L'assemblée nationale a désigné ce mardi 21 janvier 2025 le remplaçant de Romaric Ogouwalé au sein du Conseil Économique et Social (CES) au niveau départemental.
Serge Olouwolé Odoubourou remplace Romaric Ogouwalé au Conseil économique et social (CES) dans le département des Collines.
Il a été désigné par les députés ce 21 janvier 2025 par 85 voix pour, 01 contre et 0 abstention.
Le remplaçant est également membre du parti Bloc Républicain (BR). Sa désignation fait suite à la nomination de Romaric Ogouwalé au poste de ministre conseiller en charge de l'Énergie, de l'eau et des mines.
M. M.
"L'Audace Info" et ‘'Le Patriote'' sont interdits de paraître jusqu'à nouvel ordre par la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC).
Par décision N°25-006/HAAC du 21 janvier 2025, la HAAC a suspendu ‘'L'Audace Info''. Les écrits du quotidien contiennent de façon régulière des allégations mensongères qui discréditent des personnes visées et portent atteinte à leur honneur et à leur considération, selon le régulateur.
Le journal « ne pourra plus exercer ses activités de manière légale tant qu'il ne se conforme pas aux exigences réglementaires ».
La HAAC reproche également au Directeur de Publication du quotidien "L'Audace lnfo" de n'avoir pas « daigné comparaître devant la Commission de la Carte de Presse, de l'Ethique et de la Déontologie (CCPED) en vue de l'instruction des dossiers malgré les notifications et les relances à lui faites. Ces comportements frisent la défiance vis-à-vis du régulateur, selon la décision.
La décision précise que « les rapports de suivi déontologique corroborés par les nombreuses plaintes adressées à la HAAC ainsi qu'à l'Observatoire de la Déontologie et de l'Ethique dans les Médias depuis des années caractérisent le quotidien "L'Audace lnfo" et ses responsables comme des récidivistes ».
« La carte de presse de Monsieur Romuald ALINGO, Directeur de Publication et promoteur du quotidien "L'Audace lnfo" est retirée. Il ne doit plus se prévaloir de sa qualité de journaliste sous peine de subir la rigueur de la loi », a ordonné la HAAC.
Selon la décision N°25-005/HAAC du 21 janvier 2025, le journal ‘'Le Patriote'' ainsi que son site internet identifié comme ‘'pirate'' sont également suspendus jusqu'à nouvel ordre.
M. M.
La Haute Autorité de l'Audiovisuel de la Communication (HAAC) a prononcé ce 21 janvier 2025, la suspension de quatre (04) sites Internet non autorisés à diffuser des contenus médiatiques.
"Reporter Médias Monde", "Crystal News", "Les Pharaons" et le média social TikTok nommé "Madame Actu", sont suspendus jusqu'à nouvel ordre, selon la décision N°25-007/HAAC du 21 janvier 2025.
Pour la Haute Autorité de l'Audiovisuel de la communication (HAAC), ces plateformes diffusaient largement des contenus médiatiques, malgré l'absence d'autorisation préalable. Ce qui constitue une violation des dispositions de l'article 252 du Code de l'Information et de la Communication, selon le régulateur.
Des plaintes multiples ont également été déposées contre ces sites, notamment pour la diffusion de contenus jugés diffamants et non vérifiés, violant ainsi les principes du code de déontologie de la presse béninoise, particulièrement les articles 2 et 6, précise la HAAC.
« Les responsables des sites Internet non autorisés dénommés "Reporter Médias Monde", "Crystal News", "Les Pharaons" et le média social Tik Tok dénommé "Madame Actu" sont mis en demeure de régulariser leurs situations en se conformant aux textes en vigueur en matière de presse et de communication en République du Bénin », stipule l'article 2 de la décision portant suspension.
M. M.
L'INTEGRALITE DE LA DECISION N°25-007/HAAC du 21 JANVIER 2025
Jean-Grégoire Zacharie Sagbo, figure emblématique de la diaspora béninoise en Russie et premier député noir d'origine béninoise élu en Fédération de Russie, a été inhumé, ce mardi 21 janvier 2024, à Savi, dans la commune de Ouidah.
Décédé le 27 décembre 2024 en Russie à l'âge de 65 ans, Jean-Grégoire Zacharie a été inhumé dans son village natal à Savi ce 21 janvier 2025.
Les obsèques se sont déroulées selon les rites de l'Eglise du Christianisme Céleste. Le corps de l'illustre défunt avait été accueilli le 20 janvier à l'aéroport de Cotonou, suivi d'une veillée de prière à Savi.
