Kermia
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Le ministre saoudien du Commerce et de l’Investissement, Majid ben Abdullah al-Qasabi, a estimé que l’Algérie doit relever des défis liés, notamment, à la bureaucratie et aux textes réglementaires régissant l’investissement.
Les responsables algériens n’ont pas réussi à convaincre les Saoudiens d’investir davantage en Algérie. Hormis cinq projets mobilisant une cagnotte pour le moins dérisoire, investie dans des projets de fabrication de papier hygiénique, de jus, de chlore aux fins de la purification d’eau, ou encore dans la transformation de l’acier, les Saoudiens sont restés de marbre face aux appels de la partie algérienne à investir dans des secteurs à haute valeur ajoutée, dont l’industrie, le tourisme et l’agriculture. “L’Investissement est une question d’appétit”, a lancé le ministre saoudien du Commerce et de l’investissement, lors d’un bref discours prononcé à l’occasion de la tenue, hier, à Alger, du 12e Conseil d’affaires algéro-saoudien. Il se voulait franc, comme lors de ses entretiens avec ses homologues algériens, le ministre saoudien du Commerce et de l’Investissement, Majid ben Abdullah al-Qasabi, qui a indiqué que l’Algérie doit relever des défis liés notamment à la bureaucratie et aux textes réglementaires régissant l’investissement. “Il faut de la rigueur lorsqu’on fait face à ce genre de problématiques”, a-t-il soutenu, comme pour pointer les écueils auxquels sont confrontés les investisseurs en Algérie. Pour lui, “l’Algérie, qui dispose d’une infrastructure de base et d’un soubassement technique, combinés à sa position géographique, devrait être la porte de l’Afrique”. L’État algérien, pense-t-il, doit engager des efforts complémentaires et décisifs tant au plan des textes juridiques qu’en matière lutte contre la bureaucratie. En signe de mécontentement quant à un climat peu propice à l’investissement en Algérie, un représentant saoudien du groupe Tabuk Pharmaceuticals s’est permis d’assimiler les problèmes de sonorisation qui ont marqué la séance dédiée à la présentation des cinq projets conclus “aux difficultés d’investir en Algérie”. Une plaisanterie qui n’était pas du goût de la partie algérienne, mais qui cadrait bien avec cette volonté de dire les choses qui fâchent que revendiquait le ministre saoudien tout au long de son discours. Majid ben Abdullah al-Qasabi a, par ailleurs, reconnu la faiblesse des échanges commerciaux entre son pays et l’Algérie, qui culminent à peine au-dessus de 500 millions de dollars par an. Quant aux investissements, leur valeur ne dépasse pas 400 millions de dollars. Le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi, a recensé 12 projets d’investissements saoudiens en Algérie, cumulant une valeur de 14 milliards de dinars, alors que l’Algérie importe pour près de 600 millions de dollars depuis l’Arabie saoudite. La balance commerciale penche bien évidemment en faveur des Saoudiens compte tenu de la faiblesse des exportations algériennes hors hydrocarbures. Youcef Yousfi a plaidé à la même occasion en faveur d’une dynamique nouvelle aussi bien au plan des échanges commerciaux qui, selon lui, “ne reflètent pas la qualité du partenariat” entre les deux pays, qu’au plan des investissements dont la valeur et la qualité restent, pour le moins, marginales.
Ali Titouche
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BLIDA – L’entrée en production du complexe de production d’insuline « Novo Nordisk » de Boufarik (Blida) interviendra au mois d’août 2019, soit dès parachèvement de ses bâtiments et laboratoires et le règlement de certaines contraintes l’entravant, a-t-on appris, mardi, auprès du directeur du projet.
« L’entame officielle de la production d’insuline (sous forme de solution injectable en stylo pré-rempli), et autres médicaments destinés au diabète, au niveau de ce complexe, né d’un partenariat algero- danois, interviendra en août prochain », a indiqué M. Mohamed Ouaguenouni dans un exposé sur ce projet, présenté au wali Youcef Chorfa, à l’occasion d’une visite de travail dans la commune de Boufarik.
Il a souligné que cette mise en exploitation interviendra « dès parachèvement total des travaux des bâtiments et des laboratoires, actuellement en cours de finition, outre le règlement des problèmes en suspens », a-t-il ajouté.
