ALGER – Le président du Conseil constitutionnel, Mourad Medelci prendra part lundi à Astana (Kazakhstan), à la conférence internationale sur « la Constitution : consécration des valeurs de l’Etat de droit, de la société civile et l’Etat moderne ».
Dans un communiqué du Conseil dont l’APS a reçu dimanche une copie, la conférence se déroulera du 27 au 29 août, en présence de plusieurs instances étrangères de contrôle de la constitutionnalité et des organisations régionales spécialisées dans la justice constitutionnelle.
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ALGER – L’organisation des premières opérations de fidaï par le Front de libération national (FLN) sur le territoire de l’occupant français lors de la Guerre de libération nationale a été dimanche le thème d’une conférence à Alger.
« Ces opérations, engagées par le FLN le 25 août 1958, ont montré la puissance de la Révolution algérienne qui est parvenue à transférer le combat au cœur du territoire ennemi », a affirmé le président de la Fédération de France du FLN, Ali Haroun lors de cette rencontre organisée à l’initiative de l’association Mechaal Echahid en coordination avec la commune d’Alger centre.
Il a précisé que « l’objectif était d’ouvrir un autre front afin d’affaiblir la puissance coloniale de la France et de l’amener à comprendre que l’Algérie n’était pas un territoire français ».
Qualifiant ces opérations d »‘épopée nationale » reflétant la lutte de la communauté algérienne établie en France », M. Ali Haroun a rappelé les principales phases de création de la Fédération de France du FLN et les personnalités ayant contribué à sa création.
Soulignant les missions assignées à cette Fédération, il a cité notamment son rôle dans la diffusion de l’idéologie du FLN et sa vulgarisation au sein de la communauté des Algériens en exil.
Pour sa part, le moudjahid Lakhdar Bourakaa a apporté son témoignage sur le rôle de Fédération de France du FLN en matière d’accélération du recouvrement de la souveraineté nationale, soutenant que l’objectif de la création de cette Fédération était de desserrer l’étau sur les moudjahidine à l’intérieur du pays et d’organiser la communauté nationale à l’étranger.
Le moudjahid Mohamed Bousmaha a estimé, pour sa part, que l’organisation des opérations de fidaï en France constituait une « étape cruciale dans l’histoire de la guerre de libération » eu égard à l’écho médiatique de ces opérations et leur rôle dans la vulgarisation de la cause nationale ».
La Fédération de France du FLN a lancé ses opérations de fidaï en France le 25 août 1958 en exécutant cette nuit-là 80 opérations à l’explosif ayant ciblé les centres de police, des unités de stockage et de distribution de carburant et autres structures sensibles.
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ALGER – Le Général de Corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah, Vice-ministre de la Défense nationale, Chef d’Etat-major de l’Armée nationale populaire (ANP), effectuera, à partir de lundi, une visite de travail à la 6ème Région militaire à Tamanrasset, indique dimanche un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
Le Général de Corps d’Armée « présidera au nom de Son Excellence, monsieur le Président de la République, Chef Suprême des Forces Armées, ministre de la Défense nationale, le mardi 28 août 2018, la cérémonie d’installation du Général-major Mohamed Adjroud, dans les fonctions de Commandant de la 6e Région militaire, en remplacement du Général-major Meftah Souab nommé à la tête du commandement de la 2e Région militaire », précise la même source.
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Le sénateur républicain John McCain est mort samedi à l’âge de 81 ans. Candidat à l’élection présidentielle américaine face à Barack Obama en 2008, il était une grande figure de la politique américaine.
Le sénateur John McCain, pilote torturé pendant la guerre du Vietnam, candidat à la Maison Blanche et figure non-conformiste de la politique américaine, est mort samedi à l’âge de 81 ans, des suites d’un cancer du cerveau.
Le bureau du sénateur républicain a annoncé samedi soir qu’il était décédé dans l’après-midi, entouré de son épouse, Cindy, et de sa famille. “A sa mort, il avait servi fidèlement les États-Unis d’Amérique pendant soixante ans”, a déclaré le bureau dans un communiqué. John McCain était soigné depuis juillet 2017 pour un glioblastome, une forme de cancer très agressive avec un très faible taux de survie. Sa famille avait annoncé vendredi qu’il avait décidé de cesser tout traitement, face à l’avancée inexorable de la maladie. Il est mort le lendemain.
