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24 Heures au Bénin

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De la nécessité de construire une démocratie apaisée

Fri, 05/01/2020 - 13:58
Par Topanou Prudent Victor Maître de conférences de Science politique FADESP/UAC

Le Bénin peut s'honorer d'être parmi les rares pays de l'Afrique noire francophone à avoir conduit, sans interruption depuis trente ans (1990-2020), un processus de démocratisation. D'énormes progrès ont été faits, aussi bien sur le plan institutionnel que sur le plan du respect des droits de l'homme. Sur le plan institutionnel, plusieurs élections nationales (présidentielles et législatives) et locales (communales, municipales et locales) ont été régulièrement organisées et sur le plan du respect des droits de l'homme, une architecture institutionnelle et juridictionnelle qui culmine avec la Cour constitutionnelle a permis de faire des avancées décisives. Et pourtant, pour le Président Ousmane Batoko, qui se prononçait à l'occasion des trente ans de la conférence nationale, cette « démocratie est dévoyée » ; ce qui n'est pas totalement faux.
En effet, comment peut-on qualifier autrement, une démocratie qui fait la part belle à une conception aussi péjorative de l'Etat perçu comme un immense gâteau auquel il faut absolument accéder au moins une fois dans sa vie pour prendre sa part ? Comment peut-on qualifier autrement, une démocratie qui légitime la corruption, le détournement sans limite des deniers publics ainsi que l'absence quasi générale de conscience professionnelle et le manque de respect du bien public ? Comment peut-on en effet, qualifier autrement une démocratie qui instaure la fraude institutionnelle à chacune des élections majeures et légitime la mal gouvernance ? Comment peut-on qualifier autrement une démocratie qui repose sur une presse vacillante parce que construite sur des entreprises de presse fragiles quand il y en a, et animée par des acteurs dont pour certains, la seule vertu est ce qu'ils appellent eux-mêmes honteusement « la culture du gombo » ? Comment peut-on qualifier autrement cette démocratie bâtie autour d'un système partisan aussi structurellement faible caractérisé par l'absence de partis dominants et qui n'a jamais réussi à hisser un des siens au sommet de l'Etat ? Un système partisan laissé à l'abandon, sans financement public et dont les acteurs majeurs sont devenus les marionnettes sans boussole et financièrement dépendants des opérateurs économiques qui les financent. Comment, encore et encore, qualifier autrement cette démocratie sans conviction, sans militantisme, sans formation, sans travail programmatique et dans laquelle la transhumance, à coup de centaines de millions de nos francs et sous tous les prétextes, est devenue le sport favori des principaux acteurs (présidents de partis, députés, maires et autres) et l'achat de conscience, celui des électeurs qui vendent leur voix au plus offrant : oui, cette démocratie-là est bel et bien dévoyée.
Mais, autant nous partageons le constat de la nature dévoyée de notre démocratie fait par le Président Ousmane Batoko, autant nous ne partageons pas le fait qu'il date ce dévoiement de ces quatre dernières années (2016-2020) et plus particulièrement encore, des dernières élections législatives d'Avril 2019. Dater le dévoiement de la démocratie béninoise de 2016, voire de 2019 ainsi qu'il le fait, c'est manifester à l'évidence une complaisance coupable à l'égard des dévoiements successifs observés depuis 1991 et non exhaustivement énumérés ci-dessus. C'est aussi et surtout oublier que le Président Ousmane Batoko a fait partie en 2019 du collège des Présidents des Institutions républicaines qui avait validé la poursuite du processus électoral pourtant déjà qualifié, à ce moment-là, d'exclusif. Pour notre part, nous considérons que la démocratie béninoise a été dévoyée dès 1991 quand, à l'unanimité, un silence coupable a été organisé autour de la question du financement public de la vie politique, laissant ainsi la place au financement privé conditionnel et toutes les conséquences prévisibles et imprévisibles qui en découleraient. Ce dévoiement s'est poursuivi en 1995 avec les premières législatives au cours desquelles, pour la première fois, l'argent a joué un rôle déterminant dans l'achat de conscience des électeurs. Depuis lors, rien n'a été fait pour enrayer cette dérive ; au contraire, de complaisances coupables en compromissions dangereuses, la situation s'est détériorée et s'est empirée au point d'atteindre son paroxysme avec l'élection présidentielle de 2016.
C'est pourquoi, ce qui nous reste à faire, aujourd'hui, c'est de nous mettre ensemble pour affronter les principaux défis qui se dressent encore devant nous pour au moins les trente prochaines années. Il nous semble que l'un de ces principaux défis, c'est celui de faire un saut qualitatif qui nous fasse passer d'une démocratie dévoyée à une démocratie apaisée. Pour ce faire, il nous faut remettre le débat intellectuel à sa place dans la société (i), extirper du discours politique toute forme de violence verbale qui, bien souvent, prépare le terrain à la violence physique et symbolique (ii) et améliorer le travail de l'opposition (iii).

