Nombreux sont les Algériens qui optent pour le sud du pays pour passer les fêtes de fin d’année. Une destination autrefois préférée des touristes étrangers qui ne voulaient pour rien au monde rater l’occasion de passer à une nouvelle année au milieu des dunes de sable dans une ambiance festive. Et voilà maintenant que les Algériens se tournent vers le désert pour fêter le réveillon, après l’avoir longtemps « boudé » en faveur de la Tunisie. Reste à savoir si c’est un choix ou une alternative.
Les agences de voyages que nous avons contactées proposent toutes des offres pour le Sud. C’est le cas de l’agence Necib tourisme qui, pour cette année, propose Timimoun, l’oasis rouge au potentiel touristique riche et varié qui continue toujours d’inspirer poètes et artistes. « Pour un séjour de cinq jours et quatre nuitées, dans un hôtel trois étoiles, c’est 48 000 DA », nous fait savoir notre interlocutrice, avant d’ajouter : « Nous affichons complet ! », une manière de nous dire qu’il fallait réserver plus tôt. Néanmoins, le prix est jugé cher par plus d’un. « Ça vaut le coup de passer les derniers jours de l’année en toute sérénité dans la perle du Gourara, nous avons fait des économies pour y être présent », répondent, ajoute-t-elle, nos clients.
Biskra, une autre destination que l’agence propose pour le réveillon 2019. « Pour 28 500 DA, vous allez passer un réveillon de rêve », nous signale-t-elle, mettant en avant le programme mis sur pied pour l’occasion, citant entre autres les visites guidées sur plusieurs sites touristiques et une soirée de fin d’année bien animée. « Le nombre de demandeurs de la destination Sud a connu une augmentation significative en comparaison avec les années précédentes », témoigne-t-elle, indiquant que l’agence propose également des voyages en Turquie. Même constat du côté de l’agence Dune voyage qui affiche complet pour Djanet, l’oasis touristique par excellence. Selon les représentants de cette agence, l’augmentation des tarifs pour les destinations à l’étranger, notamment en Turquie (137 999 DA), a fait que les Algériens se sont tournés vers le tourisme local. La Tunisie, destination phare des Algériens en été, mais également en cette fin d’année, surtout que le prix est à la portée des bourses moyennes, devient elle aussi difficile à atteindre.
La cause, explique-t-on chez Dune voyage, est que ce pays voisin a retrouvé sa clientèle étrangère, notamment européenne, au point qu’il est difficile de trouver une place dans les hôtels les plus prisés, car très convoités par ces touristes. Cependant, ce prestataire de service s’est bien préparé, proposant un voyage de sept jours et six nuitées dans la capitale du Tassili n’Ajjer pour profiter des paysages envoûtants et de l’immensité du désert qu’on ne trouve nulle part ailleurs. « Le billet d’avion, le transport en véhicule 4*4 et une pension complète pour 64 000 DA ». Malgré le tarif jugé élevé par une grande partie de la population qui ne peut se permettre des vacances à ce prix, « les places sont toutes prises ». Il en est de même pour Marrakech. La Jordanie à 174 800 DA et Dubaï à 187 999, les deux autres destinations où il est toujours possible de réserver sa place. A ce prix-là, rares sont les Algériens qui peuvent se le permettre, surtout lorsqu’il s’agit d’un déplacement de plus d’une personne. Pour sa part, El Innab tourisme et voyage s’apprête à prendre en charge ses clients. « 55 personnes ont opté pour Dubaï à 170 000 DA, et une trentaine d’autres pour Istanbul (125 000DA) ». Cette agence regrette toutefois de ne pas avoir organisé des voyages au grand Sud algérien, l’un des plus beaux déserts au monde. « Il fallait réserver quatre à cinq mois avant, chose que nous n’avons hélas pas pu faire ! », déplore son représentant, qui souligne la grande demande enregistrée pour cette destination. C’est dire que la « traversée du désert » tente plus d’un.
