Le Bénin en l'espace de 24 heures a connu une flambée du nombre de cas de Covid-19. Le ministre de la santé, Benjamin Hounkpatin et le directeur à la communication de la Présidence de la République, Wilfried L. Houngbédji, au cours d'une émission sur la Télévision nationale ce vendredi 08 mai 2020, ont apporté des clarifications à certaines préoccupations des populations.
Selon le directeur à la communication de la présidence de la République, on ne devrait pas s'inquiéter de l'augmentation du nombre de cas du coronavirus. Il faudra selon lui être serein.
A en croire Wilfried L. Houngbédji, les nouveaux cas confirmés ne sont pas nouveau. Ils résultent de la conséquence des personnes qui sont arrivées dans le pays et qui se sont infiltrées dans la masse sans le respect des mesures de confinement et d'auto-isolement recommandées par le gouvernement.
Ce qui est rassurant selon le directeur à la communication de la présidence de la République, c'est que ces cas étaient présents depuis, mais n'ont pas développé de signes frappants, qui amènent à soupçonner la présence chez eux du Covid-19. Il s'agit de porteurs sains.
La stratégie du gouvernement selon le directeur à la communication, c'est de ratisser large. Que l'on soit symptomatique ou asymptomatique, la stratégie du gouvernement est de « ratisser large ».
Pour Wilfried L. Houngbédji, il ne faudrait pas avoir peur. « Si ces personnes sont dans l'environnement et se portent bien, c'est dire que si on les prend en charge avant toute complication, on est certain de les guérir, a-t-il rassuré évoquant les guérisons déjà obtenues.
Rappelant les propos tenus lors d'une autre émission consacrée à la pandémie du Covid-19, le directeur à la communication a souligné que les populations béninoises doivent apprendre à vivre avec le mal du Coronavirus comme tout autre mal. « L'humanité en connaît et le Bénin fait face à plusieurs types de cas de maladies qu'il faut gérer », a-t-il confié.
Evoquant la Journée internationale de lutte contre le paludisme, il a précisé que de nombreux pays comme le Bénin avaient une stratégie de prise en charge et de distribution gratuite de moustiquaires, mais se sont abstenus de le faire à cause du Covid-19.
Contrairement à ces pays, le Bénin a mis en place une stratégie innovante de recensement digitalisé des ménages concernés, et a procédé à la distribution des moustiquaires pendant la période. Une action qui, à l'en croire, a été salué et témoigne de la capacité du pays à s'adapter aux situations, à mettre en place la stratégie pertinente pour les gérer.
Dans le cas du Coronavirus, on doit être serein et considérer que l'Etat a pris ses responsabilités en s'équipant, en mettant en place les différents laboratoires, en commandant très tôt de quoi traiter les cas.
Pour Wilfried L. Houngbédji, il n'y a aucune peur à entretenir. Il faudra selon lui, continuer à veiller, à « mettre en pratique les mesures prescrites ; et cela ne doit pas pour autant faire arrêter de vivre. L'Etat doit vivre et nous devons vivre comme nous l'avons vécu depuis toujours en affrontant certaines situations, et c'est le propre de tout Etat. Il doit triompher de ce mal », a-t-il expliqué.
Les raisons de la flambée des cas confirmés
Durant les échanges, le ministre de la santé a expliqué les raisons de la hausse observée sur le nombre de cas en l'espace de 24 heures, passant de 140 cas, à 242 cas confirmés.
Selon le ministre de la santé, le dépistage systématique d'un certains nombre de personnes et de groupes cibles explique cet état de chose. Le gouvernement a pris la mesure de dépister non seulement les groupes cibles, mais aussi « toute personne qui présente ne serait-ce qu'un signe qui soit évocateur de la Covid-19 ».
Par rapport à cette nouvelle stratégie du gouvernement, toutes les ressources humaines ont été mises en place dans toutes les communes du pays qui sont fonctionnels en termes de site de dépistage. Des laboratoires décentralisés ont été mis en place pour assurer le diagnostic en temps réel, a-t-il expliqué.
Toutes ces mesures, selon Benjamin Hounkpatin, participent à l'évolution du nombre de cas.
En termes de diagnostic, poursuit-il, le gouvernement a une stratégie qui permet d'utiliser deux tests, et qui permettent de ratisser très large.
