La Conférence Episcopale du Bénin (CEB) a tenu du 21 au 23 mai 2019 sa troisième session plénière ordinaire, au titre de l'année pastorale 2018-2019, au Grand Séminaire Mgr Louis PARISOT de Tchanvédji.
Dans un communiqué final signé du président de la Conférence Episcopale du Bénin, Mgr Victor Agbanou a fait part des sujets abordés lors de la session dont la situation socio-politique du Bénin. Déplorant l'organisation d'élections législatives sans l'opposition et les derniers évènements survenus, les évêques renouvellent leur offre de médiation impartiale aux acteurs politiques.
La Conférence Episcopale du Bénin a noté avec regret la « déconstruction progressive de l'esprit et surtout de l'héritage de l'historique Conférence des Forces vives de la Nation. Elle invite tous les acteurs politiques de notre pays à renouer avec les principaux acquis de cet évènement majeur et fondateur de notre histoire commune ».
En dépit des nombreuses tentatives menées par les évêques, le Bénin a connu le 28 avril passé des élections législatives exclusives.
Les évêques soulignent que c'est avec amertume qu'ils ont vécu « la poursuite du processus électoral qui a abouti à l'installation d'un nouveau Parlement sans les partis d'opposition ». Il est en de même des nombreuses violences post-électorales enregistrées qui ont occasionné des pertes en vies humaines et d'importants dégâts matériels.
La Conférence Episcopale du Bénin présente ses condoléances « aux familles endeuillées par les violences post-électorales et à la famille de notre compatriote Fiacre Gbédji, le guide des deux touristes français enlevés récemment dans le Parc de Pendjari ».
Par conséquent, les évêques du Bénin qui avait proposé leur médiation impartiale renouvellent à l'endroit des acteurs politiques de tous les bords leur offre. Ceci, en vue d'une « vraie réconciliation entre les fils et filles du Bénin ». Ils soulignent que « sans un vrai dialogue dans l'écoute mutuelle et la recherche de la vérité et de la justice, aucune communauté humaine politique ou religieuse ne peut prospérer ».
Aussi, soulignent-ils que « Non assumés totalement et non intégrés par l'esprit du peuple, tout projet de société et toute réforme risquent d'échouer à moyen ou à long termes », avertit la Conférence épiscopale du Bénin.
Par ailleurs, en prélude au dialogue, la CEB plaide auprès des autorités pour « le retour au bercail de tous les fils et filles du Bénin contraints à quitter le territoire national pour une raison ou une autre, la jouissance totale des libertés d'expression et de mouvements par tous les citoyens et enfin la restauration d'un climat de paix et de confiance dans le pays ».
Selon les évêques, « le développement souhaité pour notre pays ne saurait s'opérer sans un vivre-ensemble apaisé et harmonieux. Et tout pouvoir, quel qu'il soit, a besoin de contre-pouvoir pour son équilibre ».
Akpédjé AYOSSO
Le Port autonome de Cotonou (Pac) a ouvert ses portes au public ce vendredi 24 mai 2019. A travers ‘'Les premières journées portes ouvertes du Pac'', le public est invité, dans une ambiance festive marquée par différentes allocutions, communications et prestations d'artistes, à visiter les stands et autres installations.
Expliquant l'objectif de ces journées, le directeur général du Port autonome de Cotonou, Jorys Thys a souligné que ces journées serviront de cadre pour renforcer l'image de l'entreprise, accueillir les clients pour mieux cerner leurs attentes, et enfin, développer et maintenir une bonne synergie avec l'environnement dans lequel il opère.
Le ministre des infrastructures et des transports, Alassane Séïdou , profitant de l'occasion, a rappelé que depuis avril 2016, et conformément à la vision du chef de l'Etat de booster l'économie nationale, le ministère dont il a la charge s'est résolument engagé à initier et mettre en œuvre les réformes et projets portuaires dans le cadre du Programme d'actions du gouvernement (Pag).