Un constat que s’accordent la plupart des agences consultées à établir « On est de moins en moins sollicités comparativement aux années précédentes ». La cause : l’érosion du pouvoir d’achat des Algériens. En effet, après le retour du tourisme dans l’agenda des ménages algériens, voilà qu’ils sont confrontés à une réalité, qui n’est autre que leur incapacité à s’offrir des moments de sérénité après une année de labeur. Une dépense supplémentaire, estiment-ils
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PARIS – Le mouvement de « gilets jaunes » a obligé le président Emmanuel Macron et son gouvernement à s’affairer ardemment à trouver des solutions, surtout convaincantes, face à la colère des Français, en mettant à contribution le maximum de partenaires, pour une paix sociale.
En optant pour cette voie sociale, pas du tout prévue dans son programme, le président français, en chute de popularité depuis la crise « jaune », ne souhaite nullement, cependant, renoncer à ses réformes, même s’il donne l’impression de marquer une pause nécessaire.
Après avoir annoncé le 10 décembre dernier des mesures en faveur de l’apaisement, il met à contribution tous les partenaires susceptibles de travailler avec son gouvernement et soutenir ses décisions par des actions concrètes.
Il a réuni, tour à tour, les partis politiques, les partenaires sociaux, les banques et, pas plus tard que mardi, les représentants des trois familles d’organismes complémentaires de santé. Il s’agissait des
mutuelles, assurances, instituts de prévoyance afin de « bâtir des solutions concrètes à l’urgence économique et sociale », exprimée lors de son allocution aux Français.
Cependant, cette « urgence économique et sociale » implique un coût, plus de 10 milliards d’euros, et dont sa mise en œuvre constitue déjà un casse-tête en matière de financement.
Pour calmer une autre colère, cette fois-ci celle des policiers, le gouvernement a prévu une autre facture en décidant d’un prime de 300 euros pour les heures supplémentaires des policiers engagés dans les mobilisations des « gilets jaunes ».
Ce sont 111.000 fonctionnaires qui bénéficieront de cette prime pour un coût total d’environ 33 millions d’euros.
Pour soutenir sa démarche, le président Macron a demandé l’aide à une centaine de représentants d’entreprises françaises qui les a réunis après les banquiers, la semaine dernière. « J’ai besoin de vous », avait-il dit, soulignant que le modèle économique et social de la France est au « bout du rouleau ». Ainsi, les entreprises vont prendre leur part à hauteur de 2,5 milliards d’euros, a-t-on indiqué.
Mardi, il a demandé aux trois familles d’organismes complémentaires de santé des engagements « supplémentaires » pour que le coût de la santé « pèse moins sur le pouvoir d’achat des ménages ».
Un pouvoir d’achat déjà annoncé par l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) en « nette hausse » pour l’année 2019, avec une progression de 3 %.
Mais le débat en France tourne ces jours-ci autour du financement de cette « urgence économique et sociale » engagée par le gouvernement où il va falloir trouver de l’argent.
Un Conseil des ministres est prévu ce mercredi afin d’examiner toutes les possibilités financières pour la concrétisation de ses mesures qui va, sans doute, demander d’entériner des décisions sur la réduction des budgets de l’Etat, dont le déficit sera porté à 107,5 milliards d’euros.
Toutefois, le mouvement des « gilets jaunes » a remporté mardi une petite victoire lorsque l’Assemblée nationale française a validé, sans débat, le gel des taxes sur les carburants jusqu’en 2022, après que le Sénat l’eut voté dans le cadre du projet de budget pour 2019.
Après sa faible mobilisation constatée samedi dernier, le mouvement des « gilets jaunes » a été contraint, depuis lundi, à évacuer les ronds-points où il avait dressé ses quartiers généraux. Une pause a été marquée, semble-t-il, par le mouvement qui a répondu favorablement aux appels d’apaisement pour les fêtes de fin d’année, mais le pari reste grand pour le gouvernement dans sa quête de vouloir apporter rapidement des réponses aux Français ayant exprimé leur ras-le-bol fiscal qui détériore leur pouvoir d’achat.