Dans la journée de jeudi où le nombre de cas a flambée, près de 2000 tests de diagnostic rapide ont été réalisés, a informé le ministre de la santé. Prof Hounkpatin a souligné que les tests de diagnostic rapide permettent de détecter des anticorps dans le sang, de dire si à un instant ou à un autre dans le passé, la personne n'a pas été en contact avec le virus.
Sur près de 2000 tests de diagnostics rapides, 99 cas étaient positifs, a-t-informé indiquant que ces personnes à un moment donné ou à un autre, ont été en contact avec le virus.
En dehors des tests de diagnostic rapide, 1700 tests de recherches directes de virus ont été réalisés et ont conduit à l'identification de quelques cas, a précisé Benjamin Hounkpatin.
Le Bénin selon les chiffres officiels compte à la date de ce samedi 09 mai 2020, 242 cas confirmés au Covid-19, 178 sous traitement, 62 guéris et 02 décès.
F. A. A.
(Par Roger Gbégnonvi)
Entre 1914 et 1918, puis entre 1939 et 1945, on imagine, sans y avoir été, que la guerre était le sujet de conversation de tous, tous les jours et en tout lieu, comme c'est le cas aujourd'hui à propos des milliers de morts que l'humanité aura enterrés depuis février-mars 2020. Sans nullement dédouaner les deux guerres mondiales, on dira qu'elles n'ont pas poussé la cruauté jusqu'à imposer l'arrêt soudain de tout partout, et poussé des millions d'hommes, dans les deux hémisphères, à rester cloîtrés sous peine d'amende parce que l'ennemi invisible peut prendre possession de chacun et transformer chacun en une bombe tueuse et silencieuse. Comme toute guerre, les deux ci-dessus se sont conclues par la paix. Or la tragédie planétaire que nous subissons ne se conclura point par la paix puisqu'il n'y a pas guerre au sens accepté du terme. Mais les tourments actuels nous tendent, logiquement et non paradoxalement, une perche unitaire que, hélas, nous refusons d'ores et déjà de saisir, engoncés dans nos paradigmes anciens, sommaires, simplistes et tristes à mourir.
Les peuples dont on se disait qu'ils mourraient les premiers et en masse semblent attendre encore leur tour. La science aurait voulu qu'on dépêchât chez eux des ‘‘experts'' pour étudier s'ils ont développé à leur insu quelque résistance naturelle au « mal qui répand la terreur ». Cette démarche, scientifique, eût peut-être aidé les savants à créer dans leurs officines un début de médicament-barrière. Or, au lieu d'entrer en dialogue avec ses peuples non encore frappés, on les fuit au motif que, de toute façon, ils mourront par ‘‘dizaines de millions'' car c'est ce qui leur arrive habituellement et qui leur arrivera donc nécessairement.
En fait de médicaments-barrières, des tentatives existent, alignées ici dans leur ordre de présentation. L'APIVIRINE, d'origine subsaharienne, a été créé pour contrer le sida. Mais il se sera révélé possible antidote du covid-19 aussi. Dont acte. Le 20 avril 2020, le président malgache lance officiellement le COVID-ORGANICS, produit par les laboratoires de son pays à base de plantes naturelles parmi lesquelles l'ARTEMESIA, efficace, comme la chloroquine, contre le paludisme. Mais le COVID-ORGANICS est censé contrer le covid-19. Dont acte. Un président peut en cacher un autre. Juste après celui de Madagascar, celui des Etats-Unis reçoit des chercheurs de son pays, le 1er mai 2020, « l'autorisation en urgence pour le REMDESIR ». Il le présente officiellement. Sorti des laboratoires américains pour combattre la fièvre Ebola, le REMDESIR se sera révélé possible antidote du Covid-19 aussi. Dont acte.
Ces trois propositions de médicaments auraient dû faire ensemble l'objet d'une étude comparée et d'une belle synergie contre un mal aussi inconnu que dévastateur. Au lieu de ce bel élan, des scientifiques nombreux crièrent au scandale, et qu'il fallait d'abord aller au fond des choses, et qu'il fallait d'abord faire tous les essais cliniques. Pendant que les uns meurent déjà par milliers et que les autres vont bientôt mourir par millions ? L'on aura observé que la troisième proposition aura été moins brocardée par les censeurs. Leur critique contre le REMDESIR sera restée évasive et discrète. Parce que le REMDESIR serait d'origine plus noble que l'APIVIRINE et que le COVID-ORGANICS qui l'ont précédé ?
