Afrique

L’UE doit améliorer la coordination de ses investissements dans les pôles de recherche de pointe sous peine de perdre du terrain au niveau mondial. C’est l’avertissement lancé par la Commission européenne dans une nouvelle stratégie publiée lundi 15 septembre.

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Éjszaka hidegfront éri el az országot, számos helyen kell csapadékra számítani. Hétvégén azonban már derűs, napos idő várható.

The decision, due to budgetary constraints, "is leaving the very farmers who want better animal welfare out in the cold," NGO says

Europe is less attractive than it could be because funding isn’t being coordinated enough, a new Commission strategy warns

A Nemzeti Kábítószerellenes Egység felszámolt egy drogbandát Kelet-Szlovákiában. Három gyanúsítottat vettek őrizetbe, egy 30 éves férfit előzetes letartóztatásba helyezték.

With half the population overweight, and 18% obese, Belgium wants to make overeating as unpopular as smoking

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Die Vereinigten Staaten wollen sich als zentraler Energieversorger etablieren – nicht nur für Europa.

The pair were sentenced to two years in prison after being found with charms, including a chameleon.

En prélude à la session de renforcement des capacités organisée à leur intention à Cotonou, les journalistes des États membres de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) se sont retrouvés ce dimanche 14 septembre 2025 au siège du quotidien L'Économiste du Bénin. Cette rencontre informelle est une initiative du coordonnateur de la Plateforme des médias de l'UEMOA.

Ambiamce détendue et fraternelle
entre consœurs de la presse

Dans une ambiance conviviale et sans protocole, les journalistes venus des huit pays membres de l'Union ont partagé un cocktail au siège du journal béninois. L'objectif : souhaiter la bienvenue aux confrères et créer un climat d'échange avant le démarrage officiel du séminaire.

Initiée par Loénard Dossou, coordonnateur de la Plateforme des médias de l'UEMOA, cette soirée sans protocole a permis aux professionnels de la presse économique de partager un moment de convivialité autour d'un cocktail. « Il n'y a ni discours ni cérémonie officielle. L'idée, c'est simplement de se retrouver et d'échanger avant le séminaire », a-t-il confié.

La rencontre a été rehaussée par la présence d'Arzouma Yendu-Bé BABAKAN, Directeur de la Communication de la Commission de l'UEMOA, qui a salué l'initiative et soutenu le format décontracté voulu par les organisateurs.

Les journalistes savourent
des spécialités locales

Ce moment d'échange a permis aux journalistes de renforcer les liens entre confrères et de poser les bases d'une collaboration plus étroite au sein de l'espace UEMOA. La session de formation, qui s'est ouverte ce lundi 15 septembre à l'hôtel Azalaï de Cotonou, porte sur les politiques économiques, la gouvernance, les indicateurs de performance et les grands chantiers de l'Union.

A Sodohomè, une localité de la commune de Bohicon, deux jeunes adolescents ont perdu la vie lors d'une opération de gonflage de pneu d'un camion Titan dans la soirée de ce dimanche 14 septembre 2025.

Tragédie à Bohicon ce dimanche 14 septembre 2025. Deux jeunes adolescents ont perdu la vie lors d'une opération de gonflage de pneu. Les victimes, selon des sources concordantes, ont été sollicitées par le conducteur du véhicule pour l'aider à amener le pneu défectueux dans un atelier de vulcanisation. Au moment de l'opération de gonflage, le pneu éclate et projette violemment les deux adolescents qui décèdent sur place.
Le patron de l'atelier, présent au moment du drame, s'en est sorti indemne. La police aussitôt alertée, s'est dépêchée sur les lieux. Une enquête est ouverte à l'effet de situer les responsabilités.

F. A. A.

Ulf Kristersson a accusé son homologue hongrois de mentir après que ce dernier a qualifié la Suède de pays tombé dans la « barbarie » en raison de la criminalité des mineurs.

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Ce dimanche 14 septembre 2025, trois corps sans vie des individus appartenant à des groupes armés ont été découverts dans les localités de Nassiconzi et de Dangazzi, dans la commune de Kalalé. Ces découvertes ont été faites après l'opération de poursuite engagée par les Forces de défense et de sécurité (FDS), après l'attaque du commissariat mercredi 10 septembre dernier.

Les Forces de défense et de sécurité plus déterminés à contrer la menace terroriste au Bénin. L'opération de poursuite engagée après l'attaque du commissariat de Kalalé mercredi 10 septembre 2025, a permis de neutraliser plusieurs assaillants. Des corps sans vie ont été découverts ce dimanche 14 septembre à Nassiconzi et à Dangazzi. Il s'agit selon des sources dignes de foi, des corps de terroristes qui avaient attaqué le commissariat de la localité.
Au cours de cette attaque, l'armée est intervenue avec des hélicoptères et des troupes au sol.
Plusieurs civils dont des membres du personnel soignant de l'hôpital de Kalalé ont été enlevés. Certains, apprend-on, ont été retrouvés. D'autres par contre, sont sans nouvelles. Mais les recherches sont en cours.
L'opération de poursuite engagée par les Forces de sécurité se poursuit.

