Jeudi 31 mai, 14 ème jour de Ramadan, un soleil éclatant inonde la ville d’Oran, de nombreux oranais et oranaises s’empressent de faire leurs dernières courses afin de concocter un délicieux repas pour rompre le jeûne une fois le soleil couché.
Malheureusement, beaucoup d’autres n’ont pas cette chance. Et c’est ainsi que de nombreuses bonnes âmes se dévouent afin d’offrir un repas complet au plus démunis. Parmi ceux-là, il y a la troupe des scouts musulmans d’Oran qui organisent, et cela en partenariat avec Coca-Cola Algérie, une opération nommée « Meidate Errahmane ». Reportage.
Première étape, la région de Gdyel, à quelques kilomètres d’Oran. Dans une école, des jeunes gens préparent tout au long de la journée des repas. Leurs destinataires: une soixantaine de familles de la commune. Au menu du jour, la fameuse Hrira, une des spécialités locales incontournables durant le Ramadan, une salade composée, et du tajine ezzitoune. Mais comment ces repas finiront dans les foyers concernés de Gdyel? par un moyen très écologique: le vélo! des jeunes scouts de la wilaya d’Oran arpentent les rues de Gdyel pour distribuer les repas en vélo aux différentes familles de cette ville. Voilà une excellente idée pour concilier protection de l’environnement et bienfaisance!
Ensuite, le rendez-vous est pris aux abords de la ville, car les automobilistes ne sont pas en reste. En effet, l’opération de solidarité inclut aussi les retardataires et cela pour éviter les excès de vitesse et les accidents de la route à l’approche du moment de l’Iftar. Alors, des boîtes contenant de quoi rompre le jeûne sont distribuées au niveau du rond-point « El Bahia » à l’entrée d’Oran.
Dernière étape de notre escapade oranaise, le restaurant Errahma de la commune de Oued Tlélat. A l’arrivée, tout le monde s’active, il est 19h20, et l’adhan du Maghreb retentira dans une heure environ. De jeunes scouts s’affairent à répartir la « chamia » (la version oranaise du Kalb elouz, NDLR) dans des assiettes et à les placer sur chaque table du restaurant. À la cuisine, une employée de Coca-cola de la ville aide le reste de l’équipe des scouts à régler les derniers préparatifs. C’est dans cette ambiance chaleureuse que les gens de la commune arrivent.
D’autres employés de l’entreprise américaine se joignent à la fête et terminent de servir les hriras, tajines zitounes, salades, et autres plats de riz au poisson sur les différentes tables avec les scouts musulmans. Ce iftar sera bien entendu arrosé de boissons de la firme internationale qui sponsorise l’opération.
La mosquée toute proche annonce l’Iftar, il est temps de passer à table, sauf pour une partie des scouts qui attendront que tout le monde soit bien servi pour manger. À la fin du repas, il est l’heure du nettoyage, et tout le monde met la main à la pâte dans la joie et la bonne humeur.
Cette opération se prolongera tout au long du mois de Ramadan. Pour les scouts musulmans, il s’agit là d’une occasion pour eux de rappeler le sens du partage de ce mois sacré. Pour la marque Coca-cola, c’est aussi cette idée de partage qui l’a poussé à participer à cette opération, en espérant inspirer d’autres à aider les plus démunis, et cela que ce soit durant ce mois sacré, ou tout au long de l’année.
Yasmine D.
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Le bilan fait état aussi de l’arrestation de neuf éléments de soutien.
C’est l’un des bilans mensuels des plus importants qu’aura enregistré l’Armée nationale populaire en ce mois de mai 2018. Ce qui est frappant, c’est le nombre de terroristes qui ont accepté de déposer les armes après avoir été convaincus par l’ANP que le temps de la rébellion est révolu et qu’il n’y a plus de place pour le terrorisme en Algérie. Parmi ces repentis, beaucoup avaient pris les armes depuis quelques années, alors que d’autres depuis bien longtemps. Les deux principales régions qui ont été le théâtre de ces redditions sont Jijel et notamment Tamanrasset.
Le bilan du ministère de la Défense nationale fait état, en effet, du désarmement de 17 terroristes entre ces deux wilayas dont une famille complète à Jijel. C’est un véritable travail de professionnels, d’experts et d’expérimentés qui a été accompli par l’ANP qui, malgré cet exploit et ce mérite se garde bien de crier victoire en poursuivant sa mission avec dévouement et engagement. Outre les 17 terroristes qui se sont rendus après des pourparlers, le MDN enregistre l’arrestation de quatre autres terroristes, alors que deux ont été abattus dans deux opérations distinctes. La même source fait état également de la découverte d’un corps d’un terroriste lors d’une opération de ratissage. Le bilan fait état aussi de l’arrestation de neuf éléments de soutien.
Lors de leurs multiples interventions et les opérations incessantes, les forces de l’ANP ont récupéré un important lot d’armement, notamment au Sud dont 33 Kalachnikov, des Seminov, des RPG 7 et autres armes lourdes, mais aussi des quantités de munitions.
A cela s’ajoute également la curieuse découverte de dynamite et 700 kg de produits explosifs avec 30 détonateurs. C’est dire que certains irréductibles comptent toujours faire parler d’eux. Fort heureusement qu’ils sont sous les yeux bienveillants de l’Armée nationale populaire qui agit et intervient sans répit pour préserver une paix chèrement payée. La lutte antiterroriste est pour l’ANP un fait vécu au quotidien et c’est chaque jour que des résultats sont établis. L’ANP aura réussi 13 ans après la promulgation du processus de paix portant sur la Charte pour la paix et la Réconciliation nationale prônée par le chef de l’Etat Abdelaziz Bouteflika à ramener des égarés à la raison malgré tout ce qui se prépare autour du pays en provenance de la Libye, du Mali et de la Tunisie. Des pays qui vivent dans une instabilité totale, aussi bien sur le plan politique que sécuritaire.
Les efforts de l’Algérie pour ramener les partis en conflit dans ces pays à s’asseoir autour de la même table pour des négociations ont donné des résultats, même si l’Algérie a été à chaque fois poignardée dans le dos. Elle réussira quand même grâce à la vigilance de ses troupes et leur expérience avérée à garder le pays au-delà du danger et des risques. Ses frontières sont bien préservées autant que son territoire.
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Les préparations salées ont fait, ces derniers temps, leur apparition sur les tables du « f’tour » du ramadhan. Ces mets très consommés tout le long de l’année, ont réussi à se « tailler » une place de choix dans les menus « spécial ramadhan » au grand plaisir des familles oranaises.
Ces salés, présentés sous forme de minis-chaussons de différentes formes et garnis de plusieurs ingrédients, sont très prisés que ce soit au moment de la rupture du jeûne, au « s’hour » ou lors des soirées familiales. Ils sont servis aux côtés des gâteaux traditionnels, de la chamia et des zlabia, des boissons chaudes ou fraîches.
