Le conseil des ministres s'est tenu le mercredi 16 juin 2021 sous la présidence du chef de l'Etat Patrice Talon.
Plusieurs décions ont été prises. Il s'agit de l'Adoption du décret portant attributions, organisation et fonctionnement du Secrétariat général de la présidence de la République et du décret création à la présidence de la République, d'un poste de haut-commissariat à la sédentarisation de l'élevage.
Le conseil a procédé à la transmission à l'Assemblée nationale, du document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle 2022-2024.
La nomination des membres de l'Autorité centrale en matière d'adoption internationale en République du Bénin, la Réalisation de divers travaux complémentaires à l'aéroport international de Cotonou et la Démolition des résidences universitaires KIM IL SUNG (KIS) et HASSAN II sur le campus d'Abomey-Calavi ont été décidé par le gouvernement.
Le conseil a procédé à l'Appréciation de la situation des prix des produits de grande consommation sur les marchés et à la Nomination du chef de cabinet de la Vice-présidente de la République.
M. M.
Le ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts Jean-Michel Abimbola a procédé ce mardi 15 juin 2021 à l'inauguration du Premier Centre culturel de rencontre international de l'Afrique subsaharienne, le CCRI John Smith, à Ouidah. A cette ouverture, l'artiste plasticien sculpteur Marcel Kpoho a exposé son œuvre intitulé ‘'Invisible Crime'', une représentation visuelle d'une victime d'esclavage moderne.
Une femme sans tête et sans bras, enchainée au lit dans une position très suggestive pour symboliser un acte involontaire, un crime : l'esclavage sexuel. C'est l'œuvre de Marcel Kpoho exposée dans les jardins du Centre culturel de rencontre international John Smith, à Ouidah. En proposant cette sculpture réalisée avec des pneus recyclés, l'artiste plasticien veut donner une représentation visuelle aux victimes d'esclavage moderne. L'œuvre réalisée en trois semaines cadre bien avec le thème de l'exposition permanente « Femmes et esclavage », organisée à l'occasion de l'ouverture du Centre culturel de rencontre international John Smith à Ouidah.
Selon Marcel Kpoho, le corps sans tête et sans bras évoque l'incapacité des jeunes filles et femmes victimes à se défendre. Il s'agit notamment de celles qui, à la recherche d'une meilleure vie à l'étranger sont dépossédées de leur passeport, de leur identité et se retrouvent dans l'impossibilité de revendiquer leurs droits. A travers son œuvre, l'artiste dénonce ainsi l'illusion et les fausses représentations de la vie en Europe, en Amérique que les trafiquants d'êtres humains mettent dans la tête des jeunes filles et femmes. C'est une manière de sensibiliser les jeunes filles et femmes et les amener à une prise de conscience.
CCRI John Smith, un espace convivial de rencontres et d'échanges
Le Centre culturel de rencontre international John Smith est installé sur le site de l'ancien tribunal colonial abritant les cendres du corps de John Smith petit-fils d'esclave, embarqué sur le dernier navire négrier ayant quitté l'actuel Bénin et devenu ancien maire de la ville de Prichard (Alabama). Financé par l'Association Internationale des Maires francophones, la Mairie de Ouidah et le ministère de la Culture, le CCRI John Smith regroupe un théâtre de verdure, une médiathèque, une salle d'exposition des studios de répétition et des lieux de résidences pour artistes.
« C'est vraiment une chance pour les artistes créateurs béninois et ceux de la sous-région. Ce centre va permettre plus de créations tout en promouvant les artistes », s'est confié l'artiste plasticien Marcel Kpoho.
A en croire, M Christian Houetchénou maire de la ville de Ouidah et président du Conseil d'Administration, le CCRI John Smith vise à « connecter, soutenir, accompagner et à former les acteurs du monde culturel et aussi à privilégier le contact des élèves et étudiants avec les œuvres, les artistes et le patrimoine politique et culturel ».
Initiateur du projet depuis 2011, Janvier Nougloi directeur général du CCRI John Smith se réjouit de la réalisation du projet à Ouidah après son échec à Abomey. Il n'a pas manqué de remercier le ministère de la culture pour son implication qui a facilité la signature de la convention avec l'Etat béninois. Une convention poursuit-il qui permet désormais au CCRI John Smith de bénéficier de son appui pendant cinq ans renouvelable.
Le ministre Jean-Michel Abimbola a invité les artistes bénéficiaires à prendre soin du joyau et à y jouer pleinement leur partition afin de faire de Ouidah, un des hauts lieux de la plateforme culturelle et touristique au Bénin. Il a rassuré les responsables du CCRI John Smith, du soutien et de l'accompagnement du gouvernement béninois. Avant la coupure du ruban symbolique d'inauguration, Sa Majesté Daagbo Hounon Tomandjrè Hounkpon II a béni les lieux.
