La visite du député Sébastien Delogu en Algérie a provoqué de vives tensions en France, notamment après ses critiques contre le ministre de l’Intérieur Bruno […]
L’article Sébastien Delogu désavoué par La France insoumise après sa visite en Algérie est apparu en premier sur .
Renato Baretić, écrivain, journaliste et scénariste croate, s'est éteint à Split le 1er juillet 2025 à l'âge de 62 ans. Dans son roman culte Le Huitième envoyé, il avait inventé une île, son histoire et son dialecte...
- Le fil de l'Info / Courrier des Balkans, Croatie, Culture et éducation, PersonnalitésRenato Baretić, écrivain, journaliste et scénariste croate, s'est éteint à Split le 1er juillet 2025 à l'âge de 62 ans. Dans son roman culte Le Huitième envoyé, il avait inventé une île, son histoire et son dialecte...
- Le fil de l'Info / Courrier des Balkans, Croatie, Culture et éducation, Personnalités, Une - Diaporama, Une - Diaporama - En premierRenato Baretić, écrivain, journaliste et scénariste croate, s'est éteint à Split le 1er juillet 2025 à l'âge de 62 ans. Dans son roman culte Le Huitième envoyé, il avait inventé une île, son histoire et son dialecte...
- Le fil de l'Info / Courrier des Balkans, Croatie, Culture et éducation, Personnalités, Une - Diaporama, Une - Diaporama - En premierRenato Baretić, écrivain, journaliste et scénariste croate, s'est éteint à Split le 1er juillet 2025 à l'âge de 62 ans. Dans son roman culte Le Huitième envoyé, il avait inventé une île, son histoire et son dialecte...
- Le fil de l'Info / Courrier des Balkans, Croatie, Culture et éducation, Personnalités, Une - Diaporama, Une - Diaporama - En premierRenato Baretić, écrivain, journaliste et scénariste croate, s'est éteint à Split le 1er juillet 2025 à l'âge de 62 ans. Dans son roman culte Le Huitième envoyé, il avait inventé une île, son histoire et son dialecte...
- Le fil de l'Info / Courrier des Balkans, Croatie, Culture et éducation, Personnalités, Une - Diaporama, Une - Diaporama - En premierLe président de la Fédération Royale marocaine de football, Fouzi Lekjaa, assure que les supporters algériens auront droit à un accueil chaleureux au Maroc à […]
L’article A six mois de la CAN, Lekjaa envoi un message chaleureux aux Algériens est apparu en premier sur .
Le marché de l’automobile d’occasion en Algérie continue de défier toute logique économique, s’imposant comme le véritable maître du jeu face à un secteur du […]
L’article 114 millions pour une Maruti 2013 : son propriétaire en demande plus [vidéo] est apparu en premier sur .
Dans un rapport sur la sécurité alimentaire en Afrique, la Banque mondiale identifie cinq ports majeurs qui structurent les chaînes d'approvisionnement en denrées dans la région. Ces infrastructures jouent un rôle crucial dans l'importation et la distribution des produits agricoles, notamment les céréales, vers les pays côtiers et enclavés.
Port-Soudan (Soudan)
Port-Soudan arrive en tête des ports critiques pour la sécurité alimentaire en Afrique subsaharienne. Il traite chaque année près de 11,9 milliards de kilocalories (Kcal) de produits alimentaires, notamment des céréales comme le blé importé et le sorgho exporté.
Doté de plus de 500.000 tonnes de capacités de stockage, le port est aussi équipé de systèmes d'ensachage facilitant la distribution intérieure. Il dessert plusieurs pays enclavés comme le Tchad, le Soudan du Sud et le Centre-Afrique grâce à une connectivité terrestre stratégique, notamment via les corridors routiers du Darfour.
Mombassa (Kenya)
Principal port d'Afrique de l'Est, Mombasa joue un rôle logistique majeur avec plus de 11,7 milliards de Kcal de flux alimentaires annuels. Il dispose de silos pouvant accueillir jusqu'à 245.000 tonnes de céréales, et ses infrastructures permettent le transit de produits comme le riz, le thé ou l'huile de palme.
Ce port kenyan est aussi un point d'accès vital pour ses voisins — Ouganda, Rwanda, Burundi, RDC et Soudan du Sud — en matière d'importation de denrées essentielles et d'exportation de produits agricoles.
Cotonou (Bénin)
Avec une capacité de manutention céréalière de 2 millions de tonnes, le port de Cotonou assure environ 10,5 milliards de Kcal alimentaires par an. Il s'impose comme une porte d'entrée incontournable pour le Bénin, mais aussi pour le Niger, le Burkina Faso et le Mali.
Spécialisé dans le vrac et l'ensachage, il traite notamment le riz, le poisson congelé et la volaille, tout en soutenant l'exportation des cultures commerciales béninoises telles que le coton, la noix de cajou et les oléagineuses.