Immédiatement, les réactions ont afflué pour saluer la mémoire de ce monument républicain, qui s’est fâché avec beaucoup de monde y compris au sein de sa famille politique, mais dont le dévouement patriotique était reconnu par tous.
“John et moi venions de générations différentes, avions des origines complètement différentes, et nous nous sommes affrontés au plus haut niveau de la politique”, a déclaré celui qui l’avait battu à l’élection présidentielle de 2008, à savoir l’ancien président démocrate Barack Obama.
Rappelons que McCain a été très critique à l’égard de l’actuel président des États-Unis, Donald Trump issu du même parti (Les Républicains).
“L’apparence de la fermeté, ou une pseudo-apparence de fermeté façon télé-réalité, semble être plus importante à ses yeux (Trump) que nos valeurs”, a-t-il dit de Trump dans ses mémoires avant d’ajouter: “Il est difficile de savoir ce qu’on peut anticiper du président Trump, ce qui relève de la posture et ce qui est légitime”.
Le traitement que le 45e président américain réserve aux réfugiés n’a pas laissé indifférent John McCain, qui a également écrit: “Sa façon de parler d’eux est affligeante, comme si les aides sociales et le terrorisme étaient leurs seuls objectifs en venant dans notre pays.”
“Sa réaction aux informations peu flatteuses, qu’il appelle des fake news qu’elles soient crédibles ou non, est copiée par des autocrates qui souhaitent discréditer et contrôler la presse libre”, a-t-il également commenté.
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L’affaire de l’assassinat d’un jeune algérien, originaire de la wilaya d’El Oued, en Libye a défrayé la chronique ces dernières 48 heures. Il s’agit de Ghadir Omar Abdelaziz, âgé de 41 ans.
Son épouse et sa fille ont été remises en liberté à la veille de l’Aïd El Adha par les autorités sécuritaires de la ville de Zenten, placée sous le contrôle du Gouvernement d’entente libyen.
Selon ses proches, Ghadir Omar Abdelaziz aurait quitté le pays pour la Libye après avoir appris qu’un groupe de trafiquants de stupéfiants serait appréhendé à El Oued, et que ce dernier était alors en route pour se rendre chez lui.
Par crainte d’être arrêté, il a décidé de fuir le pays début 2018 pour s’installer à Zenten, où il a décidé de mener une nouvelle vie en se procurant une maison et une voiture. En avril dernier, ses deux frères “Tarek”, “Amara” et son beau-frère “Amar” lui ont rendu visite. Soupçonnés, ces derniers, la victime, son épouse ainsi que sa fille ont été arrêtés par les autorités sécuritaires relevant du Gouvernement d’entente libyen.
En effet, les deux frères de la victime seraient entrés en Libye via la ville frontalière de Debdab sans qu’un cachet ne soit apposé sur leurs passeports, alors que son beau-frère y était entré, lui, de manière légale.
Si l’épouse de la victime et sa fille ont été libérées, les autres sont maintenus en prison, sachant qu’aucune charge n’a été retenue à leur encontre et qu’ils n’ont jamais été déférés devant la justice.
Rapatriée vers la Tunisie et puis El Oued, la femme de Ghadir Omar Abdelaziz a affirmé l’assassinat de son époux dans des circonstances mystérieuses.
La famille “Ghadir” d’El Oued interpelle ainsi les hautes autorités du pays pour intervenir auprès de leurs homologues libyennes afin de récupérer la dépouille du défunt, libérer les trois détenus et déterminer les circonstances de l’assassinat de leur enfant dans les geôles de Zenten.
Walid. A. / Traduit par: Moussa. K.
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Das Baselbiet als Jungbrunnen? Wie der 37-jährige Roger Federer entpuppt sich Patty Schnyder als Evergreen. Anders als bei ihm lief ihre Karriere aber nicht gradlinig.
Patty Schnyder schreibt ein wunderbares Tennismärchen, das nicht nur in der Schweiz gelesen wird. «Unglaublich», findet die deutsche «Bild»-Zeitung, schon vor 20 Jahren habe sie sich in New York eine positive Bilanz gegen Steffi Graf erkämpft. «Das können nicht viele von sich behaupten!»
