Eine Fahrzeuglenkerin ist auf die Gegenfahrbahn geraten und in ein entgegenkommendes Auto geprallt, weil sie am Lenkrad eingeschlafen ist. Sie und ein Kind (2) wurden verletzt.
Am Sonntagmorgen gegen 8.30 Uhr kam es bei Hünenberg ZG zu einer Frontalkollision zwischen zwei Autos. Eine 22-jährige Fahrzeuglenkerin fuhr auf der Luzernerstrasse von Cham ZG Richtung Rotkreuz ZG. Aufgrund eines Sekundenschlafs geriet sie auf die Gegenfahrbahn und prallte dort in ein entgegenkommendes Auto.
«Alkohol- und Drogeneinfluss sind ausgeschlossen», sagt Frank Kleiner, Mediensprecher der Zuger Strafverfolgungsbehörden, zu BLICK. Dennoch wurde ein entsprechender Blut- und Urintest im Spital angeordnet.
Bub (2) musste verletzt ins SpitalIm korrekt fahrenden Fahrzeug war ein Vater mit zwei Kindern unterwegs. Sein Sohn (2) wurde durch den Aufprall verletzt. Der Knabe und die verletzte Unfallverursacherin wurden durch den Rettungsdienst Zug betreut und ins Spital gebracht.
Die Lenkerin wurde der Ausweis abgenommen. Die Luzernerstrasse war während den Bergungs- und Aufräumarbeiten nur einspurig befahrbar. Im Einsatz standen Mitarbeitende des Rettungsdienstes Zug, eines privaten Abschleppunternehmens, des Strassenunterhaltsdienstes und der Zuger Polizei. (szm)
Par Madjid BERKANE
Les assurances du ministère de la Santé à ce sujet ont été des plus claires. La qualité de l’eau n’est pas la cause du choléra.
Les Algériens perdent facilement la raison. La confirmation de certains cas de choléra a été une occasion pour le vérifier. Le boycott de certains produits, à l’image de la pastèque, le melon, la tomate et même l’eau de robinet a été entre autres réactions des Algériens. Ces comportements sont le moins que l’on puisse dire à leur propos bizarres et irrationnels. Car, ils sont tout simplement le résultat des rumeurs circulant sur la Toile. Les assurances du ministère de la Santé à ce sujet ont été des plus claires. «La qualité de l’eau n’est pas la cause des cas de choléra confirmés. Les causes sont à chercher ailleurs. Elles pourraient avoir un rapport avec le non-lavage des produits alimentaires, avec la pollution…etc », a laissé entendre le ministère à travers les différents communiqués ayant émané de ses services. Les dégâts de cette campagne mensongère ont été malheureusement graves et nombreux. L’engouement des citoyens sur les eaux minérales a fait augmenter le prix de la bouteille d’eau minérale-petit calibre- de 5 DA et de celle d’un litre de 10 DA. Elles ont été cédées, hier, respectivement à 35 et 45 DA à Alger. Le stock a été épuisé chez beaucoup de commerçants qui ont jugé utile d’ouvrir au troisième jour de l’Aid El Adha.La panique qui s’est emparé des citoyens a poussé par ailleurs, faut-il le noter, beaucoup de commerçants parmi ceux qui ont été réquisitionnés par la direction du commerce pour assurer les permanences à baisser rideau.
Les dégâts de la méfiance que les Algériens ont en leurs institutions ont fait aussi submerger les services des urgences des hôpitaux. Les personnels médical et paramédical ont eu des difficultés énormes à faire face aux flux des citoyens. «Pour la moindre fièvre, pour le moindre mal gastrique et mal de tête, les citoyens se précipitent à l’hôpital», a déploré hier un médecin interrogé par nos soins, dénonçant au passage l’absence du contrôle sur la Toile et la non-exploitation de celle-ci par les institutions officielles. «Les réseaux sociaux doivent être investis aussi par les institutions étatiques.
