Le ministre conseiller en charge des infrastructures et du cadre de vie, Jacques Ayadji a eu, mardi 25 février 2025, une séance avec les acteurs du secteur du transport routier. C'est à la Direction du Transport Terrestre et de l'Aviation (DTTA) en présence des cadres du Ministère du Cadre de Vie et des Transports, le Préfet de l'Atlantique, le Directeur Général de la Police Républicaine.
Échanger sur les défis et trouver des pistes de solutions pour améliorer la sécurité routière tout en réduisant les cas d'accidents. C'est l'objectif de la séance entre les acteurs du transport router et le ministre Conseiller Jacques Ayadji. « Les accidents routiers causent plus de décès que les maladies au Bénin. Pour inverser cette tendance, il est impératif de travailler sur la sécurité, l'amélioration des infrastructures et la responsabilisation des acteurs du secteur », déclaré Jacques Ayadji.
La rencontre a été l'occasion pour les acteurs de faire part de leurs préocuupations. « Nos outils de travail sont vétustes. Il n'y a pas de politique visant à nous permettre d'acquérir des véhicules récents et performants. Pourquoi cela ne se fait-il pas ici, comme ailleurs ? », a confié Alhassan Baboni, représentant de la Centrale des Organisations Syndicales des Conducteurs, Transporteurs et Travailleurs Assimilés du Bénin (COSYCOTRAB). Il souligne aussi la surcharge des véhicules. Alhassan Baboni n'a pas manqué de saluer la qualité des infrastructures routières.
Selon le vice-président des transporteurs par autocar Pascal Tahoulan, certaines sociétés informelles ne paient ni impôts ni taxes et cassent les prix, ce qui met en péril leur activité. A l'en croire grâce aux formations menées en collaboration avec le CNSR, il a été constaté une amélioration des comportements sur la route. « Nous demandons à ce que ces sessions de formation soient renforcées », a-t-il ajouté.
La séance a été aussi l'occasion de se prononcer sur le lancement du Centre de Traitement des Contraventions (CTC), la réduction de la vitesse sur les routes et la professionnalisation du métier de transporteur. Pour le ministre Conseiller Jacques Ayadji le renforcement de la coopération est nécessaire pour améliorer la sécurité routière. « Nous devons tous prendre conscience des risques et agir pour les réduire », a-t-il indiqué. Le ministre Conseiller a également exhorté les conducteurs et transporteurs au respect des règles du Code de conduite.
« La Police Républicaine entend jouer pleinement sa partition en matière de police routière », a affirmé le Directeur Général de la Police Républicaine, Brice Kokou Allowanou. Le ministre conseiller et les directeurs généraux se sont ensuite rendus sur le parc de chargement de Jonquet pour sensibiliser les conducteurs.
A.A.A
Les opérations de vente des logements socio-économiques de Ouèdo ont été lancées, jeudi 20 février 2025, à Abomey-Calavi. Cette étape franchie par le Bénin dans sa politique de développement urbain a été possible grâce à plusieurs partenaires dont les fonds arabes.
Engagé à offrir des logements décents aux citoyens béninois, le gouvernement de Patrice Talon vient de lancer la commercialisation des logements socio-économiques de Ouèdo. Pour Dr Zul-kifl Salami, Chargé de Mission du Président de la République et Membre du Conseil de Gouvernance de l'AATB (Groupe de la Banque Islamique de Développement), Ouèdo n'est que la matérialisation de la vision du Chef de l'Etat Patrice Talon. « Il l'a annoncé dans le Programme d'Actions du Gouvernement. Mais il ne s'agit pas tout simplement d'annoncer, il faut réaliser », a relevé Dr Zul-kifl Salami. Les logements sociaux de Ouèdo, poursuit-il, ne sont pas seulement le fruit du hasard, mais c'est l'excellence même qui caractérise les actions du Chef de l'État.