(i) La politisation excessive du débat intellectuel

Le drame actuel du débat intellectuel au Bénin, c'est qu'il est pris en étau par le politique. Quand un intellectuel prend une position en faveur d'une action du gouvernement en place, même avec une objectivité irréprochable, il est immédiatement vilipendé par la classe politique de l'opposition et ses sbires et traité de tous les noms d'oiseaux ; on lui dénie même le droit d'être simplement ce qu'il est. De même quand il prend position contre une action du gouvernement, ce sont les partisans du régime qui le prennent immédiatement à parti, avec la même violence. Un intellectuel ne peut être confiné dans une structure partisane ; c'est le rôle des partisans ; un intellectuel doit pouvoir dire ce qui est bien et ce qui est mal aussi bien dans le fonctionnement de l'opposition que dans celui de la mouvance : ne pas l'accepter est tout simplement sectaire et cette attitude du politique crée un climat de peur qui finit par faire démissionner les intellectuels de leur responsabilité première, celle de produire du savoir pour faire avancer la société. Aujourd'hui, nombreux sont les universitaires qui préfèrent protéger leur vie privée en n'existant pas dans l'espace public plutôt que de vouloir exister et exposer leur intimité, leur vie privée et celle de leurs familles aux senseurs, aux grands moralisateurs et aux donneurs de leçons auto-proclamés. C'est bien dommage et c'est une grosse perte pour notre pays car, un débat intellectuel apaisé animé par tous ces intellectuels tapis dans l'ombre et qui ont tant à apporter aurait été d'une grande utilité pour vivifier notre démocratie et son débat politique.
C'est vrai aussi que le Peuple Béninois a une grande qualité qui est que nous sommes un Peuple très cultivé mais nous avons aussi un vilain défaut qui est que nous manquons souvent d'humilité. Par notre qualité, nous finissons par penser que nous avons le droit de prendre part, sans retenue, à tous les débats, de quelque nature que ce soit y compris même ceux pour lesquels nous n'avons pas le background nécessaire : nous avons une opinion sur tout ou presque et nous avons la critique facile. Nous nous improvisons gouvernants, intellectuels et spécialistes et surtout, nous pensons que nous sommes meilleurs à ceux qui pourtant, sont des spécialistes et dont parfois la réputation dépasse nos frontières. Et par notre défaut, nous finissons par prendre nos convictions de généralistes pour des certitudes de spécialistes.
Cela s'observe aujourd'hui encore avec les débats sur le Covid-19. Alors qu'il s'agit avant tout d'un débat de spécialistes qui, eux-mêmes, font profil bas face à un virus qu'ils ne connaissent que depuis peu, on entend et on lit ici et là des avis, tous, aussi farfelus les uns que les autres, de gens qui se croient mieux à même que les gouvernants de combattre le virus. Récemment aussi, les débats soulevés autour de la conférence nationale, ses acquis et leur préservation sont restés sans réponse à l'exception de quelques posts militants et partisans faits d'attaques de personnes inutiles et stériles. Finalement, on ne saura peut-être jamais si la conférence nationale était historique ou ahistorique, pas plus qu'on ne saura peut-être jamais à partir de quel moment une société présentée comme un modèle de démocratie et servie au monde comme telle pendant une bonne trentaine d'années cesse d'être une démocratie. Il est vrai qu'en l'espèce, ces questions touchent à la responsabilité individuelle et collective des participants à la conférence nationale parmi lesquels plus de 70% du personnel politique de ces trente dernières années ont été recrutés et qu'ils n'entendent pas assumer la responsabilité des dérives actuelles de notre démocratie. Outre la dépolitisation du débat intellectuel, il est également nécessaire d'extirper la violence verbale du discours politique.

(ii) De la nécessité d'extirper la violence verbale du discours politique

Depuis quelques années, il est aisé de constater une montée en puissance de la violence verbale dans le discours politique béninois en lien avec l'appauvrissement du débat démocratique qui se réduit malheureusement aujourd'hui aux injures en dessous de la ceinture, à l'invention, ex-nihilo, d'histoires diffamantes sur la vie privée de certains acteurs, au colportage de fausses et malsaines nouvelles autour de la mort d'autres sans compter les querelles de personnes. Le second mandat du Président Boni Yayi marque incontestablement un tournant dans cette escalade : rien de ce qu'il faisait ne trouvait grâce devant les acteurs politiques de l'opposition. Tout le monde a encore en mémoire les phrases d'une violence rare, et inouïe du Ministre Candide Azannaï sur l'état de santé du Président Boni Yayi et sur les tradipraticiens qui l'auraient traité et mal guéri.
Il y a eu ensuite l'élection présidentielle de 2016, très certainement la plus violente de toutes les élections présidentielles de l'histoire de le jeune démocratie béninoise. Là aussi, tout le monde a encore en mémoire les torrents de boue qui ont été déversés sur le candidat Lionel Zinsou et sur lesquels nous ne reviendrons pas ici.
Aujourd'hui, comme sous le second mandat du Président Boni Yayi, ce qui est à la mode, c'est dénigrer systématiquement, avec une violence de ton toujours aussi inouïe tout ce qui est fait par le gouvernement en place ; rien, absolument rien, de ce qu'il fait ne trouve grâce devant ces professionnels de la violence verbale : c'est le « Talon-Bashing ». Il nous paraît indispensable de sortir notre démocratie de ce cycle infernal si nous ne voulons pas faire le lit de la violence physique comme on a pu le voir récemment après les élections législatives d'Avril 2019. Ceci dit, outre la vacuité du débat idéologique, il y a deux autres explications au moins à ce phénomène, la première, plus ancienne qui est d'ordre culturel et anthropologique et la seconde, plus récente qui est d'ordre technologique.
En effet, c'est depuis les années 50, à la faveur des travaux d'Abdou Tidjani-Serpos que nous savons que dans la culture et dans la langue Fongbé, la notion « d'adversité » ainsi que le mot « adversaire » n'existent pas et que seuls l'inimitié et le mot ennemi (Kin-to) existent. Pour lui, c'est ce qui expliquerait le caractère trop heurté, voire même violent des débats au sein de la société. C'est donc ce trait de culture que les acteurs politiques reproduisent dans le discours politique et qui explique, à défaut de le justifier, que la haine de l'autre soit aussi forte au point de voir certains parmi eux se réjouir des malheurs de notre pays, qu'il s'agisse de la fermeture des frontières avec le Nigéria, des défaites judiciaires devant les juridictions internationales, de la pandémie du Covid-19 ou encore des condamnations fantaisistes aussi bien de certaines organisations non gouvernementale que de certaines personnes physiques particulièrement intéressées.
Mais, si nous voulons construire une culture démocratique moderne et viable, il est impératif d'y intégrer la notion d'adversité car, nous pouvons être des adversaires sans être nécessairement des ennemis et nous pouvons nous disputer le matin au nom de l'adversité politique et nous retrouver le soir pour partager des moments de convivialité parce que nous ne sommes pas des ennemis : c'est le fondement de la tolérance en politique. Le Bénin un et indivisible a vocation à l'éternité tandis que les gouvernants passent et ils ont vocation à la temporalité. Rien, absolument rien, ni même la haine de l'autre ne saurait justifier que certains d'entre nous jubilent, voire jouissent face aux difficultés de notre pays.
En ce qui concerne la seconde explication, il faut dire que le phénomène de la violence verbale dans le débat public s'est amplifié ces dernières années grâce à l'utilisation à grande échelle des réseaux sociaux. En effet, c'est grâce aux réseaux sociaux, qu'une multitude d'acteurs anonymes et incontrôlés, aux intérêts souvent divergents, voire contradictoires ont fait leur apparition dans le débat public et aucune loi punitive ni même les quelques procès retentissants ne sont arrivés, pour l'heure, à freiner le phénomène. Outre le débat intellectuel et l'extirpation de la violence dans le discours politique, il est important dans la perspective d'une démocratie apaisée de travailler également à améliorer le travail de l'opposition.