Si la réponse devait être oui, alors nous nous serons confinés et soumis aux gestes-barrières sans avoir reçu le message d'égalité et de solidarité que nous envoie le malheur qui nous frappe tous sans distinction aucune, message d'entraide mutuelle entre nous comme entre les cinq doigts d'une main qui, pour servir la nécessaire entraide, sont tous de taille différente. Créatures hautement intelligentes et conscientes, ‘'plus nobles que ce qui nous tue et qui n'en sait rien'', recevons de la tragédie planétaire la leçon de Refondation de nos vieilles vues étriquées et de nos regards fielleux fulminés sur l'autre, notre semblable.
A travers une correspondance en date du vendredi 08 mai 2020 adressée aux directeurs départementaux, le ministre des enseignements maternel et primaire donne des directives pour la réouverture des classes le lundi 11 mai 2020. Une planification des activités pédagogiques du 11 mai au 6 juillet 2020 est suggérée au regard du point d'exécution d'études fait à la fin du deuxième trimestre.
En Conseil des ministres du mercredi 06 mai 2020, le gouvernement béninois a retenu la reprise des cours le lundi 11 mai 2020 au profit des apprenants du Cours moyen 2ème année (CM2). Selon le ministre Salimane Karimou la reprise est accompagnée de l'application stricte des mesures préventives. Il s'agit essentiellement du nettoyage et de la désinfection des écoles ; du dépistage systématique et progressif des enseignants avec une priorité des enseignants des classes du CM2 ; du lavage obligatoire des mains avec l'eau et du savon selon les périodes de la journée (le matin à l'arrivée à l'école, avant les récréations, au retour des récréations : matin et soir et à la sortie des classe : 12 h 00 et 17 h 00).
Les autres mesures sont : l'observance de la distance de sécurité sanitaire, le port de masque de protection, la gestion des cantines scolaires et des récréations avec des mesures d'hygiène respectées par les vendeuses.
S'agissant de la gestion pédagogique des écoles, une planification des activités pédagogiques du lundi 11 mai au lundi 6 juillet 2020 est suggérée au profit des apprenants du CM2.
A.A.A
La première chambre correctionnelle de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a condamné ce vendredi 08 mai 2020, 10 personnes à des peines allant de 02 à 15 ans de prison ferme. Les personnes condamnées ont été reconnues coupables des faits d'escroquerie par voie de communication électronique, de blanchiment d'argent, de détention, d'usage, et de trafic de stupéfiants.
Selon les informations rapportées par La Nation, les mis en cause doivent payer la somme de 32 millions de francs CFA dans les caisses du Trésor public.
L'audience de la première chambre correctionnelle a été présidée par Guillaume Dossa Laly, président de la Chambre de jugement de la CRIET.
F. A. A.
Grande satisfaction pour les enseignants de la maternelle et du primaire. Le ministre Salimane Karimou, par une correspondance en date de ce vendredi 08 mai 2020 adressée aux directeurs départementaux des enseignements primaire et secondaire, et chefs de régions pédagogiques, a lancé la procédure pour le paiement de la prime de rentrée 2020-2021.
Les intéressés sont appelés à fournir au plus tard le 22 mai prochain, une attestation de présence au poste dûment signée par le supérieur hiérarchique ; une copie lisible d'un bulletin de paie récent datant de la période de février à avril 2020 ; une copie du Relevé d'identité bancaire (RIB comportant 24 caractères) du compte où est domicilié le salaire de l'enseignant.
Les dossiers centralisés par les chefs de régions pédagogiques sont attendus par les services de l'administration des finances des directions départementales des enseignements maternel et primaire au plus tard le vendredi 29 mai 2020.
Passé ce délai, les enseignants retardataires seront tenus responsables des déconvenues qui en découleraient, précise la note.
F. A. A.
Testé positif au Covid-19, le nommé Fabrice Megnizoun a bénéficié d'une prise en charge comme d'autres sujets porteurs du virus. Des jours après le succès de son traitement, il a rendu un témoignage sur sa page Facebook ce vendredi 08 mai 2020 à visage découvert.