Selon le responsable, le projet est en butte à un nombre de contraintes liées au refus de certains commerçants de libérer une partie de l’assiette destinée à l’implantation d’un parking. Un foncier actuellement exploité, par eux, au marché de gros de Boufarik, et qui rend difficile l’accès à l’usine, durant les jours de marché hebdomadaire ( lundi et jeudi), a-t-il expliqué, appelant les autorités locales à lui venir en aide dans le règlement du problème du foncier destiné à l’extension de cette usine.
Il a, en outre, déploré l’insuffisance de l’eau et de l’électricité pour les besoins du projet, outre le problème d’importation de certains composants des machines d’essais.
Au titre de la prise en charge de ces préoccupations, le wali de Blida a instruit les responsables de la commune de Boufarik en vue de réfléchir à un compromis, pour régler le problème avec les commerçants. Il a, également, donné son accord de principe pour le forage d’un puits artésien pour couvrir les besoins du projet en eau, tout en instruisant les responsables de la direction locale de Sonelgaz, en vue de le doter d’un transformateur électrique.
Le wali a, par ailleurs, invité les responsables en charge du projet, en vue de se réunir, dans les prochains jours, avec les responsables de tous les secteurs concernés, afin de trouver des solutions adéquates à tous les problèmes posés.
« Il s’agit là d’un investissement d’importance susceptible de contribuer à la création d’une richesse au profit de la commune et de la wilaya, mais aussi pour l’Algérie, en général », a-t-il estimé, soulignant l’impératif de lui assurer toutes les facilitations nécessaires.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de la stratégie du Gouvernement, visant le développement de l’industrie pharmaceutique nationale afin de couvrir le marché national avec un produit fabriqué localement, et partant réduire la facture d’importation de ce type de médicaments, a-t-on indiqué sur place.
Affecté d’une enveloppe de 70 millions d’Euros, ce complexe qui s’étend sur une superficie de 32.000, est doté d’une capacité de production de 45 millions d’unités d’insuline (sous forme de solution injectable en stylo pré-rempli), avec une prévision de création de prés 500 postes d’emploi directs et indirects.
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Les travaux du Forum sur le renforcement des capacités de gouvernance se poursuivent mardi à Alger en ateliers où les participants ont recommandé de permettre aux écoles et établissements d’enseignement et de formation de renforcer leur capacité à produire une ressource humaine « hautement qualifiée » au service de la gouvernance.
Au cours de ce forum de deux jours (mardi et mercredi), organisé par le ministère de l’Intérieur, des collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, en partenariat l’Académie nationale chinoise de la gouvernance (CNAG), les participants ont mis l’accent sur la nécessité de concevoir une stratégie de formation intégrée convergeant vers la réalisation des objectifs de gouvernance.
Le premier atelier portant sur le thème de l’amélioration du service public à travers le renforcement du double rôle des écoles de gouvernance dans le domaine de la recherche scientifique et du conseil pour la prise de décision, a relevé que les écoles de la gouvernance à travers le monde convergent toutes vers un seul objectif, à savoir la formation des cadres appelés à occuper des fonctions de responsabilité ayant un impact direct sur la prise en charge des services publics.
Toutefois, les experts de ce panel ont relevé que d’autres fonctions comme la recherche scientifique et la consultation décisionnelle, d’importance équivalente, doivent être mises en exergue dans la mesure où elles permettent à ces institutions de rayonner tant au plan national et régional qu’international par leurs contributions au renforcement des capacités dans la gestion du service public.
En ce sens, l’objectif de cet atelier consiste à identifier les modalités et les voies et moyens qui permettent aux écoles de gouvernance de renforcer leur rôle d’expertise à travers le développement de la recherche.
Dans le cas de l’Algérie, c’est l’exemple de l’Ecole nationale d’administration (ENA) qui a été débattu.
Le deuxième atelier a traité du thème relatif aux tendances mondiales en matière de renforcement des capacités de gouvernance. En ce sens, les participants ont relevé que les cadres supérieurs jouent un rôle prépondérant dans la conception et la mise en œuvre des politiques et programmes de développement de chaque pays.
Ils ont estimé que le renforcement des aptitudes de ces cadres permettrait d’accroitre leur habilité à définir et atteindre des objectifs et à résoudre des problèmes à exercer efficacement les fonctions dont ils ont la charge.
En outre, cet atelier a planché sur les démarches à entreprendre pour mettre en place une politique et des programmes efficaces en matière de renforcement des capacités des gestionnaires publics en Algérie, à travers l’échange des expériences réussies de par le monde, citant les partenaires de l’Algérie, notamment la Chine, la France, le Canada et les Pays-Bas.