(iii) De la nécessité d'améliorer le travail de l'opposition

Il faut rappeler, fort opportunément, qu'une démocratie moderne, c'est également un débat d'idées de qualité entre une majorité au pouvoir et une opposition qui aspire à conquérir le pouvoir, à le gérer et à le conserver.
En effet, s'opposer en démocratie, ce n'est pas seulement critiquer et rejeter de façon systématique la politique menée par la majorité au pouvoir. Certes, il est normal que l'opposition critique la politique gouvernementale, voire même qu'aucune des actions du Gouvernement ne trouve grâce devant elle.
Mais, s'opposer en démocratie, c'est également, une fois la critique passée, proposer des solutions différentes en vue de l'élaboration d'une politique alternative : c'est en cela que réside la noblesse de l'opposition. Au total, s'opposer en démocratie c'est, d'une part, critiquer la politique gouvernementale et, d'autre part, proposer une politique alternative.
Or, il faut bien admettre que ce n'est pas ce que l'on observe depuis 1991 dans la démocratie béninoise : depuis 1991, aucune opposition n'a été élue sur la base d'un programme alternatif, ni à une présidentielle, ni à des législatives ni même à des communales et à des locales. Et c'est à défaut d'avoir un programme alternatif à proposer que les acteurs politiques finissent par penser qu'il suffit d'injurier et de diaboliser les gouvernants en place pour prendre leur place.
Au total, nous avons tous intérêt à travailler collectivement à l'amélioration de notre culture démocratique et en particulier sur ces trois chantiers : il y va de sa survie.

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6 morts et des blessés dans une attaque à Kétou

Fri, 05/01/2020 - 13:00

Des morts et des blessés graves dans une attaque meurtrière ce vendredi 1er mai 2020 à Woroko, commune de Kétou.

« Les peuls ont profité de la nuit profonde au moment où le village dormait et sont venus abattre froidement nos gens », a confié le maire de la commune de Kétou, Théophile Déssa, joint au téléphone à l'ABP.

L'attaque perpétrée au petit matin a fait 06 morts, et des blessés graves dont un agent de la police républicaine. Selon la même source, la tension dans cette localité et celles environnantes est vive depuis plusieurs jours. Les éléments de la police républicaine ont dû monter la garde pour assurer la sécurité des habitants du village.

Pour le maire, il ne s'agit pas d'un affrontement. « Ce n'est pas un affrontement. Si c'était un affrontement, un peulh au moins serait atteint », a-t-il notifié à l'Abp. Les motifs réels de cette attaque ne sont pas encore connus.

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Le message du Président de la Haac aux organes de presse

Fri, 05/01/2020 - 06:12

Le président de la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC), Prosper Moretti a adressé un message à la presse, à la veille de l'ouverture de la campagne électorale pour les élection communales et municipales de 2020.
Par son message, Prospère Moretti a invité les radios et les télévisions, seuls canaux de couverture, a fait un travail professionnel en toute impartialité.

(Lire l'intégralité de son message)

MESSAGE A LA PRESSE DU PRESIDENT DE LA HAAC, A LA VEILLE DE LA CAMPAGNE ELECTORALE DES COMMUNALES DE 2020

– Mesdames et Messieurs les Présidents des associations faîtières de la presse béninoise ;

– Mesdames et Messieurs les professionnels des médias ;

– Mesdames et Messieurs ;

La campagne pour l'élection des Conseillers communaux, quatrième mandature démarre le vendredi 1er mai 2020 à 00 heure. Compte tenu de la crise sanitaire liée au coronavirus, notre cher pays le Bénin, a opté pour une campagne exclusivement médiatique. Je voudrais ici et maintenant saluer les initiatives du gouvernement et de son
chef qui gèrent cette crise avec méthode, célérité et réalisme. Je voudrais aussi, au nom des Conseillers de la HAAC et en mon nom propre, saluer le chef de l'état pour la confiance placée en notre Institution et pour les grands efforts matériels et financiers consentis pour l'organisation de cette campagne exclusivement médiatique.
La HAAC depuis cette historique décision et prenant la mesure de l'enjeu, a rendu plusieurs décisions relatives à la campagne électorale. Je voudrais citer
entre autres, la Décision 20-021 du 21 avril 2020 portant sélection des radios et télévisions devant participer à la campagne médiatique des élections
communales de l'année 2020 et la Décision 20-022 du 22 avril 2020 portant
réglementation de la campagne médiatique pour les élections communales de
l'année 2020.