Fabrice Megnizoun se dit heureux d'être parmi les 62 cas guéris du Covid-19 à la date du jeudi 7 mai 2020. Déclaré positif, il y a un peu plus de 16 jours, il a bénéficié d'une prise en charge adéquate.
Premièrement confie-t-il, « le Coronavirus est une maladie que vous pouvez contracter au contact de n'importe qui et souvent des personnes insoupçonnées ». Selon lui, « il n'y a donc plus de crédit de bonne foi à quelqu'un sur la simple base de sa parole ou de sa santé apparente pour baisser son niveau de vigilance ».
Fabrice Megnizoun évoque ensuite le respect des mesures barrières. « C'est là que commencent les bonnes nouvelles, l'efficacité des gestes barrières contre le Covid-19 n'est pas un mythe », a-t-il écrit.
A l'en croire, aucun des gens de son entourage, professionnel et familial, n'a été contaminé. « L'association lavage des mains, masque et distanciation sociale est et reste la seule manière de se protéger et protéger les autres », soutient-il.
Il rassure les internautes de la qualité du dispositif de prise des malades du Covid-19 au Bénin. « Dans mon cas, grâce au protocole Hydroxychloroquine + Azythromycine + Zinc, j'étais déjà négatif au 11ème jour de ma thérapie, sans avoir développé aucun symptôme grave ni signe handicapant. Loin d'être une incitation à l'auto médication, ceci est plutôt une exhortation à la confiance au corps médical ; déclaré à temps et traité convenablement on s'en rétablit facilement », a, t-il affirmé.
Pour Fabrice Megnizoun, nous sommes appelés à vivre avec, « nous en prémunir et nous soigner ; un mal dont on a les armes, on l'affronte et on le vainc ». « Il doit cesser d'être objet de psychose et de stigmatisation », soutient-il.
Le sujet désormais sain a exprimé sa profonde gratitude au gouvernement pour la qualité du dispositif de prise en charge ; au corps médical pour leur sacrifice et leur bienveillance, à sa famille, à ses proches et à Dieu.
« Contre le Covid-19, un état d'esprit optimiste est un atout précieux et une bonne hygiène de vie est un trésor inestimable. Si vous êtes en bonne santé, vous le resterez ; prenez soin de vous », conseille-t-il.
A.A.A
La polyclinique Mahouna de Cotonou est de nouveau fonctionnelle. Le personnel médical mis en quarantaine suite au décès d'un sujet porteur de coronavirus a repris service. Soumis au test de dépistage après la période de mise en quarantaine, les agents de santé ont été confirmés non porteurs du coronavirus.
La polyclinique Mahouna a rouvert ses portes le 21 avril 2020. Pas de sujet atteint du Covid-19 dans le rang du personnel médical de la clinique Mahouna. Sortis de quarantaine le 24 avril, les professionnels de la santé concernés vaquent déjà à leurs différentes occupations.
La clinique a été désinfectée après la fermeture, qui a duré à peine une semaine et les services ont repris dans le respect strict des mesures barrières.
A.A.A
Malgré leurs nombreux points de divergence, l'ancien chef de l'État Nicéphore Soglo et le président de la République Patrice Talon partagent la même vision sur l'affaire harcèlement sexuel et moral qui secoue l'ORTB depuis quelques jours.
Nicéphore Soglo a salué l'acte posé par le chef de l'État Patrice Talon en accordant une audience aux responsables de l'ORTB et la journaliste Angela Kpeidja, qui dans une déclaration, a dénoncé le harcèlement sexuel et moral dont les femmes de la télévision nationale sont victimes.
« Je suis en désaccord avec le président Talon sur tous les plans sauf sur le dossier présumé harcèlement à l'ORTB », a fait savoir l'ex chef d'État.
Pour lui, Patrice Talon en rencontrant les responsables de cet office, a pris une bonne initiative. « Il s'agit d'un acte qui rend noble la République », a-t-il souligné.
Selon le vice-président du forum des anciens chefs d'Etat et de gouvernement de la CEDEAO, les femmes ont le plein droit de faire ce qu'elles ont envie de faire. Elles sont libres de leurs corps, a-t-il soutenu.