De part ses qualités compétitives, le Port de Cotonou, a d'énormes impacts sur les autres ports de la sous-région.
De sources proches de l'administration portuaire, le chiffre d'affaires du Pac a augmenté de 16,35% avec un résultat net d'environ 1,4 milliard de francs CFA.
F. A. A.
Le drame s'est produit ce vendredi 24 mai 2019 dans la commune de Missereté, située dans le département de l'Ouémé. Deux personnes ont trouvé la mort dans la zone du CEG I Missereté. La cause de leur décès serait liée à une décharge électrique causée par la foudre.
A.A.A
Le Maroc, seul pays invité du continent, porte la voix de l'Afrique au sommet du Forum international de transport (FIT) qui se tient à Leipzig en Allemagne du 22 au vendredi 24 mai 2019. Représenté par le ministre de l'Équipement, du transport, de la logistique et de l'eau, Abdelkader Amara, il a été question de présenter les problématiques du transport au niveau du continent. L'évènement a réuni environ 1.000 participants représentant 70 pays et quelque 40 ministres de transports.
« Connectivité de transport pour l'intégration régionale », tel est le thème autour duquel les spécialistes du transport échangent depuis le lancement des travaux de l'édition 2019 du Forum international du transport (FIT) ce mercredi 22 mai. Les problématiques du transport en Afrique n'étant pas les mêmes dans les pays développés, le Maroc, seul pays africain membre du FIT et représenté par son ministre de l'Équipement, du transport, de la logistique et de l'eau, a, lors de ce sommet souligné la spécificité des problématiques du transport sur le continent. Il s'agit notamment de l'accès au transport et la mise en place de systèmes de transport de masse.
Selon le ministre marocain des transports qui a participé à une table ronde, réunissant les ministères des pays membres du FIT, l'adhésion du Royaume chérifien en 2015 est le fruit d'un processus enclenché depuis plusieurs années. « Adhérer au FIT revient à s'aligner sur les bonnes pratiques à l'international en ce qui concerne le développement durable non seulement dans le transport mais dans l'économie en général », a indiqué M. Abdelkader Amara.
Selon le ministre, l'adhésion favorise également à travers le forum d'échanger des bonnes pratiques et des expériences pour mener des changements et des améliorations dans le pays.
Lors de ce sommet, les différents pays présents abordent les problématiques relatives au secteur du transport. Les sujets des échanges lors de ce sommet sont entre autres les normes relatives à la connectivité entre véhicules aux nouvelles routes commerciales.
Plusieurs participants ont plaidé pour une meilleure parité dans les transports. Ainsi, des appels ont été lancés visant le développement de nouveaux projets et l'adoption des systèmes en place dans le but de favoriser une meilleure mobilité pour les femmes.
Organisé par le Forum international des transports de l'OCDE et surnommé ‘'le Davos du transport'', c'est la Corée qui se charge de la présidence 2019. Elle a dirigé la session ministérielle du 23 mai.
La prochaine édition du forum sera présidée par le Maroc, toujours à Leipzig à l'est de l'Allemagne et aura pour thème : « L'innovation dans le transport pour le développement durable ».
Akpédjé AYOSSO
C'est la salle polyvalente du Palais des gouverneurs qui a servi de cadre à la passation de service ce jeudi 23 mai 2019, entre le Directeur de Cabinet sortant, Falilou Akadiri et le nouveau Directeur de Cabinet Mathieu Ahouansou.
Après sa nomination par le président de l'Assemblée nationale, le nouveau directeur de cabinet prend officiellement fonction.
La cérémonie de passation de service a lieu dans une ambiance de convivialité. C'est en présence du Secrétaire Général Administratif de l'Assemblée nationale, Thomas Dassi et des directeurs techniques et Chefs services du parlement que le nouveau directeur de cabinet est installé dans son fauteuil.
G.A..