Enfin, le troisième atelier a appelé à une coopération internationale plus étroite dans le renforcement des capacités de gouvernance afin de créer une communauté d’avenir partagée pour l’humanité.
Il est attendu des participants à cet atelier de développer une « vision élargie » en matière des normes internationales sur le renforcement des capacités de gouvernance, des recommandations sur l’amélioration de l’offre internationale pour le renforcement des capacités et un plan de mobilisation de la coopération internationale en matière de gouvernance.
Les travaux en ateliers se poursuivront mercredi, au deuxième et dernier jour de ce forum. La séance de clôture sera marquée par la lecture en plénière des rapports des trois ateliers.
Pour rappel, le Forum international sur le renforcement des capacités de gouvernance est organisé par le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement en partenariat l’Académie nationale chinoise de la gouvernance (CNAG).
Il a pour objet de bâtir un réseau mondial de partenariat et à identifier et explorer les prochaines étapes de la coopération bilatérale et multilatérale en matière de partage de connaissances et de renforcement des capacités de gouvernance.
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ORAN – Le tribunal correctionnel d’Oran a prononcé mardi deux peines de 3 ans de prison ferme à l’encontre de deux agents commerciaux de la Compagnie nationale de navigation (CNAN), jugés pour détournement de deniers publics.
Les peines ont été associées à une amende de 6,57 millions de DA, soit l’équivalent du préjudice financier subi par la compagnie. Un troisième accusé dans cette affaire, à savoir le responsable des opérations au port d’Oran, qui avait été jugé pour négligence, a bénéficié de l’acquittement.
Lors du procès, qui a eu lieu le 27 novembre dernier, le procureur de la République près le tribunal correctionnel d’Oran avait requis une peine de dix ans de prison ferme à l’encontre des deux premiers accusés et l’application de la loi contre le troisième mis en cause.
Selon l’arrêt de renvoi, les faits de cette affaire remontent à janvier 2018, lorsque des responsables du département comptabilité de la CNAN Oran ont découvert des billets d’embarquement à destination de villes françaises et espagnoles annulés. Une enquête interne a déterminé que deux agents commerciaux déclaraient des passagers ayant annulé leurs réservations comme ayant effectué réellement le voyage et ce, afin d’empocher la valeur des billets. Une recherche poussée a conclu que cette pratique frauduleuse a duré deux années au moins et le préjudice financier subi par la compagnie dans cette affaire a été évalué à 6,57 millions de DA.
Lors de l’audience, au cours de laquelle des responsables de la CNAN dont le directeur régional ont comparu en tant que témoins à charge, la défense des accusés s’est basée sur l’absence de preuves matérielles plaidant la relaxe.
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KHENCHELA – Le ministre des Travaux Publics et des Transports, Abdelghani Zaalane, a affirmé mardi à Khenchela la nécessité « d’assurer des voies de communication que sont les routes et ouvrages d’art pour favoriser l’essor de l’économie ».
Le ministre a ainsi inspecté le projet à 40 % achevé d’un ouvrage d’art mobilisant 320 millions DA devant relier les deux localités El Meita et Siar dans la commune de Chechar destiné, a-t-il souligné, à « faciliter les déplacements des citoyens, agriculteurs et petits investisseurs et soutenir, par voie de conséquence, l’économie locale ».
« Il faut achever l’exécution du programme de routes et ouvrages d’art retenu pour la wilaya », a relevé le ministre en signalant que 70 ouvrages d’art ont été réalisés à Khenchela depuis 1999.
« Les perspectives de raccordement de Khenchela à la route des Hauts plateaux et à l’autoroute Est-ouest laissent d’entrevoir une grande dynamique pour cette wilaya susceptible de devenir un pôle important », a ajouté M. Zaalani considérant que d’ici-là, il faut renforcer le réseau routier desservant l’intérieur de la wilaya et la raccordant aux wilayas voisines.
A Feridjou et Tadjmout dans la commune de Chechar, M. Zaalane a lancé les travaux de reconstruction de deux ouvrages d’art en état avancé de dégradation sur la RN-83 pour une enveloppe financière de 60 millions DA.
Il a en outre inspecté les travaux d’entretien d’un tronçon de 12 km de la RN-83 entre Khenchela et Tébessa pour 206 millions DA ainsi que l’opération de doublement de 7 km de la route Khenchela/El Mehmel.