Chers professionnels des médias,
La Décision 20-022 du 22 avril 2020 de la HAAC, suscitée établit clairement les
exigences qui vous incombent. La HAAC fait obligation aux acteurs de la presse
d'observer une grande rigueur dans la collecte, le traitement, la programmation
et la diffusion de l'information. L'accès égalitaire aux médias, des partis
politiques qui prennent part aux élections communales est une priorité. Les meetings et les manifestations politiques étant proscrits, la HAAC recommande de respecter strictement les grilles de programmes communiquées.

Mesdames et messieurs,
Les élections communales restent délicates et sensibles car ce sont des élections de proximité. Les dérapages et le manque de professionnalisme peuvent être la source de maux incalculables. Nous voulons des radios et des télévisions au
service de la diversité afin que nos acquis démocratiques connaissent chaque jour un peu plus une splendeur inaltérable.

Chers acteurs des médias,
Mon souhait le plus ardent est que vous permettiez aux partis politiques dans le
respect des décisions prises, de délivrer leurs messages qui renseignent sur leur
vision du développement local, et qui participent au renforcement de notre
démocratie et de la paix sociale.
Nous vous exhortons à ne pas vous laisser prendre au piège de la propagande. Les règles d'éthique et de déontologie doivent être les piliers de votre engagement afin que la concorde nationale soit préservée. Pour accomplir cette mission républicaine nous devons travailler avec enthousiasme et dévouement afin que le défi de la campagne électorale exclusivement médiatique fasse école en Afrique et ailleurs.

Vive les médias au service du développement !

Vive la HAAC !

Vive le Benin !

Que Dieu nous bénisse !

Je vous remercie.

Categories: Afrique

Un individu arrêté pour usurpation d'identité de Valentin Agon

Fri, 05/01/2020 - 06:03

Un homme séjourne en prison pour usurpation d'identité de l'inventeur de l'Apivrine Dr Valentin Agon. Il a été arrêté par la police à Zakpo, dans la commune de Bohicon

Selon les informations, l'individu a été arrêté alors qu'il se préparait à vendre un faux produit Apivrine à un ressortissant nigérian pour un montant de 6 millions FCFA.
Dr Valentin Agon a notifié dans un communiqué rendu public dans la matinée de ce jeudi 30 avril, que des bandits usurpent son identité pour tromper et escroquer la population. « Ils créent des pages, des comptes sur des réseaux sociaux comme Facebook, WhatsApp et autres avec ma photo pour tromper et escroquer la population. Jamais moi Valentin Agon ne vous demanderai de l'argent ! », a-t-il indiqué.
« La police béninoise est déjà saisie à cet effet et plusieurs de ces escrocs et cybercriminels sont déjà arrêtés. Tout auteur de ces actions criminelles et cybercriminelles sera puni. », a-t-il affirmé.
Le chercheur a aussi dénoncé le sabotage de son produit. « Il nous a été donné de constater que des individus mal intentionnés, de véritables cybercriminels écrivent des mensonges, de véritables papiers hygiéniques, des articles chiffons polluant les réseaux sociaux en déclarant que Apivirine est rejeté. Tout cela dans le but de dénigrer et le produit et son promoteur Dr Valentin Agon », déplore-t-il.
Mis au point au Bénin par Valentin Agon, l'Apivirine est un antiviral et antirétroviral. Le chercheur a déclaré que son médicament a été testé sur des malades de Covid-19 au Burkina-Faso avec un résultat satisfaisant. Un essai clinique devrait avoir lieu au Burkina et au Bénin afin d'évaluer l'efficacité du produit dans le traitement de la maladie. Depuis quelques jours, certains individus par des écrits ont prétendu que Apivirine est rejeté par les autorités sanitaires.

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Le message de la Présidente de l'UDBN diffusée ce vendredi

Thu, 04/30/2020 - 23:35

La campagne électorale pour les communales 2020 qui démarre ce 1er mai sera exclusivement médiatique. Le parti Union démocratique pour un Bénin (UDBN) de l'honorable Claudine Afiavi Prudencio passe en première ce vendredi sur toutes les chaînes de radio et de télévision nationales.
Selon le planning de la HAAC, la première diffusion du message de lancement de campagne du parti UDBN est programmée ce vendredi à 6h00, 13h30 et à 20h30.

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Voici en images le projet de l'Autoroute Carrefour Sème -Porto Novo

Thu, 04/30/2020 - 19:14
Voir en ligne : x7tmm05
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Boni Yayi fait des suggestions au FMI

Thu, 04/30/2020 - 18:49

L'ancien président du Bénin Thomas Boni Yayi a évoqué dans une tribune publiée ce mercredi 29 avril 2020, sur le site du journal ‘'Le Monde'', deux défis à relever pour soutenir la riposte à la crise du coronavirus en Afrique. Il s'agit des solutions pour la relance de l'économie.

