Un motocycliste approché, mercredi 16 juin 2021, par une équipe de patrouille du commissariat du 2ème arrondissement de Djougou, a pris la fuite laissant derrière lui sa moto de marque Haoujue et des colis contenant des faux médicaments.
Les policiers ont procédé à la fouille des colis suspects abandonnés par un motocycliste lors d'une opération effectuée sur l'axe Camp Guézo-Mosquée Centrale. Quatre-vingt-quinze (95) kilogrammes de faux médicaments y ont été découverts.
Le motocycliste s'est enfui en abandonnant sa moto.
La police a ouvert une enquête.
M. M.
L'effectif des nouveaux étudiants désireux de s'inscrire dans les universités publiques, ne cessent de croître ces quinze (15) dernières années. Mais le personnel Enseignant d'encadrement, les salles de cours, de travaux pratiques, de travaux dirigés, de laboratoires, de centres de documentation, de langues et d'équipements didactiques etc. font toujours défaut et sont toujours faibles au regard des normes du système Licence, Master et Doctorat (LMD).
Le parti Mouvement des Élites Engagées pour l'Emancipation du Bénin (Moele-Bénin) vient d'enregistrer encore un autre départ.
Julien Gbaguidi, membre fondateur du parti Mouvement des Élites Engagées pour l'Emancipation du Bénin (Moele-Bénin) a rendu sa démission. Le démissionnaire dénonce une gestion à la fois des ressources humaines et financières peu orthodoxe de son désormais ancien parti politique. Selon la lettre de démission transmis le 17 juin 2021 aux instances de Moele-Bénin, Julien Gbaguidi lie également son départ à la suspension de ex-secrétaire général du parti Céphise Béo Aguiar et de celle du 7è vice-président Edmond Ayindé.
Julien Gbaguidi a été Directeur Adjoint de l'école politique de Moele-Bénin et Coordinateur de la commission éducation et porte-parole dudit parti.
Moele-Bénin est un parti présidé par l'ex syndicaliste Jacques Ayadji et qui soutient les actions du président Patrice Talon.
M. M.
Une fillette de 8 ans a perdu la vie dans un accident de circulation ce dimanche 20 juin 2021 à Djrègbé. A Porto-Novo, un piéton est également passé de vie à trépas.
La fillette de 8 ans est décédée dimanche 20 juin aux environs de 15 heures à Djrègbé. Le drame s'est produit lorsqu'elle voulait traverser la voie. Selon Frissons Radio, l'enfant aurait mal traversé la route. La victime a été percutée par un véhicule qui serait en excès de vitesse. Elle est morte sur-le-champ.
Plus tôt, vers 2 heures du matin, un piéton est mort après un choc avec un motocycliste devant le Lycée Toffa 1er à Porto-Novo.
A.A.A
La ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique Éléonore Yayi Ladékan et son collègue des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle Yves Kouaro ont procédé ce lundi 21 juin 2021 au lancement des épreuves écrites du Baccalauréat au CEG 1 de Djougou, dans le département de la Donga.
82.938 candidats répartis dans 132 centres planchent cette année pour l'obtention du premier diplôme universitaire. 31.931 filles soit 38,50 ℅ composent pour cet examen. En 2020 et 2019, le pourcentage de filles était respectivement de 36,74% et 33,95 ℅. Selon la ministre Éléonore Yayi Ladékan ce progrès est la preuve que les filles sont davantage scolarisées et abandonnent de moins en moins les classes.
« Les épreuves sont abordables, ce n'est pas un concours mais un examen. Ne soyez donc pas stressés », a déclaré le ministre Yves Kouaro à l'endroit des candidats.
Les ministres ont invité les candidats à la sérénité et à la concentration. 5340 candidats composent pour le compte du Baccalauréat, session de juin 2021 dans la Donga.
A.A.A
Le constitutionnaliste et ex doyen de la faculté de droit de l'Université d'Abomey-Calavi a le coronavirus.
En détention provisoire depuis le 16 avril dernier à la prison civile de Cotonou, le professeur Joël Aïvo a contracté le coronavirus, selon les tests effectués le 17 juin 2021.
D'après les informations, les premiers symptômes sont apparus il y a quelques semaines.
Le professeur Joël Aïvo suit depuis lors un traitement depuis sa cellule.
Candidat disqualifié à la dernière élection présidentielle, Joël Aïvo a été interpellé dans la soirée du jeudi 15 avril puis auditionné et placé en détention. L'universitaire et homme politique est poursuivi pour « atteinte à la sûreté et blanchiment de capitaux ».
M. M.
L'examen du Baccalauréat démarre ce lundi 21 juin 2021 sur toute l'étendue du territoire national. Plus de 82.000 candidats prennent part à cet examen.