Le ministre devra visiter à N’sigha et Ain Touila de raccordement de deux ouvrages d’art sur la RN-88 et les travaux d’entretien de la même RN entre Belkitane et Ain Touila.
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Une cérémonie rendant hommage à titre posthume à 19 personnalités chrétiennes, restées en Algérie durant la décennie noire en dépit des menaces qui pesaient sur elles, sera célébrée le 8 décembre à Oran, indique l’Eglise catholique d’Algérie.
La célébration de béatification aura lieu au sanctuaire « Notre Dame de Santa Cruz » en présence du représentant du pape François, le préfet de la Congrégation des causes des saints, le cardinal Angelo Becciu, a-t-on précisé de même source.
La béatification a pour objectif la « mise en valeur de ces 19 personnes qui avaient choisi librement de rester en Algérie durant la décennie noire au côté du peuple algérien », a-t-on expliqué. La cérémonie de célébration réunira, entre autres, des membres des familles des disparus, de leurs congrégations religieuses, des membres des quatre diocèses de l’Eglise catholique en Algérie, a-t-on fait savoir.
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AIN DEFLA – La production maraîchère de la wilaya d’Aïn Defla a presque quadruplé en l’espace de 18 ans, atteignant 157 000 qx à l’heure actuelle, a-t-on appris mardi d’un responsable de la direction locale des services agricole (DSA).
« La production maraîchère de la wilaya de Aïn Defla a presque quadruplé en l’espace de 18 ans, passant de 42 985 qx en 2000 à 157 000 qx à l’heure actuelle, soit une évolution de 362 % », a indiqué le chargé des statistiques à la même direction, Amar Sâadi.
Le résultat obtenu est le fruit de la mobilisation des eaux souterraines et superficielles, a signalé M. Sâadi, soutenant que ce facteur a permis la diversification des cultures.
Une production maraîchère de l’ordre de 170 000 qx est attendue pour la campagne agricole 2018-2019, a soutenu le même responsable, faisant remarquer que le maraîchage se caractérise surtout par son cycle végétatif court lequel permet de produire 2 à 3 cultures par an.
La tendance à la hausse concerne également la superficie consacrée aux cultures maraîchères puisque de 42 000 ha en 2000, cette dernière a atteint 34 000 ha durant l’actuelle campagne agricole, a-t-on noté, faisant remarquer que cette superficie englobe la culture de la pomme de terre.
S’attardant sur la pomme de terre, il a fait savoir que la superficie qui lui a été consacrée cette année oscille entre 12 000 et 14 000 ha, rappelant que la wilaya occupe la seconde place à l’échelle nationale s’agissant de la production se rapportant à ce féculent.
Tout en relevant que le maraîchage occupe une place « prépondérante » dans l’agriculture moderne, il a prédit l’essor de cette filière à Aïn Defla compte tenu de la fertilité du sol et de la disponibilité de la ressource hydrique.
« En sus de l’auto-consommation qu’il permet, le maraîchage joue assurément un rôle déterminant dans l’équilibre économique de l’exploitation familiale à Aïn Defla, une région du pays à majorité rurale », a-t-il observé.
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BOUIRA – Le ministre de la Jeunesse et des Sports (MJS), Mohamed Hattab, a appelé, mardi à Bouira, à rationnaliser la gestion participative des infrastructures sportives au profit des jeunes, avant de mettre fin aux fonctions du directeur de l’Office du parc olympique de la wilaya (OPOW), Fouad Daba, pour mauvaise gestion.
M. Hattab a mis fin aux fonctions du directeur de l’OPOW pour mauvaise gestion des structures de sports au niveau local suite à des plaintes et rapports, déposés par certains responsables de clubs locaux, qui accusent M. Daba de « corruption et de mauvaise gestion ».
La décision d’écarter le directeur de l’Office a été communiquée verbalement par le ministre, qui visitait les travaux de réalisation des sous-gradins du complexe sportif Rabah Bitat. et ce suite aux plaintes et rapports déposés par certains responsables de clubs locaux, qui accusent le directeur de l’OPOW de corruption et de mauvaise gestion.
A ce propos, Mohamed Hattab s’est dit être « au courant de ce qui se passe au niveau des stades ici à Bouira ». Les responsables du stade, a-t-il dit non sans emportement, « perçoivent de l’argent pour permettre aux jeunes de pratiquer du sport, c’est inadmissible ».
Au cours de sa visite, M. Hattab a été interpellé à maintes reprises par les jeunes sportifs de la ville de Bouira pour lui demander de mettre fin à ce genre de comportements qui compromettent l’avenir du sport dans leur wilaya.