Jean-Grégoire Zacharie Sagbo est né le 10 mai 1959. Après avoir étudié l'économie à Moscou dans les années 1980, il s'est établi en Russie, où il a acquis une notoriété particulière. Surnommé "l'Obama de la Russie" en raison de son parcours politique, il a été élu conseiller municipal de Novozavidovo, une ville située dans l'oblast de Tver, en 2010. Avant cette élection, il s'était engagé activement pour sa communauté, nettoyant les rues et transformant des terrains abandonnés en espaces verts grâce à des fonds collectés localement.
Le défunt est marié et père de deux enfants.
M. M.
La situation de non-paiement de salaire aux ouvriers sur le chantier de construction de logements sociaux à Ouèdo, dans la commune d'Abomey-Calavi perdure avec l'entreprise PNHG. Un groupe d'ouvriers a pris d'assaut la base de vie de l'entreprise dans la matinée de ce lundi 20 janvier 2025, scandant des slogans hostiles à l'endroit des responsables de l'entreprise.
Ce lundi 20 janvier 2025 aux environs de 10h, une équipe de 24 HEURES AU BENIN débarque à la base de vie de l'entreprise PNHG, l'une des entreprises en charge de l'exécution des travaux de construction de 20 000 logements sociaux à Ouèdo, dans la commune d'Abomey-Calavi. A quelques mètres de la base de l'entreprise, un groupe de jeunes ouvriers attendent sous le hangar d'une revendeuse de repas. Après quelques minutes d'attente, le groupe composé d'une vingtaine de manifestants, se dirige vers le portail d'entrée de la base avec des branchages en main. A l'entrée, le vigile au poste essaie de les contenir, mais n'y parvient pas. « PN héélou wé », scandent-ils exhortant le directeur général à sortir pour les écouter. Cette ambiance qui n'est pas celle des jours ordinaires attire aussitôt l'attention du personnel au bureau. Quelques-uns se mettent dans la cour pour observer la scène qui, visiblement ne surprend. C'est des ouvriers sans salaire qui se manifestent.
Et s'agissant de salaires impayés, des efforts ont été faits. « Jusqu'en décembre dernier, il y avait effectivement des situations d'arriérés des salaires, 6 mois et 8 mois pour certains. Mais à fin décembre, on a régularisé les arriérés de salaire et tout le personnel PN n'a que deux mois d'arriérés de salaire à la date de ce jour », confie le directeur administratif et financier (DAF) de la filiale Bénin de PNHG. Suivant les explications de Carlos SEMANOU, les responsables de l'entreprise ont discuté avec leurs collaborateurs qui ont compris la situation et salué les efforts faits jusque-là. « Pour l'instant, il n'y a plus de boude, il n'y a plus de revendication par rapport aux salaires », a-t-il ajouté remettant en cause le mouvement des jeunes manifestants. Le problème de non-paiement de salaire que connait l'entreprise d'après lui, est liée à une « situation de trésorerie tendue », et connue de tout le monde. « En dehors des contractuels qui sont payés de façon mensuelle, il y a les tacherons que nous employons et qui sont payés de façon hebdomadaire », a-t-il fait savoir soulignant qu'il n'y a pas de problème au niveau de cette catégorie d'agent.
Ils ont dit
De l'avis de certains ouvriers rencontrés sur le chantier de construction de logements sociaux, depuis mai 2024, plusieurs d'entre eux n'ont pas perçu de salaire. Situation très difficile qu'ils affirment avoir vécu avec beaucoup de souffrance.
Un carreleur confie avoir difficilement préparé la rentrée de ses enfants. « J'ai dû faire des prêts […] », a laissé entendre l'ouvrier sous anonymat. Les dettes apurées selon lui, ont servi au remboursement des prêts ; et il espère que d'ici fin janvier 2025, le reste des arriérés et le salaire du mois de janvier lui soient versés.
« Les conséquences sont énormes et diverses. Certains ont perdu leurs enfants. D'autres ont été abandonnés par leurs épouses. D'autres encore ont été expulsés de leurs domiciles pour non-paiement de loyers. Moi qui vous parle, il a fallu l'aide de mon épouse et de mes parents ; sinon, mon propriétaire voulait me renvoyer », confie pour sa part, Auspice HOUNKPE, un ouvrier maçon. Blandine EDAH fait partie des tâcherons. Son travail consiste à faire l'entretien des bâtiments. Et pour ce travail, elle confie être payée de façon hebdomadaire. A date, elle estime ses dus à 2 mois d'arriérés, plus d'autres travaux complémentaires pour lesquels elle n'est pas encore rémunérée. Euloge KAYODE, chef d'une équipe de carrelage distingue pour sa part, des agents contractuels de l'entreprise PNHG et les ouvriers sous-traitants. Pour lui, PNHG a payé ses ouvriers, mais c'est les sous-traitants qui tardent à payer. « PN n'est pas le seul coupable », a-t-il déclaré.