F. A. A.

Contrairement à ce que pensent certains acteurs, le Bénin selon Blaise Ahouantchédé, expert financier international n'est pas un pays très endetté. Il a exposé ses analyses sur la dette publique du Bénin lors de l'émission Entretien du dimanche de Eden TV, ce 14 septembre 2025.

Sur la problématique de la dette du Bénin, Blaise Ahouantchédé, expert financier international pense qu'il faut relativiser les choses. Le Bénin d'après lui, n'est pas un pays isolé. Il fonctionne dans un environnement intégré et lié à son appartenance à l'Union économique et monétaire Ouest africaine (l'UEMOA), la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), la Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO), et les relations avec ses partenaires techniques et financiers (PTF), qui veillent à accompagner la politique d'investissement. La dette insiste-t-il, est une question relative. Et au regard des chiffres du Bénin, l'on ne peut affirmer que le pays est très endetté. Le niveau de la dette du Bénin, en deçà de la norme communautaire selon l'expert, n'a pas dépassé les 53%, 54%, alors qu'il y a des pays qui ont déjà atteint le seuil de 100% voire 120% par rapport au PIB.
Pour Blaise Ahouantchédé, ce qui devrait intéresser, c'est l'usage qui est fait de la dette. Et dans ce sens, le Bénin s'est-il réjoui, dispose des instruments de contrôle et des institutions de contrôle de l'action publique. « Il suffit de s'assurer que l'argent qu'on emprunte, on va le rembourser. Ce n'est jamais un problème de s'endetter. Le plus important c'est de savoir si on a une bonne signature, si on peut toujours continuer à s'endetter de manière indéfinie, et pendant plusieurs générations. Et pour ça, il faut maintenir un niveau de gestion en respectant toute l'orthodoxie financière de la chose publique comme c'est actuellement le cas au Bénin », a laissé entendre l'ex directeur général de GIM-UEMOA.

F. A. A.

Opinion polls show that the majority of the U.S. population holds positive views on immigration. Credit: Shutterstock.

By Joseph Chamie
PORTLAND, USA, Sep 15 2025 (IPS)

Most of the population in this country wants immigrants, but the current government does not share the same sentiment. The country in question is the United States, often referred to as “a nation of immigrants”, home to more immigrants than any other country worldwide, having received over 100 million immigrants since its founding in 1776.

Opinion polls show that the majority of the U.S. population holds positive views on immigration. A national survey conducted in June revealed a record high of 79% of U.S. adults considering immigration beneficial for the country, with 17% viewing it negatively (Figure 1).

 

Source: Gallup Poll.

 

The poll also found that 62% of U.S. adults disapprove of the president’s hardline immigration enforcement measures. Specifically, a majority of the U.S. public opposes immigration arrests in protected areas such as places of worship, schools, hospitals, and clinics.

Opinion polls show that the majority of the U.S. population holds positive views on immigration. A national survey conducted in June revealed a record high of 79% of U.S. adults considering immigration beneficial for the country, with 17% viewing it negatively

It is estimated that the current government authorities have deported at least 180,000 people so far. By the start of August, the number of deportations is reported to have reached close to 1,500 people per day.

Analyses of recent census data show that in the first seven months of 2025, the U.S. foreign-born population declined significantly, estimated to be between 1.5 million and 2.2 million.

The foreign-born population decreased from 53.3 million immigrants, a record high representing 15.8% of the U.S. population, to 51.9 million immigrants or 15.4% of the country’s population, with other estimates of the decline even lower at 51.1 million. The drop in the foreign-born population marked the first decline in the country’s immigrant population since the 1960s.

Many in the U.S., estimated to be about a third of the population, have expressed agreement with the general principle of deporting undocumented migrants, especially those who have committed violent crimes.

However, a national opinion poll conducted in late June found that the majority of the U.S. population, 54%, believe the government’s immigrant enforcement program has “gone too far” with their methods and tactics being extreme, aggressive, and heavy-handed.

Additionally, 78% of the U.S. population favor providing pathways to citizenship for undocumented immigrants already living in the country, with the proportion rising to 85% for immigrant children.

The proportion of U.S. adults who want immigration to remain at its current level is 38%, while 26% would like to see it increased. In contrast, 30% prefer a reduction in immigration (Figure 2).

 

Source: Gallup Poll.