Qui est Marcel Kpoho ?
Né en 1988 à Porto-Novo, Marcel Kpoho doué pour le dessin depuis sa plus tendre enfance a débuté véritablement sa carrière artistique en 2017. Peindre ou créer sont pour lui des moyens d'évasion, d'expression et de partage. Il aime que ses œuvres soient dérangeantes, vues, admirées ou critiquées. A partir de recherche sur l'être humain et son origine, il crée un concept, sa marque de fabrique qu'il nomme « le réalisme trilogique ». Il utilise le triangle pour créer des dessins ou des formes dans ses peintures. Ce dernier représente pour lui la trinité, c'est-à-dire le corps, l'âme et l'esprit. Soucieux des enjeux environnementaux et de la surconsommation, il s'engage dans le recyclage des pneus pour en faire des masques muraux, des sculptures et installations. Ses œuvres, à travers la couleur noire du pneu évoquent les mystères cachés de l'être humain, les faits de société, la culture et l'histoire.
Le ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts Jean-Michel Abimbola a procédé ce mardi 15 juin 2021 à l'inauguration du Premier Centre culturel de rencontre international de l'Afrique subsaharienne, le CCRI John Smith, à Ouidah. A cette ouverture, l'artiste plasticien sculpteur Marcel Kpoho a exposé son œuvre intitulé ‘'Invisible Crime'', une représentation visuelle d'une victime d'esclavage moderne.
Une femme sans tête et sans bras, enchainée au lit dans une position très suggestive pour symboliser un acte involontaire, un crime : l'esclavage sexuel. C'est l'œuvre de Marcel Kpoho exposée dans les jardins du Centre culturel de rencontre international John Smith, à Ouidah. En proposant cette sculpture réalisée avec des pneus recyclés, l'artiste plasticien veut donner une représentation visuelle aux victimes d'esclavage moderne. L'œuvre réalisée en trois semaines cadre bien avec le thème de l'exposition permanente « Femmes et esclavage », organisée à l'occasion de l'ouverture du Centre culturel de rencontre international John Smith à Ouidah.
Selon Marcel Kpoho, le corps sans tête et sans bras évoque l'incapacité des jeunes filles et femmes victimes à se défendre. Il s'agit notamment de celles qui, à la recherche d'une meilleure vie à l'étranger sont dépossédées de leur passeport, de leur identité et se retrouvent dans l'impossibilité de revendiquer leurs droits. A travers son œuvre, l'artiste dénonce ainsi l'illusion et les fausses représentations de la vie en Europe, en Amérique que les trafiquants d'êtres humains mettent dans la tête des jeunes filles et femmes. C'est une manière de sensibiliser les jeunes filles et femmes et les amener à une prise de conscience.
CCRI John Smith, un espace convivial de rencontres et d'échanges
Le Centre culturel de rencontre international John Smith est installé sur le site de l'ancien tribunal colonial abritant les cendres du corps de John Smith petit-fils d'esclave, embarqué sur le dernier navire négrier ayant quitté l'actuel Bénin et devenu ancien maire de la ville de Prichard (Alabama). Financé par l'Association Internationale des Maires francophones, la Mairie de Ouidah et le ministère de la Culture, le CCRI John Smith regroupe un théâtre de verdure, une médiathèque, une salle d'exposition des studios de répétition et des lieux de résidences pour artistes.
« C'est vraiment une chance pour les artistes créateurs béninois et ceux de la sous-région. Ce centre va permettre plus de créations tout en promouvant les artistes », s'est confié l'artiste plasticien Marcel Kpoho.
A en croire, M Christian Houetchénou maire de la ville de Ouidah et président du Conseil d'Administration, le CCRI John Smith vise à « connecter, soutenir, accompagner et à former les acteurs du monde culturel et aussi à privilégier le contact des élèves et étudiants avec les œuvres, les artistes et le patrimoine politique et culturel ».
Initiateur du projet depuis 2011, Janvier Nougloi directeur général du CCRI John Smith se réjouit de la réalisation du projet à Ouidah après son échec à Abomey. Il n'a pas manqué de remercier le ministère de la culture pour son implication qui a facilité la signature de la convention avec l'Etat béninois. Une convention poursuit-il qui permet désormais au CCRI John Smith de bénéficier de son appui pendant cinq ans renouvelable.
Le ministre Jean-Michel Abimbola a invité les artistes bénéficiaires à prendre soin du joyau et à y jouer pleinement leur partition afin de faire de Ouidah, un des hauts lieux de la plateforme culturelle et touristique au Bénin. Il a rassuré les responsables du CCRI John Smith, du soutien et de l'accompagnement du gouvernement béninois. Avant la coupure du ruban symbolique d'inauguration, Sa Majesté Daagbo Hounon Tomandjrè Hounkpon II a béni les lieux.
