Le service de la voie publique relevant de la Sûreté de wilaya de jijel a enregistré 1 972 infractions dont 1 110 liées à la non-présentation des papiers durant les six premiers mois de l’année en cours , a affirmé la responsable de la cellule de communication à la Sûreté de wilaya, la commissaire Aziza Djerourou, en marge du démarrage mercredi dernier de la campagne de sensibilisation sur le port de casque pour les conducteurs de moto.
Aziza Djerourou a ajouté que 858 contraventions liées au non-port des casques et 3 ayant trait au dépassement de la vitesse limitée ont été recensées durant le premier semestre de l’année en cours.
La même responsable a fait état de 87 accidents corporels qui ont causé 4 décès et 86 blessés.
Notre interlocutrice a estimé que cette campagne dont l’objectif est de sensibiliser sur la nécessité de porter le casque par les conducteurs des motos et cibler aussi les transporteurs de voyageurs des grandes lignes se poursuivra jusqu’au 2 septembre.
Un policier sauve un homme suicidaire à Taher
Un policier a réussi à sauver un homme âgé de 41 ans qui voulait se suicider mercredi dernier aux environs de 17 heures dans le quartier de Boucherka, relevant de la commune de Taher, a-t-on appris auprès d’une source sûre.
La même source a ajouté que cet homme a essayé de se suicider en s’aspergeant d’essence avant que le policier n’intervienne et ne lui sauve la vie. On apprend, par ailleurs, que ce quadragénaire légèrement blessé ainsi que l’agent de l’ordre ont été évacués à l’hôpital Saïd-Mejdoub de Taher et qu’ils sont hors de danger.
Les services de sécurité ont ouvert une enquête pour déterminer les causes et les circonstances de cet incident qui a failli coûter la vie à cet homme.
Bouhali Mohammed Cherif
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Selon les informations récoltées auprès de la DSA (Direction des services agricoles), l’objectif fixé au début de la campagne labours-semailles a été pratiquement atteint puisque sur la spéculation de deux millions de quintaux à récolter à la fin du mois d’août, on indique que 1 960 000 quintaux de céréales ont été engrangés.
On indique que 97% de la récolte réalisée sont constitués de blé dur avec une superficie emblavée de 55 000 ha et 17 000 ha pour l’orge. Le reste, à savoir le blé tendre et l’avoine, ne représente que des proportions très réduites.
Toujours selon la DSA, le rendement moyen obtenu à l’ha a été de 26 q. Par ailleurs, on a enregistré des rendements de pointe de 65 q à l’ha sur les riches terres à blé d’El Amra, El Abadia et autres Aïn Soltane et Djelida. Par ailleurs, pour ce qui est de la collecte, selon la CCLS (Coopérative des céréales) de Khemis Miliana, il a été enregistré l’objectif de 1 100 000 q à collecter qui a été pratiquement atteint et a dépassé largement le résultat de la campagne 2017.
En effet, indique-t-on, sur les 1 100 000 q attendus, ont été engrangés 891 592 q de blé dur, 29 737 q de blé tendre, 19 543 q d’orge, 1 301 q d’avoine, 1 001 q de pois chiches et 7 32 q de lentilles. La culture des légumes secs ayant été relancée depuis peu de temps. Ce qui représente globalement quelque 9 43 818 q et la collecte n’est pas encore totalement achevée puisque des agriculteurs continuent à livrer à un rythme plus lent, leurs récoltes à la coopérative.
Comparativement, on constate que le niveau de la collecte a enregistré une hausse très importante puisque des 747 000 q collectés à la fin de la campagne 2017, on est passé à 943 818 q en 2018 soit un bond quantitatif de 206 818 q.
On observera que la collecte a atteint les 50% de la récolte globale de la Wilaya, ce qui est considéré comme une performance très appréciable qu’on impute surtout à une pluviométrie importante et régulière tout au long de l’année et à l’absence de stress hydrique surtout, mais aussi à une diminution très importante des feux de récoltes cette année puisque, selon la Direction de la Protection civile qui a procédé à une soixantaine d’interventions dans ce cas, les flammes n’ont détruit qu’une quinzaine d’ha de blé et quelque 7 ha d’orge.
De plus, indique la cellule de communication de la Protection civile, même les incendies de forêt ont nettement diminué cette année puisque les sapeurs-pompiers ne sont intervenus qu’à 9 reprises et les dégâts sont estimés très faibles puisque seulement une quinzaine d’ha ont été détruits.
Par contre, indique-t-on, on a enregistré la destruction de quelque 20 000 bottes de paille et environ 2 000 arbres fruitiers, incendies imputés surtout aux négligences des agriculteurs et au manque de mesures préventives.
K. O.
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Encore une fois, la réaction des responsables locaux et autres gestionnaires n’est venue qu’après qu’ils eurent été interpellés sur les réseaux sociaux et dénoncés pour leur inaction. C’est même devenu une règle, lorsque des citoyens veulent attirer l’attention des autorités sur des défaillances, soit ils sortent dans la rue bloquer le tramway, soit ils publient des photos et des vidéos sur les réseaux sociaux. C’est ce qui s’est passé, courant de cette semaine à Oran, avec la publication par un habitant de l’état de dégradation et de délabrement du bloc 4 937 de la cité AADL Cosider (Bir El Djir-Oran), en pleine tension autour des foyers de choléra dans le pays. Et pour cause, les locataires avaient, par écrit, saisi les gestionnaires de la cité AADL, sur la dégradation de leurs blocs et de bien d’autres, ainsi que l’absence d’entretien de manière générale. Dans cedit bloc, la cave est inondée par le déversement des eaux usées, probablement à cause de la rupture des conduites d’évacuation de l’immeuble. Plus grave, les vides ordures n’avaient pas été pris en charge depuis des semaines, les déchets ménagers s’entassant dans le réduit et dans le conduit.
Des odeurs pestilentielles avaient envahi tous les étages, les moustiques et les rats empoisonnant le quotidien des résidents et faisant planer une catastrophe sanitaire bien plus grave que le choléra.