De l'avis des responsables de PNHG, le groupe d'ouvriers qui s'est manifesté ce lundi ne relève plus du personnel de l'entreprise. Il s'agit d'anciens ouvriers venus perturber la quiétude des travailleurs.
Pour leur part, les jeunes manifestants estiment avoir exécuté des tâches pour lesquelles ils n'ont pas été payés. Se sentant brimés, ces derniers entendent faire feu de tout bois pour entrer en possession de leurs droits.
Par ailleurs, sur la situation des sous-traitants, PNHG selon son DAF, serait en train d'envisager « une solution globale » pour apurer également les dettes.
F. A. A.
Le procès impliquant Olivier BOKO et Oswald HOMEKY a pris une tournure inattendue ce mardi 21 janvier 2025 devant la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (CRIET). Les avocats des accusés se sont déconstitués.
Après la déconstitution des avocats des prévenus, le Ministère public, représenté par le Procureur spécial, a demandé la permission de la Cour pour que les accusés puissent choisir d'autres Conseils.
Les prévenus, Olivier BOKO et Oswald HOMEKY veulent changer de défenseurs. Cette situation a conduit la Cour à suspendre l'audience, qui ne reprendra que demain mercredi 22 janvier 2025.
Les accusés et quatre autres prévenus sont poursuivis pour « complot contre l'autorité de l'Etat, corruption d'agent public et faux certificats ».
M. M.
À ll'instar de la plupart des pays en développement, le Bénin est structurellement confronté aux contraintes de financement intégral de ses ambitions de développement. Au cours des
années récentes, le pays a enregistré des progrès notables
dans la stratégie de mobilisation des ressources et de diversification des instruments de financement. Nonobstant ces progrès, il demeure confronté au déficit du financement de son développement pour plusieurs raisons. D'une part, les crises financières et divers chocs économiques et sanitaires dont celui de la pandémie de la COVID 19 ont négativement impacté l'offre de financement. D'autre part, des réformes de fond en matière de mobilisation des ressources domestiques doivent s'intensifier, des segments de marché du financement du secteur privé établis ou renforcés, et les nouvelles opportunités et les innovations en matière de financement exploitées dans le cadre d'une approche holistique et intégrée de financement dudéveloppement du pays.
En effet, en dépit des efforts de mobilisation de ressources
consentis par le Gouvernement, il demeure des potentialités
non encore explorées pour le financement des Objectifs de
Développement Durable (ODD) et la réalisation complète
du Programme d'Action du Gouvernement (PAG). Aussi, le
Gouvernement s'est-il engagé à mobiliser davantage de
ressources avec l'accompagnement des Partenaires Techniques et Financiers (PTF) en vue de réduire les inégalités sociales et d'impacter durablement les couches les plus vulnérables dontles enfants.
A cet égard, le Gouvernement a entrepris de se doter d'une
politique nationale pour le financement du développement afin
d'amorcer de véritables changements permettant de capter
toutes les ressources intérieures, extérieures et innovantes
Résumé Exécutif PNFD 2024-2033 nécessaires à la réduction de la pauvreté et l'amélioration des conditions de vie des populations. Cette politique, assortie d'un plan d'action de mobilisation des ressources, vient remplacer la Politique Nationale de l'Aide au Développement (PNAD 2011- 2020). Elle vise à assurer la viabilité à court, moyen et long terme,
des finances publiques du pays.
La PNFD constitue le cadre favorisant le dialogue entre tous
les acteurs impliqués dans la promotion du développement
économique et social du pays. Elle doit permettre une
accélération des objectifs de développement durable (ODD)
en développant i) la sensibilisation des acteurs à ses enjeux ;
ii) la communication autour de la vision et des orientations
stratégiques ainsi que iii) les bonnes pratiques requises dans les relations avec le privé et les autres partenaires au développement pour l'optimisation des financements requis.
La mobilisation du secteur privé et des autres partenaires au
développement nécessite un secteur public fort et transparent.