Qui est Marcel Kpoho ?
Né en 1988 à Porto-Novo, Marcel Kpoho doué pour le dessin depuis sa plus tendre enfance a débuté véritablement sa carrière artistique en 2017. Peindre ou créer sont pour lui des moyens d'évasion, d'expression et de partage. Il aime que ses œuvres soient dérangeantes, vues, admirées ou critiquées. A partir de recherche sur l'être humain et son origine, il crée un concept, sa marque de fabrique qu'il nomme « le réalisme trilogique ». Il utilise le triangle pour créer des dessins ou des formes dans ses peintures. Ce dernier représente pour lui la trinité, c'est-à-dire le corps, l'âme et l'esprit. Soucieux des enjeux environnementaux et de la surconsommation, il s'engage dans le recyclage des pneus pour en faire des masques muraux, des sculptures et installations. Ses œuvres, à travers la couleur noire du pneu évoquent les mystères cachés de l'être humain, les faits de société, la culture et l'histoire.
Le lac Ahémé est sorti de son lit depuis quelques jours du fait du débordement des eaux du fleuve Mono suite aux pluies. Les autorités communales et locales accompagnées du préfet du Mono ont visité, lundi 14 juin 2021, les populations de l'arrondissement d'Agatogbo touchées par les inondations.
Les eaux ont débordées dans une vingtaine de localités de Ouèdèmè-Pédah et de l'arrondissement d'Agatogbo, dans la commune de Comè.
Le président de la plateforme de gestion des risques et catastrophes et préfet du Mono, Bienvenu Dêdêgnon Milohin, accompagné d'une délégation composée d'autorités communales et locales est allé constater l'ampleur des dégâts pour prendre les mesures nécessaires.
Selon le point de la situation fait par le maire de la commune de Comè, Bernard Coffi Adanhokpé, à Ouèdèmè-Pédah, l'eau a pris d'assaut la voie et le ralliement de l'arrondissement ne peut se faire qu'à l'aide des pirogues déployées sur le cours d'eau ainsi formé.
A Agatogbo, l'eau s'est installée sur la principale voie qui mène à Guézin et rend impossible la traversée à pieds. « Les écoles, les habitations, les lieux de culte, sont submergées d'eau, exposant les riverains à beaucoup de risques », a alerté le maire de Comè.
La route nationale Comè-Cotonou au niveau du pont d'Agatogbo et le poste de contrôle de la douane sont également menacées par les eaux.
A Guézin, « en journée, les habitants se ruent vers la voie bitumée et à la tombée de la nuit se voient contraints de retourner dormir dans l'eau à cause de l'absence de site d'accueil », a expliqué Vincent Sowanou, chef de l'arrondissement d'Agatogbo.
Selon les populations riveraines, la fermeture de l'embouchure de Grand-Popo à Ouidah serait la cause de cette catastrophe naturelle.
Le président de la plateforme départementale de gestion des risques et catastrophes invite les populations à veiller sur les enfants en cette période de montée des eaux. Le préfet a instruit les maires aux fins d'activer les plateformes communales de gestion de risques et catastrophes sans attendre que le pire ne survienne d'abord.
M. M.
Le lac Ahémé est sorti de son lit depuis quelques jours du fait du débordement des eaux du fleuve Mono suite aux pluies. Les autorités communales et locales accompagnées du préfet du Mono ont visité, lundi 14 juin 2021, les populations de l'arrondissement d'Agatogbo touchées par les inondations.
Les eaux ont débordées dans une vingtaine de localités de Ouèdèmè-Pédah et de l'arrondissement d'Agatogbo, dans la commune de Comè.
Le président de la plateforme de gestion des risques et catastrophes et préfet du Mono, Bienvenu Dêdêgnon Milohin, accompagné d'une délégation composée d'autorités communales et locales est allé constater l'ampleur des dégâts pour prendre les mesures nécessaires.
Selon le point de la situation fait par le maire de la commune de Comè, Bernard Coffi Adanhokpé, à Ouèdèmè-Pédah, l'eau a pris d'assaut la voie et le ralliement de l'arrondissement ne peut se faire qu'à l'aide des pirogues déployées sur le cours d'eau ainsi formé.
A Agatogbo, l'eau s'est installée sur la principale voie qui mène à Guézin et rend impossible la traversée à pieds. « Les écoles, les habitations, les lieux de culte, sont submergées d'eau, exposant les riverains à beaucoup de risques », a alerté le maire de Comè.
La route nationale Comè-Cotonou au niveau du pont d'Agatogbo et le poste de contrôle de la douane sont également menacées par les eaux.
A Guézin, « en journée, les habitants se ruent vers la voie bitumée et à la tombée de la nuit se voient contraints de retourner dormir dans l'eau à cause de l'absence de site d'accueil », a expliqué Vincent Sowanou, chef de l'arrondissement d'Agatogbo.