Les contre- campagnes doivent être menées sans répit par les autorités concernées à chaque occasion qui se présente.
Les anciens canaux de la communication, à l’instar de la télévision, la radio ne captent plus. Les gens s’informent via les réseaux sociaux», a fait observer notre interlocuteur. Pour ce dernier, les citoyens doivent apprendre à utiliser à bon escient les réseaux sociaux et la Toile pour s’informer. «Il est très aisé de s’informer au sujet de choléra via le Net. Il suffit de taper le mot choléra pour que toutes les informations et les méthodes de lutte contre cette maladie s’affichent en entier», dira-t-il. A propos du contrôle des autorités, il faut dire que l’absence de contrôle des services du ministère du Commerce a été démasquée à l’occasion de cette psychose injustifiée. L’augmentation que se sont permise les commerçants de l’alimentation générale, des supérettes et des gérants des cafétérias quant au prix de la bouteille d’eau au vu et au su de tous est intolérable. «Profiter de la situation de détresse pour augmenter les prix d’un produit parce qu’il est trop demandé est la pire des formes de spéculation et de l’ignorance de la loi», ont tenu à souligner hier de nombreux citoyens. Quant au ministère du Commerce ce n’est pas la première fois qu’il brille par son absence. Le phénomène de la spéculation et de la flambée des prix durant les occasions sont devenus une tradition. Les citoyens ont à plusieurs reprises dénoncé la spéculation et la cupidité des commerçants, mais en vain. L’absence du contrôle de la part des services du ministère du Commerce a été dénoncée aussi par le secrétaire général de l’Union générale des paysans algériens, Mohamed Alioui. Intervenant récemment au Forum du journal Echaâb, le SG de l’Ugpa a incombé la flambée des prix des fruits et légumes à l’absence du contrôle. «Il est tout à fait clair que les prix des fruits et légumes flambent quand le marché est laissé libre aux spéculateurs et aux arrivistes de tous bords», a-t-il indiqué, ajoutant que l’absence du contrôle a été la raison aussi de la flambée des prix du mouton cette année. En outre, il convient d’indiquer que les programmes de permanence tracés par le ministère du Commerce à chaque occasion sont rarement respectés. La fermeture des commerces à l’occasion de cet Aïd El Adha en est la preuve vivante. Le P/APC d’Alger-Centre ne s’est pas empêché de critiquer ouvertement le constat fait par les services de la direction du commerce. «Le taux de suivi des programmes de permanences n’a pas été aussi élevé tel qu’il a été annoncé par la direction du commerce. J’ai fait moi-même le tour de la ville et j’ai vu que beaucoup de commerçants dont les noms figurent sur la liste des commerçants concernés par la permanence n’ ont pas été de service», a-t-il souligné dans une déclaration à la presse.
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Harare – Einen Monat nach seiner umstrittenen Wahl ist Emmerson Mnangagwa am Sonntag in Simbabwe als Präsident vereidigt worden.
Der 75-Jährige legte in einem Stadion in der Hauptstadt Harare vor tausenden Anhängern und in Anwesenheit zahlreicher afrikanischer Staatschefs seinen Amtseid ab. «Ich werde Simbabwe treu sein und die Verfassung Simbabwes verteidigen», sagte Mnangagwa, während im Stadion lauter Applaus der Anhänger ertönte. Mit Gottes Hilfe werde er die Rechte der Simbabwer verteidigen, fügte Mnangagwa hinzu.
Der Kandidat der Zanu-PF-Partei, der unter Simbabwes langjährigem Herrscher Robert Mugabe als Vize-Präsident diente, hatte nach dem vom Militär erzwungenen Abtritt des greisen Herrschers im vergangenen November die Amtsgeschäfte übernommen. Aus der von der Opposition als manipuliert kritisierten Präsidentenwahl vom 30. Juli war er knapp als Sieger hervorgegangen.