Au lendemain de la publication de vidéos, les autorités locales ont réagi voulant nier dans un premier temps la situation. Mais la réalité étant là, elles enverront immédiatement des équipes de nettoiement pour remédier à la situation. Sur instruction du wali, la Direction de l’environnement est donc, intervenue pour l’enlèvement des ordures, déployant, moyens humains et matériels conséquents. Si les locataires se disent satisfaits, ils considèrent que la question de la gestion de cette cité demeure entière d’autant que l’organisme de gestion est défaillant et pourtant perçoit les charges.Va-t-il falloir à chaque fois avoir recours aux réseaux sociaux pour que les missions de base des communes soient assurées ?
M. Fayçal
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CONSTANTINE
La surcharge est au rendez-vous à Ali-Mendjeli
Le secteur de l’éducation a bénéficié de 8 nouveaux établissements éducatifs qui seront ouverts à la rentrée du 5 septembre, en plus de la transformation de deux écoles primaires en CEM, à Ali-Mendjeli (extension ouest de l’UV20) et Massinissa pour réduire la surcharge des classes qui continue de pointer à chaque rentrée scolaire.
Avec les opérations de relogement qui ont donné lieu au transfert de 9 000 familles vers la nouvelle ville Ali-Mendjeli et vers le pôle urbain Massinissa, le secteur de l’éducation doit faire face aux zones de pression créées dans le sillage de ces déplacements de la population. L’année passée, le taux d’occupation au niveau des établissements de la nouvelle ville a dépassé les 44 élèves et plusieurs établissements scolaires, comme les écoles primaires, ont opté pour la deuxième séance comme c’est le cas pour celles de l’UV 2, 16, 17 et 9. Mais, selon le directeur de l’éducation de wilaya, au pôle Massinissa, 855 élèves sont inscrits dans le cycle primaire, un nombre qui exige au moins deux écoles, ainsi que 715 élèves dans le cycle moyen et 165 élèves dans le secondaire. «Sur le terrain, au niveau de ce pôle, nous avons 3 écoles primaires, 2 établissements scolaires du moyen et un lycée en cours de réalisation, et l’on est assuré de réceptionner deux écoles primaires pour la prochaine rentrée scolaire, qui peuvent contenir les 855 élèves inscrits, avec la contrainte d’aller vers la double vacation, alors que la troisième école sera utilisée pour accueillir les élèves du moyen en attendant la réception d’un CEM au mois de novembre ou décembre», a-t-il expliqué dans une conférence de presse. Au niveau de l’extension ouest de l’UV n°20, à Ali-Mendjeli, pas moins de 3 écoles primaires seront réceptionnées avant la rentrée et une autre école est en cours de réalisation.
Selon le DE, une école sera dégagée pour accueillir les élèves du cycle moyen, en attendant la réception d’un établissement moyen prévue au mois de décembre. Donc, cette année encore, la surcharge sera au rendez-vous mais dès l’an prochain, soit en 2019, tous les établissements scolaires en cours de réalisation (28 écoles primaires, 11 CEM et 8 lycées), seront réceptionnés. De son côté, le wali a affirmé également la réception de 3 nouveaux lycées à Chaâb Erassass, à Constantine, El Djelloulia et à Békira dans la commune de Hamma Bouziane. Sur un autre registre, la wilaya vient de dégager une enveloppe de 3 milliards de centimes pour l’acquisition de 26 900 trousseaux scolaires au profit des élèves nécessiteux, au titre de la prochaine rentrée des classes 2018-2019 et ce, en sus des contributions des différentes APC.
A préciser que lors de la dernière session de l’APW, des instructions ont été données aux présidents des 12 APC, d’entamer rapidement les procédures relatives à l’opération de sélection des fournisseurs des cantines et des trousseaux scolaires. Pour ce qui est du transport scolaire, le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales a attribué, une aide financière d’un montant de sept milliards 800 millions de centimes auxquels il y a lieu d’ajouter 4 milliards 500 millions de centimes de participation de la wilaya en soutien aux APC pour couvrir ainsi 170 lignes de transport des élèves au moyen de 187 bus.
Enfin et lors d’une conférence de presse tenue mercredi dernier au siège de la Wilaya, le chef de l’exécutif a souligné que la wilaya a bénéficié de plus de 900 postes d’emploi en la matière, en plus de 970 postes dans le cadre du pré-emploi et 315 postes dépendant de la Direction de l’action sociale, soit un total de 2 185 postes d’emploi.
Ilhem Tir
ANNABA
Draâ-Errich accueille ses premiers élèves
Les appréhensions des parents d’élèves ayant bénéficié de logements sociaux locatifs au nouveau du pôle urbain de Draâ-Errich (Annaba) ont été dissipées, suite aux instructions données par le wali de Annaba, Mohamed Salamani, aux responsables de l’éducation et de l’administration de veiller à faciliter la procédure des inscriptions dans les nouveaux établissements de ce site.
Le wali avait insisté, lors de la réunion du conseil de wilaya, tenue en fin de semaine, sur la nécessité d’accueillir l’ensemble des enfants scolarisés des quelque 2.500 familles de la commune chef-lieu de wilaya installées depuis la veille de l’Aïd el-Adha dans leurs nouvelles demeures de ce pôle urbain. Il a instruit les responsables du transport public à prendre des mesures pour le renforcement des capacités de transport de la wilaya en veillant à la mise en place de nouvelles lignes assurant notamment la liaison vers Draâ Errich. Cette réunion était principalement consacrée à la rentrée scolaire, à celles de la formation professionnelle et universitaire.
Lors d’une récente visite à ce nouveau pôle urbain, le chef de ce projet, Rachid Bouguedah, nous affirmera, concernant les infrastructures d’accompagnement dont les établissements scolaires, que «tout est mis en place pour que les attributaires ne ressentent aucune gêne dès qu’ils prennent possession des lieux».
Dans sa conférence de presse animée ce dernier jeudi, à quelques jours de la rentrée scolaire 2018-2019, le directeur de l’éducation, Ahmed Ayachi, a tenu, pour sa part, à rassurer les parents d’élèves, soulignant que tout est fin prêt pour accueillir, dès ce 5 septembre, tous les apprenants du primaire jusqu’au secondaire en passant par le moyen, y compris ceux inscrits dans les cinq écoles primaires et un CEM du pôle urbain de Draâ-Errich. Près de
160 000 élèves tous paliers confondus dont 6 576 en 220 classes préparatoires, 69 204 dans 355 établissements primaires, 48 337 en 87 CEM, 21 306 dans 39 lycées rejoindront leurs établissements respectifs pour l’année scolaire 2018-2019. concernant le domaine de la solidarité, le même responsable a estimé que tous les élèves bénéficiant du don présidentiel de 3 000 dinars ont reçu leur dû et que la distribution des fournitures scolaires pour ceux des familles nécessiteuses est en cours. Le cas des élèves à besoins spécifiques est aussi pris en charge. Pour la réhabilitation et le réaménagement de 190 établissements scolaires, la wilaya a consacré une enveloppe de quelque 90 milliards de centimes. Cette somme porte également sur l’aménagement de cantines scolaires.