A l'occasion du congrès scientifique de la Société Béninoise d'Imagerie Médicale (SBIM) organisé du 22 au vendredi 24 mai dans le cadre des 15è Journées de Radiologie d'Afrique Noire Francophone, plusieurs sociétés du domaine de la santé exposent des équipements médicaux à Azalai Hotel de Cotonou.
Le domaine de la santé n'échappe pas à l'affluence des nouvelles technologies. Ces dernières offrent de grands avantages, non seulement aux patients, mais aussi aux professionnels de la santé. Pour ses 2e journées scientifiques de la Société Béninoise d'Imagerie Médicale (SBIM), qui prennent fin ce vendredi 24 mai 2019, des sociétés spécialisées dans le domaine de la santé procèdent à des expositions techniques. Les équipements sont constitués entres autres des appareils destinés à aider le diagnostic et le traitement de problèmes médicaux.
Plusieurs stands sont ouverts dont celui de la société BEREC, spécialisée dans les équipements médicaux pour les hôpitaux et les centres de santé. Elle effectue la fourniture, l'installation, la maintenance et donne un appui conseil en milieu hospitalier. Quant à la société Energy Sarl, elle est également distributeur de dispositifs médicaux (équipements, consommables et fait également de la maintenance Bio-Médicale).
On y trouve aussi, des appareils d'imagerie médicale servant à l'accompagnement du diagnostic, les tomodensitomètres, etc.
Akpédjé AYOSSO
Quelques images
La Cour Constitutionnelle a rendu sa décision ce jeudi 23 mai 2019, après avoir examiné les recours des candidats aux législatives du 28 avril 2019.
Les sept sages de la Cour présidé par Joseph Djogbénou ont accepté le recours de Benoît Dégla, candidat du parti Bloc Républicain dans la 10eme circonscription électorale. Plusieurs autres requêtes ont été déclarés irrecevables par la Haute juridiction.
Benoît Dégla avait formé un recours contre l'élection du député Marcellin Aka Worou estimant que des résultats de certains arrondissements n'ont pas été pris en compte. Au vu des nouveaux résultats obtenus dans cette circonscription électorale, la Cour a invalidé le siège de Marcellin Aka Worou et proclamé député Benoît Assouan Dégla.
L'honorable Benoît Dégla peut désormais siéger à la 8e législature de l'Assemblée nationale.
Ainsi, l'effectif des sièges du Bloc Républicain passe à 37 et celui de l'Union Progressiste à 46.
Par ailleurs, plusieurs requêtes ont été déclarées irrecevables par la Haute juridiction. Il s'agit des recours du sieur Wahab Tamou Yarou, candidat du Bloc Républicain dans la 1ère circonscription électorale, celui du Me Alain Orounla pour le compte de Jean Claude Dona Housssou, de Serge Mariano, de Fressan Agossou, Hervé Hehomey et autres.
Les recours introduits contre le Bloc Républicain dans la 22e circonscription électorale par les sieurs Jean Pierre Babatoundé et Louis Codjo Dossou ont été rejetés purement et simplement par la Cour constitutionnelle.
Les requérants ayant fondé leur requête sur des bourrages d'urnes et irrégularités, la Cour a estimé qu'ils n'ont pas apporté suffisamment de preuves.
A.A.A
L'Université Mohammed VI polytechnique (UM6P) de Benguérir (Maroc), institution d'enseignement supérieur à vocation internationale, va lancer dès juin prochain une Ecole d'intelligence collective.
Cet établissement proposera entre autres deux Masters et un programme de doctorat.
« Les diplômés de l'Ecole d'intelligence collective seront en mesure de mener des projets de transformation pour des ministères, grandes entreprises, et partis politiques, mais aussi pour les associations et les projets d'innovation sociale », souligne Lex Paulson directeur de l'Ecole d'intelligence collective de l'UM6P.
Pour la réussite du projet, des partenariats de premier plan ont été noués avec des institutions européennes et américaines. L'Ecole d'intelligence collective offre 02 Masters et un programme de doctorat.