Même si les gilets jaunes vont être pliés le temps des fêtes de fin d’année, les revendications restes vives et intactes, estiment de nombreux observateurs.
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« La France entend être et rester le Premier partenaire économique de l’Algérie », avait martelé un jour un ministre français des Affaires étrangères. Il y a beaucoup de lobbies français qui bloquent l’accès au marché algérien à de nombreux autres pays comme le Royaume-Uni par exemple. La France ne quittera pas l’Algérie. Elle a pris la mesure du risque lié aux nouveaux arrivants sur ce marché et s’organise en conséquence. La question est de savoir pourquoi on met en place ces partenariats. Cinquante-six ans après son indépendance, l’Algérie est encore très dépendante de la France politiquement et économiquement. Par exemple, l’Algérie était jusqu’à ce mois l’un des plus grands importateurs de blé dur au monde, principalement au bénéfice de la France, alors qu’elle pourrait être autosuffisante. Ce resserrement des rapports entre les deux pays symbolise cette concurrence biaisée entre investisseurs internationaux, alors qu’il faudrait que le marché algérien s’ouvre au reste du monde. De manière globale, l’Algérie a besoin d’acquérir de l’expertise dans de nombreux secteurs de l’économie, et de créer des emplois. L’agriculture est primordiale. Mais le pays pourrait aussi être compétitif grâce à son énergie bon marché. C’est le cas notamment, de la production d’aluminium et de la sidérurgie en général qui sont des secteurs très énergivores. Mais le développement du pays doit aussi passer par plus d’ouverture aux investissements en provenance d’autres pays étrangers. La France pourrait en outre apporter son expertise dans la construction d’hôpitaux, et mettre en place des partenariats universitaires afin de mieux former la jeunesse algérienne. Si la France perd peu à peu de son influence en Algérie mais surtout en Afrique du nord ou elle tente d’imposer son agenda, l’axe Alger-Pekin-Moscou est prêt à prendre la relève si l’on tient compte de l’activisme débordant de la Chine et de l’Algérie et à un degré moindre la Russie qui commence à reprendre du terrain perdu durant les années 90. Ainsi l’Algérie, avec l’aide de la Chine et de la Russie, est en train de supplanter la présence française à travers des projets structurants.
Charef S.
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Les éléments de la brigade territoriale de la Gendarmerie Nationale de la wilaya de Biskra ont récupéré un enfant âgé de 13 ans, kidnappé par des inconnus pour réclamer une rançon à son père.
Les faits remontent au 16 décembre dernier à 18h30, lorsque les services de la brigade territoriale de la Gendarmerie nationale de Biskra ont été contactés par un citoyen résidant dans la commune de Ain Nagua, qui se plaignait de l`enlèvement de son fils par des inconnus qui lui auraient réclamé, lors d’un appel masqué, une rançon de 250 millions de centimes pour libérer l’enfant », a indiqué mercredi un communiqué de la Gendarmerie nationale.
Suite à cette plainte, les gendarmes de la brigade territoriale ont lancé les opérations de recherche et d’investigation au niveau de la région et pu, à 19h30, retrouver l’enfant sain et sauf dans une région agricole près de la route nationale N83 dans le village d’El Harraya, commune de Ain Nagua, tandis que ses ravisseurs ont pris la fuite », a ajouté le communiqué.
Les éléments des mêmes services ont poursuivi les investigations jusqu’à l’arrestation des deux ravisseurs le 17 décembre à 14h. APS
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L’Assemblée générale de l’ONU a ratifié mercredi le Pacte mondial pour les migrations lors d’un scrutin, durant lequel 152 pays ont voté en faveur du texte, 12 Etats se sont abstenus, alors cinq ont voté contre, ont rapporté des médias locaux.