Am Freitag hatte das Oberste Gericht des südafrikanischen Landes Mnangagwas Wahl für rechtmässig erklärt. Der Antrag der Opposition auf Annullierung wurde mit der Begründung abgelehnt, diese habe keine klaren, ausreichenden und glaubwürdigen Beweise für Unregelmässigkeiten vorgelegt.
Der FCB-Innenverteidiger erzielt unter neuem Namen sein erstes Tor. Es kann Millionen wert sein.
Dieses Tor kann dem FCB viel Geld bringen: Eray Cömert trifft gegen Apollon Limassol kurz vor Schluss zum 3:2. Basel geht mit einem Vorsprung ins Rückspiel auf Zypern nächsten Donnerstag.
Vor einer Woche, im Cupspiel gegen Montlingen, war er erstmals unter neuem Namen angetreten: Eray Cömert (20), vormals Cümart. «Als meine Grosseltern aus der Türkei in die Schweiz kamen, wurde bei der Ausreise ihr Name falsch geschrieben.» Die Familie habe das immer schon ändern wollen, erzählt Cömert, nun sei es möglich geworden. Beim FCB wurden flugs die Trikots mit Erays Nummer 4 neu gedruckt.
Am Sonntag gegen den FCZ wird Cömert aller Voraussicht nach sein achtes Spiel in weniger als einem Monat machen. Marcel Koller baut auf den spielintelligenten Innenverteidiger. Und Cömert spricht in den höchsten Tönen von Koller. «Man hat gleich gemerkt, dass er sehr viel Erfahrung hat. Er hat grosse Ausstrahlung, arbeitet auf dem Platz sowie im mentalen Bereich viel mit uns.
Viele im Klub trauen Cömert eine ähnliche Karriere zu wie Manuel Akanji oder Fabian Schär. Nicht zuletzt sein Förderer in Lugano, Paolo Tramezzani. Der machte Cömert im Tessin zum Abwehrchef und holte ihn danach zu Sion. Tramezzani schwärmt von Cömerts Antizipationsvermögen, seiner Technik. Logisch, dass der FCB den jungen Mann im Sommer zurückgeholt hat.
Cömert sagt über seine Lern- und Wanderjahre in der Südschweiz: «Ich habe enorm profitiert, weil mir der Trainer das Vertrauen gab, weil ich Verantwortung übernehmen konnte.»
Und der junge Mann liess sich auch durch zwei Schulterverletzungen nicht von seinem Weg abbringen. Gleich in seinem ersten Spiel mit Lugano kugelte er sich die rechte Schulter aus, und als er wieder fit war, sprang das Gelenk erneut raus. Cömert musste unters Messer. Im letzten April ereilte ihn dasselbe Schicksal. Wieder OP, wieder wochenlang Pause.
Um weiteren Verletzungen vorzubeugen, schiebt Cömert Extraschichten: «So kann ich meine Rumpf- und Oberkörpermuskulatur sowie die Bänder stärken.» Überhaupt ist er keiner, der den Fussball auf die leichte Schulter nimmt. Und seit er wieder zu Hause in Basel und bei seiner geliebten Familie ist («Niemand kocht so gut wie die Mutter»), läuft es richtig rund. Cömert ist Stammspieler beim FCB, in der U19-Nati war er zuletzt Captain.
Natürlich ist auch die Schweizer A-Nati ein Ziel, obwohl er auch den türkischen Pass besitzt. «Ich bin in der Schweiz aufgewachsen, habe hier meine fussballerische und meine kaufmännische Ausbildung gemacht. Davon möchte ich etwas zurückgeben.» Und natürlich sind die Ziele mit dem FCB hochgesteckt: «Wir wollen Meister und Cupsieger werden – und europäisch so weit kommen wie möglich.»