Une mobilisation efficace des ressources financières a permis la mise en œuvre de ce projet emblématique qui suscite l'admiration bien au-delà des frontières béninoises. Les fonds arabes y ont joué un rôle essentiel. La Banque Islamique de Développement (BID) a apporté un financement de 90 milliards de FCFA, suivie par la Banque Arabe pour le Développement Économique en Afrique (BADEA).
Un projet au service du développement durable
Selon Dr Zul-kifl Salami, le Chef de l'État en réalisant ce projet a satisfait un certain nombre d'ambitions. « La première ambition, c'est de créer un cadre de vie agréable pour toutes les couches de la population béninoise. La deuxième ambition, c'est que le Chef de l'État est très attaché aux Objectifs de Développement Durable. L'objectif n° 11, c'est justement de construire des villes viables, des villes écologiques où il fait bon vivre », a déclaré le ministre d'Etat.
Les infrastructures modernes qui composent cette nouvelle cité ont été pensées pour offrir des logements de qualité à des prix accessibles. « Ce sont des logements qui coûtent théoriquement cher, mais qui sont cédés à un prix abordable par le gouvernement. Le Chef de l'État a dit que son deuxième mandat est un mandat social. Ouèdo est l'illustration très éloquente de ce mandat social », a affirmé Dr Zul-kifl Salami. Il soutient que tout citoyen, quel que soit son niveau de revenu peut prétendre à un logement dans la nouvelle cité Ouèdo.
Avec la mise en vente de 11 000 logements déjà construits sur les 20 000 prévus, le Bénin se positionne comme un modèle en matière d'habitat social en Afrique. Ce projet innovant prouve que le Bénin est capable de relever des défis de grande envergure, tout en inspirant d'autres nations à suivre son exemple.
Akpédjé Ayosso
Le Conseil des ministres s'est réuni mercredi 26 février 2026, sous la présidence du Chef de l'Etat, Patrice Talon. Plusieurs grandes décisions ont été prises au cours de cette séance hebdomadaire.
Worried residents look at a flooded pool, a result of quarry mining near Pumula North in Bulawayo, Zimbabwe's second largest city. Credit: Jeffrey Moyo/IPS.
By Jeffrey Moyo
BULAWAYO, Zimbabwe, Feb 26 2025 (IPS)
On Christmas Day in 2022, 27-year-old Thabani Dlodlo’s eight-year-old son drowned in a flooded pit dug up by quarry miners in the vicinity of Pumula North, a high-density suburb in Bulawayo, Zimbabwe’s second-largest city.
As if that was not enough, just a week after New Year’s Day the following year, Dlodlo’s neighbor, 36-year-old Sethule Hlengiwe, also lost her six-year-old daughter after she drowned in another pit flooded with rainwater near her home in Bulawayo.
When tragedy struck, the six-year-old Thenjiwe had sneaked out to play with her agemates in the vicinity of her home.
Thenjiwe’s mother claimed all the illegal quarry miners took to their heels when her daughter drowned.
“Nobody wanted to be held responsible when my daughter drowned. All the quarry miners who were nearby then just bolted,” Hlengiwe told IPS.
Quarry miners have descended on Bulawayo’s open spaces and have dug huge pits, defacing the urban terrain of the once-thriving industrial city.
Often fronting for Chinese quarry owners, the quarry miners working in the vicinity of high-density suburbs often use explosives, which result in cracks on nearby homes—and some have even collapsed.
One such resident whose home was destroyed due to quarry mining is 64-year-old Londiwe Mabuza, once based in the suburb of Pumula North.
“I now live with my relatives, together with my family, after our home collapsed as a result of violent vibrations as quarry miners used explosives mining near my house,” Mabuza told IPS.
Yet while many, like Mabuza, bemoan the collapse of their dwellings, others are bragging about their rich pickings from quarry mining.
“A single wheelbarrow of quarry gives me a straight two dollars after I sell it to the Chinese quarry miners and on a good day, I make sure I sell at least 10 to 15 wheelbarrows laden with quarry,” 29-year-old Melusi Dhlela, also a Pumula South resident.
Environmental activists claim that while individuals such as Dhlela profit from quarry mining, the environment has suffered as a result.
