Le secteur de l’éducation en Algérie s’engage résolument vers une transformation numérique ambitieuse, avec la mise en place de la version 2025 du système d’information […]
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Representatives of environmental and energy ministries and institutions from five Central Asian countries shared best practices in green energy transition at an OSCE-organized regional seminar that took place on 14 and 15 November 2024.
The seminar, hosted by the State Energy Institute of Turkmenistan, was held in a hybrid format, with students and professors of the Energy Institute attending in-person, while other participants and experts joined online.
The OSCE Centre in Ashgabat initiated the seminar to provide a platform for regional expert-level dialogue and to facilitate the exchange of best practices in integrating renewable energy sources into energy projects, promoting green technology development, and reducing carbon footprints.
In his message to the seminar participants, John MacGregor, Head of the OSCE Centre in Ashgabat, referred to the 2013 Kyiv Ministerial Council Decision on “Improving the environmental footprint of energy-related activities in the OSCE region”, which stated that “the responsible and sustainable management of natural and energy resources can improve the environment, curb climate change, boost economic growth and contribute to security and stability.”
International and national experts explored challenges and opportunities related to the use of renewable energy sources (RES) in green energy production. Discussions focused on green hydrogen as a fuel of the future, the link between climate and green energy and the impact of hydrogen on the environment and climate.
“Expanding the use of green technologies, reducing reliance on fossil fuels and diversifying energy sources are essential for ensuring security and stability in Central Asia and across the OSCE region,” underscored MacGregor.
“I am convinced that this seminar will offer new perspectives in tackling emerging opportunities and challenges in the energy sector,” he added.
The seminar also provided insights into solar thermal system and highlighted the green resource potential of solar energy. Participants exchanged views on autonomous houses as significant consumers of green energy.
Accroché (1-1) par le Nigéria au stade Félix Houphouët Boigny d'Abidjan dans la soirée de ce jeudi 14 novembre, le Bénin jouera lundi prochain sa qualification pour la Coupe d'Afrique des Nations Maroc 2025. En conférence de presse après le nul, Gernot Rohr a déjà annoncé les couleurs de ce match décisif à Tripoli qui va opposer le Bénin à la Libye dans le cadre de la 6e journée des éliminatoires.
Voici en vidéo, quelques mots du sélectionneur en conférence de presse d'après-match :
J.S
Dans ses priorités pour le Budget 2025, le gouvernement béninois a mis un accent fort sur le secteur agricole. Les grandes lignes ont été présentées aux députés, mercredi 13 novembre 2024.
Les priorités du gouvernement béninois dans le secteur agricole répondent aux défis actuels de productivité, d'organisation des filières et de développement rural. Il est prévu au titre du Budget 2025, le développement des filières agricoles parmi lesquelles figurent l'anacarde, l'ananas, le soja, le riz, le maïs, ainsi que des produits d'élevage comme le lait, la viande et les œufs. Ces filières ont été identifiées pour leur potentiel économique.
Le plan budgétaire 2025 prévoit également des investissements importants pour améliorer les infrastructures marchandes et les services logistiques. Il est attendu une meilleure organisation de la filière agricole pour améliorer la qualité et la productivité des produits agricoles.
La promotion de l'élevage sédentaire des ruminants sera aussi encouragée.
Le Fonds National de Développement Agricole (FNDA) est appelé à jouer un rôle clé dans le soutien financier des agriculteurs. L'État entend renforcer l'accès aux financements adaptés via le FNDA. L'objectif est de donner aux acteurs du secteur agricole les moyens d'accroître leurs capacités de production et d'atteindre une plus grande rentabilité. Ces priorités dans le secteur agricole illustrent la volonté du Bénin de garantir une sécurité alimentaire durable.
A.A.A
Lors de la COP29, le Bénin a marqué un tournant dans sa stratégie climatique en lançant une plateforme nationale de financement dédiée aux enjeux climatiques.
Le dispositif vise à mobiliser des fonds publics et privés pour financer des projets d'adaptation et d'atténuation, tout en contribuant aux Objectifs de Développement Durable (ODD) et aux Contributions Déterminées au niveau National (CDN).
La plateforme repose sur quatre axes stratégiques : la Monétisation du carbone (1) pour vendre 2,5 millions de crédits carbone issus de projets dans l'agriculture et l'énergie. Les recettes permettront de renforcer la sécurité alimentaire et de lutter contre la désertification.
Le Bénin prévoit un soutien budgétaire coordonné (2). En partenariat avec des institutions telles que le FMI et la Banque mondiale, un cadre triennal est mis en place pour garantir des ressources stables, favorisant la mise en œuvre des politiques climatiques.
Pour l'attraction des investissements privés (3), une garantie de 200 millions d'euros de l'AMGI sera mise en place Bénin. A cela s'ajoute une mobilisation de près de 500 millions d'euros pour financer des projets écologiques.
L' axe 4 prévoit un Guichet unique pour le financement local. Ce guichet simplifiera l'accès des PME aux financements verts, en coopération avec des institutions régionales et internationales.
Un soutien international
Le Bénin bénéficie d'un appui financier et technique inédit pour soutenir sa transition climatique. Il s'agit de 1,4 milliard de dollars de l'Association Internationale de Développement (IDA) de la Banque mondiale ; de 200 millions de dollars de la Facilité de Résilience et de Durabilité (FRD) du FMI et de 195 millions d'euros de la Banque Africaine de Développement (BAD).
Le ministre d'État à l'Économie et aux Finances, Romuald Wadagni, a déclaré : « Avec le fort soutien de nos partenaires, le Bénin concrétise ses ambitions climatiques en actions tangibles. En s'appuyant sur notre expérience des marchés de capitaux, nous cherchons à catalyser les investissements privés pour intensifier l'action climatique. Notre démarche s'inscrit dans une vision de résultats concrets, à la fois en matière d'adaptation et d'atténuation, pour un avenir durable et résilient. »
Un modèle pour l'Afrique et au-delà
Face à un déficit de financement climatique de 10 milliards de dollars d'ici 2030, cette plateforme représente un pas important pour combler cet écart et renforcer la résilience climatique du Bénin. En plus de répondre à ses propres besoins, le Bénin espère inspirer d'autres nations africaines en quête de solutions de financement innovantes pour le climat.