Ebenso wenige können von sich behaupten, als Mama einer dreijährigen Tochter auf der grossen Tennisbühne zu spielen. Und überhaupt niemand kann behaupten, vier Monate vor dem 40. Geburtstag dort zu stehen! Schnyder, die älteste Spielerin der Geschichte, die sich je erfolgreich durch eine Grand-Slam-Qualifikation gekämpft hat, ist darauf schon etwas stolz. «Ich weiss, wie schwer es ist – erst recht als Mutter –, mit der Fitness auf diesem Niveau mitzuhalten», so die heutige Weltnummer 187.
Sportlich ist ihr Lebenslauf schnell erzählt: Die beste Klassierung der zierlichen Linkshänderin war Rang 7 im Jahr 2005. Von 72 Fed-Cup-Partien für die Schweiz gewann sie 50. Sie holte 11 WTA-Titel, bei Major-Turnieren erreichte sie dreimal die Halbfinals. Privat muss man weiter ausholen. Hier schlingerte Patty seit Teenagerzeiten auf Glatteis – und rutschte mehr als einmal aus.
Es begann mit der frühen Abnabelung von den Eltern, die einen Privatdetektiv auf ihre Tochter ansetzten, weil diese sich unter die Fittiche des umstrittenen Orangensaft-Gurus Rainer Harnecker begab. Darauf brannte Patty mit dem zehn Jahre älteren Privatdetektiv durch, der sie später vor den Traualtar führte, aber auch vom Regen in die Traufe. Rainer Hofmann hatte mehrere Strafanzeigen am Hals – wegen Diebstahl, Betrug, Urkundenfälschung und übler Nachrede. Wie sehr er seiner Frau finanziell schadete, bleibt ein Rätsel. Tatsache ist: Von ihren rund acht Millionen Dollar Preisgeld war nach Abbruch ihrer Karriere im Jahr 2011 nicht mehr viel übrig. Nach Betreibung und Zwangsversteigerung wechselten die beiden ihren Wohnsitz nach Deutschland.
Knüller gegen ScharapowaAber auch dieses Kapitel ist heute geschlossen. Nach der Scheidung von Hofmann fand Patty mit dem Deutschen Jan, dem Vater ihrer Tochter Kim Ayla, ihr privates Glück. 2015 startete sie mit 36 ihr Comeback an ITF-Turnieren. Letzten April kehrte sie ins Schweizer Fed-Cup-Team zurück.
Am Dienstag winkt der vorläufige Höhepunkt ihrer Spätkarriere mit einem Night-Session-Auftritt gegen Maria Scharapowa im nagelneuen Louis-Armstrong-Stadion vor 14 000 Fans! «Ein happiges Los», sagt Schnyder. Sie wisse nicht viel über Scharapowas derzeitiges Spiel – ein Nebeneffekt ihres Doppellebens als Mutter auf der Tour. «Oft ist es mir fast peinlich, wie wenig ich von den anderen mitbekomme. Aber neben dem Training bin ich eben hauptsächlich mit Kim beschäftigt.»
In New York wohnt Schnyder ohne berufliche Entourage in der Nähe des Central Park. Nur mit Jan und der sportlichen Kleinen, die sich seit rund einem Monat ein wenig für Tennis interessiere. «Das alles ist vielleicht nicht so professionell, aber ich will es so und nicht anders.»
Preisgeld als ZugabeImmerhin professionell genug, um mit drei Matches 54 000 Dollar – mehr als das gesamte Preisgeld des vergangenen Jahres – verdient zu haben. In Runde 2 wären es knapp 40 000 Dollar mehr. «So ein Lohnscheck ist wohl für jeden grossartig», sagt Patty lachend. Aber auf dem Court spiele ein Wettkampftyp wie sie nur ums Gewinnen. «Das Geld fällt dir dann abends auf der Couch ein, und du denkst: Wow, das gibts ja noch dazu!»
BUCHS SG - Wegen einer Wundrose wird Leukämie-Patient Hans Stolz (78) aus Buchs SG ins Spital Grabs eingewiesen. Dort geben ihm Ärzte ein Antibiotikum, das Leukämiepatienten eigentlich gar nicht einnehmen dürfen.
Ein Spitalbesuch, der plötzlich lebensgefährlich wurde. Leukämiepatient Hans Stolz (78) aus Buchs SG hat das in Grabs SG erlebt und klagt an: «Ich war in Behandlung von Ärzten und Pflegern, die mir gar nie richtig zugehört haben!»