HSV-Scouts im JoggeliDer HSV hat am Donnerstag zum dritten Mal einen Beobachter ins Joggeli geschickt. Mit seinen Leistungen hat sich Cömert zuletzt in die Notizblöcke verschiedener Scouts gespielt. Jetzt müssen die nur noch seinen Namen richtig aufschreiben.
Den Klassiker zwischen FCZ und FCB gibts ab 16 Uhr live bei BLICK.
Simon Grether (26) hat beim FCL eine starke Entwicklung hinter sich. Jetzt hat er grosse Ziele.
Nationale Berühmtheit hat er vor fünf Jahren erreicht, als er – knapp 20-jährig – FCZ-Spieler Burim Kukeli in einem Testspiel umsäbelt. Der damalige Bellinzona-Spieler wird für vier Spiele gesperrt, Kukeli fällt mit Waden- und Schienbein-Bruch 17 Monate aus. «Treter Grether» titelt der BLICK. «Das war ein sehr unglücklicher Moment meiner Karriere. Zum Glück geht es Burim jetzt wieder gut. Als Mensch hat mich das sehr geprägt», sagt Grether heute. Genauer will er auf diese Szenen nicht mehr eingehen.
Schlagzeilen macht Grether dann während langer Zeit nicht mehr. Er spielt bei Winterthur und Wohlen in der Challenge League. Erst seit seinem Wechsel 2016 zum FCL steht er wieder im Fokus. Anfangs noch Ergänzungsspieler hat sich Grether zur wichtigen Stammkraft bei den Luzernern entwickelt. «Ich kam damals als zentraler Mittelfeldspieler zu Luzern», erklärt er. Das könnte auch der Grund sein, warum er in den vergangenen Saisons ab und an in der Kritik stand. «Zuerst musste ich mich sicher etwas anpassen. Jetzt weiss ich aber, wie ich als Verteidiger spielen muss.»
Unter Gerry Seoane spielte der FCL letzte Saison eine unglaubliche Rückrunde. Grether hatte daran grossen Anteil. Beim 2:1-Sieg gegen den FCZ im April haut er den Ball in letzter Sekunde in die Maschen. Eine Traumkiste! «Ein cooles Erfolgserlebnis, sehr emotional. Gleichzeitig war es mein erstes Tor für den FCL in der Liga.»
Ausgebildet wurde Grether bei den Junioren des FC Basel. Er kommt aus der «Goldenen FCB-Generation» um Shaqiri und Xhaka. «Ich habe den Nachwuchs mit Granit gemacht, spielte auch mit Xherdan.» Mitterweile habe er mit den beiden Nati-Stars aber keinen Kontakt mehr.
Er lebt nun in Meggen bei Luzern. Zusammen mit seiner Frau und seiner bald 16 Monate alten Tochter. Träume hat er noch grosse. «Ich denke, jeder Spieler will mal ins Ausland. Die Aufmerksamkeit dort ist grösser, die Nachfrage nach Fussball riesig. Das würde mich schon reizen.» Trotzdem fühlt er sich beim FCL sehr wohl. Noch hat er einen Vertrag bis Sommer 2019. «Ich würde jedoch auch gerne länger hier in Luzern bleiben.»
Auch wenn es aktuell nicht perfekt läuft. Der FCL holt nur drei Punkte aus den ersten vier Partien. Heute soll sich das ändern. Grether: «Wir freuen uns auf St. Gallen. Das ist immer ein heisses Duell, wir wollen die bestmögliche Leistung abrufen und natürlich Punkte mitnehmen.»
St. Gallen gegen Luzern gibts ab 16 Uhr live bei BLICK.
Vor dem Gastspiel der Tessiner im Berner Oberland steht die Frage im Raum, ob Stürmer Assan Ceesay auch im September noch für die Luganesi auf Torejagd geht.
Bleibt er – oder geht er? Assan Ceesay, 24-jähriger Stürmer in Diensten des FC Lugano, ist laut Tessiner Medien auf dem Transfermarkt begehrt. Nicht ausgeschlossen, dass der Mann aus Gambia die Luganesi noch verlassen wird.