Le nombre de candidats au Baccalauréat cette année est de 82.938 candidats. Ils sont répartis dans 132 centres composition. Le total des filles inscrites est de 31.931 soit 38,50 % contre 51.007 candidats de sexe masculin.
L'effectif des inscrits est en baisse de 13% comparativement à 2020 d'où la fermeture de six (06) centres de composition cette année. L'examen du Baccalauréat se déroule du 21 au 24 juin 2021.
A.A.A
La commune d'Adja-Ouèrè est confrontée depuis quelques années à un phénomène en matière d'éducation. Il s'agit de la déscolarisation et l'abandon des écoles créées dans les zones rurales. Le phénomène est surtout remarquable en milieu Holli, malgré la présence d'infrastructures scolaires et la disponibilité du personnel enseignant. Le constat fait dans certains établissements de la commune montre l'ampleur des réalités. Certains apprenants abandonnent les classes, attirés par les mirages du Nigéria voisin.
Le Directeur du Centre d'excellence régional contre la faim et la malnutrition (CERFAM) basé en Côte d'Ivoire, Patrick Teixeira, était au Bénin sur invitation du Représentant résident du Programme d'alimentaire mondial (PAM), Guy Adoua, du 9 au 14 juin dernier. C'était dans le cadre de la visite d'étude du programme de cantines scolaires du Bénin avec une délégation du gouvernement burundais conduite par la Première dame Angeline Ndayishimiye. Au terme de la mission, Patrick Teixeira, qui y a joué le rôle de facilitateur entre les deux pays, fait le point de ce partenariat Sud-Sud pour la promotion des cantines scolaires comme programme intégré de lutte contre la faim et la malnutrition, et moyen de développement. Interview.
Qu'est-ce qui justifie la présence du CERFAM à l'occasion de cette mission du Burundi au Bénin ?
Le CERFAM est une initiative stratégique entre le gouvernement de la Côte d'Ivoire et le Programme alimentaire mondial (PAM). Nous travaillons en étroite collaboration afin d'accompagner les efforts des gouvernements dans les domaines clés de l'alimentation scolaire, de la résilience communautaire, de la lutte contre la malnutrition, de la transformation rurale, la recherche afin d'avoir des données probantes, une évidence pour pouvoir obtenir les ressources et l'engagement mais aussi l'assurance et l'assistance technique et enfin le plaidoyer et la communication afin que la lutte contre la faim et la malnutrition restent une des priorités de nos gouvernements comme un moyen essentiel pour arriver vers le développement et l'émergence.
A ce titre, la coopération Sud-Sud revêt une importance stratégique dans l'action du CERFAM. Donc c'est à l'invitation du Représentant résident du PAM au Bénin que nous nous sommes associés à ces échanges qui sont établis entre les gouvernements du Burundi et du Bénin afin qu'ensemble ils puissent trouver des bonnes pratiques, des innovations, des solutions durables pour accélérer les efforts dans la lutte contre la faim et la malnutrition. Donc le CERFAM est ici pour faciliter ces échanges et aider aussi à faire en sorte que la promotion de ces bonnes pratiques et actions soit suivie d'effets au niveau politique, stratégique et opérationnel.
Vous avez été là du début jusqu'à la fin de la mission. Quelles sont maintenant vos attentes de ce dialogue entre le Bénin et le Burundi ?
La présence d'une délégation de très haut niveau conduite par Son Excellence Madame la Première dame et trois ministres du Burundi, celui de l'éducation, de l'agriculture et de la santé, témoigne de l'importance qu'à revêtu cette action de coopération Sud-Sud et du renforcement des capacités. Nous avons trouvé ces échanges extrêmement enrichissants et très prometteurs. Au cours de ces cinq jours de visite, nous avons pu voir à quel point la détermination, la conviction et l'engagement politiques à un très haut niveau étaient importants. A ce titre, nous saluons l'action du gouvernement du Bénin au plus haut niveau, non seulement à y mettre les moyens nécessaires mais aussi à répandre ce projet dans toutes les zones du Bénin. Nous avons vu au cours des visites sur le terrain, des pratiques extrêmement prometteuses, extrêmement innovantes, qui témoignent de l'engagement et de l'engouement des communautés mais aussi des partenaires au développement à faire de l'école non seulement un lieu où les enfants viennent manger des repas sains et équilibrés mais également une plateforme de développement d'interventions diversifiées et complémentaires qui vraiment renforcent l'action de ces gouvernements en matière de développement du capital humain et de promotion de l'économie locale à travers des actions dont bénéficient des communautés, la production locale, etc. Et donc bien sûr, les enfants sortent gagnants avec une meilleure éducation, une meilleure nutrition et une meilleure santé pour tous.