Passiert ist es im Juli, als Stolz wegen einer Hautentzündung von seinem Hautarzt zur Sicherheit ins Spital überschrieben wurde. Stolz hat Leukämie im Endstadium – jede Infektion birgt für ihn grosse Risiken.
Im Spital diagnostizieren die Ärzte die Krankheit Wundrose. Ohne gross nachzufragen, hätten sie das Antibiotikum, das vom Hautarzt verschrieben wurde, abgesetzt. Stattdessen verabreichen die Ärzte dem Patienten über eine Infusion Co-Amoxicillin.
Patient wehrt sich vom Krankenbett«Ein Medikament, das ich als Leukämiepatient nicht einnehmen darf», wie Stolz weiss. Er wehrt sich vom Krankenbett aus, hat Angst. «Doch die haben mir gar nicht richtig zugehört und nur gesagt, dass dieses Antibiotikum bei einer solchen Entzündung Standard sei.»
Und es kommt, wie erwartet: Stolz reagiert sofort darauf. «Plötzlich begann meine Haut an den Armen, Beinen und am Kopf wie verrückt zu beissen. Es war kaum auszuhalten», sagt er.
Wird ein Medikament trotz allergischer Reaktion weiter verabreicht, droht im schlechtesten Fall ein allergischer Schock. Schlimmstes Symptom: Herz-Kreislauf-Kollaps. Behandelt wird in so einer Notsituation unter anderem mit Adrenalin. Pikant: Genau darauf ist Stolz gemäss Austrittsbericht des Spitals ebenfalls allergisch – und die Ärzte wussten davon.
Spital verteidigt MittelIst das Spital Grabs bei Stolz also ein zu grosses Risiko eingegangen? Zum Einzelfall will man im Spital Grabs nichts sagen – mit Verweis auf die ärztliche Schweigepflicht. Im Allgemeinen sei das Co-Amoxicillin bei Leukämiepatienten aber bedenkenlos einsetzbar, sagt Yves Crippa, Chefarzt der Inneren Medizin, zu BLICK. «Dies entspricht den Behandlungsleitlinien.» Auf dem Beipackzettel des Medikaments steht allerdings das Gegenteil.
Jürg Gmür, Facharzt für Leukämie an der Klinik im Park in Zürich, warnt darum: «Wenn Patienten auf ein Antibiotika allergisch reagieren, muss die Therapie sofort unterbrochen oder gar abgebrochen werden.» Der Juckreiz von Stolz direkt nach Einnahme des Medikaments war ein Anzeichen dafür.
Risiko eines anaphylaktischen SchocksMerkwürdig sei, dass man dem Patienten ausgerechnet das Co-Amoxicillin verabreicht habe, obwohl sich dieser dagegen gewehrt habe. «Da hätte man durchaus zuerst mit Alternativen starten können», sagt Gmür.
Die Grabser Ärzte halten jedoch am Antibiotikum fest. Bei der Entlassung bekam Stolz ein Rezept, mit der Anweisung, das Antobiotikum weitere Tage einzunehmen. Da dauerte der Juckreiz bereits drei Tage und wurde schlimmer und schlimmer.
«Kaum zu Hause, habe ich das Medikament sofort abgesetzt», sagt Stolz. Und sei wieder auf die Alternative ausgewichen, welche ihm der Hautarzt vor dem Spitalaufenthalt im Wissen um seine Leukämie verschrieben hatte.
Stolz hatte Glück: «Die Wundrose ist nun verheilt, der Juckreiz ist schwächer geworden, aber noch immer nicht verschwunden.» Doch das Vertrauen in die Ärzte ist seitdem erschüttert. «Das Schlimmste war, dass ich mit meinen Bedenken bei den Ärzten nie durchdringen konnte», so Stolz.
Vor einer neuen Beratungsrunde der Uno hat Amnesty International die weltweite Ächtung autonomer Offensivwaffen - sogenannter Killer-Roboter - gefordert.
Vor einer neuen Beratungsrunde der Uno hat Amnesty International die weltweite Ächtung autonomer Offensivwaffen - sogenannter Killer-Roboter - gefordert. Bei dem am Montag beginnenden Treffen in Genf müssten sich die Staaten für ein völkerrechtliches Verbot einsetzen.