Selon les populations riveraines, la fermeture de l'embouchure de Grand-Popo à Ouidah serait la cause de cette catastrophe naturelle.
Le président de la plateforme départementale de gestion des risques et catastrophes invite les populations à veiller sur les enfants en cette période de montée des eaux. Le préfet a instruit les maires aux fins d'activer les plateformes communales de gestion de risques et catastrophes sans attendre que le pire ne survienne d'abord.
M. M.
En séance plénière, jeudi 17 juin 201, les députés vont se pencher sur la proposition de loi portant obligation de souscription d'assurance pour tout utilisateur de véhicule terrestre à moteur en République du Bénin.
Tous les utilisateurs de moyens de transport terrestre à moteur seront désormais obligés de souscrire à l'assurance. Les parlementaires vont examiner la proposition de loi portant obligation de souscription d'assurance pour tout utilisateur de véhicule terrestre à moteur en République du Bénin ce jeudi à 10 h au Parlement. La souscription d'assurance pour les véhicules à quatre roues est une obligation au Bénin.
Il est également prévu à cette séance plénière deux questions orales avec débat. La première est liée à la pollution des terres et de l'air due aux cimenteries installées à Xwalocodji dans le 5e arrondissement de Cotonou et à Sèkandji dans la commune de Sèmè-Podji. La seconde question orale est relative à l'insuffisance des salles de classe et déficit d'enseignants dans les écoles primaires.
A.A.A
En séance plénière, jeudi 17 juin 201, les députés vont se pencher sur la proposition de loi portant obligation de souscription d'assurance pour tout utilisateur de véhicule terrestre à moteur en République du Bénin.
Tous les utilisateurs de moyens de transport terrestre à moteur seront désormais obligés de souscrire à l'assurance. Les parlementaires vont examiner la proposition de loi portant obligation de souscription d'assurance pour tout utilisateur de véhicule terrestre à moteur en République du Bénin ce jeudi à 10 h au Parlement. La souscription d'assurance pour les véhicules à quatre roues est une obligation au Bénin.
Il est également prévu à cette séance plénière deux questions orales avec débat. La première est liée à la pollution des terres et de l'air due aux cimenteries installées à Xwalocodji dans le 5e arrondissement de Cotonou et à Sèkandji dans la commune de Sèmè-Podji. La seconde question orale est relative à l'insuffisance des salles de classe et déficit d'enseignants dans les écoles primaires.
A.A.A
Des localités des communes de Ouidah, Grand-Popo, Comè et environs sont touchées par des inondations dues à la fermeture de l'embouchure de « La Bouche du Roy » depuis le mois de février 2021.
Inondations dans les communes de Ouidah, Grand-Popo et Comè. Des localités riveraines des lacs et lagunes côtiers sont les plus touchées. Une situation qui résulte de la fermeture de l'embouchure de « La Bouche du Roy, qui sert de couloir au trop plein des eaux du fleuve Mono de se jeter dans l'océan Atlantique.
Depuis sa fermeture en février dernier, il n'y a « plus une communication directe entre l'écosystème marin et celui lagunaire côtier ». Le déséquilibre entre les deux écosystèmes a entraîné l'inondation de plusieurs localités situées dans les environs des lacs et lagunes côtiers.
En attendant, la réouverture de l'embouchure, le ministre du Cadre de vie et du developpement José Tonato invite les populations à la vigilance, à la prudence et au respect des règles d'hygiène et sanitaires.
Les autorités locales et communales de Ouidah, de Grand-Popo, de Comé et environs sont appelées à mettre en œuvre les mesures d'alerte précoce telles que recommandées par l'Agence Nationale pour la Protection Civile (ANPC) et à mettre l'accent sur la sensibilisation des populations concernées.
A.A.A
Des localités des communes de Ouidah, Grand-Popo, Comè et environs sont touchées par des inondations dues à la fermeture de l'embouchure de « La Bouche du Roy » depuis le mois de février 2021.
Inondations dans les communes de Ouidah, Grand-Popo et Comè. Des localités riveraines des lacs et lagunes côtiers sont les plus touchées. Une situation qui résulte de la fermeture de l'embouchure de « La Bouche du Roy, qui sert de couloir au trop plein des eaux du fleuve Mono de se jeter dans l'océan Atlantique.
Depuis sa fermeture en février dernier, il n'y a « plus une communication directe entre l'écosystème marin et celui lagunaire côtier ». Le déséquilibre entre les deux écosystèmes a entraîné l'inondation de plusieurs localités situées dans les environs des lacs et lagunes côtiers.
En attendant, la réouverture de l'embouchure, le ministre du Cadre de vie et du developpement José Tonato invite les populations à la vigilance, à la prudence et au respect des règles d'hygiène et sanitaires.