“There are many issues that quarry mining activities in the vicinity of cities cause. The challenge is that the impacts are all negative. This includes biodiversity loss, human health problems such as respiratory diseases, destruction of infrastructure like roads and houses, water pollution, land degradation and noise pollution,” says Mashall Mutambu, an environmentalist and land expert with a master’s in Land Resources Assessment for Development Planning from the Midlands State University in Zimbabwe.
Another quarry miner, 22-year-old Melusi Ngwenya, a resident of Bulawayo’s Magwegwe West high-density suburb, has moved from a life of rags to riches.
“I used to beg for food and money at street corners in the city, but now as a quarry miner, life has changed for me and now I can afford to pay my own rent and buy food and clothing,” he (Ngwenya) told IPS.
Bulawayo’s townships also have to contend with illegal gold miners who have invaded the city, digging up for gold haphazardly and, like quarry miners, creating gullies and huge pits all over the city.
This is a serious safety issue, especially in the rainy season, where they are flooded and pose a danger to children who fall in and often drown. The pits have become known as the pools of death.
But the miners don’t care about the people or the environment damaged by blasting and illegal mining.
“What we want is money, money and nothing more so that we can live better,” said 39-year-old Dumisani Dlamini, a known quarry miner domiciled in the city’s Nkulumane high-density suburb.
The blasting became a common occurrence after a Chinese firm, Haulin Investments (Pvt) Limited, set up a quarry mine in 2021. The 10-year mining contract was given to the company by the Bulawayo City Council.
But while some profit, many Bulawayo residents, like 35-year-old Senzeni Nhlathi, have had to make do with growing noise pollution from quarry sites.
“We have become used to hearing the blasting of rocks and even hills as quarry miners chase the dollar linked to quarry mining, which means the more the blasting of rocks here, the more the noise,” Nhlathi told IPS. “So, we suffer as others make money.”
Bulawayo residents like 27-year-old Japhet Ndiweni claimed residents were not consulted when Haulin started the venture.
“Hualin for instance, has not bothered to ask us about our views when they moved into our residential territories,” Ndiweni told IPS.
Instead of condemning the mining operations, the city fathers have come out vehemently defending the location of quarry mines.
However, not all quarry miners in this area are bad actors.
Anderson Mwembe (43), who is the Treasurer of the Cowdray Park Quarry Crushers Association, said they have approached the Bulawayo City Council to regularize their operations.
With Mwembe and his association on board, children are safe in those areas mined by them.
“We make USD 2 per wheelbarrow of quarry and drowning of children in pits dug up by quarry miners has been avoided because we make sure to chase away all children who want to play in the area,” he (Mwembe) told IPS.
Others have turned to defending their land against quarry miners, like 42-year-old Bekithemba Bhebhe, resident in Bulawayo, who has switched to rearing dogs to fend off the daring quarry poachers.
Bhebhe owns five vicious dogs, which have kept quarry poachers at bay more effectively than the fence that Bulawayo City Council has erected at some points frequented by illegal quarry miners.
IPS UN Bureau Report
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• Gozem réalise un Series B de 30 millions de dollars pour
accélérer son expansion et révolutionner les services
numériques en Afrique francophone
Gozem, la Super App leader en Afrique francophone, annonce la clôture d'une levée de fonds de 30 millions de dollars en série B, combinant equity et dette. Ce tour de table est mené par SAS Shipping Agencies Services Sàrl (une filiale de MSC Mediterranean Company SA) et Al Mada Ventures, marquant une étape clé dans la croissance de Gozem et son ambition d'étendre son offre de services numériques à travers la région.
Gozem se réjouit d'accueillir ces investisseurs stratégiques, dont l'expertise et les entreprises affiliées, telles que Africa Global Logistics, Medlog et beaucoup d'autres, seront déterminantes pour renforcer ses solutions en logistique et services financiers.