Le présent document de la Politique Nationale du Financement
du Développement qui oriente les interventions du
Gouvernement en matière de financement du développement
au Bénin est structuré comme suit :
1. L'introduction et le contexte
2. La démarche méthodologique
3. L'évaluation-diagnostic du financement du développement
4. Les grands défis et les opportunités du financement du
développement au Bénin
5. La vision stratégique
6. Les principes directeurs de la PNFD
7. Les orientations stratégiques de la PNFD
8. La théorie du changement de la PNFD
9. Les mécanismes de mise en œuvre de la PNFD
10. Le cadre institutionnel de mise en œuvre et de suivi-
évaluation de la PNFD
11. Les risques et conditions clés de succès
Les modalités d'organisation de la Conférence agricole annuelle ont été fixées le 24 décembre 2024 par décret, conformément à l'article 81 de la Loi N° 2022-14 du 09 juillet 2022 portant orientation agricole, sécurité alimentaire et nutritionnelle en République du Bénin.
Au Bénin, une Conférence agricole annuelle aura lieu chaque année, durant la première quinzaine du mois de juillet. D'une durée de cinq jours au plus, elle sera un lieu clé de dialogue et de concertation entre les différents acteurs.
« La Conférence évalue la mise en œuvre de la loi d'orientation agricole, de sécurité alimentaire et nutritionnelle aux fins de détecter les obstacles et de proposer des mesures correctives. Elle examine l'ensemble des questions liées au développement agricole et aux systèmes alimentaires durables pour apprécier la performance du secteur », selon l'article 2 du décret N° 2024 - 1476 du 24 décembre 2024.
Le décret précise que la conférence comprendra des ateliers thématiques ainsi qu'une plénière des acteurs, abordant des sujets essentiels tels que la promotion des produits agricoles, la sécurité alimentaire, les défis techniques, ainsi que des questions de communication et de plaidoyer. Lors des travaux, le rapportage sera assuré par la Chambre nationale de d'Agriculture.
Sous l'égide du ministère en charge de l'Agriculture, la Conférence réunira une diversité de parties prenantes. Il s'agit, selon l'article 3 du décret, de « représentants : du ministère en charge de l'Agriculture aux niveaux central et déconcentré ; du Conseil national d'orientation et de suivi du secteur agricole ; des autres ministères sectoriels impliqués dans le secteur agricole notamment les ministères en charge de l'Économie et des Finances, du Développement et de la Prospective, de l'Environnement, du Commerce, de l'industrie, des Transports, de l'Enseignement, de l'Eau et de l'Assainissement, de la Santé, des Affaires sociales, de l'Alphabétisation, des Petites et Moyennes Entreprises et de la Décentralisation ; de la Chambre nationale d'Agriculture du Bénin ; de la Chambre des Métiers de l'Artisanat ; des organisations professionnelles et interprofessionnelles agricoles ; de la Chambre de Commerce et d'industrie du Bénin ; des organisations professionnelles d'employeurs ; les institutions de recherche et d'enseignement agricoles ; les partenaires techniques et financiers du secteur agricole ; les collectivités territoriales ; les organisations de la société civile actives dans le secteur agricole ».
« La Conférence peut connaître la participation de toute personne ressource dont les compétences sont jugées nécessaires par le président de la Conférence au bon déroulement de ses travaux », précise l'article 4.
Les parties prenantes seront informées, selon l'article 6, de la date précise de tenue et de l'agenda de la Conférence, au moins un (01) mois à l'avance.
M. M.
LE DECRET ET LA LOI
Le Festival International des Films de Femmes de Cotonou (FIFF Cotonou) lance officiellement son appel à films pour l'édition 2026 (du 03 au 07 février 2026 à Cotonou). Le Festival a pour objectif de promouvoir des films réalisés par des femmes sur les sujets de leur choix afin de mieux comprendre l'évolution de la situation des réalisatrices et de leur cinéma dans chaque pays représenté. Les réalisatrices sont invitées à soumettre leurs productions avant le 30 août 2025. Lire les modalités d'inscription et les informations relatives à l'appel à films.
Le procès dans le dossier « complot contre l'autorité de l'Etat, corruption d'agent public et faux certificats » impliquant l'homme d'affaires Olivier BOKO et l'ex ministre des sports Oswald HOMEKY s'est ouvert ce mardi 21 janvier 2025 à la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET).
Olivier BOKO, Olwald Homéky et quatre autres personnes poursuivies dans le dossier « complot contre l'autorité de l'Etat, corruption d'agent public et faux certificats » comparaissent à la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET).