Selon l'ex-chef d'Etat Boni Yayi, il faut des solutions économiques adaptées à l'Afrique. « Je pense qu'il y a essentiellement deux défis à séparer », a-t-il souligné.
Le premier défi est la mobilisation des nouvelles ressources pour le financement de la riposte à la crise du virus et ensuite celui de l'annulation de la dette de l'Afrique dans le cadre d'un partenariat stratégique sans entamer l'attractivité du continent.
Boni Yayi propose que le FMI, « au-delà de la première assistance déjà distribuée à quelques Etats africains, émette des droits de tirage spéciaux [DTS, l'actif de réserve international du Fonds], à hauteur de 114 milliards d'euros qui correspondent aux besoins du continent africain ».
Pour lui, « cette assistance du FMI à travers l'émission de DTS, peut être prise en charge par les banques centrales telles que la FED, la BCE, la Banque centrale du Japon, la Banque centrale de Chine, décidées à appuyer les Etats africains pour juguler cette crise du Covid-19 ».

Des exigences en matière d'investissements

Elles sont entre autres : la modernisation des infrastructures hospitalières, les mesures de précaution, les traitements, la formation et les compétences du personnel hospitalier, sans oublier la protection sociale des citoyens, la relance économique, la stabilité des prix et la résorption du chômage.
Pour la seconde requête d'annulation, l'ancien Chef de l'État estime que cela mériterait probablement des négociations à trois niveaux à savoir : au niveau des institutions multilatérales, au niveau des Etats et au niveau du secteur privé.
L'ancien président de la République suggère « une émission en urgence de droits de tirages spéciaux par le FMI en faveur de l'Afrique, ce qui implique déjà les principaux contributeurs des ressources du FMI ».
« Seule une gestion véritablement solidaire et coordonnée au niveau mondial de cette crise sanitaire peut sauver l'humanité. Nous ne sommes plus à l'étape des promesses. Il faut arrêter l'hécatombe à laquelle nous assistons tous les jours et relancer les activités économiques », a conclu Thomas Boni Yayi

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Deux individus interpellés par la police

Thu, 04/30/2020 - 18:39

Dans le cadre de la lutte contre le coronavirus, le gouvernement a mis à la disposition des citoyens le centre d'appel Covid-19 joignable au numéro vert 136. Mais certains citoyens émettent des appels fantaisistes sur le numéro. Deux individus ont été interpellés ce mercredi 29 avril 2020 par l'Office Central de Répression de la Cybercriminalité (OCRC). Ils seront présentés au Procureur de la République.

Le gouvernement béninois via son site officiel informe que « le centre d'appel Covid-19 Bénin joignable au numéro vert 136 appels gratuits 24h sur 24 et 7 jours sur 7, est un support de traitement et de gestion des requêtes liées au dépistage, à la prise en charge, à l'isolement, aux signalements, aux questions diverses relatives au Coronavirus (Covid-19) au Bénin ».
« Les personnes qui émettent des appels fantaisistes sur les numéro vert subiront les rigueurs de la loi parce que compromettant la gestion efficace de la pandémie du Coronavirus au Bénin. », avertit le gouvernement.

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Les agents auteurs de violence sur conducteur de taxi moto identifiés

Thu, 04/30/2020 - 16:00

Les agents de sécurité qui ont brutalisé un conducteur de taxi-moto et sa cliente ont été identifiés a-t-on appris ds sources officielles.

En effet, une vidéo montrant des forces de sécurité faisant usage de leur matraque face à un conducteur de taxi-moto et sa cliente a fait le tour des réseaux sociaux. Des images violentes qui ont suscité divers commentaires et ont nourri de vives réactions. Très rapidement, les autorités se sont saisis de l'affaire et une information vient d'être publiée dans ce sens.
"Les agents en uniforme vus dans une vidéo de répression d'un conducteur de taxi-moto et sa cliente sont déjà identifiés. Cette inadmissible violence sera punie avec la dernière rigueur."
Voilà une réaction officielle qui vient rétablir la justice et mettre fin aux nombreuses réactions.

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Des policiers seront punis avec la dernière rigueur

Thu, 04/30/2020 - 15:39

Les agents en uniforme qui ont matraqué un conducteur de taxi moto et sa cliente dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux sont identifiés. Ils seront punis avec la dernière rigueur, selon la hiérarchie policière.

Dans une vidéo publiée mercredi sur les réseaux sociaux, on voit des agents en uniforme donnant des coups de matraque à deux citoyens : un conducteur de taxi moto et sa cliente. Cette dernière ne s'était pas protégée avec un masque facial. « C'est assez indigne et écœurant de voir des fonctionnaires de la Police républicaine dans cette posture », a condamné le directeur général de la Police républicaine dans un communiqué.
« Ces fonctionnaires de police n'ont pas le droit de porter des coups aux citoyens », a ajouté Soumaila Yaya.
Déjà identifiés, les agents, « auteurs de cette inadmissible violence seront punis avec la dernière rigueur », promet le directeur général de la Police républicaine.

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Candide Azannaï désapprouve l'acte

Thu, 04/30/2020 - 15:01

Une vidéo montrant des forces de sécurité faisant usage de leur matraque face à un conducteur de taxi-moto et sa cliente a fait le tour des réseaux sociaux. Ces images violentes ont suscité divers commentaires et ont nourri de vives réactions.