Djibouti (Djibouti)
Stratégiquement situé sur la Mer Rouge, le port de Djibouti traite jusqu'à 8500 tonnes de céréales en vrac par jour. Il dessert principalement l'Éthiopie, qui dépend de cette plateforme pour 70% de son commerce extérieur.
Grâce à ses silos de 69.000 tonnes (blé et engrais confondus) et à son réseau ferroviaire, il alimente les marchés intérieurs éthiopiens en riz, huile végétale, sucre et lait en poudre. Il soutient aussi les exportations agricoles vers le Moyen-Orient, notamment le café et le sésame.
Abidjan (Côte d'Ivoire)
Le port d'Abidjan est l'un des plus dynamiques d'Afrique de l'Ouest pour les produits alimentaires. Avec 9,2 milliards de Kcal échangés chaque année, il joue un rôle clé dans l'approvisionnement du pays en blé, riz et produits de la mer.
Son terminal céréalier peut traiter jusqu'à 300.000 tonnes par an, tandis que ses silos et ses lignes logistiques vers l'hinterland permettent d'alimenter le Burkina Faso, le Mali et le Niger. Abidjan est aussi un pôle majeur d'exportation pour le cacao, la banane et la mangue.
Cliquez pour ici lire la suite
https://africasupplychainmag.com/ports-strategiques-en-afrique-les-5-hubs-logistiques-identifies-par-la-banque-mondiale/
Dans un rapport sur la sécurité alimentaire en Afrique, la Banque mondiale identifie cinq ports majeurs qui structurent les chaînes d'approvisionnement en denrées dans la région. Ces infrastructures jouent un rôle crucial dans l'importation et la distribution des produits agricoles, notamment les céréales, vers les pays côtiers et enclavés.
Port-Soudan (Soudan)
Port-Soudan arrive en tête des ports critiques pour la sécurité alimentaire en Afrique subsaharienne. Il traite chaque année près de 11,9 milliards de kilocalories (Kcal) de produits alimentaires, notamment des céréales comme le blé importé et le sorgho exporté.
Doté de plus de 500.000 tonnes de capacités de stockage, le port est aussi équipé de systèmes d'ensachage facilitant la distribution intérieure. Il dessert plusieurs pays enclavés comme le Tchad, le Soudan du Sud et le Centre-Afrique grâce à une connectivité terrestre stratégique, notamment via les corridors routiers du Darfour.
Mombassa (Kenya)
Principal port d'Afrique de l'Est, Mombasa joue un rôle logistique majeur avec plus de 11,7 milliards de Kcal de flux alimentaires annuels. Il dispose de silos pouvant accueillir jusqu'à 245.000 tonnes de céréales, et ses infrastructures permettent le transit de produits comme le riz, le thé ou l'huile de palme.
Ce port kenyan est aussi un point d'accès vital pour ses voisins — Ouganda, Rwanda, Burundi, RDC et Soudan du Sud — en matière d'importation de denrées essentielles et d'exportation de produits agricoles.
Cotonou (Bénin)
Avec une capacité de manutention céréalière de 2 millions de tonnes, le port de Cotonou assure environ 10,5 milliards de Kcal alimentaires par an. Il s'impose comme une porte d'entrée incontournable pour le Bénin, mais aussi pour le Niger, le Burkina Faso et le Mali.
Spécialisé dans le vrac et l'ensachage, il traite notamment le riz, le poisson congelé et la volaille, tout en soutenant l'exportation des cultures commerciales béninoises telles que le coton, la noix de cajou et les oléagineuses.
Djibouti (Djibouti)
Stratégiquement situé sur la Mer Rouge, le port de Djibouti traite jusqu'à 8500 tonnes de céréales en vrac par jour. Il dessert principalement l'Éthiopie, qui dépend de cette plateforme pour 70% de son commerce extérieur.
Grâce à ses silos de 69.000 tonnes (blé et engrais confondus) et à son réseau ferroviaire, il alimente les marchés intérieurs éthiopiens en riz, huile végétale, sucre et lait en poudre. Il soutient aussi les exportations agricoles vers le Moyen-Orient, notamment le café et le sésame.
Abidjan (Côte d'Ivoire)
Le port d'Abidjan est l'un des plus dynamiques d'Afrique de l'Ouest pour les produits alimentaires. Avec 9,2 milliards de Kcal échangés chaque année, il joue un rôle clé dans l'approvisionnement du pays en blé, riz et produits de la mer.
Son terminal céréalier peut traiter jusqu'à 300.000 tonnes par an, tandis que ses silos et ses lignes logistiques vers l'hinterland permettent d'alimenter le Burkina Faso, le Mali et le Niger. Abidjan est aussi un pôle majeur d'exportation pour le cacao, la banane et la mangue.