A l'ouverture du procès ce 21 janvier 2025, les avocats de la défense demandent que la Cour devrait être constitué de 5 membres et non 4. Pour le Procureur spécial près la CRIET, la composition de la cour n'est pas irrégulière.
Olivier BOKO et Olwald Homéky et les autres prévenus ont plaidé non coupable des faits mis à leur charge.
Neuf témoins étaient présents dont le colonel Dieudonné Tévoèdjrè.
L'audience est suspendue pour une quinzaine de minutes.
M. M.
On est pas habitué, mais la nouvelle formule de l'UEFA nous y oblige. Les amoureux du cuir rond ont droit à des matchs de Ligue des Champions en ce mois de janvier 2025. Au programme, les matchs de la 7e journée de la phase de poules.
Leader de la phase de Ligue de cette Ligue des Champions, Liverpool (1er) peut encore aller chercher la première place. Par ailleurs, Mohamed Salah et ses coéquipiers ont déjà assuré leur présence dans le top 8 de la compétition. Derrière, FC Barcelone (2e) peut lui aussi assurer sa présence dans le top 8 et donc une qualification directe pour les huitièmes de finale dès ce mardi 21 janvier 2025. Il faut seulement que les Catalans s'imposent sur la pelouse de Benfica.
Découvrez les matchs à suivre ce mardi :
Monaco vs Aston Villa, 18h45
Atalanta vs Sturm Graz, 18h45
Atletico Madrid vs Bayer Leverkusen, 21h00
Benfica vs FC Barcelone, 21h00
Étoile Rouge vs PSV Eindhoven, 21h00
Liverpool vs Lille, 21h00
Club Brugge vs Juventus, 21h00
Slovan Bratislava vs Stuttgart, 21h00
Bologne vs Dortmund, 21h00
J.S
Par Décret N° 2025-002 en date du 6 janvier 2025, le Chef de l'Etat Patrice Talon a procédé à la modification du décret n° 2024-007 du 09 janvier 2024 modifié portant définition des secteurs d'intervention des ministres conseillers à la présidence de la République.
Ce mardi 21 janvier 2025, que s'ouvre le procès d'Olivier Boko et Oswald Homeky devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Les deux hommes sont poursuivis dans l'affaire présumée de tentative de coup d'État contre le président Patrice Talon.
Au cours de cette première journée d'audience, Olivier Boko et Oswald Homeky comparaissent pour des chefs d'accusation retenus contre eux. Ils sont jugés les 21, 22, 23 et 24 janvier 2025 lors de la deuxième journée de la session criminelle de la CRIET.
En dehors de Olivier Boko et son beau-frère, ainsi que l'ancien ministre des Sports Oswald Homeky, trois autres personnes sont également poursuivies dans ce dossier. Il s'agit de Ganiou Sanoussi, chauffeur de Oswald Homeky, de Corneille Ahodégnon Gbaguidi, un entrepreneur, de Rock Salvin Nieri, beau-frère de Olivier Boko. Les chefs d'accusation sont : complot contre l'autorité de l'État, corruption d'agent public et faux certificat.
- Ouverture des débats : Les avocat soulèvent l'incompétence de la Cour . 4 Juges au lieu de 5 . Le Procureur Spécial évoque l'insuffisance de juges
09:10 mn : Les accusés plaident non coupable
09h03 minutes : La cour fait son entrée en salle
08 heures 20 minutes : les avocats Béninois chargés de la défense de Boko et Homeky arrivent dans la salle d'audience. Me Carlos Agossou, Me Paul Kato Atita, Me Pacôme Okoundé et autres sont là.
08 heures 15 minutes : L'audience n'a pas encore commencé. Boko, Homeky et leurs co-accusés attendent l'arrivée des juges.
08 heures 03 minutes : La femme d'Olivier Boko, Sonia Nieri et des membres de sa famille viennent dans la salle. L'homme d'affaires les salue affectueusement. Ils s'installent.
07 heures 50 minutes : Boko discute avec l'un de ses avocats venus d'un barreau étranger. La discussion semble portée sur les moyens de le défendre
07 heures 47 minutes : L'homme d'affaires Olivier Boko, l'ex-ministre Oswald Homeky et Hugues Adjigbékoun arrivent dans la salle d'audience. Ils sont installés. Olivier Boko ainsi que l'ex-ministre Oswald Homeky sont souriants. L'homme d'affaires est tiré à quatre épingles. Il est habillé en veste bleu nuit et lunettes au point. Sur sa veste, Olivier Boko porte un gilet de la prison civile de Missérété. Quant à Oswald Homeky, il est habillé en veste. Il porte également un gilet de prisonniers.