Devant cette nouvelle tendance oranaise, Houaria, une retraitée, rappelle que ces salés ne sont pas des plats modernes. « Ces mets ont toujours fait partie de l’art culinaire oranais. Ils sont désignés par le nom de ‘ftira’, farcis de viande hachée, d’oignon, d’ail et d’un peu de graisse », se souvient-elle.
Aujourd’hui encore, cette septuagénaire prépare encore des « ftirate » à son grand plaisir et celui des siens. « Même mes petits enfants en raffolent », avoue-t-elle en souriant.
Avec cet engouement, les salés rivalisent sérieusement, aujourd’hui, avec la traditionnelle « Maakouda », des rondelles de purée de pomme de terre, mélangée à l’ail, au persil et aux œufs que l’on fait frire à l’huile. « Maakouda » accompagnait jadis l’incontournable bol ou assiette de la « Hrira ».
Si les nutritionnistes et autres praticiens recommandent de réduire la consommation des aliments et plats sucrés durant le ramadhan, les ménagères oranaises ont trouvé la bonne astuce en « décorant » la table du « ftour » d’une variété de petits salés comme les vol-au-vent, les soufflets à la viande hachée ou au fromage et les petites quiches d’épinards recouvertes de fromage râpé et autres délices.
Pour varier et diversifier ces préparations, la femme oranaise s’inspire des recettes proposées dans des sites Web spécialisés ou par des chaines de télévision avec des présentatrices-vedettes comme Choumeissa, Mme Rezki, Samira et autres.
Un commerce prolifique
Cette nouvelle vague culinaire déferlant sur les cuisines et les tables oranaises et l’engouement enregistré pour ces petits « amuses gueules » ont contraint les vendeuses de « Matloua », « M’ssemen » , « Trid » et « Baghrir » à se mettre au goût du jour et à proposer, durant le ramadhan, des petits plats fait maison, cédés entre 10 et 30 DA la pièce en fonction de la farce utilisée.
Dans ce contexte, Djamila, cuisinière diplômée du centre de formation professionnel, confie : « je reçois quotidiennement des demandes de femmes travailleuses ou au foyer pour leur préparer des salés aux compositions aussi diverses que variées ». Elle fait constater que ces salés sont » très demandés particulièrement en période de ramadhan ».
Les commerces proposant des salés sont également très fréquentés en cette période du mois sacré. Aux côtés des différents genres de « Zlabia » et de « Chamia », on propose également à une clientèle avertie des minis-pizzas, des salés et des barquettes fourrées à la viande hachée, au thon ou au saumon. Leur prix atteint parfois les 100 Da la pièce. Ne dit-on pas « quand on a faim, on ne compte pas ? ».
Actuellement à la Chambre de l’artisanat et des métiers de la wilaya d’Oran, on envisage sérieusement d’inclure la préparation des salés dans la nomenclature des activités artisanales eu égard au grand nombre d’artisans spécialistes dans ce créneau.
Une commission du ministère du Tourisme et de l’Artisanat s’attelle à mettre à jour cette nomenclature datant de plusieurs décennies. L’objectif est de permettre à ces préparateurs de disposer d’une carte d’artisan leur permettant d’exercer cette activité dans un cadre légal et organisé, indique-t-on à la CAM.
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Un tel dispositif a été mis en place après avoir eu l’aval de la commission locale chargée du contrôle des plages laquelle a paraphé le dossier des 33 plages autorisées à la baignade.
Prés de 400 agents, dont 10 officiers, quatre médecins, huit plongeurs, 66 surveillants permanents et 260 autres saisonniers viennent d’être réquisitionnés par la Protection civile d’Oran à l’effet de la couverture de la saison s’ouvrant à partir du 1er juin jusqu’au 30 septembre de l’année en cours. Un tel personnel sera déployé dans les plages rattachées aux communes de Mers El Hadjadj, Arzew, Gdyel, Aïn El Türck, Bousfer et El Ançor. En plus de ces moyens humains, la Protection civile d’Oran a mobilisé toutes ses unités, ses équipements et ouvert ses centres de contrôle et les postes de secours installés un peu partout dans les routes vers les plages les plus ciblées, en l’occurrence celles de la corniche de l’Ouest. Pour rentrer dans le bain de la saison estivale, les sapeurs-pompiers se sont lancés, depuis le début du mois de mai, dans plusieurs campagnes de sensibilisation.
Un tel dispositif a été mis en place après avoir eu l’aval de la commission locale en charge du contrôle des plages laquelle a paraphé le dossier des 33 plages autorisées à la baignade. Au niveau national, 18 000 agents professionnels et saisonniers seront mobilisés, au cours de la saison estivale 2018, pour l’application du dispositif opérationnel destiné à la surveillance des 398 plages autorisées à la baignade, indique la Protection civile. «Comme chaque année, la direction générale de la Protection civile met en place un dispositif opérationnel destiné à la surveillance des plages autorisées à la baignade, afin d’assurer la sécurité des estivants, et cela du 1er juin au 30 septembre, de 9h00 à 19h00», précise la même source. La Protection civile relève que «18.000 agents professionnels et saisonniers seront mobilisés comparées aux 15.000 en 2017, soit une augmentation de 3000 agents supplémentaires».
Le dispositif opérationnel de cette année a été pourvu, selon la même source, en moyens matériels supplémentaires, particulièrement en ce qui concerne les embarcations pneumatiques d’intervention, ainsi que les matériels collectifs et individuels du même ordre. Il est précisé également que «sur les 608 plages que compte le littoral algérien, 210 ont été interdites à la baignade pour diverses causes, essentiellement, la pollution et les risques particuliers, contre 398 autorisées à la baignade».
Cependant, la Dgpc attire l’attention des estivants, en les appelant à plus de vigilance, en évitant, notamment, de fréquenter les plages interdites à la baignade, le respect des horaires de surveillance des plages, ne pas s’éloigner de la zone de baignade autorisée, de surveiller attentivement les enfants, ne pas se baigner après une longue exposition aux rayons du soleil et éviter de nager après les repas. Par ailleurs, tout en relevant que l’analyse des statistiques des cinq dernières années indique que «la principale cause des noyades reste toujours, la baignade dans des plages interdites ou en dehors des heures de surveillance», la Dgpc rappelle qu’il a été enregistré au cours de l’année 2017, le sauvetage de 53.812 personnes d’une mort certaine sur les 80.333 interventions. Toutefois, le communiqué rappelle également le décès de 128 personnes dont 53 au niveau des plages surveillées et 75 dans les plages interdites à la baignade.
D’un autre côté, la direction générale de la Protection civile fait remarquer avoir lancé une campagne de prévention et de sensibilisation sur les dangers de la mer et la baignade depuis le 7 mai dernier à travers tout le territoire national, afin, d’inculquer aux citoyens la culture de la prévention du risque de noyade au niveau des plages, notamment celles interdites.