Les autorités locales et communales de Ouidah, de Grand-Popo, de Comé et environs sont appelées à mettre en œuvre les mesures d'alerte précoce telles que recommandées par l'Agence Nationale pour la Protection Civile (ANPC) et à mettre l'accent sur la sensibilisation des populations concernées.
A.A.A
Ouverte le 16 février 2021, la première session ordinaire de la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC) a été clôturée ce mardi 15 juin 2021 par le président Rémi Prosper Moretti.
La session consacrée aux activités entrant dans le cadre de l'organisation de la campagne médiatique de l'élection présidentielle 2021 a permis l'étude de 16 rapports et la prise de 13 décisions. Il y a entre autres la Décision N°21-010/HAAC du 24 février 2021 portant organisation de l'accès équitable du Président de la République, des Institutions de la République, des partis politiques, de la Société Civile et des citoyens aux médias du service public ; la Décision N°21-013/HAAC du 16 mars 2021 portant publication des journaux et écrits périodiques ayant une existence légale en République du Bénin ; la Décision N°21-002/HAAC du 13 janvier 2021 portant réglementation des activités des médias pendant la période de précampagne pour l'élection présidentielle de 2021 et la Décision N°21-017/HAAC du 16 mars 2021 portant règlementation de la campagne médiatique pour l'élection présidentielle de 2021.
Selon le premier Rapporteur de la HAAC, Fernand Gbaguidi, une délégation conduite par le Président HAAC a pris part, à la 8è Assemblée Générale des Régulateurs de l'Audiovisuel des pays membres de l'UEMOA et de la Guinée qui s'est tenue les 27 et 28 mai 2021 à Dakar au Sénégal.
Dans son discours de clôture, le Président de la HAAC Rémi Prosper Moretti, a félicité les professionnels des médias pour le respect des dispositions relatives à l'élection présidentielle.
Les Conseillers et les cadres de la HAAC sont invités à relever les prochains défis à savoir l'aboutissement du processus d'autorisation des médias en ligne, la sélection et l'implantation des radiodiffusions sonores.
A cette cérémonie de clôture de session, une dizaine de promoteurs de radiodiffusions sonores ont signé leurs conventions renouvelées. Il s'agit de : Radio Bénin Culture, Ore-Ofe FM, Radio Dialogue, FM Kouffe, FM Alaketu, FM Ahémé, Radio Cite Savalou Culture FM, Radio Carrefour et Naane Ouassa FM.
Le Président Moretti a invité les promoteurs au respect des clauses des conventions (paiement des redevances annuelles au Trésor public, salaires des employés etc.).
A.A.A
Ouverte le 16 février 2021, la première session ordinaire de la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC) a été clôturée ce mardi 15 juin 2021 par le président Rémi Prosper Moretti.
La session consacrée aux activités entrant dans le cadre de l'organisation de la campagne médiatique de l'élection présidentielle 2021 a permis l'étude de 16 rapports et la prise de 13 décisions. Il y a entre autres la Décision N°21-010/HAAC du 24 février 2021 portant organisation de l'accès équitable du Président de la République, des Institutions de la République, des partis politiques, de la Société Civile et des citoyens aux médias du service public ; la Décision N°21-013/HAAC du 16 mars 2021 portant publication des journaux et écrits périodiques ayant une existence légale en République du Bénin ; la Décision N°21-002/HAAC du 13 janvier 2021 portant réglementation des activités des médias pendant la période de précampagne pour l'élection présidentielle de 2021 et la Décision N°21-017/HAAC du 16 mars 2021 portant règlementation de la campagne médiatique pour l'élection présidentielle de 2021.
Selon le premier Rapporteur de la HAAC, Fernand Gbaguidi, une délégation conduite par le Président HAAC a pris part, à la 8è Assemblée Générale des Régulateurs de l'Audiovisuel des pays membres de l'UEMOA et de la Guinée qui s'est tenue les 27 et 28 mai 2021 à Dakar au Sénégal.
Dans son discours de clôture, le Président de la HAAC Rémi Prosper Moretti, a félicité les professionnels des médias pour le respect des dispositions relatives à l'élection présidentielle.
Les Conseillers et les cadres de la HAAC sont invités à relever les prochains défis à savoir l'aboutissement du processus d'autorisation des médias en ligne, la sélection et l'implantation des radiodiffusions sonores.
A cette cérémonie de clôture de session, une dizaine de promoteurs de radiodiffusions sonores ont signé leurs conventions renouvelées. Il s'agit de : Radio Bénin Culture, Ore-Ofe FM, Radio Dialogue, FM Kouffe, FM Alaketu, FM Ahémé, Radio Cite Savalou Culture FM, Radio Carrefour et Naane Ouassa FM.