Est-ce à dire que les initiatives que vous avez observées sur le terrain par rapport à l'expérience du Bénin sont susceptibles d'être documentées par le CERFAM et partagées au niveau de la sous-région ? Peut-être que cela produira, comme vous le souhaitez, des effets au niveau politique, stratégique et opérationnel.
Je peux vous dire d'ores et déjà que oui, le CERFAM serait extrêmement honoré d'accompagner ces efforts, de faire en sorte que les bonnes pratiques que nous avons vues ici au Bénin et celles qui ressortent du Burundi puissent être documentées et disséminées. L'action du CERFAM, c'est de promouvoir des solutions innovantes, des bonnes pratiques, que d'autres gouvernements pourraient aussi vouloir répliquer et mettre à l'échelle. C'est dans ce sens que nous avons justement l'honneur d'être associés à cette initiative et de faire en sorte que nous puissions, en tant que facilitateur, en tant que plateforme de diffusion d'échanges de connaissances et d'expériences, apporter notre expertise et la mettre au service du Bénin et du Burundi afin que la coopération Sud-Sud porte ses fruits dans cette éradication de la faim et de la malnutrition, la promotion de systèmes alimentaires durables et qu'on puisse atteindre non seulement les Objectifs de développement durable (ODD) mais aussi l'Agenda 2063 de l'Union Africaine (UA).
Propos recueillis par Juliette MITONHOUN
Trois (03) individus dont deux (02) femmes ont été arrêtés, mercredi 16 juin 2021, à la suite d'une opération de la police à Togba dans la commune d'Abomey-Calavi.
Une importante quantité de chanvre indien a été saisie dans des domiciles situés à Tankpè-Tanmè et Houèdo dans la commune d'Abomey-Calavi. Les deux domiciles étaient transformés en ghetto.
La police a procédé à l'arrestation des occupants, trois (03) individus dont deux (02) femmes.
Poursuivis pour « détention, usage et commercialisation de chanvre indien », les trois individus seront présentés au procureur dans les prochains jours.
M. M.
À Ouèdèmè dans la commune de Lokossa, un directeur d'école et le maître en charge de la gestion de la cantine ne sont plus libres de leur mouvement depuis samedi 19 juin 2021.
La police républicaine a procédé, samedi 19 juin 2021, à l'arrestation d'un directeur et d'un maître en charge de la gestion de la cantine de l'école à Ouèdèmè dans la commune de Lokossa. Il leur est reproché d'avoir pris une partie des vivres qui ont été mis à la disposition des écoliers de leurs écoles pour consommation.
Les deux prévenus seront présentés au procureur ce lundi 21 juin 2021.
En 2018, le gouvernement a sanctionné, en conseil des ministres, 61 personnes impliquées dans le détournement de vivres (huiles, haricots, riz,) destinés au fonctionnement des cantines
M. M.
Les eaux à l'origine des inondations dans le bassin côtier se drainent déjà vers l'océan Atlantique. Ce qui va certainement soulager les populations des communes de Grand-Popo, Comé et Ouidah en proie ces derniers jours, à des inondations.
Depuis quelques jours, les populations vivant aux
abords des cours d'eaux dans les communes de Ouidah, Grand-Popo et Comé sont inondées. Une conséquence de la fermeture de l'embouchure de la Bouche du Roy en février dernier à Grand-Popo.
Pour remédier à la situation, les autorités ont procédé à l'ouverture de l'embouchure vendredi dernier. Ce qui facilite depuis quelques heures, la liaison entre « l'écosystème marin et celui lagunaire côtier ».
La Bouche du Roy est un site touristique à travers lequel le fleuve Mono se jette dans l'océan Atlantique. Depuis sa fermeture, il n'y a « plus une communication directe entre l'écosystème marin et celui lagunaire côtier ». Le déséquilibre entre les deux écosystèmes a entrainé l'inondation de plusieurs localités. Ce à quoi les autorités ont remédié vendredi dernier à travers l'ouverture de l'embouchure à Djondji dans la commune de Grand-Popo.
F. A. A.
Les eaux à l'origine des inondations dans le bassin côtier se drainent déjà vers l'océan Atlantique. Ce qui va certainement soulager les populations des communes de Grand-Popo, Comé et Ouidah en proie ces derniers jours, à des inondations.
Depuis quelques jours, les populations vivant aux
abords des cours d'eaux dans les communes de Ouidah, Grand-Popo et Comé sont inondées. Une conséquence de la fermeture de l'embouchure de la Bouche du Roy en février dernier à Grand-Popo.
Pour remédier à la situation, les autorités ont procédé à l'ouverture de l'embouchure vendredi dernier. Ce qui facilite depuis quelques heures, la liaison entre « l'écosystème marin et celui lagunaire côtier ».