Si pour les uns, les forces de l'ordre son dans leur rôle et à des moments donnés sont obligés de faire usages de leur outils de travail ( la matraque), certaines personnes s'y opposent catégoriquement et s'indignent.
Candide AZANNAÏ n'est pas resté à la marge, il fait partie de ceux qui pensent que les forces de l'ordre n'ont pas le droit de brutaliser les populations.
« Aucun agent de police, des forces de sécurité, des forces armées n'a le droit de porter des coups à aucun citoyen. Les agents en uniforme de la République auteurs de cette inadmissible violence et brutalité doivent être identifiés et punis avec la dernière rigueur », s'est-il indigné.
Pour lui, ce sont des scènes barbares du genres qui occasionnent des suites fatales, invalidantes et souvent meurtrières aux citoyens paisibles contraints à la débrouillardise pour résister à la précarité inhumaine devenue le lot quotidien sous le pouvoir dit de la rupture.
« Aucun prétexte ne peut justifier des bestialités du genre. Faire irruption devant un taxi-moto et le rouer de matraques ! Et frapper à plusieurs reprises les mains à une dame en pleine rue ! », regrette t-il.
« Qui a appris cette imbécillité à ces agents ? », s'est il interrogé avant de condamner cette forme de répression. « Je condamne avec la dernière rigueur cette approche de l'organisation de violence et de la brutalité répressive contre les populations ».

Aux dernières nouvelles, le site du gouvernement annonce en flash info que "Les agents en uniforme vus dans une vidéo de répression d'un conducteur de taxi-moto et sa cliente sont déjà identifiés. Cette inadmissible violence sera punie avec la dernière rigueur."
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03 adolescents retrouvés morts noyés

Thu, 04/30/2020 - 14:37

Trois corps sans vie ont été retrouvés ce mercredi 29 avril 2020 à la surface d'un cours d'eau à Tourou, dans la commune de Parakou.

Selon Frissons radio, les trois victimes sont des adolescents de 11 ans, 14 ans et 16 ans. Disparus depuis le mardi 28 avril, les parents ont recherché leurs enfants en vain.
Les trois corps sans vie ont été retrouvés ce mercredi 29 avril à la surface d'un cours d'eau à Tourou.
Sur instruction du procureur de la République près le tribunal de Parakou, les corps repêchés ont été examinés et remis aux parents pour inhumation. Leur mort serait due à un noyade.

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L'UDBN, 1er parti en positionnement de femmes

Thu, 04/30/2020 - 14:23

Pas d'amélioration du taux des femmes conseillères communales en dépit des sensibilisations, de plaidoyers des organisations non gouvernementales et autres structures de la société civile. Selon le rapport de Social Watch pour ces élections communales et municipales, seules 1.711 femmes sur 18.150 sont positionnées par les formations politiques en compétition, soit 9,43% des candidatures titulaires et suppléantes. Parmi les partis en lice pour le scrutin du 17 mai prochain, l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) de Claudine Afiavi Prudencio est au premier rang pour avoir positionné plus de femmes sur sa liste.

Les cinq partis en compétition pour les élections communales et municipales du 17 mai prochain ont déposé chacun à la CENA une liste de candidature composée de 3.630 candidats, soit 1815 titulaires et 1815 suppléants. Ce qui fait au total 18.150 personnes inscrites sur les 05 listes.
Selon les données statistiques de Social Watch Bénin, sur le total de 18.150 candidats, 1.711 candidatures sont féminines (9,43 %) contre 16.439 candidatures masculines (90,57 %).
Des 9.075 titulaires sur les listes, le nombre de femmes est de 720, soit 8 %. En ce qui concerne les suppléants, le pourcentage de femmes est de 11 %, soit 989 femmes contre 8.086 hommes (89 %).
L'UDBN de l'honorable Claudine A. Prudencio est le premier parti qui a positionné plus de candidatures féminines par rapport aux autres. Le PRD se classe en deuxième position tandis que BR occupe le dernière place.
Les données se présentent comme suit : UDBN (489) ; PRD (421), UP (300) ; FCBE (254) et BR (247).
Depuis l'avènement de la décentralisation au Bénin en 2002, le taux de femmes conseillères n'a jamais dépassé 5%. Le taux de femmes de la mandature sortante (2015-2020) est de 4,45 %.

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Les présidents d'institutions préoccupés par la lutte contre le Covid-19

Thu, 04/30/2020 - 14:22

Les présidents des institutions de la République ont tenu ce mercredi 29 avril, une rencontre à Porto-Novo au siège de la Cour suprême. Les discussions ont porté sur la lutte contre le coronavirus au Bénin.

Selon le président de la Cour suprême Ousmane Batoko, coordonnateur des responsables des institutions de la République, la séance s'est tenue autour de trois points.
Les présidents ont dans un premier temps examiné les mesures prises par le gouvernement pour lutter contre la propagation du Covid-19 au Bénin. « (…) nous avons apprécié à leur juste valeur, lesdites mesures et en avons profité pour féliciter le gouvernement de la qualité de cette initiative qui a été prise et qui, semble-t-il, fait école dans la sous-région », a affirmé Ousmane Batoko.
Au second point les chefs d'institutions ont partagé leurs expériences de fonctionnement de leurs structures durant cette période de sécurité sanitaire. Le but est de « voir les bonnes pratiques de chaque institution et pouvoir les partager pour faire en sorte que l'administration des différentes institutions continue de fonctionner ».
Dans le cadre de la lutte contre la pandémie du Covid-19, le Bénin a reçu des dons financiers et des milliers de matériels et équipements médicaux des personnes morales et physiques. Les présidents des institutions ont décidé dans leur troisième point « d'accompagner le gouvernement, suivant ainsi les initiatives que des personnes privées et morales ont eu à prendre ».
Le président de la Cour suprême Ousmane Batoko a au nom de toutes les institutions appelé le peuple béninois à la vigilance et au respect des mesures prises par le gouvernement.
La rencontre a été initiée par le président Ousmane Batoko au siège de la Cour suprême. Elle a réuni les présidents des institutions telles que : Louis G. Vlavonou de l'Assemblée nationale, Joseph Djogbénou de la Cour Constitutionnelle, Marie-Cécile de Dravo Zinzindohoué de la Haute Cour de justice, et Tabé Gbian du Conseil économique et social (CES).