Afin d’éviter tout risque de maladies à transmission hydrique (MTH), en cette période marquée par l’apparition de cas de choléra dans certaines wilayas du centre du pays, le chef de l’exécutif de la wilaya de Annaba a fermement insisté sur les travaux à entamer sans délai relatifs à la vidange des bâches à eau et les citernes des écoles ainsi que le chaulage de tous les moyens de stockage de l’eau de la wilaya.
A. Bouacha
Guelma
La solidarité, les cantines et la prévention en débat au conseil de wilaya
Achats de fournitures, de manuels scolaires, d’habillement… Un tracas financier apporté par la rentrée scolaire du 5 septembre prochain. Pour soutenir les nécessiteux, les aides des pouvoirs publics fourmillent.
De quoi s’agit-il ? Mardi 28 août, un conseil de wilaya spécial rentrée scolaire, s’est réuni en présence de la première responsable de l’exécutif notamment pour le versement de la prime scolaire à pas moins de 57 000 bénéficiaires nécessiteux. Un coup de pouce financier qui atteint 3 000 DA par élève. Ce n’est pas la seule aide destinée aux parents aux ressources limitées. À environ une semaine de la rentrée scolaire, les autorités locales rappellent qu’elles sont en charge de cette classe de la société et redoublent de bienveillance à l’égard de leur progéniture scolarisée. Selon la première responsable de l’exécutif, il est nécessaire que l’aide «profite réellement aux enfants» et ne serve pas à autre chose. Pour ce faire, elle demande notamment qu’elle soit distribuée bien avant la rentrée scolaire. «Je considère que le retard dans la distribution des fournitures et l’allocation scolaire est un manque cruel de bon sens», ajoute-t-elle. Elle s’est également montrée regardante sur la destination de l’argent public, en exigeant au responsable de l’administration locale, une liste détaillée des bénéficiaires du kit scolaire «avec bien entendu les critères pour bénéficier de cette action de solidarité». La wilaya a également concentré ses aides sur les cantines et le transport scolaires «obligatoirement à 100% pour les enfants du premier palier du cycle scolaire».
Les chiffres dévoilés par l’inspecteur des services de l’éducation font état de 225 cantines scolaires éparpillées à travers les 34 communes de la wilaya. Constater sur terrain les travaux d’entretien visant à assurer la sécurité, à améliorer le cadre de vie et les conditions de travail des élèves et des enseignants, s’enquérir de l’état des nouvelles structures et des travaux d’aménagement pédagogiques réalisés, veiller à l’ouverture des cantines scolaires de la wilaya dès le premier jour de la rentrée scolaire…, une série de directives données au responsable local du secteur de l’éducation lors de cette réunion de coordination.
Enfin, ce conseil de wilaya spécial rentrée scolaire a été aussi l’occasion pour madame le wali de Guelma, d’insister sur le dispositif de prévention et de lutte contre les éclosions de maladies d’origine hydrique en milieu scolaire. Il a été convenu de mettre en application toutes les mesures préventives dans un cadre intersectoriel et d’organiser des séances d’éducation pour la santé autour des recommandations émanant du ministère de la Santé suite à l’apparition des cas de choléra dans certaines wilayas du centre du pays.
Noureddine Guergour
15 milliards de centimes pour le transport scolaire à Médéa
Une enveloppe financière de 15 milliards de centimes a été allouée à la wilaya de Médéa par le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire pour la promotion du transport scolaire dont la gratification du parc automobile, la maintenance des véhicules et autres, et cela, à travers les 64 communes de Médéa.
Selon le wali, ce don devrait servir également à entretenir les cantines et le chauffage dans les établissements scolaires.
Aussi, lors de cette réunion du conseil exécutif qui s’est tenue cette semaine, et en prévision de la rentrée sociale et en l’occurrence la rentrée scolaire, M. Mohamed Bouchema (wali de Médéa) a ajouté que 1 300 emplois ont été octroyés à la wilaya dans le cadre du programme d’aide à l’intégration dans les postes de gardien d’écoles et ceux d’ouvrier de cantines scolaires. Dans ce sillage, les responsables des secteurs concernés, à savoir le directeur de l’emploi et les P/APC, ont été sommés d’accélérer le recrutement des demandeurs d’emploi et de le boucler avant la rentrée scolaire.
Un autre pan de la réunion aura été consacré à l’épidémie de choléra. Le wali a ainsi fermement déclaré que la wilaya n’a enregistré aucun cas de cette pathologie mis à part celui de l’enfant de Tablat qui est un cas isolé. Le chérubin âgé de 4 ans a été contaminé par un membre de sa famille dans la wilaya de Blida. D’après M. Bouchema, la situation est tout à fait maîtrisée et normale et ne prête pas à l’inquiétude.
M. L.
Conseil de wilaya d’El Tarf
La rentrée scolaire et le plan de protection contre les inondations au menu
C’est la mobilisation totale dans la wilaya d’El Tarf pour une rentrée scolaire dans de bonnes conditions et sans fausses notes. Lors du Conseil de wilaya de jeudi dernier, le wali M. Belkateb Mohamed a sommé les maires et le directeur des équipements publics (DEP) à terminer, durant ces quatre jours, tous les travaux de réfection qui ont touché, exactement, 104 écoles sur les 254 que compte la wilaya d’El Tarf.
«Nous devons finir les quelques travaux de réfection qui restent encore à achever avant le 5 septembre prochain, coïncidant avec la rentée scolaire. Cette rentrée scolaire est couplée à l’hygiène et à l’environnement. Chacun de vous doit connaître ses responsabilités à accomplir, qui sont délimitées. Nous venons de recevoir une instruction en date du 27 août n°163, émanant du ministère de l’Intérieur, sur la préservation de l’hygiène et de la santé publique et de la protection contre les maladies transmissibles».