« Sur notre campus de Benguérir, en partenariat avec des institutions comme le MIT et l'Ecole normale supérieure-Paris, nous proposerons le premier Master complet en intelligence collective du monde entier, ainsi qu'un programme de doctorat sur 5 ans avec des opportunités de recherche postdoctorale, un Master exécutif et un incubateur d'entrepreneurial », informe Lex Paulson.
L'étude de l'intelligence collective englobe plusieurs domaines d'investigation tels que : les sciences cognitives, les sciences des données, la science organisationnelle, l'histoire et l'éthique.
Selon le directeur de l'Ecole d'intelligence collective de l'UM6P, la mission de l'école est « d'étudier la cognition, la collaboration et la transformation de façon transversale et scientifique ainsi que faire rayonner l'expertise scientifique de l'UM6P à l'international et en faire un centre d'innovation grâce à un incubateur pour mettre en pratique les savoirs de l'Ecole ».
L'intelligence collective relève des capacités intellectuelles d'un groupe résultant des multiples interactions entre ses membres. C'est un concept selon lequel le partage « des connaissances, des compétences et des expériences d'une somme d'individus liés par un projet commun permettent d'améliorer la performance globale d'une entreprise ».
Akpédjé AYOSSO
Dans le cadre des 15è Journées de Radiologie d'Afrique Noire Francophone, la Société Béninoise d'Imagerie Médicale a ouvert depuis ce mercredi 22 mai 2019 à Cotonou ses 2è Journées scientifiques sous le thème : « L'Imagerie médicale au service de la mère et de l'enfant ».
La cérémonie d'ouverture a eu lieu ce jeudi 23 mai 2019, à l'hôtel Azalaï de Cotonou en présence des spécialistes de la science médicale et de Dr Sybille Assavedo, représentante du ministre de la santé.
Ce congrès scientifique qui se déroule du 22 au 24 mai 2019 réunit les médecins radiologues, des médecins généralistes, des étudiants, des spécialistes du Bénin mais aussi de plusieurs pays d'Afrique subsaharienne. Selon le Prof Savi de Tové, président de la Société Béninoise d'Imagerie Médicale (SBIM), ces journées vont permettre de « mettre en lumière les différentes innovations technologiques, et aussi de montrer les progrès réalisés dans nos différents pays ». D'après le président de la SBIM, dans les diverses pathologies qui touchent la mère et l'enfant, « l'imagerie est aujourd'hui au cœur de la prévention, du diagnostic et du suivi ».
Cependant, poursuit-il, « toutes les stratégies mises en œuvre dans nos pays en matière de politique sanitaire, l'imagerie médicale est restée bien trop souvent absente. Ce constat contraste avec l'amélioration des performances diagnostiques survenue ces dernières décennies grâce aux progrès techniques dans toutes les modalités. Elles améliorent la prise en charge de la mère et l'enfant qui sont des cibles très spécifiques ».
Le Prof Savi de Tové reste convaincu que les échanges au cours de ce congrès apporteront non seulement une plus-value qualitative à chacun et à tous, permettant une meilleure prise en compte de leurs besoins par les autorités politico-administratives à divers niveaux, mais également une amélioration considérable des connaissances.
Souhaitant la bienvenue aux congressistes, le président en exercice de la Société de Radiologie d'Afrique Noire Francophone (SRANF), Prof Joseph Gonsu, a rendu un vibrant hommage aux pionniers et aux acteurs de la radiologie africaine francophone, « sans lesquels la SRANF n'aurait pas peut-être pas vu le jour ».
Il a aussi sollicité une minute de silence à la mémoire des radiologues décédés depuis 1 an.
Abordant les missions de la SRANF, Prof Joseph Gonsu indique qu'elles portent essentiellement sur la formation et la recherche. « Au plan de la formation, la SRANF contribue à la mise en place effective dans plusieurs de nos universités, des formations des médecins spécialistes en Radiologie et Imagerie médicale (...). Au plan de la recherche, notre revue intitulée : Journal africain d'imagerie médicale (JAIM) publie à un rythme trimestriel les résultats de recherches des membres de notre société sans discontinuité depuis 2002 (...) », renseigne-t-il.