«Killer-Roboter sind nicht mehr nur der Stoff für Science-Fiction-Geschichten», warnte Amnesty-Expertin Rasha Abdul Rahim. Die Expertin verwies auf intelligente Drohnen und Gewehre, die sich ohne menschliches Zutun selbst ihr Ziel aussuchen.
Am Montag beginnen die Gespräche in Genf«Das Völkerrecht hält mit den technologischen Fortschritten längst nicht mehr Schritt», warnte sie. «Wir bewegen uns in Richtung einer Zukunft, in der die Menschen aus den Entscheidungsprozessen beim Einsatz von Gewalt ausgeschlossen sein könnten.»
Die Vereinten Nationen in Genf setzen ab Montag für eine Woche auf Expertenebene ihre Gespräche über die Killer-Roboter fort. Bei der letzten Beratungsgrunde im April sprachen sich laut Amnesty 26 Staaten für ein komplettes Verbot solcher Waffensysteme aus - unter ihnen Österreich, Brasilien und Ägypten.
USA und Frankreich gegen VerbotMehrere wichtige Staaten lehnten ein Verbot aber ab, kritisierte Amnesty. Darunter seien Staaten, die an der Entwicklung solcher Systeme arbeiteten. Amnesty nannte als Beispiel Frankreich, die USA, Grossbritannien, Israel, Russland und Südkorea.
Automatische Waffensysteme wie unbemannte, aber von Menschen gesteuerte Drohnen sind bereits heute im Einsatz. Experten rechnen damit, dass in 20 Jahren auch vollkommen autonome Kampfroboter zur Verfügung stehen. (SDA)
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Une campagne de sensibilisation aux dangers du non port de casque par les motocyclistes a été organisée à Sétif par les services de sûreté de wilaya, a-t-on appris dimanche auprès de la cellule d’information et de communication de ce corps constitué.
Cette opération vient concrétiser l’initiative de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) concernant la sensibilisation des motards aux dangers du non port du casque et des risques de blessures mortelles dont ils peuvent être victimes, a indiqué la même source.
La campagne de sensibilisation programmée dans les communes de la capitale des Hauts plateaux sera ponctuée par des sorties de terrain des agents de la Sûreté nationale à travers les différentes rues et quartiers de la wilaya, notamment les endroits fréquentés par les piétons, en vue de distribuer des dépliants appelant à la prudence et fournissant des conseils aux motards, a-t-on souligné de même source.
Cette opération vise également à impliquer les parents pour sensibiliser leurs enfants aux dangers du motocycle, entre autres, l’excès de vitesse et les manoeuvres dangereuses, et de les inciter à respecter les lois et instructions d’usage afin d’assurer leur sécurité et celle des citoyens.
A travers cette campagne de sensibilisation ouverte, les services de la sûreté nationale ambitionnent de concrétiser le principe de la police de proximité, adopté par la DGSN et basée sur l’interaction et la communication entre toutes les tranches sociales, et ce en collaboration avec tous les partenaires, a-t-on signalé.
Les services de la sûreté de la wilaya de Mila ont placé à la fourrière, pour non port de casque, 123 motocycles durant le mois d’août, assurant que les éléments de ce corps constitué se focalisent sur la sensibilisation avant de recourir à l’application de la loi.
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Der Sex-Skandal um den abgesetzten amerikanischen Kardinal Theodore McCarrick bringt Papst Franziskus in Bedrängnis. Das Oberhaupt der katholischen Kirche weigert sich, zu den Missbrauchsvorwürfen Stellung zu nehmen.
Aufruhr im Vatikan. Ein hoher Würdenträger wirft Papst Franziskus (81) Vertuschung eines Missbrauchsskandals vor – und fordert dessen Rücktritt! Erzbischof Carlo Maria Viganò (77), ehemals Vatikan-Botschafter in Washington, erklärt in einem elfseitigen Schreiben, er habe die Kirchenoberen bereits 2006 und 2008 über die Missbrauchsvorwürfe gegen den ehemaligen Erzbischof von Washington, Theodore McCarrick (88), informiert.
Wie aus dem Schreiben weiter hervorgeht, soll Franziskus' Vorgänger Papst Benedikt XVI. McCarrick sogar bestraft haben. Franziskus jedoch habe die Sanktionen gegen den Kardinal aufgehoben. Obendrein habe er ihn zu einem Vertrauten und einem seiner engsten Berater für die Beziehungen zur US-Regierung gemacht.