Et d’ajouter avec véhémence que «il y a une contradiction flagrante et évidente entre ceux qui sont payés et les résultats sur le terrain. Lundi prochain, une réunion se tiendra au siège de la wilaya avec les 254 directeurs des écoles primaires. Nous allons lancer dans chaque école primaire un club vert, et ce, avec l’apport notable et précieux du Parc national d’El Kala et la Conservation des forêts». Le wali fera son mea-culpa en admettant que «nous sommes loin de l’organisation efficace et la régularité dans la collecte et le ramassage des ordures ménagères. Il est inadmissible, que des vaches errent au centre de la ville d’El Tarf. Vous devrez établir des arrêtés pour la saisie desdites vaches». Le commis reviendra sur la rentrée scolaire en intimant l’ordre au P/APC de procéder, dès le 5 septembre prochain, à fournir aux élèves des repas chauds. «Le déjeuner doit exister dans toutes les cantines scolaires à partir de cette rentrée, soit le 5 septembre prochain et gare aux récalcitrants», a-t-il martelé. Prenant la parole, le directeur des ressources en eau a exposé le plan de protection contre les inondations ainsi que les actions urgentes à entreprendre, qui lui sont inhérentes.
Les actions consistent, grosso modo, au curage des canaux et des oueds qui serpentent l’ensemble des communes de la wilaya sachant que 18 communes sur les 24 que compte la wilaya sont potentiellement inondables.
Enfin, le premier responsable de la wilaya a révélé que les deux postes frontaliers (El Ayoune et Oum T’boul) ont enregistré le passage de 1,685 million de passagers vers le pays voisin, la Tunisie.
Daoud Allam
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Les bureaux d’hygiène des communes sont sous la responsabilité d’un médecin généraliste.
Pourtant, depuis 2012, avec le nouveau code communal, ces bureaux ont été mis sous la responsabilité des… vétérinaires.
On se demande, depuis, qui contrôle l’hygiène dans les communes.
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Depuis deux ans maintenant, au gré des révélations, le sujet revient de manière quasi-récurrente, tant il ne recueille pas toutes les faveurs, loin s’en faut !
En effet, l’édification de l’une des plus importantes bases pour drones de l’armée américaine au Niger, à Agadez plus précisément, ne fait pas l’unanimité depuis que le projet a été dévoilé pour la simple raison qu’il participe encore plus à la militarisation d’un continent qui a beaucoup plus besoin d’aide économique que d’autre chose.
Par le truchement de la publication américaine indépendante The Intercept, le sujet est revenu à la Une de l’actualité aux Etats-Unis et par ricochet dans de nombreux pays de notre sous-région, et en Afrique globalement, le continent étant la convoitise clairement affichée des grandes puissances dans le cadre global du nouvel ordre mondial qu’elles entendent instaurer depuis des années maintenant. La publication américaine est en fait revenue sur le sujet pour faire état du coût faramineux induit pour la construction de la base 201 sur les terres nigériennes, à Agadez, 300 kilomètres au sud des frontières avec l’Algérie.
C’est, dans les faits, le plus important complexe militaire que va s’offrir l’armée US à l’étranger, selon un porte-parole de l’US Air Force qui s’est confié à The Intercept dans son édition datée du 21 août pour révéler que cette base est tellement imposante qu’elle va éclipser celle d’Al-Dhafra aux Emirats arabes unis et celle de Phan Rang, au sud du Viêtnam, édifiée en 1969 pour accueillir pas moins de 150 avions. Un ordre de grandeur dont les Américains ont décidé de payer le prix jusqu’à dépasser le quart de milliard de dollars à son achèvement total en 2024, entre autres, contrairement à ce qui était prévu et déclaré devant les élus du Congrès. La publication annonce également que les drones de l’US Army devraient être opérationnels à partir du Niger dès 2019. Des drones qui, au départ du projet, devaient être utilisés par l’armée américaine pour l’observation, mais il s’est avéré finalement que la base d’Agadez détient tous les attributs pour servir à des drones armés, les «célèbres» MQ-9 Reaper à multiples fonctions.
Agadez à défaut de Tamanrasset
Il n’est pas inutile de rappeler que le Pentagone a jeté son dévolu sur le Niger et la région d’Agadez par défaut après des pourparlers en 2015, comme le révélaient des documents sortis sur la presse américaine, dont The Intercept, il y a maintenant deux ans. Comme le révélait Akram Kharief, le spécialiste algérien des questions de défense, l’idéal pour les Américains aurait été de s’installer au sud de l’Algérie. Ils ont tout entrepris pour ce faire, soutenait-il dans un article publié dans Middle East Eye il y a près de deux ans en reprenant les affirmations d’un journaliste russe qui avait relaté les étapes des tractations entre responsables américains et algériens au sujet de la location de la base aérienne de Tamanrasset, la mieux indiquée pour la couverture et la surveillance de la région allant du Sahara au Sahel. Une base, qui plus est, construite par Brown and Root Condor (BRC), selon les normes édictées par l’OTAN.
Le spécialiste algérien attitré des questions de défense affirmait dans son article que les Américains avaient entamé leurs démarches auprès des Algériens de façon «sérieuse» durant l’hiver 2009 avec l’idée de convaincre les nôtres d’intensifier «la coopération contre le terrorisme, ou plutôt d’adhérer à la vision de la guerre américaine contre le terrorisme». Ce n’est qu’à la mi-février 2010 que les négociateurs américains ont perçu chez les Algériens la disposition d’accéder à leur vœu d’obtenir la location de la base de Tamanrasset pour leurs drones. Mais il fallait compter sans le Printemps arabe, des contingences qui ont commandé aux Algériens, comme le dit Akram Kharief, de changer radicalement de ton et refuser officiellement de discuter de location de bases militaires, au début de l’année 2012.
De là sont nées les recherches des Américains ailleurs pour aboutir à la location pour dix ans de la base aérienne d’Agadez qui viendra, ainsi, étoffer la massive présence militaire étrangère dans la région en particulier et en Afrique en général, où ce ne sont pas tous les pays qui ont les moyens d’assurer leur propre sécurité, en dehors de l’Armée égyptienne qui arrive à contenir l’Etat islamique et toute autre menace, l’alliance entre les armées nigériane et camerounaise contre Boko Haram, et bien entendu l’ANP avec la menace terroriste au sud du pays et les résidus de groupes ayant sévi au Nord.