Le Président Moretti a invité les promoteurs au respect des clauses des conventions (paiement des redevances annuelles au Trésor public, salaires des employés etc.).
A.A.A
Par communiqué en date du 15 juin 2021, le président Louis Vlavonou a convoqué les députés de la 8e législature pour une séance plénière ce jeudi 17 juin 2021.
Au cours de la séance plénière, les députés vont se pencher sur la proposition de loi portant obligation de souscription d'assurance pour tout utilisateur de véhicule terrestre à moteur en République du Bénin. Dans le cadre du contrôle de l'action du gouvernement, des ministres sont invités à apporter des réponses sur deux questions orales avec débat. La première est liée à la pollution des terres et de l'air due aux cimenteries installées à Xwalocodji dans le 5e arrondissement de Cotonou et à Sèkandji dans la commune de Sèmè-Kpodji. La seconde question orale est relative à l'insuffisance des salles de classe et déficit d'enseignants dans les écoles primaires.
Par communiqué en date du 15 juin 2021, le président Louis Vlavonou a convoqué les députés de la 8e législature pour une séance plénière ce jeudi 17 juin 2021.
Au cours de la séance plénière, les députés vont se pencher sur la proposition de loi portant obligation de souscription d'assurance pour tout utilisateur de véhicule terrestre à moteur en République du Bénin. Dans le cadre du contrôle de l'action du gouvernement, des ministres sont invités à apporter des réponses sur deux questions orales avec débat. La première est liée à la pollution des terres et de l'air due aux cimenteries installées à Xwalocodji dans le 5e arrondissement de Cotonou et à Sèkandji dans la commune de Sèmè-Kpodji. La seconde question orale est relative à l'insuffisance des salles de classe et déficit d'enseignants dans les écoles primaires.
La Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (Haac), a procédé, mardi 15 juin 2021, à la clôture des activités de sa première session ordinaire de 2021.
Démarrée le 16 février, la 1ère session ordinaire de 2021 de la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (Haac) a pris fin le mardi 15 juin 2021. Au total, seize (16) rapports ont été examinés et treize (13) décisions prises à l'issue de quatre mois de travaux. Selon Rémi Prosper Moretti, président de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (Haac), plusieurs défis dont l'aboutissement du processus d'autorisation des médias en ligne, la sélection et l'implantation des radios restent à relever.
Le président a saisi l'occasion pour saluer le professionnalisme des journalistes lors de l'élection présidentielle d'avril dernier. « Comment pourrais-je passer sous silence, le sens élevé de responsabilité des professionnels des médias, qui ont respecté les dispositions de toutes les décisions contribuant ainsi à une élection apaisée, au développement du pays et à l'unité nationale. Soyez-en remerciés chers partenaires », a indiqué Rémi Prosper Moretti, président de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (Haac).
L'institution en charge de la régulation des médias a procédé également à la signature du renouvellement de la convention de dix (10) radios privées à l'occasion de la clôture des activités de sa première session ordinaire de l'année 2021.
M. M.
La Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (Haac), a procédé, mardi 15 juin 2021, à la clôture des activités de sa première session ordinaire de 2021.
Démarrée le 16 février, la 1ère session ordinaire de 2021 de la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (Haac) a pris fin le mardi 15 juin 2021. Au total, seize (16) rapports ont été examinés et treize (13) décisions prises à l'issue de quatre mois de travaux. Selon Rémi Prosper Moretti, président de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (Haac), plusieurs défis dont l'aboutissement du processus d'autorisation des médias en ligne, la sélection et l'implantation des radios restent à relever.
Le président a saisi l'occasion pour saluer le professionnalisme des journalistes lors de l'élection présidentielle d'avril dernier. « Comment pourrais-je passer sous silence, le sens élevé de responsabilité des professionnels des médias, qui ont respecté les dispositions de toutes les décisions contribuant ainsi à une élection apaisée, au développement du pays et à l'unité nationale. Soyez-en remerciés chers partenaires », a indiqué Rémi Prosper Moretti, président de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (Haac).
L'institution en charge de la régulation des médias a procédé également à la signature du renouvellement de la convention de dix (10) radios privées à l'occasion de la clôture des activités de sa première session ordinaire de l'année 2021.
M. M.
Les Ecureuils du Bénin ne participeront pas à la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) Cameroun 2022. Ils ont été battus ce mardi 15 juin 2021 au terme du match en retard de la 6ème et dernière journée des éliminatoires par la Sierra Leone.
01 but à zéro, c'est le score final du match. Le seul but de la rencontre a été marqué à la 19ème minute du jeu par l'attaquant sierra léonais, Kamara sur pénalty.