Papst will keine Stellung nehmenIn der Nacht auf Montag hat Franziskus sich geweigert, zu den Vorwürfen Stellung zu nehmen. «Ich werde darüber kein Wort verlieren», sagte Franziskus an einer Pressekonferenz. Er vertraue den Journalisten, das Dokument selber zu beurteilen.
McCarrick wird vorgeworfen, in den 1970er-Jahren einen minderjährigen Buben sexuell missbraucht zu haben. US-Medien haben diesen Sommer darüber berichtet. Der Geistliche habe seine Macht als Bischof und Erzbischof systematisch zur sexuellen Ausbeutung ihm untergebener Seminaristen und Priesteranwärter ausgenutzt.
Vorwürfe «glaubwürdig»Eine von der US-Kirche veranlasste unabhängige Untersuchung kam zum Schluss, dass die Vorwürfe «glaubwürdig und begründet» seien. Dies führte schliesslich im vergangenen Juli dazu, dass Papst Franziskus McCarrick aus dem Kardinalskollegium ausschloss, ihm jede öffentliche Tätigkeit untersagte und ihn unter Hausarrest stellte. McCarrick selbst beteuert seine Unschuld.
Vertuschen, befördern – und erst auf öffentlichen Druck hin die nötigen Konsequenzen ziehen. Wenn die Vorwürfe von Erzbischof Viganò stimmen, macht Franziskus eine schlechte Figur: Am Sonntag hat der Papst in Irland um Vergebung für den hundertfachen sexuellen Missbrauch an Kindern durch katholische Geistliche in Irland gebeten.
Viganò fordert in seinem Schreiben, der Papst solle «seine Fehler anerkennen» und «den Kardinälen und Bischöfen ein gutes Beispiel geben, die McCarrick's Missbrauch vertuscht haben, und mit ihnen gemeinsam zurücktreten».
US-Präsident Donald Trump (72) hat stets gute Stimmung zu den Gesprächen mit Nordkorea verbreitet. Am Freitag hat er nun aber seinen Aussenminister Mike Pompeo angewiesen, eine geplante Reise zu Kim abzusagen. Experten erklären, was seit dem Singapur-Gipfel zwischen Trump und Kim geschehen ist und welche der US-Handelsstreit mit China spielt.
Der Singapur-Gipfel am 12. Juni ging in die Geschichte ein. Erstmals seit der Gründung Nordkoreas 1948 kam es zu einer Begegnung zwischen einem US-Präsidenten und einem nordkoreanischen Staatsführer. Nach monatelangem Säbelrasseln löste der Händedruck zwischen Donald Trump (72) und Kim Jong Un Erlösung in der Weltgemeinschaft aus.
Der US-Präsident liess sich zuhause bei seinen Anhängern für die erzielten «Erfolge» beim Gipfeltreffen feiern. Konkret haben Trump und Kim in Singapur ein Dokument unterzeichnet. Darin wird von anhaltendem Frieden und vollständiger Denuklearisierung der koreanischen Halbinsel gesprochen. Versprechungen, aber keine Verpflichtungen.
BLICK analysierte die Ergebnisse mit folgendem Satz: «Das Dokument, das sie unterzeichnet haben, kann die Welt verändern, es kann aber auch nicht einmal die Tinte wert sein, mit der es unterschrieben wurde.»
Will Trump von Negativschlagzeilen ablenken?Knapp zweieinhalb Monate nach dem historischen Händedruck hat Trump am Freitag seinem Aussenminister Mike Pompeo angewiesen, eine geplante Reise nach Nordkorea abzublasen. Der US-Präsident erklärte seinen Entscheid auf Twitter damit, dass bei der Entnuklearisierung der koreanischen Halbinsel nicht genügend Fortschritte erzielt wurden. Zuvor hatte Trump stets von einem «guten Verlauf» gesprochen.
Was hat der US-Präsident vor? BLICK sprach mit dem renommierten US-Politikwissenschaft T. J. Pempel von der Universität von Kalifornien. Er sagt: «Ich komme gerade von einem diplomatischen Mittagessen mit dem japanischen Aussenminister (Taro Kono, die Red.). Er hatte erst wenige Minuten zuvor davon gehört und war schockiert von der Absage Pompeos.»