Azedine Maktour
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Le premier groupe de hadjis issus des wilayas du Sud-Est du pays est arrivé jeudi en début de soirée à l’aéroport de Ain El-Beida, wilaya d’Ouargla, au titre du premier vol de retour des pèlerins des lieux saints de l’islam (Arabie Saoudite), après l’accomplissement du pèlerinage.
Composé de 300 hadjis en provenance de Djeddah, ce premier contingent a été accueilli par les autorités de la wilaya, ainsi que leurs familles.
Toutes les dispositions nécessaires ont été prises pour assurer une meilleure prise en charge des hadjis, notamment les procédures administratives, douanières et policières d’usage.
A ce titre des mesures particulières ont été adoptées au profit des hadjis par les services de sûreté de la wilaya en coordination avec les deux brigades de la police des frontières aériennes à l’aéroport d’Ouargla pour facilité les procédures de retour, a appris l’APS auprès de ce corps constitué.
Dix (10) vols de retour ont été programmés (saison – Hadj 2018) pour le transport d’un total de 3.000 hadjis des wilayas du Sud du pays (Ouargla, El-Oued, Ghardaïa, Illizi et Tamanrasset) assurés par Air Algérie et Saudi Arabian Airlines à partir des aéroports de Djeddah et Médine vers celui d’Ouargla, et qui poursuivront jusqu’au 11 septembre prochain, a indiqué le directeur régionale d’Air Algérie Mohamed Toufik Bounoua.
Deux agences de voyage privées ont été retenues cette saison pour accompagner les hadjis, rappelle-t-on.
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De son vrai nom Ahmed Driche Tidjani né le 15 novembre 1921 à Marseille et décédé le 28 octobre 1993 à Alger. Il est l’un des fondateurs avec Blaoui Houari du genre musical nommé El Asri, genre nouveau né à Oran dans les années 1940 et influencé par les grands maîtres de la musique arabe comme Mohamed Abdelwahab et Farid El Atrache, qui tout en empruntant son style à l’Orient utilise les rythmes et le langage poétique typiquement oranais. Né d’un père algérien et d’une mère française d’origine italienne, sa mère décède alors qu’il était encore nourrisson. Orphelin dès son jeune âge, il grandit ensuite avec sa sœur dans le quartier de Médina Jdida à Oran chez son grand père (une famille d’origine d’un village à côté de la wilaya de Tiaret) qui les recueillent et les élèvent. Son père est le chanteur Dader qui fut membre du groupe S’hab El Baroud ou Banda Zahouaniya du quartier de Médina Jdida. Ahmed Wahbi va trouver sa vocation de chanteur à travers le réseau du scoutisme et notamment avec la création en 1937 du groupe de scouts musulmans d’Oran En-Najah dont il fera partie avec Hamou Boutlélis et Kada Mazouni. Son talent se révélera lors des longues veillées qui se déroulaient dans la forêt de Misserghine au cours desquelles il reprenait le répertoire de Mohamed Abdelwahab. Cependant, avant d’être un artiste reconnu, Ahmed Wahbi a connu la gloire dans le milieu de l’athlétisme et de la natation, après avoir été sacré champion dans le 110 mètres haies. Sa première apparition en public remonte à l’année 1946 à la salle « Atlas » d’Alger, avec Rouiched, Keltoum, Abderrahmane Aziz, Mohamed Touri, Missoum et Cheikh Er-Rouge. Auteur compositeur dans le registre de la chanson oranaise, il a interprété plus de 800 chansons, depuis l’enregistrement de son premier disque 78 tours, en 1949, à la maison d’édition « Pacific ». Après s’être investi dans la chanson, dans les années 1940, l’année 1950 sera une période faste, après sa rencontre avec Cheikh Abdelkader ElKhaldi. Il signera ses plus belles chansons dont Ya Touil Erragba, El Ghezal, Yemna. Son répertoire sera également enrichi, grâce à l’apport d’un autre chantre du Chi’r El-Malhoune, Cheikh Mostefa Benbrahim. Ahmed Wahbi fut un militant nationaliste durant la guerre d’Algérie (1954-1962), lorsqu’il rejoint en août 1957, la base frontalière de l’Est, Ghardimaou, pour renforcer la troupe artistique du FLN et participer à des tournées de galas dans les pays amis d’Europe, d’Asie et du Moyen-Orient, pour représenter l’Algérie et son peuple en lutte pour sa liberté. À la base Ben M’hidi (Maroc), et dans les centres de soins ouverts dans la bande frontalière algéro-tunisienne, Ahmed Wahbi apporta réconfort et bonheur, à travers des interprétations de son répertoire, au profit des Djounoud, de l’Armée de libération nationale (ALN). Après l’indépendance, son itinéraire artistique sera jalonné de succès avec ses chansons telles Wahran, Wahran. Auteur compositeur, interprète, Ahmed Wahbi se préoccupe aussi du devenir des autres artistes, en présidant durant deux mandats successifs aux destinées de l’UNAL (Union Nationale des Arts Lyriques), en qualité de secrétaire général. Il sera l’invité de nombreuses émissions télévisées après sa rencontre avec Saïm Hadj son principal parolier. Il produira 19 œuvres de qualité. Ce fut une rencontre féconde que le chanteur mettra à profit pour mettre en musique les belles qacidas, comme « Fat elli fat », « Cha’lat la’youne ».
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Critiqué pour son manque de stratégie et pilotage budgétaire, le sénat français a mis l’accent sur les difficultés de financement de l’Agence de l’enseignement du français à l’étranger (AEFA) et ce, dans un rapport rendu public. La Commission des Finances du Sénat français a exprimé son mécontentement concernant la gestion des établissements, notamment face aux entraves imposées par le côté algérien suite au programme dédié à l’enseignement du français à l’étranger durant le premier semestre de l’année en cours.