Das Transferfenster ist in der Schweiz noch bis Ende August geöffnet, noch bleiben sechs Tage für einen Transfer, Ceesays Vertrag läuft noch bis Juni 2019.
Zwar sagt Angelo Renzetti, dass er ihn nicht abgeben wolle. Sollte der Preis aber stimmen, würde der Lugano-Boss aber wohl doch nachgeben.
Zuletzt brilliert Ceesay beim 2:2 gegen die Grasshoppers, schnürt einen Doppelpack, macht Werbung in eigener Sache. Auch heute gegen Thun?
Das Spiel zwischen Thun und Lugano gibts ab 16 Uhr bei BLICK.
Sydney – Nach ihrer Niederlage im Kampf um den Vorsitz in der Liberalen Partei Australiens hat Julie Bishop ihren Rücktritt als Aussenministerin angekündigt. Diese Entscheidung habe sie dem neuen Premier Scott Morrison mitgeteilt, sagte Bishop am Sonntag.
Sie wolle aber weiter als Abgeordnete im Parlament bleiben. Die bisherige Verteidigungsministerin Marise Payne wird das Amt übernehmen, wie Morrison später am Sonntag bekanntgab.
Am Freitag hatte sich Morrison in einer Kampfabstimmung um die Nachfolge von Malcolm Turnbull durchgesetzt, Bishop war schon in der ersten Runde ausgeschieden. Morrison wurde damit auch der fünfte Premierminister innerhalb von zehn Jahren.
Er stellte am Sonntag sein neues Kabinett von 23 Ministern vor. Der Innenminister Peter Dutton, der ursprünglich die Revolte gegen Turnbull losgetreten hatte, behielt sein Amt. Er musste aber die wichtigen Bereiche Einwanderung, Staatsbürgerschaft und multikulturelle Angelegenheiten abgeben. In Australien steht 2019 die nächste Parlamentswahl an. Die Labor-Opposition liegt in allen Umfragen vorn.
Der Justizminister der USA wurde vom Präsidenten eingesetzt. Diese Woche machte Amtsinhaber Jeff Sessions klar, dass Donald Trump trotzdem nicht über dem Gesetz steht.
Der 72-jährige US-Jurist Jeff Sessions aus Alabama ist nicht ganz unumstritten. Er plädiert für die Todesstrafe, gegen die Abtreibung und leugnet den Klimawandel. Vor allem ist er Donald Trumps Justizminister.
In dieser Woche aber hat sich der tiefgläubige Methodist um die amerikanische Demokratie verdient gemacht. Einmal mehr hatte der Präsident von seinem Minister verlangt, den zur Aufklärung der Russland-Affäre eingesetzten Sonderermittler Robert Mueller zu entlassen und die «Hexenjagd» abzublasen. Sessions garantierte daraufhin öffentlich «die Unabhängigkeit der US-Justiz von allen politischen Einflussnahmen».
Es wird einsam um Donald Trump. Ein Vertrauter nach dem anderen packt aus. Im Weissen Haus, steckten Insider der «New York Times», gehe es inzwischen zu wie in der Mafia-TV-Serie «Die Sopranos». Sollte er aus dem Amt gejagt werden, so drohte der «erfolgreichste aller Präsidenten» im Fernsehen, «werdet ihr hinterher alle sehr arm sein».
30000-Dollar-SchweigegeldvertragEr weiss, warum er Angst hat. Vor einem Gericht in New York gestand sein langjähriger Anwalt Michael Cohen nicht nur, in seinem Auftrag Schweigegeld an zwei Frauen bezahlt zu haben, die von sexuellen Beziehungen mit Trump berichten wollten. Er bot Sonderermittler Mueller auch sein Insiderwissen in der Russland-Affäre an.