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À travers un décret n°2024 - 1386 du 27 novembre 2024, le président de la République Patrice Talon, a nommé les membres du Conseil d'Administration de l'Agence de développement de Sèmè City. Les 7 membres sont nommés pour un mandat de trois (03) ans renouvelable, à compter de la date de leur installation. Le Conseil est présidé par Odile Atanasso.
La percussionniste Ayodélé de son vrai nom Gloria Lawson a sorti son premier album.
''Identité'' est le nom du tout premier album de la chanteuse et percussionniste béninoise Ayodélé. L'album met en lumière les rythmes endogènes du Bénin et est disponible depuis le 28 décembre 2024.
''Identité'' peut être écouté sur : Spotify : https://open.spotify.com/intl-fr/artist/3x2oZNhKskAbSHMe6gizng?si=NUEg-suMS0SmQpyYvwqDqg ; Youtube : https://youtube.com/playlist list=OLAK5uy_lnFw9tLZMioYozGXopHKQTbIcbWGhTBCo&si=SUF0-9jgpsCnqxGZ
Ayodélé a reçu le 2è Prix Découverte RFI en 2017 pour son titre Kpakpato. Elle a à son actif de nombreux singles et prestations sur scènes. Elle est l'auteure de plusieurs autres titres notamment Fimilè, Partagez, Chéco, Ifèmi.
M. M.
Les promoteurs qui ont fait des demandes de parcelles commerciales le long de la route des pêches sont fixés. Les résultats provisoires des attributions sont disponibles.
La commission d'analyse des demandes de parcelles commerciales le long de la route des pêches porte à la connaissance des promoteurs que les résultats des attributions provisoires de parcelles sont disponibles.
Ces attributions provisoires sont en deux (02) composantes à savoir :
– attribution provisoire aux promoteurs initialement installés sur la plage et recensés en 2021 par les services du Ministère du Cadre de Vie et des Transports , en charge du Développement durable ;
– attribution provisoire aux nouveaux promoteurs.
Les résultats peuvent être consultés sur les sites https://simaubenin.com et https://cadredevie.gouv.bj. Ils sont également affichés aux sièges de la SImAU SA et du Ministère du Cadre de Vie et des Transports, en charge du Développement Durable.
Les attributaires provisoires sont invités à poursuivre les formalités, notamment le paiement de la caution remboursable correspondant au lot qui leur est attribué au plus tard le 20 février 2025, à 17h30.
Numéro de compte – Titulaire : Caisse des Dépôts et Consignations du Bénin
Banque Code Banque Guichet N° Compte Clé RIB
BIIC BJ185 01100 001400083701 36
IBAN : BJ1850110000140008370136
La note d'informations comprenant la procédure d'attribution définitive et le cahier des charges de construction est également disponible sur les sites internet sus indiqués.
NB : les projets qui seront retenus doivent être conformes au cahier des charges
prescrit qui encadre leur développement sur l'ensemble de la zone.
Les députés de la 9ème Législature de l'Assemblée nationale du Bénin seront en séance plénière, mardi 21 janvier 2025 à partir de 10 heures au Palais des Gouverneurs à Porto-Novo. Six (6) dossiers sont inscrits à l'ordre de cette session. Il s'agit de la désignation remplaçant de Romaric OGOUWALE au Conseil Économique et Social (CES) et l'examen d'un projet de loi et de quatre décrets.
Voici l'ordre de la séance plénière
Au Bénin, la procédure de paiement des frais de visite technique automobile a été simplifiée. Une dématérialisation qui offre plusieurs avantages aux usagers.
Une voiture 4×4 est positionnée sur le site de contrôle technique automobile du Centre National de Sécurité Routière (CNSR) dans la commune de Glo-Djigbé. Trois jours à l'avance, Jean Vodounon, le conducteur s'était acquitté des frais avant de se présenter dans ce centre pilote.
« Le paiement des frais de visite technique s'effectue en ligne. La plateforme permet aux usagers de la route de s'acquitter des frais de la visite technique depuis leur maison. L'usager qui veut faire sa visite technique dans les centres pilotes n'est plus obligé d'aller au guichet du Trésor avant de s'acquitter des frais », explique Éric Aristide Degnonvi, chef division contrôles routiers-éducation et statistiques au CNSR Tangbo-Djèvié.