Le Pacte, premier du genre sur le question des migrations, avait déjà été adopté en juillet par l’ensemble des membres de l’ONU à l’exception notable des Etats-Unis. Le texte nécessitait une ratification à New York comme pour tout texte entériné hors du siège des Nations unies.
Après plusieurs défections, il avait été confirmé le 10 décembre lors d’un sommet à Marrakech (Maroc) par 164 pays sur les 193 membres que compte l’Organisation des Nations unies.
Non contraignant, le Pacte recense une série de principes à respecter, notamment la défense des droits humains, des enfants, la reconnaissance de la souveraineté nationale et exige la coopération, l’échange d’informations et d’expertises entre les pays signataires.
Il prône, en outre, l’intégration des migrants, l’interdiction des détentions arbitraires et n’autorise les arrestations qu’en dernier recours.
Les pays qui ont refusé d’endosser le Pacte sont les Etats-Unis, la Hongrie, la République tchèque, la Pologne et Israël.
Selon des diplomates en poste à l’ONU, Washington n’a pas cessé jusqu’à mercredi d’exercer des pressions « directes et indirectes » sur les pays pour qu’ils n’adhérent pas au Pacte.
Dénoncé par les nationalistes flamands, ce document a provoqué la rupture de la coalition gouvernementale en Belgique marquée mardi par la démission de son premier ministre, Charles Michel, qui avait approuvé le Pacte.
Au cours des derniers mois, le Pacte a déchaîné les passions, notamment dans une quinzaine de pays (Autriche, Australie, Bulgarie, Chili, Estonie, Hongrie, Italie, République tchèque, République dominicaine, Lettonie, Pologne, Slovaquie, Slovénie et Suisse) qui avaient ainsi annoncé publiquement leur retrait ou le gel de leur décision.
La Hongrie a dénoncé mercredi à l’ONU « une grave erreur » et brandi la menace de nouveaux flux massifs de migrants dans le monde, alors que les Philippines ont appelé à « la raison » estimant que les migrants sont un « apport bénéfique » pour les pays.
En début de séance, la présidente de l’Assemblée générale de l’ONU, Maria Fernanda Espinosa Garcès, a souligné que le document « n’affecte en rien la souveraineté des Etats ».
Selon les données de l’ONU, il existe environ 258 millions de personnes en mobilité et migrants dans le monde, soit 3,4% de la population mondiale. Plus de 80% des déplacements entre les pays se font de manière légale, alors que plus de 60.000 migrants clandestins sont morts depuis 2000 lors de leur périple.
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Des extincteurs accrochés sur les murs des établissements de santé publique de la ville de Sétif sont, depuis le début du mois de juillet, périmés. Sur l’image, l’extincteur accroché près du service de radiologie de la polyclinique
Benchekribou, à la cité Hachemi.
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Un juge de l’État américain du Missouri a condamné un braconnier multirécidiviste à visionner régulièrement Bambi, grand classique de Walt Disney relatant la vie d’un faon dont la mère est tuée par un chasseur.
David Berry devra obligatoirement regarder le long métrage d’animation au moins une fois par mois durant sa peine d’un an de prison, infligée à l’issue d’une enquête officiellement qualifiée comme “l’une des plus importantes menées dans l’État en matière de braconnage”. Berry et d’autres membres de sa famille sont suspectés d’avoir tué des centaines de cervidés sur une période de trois ans, ont indiqué dans un communiqué du 13 décembre les services de protection de la nature du Missouri. “Les cervidés étaient des trophées mâles tués de façon illégale, principalement la nuit, pour leur tête, le reste de la dépouille étant abandonné sur place”,
a expliqué le procureur du comté de Lawrence, Don Trotter.
Le braconnier condamné est “dans l’obligation de regarder Bambi de Walt Disney, le premier visionnage devant intervenir avant le 23 décembre 2018, puis être suivi d’au moins un autre visionnage lors de chacun des mois consécutifs de l’incarcération du prévenu”, a imposé dans sa décision le magistrat Robert George.