Le président Soglo a félicité l'engagement du chef de l'État Patrice Talon à protéger les femmes dans l'administration. Pour lui, il ne faut pas abandonner les femmes quand elles sont victimes de violences ».
Exhortant les uns et les autres à s'engager dans la défense de la femme, Nicéphore Soglo estime que « ne pas le faire est une forme de discrimination et de violation des droits fondamentaux ».
C'est également « laisser un grand nombre de femmes partout dans le monde dans la peur et la douleur », a-t-il conclu.
F. A. A.
Un an après la mort du guide touristique Fiacre Gbédji, la famille du défunt reçoit un soutien financier de 6.097. 250 FCFA. C'est le préfet de l'Atacora Lydie Déré Chabi Nah qui a procédé à la remise de cette enveloppe financière ce jeudi 07 mai 2020, en présence du directeur de African Parc Network (APN) Jean Yves Kompoguè.
Selon le préfet de l'Atacora Lydie Déré Chabi Nah, l'indemnité d'assurance versée par African Parc Network s'élève à 5.000.000 FCFA et les différentes actions de solidarité au profit des ayants droit du défunt est de 1.097.250 FCFA.
L'administratrice des biens de la famille Prisca Gbédji et la mère du disparu ont remercié les donateurs pour ce geste de solidarité.
La mère de Franck Gbéji a plaidé pour l'exhumation du corps de son fils afin qu'il soit inhumé auprès des siens et dans le respect de sa tradition.
Le guide touristique Fiacre Gbédji a été retrouvé mort le 4 mai 2019 dans le parc Pendjari. Il a été enlevé avec deux touristiques français le 1er mai. Ces derniers ont été finalement libérés par les ravisseurs.
A.A.A
Le révérend pasteur Ock Soo Park anime un grand séminaire de la bible en ligne du 11 au 14 mai 2020. L'Objectif dudit séminaire est de partager avec les chrétiens du monde entier le secret de la rémission du péché et de la reconnaissance spirituelle.
Organisé avec la participation de 94 pays du monde dont le Cameroun, la Côte d'Ivoire, le Libéria, le Sénégal et le Mali, le grand séminaire est prévu pour se dérouler du lundi 11 mai au jeudi 14 mai 2020.
Le serviteur émérite de Dieu depuis plus d'un demi-siècle va servir de canal pour Dieu afin de transmettre la bonne nouvelle aux fidèles.
Le séminaire est gratuit. Vous pouvez le suivre en ligne sur Facebook, YouTube ou Mixir. Sur chacune de ces plateformes, la page de diffusion est intitulée « Good news mission WCA. »
Les heures de diffusion sont :
Matinée : 10 h30
Soirée : 19 h 30
Vous pouvez aussi suivre le séminaire sur les radios Capp Fm et Radio Tokpa suivant la programmation suivante :
Capp Fm : mardi à 16 h 00
Radio Tokpa : lundi 11 mai à 18 h00, mardi 12 mai à 18 h 30, mercredi 13 et vendredi 15 mai à 19 h 30, samedi 16 mai à 20 h 30 et dimanche 17 mai à 21 h 00.
Vous pouvez également rattraper le séminaire sur deux télévisions :
Benie Tv (Canal 198) à 11 h en matinée et 18 h en soirée.
ACTV (Satellite : Eutelsat 16A/ Fréquence : 12562 ; les matins à 11 h 30 et à 20 h en soirée.
Huit leaders chrétiens mondiaux et la KCA vont prêcher la parole de Dieu à ce séminaire.
Cliquez sur les liens suivants pour vous abonnez aux comptes de « Good news mission WCA. » afin de suivre gratuitement le séminaire.
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Le sieur Kassem Hajj de nationalité libanaise n'est plus. Il est décédé suite aux nombreux coups de poignard que ses agresseurs l'ont asséné dans la ville de Cotonou, capitale économique du Bénin.
Le sieur Kassem Hajj de nationalité libanaise n'est plus. Il est décédé suite aux nombreux coups de poignard que ses agresseurs l'ont asséné dans la ville de Cotonou, capitale économique du Bénin.
La victime renseignent nos sources, vit à Cotonou depuis plusieurs années où il a élu domicile. Il serait originaire de Sud Liban, précisément de la localité de Khrayeb. Les auteurs de son agression pour l'heure, ne sont pas encore identifiés. Une enquête est ouverte aux fins de les appréhender.