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1 kg de pommes de terre cuites coupées en morceaux, 2+ ½ cuillères à café de coriandre moulue, 1+ ½ cuillères à café de piment de Cayenne, 3 cuillères à soupe de coriandre hachée, le jus d’un citron, 2 cuillères à soupe d’huile végétale, sel, poivre
Chauffer l’huile dans une grande poêle à frire. Ajouter les pommes de terre et les faire frire à feu moyen. Ajouter la coriandre et le poivre de Cayenne et cuire pendant quelques minutes assaisonnez avec le sel et le poivre. Ajouter la coriandre fraîche, le jus de citron.
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Le Fonds monétaire international (FMI) a salué vendredi les efforts d’ajustement économique menés par le gouvernement pour faire face à la chute des cours de pétrole, mettant en exergue sa volonté de faire avancer les réformes pour impulser une économie diversifiée, moins dépendante du secteur des hydrocarbures.
Les administrateurs « saluent les efforts des autorités pour gérer le processus d’ajustement » économique, alors que le pays fait face depuis 2014 aux défis de la baisse des cours pétroliers, a indiqué le FMI dans un communiqué rendu public à Washington, au lendemain de l’approbation par le Conseil d’administration du FMI du rapport d’évaluation de l’économie algérienne au titre de l’article IV.
Le Conseil d’administration du FMI a également « salué l’intention des autorités d’appliquer des réformes visant à encourager le développement du secteur privé en améliorant le climat des affaires, en facilitant l’accès au crédit, ainsi qu’en renforçant la gouvernance, la transparence et la compétitivité ».
Et a déclaré » souscrire aux efforts visant à mobiliser davantage de recettes hors hydrocarbures, à améliorer l’efficience et la gestion des dépenses publiques, ainsi qu’à élargir les réformes des subventions » tout en protégeant les plus démunis.
Le prêteur en dernier ressort a dit » prendre bonne note du dosage de mesures prévu par les autorités, à savoir une augmentation des dépenses budgétaires en 2018 suivie de la reprise de l’assainissement des finances publiques à moyen terme, le financement monétaire des déficits budgétaires, les restrictions temporaires aux importations, ainsi que les réformes structurelles visant à diversifier l’économie « .
Il a suggéré en cas de maintien du financement monétaire de « mettre en place des mesures de sauvegarde » pour le plafonner en volume et en durée.
Dans ce contexte, les administrateurs du FMI ont salué l’engagement de la Banque centrale à stériliser, le cas échéant, les liquidités apportées par le financement monétaire.
Le FMI a soutenu qu’il était possible de s’appuyer sur une variété de mécanismes de financement pour financer des projets d’investissement sélectionnés avec soin.
L’institution de Bretton Woods a noté, par ailleurs, que le secteur bancaire continuait de se porter » relativement bien « , précisant qu’eu égard aux risques macroéconomiques et aux liens financiers au sein du secteur public, il conviendrait de renforcer le cadre macroprudentiel, notamment en menant plus régulièrement des tests de résistance et en établissant un dispositif de gestion des crises.
Au plan des agrégats macroéconomiques, le FMI a indiqué que la croissance du PIB réel a ralenti à 1,6% en 2017 contre 3,3% en 2016, en raison principalement d’une contraction de la production d’hydrocarbures, même si la croissance du secteur hors hydrocarbures a enregistré une hausse à 2,6% en 2017 contre 2,3% en 2016.
La croissance devrait rebondir à 3% en 2018 avant de connaître une légère baisse à 2,7%, selon les mêmes projections.
Le chômage s’est hissé à 11,7% en septembre 2017, contre 10,5% un an plus tôt.
Le taux d’inflation moyen s’est établi à 5,6% en 2017, contre 6,4% en 2016, du fait du ralentissement de l’inflation pour les produits manufacturés et les services, et il était de 3,4% en glissement annuel en avril 2018. Le FMI prévoit une inflation de 7,4% en 2018 et 7,6% en 2019.
Si les réserves restent abondantes, elles ont diminué de 17 milliards de dollars, pour s’établir à 96 milliards de dollars (hors DTS). « La dette extérieure reste négligeable, mais la dette publique intérieure a considérablement augmenté depuis 2016, tout en demeurant modérée », a indiqué le FMI.
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500 g de semoule fine, 350 ml d’eau, levure fraîche, 1/2 sachet de levure chimique, 100ml d’huile d’olive, 2 c. à s. de beurre, sel, 250 g de fromage aux herbes, 50 g d’olives noires en rondelles
Dans un saladier, mettre la semoule, le sel, le sucre, la levure, l’huile, le beurre, puis sabler la pâte avec les mains. Ajouter l’eau et mélanger le tout. Chauffer une poêle, former une petite boule, l’aplatir un peu, mettez le fromage, les olives, retravailler la pâte, saupoudrer de semoule fine et faire cuire. Saupoudrer le dessus avec de la grosse semoule et cuire l’autre face.
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Neuf (9) personnes ont trouvé la mort et 31 autres ont été blessées dans 11 accidents de la circulation enregistrés lors des dernières 48 heures à travers le territoire national, selon un bilan établi samedi par la Protection civile.
Le bilan le plus lourd a été enregistré au niveau de la wilaya de Sétif, avec 3 morts et 5 blessés suite à 3 accidents de la circulation, le plus important ayant causé un mort et 4 autres blessés, suite à une collision entre un camion et un véhicule léger, survenue le chemin wilaya n0 14, commune d’Aïn Abessa, précise la même source.
Les secours de la Protection civile sont intervenus également suite aux chutes de pluies qui se sont abattues durant les dernières 24 heures notamment au niveau des wilayas de Tiaret et Bordj Bou Arreridj où plusieurs opérations d’épuisement des eaux pluviales ont été effectuées dans des habitations.
Par ailleurs, le bilan de la Protection civile indique que ses unités ont enregistré, durant la même période, 3.877 interventions, dans les différents types d’interventions pour répondre aux appels de secours, suite à des accidents de la circulation, accidents domestiques, évacuations sanitaires, extinction d’incendies et dispositifs de sécurité.
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Beaucoup de gens attendent impatiemment l’arrivée du mois sacré pour profiter des soirées animées et si particulières. Les propositions de sortie ne manquent pas : concerts, gaâdate, spectacles, cirque, animation dans le métro d’Alger… Ces soirées ont la cote chez la majorité des Algérois qui profitent de ces animations qu’ils qualifient de providentielles, vue que la capitale s’habille de morosité dès 19h, le reste de l’année.