A en croire le Prof Joseph Gonsu, le choix de la thématique est lié à « l'importance et à toute l'attention y accordée en vue de l'atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) ».
Il informe que d'après les statistiques officielles, « près de 99% des décès maternels surviennent dans les pays en développement et la probabilité pour une jeune fille de 15 ans de décéder des suites de complications liées à une grossesse ou à un accouchement au cours de sa vie est très forte en Afrique ».
Le président de la SRANF souligne que ces journées scientifiques devraient aider à réfléchir sur les « stratégies à mettre en œuvre pour proposer à un plus grand nombre de mères et d'enfants une offre globale des soins de qualité et des services susceptibles de réduire de façon durable, la morbi mortalité maternelle et infantile ».
Pour Achille Yemoa, vice-doyen de l'unité de formation et de recherche en pharmacie de la Faculté des Sciences de la Santé de Cotonou, représentant du doyen de la FSS, c'est un devoir « de soutenir de tels évènements qui honorent toute la communauté scientifique médicale et notre pays le Bénin ». Achille Yemoa souligne qu'à travers ce congrès, il s'agit de « trouver des réponses à des préoccupations qui sont restées sans solutions jusque-là ».
Procédant à l'ouverture officielle du congrès, Dr Sybille Assavedo, conseillère technique à la médecine hospitalière du ministère de la santé, a rappelé que le gouvernement a fait l'option « d'améliorer les indicateurs en termes de mortalité et de morbidité notamment la morbi mortalité maternelle et infantile ».
Dr Sybille Assavedo signale que le ministre de la santé « de part son profil gynécologue obstétricien se sent personnellement concerné par la thématique développée ».
« De nombreuses initiatives sont en cours dans le cadre de l'équipement de nos hôpitaux afin de permettre à nos spécialistes de répondre aux préoccupations sanitaires de nos populations et ce, à l'instar d'autres pays de l'Afrique Subsaharienne ici représentés. Mais nous reconnaissons que les défis étant énormes, il reste encore beaucoup d'efforts à fournir », déclare-t-elle tout en souhaitant que les échanges puissent permettre de favoriser des initiatives aussi bien dans le secteur public et privé afin de répondre aux besoins en imagerie des populations. « Nous espérons aussi recevoir de vous des propositions adaptées à nos réalités », ajoute la représentante du ministre de la santé.
Suite à l'ouverture officielle de ce congrès, les participants ont suivi une conférence inaugurale dirigée par Vicentia Boco, professeur titulaire en radiologie et imagerie médicale, ancien chef de service d'imagerie au Centre National Hospitalier et Universitaire HKM de Cotonou et actuelle présidente de l'Institut de la Femme du Bénin. Après avoir procédé à la remise du diplôme aux trois meilleurs lauréats en radio protection, elle a développé le thème « Quid de la stratégie de développement de l'imagerie en Afrique ? ».
Des expositions techniques
Les journées scientifiques de la Société Béninoise d'Imagerie Médicale sont aussi marquées par des expositions techniques des différentes sociétés du domaine de la santé.
Les participants ont procédé à la visite des stands dont celui de la société BEREC, spécialisée dans les équipements médicaux pour les hôpitaux et les centres de santé, fourniture, installation, maintenance et appui conseil en milieu hospitalier. Quant à la société Energy Sarl, elle est également distributeur de dispositifs médicaux (équipements, consommables et maintenance Bio-Médicale).
Les congressistes ont aussi visité plusieurs autres stands proposant des soins de santé.