Dans le contexte actuel de la pandémie du Coronavirus, il serait difficile de rapatrier le corps au Liban.
En 2018, un autre libanais avait été victime d'agression à la Haie Vive.
Le secrétaire général de la Confédérations des organisations syndicales indépendantes (Cosi-Bénin), Noël Chadaré s'est dit inquiet par rapport aux décisions prises par le gouvernement béninois dans le cadre de la reprise des activités pédagogiques pour les élèves de CMII en Terminale dès le lundi 11 mai prochain.
« Cette décision de faire revenir tous les élèves de CMII en terminale est inquiétante », car selon le syndicaliste, il s'agit du « grand nombre ». Analysant les attroupements que cela va générer dans les salles de classe avec des effectifs pléthoriques, il estime que le gouvernement pourrait faire l'option de « de la reprise par vague ». « C'est inquiétant parce que cela pourrait affecter le travail. Cela peut être source de psychose au niveau des enseignants et des apprenants qui sont au nombre de 50 ou 60 dans les salles de classe », a insisté le SG de la Cosi-Bénin.
Tout en saluant la décision du gouvernement de maintenir les écoliers du CI au CMI à la maison jusqu'en août, il estime que ces écoliers pourrait désapprendre car, ils auront passé environ 04 mois à la maison.
Noël Chadaré a pour finir, salué certaines mesures prises par le gouvernement dans le cadre de la reprise des cours dont la distribution annoncée des masques de protection.
Un taxi en provenance de Cotonou a fini sa course dans la soirée de ce jeudi 07 mai 2020 sous un camion à la hauteur Kikparé, 500 mètres du parking de la ville de Parakou. Bilan, deux morts et des blessés graves.
Selon les témoins, le taxi en provenance de Cotonou avec trois passagers à bord tentait un dépassement lorsqu'il s'est retrouvé nez à nez avec un autre véhicule. Dans ses manœuvres, il s'est retrouvé sous le camion qu'il tentait de dépasser. Sur le choc, deux passagers sont morts. Le chauffeur et le 3ème grièvement blessés, ont été admis au CHD Borgou pour des soins. Le véhicule très endommagé. Le chauffeur du camion quand à lui a pris la clé des champs, et n'est pas retrouvé jusque là.
L'excès de vitesse selon les témoins, serait à l'origine de ce drame car le chauffeur du taxi roulait à vive allure.
Un taxi en provenance de Cotonou a fini sa course dans la soirée de ce jeudi 07 mai 2020 sous un camion à la hauteur Kikparé, à 500 mètres du parking de la ville de Parakou. Bilan, deux morts et des blessés graves.
Selon les témoins, le taxi en provenance de Cotonou avec trois passagers à bord tentait un dépassement lorsqu'il s'est retrouvé nez à nez avec un autre véhicule. Dans ses manœuvres, il s'est retrouvé sous le camion qu'il cherchait à dépasser. Sous le choc, deux passagers sont morts. Le chauffeur et le troisième passager, grièvement blessés, ont été admis au CHD Borgou pour des soins.
Le véhicule a été très endommagé. Le chauffeur du camion a pris la fuite.
L'excès de vitesse selon les témoins, serait à l'origine de ce drame car le chauffeur du taxi roulait à vive allure.
F. A. A.
Hausse du nombre de cas de sujets porteurs du Covid-19 en République du Bénin. Selon le bilan officiel à la date du jeudi 7 mai 2020, le Bénin enregistre un total de 242 cas confirmés avec 178 personnes sous traitement, 62 personnes guéries et 02 décès.
Le mercredi 06 mai le Bénin était à 140 cas confirmés. Au cours d'un point de presse cette semaine, les autoritaires sanitaires ont notifié que « l'augmentation substantielle du nombre de cas se justifie par le dépistage de masse qui a commencé dans certains groupes cibles, notamment les enseignants (dans la perspective de la reprise des cours) et les agents de santé ».
A.A.A
Avec un programme qui s'harmonise avec celui du gouvernement, la présidente de l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN), Claudine Afiavi Prudencio ne perd pas le temps. Une semaine après l'ouverture de la campagne électorale, l'UDBN s'investit dans une vaste opération de charme de ses électeurs. Tout en respectant les mesures édictées par le gouvernement en riposte à l'infection à Covid-19, le parti s'organise, mobilise, écoute et propose son idéal à ses militants et aux populations des 77 communes et 546 circonscriptions électorales du Bénin.
