Marine Le Pen a annoncé mardi 8 juillet avoir saisi la Cour européenne des droits de l’Homme pour contester la peine d’inéligibilité à laquelle elle a été condamnée par le tribunal correctionnel de Paris.
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La cinquième édition des activités de loisirs dans les centres de détention du Bénin a été officiellement lancée lundi 07 juillet 2025 à la prison civile de Cotonou.
Portées par le ministère des Sports, via la Direction de la jeunesse, des loisirs et de la vie associative (Djlva), en collaboration avec l'Agence pénitentiaire du Bénin (Apb), les activités de loisirs dans les centres de détention du Bénin visent à améliorer le bien-être des détenus.
La cinquième édition a été lancée le 07 juillet 2025 à la prison civile de Cotonou et concerne les onze établissements pénitentiaires du Bénin.
Au total, huit jeux ont été déployés : la Dame, le Ludo, l'Adjito, le Pique, la Belote, le Scrabble, le Sipa et le Jonglage. Ces activités, selon les autorités, ont pour but d'offrir aux pensionnaires un cadre de détente, de socialisation et de réinsertion.
« Ce programme renforce les moyens mis en place pour la réhabilitation et le bien-être des détenus », a déclaré Gaston Codjo Totohou, directeur par intérim de la Maison d'arrêt de Cotonou. Il a souligné les effets positifs sur la santé mentale, la créativité et l'apprentissage de la vie en société.
Roc Sossoukpè, représentant du directeur général de l'Agence pénitentiaire, a insisté sur l'impact de ces loisirs dans l'exécution des peines. Il a cité notamment la responsabilisation, la participation et la préparation à la réinsertion.
Judicaël Olouchègoun Biaou, représentant du ministre des Sports, a rappelé la volonté conjointe de son ministère et de celui de la Justice de rendre les conditions de détention plus humaines. Il a promis un renforcement du matériel sportif dans les établissements.
Le représentant des détenus a salué l'initiative, la qualifiant de « souffle de joie » dans un quotidien éprouvant. Il a invité ses codétenus à y participer avec engagement.
La 5ᵉ édition des activités de loisirs prendra fin le 14 juillet.
Un élève en classe de troisième a été placé en garde-à-vue à la suite du cambriolage de la salle informatique du Collège d'Enseignement Général (CEG) de Kountori, dans la commune de Cobly, département de l'Atacora.
L'enquête ouverte après le cambriolage de la salle informatique du Collège d'Enseignement Général (CEG) de Kountori, dans la commune de Cobly, a abouti. Les investigations ont permis de retrouver un ordinateur complet en possession d'un élève de la classe de 3è dans le même collège.
Selon les informations rapportées par la direction générale de la police républicaine, c'est le père du mineur lui-même qui a conduit son fils au commissariat. Il a remis à la police un écran d'ordinateur, un clavier, un casque et une souris.
Lors de son audition, le jeune garçon a expliqué avoir reçu le matériel de deux autres élèves rencontrés lors d'une sortie nocturne. Il affirme que ces derniers étaient en train de voler dans la salle informatique. Pour éviter d'être dénoncés, ils auraient proposé une partie du butin aux randonneurs de passage, dont le mis en cause.
Mais leur tentative de dissimulation a échoué. Les jeunes ont été repérés alors qu'ils tentaient de revendre les équipements. Le collégien désormais en garde-à-vue est poursuivi pour recel de biens volés.
Le Procureur de la République près le tribunal de Natitingou a été saisi du dossier.
Les autres suspects sont identifiés et la Police poursuit son enquête pour les interpeller.
M. M.
Daniel EDAH, candidat déclaré à la présidentielle de 2026, a félicité le gouvernement du président Patrice Talon et les députés de la 9è législature à la suite de l'adoption de la loi instituant la vision nationale « Bénin 2060 Alafia, un monde de splendeur ». Le président du mouvement ‘'Nous le ferons'' appelle par la même occasion la classe politique béninoise à la responsabilité.
Dans un communiqué publié le 7 juillet, Daniel Edah félicite le gouvernement du président Patrice Talon pour la démarche structurante et remercie les députés pour leur consensus à la suite du vote le 4 juillet dernier de la loi portant la ‘'Vision Bénin 2060 Alafia, un monde de splendeur ''.
« Je félicite le gouvernement pour cette initiative et salue les députés pour le consensus réalisé autour de cet outil stratégique », écrit-il.
Daniel Edah lance un appel solennel à toute la classe politique. La vision seule ne suffit pas. Encore faut-il la traduire dans des engagements concrets, durables et partagés.
« Il est désormais indispensable que chacun, individuellement ou à travers son parti, développe une vision politique claire, en harmonie avec ‘'Bénin 2060'', pour éviter à cette ambition nationale le sort qu'a connu ‘'Bénin 2025 Alafia'' ».