Des journées riches en thématiques
Les participants à ce congrès ont aussi suivi plusieurs communications à travers des conférences, des ateliers autour du thème principal. Des formations radioprotection (CERF, AIEA, AfroSafe) et autres se sont déroulées dans la journée de mercredi 22 mai. Des panels portant sur le Pelvis, la Sénologie, la radio pédiatrie sont au menu de la journée de ce jeudi 23 mai 2019 ainsi que la table ronde sur la réglementation de la pratique de l'échographie en Afrique noire francophone.
Le congrès qui se poursuit jusqu'au vendredi 24 mai avec des communications sur l'imagerie musculo-squelettique. Les sous thèmes sont entre autres : « ‘'Aspects épidémiologiques et radiographiques de la coxarthrose au CHU BSS de Kati'', ‘'La pathologie du rachis lombaire : aspect épidémioclinque et tomodensitométrique en CI'', ‘'Profil radiographique et clinique des anomalies transitionnelles lombo sacrées à Lomé'' ».
A cela s'ajoute le panel sur l'imagerie de la femme avec des communications telles que « ‘'IRM de l'endométriose pelvienne au Sénégal : à propos de 47 cas'', ‘'Apport de l'écho-doppler dans le suivi de la grossesse à risque'' ».
Un autre panel sera consacré aux bonnes pratiques en imagerie.
La journée de vendredi permettra aux congressistes de participer à la table ronde sur le thème : « L'intelligence artificielle ».
Au terme des activités, la Société de Radiologie d'Afrique Noire Francophone (SRANF) tiendra son Assemblée générale.
Akpédjé AYOSSO
Initialement prévu pour le lundi 03 juin, l'examen du Certificat d'Etudes Primaires (CEP) vient d'être reporté pour le mardi 11 juin 2019 selon un communiqué en date de ce jeudi 23 mai, signé du directeur des examens et concours, Victor Adohinzin.
« Soucieux de faire composer tous les enfants, candidats au Certificat d'Etudes Primaires (CEP) dans l'équité et tenant compte des jours qui seront déclarés chômés et payés sur toute l'étendue du territoire national dans la période des examens, le démarrage des épreuves écrites orales et sportives du CEP est repoussé au mardi 11 juin 2019 », renseigne le communiqué.
Le directeur des examens et concours, Victor Adohinzin invite par conséquent, tous les candidats à se rendre dans les centres d'examen le mardi 11 juin 2019 à 7 heures précises.
Akpédjé AYOSSO
Saisie par les généraux Tozé et Agbossaga, la chambre administrative de la Cour suprême a rendu son verdict en défaveur des deux inspecteurs généraux de brigade. Ainsi, les officiers de la police républicaine Louis Philippe Houndégnon et Nazaire Hounnonkpè ne peuvent plus faire valoir leur grade de général. Dans une décision rendue ce jeudi 23 mai 2019, la chambre administrative de la Cour suprême a annulé leur nomination audit grade pour attribution fantaisiste de grade. Promus le 1er août 2015, les désormais ex généraux n'auront joui que de quatre années de leur grade. Ils retournent ainsi à leur grade de commissaire principal.
G.A.
Le député de l'Union Progressiste de la 17ème circonscription électorale, Charles Comlan Gagnon ne siègera pas au Parlement pour le compte de cette 8e législature. Il a démissionné ce mercredi 22 mai 2019, laissant le siège à son suppléant Euric Guidi. Ce dernier qui rentre dans ses fonctions de député à l'Assemblée nationale a occupé le poste de directeur départemental agriculture et pêche dans le département du Mono.
A.A.A
Prévu pour démarrer depuis le 6 mai 2019, l'inscriptions sur les listes électorales pour le compte des élections de désignation des professionnels des médias à la HAAC, n'a pu être effectif suivant le calendrier de départ. Un réaménagement est donc survenue à quelques jours de la date du scrutin. Les professionnels des médias doivent désormais se rendre dans les lieux de délivrance pour inscrire leur nom dans le registre. Cette inscription est conjointe à la distribution des cartes d'électeurs qui démarre le 25 mai au regard du nouveau calendrier électoral établi. Quant à la campagne électorale, elle débute le 29 mai. Le nouveau calendrier projette les élections pour le 15 juin 2019.