Et bien sûr, sur la base d'un projet de société de proximité et axé sur les défis actuels en terme de développement local, mais qui bien évidemment ne se désolidarise pas de la vision de Chef de l'Etat, Patrice Talon et de son équipe gouvernementale. Sans être sur la même ligne idéologique que les autres partis politiques soutenant l'action du Président de la République, l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) vise dans le cadre de ces élections municipales et communales, s'inscrit dans une dynamique de relais et de partage de la politique du gouvernement.
...à la veille de l'ouverture du processus électoral et dans la démarche d'une revue de troupe, le Chef de l'Etat avait reçu le bureau national de l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN). Instant d'amitié et de courtoisie politique, ce fut l'occasion pour Claudine Afiavi Prudencio de réitérer à Patrice Talon son engagement à faire triompher les valeurs et les idéaux qu'ils partagent pour le développement du Bénin. Dans le cadre de la nouvelle mandature des élus communaux et municipaux, le parti de Claudine Afiavi Prudencio compte instaurer une gouvernance plus saine tout en menant une lutte acharnée contre la dilapidation des ressources locales. La lutte contre la corruption engagée par le Chef de l'Etat depuis son avènement au pouvoir est une évidence.
En optant assurer le renforcement des capacités des élus communaux et des cadres des mairies afin de mettre fin aux cas de gestion approximative, l'UDBN s'accorde à la volonté de Patrice Talon de relever le défi de la compétence au service de l'action publique. Le parti au symbole du maïs nourricier n'est guère alors en déphasage avec le cap politique fixé par le chantre du Nouveau Départ. Selon la Présidente, les élus communaux, en raison de leur proximité et de leur contact avec la base, doivent apaiser le pays, travailler en harmonie avec les citoyens et soutenir la politique du gouvernement. L'UDBN envisage d'ailleurs traduire dans les faits, la promotion des jeunes et des femmes techniquement et moralement compétents.
La Rédaction
Troisième titulaire sur la liste de l'Union Progressiste (UP) dans l'arrondissement de Dassari (commune de Matéri) pour les élections communales prochaines, M. Datchossa Kassa a reçu dans la nuit du 6 mai 2020 des coups de machettes sur la tête et sur les bras.
Selon les informations, le candidat a été agressé par des individus dans la cour de l'EPP de Dassari à cause de son appartenance à l'Union Progressiste. L'un de ses frères serait le chef de file de cet acte barbare. La victime a été conduite en urgence à l'hôpital Saint-Jean de Dieu de Tanguiéta pour les soins.
A.A.A
Des morts et des blessés ont été enregistrés ce jeudi 07 mai 2020 dans un accident de circulation à Togon, dans la ville de Dassa-Zoumé.
La cabine d'un camion en feu a percuté un mini-bus en stationnement devant un dépôt d'essence. 07 victimes ont été enregistrées dans cet accident dont 03 morts et 04 blessés.
Ces derniers ont été conduits à l'hôpital pour les soins.
Les flammes ont été maîtrisées grâce aux sapeurs-pompiers.
A.A.A
Par une correspondance en date de ce jeudi 07 mai 2020, les centrales et confédérations syndicales ont exprimé leur volonté de rencontrer d'urgence les ministres des trois ordres de l'enseignement. La reprise des cours le lundi 11 mai prochain, est le sujet principal pour lequel les partenaires sociaux souhaitent rencontrer les membres du gouvernement pour des propositions concrètes.
Six centrales et confédérations syndicales (CSA-Bénin, CGTB, COSI-Bénin, UNSTB, CSUB, CSPIB) et la FENAPEB (association de parents d'élèves et étudiants) ne sont pas d'accord avec le gouvernement au sujet des dernières décisions prises pour la reprise des activités pédagogiques lundi prochain.
Ces partenaires sociaux souhaitent aller aux nouvelles pour mieux comprendre les raisons qui sou-tendent cette décision. Ils veulent surtout présenter leurs suggestions et apports aux autorités pour une reprise apaisée et sécurisée des activités pédagogiques dans le contexte actuel de la pandémie du Coronavirus.
F. A. A.