Selon le document de 118 pages, l’AEFA rencontra ainsi des difficultés dans le financement de ses établissements à l’étranger dans certains pays, notamment en Algérie, en Tunisie, au Maroc, en Angola, au Venezuela, au Brésil et en Chine. Ces difficultés seraient principalement liées au règlement en vigueur dans ces pays concernant les mouvements des capitaux. Le document note ainsi que pour le cas de l’Algérie, ce sont 14,36 millions d’Euros qui n’ont pas pu être transféré pour le financement du lycée international Alexandre Dumas d’Alger, en raison des lois en vigueur concernant l’entrée et sortie de capitaux du territoire national. Le rapport a ainsi mis en cause l’absence d’ « autorisation de transfert par voie de chancellerie à hauteur de 3,6 millions d’euros depuis novembre 2017 pour un an ». « La dernière demande de transfert de mai 2018 est restée sans réponse » lit-on dans le même texte. Outre l’Algérie, les restrictions sur les transferts de capitaux ont touché 18,84 millions d’Euros destinés aux établissements de l’AEFA en Tunisie, 2,79 millions d’Euros au Maroc ainsi que 9,73 millions d’Euros en Angola. Ces difficultés ont également été rencontrées au Venezuela, au Brésil et en Chine pour des montants respectifs de 2,99, 4,71 et 4,77 millions d’Euros. Par ailleurs, le rapport indique que pour le compte de l’année scolaire 2017/2018, un montant total de 2755,72 Euros a été dépensé pour chacun des 1753 élèves du lycée français d’Alger, auxquels s’ajoutent 208 élèves scolarisés à la Petite École de Hydra (Alger) qui dépend de la Mission laïque française (Mlf), elle même partenaire de l’AEFA.The post Enseignement de la langue de molière : Le Sénat français dénonce les entraves algériennes appeared first on .
Pas moins de 175 nids de cigognes blanches ont été recensés par les agents du parc national d’El Kala (PNEK), de la wilaya d’El Tarf, a-t-on appris vendredi auprès des responsables dudit parc.
S’inscrivant dans le cadre d’une campagne de dénombrement de la cigogne blanche (Ciconia ciconia), lancée depuis juin dernier, cette opération a permis de recenser 171 nids au niveau de 13 localités se trouvant à l’intérieur du PNEK et quatre autres au niveau de localités limitrophes du parc, a ajouté la même source.
L’effectif recensé est composé de 800 individus, à savoir 450 juvéniles et 350 adultes, a-t-on précisé, détaillant que les lieux les plus fréquentés par les cigognes blanches sont Ain Assel et Boutella Abdellah, Ain Kheyar, dans les communes d’El Tarf, Ramel Souk et Oued El Hout.
Tout en signalant que cette campagne annuelle a pour objectif de recenser « ces bio-indicateurs de la salubrité des milieux naturels », les responsables ont évoqué les nombreuses menaces qui pèsent encore sur ce volatile, principalement au cours de sa migration ou dans les zones d’hivernage où certains sujets périssent.
Dans ce sens, les services du PNEK font état des cas d’électrocution des cigognes sur des lignes de moyenne tension ou en percutant des câbles aériens alors que d’autres ingèrent des aliments dangereux au niveau des décharges publiques.
Le parc national d’El Kala renferme un complexe des zones humides de renommée mondiale (Site Ramsar) ainsi que des plans d’eau, d’une superficie totale de près de 80.000 hectares et jouissant d’un agencement exceptionnel de trois écosystèmes marin, lacustre et forestier rayonnant sur huit communes de la wilaya d’El Tarf, rappelle-t-on.
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Le Conseil de sécurité a approuvé jeudi à l’unanimité un renouvellement pour un an de la mission de ses Casques bleus au Liban, en insistant, suite à une demande américaine, sur la nécessité d’appliquer pleinement l’embargo sur les armes.
Toujours à l’initiative des Etats-Unis, la résolution adoptée pousse « le gouvernement libanais à développer un plan pour augmenter ses capacités navales » afin de supprimer à terme la composante navale de la force de paix Finul.
Interrogé sur la contradiction à réclamer davantage de respect de l’embargo sur les armes tout en voulant supprimer un outil naval chargé justement de surveiller la vingtaine de kilomètres de côtes libanaise, un diplomate a avancé, parmi les raisons, une volonté des Etats-Unis de réduire les coûts de la mission de paix, forte de quelque 10.000 militaires.
La composante navale de la Finul comprend une demi-douzaine de navires militaires dotés d’armements et de radars. La position d’Israël à l’égard de cette présence navale internationale non loin de son territoire reste imprécise.
Le texte, rédigé par la France, ne mentionne pas le Hezbollah, en dépit de demandes en ce sens des Etats-Unis lors des négociations, selon des diplomates.
La majeure partie des membres du Conseil, comme le Liban, souhaitaient à l’origine un renouvellement quasi-identique du mandat approuvé il y a un an, selon l’un d’entre eux.
Parmi les inflexions, le Conseil de sécurité réclame que la Finul améliore encore son efficacité dans sa zone de déploiement dans le sud du Liban. Sur l’embargo sur les armes, il insiste sur l’obligation faite à « tous les Etats de prendre toutes mesures pour empêcher que leurs ressortissants, ou leurs territoires, en utilisant navires ou avions, vendent ou fournissent des armes à toute entité ou individu au Liban autres que ceux autorisés par le gouvernement ou la Finul ».
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La production pétrolière de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole(OPEP) et ses dix (10) partenaires non OPEP a atteint en juillet dernier un niveau de conformité de 109%, a indiqué l’Organisation dans un communiqué publié jeudi sur son site web.
Les pays participants à la déclaration de la coopération ont atteint un niveau de conformité de 109% au cours du mois de juillet dernier contre 121% en juin dernier, a indiqué le Comité ministériel conjoint de suivi de l’accord OPEP-non OPEP (JMMC) qui a examiné le rapport mensuel préparé par son Comité technique mixte.
Les pays de l’OPEP et leurs alliés se sont engagés en juin dernier à respecter le niveau global de conformité, volontairement ajusté à 100%, à compter du 1er juillet 2018 pour la durée restante de l’accord de limitation de la production.
« Les pays participants à la « Déclaration de coopération » ont atteint un niveau de conformité de 109% en juillet 2018, ce qui montre des progrès significatifs vers l’objectif fixé lors de la réunion OPEP et non OPEP à Vienne du 23 Juin 2018, qui ont suivi et approuvé les décisions prises à la 174e réunion de la Conférence de l’OPEP tenue le 22 juin 2018″, souligne le communiqué.
Le JMMC a examiné les développements récents du marché et le rapport fourni par le comité technique mixte concernant le suivi des niveaux de conformité globaux des pays participants dans la déclaration de participation pour le mois de juillet 2018.