Ce réaménagement est dû aux difficultés d'obtention du financement par la commission électorale pour mieux conduire le processus.
Les professionnels des médias non détenteurs de carte professionnelle de la HAAC doivent avoir leur nom sur la liste fournie par la HAAC avant de pouvoir bénéficier de la carte d'électeur délivrée par la commission électorale autonome HAAC.
G.A.
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Le Directeur Général de la BRVM et du DC/BR, Dr Edoh Kossi AMENOUNVE a été élevé au Grade d'Officier de l'Ordre du Mono, par le Président de la République Togolaise, Son Excellence Faure Essozimna GNASSINGBÉ.
Les Ordres nationaux du Togo contribuent à mettre en place une culture de succès, de mérite et d'excellence.
Qu'ils soient civils ou militaires, tous les citoyens togolais dès lors qu'ils participent loyalement et pleinement à la grande œuvre de construction nationale, sont appelés autant que faire se peut à̀ bénéficier des distinctions des Ordres nationaux.
Il existe à cet effet, l'Ordre du Mono, l'Ordre National du Mérite, la Médaille du Mérite Militaire, l'Ordre du Mérite Agricole, l'Ordre des Palmes Académiques et la Croix de la Vaillance.
Dr Edoh Kossi AMENOUNVE a été distingué en reconnaissance de son œuvre de pionnier dans la mise en place des structures du marché financier au Togo par la création de la société de bourse, la SGI-TOGO en 1997 et de la société de gestion des OPCVM, OPTI ASSET MANAGEMENT en 2002 ainsi que dans la réalisation des premières opérations boursières du pays.
Cette distinction vise également à reconnaître sa contribution au rayonnement du Togo dans les organes communautaires ainsi que dans les Institutions régionales, continentales et internationales en sa qualité de Secrétaire Général du CREPMF de 2003 à 2012 et de Directeur Général de la BRVM et du DC/BR de 2012 à ce jour, de Vice-Président de l'Association des Bourses Africaines (ASEA) et de Président de l'AfricaFinlab depuis 2018.
L'Édition 2019 du FACTAM (Festival des Arts et Cultures Tammari), à Boukombè au Bénin
Voir en ligne : Festival des Arts et Cultures Tammari 2019C'est à l'occasion d'une audience plénière présidée par le président Joseph Djogbénou ce mercredi 22 mai 2019, que la Cour constitutionnelle a examiné les différents recours électoraux. La juridiction compétente pour trancher les contentieux relatifs aux élections législatives va rendre sa décision ce jeudi 23 mai.
Pour cette audience plénière, 22 dossiers de recours étaient inscrits au rôle. Les parties requérantes et requises ont été écoutées par les sept sages. Devant l'assistance, les rapports produits par les conseillers-rapporteurs ont été lus.
La décision de la Cour constitutionnelle est attendue dans l'après-midi de ce jeudi 23 mai.
A.AA
Les responsables Afrique Air France ont présenté à la presse ce mercredi 22 mai 2019, les nouvelles cabines de voyage long-courrier de l'Airbus A330 pour desservir Cotonou-Paris. L'installation de ce nouveau cadre sur les vols de la compagnie vise à mieux desservir la clientèle et lui offrir un bon confort de voyage.
Selon la directrice Bénin-Togo de Air France KLM, Christine Quantin, la compagnie offre une nouvelle expérience de voyage en cabines Business (36 sièges), Premium Economy (21 sièges) et Economy (167 sièges).
Au Directeur régional Afrique de l'Ouest, Jean-Luc Mévellec de renchérir que ces nouvelles cabines dédiées aux vols long-courrier de l'Airbus A330 de la compagnie, sont totalement repensées pour plus de confort. Que ça soit en classe Business, Premium Economy et Economy, un nouveau confort est offert aux clients.