Les «phobiques», eux, préfèrent s’enfermer chez eux, loin du brouhaha et de l’agitation de la ville. Les rues bondées de monde, les terrasses saturées de consommateurs, les klaxons intempestifs, les cris des enfants : très peu pour eux. Dans le cocon douillet de leur maison, ils dressent un mur entre eux et cette cacophonie qui les irrite au plus haut point. Les nuits survoltées et le charivari ambiant ne sont pas leur tasse de thé, au grand dam de leur entourage qui n’hésite pas à les traiter de sauvages et de rabat-joie.
Mouloud, 55 ans
«J’habite Alger-Centre et chaque Ramadhan est un calvaire pour moi, et pour cause : ma rue devient méconnaissable. Les bruits fusent de partout et agressent mes oreilles qui n’aspirent qu’au calme. Klaxons, cris des enfants jouant au ballon, éclats sonores des adultes qui discutent au pied de l’immeuble, flots de consommateurs déambulant sur les boulevards… Je déteste sortir.
Les gens parlent d’ambiance des soirées du Ramadhan. Moi je n’y vois que de l’agitation. #Mon épouse a pris le pli. Elle sort avec les enfants pour profiter des spectacles et des visites familiales. Je suis peinard à la maison, sirotant un thé à la menthe, face à la télévision. Je monte le son pour couvrir les bruits extérieurs et je m’extrais de ce tumulte qui me tape sur les nerfs pendant 30 soirées.»
Nourhane, 39 ans
«Sortir au milieu de cette agitation avec des noctambules déchaînés ? Jamais de la vie. Je n’accepte que des invitations au f’tour chez des amis, bien au calme à la maison. J’ai la phobie des foules et je redoute les embouteillages des soirées du Ramadan. Je supporte difficilement les bouchons durant la journée alors en rajouter une couche la soirée, ne me viendrait pas à l’esprit. Dehors, ça grouille de monde partout. Ça gesticule, ça parle fort, ça s’excite. A mon sens, ce n’est pas cela qu’on appelle s’amuser. Je note qu’il y a beaucoup d’excès dans tout.
Pour ma part, j’aime inviter des amis ou des membres de ma famille à passer une soirée tranquille à la maison. Je peux veiller tard, en week-end, mais me joindre à la foule dehors, c’est impossible.
Il y a des concerts partout, des projections de films en plein air et des soirées dans des kheiymate… Mes proches s’y rendent souvent. Ils ne me proposent même plus de les accompagner car ils connaissent ma réponse par avance. Je profite de belles soirées mais en dehors du mois sacré. C’est ainsi !»
Mounira, 39 ans
«Mon époux fait un rejet total des sorties durant le Ramadhan. Il est tout mon contraire. Moi je dis qu’il faut profiter de l’animation exceptionnelle qu’offrent nos villes durant le mois sacré. Les boutiques, les terrasses de café, les théâtres, les salles de concert…, il y a tellement d’activités, qu’on s’y perd parfois. Une liberté à saisir également en tant que femme. C’est le seul mois où on peut sortir sans avoir peur d’être importunée le soir. Comme mon époux est récalcitrant à mettre le nez dehors, je profite des soirées à l’extérieur avec mes enfants et mes sœurs. On va prendre des glaces, faire du lèche-vitrine, ou marcher un peu. Même pour l’achat des vêtements de l’Aïd pour les enfants, mon époux fait de la résistance. Il me laisse me dépatouiller toute seule.
Là, j’aurais aimé qu’il m’accompagne pour me donner son avis, mais non, la rue et son brouhaha lui font peur. Il se retire dans sa coquille comme un sauvage et me nargue au retour ‘‘ça y est ! Madame a pris son bain de foule ?’’, me taquine-t-il. C’est un fait.
Certaines personnes, notamment en prenant de l’âge, préfèrent le calme de leur foyer à l’animation tous azimuts des rues qui agresse leurs oreilles et les met sous pression.
Pour rien au monde, ces ‘‘phobiques’’ de l’agitation n’échangeraient le confort de leur canapé aux soirées dites festives du Ramadhan. Un art de vivre qu’ils assument pleinement laissant les espaces publics aux déambulations des fêtards et autres couche-tard des soirées du Ramadhan.»
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Les éléments de la gendarmerie de Sidi-Bel-Abbès ont, dans la journée du mercredi dernier, intercepté 4,5 kg de kif traité dans un véhicule sur l’autoroute Est-Ouest dans la localité de Sidi-Ali-Boussidi.
Suite à des informations, les gendarmes ont érigé un barrage sur l’autoroute Est-Ouest lorsque les deux véhicules légers, un Master acquis dans le cadre du dispositif de l’Ansej, et une Renault Logan, ont été repérés et immobilisés. La fouille de l’un d’eux a permis la découverte de 4,5 kg de kif.
Les trois personnes qui ont été arrêtées ont donné le nom de leur fournisseur qui réside dans la wilaya de Tlemcen. Ce dernier a pris la fuite.
Les trois personnes ont été écrouées par le procureur de la République.
La quantité de kif et les deux véhicules ont été saisis.
Sidi Lahcen
Une mère et sa fille gravement brûlées après une fuite de gaz
Dans l’après-midi de mercredi dernier, une mère et sa fille résidant dans la localité de Sidi Lahcen ont été gravement brûlées et leur demeure détruite par le feu, suite à une fuite de gaz.
En effet, les deux victimes préparaient le f’tour, lorsqu’un incendie s’est déclaré dans leur demeure suite à une fuite de gaz de leur réchaud.
Les secours ont réussi à extraire les femmes du feu, mais malheureusement elles ont été brûlées au 3e degrés. Le domicile a été ravagé par les flammes.
Les victimes ont été évacuées vers le CHU de Sidi-Bel-Abbès.
Une enquête a été ouverte.
A. M.
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Bureaux de poste, sorties des banques ou des pharmacies, souks des fruits et légumes, gare routière, rues à grande circulation piétonne, tous les endroits où il y a foule, et où l’action caritative est susceptible d’être titillée, sont littéralement squattés. S’il y a bien un phénomène qui s’est caractérisé par une remarquable explosion à travers la wilaya de Mostaganem, c’est, à ne point en douter, celui de la profession de la main tendue.
Ce véritable fléau bat son plein partout, là où il y a foule. Le vendredi, au niveau de toutes les mosquées, difficile d’échapper au harcèlement inévitable. Idem aux alentours des hôpitaux, des commerces d’alimentation générale et des organismes financiers. Parfois, la pratique s’exerce au porte-à-porte.
Aussi bizarre qu’incompréhensible, certains hommes accompagnés d’enfants apparemment valides et en bonne santé semblent trouver leurs bénéfices, beaucoup plus que dans toute autre activité manuelle. La corporation semble bien organisée ; chacun ayant délimité son propre territoire d’intervention.
Les Subsahariens, qui viennent chaque matin d’Oran, opèrent juste à l’entrée de la ville, à la cité Zaghloul, en allant vers celle du 5-Juillet, et ciblent les voitures s’arrêtant aux feux rouges régulant la circulation. Les Syriens, majoritairement des femmes, sont accompagnés parfois d’enfants pour susciter davantage la générosité des passants en choisissant des emplacements des dos d’âne sur le réseau routier.