Par cette défaite, Michel Dussuyer et ses poulains sont définitivement éliminés de la Can-Cameroun 2022. La Sierra Leone quant à elle se qualifie, et occupe désormais la deuxième place derrière le Nigéria déjà qualifié, et 1er du groupe L.
Le match Sierra Leone/Bénin a été plusieurs fois reporté pour raison de Covid-19.
F. A. A.
Les Ecureuils du Bénin ne participeront pas à la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) Cameroun 2022. Ils ont été battus ce mardi 15 juin 2021 au terme du match en retard de la 6ème et dernière journée des éliminatoires par la Sierra Leone.
01 but à zéro, c'est le score final du match. Le seul but de la rencontre a été marqué à la 19ème minute du jeu par l'attaquant sierra léonais, Kamara sur pénalty.
Par cette défaite, Michel Dussuyer et ses poulains sont définitivement éliminés de la Can-Cameroun 2022. La Sierra Leone quant à elle se qualifie, et occupe désormais la deuxième place derrière le Nigéria déjà qualifié, et 1er du groupe L.
Le match Sierra Leone/Bénin a été plusieurs fois reporté pour raison de Covid-19.
F. A. A.
Accompagnée du représentant résident du Programme alimentaire mondial (PAM) au Bénin, Guy Adoua, une partie de la délégation de la Première dame du Burundi, Angeline Ndayishimiye, a effectué une visite, samedi 12 juin 2021 à Dangbo. Les visiteurs ont sont allés découvrir les sites d'aménagement de la vallée de l'Ouémé et l'unité régionale des riziculteurs de l'Ouémé-Plateau.
La visite de l'unité régionale des riziculteurs de l'Ouémé-Plateau installée dans les locaux de la Société ESOP Vallée de l'Ouémé a permis à la délégation burundaise de faire le lien entre les missions de cette entreprise avec la durabilité du programme d'alimentation scolaire au Bénin.
L'une des exigences du programme étant de nourrir les apprenants avec des produits locaux, le Programme alimentaire mondial (PAM) au Bénin collabore avec cette société qui est l'un de ses fournisseurs du riz local de bonne qualité.
Selon le premier responsable de cette rizerie, ESOP a pour mission de faciliter l'accès aux marchés aux coopératives agricoles après la transformation du riz ''Paddy'' par le vannage-épierrage ; le décorticage ; le calibrage ; le tri et l'ensachage. Une démarche pour montrer aux visiteur que le programme des cantines scolaires du Bénin impacte non seulement les enfants mais aussi les petits producteurs locaux.
ESOP Vallée offre également aux producteurs locaux de la région des opportunités de financement, de renforcement de capacités pour booster la production du riz au plan local.
Pour le Représentant résident du PAM au Bénin, la volonté du gouvernement d'approvisionner les écoles à cantine scolaire en vivres locaux de qualité sur la base de la production locale est une porte d'entrée pour le développement local. L'une des bonnes pratiques du programme qui doit inspirer le Burundi. Satisfait de cette visite de la vallée de l'Ouémé qui fait la fierté du Bénin sur le plan agricole, le ministre de l'éducation et de la recherche scientifique du Burundi, Dr. François Havyarimana, a félicité le gouvernement du Bénin et tous les acteurs qui ont fait du programme des cantines scolaires une réussite et une référence en Afrique. « Il n'y a pas que l'aspect nutrition que nous sommes venus voir mais aussi l'aspect production, développement local liés à l'alimentation scolaire. Nous constatons que le Bénin est très avancé et je suis heureux, de l'accueil, des explications, de l'apprentissage », a-t-il déclaré au terme de la visite.
Juliette Mitonhoun
En prélude à la commémoration du centenaire du Parti Communiste Chinois en juillet 2021, Peng Jingtao, l'ambassadeur de la Chine près le Bénin a présenté les activités prévues au Bénin dans ce cadre. C'est à travers une causerie-débat dénommée ‘'Les mardis de la Chine'' organisée, ce 15 juin 2021, au siège de la représentation chinoise à Cotonou, par le ‘'Réseau Médias pour la Coopération Sino-Béninoise''.
Le centenaire de la fondation du Parti Communiste Chinois (PCC) sera célébré en juillet 2021. Au Bénin, les festivités seront marquées par des activités majeures associant les communautés chinoise et béninoise.
« L'une, c'est avec la communauté chinoise résidente ici, on va organiser un séminaire pour la célébrer. La deuxième partie ce sera avec la communauté béninoise. Cette causerie-débat est la première activité. Le mois prochain, on va organiser aussi un colloque avec des panels différents pour partager les secrets du succès du Parti Communiste Chinois (PCC) », a indiqué Peng Jingtao, l'ambassadeur de la Chine près le Bénin, lors de la causerie-débat ‘'Les mardis de la Chine'', initiée par le ‘'Réseau Médias pour la Coopération Sino Béninoise''.