Depuis son lancement en 2018 comme service de moto-taxi, Gozem s'est rapidement développé au Togo, Bénin, Gabon et Cameroun. Aujourd'hui, sa Super App propose une large gamme de services, allant du transport en moto, tricycle et voiture à la livraison de repas et de courses, en passant par la billetterie numérique, le financement de véhicules et les services bancaires numériques. Grâce à cette nouvelle levée de fonds, Gozem va poursuivre son expansion en Afrique de l'Ouest et centrale, améliorer l'expérience des chauffeurs en finançant davantage de véhicules neufs, et accélérer le lancement de Gozem Money, sa banque digitale innovante. "Gozem est une société exceptionnelle qui s'aligne parfaitement avec l'engagement du
Groupe MSC envers l'Afrique et son objectif de développer des solutions innovantes de mobilité et de logistique pour stimuler le commerce. Nous sommes ravis de les accompagner dans leur parcours et avons hâte de collaborer dans les marchés que nous partageons en Afrique de l'Ouest et du Centre.", a déclaré Diego Aponte, Président de MSC Group "Alors que nous continuons à observer l'évolution de la demande de la population pour des services de mobilité innovants, Gozem se distingue par son modèle de Super App inclusif, fiable et facile à utiliser. Nous sommes très enthousiastes à l'idée de soutenir Gregory, Raphaël et toute l'équipe de Gozem dans leurs projets d'expansion.", a déclaré Omar , Directeur Général d'Al Mada Ventures.
"Nous sommes ravis d'accueillir MSC Group et Al Mada Ventures en tant qu'investisseurs stratégiques. Leur expertise en logistique et services financiers en Afrique sera un atout
précieux pour accélérer le développement de notre Super App et notre expansion sur de nouveaux marchés. Avoir des leaders de cette envergure à nos côtés valide pleinement notre vision et nos ambitions. ", déclarent Gregory Costamagna et Raphaël Dana, cofondateurs de Gozem.
La validité du Certificat d'Identification Personnelle (CIP) va passer de deux (2) ans à cinq (5) ans. L'information a été donnée par le Directeur Général de l'Agence Nationale d'Identification des Personnes (ANIP), Aristide Adjinacou Gnahoui. Au cours d'une rencontre l'avec les membres du conseil départemental de concertation et de coordination du Mono à Lokossa.
Suite à des réflexions, il a été décidé de prolonger la durée de validité du Certificat d'Identification Personnelle. « Le CIP va passer de 2 ans à 5 ans parce que nous avons analysé et nous nous sommes posés la question : pourquoi deux ans ? », a déclaré le Directeur Général de l'Agence Nationale d'Identification des Personnes (ANIP), Aristide Adjinacou Gnahoui.
Délivré par l'Agence Nationale d'Indentification des Personnes (ANIP), le Certificat d'Identification Personnelle (CIP) est un document administratif d'identification prévu par la loi. Il certifie qu'un ressortissant béninois est bien identifié et fiché au Registre National des Personnes Physiques (RNPP).
Dans sa mission de modernisation du processus d'identification des personnes sur le territoire national, l'ANIP œuvre pour répondre aux attentes des citoyens. « Nous voulons être plus proches de nos citoyens pour régler leurs problèmes », a indiqué le directeur général de l'ANIP. A l'en croire, l'ANIP est à côté des citoyens à leur naissance et tout au long de leur vie. Un numéro vert 7054 a été mis en place pour gérer les préoccupations des usagers.
A.A.A
De nouveaux représentants du Bénin près de l'Inde, de la Chine, du Maroc, des Etats-Unis, Koweit et du Qatar. Ils sont au total au nombre de 6.
Ambassadeur du Bénin près du Koweit : Badirou Aguèmon
Ambassadeur du Bénin près de l'Inde : Erick Jean Marie Zinsou
Ambassadeur du Bénin près de la Chine : Franck W. Adjagba
Ambassadeur du Bénin près du Qatar : Nouhoume Bida Youssoufou Abdourami
Ambassadeur du Bénin près du Maroc : Joseph Ahanhanzo
Ambassadeur du Bénin près des USA : Mme Agniola Ahouanmènou