Cliquez pour ici lire la suite
https://africasupplychainmag.com/ports-strategiques-en-afrique-les-5-hubs-logistiques-identifies-par-la-banque-mondiale/
Dans un rapport sur la sécurité alimentaire en Afrique, la Banque mondiale identifie cinq ports majeurs qui structurent les chaînes d'approvisionnement en denrées dans la région. Ces infrastructures jouent un rôle crucial dans l'importation et la distribution des produits agricoles, notamment les céréales, vers les pays côtiers et enclavés.
Port-Soudan (Soudan)
Port-Soudan arrive en tête des ports critiques pour la sécurité alimentaire en Afrique subsaharienne. Il traite chaque année près de 11,9 milliards de kilocalories (Kcal) de produits alimentaires, notamment des céréales comme le blé importé et le sorgho exporté.
Doté de plus de 500.000 tonnes de capacités de stockage, le port est aussi équipé de systèmes d'ensachage facilitant la distribution intérieure. Il dessert plusieurs pays enclavés comme le Tchad, le Soudan du Sud et le Centre-Afrique grâce à une connectivité terrestre stratégique, notamment via les corridors routiers du Darfour.
Mombassa (Kenya)
Principal port d'Afrique de l'Est, Mombasa joue un rôle logistique majeur avec plus de 11,7 milliards de Kcal de flux alimentaires annuels. Il dispose de silos pouvant accueillir jusqu'à 245.000 tonnes de céréales, et ses infrastructures permettent le transit de produits comme le riz, le thé ou l'huile de palme.
Ce port kenyan est aussi un point d'accès vital pour ses voisins — Ouganda, Rwanda, Burundi, RDC et Soudan du Sud — en matière d'importation de denrées essentielles et d'exportation de produits agricoles.
Cotonou (Bénin)
Avec une capacité de manutention céréalière de 2 millions de tonnes, le port de Cotonou assure environ 10,5 milliards de Kcal alimentaires par an. Il s'impose comme une porte d'entrée incontournable pour le Bénin, mais aussi pour le Niger, le Burkina Faso et le Mali.
Spécialisé dans le vrac et l'ensachage, il traite notamment le riz, le poisson congelé et la volaille, tout en soutenant l'exportation des cultures commerciales béninoises telles que le coton, la noix de cajou et les oléagineuses.
Djibouti (Djibouti)
Stratégiquement situé sur la Mer Rouge, le port de Djibouti traite jusqu'à 8500 tonnes de céréales en vrac par jour. Il dessert principalement l'Éthiopie, qui dépend de cette plateforme pour 70% de son commerce extérieur.
Grâce à ses silos de 69.000 tonnes (blé et engrais confondus) et à son réseau ferroviaire, il alimente les marchés intérieurs éthiopiens en riz, huile végétale, sucre et lait en poudre. Il soutient aussi les exportations agricoles vers le Moyen-Orient, notamment le café et le sésame.
Abidjan (Côte d'Ivoire)
Le port d'Abidjan est l'un des plus dynamiques d'Afrique de l'Ouest pour les produits alimentaires. Avec 9,2 milliards de Kcal échangés chaque année, il joue un rôle clé dans l'approvisionnement du pays en blé, riz et produits de la mer.
Son terminal céréalier peut traiter jusqu'à 300.000 tonnes par an, tandis que ses silos et ses lignes logistiques vers l'hinterland permettent d'alimenter le Burkina Faso, le Mali et le Niger. Abidjan est aussi un pôle majeur d'exportation pour le cacao, la banane et la mangue.
Cliquez pour ici lire la suite
https://africasupplychainmag.com/ports-strategiques-en-afrique-les-5-hubs-logistiques-identifies-par-la-banque-mondiale/
Des eurodéputés demandent à la Commission d’assouplir ses critères pour la production d’hydrogène bas carbone afin de faciliter sa création à partir d’énergie nucléaire et de gaz naturel.
The post Le PPE et ses alliés réclament un assouplissement des règles relatives à l’hydrogène bas carbone appeared first on Euractiv FR.
Une décision en date du 1er juillet 2025 signée de la ministre Adidjatou Mathys, rend publique la liste des centres et cabinets privés et publics de formation continue, habilités pour exécuter des actions de formation au profit des agents de l'Etat et du personnel du secteur privé.
Une décision en date du 1er juillet 2025 signée de la ministre Adidjatou Mathys, rend publique la liste des centres et cabinets privés et publics de formation continue, habilités pour exécuter des actions de formation au profit des agents de l'Etat et du personnel du secteur privé.
Une décision en date du 1er juillet 2025 signée de la ministre Adidjatou Mathys, rend publique la liste des centres et cabinets privés et publics de formation continue, habilités pour exécuter des actions de formation au profit des agents de l'Etat et du personnel du secteur privé.