Concentrant toutes sortes de fléaux, le chef-lieu de la wilaya fourmille d’individus, dont la place n’est certainement pas dans la rue : des clochards, des vagabonds, des enfants ayant quitté trop tôt les bancs de l’école, parfois les trois à la fois ! Un métier «libéral», sans impôts ni horaires fixes et particulièrement lucratif.
A. B.
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Dans son souci de lutter efficacement contre les incendies de forêt ou du moins atténuer l’ampleur des dégâts, la Direction des forêts de la wilaya a mis en place un dispositif de lutte pour réagir dès les départs de feu.
Ce dispositif qui s’inscrit dans le plan de campagne 2018 sera lancé à compter du 1er juin au 31 octobre pour lutter contre les incendies de forêts afin de protéger le patrimoine forestier de la wilaya et éviter les dégâts enregistrés l’année dernière.
C’est dans la daïra de Mesra que s’est déroulée, en cette fin de semaine, l’installation de la commission de lutte contre les incendies de forêt à laquelle ont pris part les 32 présidents des communes de la wilaya sous la présidence du chef de daïra.
La wilaya a impliqué cette année davantage les collectivités locales en leur accordant de nouvelles prérogatives en matière de prévention et de gestion des catastrophes naturelles. Notant que ce phénomène peut parfois se déclencher spontanément mais que dans la majorité des cas, il est imputable à l’homme du fait soit de son insouciance, soit d’une intention criminelle.
Le représentant de la protection civile a souligné dans cette réunion la nécessité d’un réseau routier à l’intérieur des forêts permettant la circulation des engins et facilitant l’intervention rapide de ce corps dans des délais rapides.
La responsabilité de la lutte des incendies de forêt est mandatée à la protection civile, la direction des forêts de wilaya pour sa part est en charge des opérations de prévention et d’aménagement.
Concernant la prévention, le plan feu prévoit des actions à même de contribuer à réduire les risques de déclenchement et de propagation des feux de forêt par des actions de sensibilisation jusqu’au débroussaillement et désherbage des herbes sèches.
Il faut se conférer également à l’évaluation du risque météorologique qui permet de renforcer les mesures de sécurité et de déclencher un plan alerte en vue de prévenir les départs des feux et de permettre d’alerter les sauveteurs à temps.
A. B.
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Agissant sur une plainte déposée par un commerçant-grossiste à Saïda, faisant état d’une escroquerie de la part de deux individus, les éléments de la police judiciaire, relevant de la sûreté de wilaya de Saïda, n’ont pas tardé à mettre la main sur les deux escrocs.
II s’agit de malfaiteurs âgés de 41 ans et 54 ans qui se faisaient passer pour des bienfaiteurs chargés d’une association caritative sise à El-Bayadh portant assistance aux nécessiteux durant le mois de Ramadhan. Ces derniers disposaient de faux documents et de cachets falsifiés et sont impliqués dans des affaires de faux et usage de faux et usurpation d’identité.
En effet, les faits remontent au début du mois sacré, lorsque les deux escrocs ont arnaqué le commerçant des denrées alimentaires lui remettant des faux documents et un chèque falsifié contre 450 couffins de ramadhan pleins de denrées alimentaires, évalués à 260 millions de centimes.
L’enquête diligentée aussitôt a permis de retrouver la marchandise à Sidi-Bel-Abbès, sans doute, pour une éventuelle revente. Le premier suspect, résidant à Oran, a été arrêté en son domicile en possession des documents et un matériel compromettant, a-t-on appris.
Les deux mis en cause ont été présentés devant la justice pour répondre des griefs retenus contre eux.
B. Henine
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Fort du plébiscite dont il a été gratifié lors du 7e congrès du parti tenu le 10 mai dernier, Abderezzak Makri passe à l’acte en composant le bureau exécutif du mouvement.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – Une composante qu’il a eu à présenter, hier vendredi, à l’occasion d’une séance extraordinaire du nouveau conseil consultatif national, suivie du traditionnel iftar annuel que le mouvement organise chaque mois de ramadhan.
Ceci dans une démarche purement organique prévue dans les statuts du parti, en sus d’autres menus points liés à la finalisation de tout ce qui a trait au dernier congrès. Ce nouvel exécutif devra s’atteler à mettre en pratique les principales résolutions politiques adoptées lors du congrès d’il y a une vingtaine de jours. Notamment donner suite au projet d’union avec le mouvement El Binaa et entamer la nouvelle démarche du parti portant consensus national.
Lors d’une conférence de presse animée au lendemain de sa réélection à la tête du mouvement, le président du MSP a annoncé l’entame prochainement de larges contacts avec l’ensemble des forces nationales pour parvenir au consensus national, y compris avec le pourvoir, «sans lequel il ne peut être réalisé».
Pour Makri, la première préoccupation du parti est de prendre contact avec l’ensemble des forces nationales pour «rassembler et passer à une situation meilleure à tous les niveaux», dans le cadre d’un consensus national de toutes les tendances. Des contacts qui n’excluront pas le pouvoir sans lequel, selon lui, le consensus ne peut être réalisé. Un choix «certain» qui répond à la réalité des équilibres politiques qui ne saurait être ignorée. Ceci non sans préciser que l’échec de la démarche de la défunte CNLTD portant transition démocratique était de la responsabilité de ce même pouvoir qui avait tourné le dos à cette initiative inédite de l’opposition réunie pour la première fois, le 10 juin 2014, comme elle ne l’a jamais fait auparavant.
Le président du MSP a également clarifié, pour la énième fois, ce qu’il estime être «claire» la vision du mouvement concernant la participation au gouvernement. Un point qui a de tout temps constitué le différend majeur d’avec le camp entriste incarné par Bouguerra Soltani. Pour Makri, le sujet est définitivement tranché dans le programme politique adopté lors du dernier congrès extraordinaire puisque, désormais, «fixé par la donne politique et électorale».
Ledit document fixe, en effet, dans son article 19, les conditions d’une participation au gouvernement ou d’un positionnement sur l’échiquier politique en tant que parti d’opposition». Dont notamment l’engagement du parti qui «remporte démocratiquement les élections», la relance du pays par une bonne gestion et gouvernance et par la justice» et «la garantie des libertés et la préservation des deniers publics».
M. K.
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«Les élus du FFS doivent être vigilants et ne pas répondre aux tentatives et manipulations de l’administration. (…) Vous êtes des élus du peuple, mais il ne faut jamais oublier que vous êtes surtout, des militants du Front des forces socialistes». Ce sont les deux messages clés que le FFS a voulu transmettre à ses élus locaux à l’occasion d’une conférence-débat organisée jeudi dernier au siège et intitulée : «Relation élus-Parti».