Nicht nur der japanische Aussenminister, sondern auch der US-Politologe war überrascht. Pempels Erklärung für Trumps Umschwung: «Er will damit ein neues Thema setzen und aus den Negativschlagzeilen kommen.» In den vergangenen Tagen wurde in den USA so laut wie noch nie zuvor über ein mögliches «Impeachment»-Verfahren gegen Trump diskutiert. Der Grund: Die Verurteilungen seiner ehemaligen engsten Vertrauen Paul Manafort (69) und Michael Cohen (52).
Experte: China geisselt NordkoreaVon den politischen Spielchen Trumps einmal abgesehen: Was ist in den 75 Tagen seit dem Singapur-Gipfel zwischen den USA und Nordkorea geschehen? «Nicht viel», lautet das ernüchternde Fazit von Pempel. «Nordkorea hat einige kleine Gesten gemacht, unteranderem mit der Übergabe von Überresten von gefallenen US-Soldaten.» Aber bei dem Hauptziel Entnuklearisierung habe die USA «null Fortschritt» erzielt, so Pempel. Nordkorea sei «jederzeit» zu neuen Raketentests in der Lage.
US-Politologe Kanishkan Sathasivam von der «Salem State University» bei Boston, der sich auf die US-Beziehungen mit Nordkorea spezialisiert hat, erklärt die Rolle von China. «Die Chinesen haben die Gespräche zwischen den USA und Nordkorea quasi gegeisselt.» Peking ist der engste Verbündete von Kim. «China setzt Nordkorea unter Druck, die Zusammenarbeit mit den USA zurückzuziehen. Es ist eine Vergeltungsaktion auf den Handelskrieg mit der Trump-Regierung.» Im Gegenzug würden die Chinesen Kim helfen, die US-Wirtschaftssanktionen gegen Nordkorea zu umgehen.
Lösung im Handelsstreit mit China gesuchtWie es in Zukunft weitergeht, sei höchst ungewiss. «Klar ist einzig, dass die Beziehungen zwischen den USA und Nordkorea stark davon abhängen, ob China eine hilfreiche oder schädliche Rolle spielt», so Experte Sathasivam.
Es wäre demnach wichtig, wenn die USA und China eine Lösung im Handelsstreit finden würden. «Das wären gute Neuigkeiten und könnte die Denuklearisierung Nordkoreas begünstigen», so Sathasivam.
Damit Kim aber wirklich zu diesem Schritt bereit wäre, bräuchte es mehr Zugeständnisse der USA. Politologe T. J. Pempel: «Das ist ein langer Prozess. Es wäre deshalb gut, wenn man bald einmal – und ernsthaft – damit beginnen würde.»
In der SRF-Sendung «SRF bi de Lüt – Sommerfest» aus Bischofszell TG sagt Unternehmer Hausi Leutenegger (78) heute Abend, warum er seinen spitzen Dialekt nicht mag, aber dennoch in ihn verliebt ist.
Heute Abend lässt es Hausi Leutenegger (78) in der Sendung «SRF bi de Lüt – Sommerfest» (SRF 1, 20.10 Uhr) aus Bischofszell TG mit seinem Dialekt so richtig «tschädere».
Dabei gibt er selber zu: «Ich erschrecke manchmal, wenn ich mich am Radio oder Fernsehen höre.» Weil er mit seiner Frau Anita Französisch und mit seinem Personal in seiner Villa auf den Kanaren Spanisch spricht, falle es ihm heute umso mehr auf, wenn er seine Stimme auf Mundart vernehme.
«Halt schon speziell»«Der Thurgauer Dialekt mit seinen hellen und spitzen Lauten ist halt schon speziell», sagt er. «Dennoch bin ich der beste Beweis, dass man damit Erfolg haben kann», meint er.
Auch andere Thurgauer sind trotz «Mostöpfel-Dialekt» zum Exportschlager geworden: «Samschtig-Jass»-Moderator Reto Scherrer (42) zum Beispiel. Oder Ex-Miss-Schweiz Anita Buri (40). Beide verteidigen heute bei Nik Hartmann (46) ihr Mundwerk.
«Ich bin im Thurgau aufgewachsen, die dazugehörige Sprache ist für mich mit Familie, Heimatgefühl und schönen Erinnerungen verbunden», schwärmt Buri. Nik Hartmann freut sich auf die Show. «Die Thurgauer reden so viel – da kann ich mich etwas zurücklehnen», sagt er lachend.