Dann liess sich Amerikas grösster Yellow-Press-Verleger und Trump-Freund David Pecker von Mueller Straffreiheit zusichern – im Tausch für den Inhalt eines Geheimsafes und eine beeidete Aussage über Trumps aussereheliche Affären.
In dem Safe lag wohl auch ein auf den 15. November 2015 datierter 30000-Dollar-Schweigegeldvertrag mit einem gewissen Dino Sajudin. Wie CNN am Samstag berichtete, weiss der frühere Portier im New Yorker Trump Tower von einer Affäre samt unehelichem Kind des Präsidenten mit einer ehemaligen Haushälterin. Pecker, sagt Sajudins Anwalt Marc Held, habe den Vertrag aufgelöst. Details dieser bisher nicht verifizierbaren Geschichte will er in den nächsten Tagen liefern.
Dann wurde auch noch Trumps Ex-Wahlkampfleiter Paul Manafort wegen Steuer- und Bankbetrug sowie Geldwäscherei verurteilt. Im zweiten Manafort-Prozess im September wird es auch um Politstraftaten gehen.
Sieben wichtige Mitarbeiter des Präsidenten bisher angeklagtSchliesslich handelten Mueller und die Staatsanwaltschaft in New York auch mit Allen Weisselberg Straffreiheit aus, der als jahrelanger Finanzchef der Trump- Organisation alle Geheimnisse der Präsidentenfamilie kennt.
Sieben wichtige Mitarbeiter des Präsidenten hat Mueller bisher angeklagt. Alle wurden verurteilt oder handelten für ein umfassendes Geständnis Strafminderungen aus. Schon lange will Mueller auch Trump verhören. Dessen Berater fürchten aber, dass er sich um Kopf und Kragen reden könnte.
Noch gefällt sich der verurteilte Steuerbetrüger und Geldwäscher Manafort als letzter getreuer Paladin des Präsidenten. Dass er bisher jede Zusammenarbeit mit Mueller verweigert, brachte ihm am Donnerstag ein TwitterLob aus dem Weissen Haus ein. «Paul ist eben kein ‹Umfaller›», schrieb Trump, «... keine Ratte wie John Dean.»
Eine bemerkenswerte Wortwahl: Als Rechtsberater von Richard Nixon war Dean einer der Strippenzieher im Watergate-Skandal. Als er 1972 «umfiel» und aussagte, trat Nixon als Präsident zurück. Als «Ratten» bezeichneten auch New Yorker Mafiabosse der 80er- und 90er-Jahre Mitglieder, die im Verhör eines Oberstaatsanwalts namens Rudy Giuliani reihenweise «umfielen».
Es geht um blindes GlaubenIn diesem unappetitlichen Umfeld machte damals übrigens ein gewisser Donald Trump seine ersten Deals. Giuliani ist heute sein persönlicher Anwalt.
Auf einem trumpschen Golfplatz in Schottland warnte Giuliani am Freitag vor einem Amtsenthebungsverfahren gegen den 45. Präsidenten. Für diesen Fall rechne er mit einer «sehr ernsten Revolte» der Trump Anhänger. Er könnte recht behalten.
Denn längst geht es nicht mehr um Fakten oder Fake News, sondern um blinden Glauben. Am Ende dieser turbulenten Woche glaubt trotz Gerichtsurteilen noch immer weniger als die Hälfte der Trump-Wähler an die Schuld von Cohen oder Manafort. Und selbst wenn – für die Mehrheit der republikanischen Wähler hat diese «Hexenjagd» nichts mit Donald Trump und seiner Regierung zu tun.
NEW YORK - Victoria's Secret zählte lange zu den Superstars der Modewelt. Die US-amerikanische Dessousmarke trumpfte mit Top-Models wie Claudia Schiffer und Heidi Klum auf. Die teure Unterwäsche war ein Verkaufsschlager. Nun scheinen die goldenen Zeiten vorbei.