La Bouche du Roy est un site touristique à travers lequel le fleuve Mono se jette dans l'océan Atlantique. Depuis sa fermeture, il n'y a « plus une communication directe entre l'écosystème marin et celui lagunaire côtier ». Le déséquilibre entre les deux écosystèmes a entrainé l'inondation de plusieurs localités. Ce à quoi les autorités ont remédié vendredi dernier à travers l'ouverture de l'embouchure à Djondji dans la commune de Grand-Popo.
F. A. A.
La 59e Session ordinaire de la Conférence des Chefs d'État et de Gouvernement des pays membres de la CEDEAO a eu lieu le samedi 19 juin 2021 à Accra (Ghana). Patrice Talon et ses pairs ont examiné plusieurs rapports et abordé plusieurs sujets. Suspendu de la Communauté, le Mali n'a pas pris part aux travaux.
Les Chefs d'Etat et de Gouvernement de la CEDEAO ont examiné plusieurs rapports. Il s'agit notamment du rapport intérimaire 2021 sur l'état de la Communauté, des rapports finaux de la 46ème session ordinaire du Conseil de médiation et de sécurité et de la 86ème session ordinaire du Conseil des Ministres de la CEDEAO.
Des rapports spéciaux dont ceux sur la situation politique au Mali, les réformes institutionnelles de l'organisation, le Programme de la monnaie unique de la CEDEAO et le mémorandum sur le mécanisme proposé pour une rotation des candidatures des États membres de la CEDEAO à la présidence de l'Union Africaine et la mise en œuvre du plan sanitaire contre la Covid-19 ont été également examinés.
Face à la menace terroriste et l'extrémisme violent dans la sous- région, le Chef de l'Etat ghanéen, Président en exercice de la CEDEAO a appelé au renforcement de l'engagement de chaque pays. SEM. Nana Akufo-Addo a invité ses pairs à plus d'actions dans la lutte contre la piraterie maritime dans le golfe de Guinée.
S'agissant de la situation au Mali, le Président en exercice de la CEDEAO a demandé une évaluation de la situation. M. Nana Akufo-Addo a salué les mesures prises au niveau de l'espace communautaire pour réduire l'impact de la pandémie de Coronavirus. Le chef de l'Etat ghanéen a souligné la nécessité de la mise au point des vaccins propres aux pays africains.
Au sujet des réformes institutionnelles, le Président en exercice a fait part des modalités d'attribution des postes ainsi que la rationalisation des coûts de fonctionnement de la CEDEAO. Il propose l'examen d'un mécanisme de rotation de chaque groupe linguistique de l'espace communautaire dans les instances continentales et internationales. La question de la monnaie unique a été aussi abordée à cette session. Une nouvelle feuille de route est mise en place afin d'accélérer le processus.
La 59è session a été marquée par la signature d'un protocole d'accord entre le Sénégal et la Guinée pour la réouverture de leurs frontières.
Présents à ce sommet de la CEDEAO, la Secrétaire Générale de l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), Mme Louise Mushikiwabo, et le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies pour l'Afrique et le Sahel, Mahamat Saleh Annadif, ont salué les efforts des pays de l'espace communautaire dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, la pandémie de la Covid-19 et la situation au Mali.
Quelques photos de la session
Le Chef de l'Etat Patrice Talon a foulé le sol béninois en fin d'après-midi de ce samedi 19 juin 2021. Il a pris part à la 59ème Session ordinaire de la Conférence des Chefs d'État et de Gouvernement de la Communauté Économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) qui s'est tenue dans la journée à Accra au Ghana.
Lors de cette session, Patrice Talon et ses pairs ont examiné plusieurs rapports. Il s'agit entre autres du rapport intérimaire 2021 sur l'état de la Communauté, des rapports finaux de la 46è session ordinaire du Conseil de médiation et de sécurité et de la 86è session ordinaire du Conseil des ministres de la CEDEAO. Des rapports spéciaux ont été aussi examinés. La question de la monnaie unique a été également abordée à la 59è session de la CEDEAO.
A.A.A
La ville historique d'Agoué, le plus grand et plus peuplé arrondissement de la commune de Grand-Popo, située à 110 km de Cotonou et servant de frontière terrestre avec le Togo voisin par Hilla-Condji, regorge de vestiges anciens qui font d'elle une ville à forte potentialité touristique.
Royaume d'Agoué aujourd'hui arrondissement d'Agoué, a une histoire atypique. « Aux XVII et XVIIIème siècles, des travailleurs Ané, originaires d'Elmina, région aurifère de l'actuel Ghana, sont chassés de leur pays par les invasions Achanti. Ils s'installèrent alors sur la partie de la côte appartenant au roi de Tado et fondèrent Aného, signifiant littéralement « la maison des Ané », aujourd'hui Anécho », raconte Edouard Akpaka, natif du milieu qui aurait appris l'histoire de sa grand-mère.Retour ligne automatique