Abder Bettache – Alger (Le Soir) – La nouvelle direction nationale du FFS multiplie les sorties et les déclarations médiatiques pour un objectif bien précis : mettre le parti sur l’orbite du débat politique national. Jeudi passé, au siège du parti, une conférence – débat intitulée Relation élus-Parti a été organisée au profit des élus locaux. Une rencontre qui a permis aux responsables du parti de renouer dans un premier temps avec sa base locale à travers ses élus locaux, «dont le but est de renouer le contact avec nos élus, les écouter, recueillir leurs doléances».Pour le FFS, le thème de ladite conférence-débat «est très important» au «vu des multiples enjeux politiques». D’ailleurs, son premier secrétaire national, M. Hadj Djilani a entamé son discours en rappelant une des citations de feu Hocine Aït Ahmed. Ce dernier avait déclaré que «être élu librement à la tête d’une mairie, n’importe où en Algérie est plus sage que d’être un président désigné… ». A ce propos, l’intervenant a rappelé à l’assistance que «le FFS a pris part aux élections locales du 23 novembre 2017 en axant sa campagne électorale sur la solidarité locale et le consensus national».
Et c’est dans cette optique que M. Hadj Djilani rappelle à ses militants que «vous êtes des élus du peuple, mais il ne faut jamais oublier que vous êtes surtout, des militants du Front des forces socialistes». Un rappel soutenu par des arguments selon lesquels «l’élu local a des rôles et des missions conférées par la loi, mais il a également un rôle politique, organisationnel et social». «La charte de l’élu du FFS prône la prééminence du politique dans l’exercice du mandat. Le militantisme est donc le credo que nous voulons que vous donniez à votre mandat, la cohésion entre les élus est de mise dans la gestion de la collectivité locale, le respect et la probité doivent être sans faille», a-t-il dit et d‘ajouter : «L’élu local représente l’axe de la vie politique locale parce que d’un côté, il occupe le sommet du système politique à l’échelle locale, et d’un autre, il exerce des fonctions ayant un impact important sur la vie et le développement de la société politique. Les élus du FFS doivent être vigilants et ne pas répondre aux tentatives et manipulations de l’administration».
La nouvelle direction nationale du FFS qui mise pour un double objectif doit réinvestir à la fois le terrain politique et organique, dira son premier secrétaire national et ce, en s‘adressant à ses élus, que «vous êtes parfaitement conscients de votre devoir envers vos électeurs, vous devez les servir et non vous servir. Vous devez être à leurs côtés à tout moment, bien que vos prérogatives sont limitées par le code communal et de la wilaya». Il dira aussi que «le FFS a pris part aux élections locales du 23 novembre 2017 en axant sa campagne électorale sur la solidarité locale et le consensus national. Notre solidarité, nous la marquons avec les populations démunies, avec les jeunes, avec les femmes, avec les syndicalistes, avec tous ceux et toutes celles qui se battent chaque jour, pour une vie digne et décente des Algériennes et des Algériens».
Pour le FFS, «la solidarité reste notre cheval de bataille, elle est votre cheval de bataille. Elle exige de vous une proximité quotidienne avec la population, un dialogue inclusif avec les citoyens et les acteurs de la société civile, en impliquant les travailleurs, les femmes, les jeunes dans la gestion et la gouvernance locales. De son côté, le parti que vous représentez s’engage à vous assurer la défense et la protection politique et judiciaire, face aux abus de l’administration et de la justice. Il s’engage à vous accompagner par une formation permanente et de qualité, et à assurer une relation régulière entre les élus et les structures du parti ».
A. B.
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Une personne a trouvé la mort et deux autres ont été grièvement blessées, dans un carambolage impliquant plusieurs véhicules, vendredi en fin de soirée près de Berriane à 50 Km au nord Ghardaia, a-t-on appris auprès de la protection civile.
Ce carambolage qui s’est produit à deux Km à la sortie Nord de localité de Berriane a causé la mort sur le coup d’un chauffeur d’un véhicule et deux blessés graves souffrant de multiples traumatismes, précise la même source.
Le corps de la victime décédée sur place et les blessés ont été transféré respectivement vers la morgue et les urgences de la polyclinique de Berriane.
Une enquête a été ouverte par les services de la gendarmerie nationale afin de déterminer les circonstances précises de cet accident.
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Ahmed Ouyahia a affirmé, le 8 mai dernier, que l’avant-projet de loi de finances complémentaire 2018 sera étudié en Conseil des ministres dans “un délai d’une semaine ou deux”.
Le Conseil des ministres qui devait se pencher, lors de sa réunion attendue pour jeudi, sur l’avant-projet de loi de finances complémentaire 2018, n’a pas eu lieu. Pourtant, apprend-on de sources sûres, les ministres du gouvernement Ouyahia ont bel et bien été contactés par la présidence de la République, au courant de la semaine, pour être conviés à cette réunion de travail présidée par Abdelaziz Bouteflika. Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, avait, lui-même, d’ailleurs, indiqué, en marge de l’inauguration de la Foire internationale d’Alger, le 8 mai dernier, que l’avant-projet de loi de finances complémentaire 2018 sera étudié en Conseil des ministres dans “un délai d’une semaine ou deux”. C’est-à-dire au plus tard, jeudi 31 mai. Le Premier ministre confirmait alors un premier report, qui aurait été dicté par une demande du chef de l’État de procéder à une seconde lecture de l’avant-projet de loi en question. Les hautes autorités du pays, qui n’ont pas officiellement motivé le premier report, ont encore moins justifié le second.
Aussi, l’interrogation reste intégrale et ouvre la voie devant les conjectures. En effet, le seul motif évoqué l’est de manière officieuse. Il explique cet ajournement par le décès de la mère du président du Conseil constitutionnel, Mourad Medelci. Onze ministres ont, d’ailleurs, assisté aux obsèques de la défunte, jeudi, à Tlemcen. Mais qu’est-ce qui empêcherait, dans ce cas, la présidence de la République de communiquer, et expliquer ainsi, à l’opinion publique, les raisons de cet ajournement. Parce qu’il faut dire que ce Conseil des ministres était particulièrement attendu. Concernant l’avant-projet de loi de finances complémentaire 2018, qui avait subi une deuxième lecture en réunion du gouvernement, sur demande du président Abdelaziz Bouteflika, sans pour autant que les taxes sur les documents d’identité soient révisées, les citoyens gardaient l’espoir de voir le Conseil des ministres assouplir ce qu’il y a lieu d’appeler une véritable “surtaxation” des documents biométriques. L’autre explication trouvée au report du Conseil des ministres est liée à la santé de Bouteflika.