Le Comité s’est déclaré globalement « satisfait » de la performance collective des pays membres au mois de juillet 2018.
Il s’est également déclaré satisfait des fondamentaux du marché que sont le bon équilibre entre l’offre et la demande compte tenu des facteurs saisonniers.
La prochaine réunion du JMMC est prévue pour le 23 septembre 2018 à Alger.
Lors de cette réunion, le JMMC examinera le plan de suivi des fondamentaux du marché et des niveaux de conformité pour le reste de l’année 2018, ainsi que le cadre de coopération à établir en 2019 et au-delà.
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Le ministre du Commerce, Saïd Djellab a examiné, jeudi à Alger, les voies et moyens de renforcer la coopération commerciale et la promotion des investissements entre l’Algérie et le Japon et entre l’Algérie et le Malawi, et ce durant deux entretiens distincts avec le ministre délégué auprès du ministre japonais de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie, Yoji Muto, et le président du parlement du Malawi, Richard Makowa Msowya, indique un communiqué du ministère.
Lors de son entretien avec Yoji Muto, le ministre du Commerce a évoqué l’état des relations commerciales entre l’Algérie et le Japon qu’il a qualifiées de « bonnes ».
Les deux parties ont examiné les voies et moyens d’atteindre des partenariats efficaces et réussies pour la domiciliation d’investissements de qualité entre les deux pays et le développement des domaines prometteurs, mettant en avant les opportunités d’investissement dans différents domaines.
De son côté, le ministre délégué auprès du ministre japonais de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie a exprimé l’intérêt de son pays de consolider cette coopération et de promouvoir le partenariat commercial et économique entre les deux pays.
Il a affirmé, à cet effet, la disponibilité de son pays d’accompagner l’Algérie dans le développement de son économie, notamment dans le domaine des technologies, et dans l’intensification de ses exportations hors hydrocarbure vers le Japon.
D’autre part, le ministre du Commerce a passé en revue avec le président du parlement de la République du Malawi les questions d’intérêt commun et les voies et moyens de renforcer la coopération entre l’Algérie et le Malawi dans les domaines commerciale et économique.
Dans ce contexte, M. Djellab a mis l’accent sur l’importance de créer des investissements entre l’Algérie et le Malawi à même de contribuer au développement des relations bilatérales et augmenter les échanges commerciaux, notamment les exportations algériennes.
Il a également insisté sur la nécessité de créer un Conseil d’affaires algéro-malawien, a ajouté la même source.
Pour sa part, le président du parlement du Malawi a exprimé la volonté de son pays de renforcer la coordination des politiques avec l’Algérie et le développement de la coopération dans les domaines du commerce et de l’investissement, de conclure des conventions en matière des relations économiques de haut niveau, d’autant que le volume des échanges commerciaux entre les deux pays reste faible.
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L’industrie des parcs d’attraction en Algérie a le vent en poupe et la « saga » des parcs dédiés essentiellement aux enfants et aux jeunes ne connait pas de répit, avec en toile de fond l’entrée en lice en mars 2019 du « Blikaz Park » de Constantine.
Fruit d’un triumvirat sino-russo-italien et s’étendant sur une superficie de dix hectares à l’orée de la forêt de Djebel Ouahch sur les hauteurs de la ville, « cette structure haut standing inédite en Algérie de par son architecture et la nature de certaines de ses attractions, ouvrira ses portes en mars 2019 », a révélé à l’APS son propriétaire, Saâdeddine Blikaz, PDG du groupe ETRHB Blikaz, entreprise de travaux publics et hydrauliques.
Chapeautés par un chef de projet russe, les travaux de réalisation de ce parc d’attractions vont être « incessamment » entamés par une entreprise chinoise, chargée notamment de la construction des restaurants (R+1), de l’entrée du parc et de l’administration, a-t-il indiqué.
Affirmant qu’il a préalablement fallu procéder à la démolition des anciennes installations, se soldant par le rejet de 7000 à 8000 m3 de détritus, M. Blikaz a fait savoir que le parc comptera une dizaine de restaurants édifiés suivant « une architecture à 100 % russe », au même titre que 15 guérites destinées aux agents de sécurité, précisant que ce type d’architecture est « le premier du genre à l’échelle nationale ».
En plus de cela, cette structure abritera environ 30 kiosques multiservices.
Requérant un montant global de plus de 5 milliards de DA, « cet ambitieux projet, également inspiré de Disney Land, comptera 22 attractions de grande qualité, montées et entretenues par des Italiens, dont l’incontournable Grande roue, qui deviendra de par sa hauteur de 50 mètres, la plus grande en Algérie », a-t-il assuré.
Selon M. Blikaz, les amateurs de sensations fortes et d’adrénaline pourront ainsi s’éclater sur le « Grand 8 », le « bateau pirate » et la « Swing tower », outre les autos tamponneuses pour adultes (20 voitures) et pour enfants ainsi qu’un carrousel à double étage (manège tournant avec des chevaux de bois) notamment.
Accès gratuit pour les personnes handicapées
Très attendu par les habitants de Constantine et ses environs, ce parc de loisirs et d’attractions emploiera plus de 500 personnes, dont une centaine seront en charge de la sécurité des lieux et des visiteurs.
A ce titre, le PDG de l’ETRHB Blikaz a fait état de la création d’une société de gardiennage dont le principal objectif est de garantir la sécurité au sein du parc d’attractions en veillant à la quiétude des nombreux citoyens qui viendront se distraire et se divertir, précisant que « l’entrée au Blikaz Park sera gratuite pour les personnes handicapées ».
Par ailleurs, ce même investisseur a exprimé le souhait de créer un « pôle touristique » adjacent à l’actuel parc d’attractions en cours de réalisation, avec plages artificielles, piscines, toboggans et complexe touristique notamment, pour mettre ainsi à la disposition des citoyens différentes éventails de divertissement et de détente.
Toutefois, il reste à régler le problème du parking de 9 étages dont le lancement des travaux reste tributaire de l’aval des autorités locales pour sa concrétisation sur un terrain jouxtant le parc d’attractions, d’autant que l’assiette mise en enchères par les Domaines ne mentionnait pas initialement de parking, a-t-il renchéri.
« L’étude est prête, nous attendons juste le feu vert des autorités pour entamer les travaux et les achever dans les délais pour être capables d’accueillir les très nombreux visiteurs attendus dès la mise en exploitation du parc », a-t-il soutenu.