Le paiement se fait sur la plateforme des services publics (https://service-public.bj) depuis plus d'un an pour les usagers qui prennent rendez-vous sur les sites pilotes. Des sites répartis dans quatre des douze départements du Bénin. Il s'agit du département de l'Ouémé (Ekpè), de l'Atlantique (Tangbo-Djèvié), du Borgou (Parakou) et du Zou (Bohicon). Ce sont les usagers même qui fixent le jour et l'heure de leur rendez-vous sur ces sites, selon Éric Aristide Degnonvi.
Tout en un…
Pour la présentation de son véhicule sur le site de contrôle technique automobile, Jean s'est muni d'un reçu. L'imprimé lui a été délivré après paiement de la Taxe sur Véhicule à Moteur (TVM). Le contrôle technique automobile est, en effet, assujetti au paiement préalable de la Taxe sur Véhicule à Moteur (TVM). De la prise de rendez-vous jusqu'au paiement des divers frais liés à la visite technique, tout est fait en ligne.
« Quand l'usager va sur la plateforme, il renseigne le formulaire et paie tout en un. (…) Il y a un ‘'récap'' (Récapitulatif, NDLR) qu'il lui est envoyé. C'est avec ce ‘'récap'' et son véhicule que l'usager se présente au rendez-vous qu'il a lui-même fixé sur la plateforme. Après qu'un technicien ait confirmé et inspecté le véhicule, c'est en ce moment que l'attestation de la visite technique est envoyée dans sa boîte. Donc, ceux qui font le paiement et ne se présentent pas avec le véhicule et le ‘'récap'', n'ont pas encore fait la visite technique. Ils ont fait seulement le paiement en ligne », détaille le chef division contrôles routiers-éducation et statistiques au CNSR Tangbo-Djèvié.
La dématérialisation des frais de visite technique s'est étendue depuis le 2 janvier 2025 aux autres régions du Bénin (Pobè, Ouidah, Abomey-Calavi, Lokossa, Agonlin, Dassa, Kandi, Natitingou, Djougou). « Les automobilistes qui fréquentent ces sites pourront désormais effectuer le paiement des timbres fiscaux via la plateforme du trésor public accessible à l'adresse « www.tresorbenin.bj ».
Pour ce faire, il suffit de : se connecter à la plateforme ; sélectionner « eQuittance-Paiement en ligne », ensuite « Autres versements (Cautions, Consignations, etc.) » ; sélectionner « Droits de timbre » dans le champ « Nature du paiement » ; et suivre les instructions à l'écran », détaille un communiqué de la Direction Générale des Impôts en date du 30 décembre 2024.
La plateforme génère automatiquement une quittance de paiement en remplacement du timbre fiscal. Cette nouvelle procédure de télépaiement assure notamment la disponibilité du service 24h/24 et 7j/7, la rapidité de l'opération et la sécurisation des recettes de l'Etat, selon la même source.
Plusieurs avantages aux usagers…
« J'ai fait le contrôle en 30 mn alors même que cette formalité me prenait toute une journée auparavant », se réjouit l'usager Jean.
« Avant la dématérialisation, si tu te rends dans un Centre tôt le matin, il faut attendre au moins jusqu'à l'après-midi avant d'être satisfait. Tout est fait maintenant avec célérité et sans aucune perte de temps », fait remarquer Basile Josué Kiki, chauffeur de taxi-interurbain depuis une vingtaine d'années.
Gnonlonfoun Raphaël, un conducteur de mini bus, le souvenir encore vivace, rappelle que les usagers étaient confrontés à de longues files d'attente, à la lenteur dans le traitement des dossiers de contrôle technique automobile.
…une porte ouverte à des intermédiaires véreux
Pour payer en ligne, fixer le rendez-vous et présenter leur véhicule, des usagers ne maitrisant pas l'usage des outils numériques font recours à des intermédiaires. Ceux-ci perçoivent une commission qui fait augmenter les frais de la visite technique automobile. « Le prix normal est 8500 francs (13,35 dollar US environ, NDLR) mais des intermédiaires, nous prennent entre 10 et 11 mille francs (entre 15 et 17,28 dollar US environ, NDLR) pour nous aider lors du paiement en ligne », se lamente le conducteur de mini bus Raphaël. Conformément aux tarifs réglementaires en vigueur, les frais de la visite technique s'élèvent à 7 500 FCFA (11,78 dollar environ) trimestriels pour un taxi, à 15 000 FCFA (23,57 dollar environ) par an pour un véhicule personnel et 19 000 FCFA (29,85 dollar environ) semestriels pour un poids lourd.