Les mauvaises langues parlent de la méforme du chef de l’État. Pour elles, le déplacement des ministres à Tlemcen ne convainc pas trop, arguant que, même si c’était vraiment le cas, le Conseil des ministres aurait pu se tenir en soirée, après la rupture du jeûne. Cela s’est déjà produit lors des précédents mandats présidentiels. Côté opposition, du moins pour le parti politique, le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), les raisons de ces reports sont ailleurs. Elles sont à chercher dans la volonté du chef de l’État de soustraire le projet de loi au débat parlementaire.
En effet, le parti de Mohcine Belabbas soupçonne une volonté inavouée de promulguer le texte par ordonnance présidentielle durant l’intersession parlementaire. Cela étant, l’avant-projet de LFC-2018 ne fait pas encore consensus parmi les membres du gouvernement. En témoigne, d’ailleurs, la récente sortie du ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, qui ne semblait pas totalement assumer les “taxes” que le texte propose d’instituer. Ceci, deux jours après la note publiée sur le portail du Premier ministère, et qui justifiait les taxes en question.
Mehdi Mehenni
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Selon des témoignages, certains passagers du vol devant rallier les Canaries à Amsterdam se sont mis à vomir. L’avion s’est posé à Faro, au Portugal.
« Une puanteur pire que celle d’un cadavre »Selon Transavia, plusieurs passagers sont tombés malades et certains ont été pris de vomissements. « A partir du moment où l’homme est entré dans l’allée, les gens ont commencé à crier et à plonger dans leurs sacs à la recherche de mouchoirs à garder devant eux », témoigne Piet Van Haut, toujours dans De Telegraaf. L’homme, qui semblait souffrir, a été envoyé à l’arrière de l’appareil pour tenter de contenir les effluves, mais cela n’a rien changé.
Transavia #HV5666 diverted to Faro after a man’s body odour caused passengers to vomit https://t.co/fqK5VzMsMU
— AIRLIVE (@airlivenet) 1 juin 2018
L’équipage a également tenté de vaporiser des bombes de parfum. En vain. « J’ai entendu quelqu’un dire que la puanteur était pire que celle d’un cadavre qui se décomposait depuis un mois. C’était une situation intenable », a ajouté Piet Van Haut. Le commandant de bord a alors annoncé qu’une escale allait être effectuée à Faro. Après le passage d’une équipe de nettoyage, le Boeing 737 a pu reprendre son envol.
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L’avènement du Ramadhan est, pour la Fondation de jeunes « Ness El Khir », synonyme de mobilisation renouvelée en faveur de l’action bénévole et caritative, en s’appuyant sur une « armée » de jeunes volontaires, tous mus par le don de soi, la générosité et le dévouement.
En plus de leur forte et remarquable présence, durant les deux premières semaines de ce mois sacré, dans les grandes surfaces et marchés, les « brigades » « Ness El Khir » se sont illustrées cette année par l’organisation d’une grande Kheima au niveau de la Place E Kittani à Bab El Oued, et qui se transforme à l’approche de l’heure de l’Iftar, à la faveur de l’invitation « Aji Teftar » (venez partager un Iftar), en un rendez-vous festif pour des gens de passage, des habitants du quartier, des familles démunies et nécessiteuses et parfois même pour des touristes, venus partager une expérience humaine hors du commun.
Le choix a été porté sur ce site, dira le Secrétaire général de « Ness El Khir », Mohamed Mounir Kourbi, d’accueillir les gens dans le respect des valeurs d’hospitalité ancrées dans le legs et les traditions de la société algérienne et de les recevoir en tant qu’invités et non nécessiteux.
Précisant que beaucoup de ces « invités » donnent un coup de main à l’organisation et au nettoyage aussi bien avant qu’après le Ftour, M. Kourbi a déclaré que « ces dernières années, nombreux sont les jeunes qui sont passés d' »invités » aux repas collectifs à membres actifs et cadres au sein de la Fondation ».
« Le Ramadhan est une occasion pour le renouvellement de la mobilisation en faveur de l’action bénévole et caritative, grâce aux différents projets programmés chaque année », a-t-il ajouté.
La Kheima de l’Iftar, d’une capacité de 1000 personnes, s’inscrit dans le cadre de la 8ème édition du programme spécial Ramadhan « Rana h’na » (nous sommes là), qui a trouvé un « très bon écho » auprès des différentes institutions officielles et plusieurs opérateurs économiques pour offrir des repas riches et variés préparés par un cuisinier professionnel.
Très calme la matinée, la Kheima se transforme, au fil des heures, en véritable ruche où s’activent les « brigades » avec beaucoup de professionnalisme pour accueillir, comme chaque jour depuis le début du Ramadhan « près de 900 personnes », entre sans abris, démunis, gens de passage, travailleurs des chantiers de bâtiment, étudiants, migrants de différentes nationalités africaines et arabes, et même des touristes européens, attirés par la curiosité et l’ambiance fraternelle. A tout ce monde s’ajoutent des familles qui préparent leurs repas et viennent le partager avec d’autres.
En plus un quota des repas préparés est acheminé par les bénévoles vers les catégories nécessiteuses qui ne peuvent faire le déplacement, a-t-on encore précisé.
Louée pour « environ 300 millions de centimes », dont la moitié est prise en charge par une société privée et l’autre grâce aux bienfaiteurs, la Kheima de « Ness El Khir » est approvisionnée par les dons collectés à travers les grandes surfaces et marchés de gros et même auprès des entreprises de l’agroalimentaire. Quotidiennement, 300 bénévoles sont mobilisés pour les opérations de collecte de dons, de préparation et distribution des repas et de nettoyage, et l’intervention de chaque équipe est orchestrée de manière précise et méthodique.
La Kheima de l’Iftar a reçu plusieurs personnalités nationales à l’instar du président du réseau Nada, Abderrahmane Arrar, et d’autres sont attendues comme le président de la Fondation Emir Abdelkader, le moudjahid Lakhdar Bouragaa ainsi que des figures sportives comme le sélectionneur national Rabah Madjer et l’ancien joueur Amar Amor.
Par ailleurs, la Fondation « Ness El Khir » a initié le programme « Khir Rabi » (les biens d’Allah) à travers la distribution de 5.000 couffins de plus de 7.000 DA de produits alimentaires.
Depuis le début du mois sacré, quelque 1.000 couffins ont été distribués dans les communes d’Alger alors que le reste est destiné aux différentes régions du pays à partir de trois points de distribution, à Oran, Biskra et Annaba.
Une convention signée avec la start-up de transport « Tem Tem » permet l’acheminement des dons, en utilisant une application intelligente, vers les points de ralliement.
Pour la deuxième moitié du mois, la Fondation a programmé également une opération de circoncision au profit de 200 garçons de familles démunies au niveau de la capitale et de 50 autres de chacune des quatre régions du pays alors que les préparatifs vont bon train pour l’opération de distribution de vêtements d’enfants à l’occasion de l’Aïd El Fitr.