La vision “Bénin 2025 Alafia”, lancée en 2000 sous le président Kérékou, n'a jamais pu guider durablement l'action publique, faute de cohérence politique, selon Daniel Edah. C'est dans cette perspective que le candidat se présente comme un homme de continuité, de clarté et de volonté politique.
« Il est temps d'en finir avec l'éternel recommencement dans la gouvernance de notre pays. Et cela exige une vision claire, portée par une volonté politique forte. Nous l'avons. Nous le ferons », a-t-il indiqué.
M. M.
Lire le communiqué
DE L'ADOPTION DE « BÉNIN 2025 ALAFIA” À CELLE DE “BÉNIN 2060 »
En 2000, sous la présidence du Général Mathieu KÉRÉKOU, à l'issue d'un processus participatif conduit de 1998 à 2000 avec l'appui du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), les études prospectives « Bénin 2025 Alafia » furent officiellement adoptées avec la vision : « Le Bénin, un pays phare, bien gouverné, uni et en paix, avec une économie compétitive et un développement humain durable » à l'horizon 2025.
Malgré l'existence du document « Bénin 2025 Alafia » comme référence nationale de planification stratégique à long terme censée orienter les politiques publiques en cohérence avec les aspirations profondes du peuple béninois, l'absence chez les acteurs politiques de visions politiques claires et alignées a conduit à une gouvernance marquée par la navigation à vue et un manque persistant de continuité dans l'action de l'État.
En 2025, sous le Président Patrice TALON et avec le soutien renouvelé du PNUD, le Bénin se dote d'une nouvelle vision stratégique baptisée Bénin 2060 avec le vote de la loi portant vision nationale de développement à l'horizon 2060 et déclinée dans le document intitulé ‘Bénin 2060 Alafia, un monde de splendeur.
Je félicite le gouvernement pour cette initiative et salue les députés pour le consensus réalisé autour de cet outil stratégique par leur vote à l'unanimité de la loi d'adoption de cette nouvelle référence nationale.
Toutefois, j'en appelle solennellement à tous les acteurs politiques : il est désormais indispensable que chacun, individuellement ou à travers son parti, développe une vision politique claire, en harmonie avec « Bénin 2060 », pour éviter à cette ambition nationale le sort qu'a connu « Bénin 2025 Alafia ».
Il est temps d'en finir avec l'éternel recommencement dans la gouvernance de notre pays. Et cela exige une vision claire, portée par une volonté politique forte.
Nous l'avons.
Nous le ferons.
Il fera beau !
Daniel EDAH
Candidat déclaré à l'élection présidentielle de 2026
Porteur de la Vision d'un Bénin économiquement prospère et socialement stable dans une Afrique bien intégrée et en plein essor, depuis 2014.
Président du Mouvement NOUS LE FERONS
Ten years after the High-Level Independent Panel on Peace Operations (HIPPO) released its landmark report “Uniting Our Strengths for Peace,” UN peace operations face new challenges that test the UN’s capacity to adapt to an evolving global landscape. As the UN examines the future of peace operations, it is timely to review the recommendations of the HIPPO report, many of which remain pertinent to today’s policy discussions.
This report reassesses the findings of the HIPPO report in light of today’s peace operations contexts, analyzes where there has and has not been progress, and considers how the HIPPO report can be useful to current discussions. Overall, today’s peace operations operate in a more challenging environment than in 2015, facing a more divided Security Council, severe financial constraints, and questions about the UN’s legitimacy. Nonetheless, the report concludes that many of HIPPO’s core insights remain relevant, and the findings and recommendations of the HIPPO report can help inform current policy discussions on the future of peace operations:
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Written by Costica Dumbrava.
Artificial intelligence (AI) technologies are increasingly used in the areas of migration and asylum. These technologies promise to increase efficiency, reduce uncertainty and improve decision-making. In the asylum context, AI applications are meant to reduce pressure on national asylum systems and contribute to fairer and more consistent asylum decisions.
Despite potential benefits, these technologies come with significant risks. Inaccurate or biased AI applications may jeopardise the right to asylum, increase or reinforce discrimination, and diminish procedural safeguards built into the asylum process. These risks depend on the type and complexity of applications used, their role in asylum procedures, and the way in which decision-makers interact with technologies.
Although the deployment of AI applications in EU asylum systems is still in the early stages, the debate about the legal, social and ethical challenges posed by these new technologies is well under way. For instance, several Member States have started using AI technologies for dialect recognition to verify information, or obtain further information, on asylum applicants’ country or region of origin. There are also examples of Member States using AI applications for name transliteration, automatic transcription of speeches and case matching.
The introduction of AI technologies in EU asylum systems raises several major risks, relating to: (i) inaccuracies, bias and discrimination; (ii) undermining fairness and due process; and (iii) unlawful interference with privacy and data protection.
Read the complete briefing on ‘Artificial intelligence in asylum procedures in the EU‘ in the Think Tank pages of the European Parliament.