Marc MENSAH
[1]
[1] Cet article a été publié dans le cadre de la Bourse sur les Infrastructures Publiques Numériques (IPN) initiée par la Fondation des Médias pour l'Afrique de l'Ouest (MFWA) en partenariat avec Co-Develop.
Deux (2) douaniers ont été placés en détention provisoire ce jeudi 16 janvier 2025 après présentation devant le procureur spécial de la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET).
Ils séjournent depuis ce jeudi 16 janvier en prison pour une affaire de fraude à la frontière d'Hillacondji. Selon Le Potentiel, il s'agit du chef de brigade de la frontière d'Hillacondji et d'un brigadier responsable du secrétariat administratif. Des contenus de tissus imprimés, informe la même source, ont franchi la frontière d'Hillacondji sans aucune formalité douanière. C'est la cellule de lutte contre la fraude douanière qui a pu mettre la main sur les conteneurs. Plusieurs personnes ont été interpellées dans cette affaire suite à l'ouverture d'une enquête.
Le chef de brigade de la frontière d'Hillacondji et le brigadier responsable du secrétariat administratif ont été déposés en prison.
A.A.A
Au Bénin, le président du Rassemblement des Démocrates à l'écoute du peuple (RaDEP), un mouvement panafricaniste sans existence légale, Apollinaire O. Adjallah encourt désormais une peine d'emprisonnement de 12 mois dont huit (8) mois fermes et une amende. Le parquet spécial de la CRIET a fait jeudi 16 janvier 2025 ses réquisitions dans son dossier. Le prévenu avait été déposé en prison pour avoir donné un ultimatum de 15 jours aux éventuels soldats français présents au Bénin pour quitter le pays.
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Avis aux panafricanistes qui inventent de fausses informations sur la présence de bases militaires françaises au Bénin. Un panafricaniste en apprend à ses dépens à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Après plus de six mois passés derrière les barreaux, le ministère public de la CRIET a fait jeudi 16 janvier 2025 ses réquisitions dans le dossier du prévenu Apollinaire O. Adjallah. Le parquet spécial près la CRIET a demandé à la Cour de retenir le prévenu dans les liens des charges d'incitation à la rébellion via les moyens de communication électronique. Il a alors requis douze (12) mois de prison dont huit (8) fermes et cinq-cents mille (500 000) francs CFA d'amendes.
Son avocat, Me Barnabé Gbago a estimé qu'il s'amusait en publiant sur les réseaux sociaux, les messages à l'origine de son arrestation. Il a plaidé la clémence de la Cour. Le verdict du dossier a été renvoyé au jeudi 13 février 2025, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Les faits
Le prévenu a été interpellé par les agents du Centre national d'investigations Numériques (CNIN) pour ses écrits sur les réseaux sociaux. L'homme a été placé en détention provisoire le jeudi 13 juin 2024 par le parquet spécial de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). La juridiction spéciale a retenu contre lui les charges d'incitation à la rébellion via les réseaux de communication électronique.
Lors de la première audience dans son procès, le jeudi 18 juillet 2024, le juge de la chambre correctionnelle de la CRIET avait procédé à la lecture des messages incriminés. « Béninoises et béninois, Très chers compatriotes, Dans l'intérêt supérieur de la Nation béninoise et pour la sécurité de la sous-région Ouest africaine, le Rassemblement des Démocrates à l'Ecoute du Peuple (RaDEP) donne un ultimatum de 15 jours à compter de ce jour, samedi 9 juin 2024 aux forces armées françaises, de quitter le territoire de la République du Bénin. Passé ce délai, nous informons l'opinion nationale et internationale, que tout soldat français identifié sur le territoire du Bénin, sera considéré comme "terroriste" et subira les sanctions réservées aux terroristes », tels étaient quelques extraits du message d'Apollinaire Adjallah lu par le magistrat.
Le prévenu avait évoqué le chômage pour justifier son acte après la lecture des extraits de ce message. « Je reconnais être l'auteur de ces propos. Mes propos n'avaient pas l'intention d'appeler à la rébellion. Je ne me vois pas chômeur depuis six (6) appeler à la rébellion. Je suis dans le regret total », a plaidé d'un air abattu le président du RaDEP.
Le prévenu a reconnu les faits et a plaidé la clémence de la Cour. Il a précisé qu'il s'amusait à s'exercer aux discours politiques et qu'il aimait la politique. Le prévenu indique qu'il est titulaire d'un BTS en banque et finance et que le chômage l'a poussé a écrit ce texte. Des arguments qui ont été renchéri par son avocat Me Barnabé Gbago qui a soutenu que le chômage a conduit son client à commettre ces actes délictuels.