« Nous avons besoins de gens responsables pouvant adopter notre démarche consistant à rationnaliser une gestion participative des infrastructures sportives au profit des jeunes», a insisté le ministre dans un point de presse tenu en marge de sa visite à Bouira, où il a inspecté et inauguré quelques structures sportives.
Le stade Rabah Bitat de la ville de Bouira est fermé depuis plus de dix ans à cause des travaux de réhabilitation et de réalisation de quelque 5000 places supplémentaires, dont les travaux accusent du retard, selon les détails recueillis sur place.
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Le réseau de téléphonie mobile Moov Bénin a mis en service de nouvelle fonctionnalité sur son portefeuille électronique « Moovmoney » pour répondre plus efficacement aux besoins de sa clientèle.
Désormais il est possible d'utiliser le service Moovpay sans communiquer son numéro de téléphone. Il s'agit du payement sans contact. C'est une fonctionnalité sécurisée, simple et rapide basée sur une technologie fiable qui nécessite l'usage soit du « Tag » ou du « QR Code ».
« Ce que nous lançons est une fonctionnalité additionnelle à un service qui existe déjà, qui est le service de payement marchand. Aujourd'hui nous permettons à nos abonnés au-delà du payement via USSD classique qui existe, de pourvoir utiliser les nouvelles fonctionnalités via la technologie NFC et la technologie « QR code », a expliqué le chef division Moovmoney, Fado Maxime. Il a rappelé que
C'est une proposition de valeur forte pour le réseau aujourd'hui, et qui doit permettre à ses abonnés de pouvoir profiter de la simplicité, de la sécurité et de la rapidité qu'offre cette technologie.
Comment utiliser cette fonctionnalité ?
Pour l'utiliser, le client n'a pas de numéro de téléphone à communiquer, Il doit savoir qu'à chaque fois il lui suffit de rapprocher, juste son téléphone portant le Tag, d'un terminal de payement et il valide l'opération par son code pin ce qui prouve que c'est lui en dernier ressort qui autorise le débit de son compte. Cette opération est obligatoire à n'importe quel moment où pour n'importe quelle transaction de payement de dépôt ou de retrait. « (…) Donc pour le client c'est transparent », indique M. Fado.
Pour l'usage du « QR Code », les abonnés qui ont des smartphones ont besoin de télécharger l'application Moov Money Bénin pour utiliser le QR code. Dans le menu de l'application Moovmoney, il y a l'option scannez le « QR Code » qui permet de faire les opérations de transaction de payement de dépôt ou de retrait.
Comment bénéficier de cette fonctionnalité ?
Il faut se rapprocher des agences Moov sur toute l'étendue du territoire national. Le conseiller clientèle vous donne un tag qui est la puce qu'on colle derrière le téléphone. Mais l'abonné doit réclamer que la puce soit liée à son numéro. Ce n'est qu'à partir de ce moment qu'il peut faire les opérations de payement de dépôt où de retrait. « (…) C'est important d'insister que le Tag soit lié au numéro de téléphone. C'est très important, c'est l'étape primordiale pour pouvoir faire les autres opérations de payement de dépôt et de retrait » a insisté le chef division Moovmoney.
Soulignons que les abonnés qui ont des smartphones, n'ont pas nécessairement besoin du « Tag » il leur suffit de télécharger l'application Moov Money Bénin pour utiliser le QR code.
Marcel HOUETO
Cotonou sera à compter du jeudi 6 décembre 2018, le carrefour de la réflexion pour le Développement de l'Electricité en Afrique. C'est à travers le Sommet International pour le Développement de l'Electricité en Afrique (SIDE-AFRICA) qu'une dizaine de Ministres de l'Energie de la CEDEAO vont se rencontrer en présence des partenaires techniques pour réfléchir sur les nombreux problèmes auxquels le secteur électrique africain est confronté.
Le SIDE-AFRICA, est le 1er Sommet International pour le Développement de l'Electricité en Afrique. L'objectif global du Sommet est de réunir dans un même creuset, les principaux acteurs et partenaire du secteur Electrique, afin de débattre de la situation actuelle du secteur électrique en Afrique et évaluer les apports de solutions pour une meilleure indépendance électrique des pays africains.