Mettre à profit le potentiel de la jeunesse pour consacrer le professionnalisme de la société civile
Depuis sa création, il y a 8 ans, la Fondation « Ness El Khir » s’emploie à la consécration du principe de professionnalisme de la société civile à travers la promotion de son action en tant qu’acteur de la société civile, l’adoption du professionnalisme dans l’élaboration de ses programmes, la présence sur le terrain et la coordination avec les différents partenaires en matière d’humanitaire, d’environnement et de social, tout au long de l’année.
Le président de « Ness El Khir », Tarek Zerrouki, également et l’un de ses fondateurs a expliqué que tout a commencé par un groupe de jeunes sur les réseaux sociaux, dont la première action de solidarité a été l’affaire de la vieille dame « El-Hadja Rahma » de la wilaya de Laghouat, et dont le nom est désormais celui du programme humanitaire de la Fondation.
Suite à l’écho de cette affaire, les jeunes ont convenu de poursuivre leur action de solidarité sous l’appellation de « Ness El Khir », puisé dans le legs social, avec un slogan, un organigramme et un programme d’action pour 2010, a-t-il ajouté rappelant que la première action d’envergure a été l’opération de volontariat pour le nettoyage des plages tout le long du littoral national, à la faveur de « Blue Day » (la journée bleue).
S’appuyant sur la Constitution qui stipule que le bénévolat est un droit consacré par la loi, « Ness El Khir » est devenue en 2016 une Fondation légale à caractère caritatif et a gagné en professionnalisme. Désormais, son action fait appel au sponsoring et au partenariat avec des opérateurs économiques.
Constituée d’une Direction générale chapotant sept Sous-directions animées par des groupes de travail spécialisés qui se réunissent périodiquement au nouveau siège social à Ben Aknoun, la Fondation compte trois programmes d’action, à savoir humanitaire « Rahma », de protection de l’environnement « Blue Day » et social « Chaabi ». Des programmes qui traduisent sa ligne de conduite et constituent le cadre général pour tout bénévole désirant rejoindre le Fondation, qui dit « se démarquer de toute personne activant en dehors de ce cadre ».
S’appuyant largement sur les réseaux sociaux, « Ness El Khir » possède 48 pages web à travers l’ensemble du territoire national et compte plus d’un (1) million de bénévoles et d’adhérents, dont 90% âgés entre 15 et 35 ans.
Après le mois de Ramadhan, la Fondation, très active tout au long de l’année, lancera l’opération « Blue Day » et des actions sont d’ores et déjà en préparation en prévision de la prochaine rentrée sociale et de l’Aïd Al-Adha.
Les responsables de « Ness El Khir » souhaitent impliquer les jeunes cadres au sein d’instances officielles de la société civile dans l’élaboration d’une vision et d’une stratégie d’avenir pour promouvoir les différents secteurs dans le pays, bénéficier de plus de facilités au niveau administratif et voir les entreprises publiques s’engager davantage dans leurs actions. Ils ont affirmé œuvrer à mettre leurs actions de bénévolat à l’abri de toute instrumentalisation politique, soutenant que « l’Algérie est leur seule et unique appartenance ».
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L’Algérie enregistre annuellement plus de 6 000 enfants victimes de tous types d’agressions et près de 4 000 autres en danger moral.
L’État algérien a consenti beaucoup d’efforts en matière de promotion et de protection de l’enfant, à se fier à l’organisation non-gouvernementale (ONG) britannique Save the Children (sauvez les enfants), qui a publié, ce week-end, son rapport mondial intitulé “Les multiples visages de l’exclusion” qui a touché 175 pays. Ce document rendu public à l’occasion de la Journée mondiale de l’enfance a, en effet, classé l’Algérie à la 65e place en termes de prise en charge des besoins de l’enfant, notamment la nutrition, la lutte contre la violence, l’éducation, l’intégration et l’épanouissement.
Selon ledit rapport, l’Algérie est classée parmi les pays où les enfants sont le moins confrontés aux risques, affirmant que “plus de 1,2 milliard d’enfants dans le monde, soit plus d’un sur deux enfants, notamment en Afrique, sont menacés par la pauvreté, la discrimination ou encore les conflits, d’une part, et que 240 millions d’enfants vivent dans des pays en guerre”. Et si le Singapour et la Slovénie sont les deux pays les mieux classés, devant la Norvège, la Suède et la Finlande, cette ONG déplore, encore une fois, que le bas du tableau soit toujours occupé par 10 pays du continent noir, dont le Niger classé à la 175e et dernière position. Cela étant dit, les grandes puissances, à l’image des États-Unis (36e place), la Russie (37e place) et la Chine (40e place) arrivent derrière tous les pays d’Europe occidentale dans ce classement, malgré, précise l’ONG, “leur puissance économique, militaire et technologique”. Autre source de violence qui épargne l’Algérie, mais qui touche 20 pays dans le monde, comme la Somalie, l’Afghanistan, le Yémen ou le Soudan du Sud, “les préjugés sexistes qui touchent 575 millions de filles”. Face à cette situation dégradante, Save the Children a interpellé les gouvernements du monde à faire preuve de diligence et à mener “une action urgente (…) sans cela, les promesses faites par tous les pays à l’ONU en 2015 de permettre à chaque enfant de vivre, d’apprendre et d’être protégé ne seront pas tenues”.
En ce sens, l’Algérie poursuit actuellement ses efforts pour le parachèvement de la promulgation des textes d’application issus de la loi 12-15 du 15 juillet 2015, relative à la protection de l’enfant, notamment les aspects qui devront régir les centres de protection des enfants en détresse et les services d’action éducative en milieu ouvert pour renforcer la protection et la promotion de l’enfance. L’objectif est d’arriver à instaurer durablement d’un nouveau plan d’action national sur la protection de l’enfant et son bien-être, le gouvernement algérien est tenu de garantir la protection des droits des enfants sans famille et d’épargner cette frange vulnérable de la déperdition scolaire, des exploitations abusives sur le marché informel et la contrebande, des fléaux sociaux et des phénomènes émergents sur le cyberespace.
Si les chiffres avancés par les pouvoirs publics et ceux avancés par la société civile diffèrent, il n’en demeure pas moins que l’Algérie a encore du chemin à faire quand on sait que plus de 64 000 enfants sont nés sous X et que l’exploitation sur le marché noir touche plus de 200 000 enfants âgés entre 6 et 18 ans. La déperdition scolaire étant un facteur majeur de cet état de fait déplorable, l’Algérie enregistre annuellement plus de 6 000 enfants victimes de tous types d’agressions et près de 4 000 autres en danger moral.
En milieu rural, la situation est encore plus inquiétante. Raison pour laquelle il a été créé une Délégation nationale pour la protection de l’enfant, rattachée au Premier ministère, le lancement par la Sûreté nationale de 50 cellules d’écoute et de prise en charge des enfants en danger et la création de brigades de prise en charge des mineurs dans chaque wilaya par la Gendarmerie nationale.
FARID BELGACEM
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