Sinkende Verkaufszahlen, Aktienkurs im Sturzflug und Image-Probleme: Die einst schillernde US-Modemarke Victoria's Secret hat sich beim Mutterkonzern L Brands vom Aushängeschild zum Problemfall entwickelt. Das Reizwäsche-Label, das bei seinen pompösen Modeschauen stets die internationale Elite der Top-Models über den Laufsteg schickt, trifft den Nerv vieler Kundinnen nicht mehr.
Steht sich das Unternehmen mit seiner «Sex Sells»-Vermarktung, die auf makellose, leichtbekleidete Frauenkörper setzt, in Zeiten reger Body-Shaming-Debatten und der #MeToo-Bewegung selbst im Weg? Die Zahlen sehen zumindest nicht gut aus. Obwohl die US-Wirtschaft floriert und die Konsumausgaben boomen, ging der Absatz bei «Victoria's Secret» im zweiten Quartal weiter zurück.
Schönheitsideale im WandelErschwerend hinzu kam, dass nun auch noch die für jüngere Käuferinnen gedachte und bislang eigentlich als Hoffnungsträger geltende Zweitmarke «Pink» schwache Ergebnisse lieferte. Die Konzernmutter L Brands reagierte mit einer Gewinnwarnung, was die Aktie alleine am Donnerstag elf Prozent an Wert verlieren liess. Auf Jahressicht hat sich der Kurs gar schon halbiert.
Victoria's Secret kämpft schon länger mit verschärfter Konkurrenz und dem so genanten Athleisure-Trend hin zu schlichterer, bequemer und sportlicher Bekleidung. Doch womöglich gehen die aufreizenden und teuren Dessous mittlerweile nicht nur an der Mode, sondern auch am Zeitgeist vorbei. In der Glamour-Welt der Models, für die der Vertrag als Victoria's-Secret-Engel einen Karrierehöhepunkt markiert, mag das Label weiter das Mass aller Dinge sein. Doch der gesellschaftliche Blick auf Schönheitsideale und die Industrie dahinter hat sich gewandelt.
Einschaltquoten eingebrochenLaut einer Umfrage der Marktforschungsfirma YouGov hat Victoria's Secret bei Frauen im Alter zwischen 18 und 49 Jahren kräftig an Ansehen eingebüsst. Der Buzz Score, der anzeigen soll, wie angesagt eine Marke ist, fiel in den letzten zwei Jahren von 31 auf 23 Punkte. Das Label habe sich im #MeToo-Moment verfangen, das sei bei der Victoria's Secret Fashion Show deutlich geworden, meint Paul Hiebert von YouGov. Die jüngste Modenschau habe kurz nach den Missbrauchsvorwürfen gegen Hollywood-Produzent Harvey Weinstein stattgefunden – die Einschaltquoten seien um 30 Prozent eingebrochen.
Robert Passikoff, Gründer und Chef der Analysefirma Brand Keys, widerspricht der Theorie jedoch. «Ich glaube, es wäre falsch, einen Zusammenhang mit der #MeToo-Bewegung herzustellen», sagte er dem US-Wirtschaftsblatt «Forbes». Tatsächlich sei Victoria's Secret schon seit ein paar Jahren auf dem absteigenden Ast, zudem gebe es durchaus Konkurrenten, die sich in der gleichen Marktnische gut behaupteten. Das Problem seien eher die Produkte und allgemeinere Branchentrends wie das Abwandern der Kundschaft ins Internet.
20 US-Filialen müssen schliessenFest steht: Die Geschäfte laufen schlecht. Selbst mit Rabatten und verlängerten Sonderverkaufsaktionen konnten die Verkäufe im Sommer nicht ordentlich angekurbelt werden, die Lagerbestände wachsen schneller als der Absatz. In einer Telefonkonferenz kündigte das Management am Donnerstag an, dieses Jahr 20 Filialen in Nordamerika zu schliessen. (SDA/DPA)