Vingt ans de disette et de vide en matière de loisirs
Après une vingtaine d’années de disette et de vide en matière de loisirs et de distractions, la population locale attend avec beaucoup d’impatience l’entrée en service de ce nouveau parc d’attractions, dont le site est resté à l’abandon, essentiellement depuis la dissolution de l’entreprise de gestion des infrastructures de loisirs de Constantine (EGILCO).
Il a fallu attendre mai 2017, à l’issue d’une mise aux enchères du site de l’ancien parc de loisirs de Djebel Ouahch par les services locaux des Domaines, à laquelle ont participé 5 soumissionnaires, pour que l’espoir de faire revivre ce lieu devienne effectif.
Selon Mohamed Bouanika, directeur des Domaines de Constantine, le site de l’ancien parc de loisirs de Djebel Ouahch a été attribué en concession, au terme d’une mise aux enchères, à l’Eurl ERTHB Blikaz pour une durée de 33 ans, renouvelable 1 fois, contre une dotation annuelle de plus de 42 millions de DA, versée chaque année à l’inspection des domaines.
Le même responsable a également précisé à l’APS que cette concession est soumise à un suivi par une commission chargée de vérifier si l’application du cahier des charges est respectée, ajoutant que ce dernier stipule que le gestionnaire du parc doit procéder à l’aménagement du site au cours de la première année.
Pour l’instant, d’ici l’ouverture du Blikaz Park au printemps 2019, les habitants de la ville du Vieux Rocher n’ont d’autre choix que celui de continuer à parcourir plusieurs dizaines de kilomètres pour emmener leurs enfants s’amuser dans les parcs de loisirs de Batna et Sétif notamment.
« C’est quand même navrant que la ville de Constantine, en sa qualité de capitale de l’Est ne dispose pas d’un parc d’attractions depuis deux décennies, pénalisant des milliers d’enfants et d’adultes qui n’ont pas où décompresser et se divertir surtout durant la saison estivale », déplore Amina, une mère de 4 enfants, âgés entre 16 et 5 ans, exprimant, toutefois, son « soulagement » quant à l’ouverture l’année prochaine du Blikaz Park.
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Le leader du mouvement de contestation sociale du « Hirak » au Maroc, Nasser Zefzafi, condamné à 20 ans de prison, a entamé jeudi une grève de la faim pour protester contre ses conditions de détention, selon son père.
« Il est décidé à ne plus manger ni boire jusqu’à ce que ses revendications soient satisfaites. C’est une grève de non-retour », a déclaré son père Ahmed Zefzafi cité par l’AFP.
« Il ne demande que les droits dont bénéficient les autres prisonniers: qu’on le sorte de l’isolement en cellule individuelle et le mette dans une cellule digne où il puisse voir et parler » avec les détenus, a-t-il ajouté. Selon lui, son fils ne comprend pas pourquoi un traitement « aussi sévère » lui est réservé. La direction de la prison Oukacha de Casablanca où il est détenu n’a fait aucun commentaire sur le sujet.
Arrêté en mai 2017 en pleine contestation sociale dans la région du Rif (nord) suite au mouvement qui a agité en 2016 et 2017 le nord du Maroc, dont 11 des prévenus de Casablanca., Nasser Zefzafi avait été condamné fin juin à 20 ans de prison pour « complot visant à porter atteinte à la sécurité de l’Etat », au terme de neuf mois d’un procès réunissant un total de 53 prévenus.
Nassez Zefzafi, un ancien chômeur devenu le visage de la contestation, avait été arrêté après avoir interrompu le prêche d’un imam ouvertement hostile au mouvement dans une mosquée d’Al-Hoceïma, l’épicentre du « Hirak » qui a secoué la région. La contestation avait été déclenchée suite à la mort d’un vendeur de poissons, broyé dans une benne à ordures en octobre 2016 alors qu’il s’opposait à la saisie de sa marchandise. Au fil des mois, le mouvement a pris une tournure plus sociale et politique, appelant à davantage de développement et à la fin de la « marginalisation » de la région.
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Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a indiqué vendredi dans un communiqué, qu' »à la date du 30 août, 74 cas de choléra ont été confirmés ».
Ces cas confirmés ont été enregistrés dans les wilayas de Bouira (3 cas), Blida (39 cas), Tipaza (15) et Alger également avec 15 cas, ont et un cas respectivement pour les wilayas de Médéa et Ain Defla, précise le ministère.
Le ministère souligne que les patients sortants donc considérés comme guéris « sont de 132, soit 66% de l’ensemble des hospitalisations » notant que les malades restants sont hospitalisés au niveau de l’EPH de Boufarik et que les cas hospitalisés à l’EHS El Kettar ont été déclarés sortants après guérison.
Rappelant que cette épidémie est actuellement circonscrite au niveau de la wilaya de Blida, le ministère précise également que pour les cas enregistrés dans les wilayas de Médéa et de Ain Defla qu’il s’agit « de cas ayant séjourné à Blida ».
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La ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la Femme, Ghania Eddalia, a exposé à Genève (Suisse), devant les membres de la Commission des personnes handicapées, les programmes mis en place en Algérie et les réalisations accomplies en matière de protection et de promotion des personnes handicapées, indique jeudi un communiqué du ministère.
Présentant le rapport préliminaire de l’Algérie sur la mise en oeuvre de la Convention relative aux droits des personnes handicapées, mercredi et jeudi au siège des Nations Unies à Genève, la ministre a exposé les programmes mis en place et les réalisations accomplies en matière de protection et de promotion des personnes handicapées, précise la même source.
« Les développements enregistrés et les réalisations accomplies par l’Algérie, qui a pris l’initiative de promulguer la loi 02-09 relative à la protection et à la promotion des personnes handicapées et de ratifier, en 2009, la Convention relative aux droits des personnes handicapées ont trouvé un écho favorable » lors de cette réunion empreinte « d’un dialogue positif et constrictif avec les membres de la commission ».
La délégation algérienne, conduite par la ministre de la Solidarité nationale sur orientations du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a pris bonne note des observations des experts, membres de la Commissions, et qui sont à même de contribuer au perfectionnement des politiques relatives à cette catégorie vulnérable de la société et à l’amélioration de la prise en charges de ses besoins.
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