 

Another survey found that 60% of the U.S. population disapprove of the suspension of most asylum applications and the termination of Temporary Protected Status. Many have objected to the administration’s steps to block access to the asylum process, which is in violation of U.S. law.

Additionally, on his first day in office, the U.S. president issued an executive order aimed at ending birthright citizenship for babies of undocumented immigrants and individuals with temporary status in the country.

If birthright citizenship were to end in the U.S., it would impact an estimated 6% of the country’s annual births, or about 225,000 babies born in the country each year.

However, a national survey conducted in June revealed that 68% of registered U.S. voters actually support birthright citizenship, which was established by the 14th Amendment to the U.S. Constitution in 1868.

Section 1 of the amendment states: “All persons born or naturalized in the United States, and subject to the jurisdiction thereof, are citizens of the United States and of the State wherein they reside”. The president’s executive order ending birthright citizenship has become a significant legal battle for the country and will likely be decided by the Supreme Court.

The current administration considers all undocumented immigrants living in the country as criminals and has falsely claimed that undocumented migrants are responsible for the rise in crime, despite data showing crime rates have been decreasing.

It is important to note that being in the United States illegally is a civil violation, not a criminal one. Many undocumented immigrants who have been arrested have not been convicted of a crime.

In June, the Supreme Court ruled that the administration could resume expedited deportations of migrants to countries that are not their places of origin, referred to as third-country deportations. The administration has reached agreements with countries like Honduras, Rwanda, and Uganda to accept deported migrants who are not their own citizens.

These agreements allow for redirecting asylum-seekers to countries that are not their own if the U.S. government believes these nations can fairly assess their claims for humanitarian protection.

Confusingly, the U.S. president recently ordered a “new” population census that excludes undocumented immigrants.

This is a historic demand, considering the U.S. has counted every person in its census for over 230 years, dating back to 1790. During his first term, the president tried to alter the country’s decennial population census by adding a citizenship question to the 2020 census, but the Supreme Court blocked it.

The U.S. Census Bureau projects that approximately one million immigrants per year will drive the country’s population growth throughout the rest of the 21st century. The nation’s fertility rate, at 1.63 births per woman in 2024, is expected to remain well below the replacement level in the coming decades.

By mid-century, immigration is expected to contribute twice as many people to the U.S. population as natural increase. According to the main series population projection, by 2080, the current U.S. population of 342 million is projected to reach nearly 370 million (Figure 3).

 

Source: U.S. Census Bureau.

 

However, without future immigrants and fertility remaining below replacement, the U.S. population is projected to decline as deaths soon begin to outnumber births. The Congressional Budget Office expects deaths to exceed births by 2031.

By the end of the 21st century, the Census Bureau estimates that without immigration the country will experience nearly 2 million more deaths than births. The U.S. population in the zero immigration scenario is expected to decline to about 226 million, or approximately 116 million fewer people in 2100 than today.

The United States is currently experiencing a significant need for workers across various sectors of the economy, including agriculture, construction, healthcare, hospitality and manufacturing.

Immigrant workers are seen as crucial in filling these labor shortages, especially for jobs such as farmworkers that the native-born U.S. population typically does not want to do.

Many economists have emphasized that immigration is a vital component of a healthy U.S. economy. The president’s deportation and tariff policies are believed to be contributing to an inflationary shock to the economy.

Immigration can help reduce inflation, strengthen manufacturing and increase employment rates. The chair of the Federal Reserve has indicated that the president’s stricter immigration policies are one of the reasons U.S. economic growth has slowed.

In addition to filling job vacancies, immigrant workers also contribute to the growth of the country’s economy and boost tax revenue. The Congressional Budget Office estimates that immigration growth will add $1.2 trillion in federal revenue over the period from 2024 to 2034.

The U.S. population is expected to undergo significant demographic ageing in the coming decades. By 2035, the number of people in the U.S. aged 65 years or older is projected to exceed the number of children under the age of 18.

As the U.S. population ages, the number of working-age individuals per retired person is decreasing. In 1975, the potential dependency ratio of those aged 20 to 64 years old per person aged 65 years or older was slightly over five. Currently, the dependency ratio is about three and is expected to decline to two by 2075. Without future immigration, the U.S. dependency ratio is projected to be approximately 1.5 by 2075.

In summary, it is clear that the majority of the population in the United States supports immigration, while the government does not. Despite the widespread backing for immigration and the substantial demographic, economic, and social impacts of immigration, the new administration is concentrating on significantly decreasing immigration. They have put in place policies, initiated programs, and issued executive actions to achieve this objective.

Joseph Chamie is a consulting demographer, a former director of the United Nations Population Division, and author of various publications on population issues, including his recent book, “Population Levels, Trends, and Differentials”.