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Le gouvernement instaure un protocole thérapeutique

Thu, 04/30/2020 - 11:44

Dans une note circulaire en date du mercredi 29 avril 2020, le ministère de la santé informe de l'instauration d'un protocole thérapeutique spécifique pour la protection des groupes cibles.

Cette option prise par le gouvernement béninois est due à la recrudescence de cas de Covid-19 en rapport avec la stratégie de dépistage systématique des groupes cibles. « Cette situation nous met de plus en plus dans un contexte de groupes cibles exposés », explique le ministère de la santé.
C'est donc dans le but d'assurer une réponse énergique à la situation épidémiologique actuelle et sur la base de la valeur prédictive négative des tests diagnostiques, des avis scientifiques, des résultats thérapeutiques déjà obtenus et dans une approche de santé publique que le gouvernement a opté pour l'instauration d'un protocole thérapeutique spécifique afin de protéger les groupes cibles.

« Le schéma thérapeutique contenu dans ce protocole opérationnel standard doit être institué dans le respect strict des contre-indications relatives et absolues de la chloroquine notamment les rétinopathies, les déficits en G6PD, les hypersensibilités connues au 4-aminoquinoléines et les troubles du rythme cardiaque documentés », souligne la note circulaire.
La mise sous traitement présomptif ou prophylactique « ne doit en aucun cas être un prétexte pour ne pas respecter les prescriptions d'isolement et les mesures barrières prescrites ». Il s'agit notamment du lavage régulier des mains à l'eau et au savon ; le port systématique et obligatoire de masque facial ; le respect de la distanciation physique d'au moins un mètre avec ses proches ; la toux et l'éternuement dans le creux du coude ou en se couvrant le nez et la bouche avec un mouchoir.
Chaque responsable de service de santé est tenu de veiller à l'application des dispositions dans le respect strict des règles éthiques et déontologiques.

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L'UDBN adhère aux préoccupations sociales des populations

Thu, 04/30/2020 - 09:36

L'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) prépare activement les campagnes électorales pour les prochaines élections municipales et communales 2020. Avec un programme élaboré est autour des préoccupations sociales des populations, l'Udbn entend mener ses actions politiques de commun accord avec les populations à la base pour un développement harmonieux.

De main ferme, l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) tient son rendez vous pour le scrutin du 17 mai prochain et fait la course de champion. Sur le support de son idéologie, le parti de Claudine Afiavi Prudencio compte miser au chapitre de la campagne électorale qui s'ouvrira dans moins d'une semaine, sur une stratégie de proximité fondée sur les attentes et les préoccupations des populations. Pour une quête efficace de l'adhésion populaire pouvant donner à ses représentants des les 546 arrondissements, des allures de candidats du peuple, l'UDBN a fondé son projet de société sur les besoins spécifiques de chacune des 77 communes du Bénin.

Toutes les communes ont enclenché leur processus de pleine urbanisation depuis que la décentralisation est en marche et les populations sont de plus en plus exigeantes. Contrairement aux autres partis politiques empêtrés dans la rengaine des habituels discours, l'UDBN a travaillé sur les leviers efficaces pour apporter des réponses majeures aux citoyens des localités qui seront conquises et des défis auxquels ces dernières sont confrontés. Insuffisance ou même défaut des services de base, insécurité rampante, insalubrité permanente, inflation de l'informel… Des déficits et des dysfonctionnements consécutifs parfois à une absence de vision et de planification stratégique.
Au cours des trois dernières mandatures de la décentralisation, la gouvernance des communes et des municipalités a broyé du noir.

Pour la nouvelle mandature, l'UDBN opte pour un nouveau paradigme de gestion des collectivités locales. Au-delà de bien planifier la gouvernance, les élus UDBN veulent faire des communes des portes d'entrée de croissance, d'inclusion sociale et économique, et de prospérité pour attirer les investissements, les talents, le commerce et l'innovation.
La maîtrise de la pollution et de la circulation, les transport en commun plus développés et les logements abordables, la gestion de la diversité économique et la sécurité foncière ; bref l'amélioration du cadre de vie figurent au fronton des priorités des candidats de l'UDBN.

À l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau, chaque localité dispose d'un projet de société spécifique même si de façon globale, l'ambition est de rendre plus dynamiques et attractives les villes ou de transformer ce qui a tout l'air encore de bourgades dans le souci de rééquilibrer et de diversifier le maillage urbain au Bénin. C'est tout simplement la preuve que le parti sous le leadership de Claudine Afiavi Prudencio en plus d'avoir le sens des préoccupations sociales, épouse le rythme du temps qui féconde ses ambitions.
En communion avec les électeurs du 17 mai prochain, elle n'attend que la récompense des urnes.

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La Fondation Abakè porte assistance au groupement "Amour du prochain"

Thu, 04/30/2020 - 09:30

La Fondation Abakè est allée porter assistance au groupement de femmes du 10 ème arrondissement de Cotonou, "Amour du prochain'' ce mercredi 29 avril 2020. elle leur a fait don de masques et vivres.