Et de façon plus spécifique, le Sommet International de l'Electricité en Afrique permettra de réfléchir sur les nombreux problèmes que le secteur électrique pose en matière de développement de l'Afrique, de faire le bilan de parcours et échanger sur les avancées de chaque pays, de promouvoir la mutualisation de données d'expériences, de pratiques optimales et des enseignements tirés en matière d'intégration des préoccupations liées à l'électricité, de sensibiliser les acteurs sur la régulation et la planification du secteur, de présenter les projets de développement énergétiques en perspective (production, transmission, interconnections, développement des marchés), de donner aux opérateurs (constructeurs, équipementiers, sociétés de services) l'occasion s'informer et de proposer leurs services, de redéfinir la place de la formation et de l'ingénierie électrique pour contribuer au développement de compétences locales capables de répondre et de trouver des solutions sur mesure aux besoins et difficultés électriques de chaque pays.
Ainsi, son financement se fera à travers une approche participative pour les Partenaires Techniques et Financiers (PTF), un système de sponsoring/parrainage /mécénat pour les opérateurs économiques et la vente de stands pour les exposants.
Le Sommet International de l'Electricité en Afrique au Bénin, se veut être d'une part, l'un des évènements les plus importants de la scène électrique africaine regroupant dans un même creuset les différents acteurs, opérateurs et partenaires incontournables du secteur électrique et d'autre part, une occasion de choix pour des études et des échanges sur des sujets marquants, liés à l'électricité, à l'énergie par ricochet.
Les discussions et concertations menées dans le cadre du Sommet permettront d'explorer de nouvelles solutions énergétiques ou d'adopter de nouvelles stratégies dans le cadre de la redistribution de l'électricité aux populations, de trouver des solutions aux difficultés actuelles et courantes que traversent les pays africains, de mettre en place de nouveaux partenariats et alliances stratégiques ou renforcer ceux qui existent afin de faire progresser les projets de développement d'électricité en l'Afrique.
Pendant les trois jours de réflexions, d'échanges et de partages, les débats s'articuleront autour de plusieurs sessions composées de panels. Au total 4 panels organisés en ateliers successifs, avec plus d'une vingtaine de sous thèmes riches et variés portant sur des questions d'actualité allant de la régulation à l'éducation en passant par le gaz, les énergies renouvelables et bien d'autres sont prévus.
Il est prévu également les visites du site de construction de la centrale de Maria-Gleta, des infrastructures régionales en construction (le dispatching et de la salle des marchés de l'électricité ouest africaine).
Environs 250 participants dont les décideurs et acteurs majeurs du Secteur, des producteurs, constructeurs, équipementiers ; des prestataires de services ; des Banques et Fonds d'Investissement ; des Fonds de garanties et Assurances et Partenaires Techniques sont attendus. De même, prendront part à l'évènement les divers représentants des organismes de formation et d'accompagnement dans le domaine Electrique et les Partenaires techniques et financier (CEDEAO, UE, AFD, MCA, GIZ, PNUD, etc….)
L'organisation du Sommet international de l'Electricité en Afrique va engendrer des effets et impacts hautement favorables à tous ses acteurs. Les apports seront sans doute non négligeables tant lors des ateliers d'échanges, que pour les exposants lors des négociations B2B.
M. H.
Le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni, a affirmé à Alger que le taux de consommation des montants affectés à la pension des moudjahidine et des ayants-droit a reculé à 74 % grâce à l’adoption de mesures financières et administratives « rationnelles ».
En effet, répondant aux membres de la Commission des finances et du budget de l’Assemblée populaire nationale (APN) dans le cadre de l’examen du projet de loi portant règlement budgétaire pour l’exercice 2016, M. Zitouni a précisé au sujet de paiement des charges relatives à la pension des moudjahidine et des ayants-droit que « les affectations qui leur sont mobilisées ont été consommées à hauteur de 74 % et ce suite à l’adoption d’une série de mesures financières et administratives rationnelles ». Concernant les cotisations de la sécurité sociale, le ministre a déclaré que leurs affectations financières ont été « consommées à 100 %, en dépit du fait qu’elles prévoient les cotisations des exercices 2014 et 2015, lesquelles représentent 61,39 % de la totalité du montant dû ». S’agissant des allocations, il a indiqué que « le taux de consommation des affectations estimées à 195 millions de DA s’élève à 99,29 % », soulignant que ses services « veillent à réaliser le principe de régulation du budget qui exige un suivi mensuel, trimestriel, semestriel et annuel », ce qui leur a permis d’être pionniers en matière de consommation rationnelle des dépenses ».
Ismain
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