Selon le diplomate, « sans le Parti Communiste Chinois (PCC), il n'y a pas de Chine nouvelle (…). Pour connaître la Chine, il faut connaître le PCC ».
SEM. Peng Jingtao a présenté aux professionnels des médias, l'histoire du PCC en trois phases, ses objectifs, ses secrets de réussite et la contribution du parti à la réalisation du développement en Chine.
A seulement 50 membres à sa fondation, il y a 100 ans, le PCC compte aujourd'hui 91 millions de membres dans le monde. Le PCC a conduit le peuple chinois à réaliser l'indépendance, à la constitution et au développement du socialisme chinois, à la mise en place de la ‘'nouvelle époque socialiste chinoise''.
C'est sous la houlette du PCC que la Chine a trouvé sa voie de développement appelée ‘'socialisme à la chinoise'', selon l'ambassadeur de la Chine près le Bénin.
Depuis sa fondation, le PCC est resté fidèle à son objectif qui est de « représenter les intérêts de la plus grande majorité, servir le peuple pour le bien-être et la réalisation de la nation », selon le diplomate qui précise que « presque 98 millions d'habitants sont sortis du seuil de pauvreté ».
A l'entame de la discussion, Saturnin Comlan Hounkpè, président du ‘'Réseau Médias pour la Coopération Sino-Béninoise'', a remercié les professionnels des médias pour leur présence à l'acte 1 de la causerie ‘'Les mardis de la Chine''.
Le creuset d'échanges se tiendra chaque mois, selon lui.
L'ambassadeur de la Chine a remercié les journalistes pour leur participation à la causerie-débat qui est une initiative qui vient à point nommé. SEM. Peng Jingtao n'a pas manqué de remercier le président du ‘'Réseau Médias pour la Coopération Sino-Béninoise'', qui contribue au renforcement des liens entre la Chine et le Bénin.
M. M.
L'agence de communication Sigma Corporation, l'une des meilleures agences de communication en Afrique de l'ouest, donne un nouvel élan à la veille stratégique automatisée au Bénin. Celle-ci constitue un outil incontournable au service des entreprises, des institutions et des personnalités publiques.
La veille stratégique automatisée est un processus informationnel à la disposition des entreprises, Etat ou administration pour la prise des décisions. Elle fait partie des services qu'offre Sigma Corporation à ses différents clients.
Veille stratégique automatisée au Bénin pour contourner les menaces
Selon le chef du département Digital de cette agence de communication classée récemment par www.shortlist.com parmi le Top 10 des meilleures au Bénin et au Togo, Boris Tenyoh, « dans un environnement économique et politique mouvant et incertain, la veille stratégique automatisée apparaît plus que jamais indispensable pour contourner les menaces. » Elle aide les entreprises et institutions à saisir les opportunités qui se présentent à elles à l'effet de trouver la voie de la performance, a-t-il précisé.
C'est justement l'ambition et la nouvelle orientation de Sigma Corporation en territoire béninois. Ainsi, cette veille stratégique automatisée au Bénin, moins connue par les auteurs, vise les PME/PMI, les institutions publiques et internationales présentes dans le pays.
Pour M. Boris Tenyoh, « Sigma Corporation, par sa veille stratégique automatisée au Bénin, permettra à ses clients de disposer de toutes les informations en temps réel, c'est-à-dire 24/7. Elle servira, également, à analyser les évolutions tendancielles, de la concurrence et de l'opinion. »
Pour les entreprises, cette veille représente un excellent moyen pour suivre l'activité des concurrents pour s'assurer de rester compétitif et est présente tout au long de la vie de l'entreprise.
Pourquoi faire de la veille stratégique automatisée ?
La veille stratégique est un important outil d'anticipation et un facteur-clé de succès des entreprises et des institutions. Sa mise en place permet d'être en alerte sur les stratégies concurrentes et les nouvelles tendances afin de dégager un avantage concurrentiel. L'automatisée reste incontournable eu égard à la rapidité et au torrent des informations sur l'internet. Dans les faits, aucun humain n'est capable de surveiller des milliers de référence et de sites web chaque jour.
Heureusement que l'agence de communication Sigma Corporation intervient pour accompagner les différentes personnes physiques comme morales, exprimant ce besoin de veille stratégique automatisée au Bénin. Comme l'a souligné le chef du département Digital, « grâce à nos outils automatisés, nos clients accèdent aux informations facilement. Quelques clics suffisent pour analyser les dernières évolutions de l'actualité relatives à eux. »
Pour rappel, Sigma Corporation est une agence de communication 360°, dont le siège principal est au Togo. Elle dispose, également, des bureaux au Bénin, à Dubaï et bientôt au Burkina Faso et offre des services dans les domaines suivants : Digital, Branding, Gestion de crise, Cyber Influence et Relations presse 2.0.