Le but de cette action sociale en cette période de la pandémie de coronavirus est d'apporter une aide significative à ces femmes regroupées au sein de l'association "Amour du prochain" et qui s'investissent dans la production locale, afin qu'elles se prennent mieux en charge mais aussi pour qu'elles puissent se protéger contre le coronavirus.
La délégation de la Fondation Abakè conduite par la coordonnatrice Chérita Walter est allée distribuée des masques de production locale et des vivres à ces femmes pour contribuer à la préservation de leur santé en ces temps où nul n'est épargné par la pandémie du coronavirus..
La coordinatrice nationale de la Fondation Abakè, Chérita Walter et le responsable en charge des médias, Abd'el Khader Achirou ont profité de l'occasion pour pour sensibiliser les femmes sur les règle d'hygiène à observer pour éviter la contamination « Il faut porter le masque partout et pendant vos activités, observer la distanciation sociale. N'oubliez surtout pas de laver régulièrement vos mains… Votre bien être et celui de votre famille, c'est tout l'intérêt de la Fondation Abakè », a fait savoir Abd'el Khader Achirou.
Toute joyeuse, la présidente du groupement ‘'Amour du prochain'', Germaine Allioli au nom de tout le groupe a remercié les donateurs pour leur sens de solidarité. Elle a prié pour la présidente de la Fondation qui n'est pas à son premier geste à leur endroit. « Elle nous a toujours soutenu »,a-t-elle précisé.
En effet, pour aider les femmes au Bénin, Abake's Foundation, fait des microcrédits et le finance des projets innovants et porteurs d'avenir. Et les femmes du Groupement Amour du prochain ont déjà bénéficié par le passé, de cet accompagnement de la Fondation présidée par Abakè Assongba épouse De Rosa.
Il faut souligner que la Fondation Abake a fait confectionner par des couturiers locaux 8000 masques, et fabriquer au Bénin des gels hydro alcooliques qui seront entièrement distribués aux personnes les plus exposées et vulnérables gratuitement.

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La liste des journaux officiellement reconnus au Bénin

Thu, 04/30/2020 - 07:00

Au terme des travaux de la 2ème session ordinaire de l'année 2018 de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (Haac), 96 journaux dont 76 quotidiens, 12 hebdomadaires, 02 bihebdomadaires, 02 mensuels et 02 bimensuels disposent d'une existence légale et peuvent exercer jusqu'à nouvel ordre, faire l'objet de revue de presse ou titres sur les antennes des radiodiffusions sonores et des télévisions installées au Bénin.
La Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication invite les directeurs de publication desdits quotidiens et écrits périodiques à faire le dépôt égal conformément aux dispositions de l'article 12 de la loi organique N°92-021 du 21 août 1992 relative à la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication et de l'article 63 de la loi N°2015-07 du 20 mars 2015 portant code de l'information et de la communication en République du Bénin.

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Ce qu'il faut savoir de l'Hôtel All Inclusive de Plm Aledjo-El Dorado

Thu, 04/30/2020 - 01:42

Le gouvernement de Patrice Talon entame la mise en œuvre d'un projet de taille visant le développement du tourisme au Bénin. Il s'agit du projet de construction d'un grand complexe Hôtelier ‘'All Inclusive'' de la zone Plm Aledjo-El Dorado.

« (...) Si ce lieu PLM Alédjo peut être le symbole de notre développement touristique, avec un complexe hôtelier extraordinaire qui va drainer des centaines, des milliers de personnes tous les ans, créer de l'emploi, créer de la richesse, nous rendrons davantage service à notre nation que de garder quelque chose en ruine », avait déclaré le président Patrice Talon en février dernier 2020, dans l'émission ‘'Le Moment politique'' à l'occasion du 30ème anniversaire de la Conférence nationale. Quelques semaines après l'annonce de la réhabilitation de l'hôtel ayant abrité les travaux de la Conférence nationale de 1990, le gouvernement a décidé de la réalisation d'un grand projet.
En Conseil des ministres du mercredi 15 avril 2020, le gouvernement a identifié la société britannique Halcyon Hospitality Advisors pour réaliser la mission de conception, de développement du plan d'affaires et d'assistance à la signature d'un accord de gestion du Grand Complexe Hôtelier ‘'All Inclusive'' de la zone du PLM ALEDJO – EL DORADO.
''All Inclusive'' ou le « Tout inclus » en français est une formule de restauration dans le secteur de l'hébergement touristique.
Le Tout inclus signifie que tous les frais sont déjà inclus dans le prix de la chambre à savoir les dépenses pour la nourriture, les boissons et autres activités annexes.
Toutefois, certains services ou activités sont presque toujours payants entre autres les soins au Spa (soins du visage, massage du corps, etc.) ; les sports nautiques motorisés, la plongée sous-marine et la connexion à Internet.
L'Hôtel peut aussi proposer aux touristes des vins et autres boissons alcoolisées importées.
La formule 'All Inclusive'' est définie selon chaque hôtelier ou voyagiste puisqu'il n'y a pas une norme internationale. C'est une formule appréciée parce qu'elle permet de maîtriser son budget.
L'ambition du gouvernement Talon est de faire du Bénin une destination touristique.
Le Bénin est l'une des meilleures destinations pour le tourisme en 2020 selon une étude réalisée par le site web Kiwi.
La poursuite des réformes engagées à travers la réalisation du grand complexe Hôtelier ‘'All Inclusive'' de la zone du PLM ALEDJO est source de création de richesse, d'emplois et de développement.

A.A.A

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DDJ

Wed, 04/29/2020 - 23:36
Categories: Afrique

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