15 appareils seront entièrement revisités d'ici à 2020. Selon le Directeur général Afrique de Air France, Frank Legré, c'est avec un investissement de plus de 140 millions d'euros que le groupe a décidé de rénover tout le confort. Il explique que le nouveau siège Business, adapté aux dimensions de l'Airbus A330, garantit un voyage sans égal. Il fait une description de la cabine avec ses nouvelles réformes. "Redessiné dans son ensemble, il se transforme en véritable lit totalement plat de 2 mètres de long et 57,1 cm de large pour traverser les fuseaux horaires sans fatigue. Seul ou en duo, cette nouvelle configuration s'adapte à tous les besoins", explique Frank Legré.
Selon le Directeur général de Air France Afrique " Les clients bénéficient à la fois d'une plus grande convivialité et d'un moment de partage ou d'une intimité préservée grâce à une paroi coulissante. Les halos lumineux viennent souligner les détails de la nouvelle harmonie de la cabine Business où priment le cuir et l'accent, symbole d'Air France". Aussi souligne-il de la disponibilité d'un tout nouvel écran tactile HD, des toilettes, inspirées de l'univers cosmétique, et le bar libre-service. Pour ce qui est du Premium Economy, le confort est totalement repensé pour l'Airbus A330 avec de l'espace supplémentaire. Il précise que les mousses du siège, plus moelleuses, et des accoudoirs en cuir, plus généreux, ont aussi été revisités. Chaque passager bénéficie d'une prise et de deux ports USB individuels ainsi que d'une large sélection de divertissements.
En classe Economy, le Directeur informe qu'il y a davantage d'espace entre les accoudoirs, une mousse ergonomique renforcée et une inclinaison à 118° pour le siège, un écran tactile HD en 16/9 de 11,6 pouces plus grand et de dernière génération.
Le Directeur explique que pour un voyage toujours plus confortable, les accessoires sont revisités. Aussi indique-t-il que le siège Economy dispose d'une prise électrique et d'un port USB qui permettent à chaque client d'utiliser leurs appareils électroniques.
Avec l'Airbus A330, c'est aussi un voyage connecté. Trois pass Wi-Fi au choix sont offerts aux passagers. Il y a le pass « Message » gratuit. Ceci permet aux clients d'envoyer et de recevoir gratuitement des messages depuis leurs applications favorites via leur Smartphone ou tablette durant tout le vol. Le second est le pass « Surf »
Qui offre la navigation sur internet et de consulter ou d'envoyer des emails. Un coût tarifaire de 3 à 18 euros est facturé pour ce pass. Le dernier est le pass « Stream ». Il est disponible à bord de tous les vols long-courriers, il inclut les avantages du pass Message et du pass Surf. Le pass Stream permet de bénéficier d'un haut débit internet pour profiter du streaming et du téléchargement durant tout le vol au tarif de 30€.
G.A.
Le gouvernement réuni en session ordinaire du Conseil des ministres ce mercredi 22 mai 2019, a marqué son accord pour la création d'un fonds de soutien au financement des micros, petites et moyennes entreprises, et à la promotion de l'entreprenariat féminin. L'objectif de ce fonds est d'encourager et de promouvoir davantage l'entreprenariat des jeunes, et soutenir financièrement les micros, petites et moyennes entreprises.
Sa mise en place contribuera au développement de l'auto emploi au sein de la couche juvénile. Ce fonds aura essentiellement pour mission : l'amélioration de l'accès des couches concernées au financement à travers la diversification des outils (refinancement, capital-risque, crédit-bail et affacturage, bonification des taux, mécanismes de garanties et de cautionnement mutuel, etc) ; le développement de l'offre de services non financiers par un mécanisme à frais partagés (renforcement des capacités, assistance technique avant et après financement, amélioration de l'environnement légal et règlementaire, financement des infrastructures de base, et l'amélioration de l'offre de services financiers et non financiers aux entreprises cibles, en prestant comme guichet unique.
F. A. A.