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La société de mobilité constituée par Daimler AG et BMW Group sera active dès le début de l’année prochaine,comme en ont convenu les deux entreprises et ce suite à l’approbation du projet par la Commission européenne.
Un premier pas de franchi puisque les partenaires poursuivent à présent leurs discussions avec l’autorité de concurrence américaine. Ceci implique que la finalisation de cette transaction, initialement prévue par les parties avant la fin de cette année, devra être reportée malgré les efforts des partenaires.
Par conséquent, les effets de valorisation et les effets sur les bénéfices ne seront réalisés par Daimler Financial Services qu’en 2019. Les prévisions de bénéfices pour 2018 s’en voient diminuées. Partant, la division s’attend à ce que l’EBIT soit sensiblement inférieur à celui de l’année précédente. Pour l’exercice comptable 2018, l’EBIT de Daimler Group reste quant à lui inchangé. Conformément aux communications précédentes, la transaction n’affecte en effet pas les flux de trésorerie des activités industrielles.
Daimler AG et BMW Group entendent réunir leur offre de mobilité en matière d’autopartage, de services de chauffeurs (ride-hailing), de stationnement, de chargement et de multimodalité. Leur joint-venture deviendra ainsi l’un des principaux fournisseurs de services de mobilité innovants. Les deux fabricants automobiles ont l’intention de façonner le futur de la mobilité pour offrir des expériences uniques à leurs clients et apporter leur soutien à leurs partenaires (villes et communes, notamment) dans la création d’une mobilité écologique en milieu urbain.
Demain, les clients auront accès d’un simple clic à un écosystème de services de mobilité complet, intelligent et pleinement intégré. Par leur association, Daimler AG et BMW Group répondent aux défis de la mobilité urbaine et aux souhaits de leur clientèle. Ces deux partenaires contribuent également, aux côtés des villes, des communes et d’autres groupes d’intérêts, à l’amélioration de la qualité de vie.
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Le gouvernement canadien a confirmé mercredi l’arrestation d’un troisième ressortissant canadien en Chine en quelques jours, près de trois semaines après l’interpellation à Vancouver d’une haute responsable du géant chinois des télécoms Huawei, qui a suscité l’ire de Pékin. « Le ministère des Affaires étrangères du Canada est au courant de la détention d’un citoyen canadien en Chine », a déclaré une porte-parole, confirmant des informations du journal National Post. Une source officielle a toutefois souligné qu' »il n’y (avait) pas de raison de croire que cette affaire soit liée aux autres cas récents de Canadiens arrêtés en Chine ».
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La Côte d’Ivoire a demandé à la France la restitution de 148 œuvres d’art africain, a annoncé mercredi le ministre de la culture ivoirien Maurice Bandaman. « Nous avons adressé une liste de 148 objets. En 2019, tout ou une partie sera restitué », a affirmé le ministre qui s’exprimait lors d’une conférence de presse, sans pour autant donner plus de détails. Bandaman a confié que le « Djidji Ayokwe », le célèbre tambour parleur Ebrié actuellement au musée du Quai Branly à Paris faisait partie des objets demandés.
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Les Emirats arabes unis ont affirmé mercredi que des « pourparlers pour la réconciliation afghane » entre des responsables américains et les talibans, tenus à Abou Dhabi, avaient débouché sur des résultats positifs et concrets, selon l’agence de presse officielle émiratie Wam. La conférence de deux jours pour la réconciliation afghane qui a réuni des représentants des talibans et des Etats-Unis, avec la participation de l’Arabie saoudite et du Pakistan, a produit des « résultats tangibles, positifs pour toutes les parties concernées », a précisé l’agence. Un nouveau cycle de négociations aura lieu à Abou Dhabi « pour finaliser le processus de réconciliation en Afghanistan », a ajouté l’agence, sans donner plus de précisions.
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Le Directeur général du groupe Cevital, Said Bénikene, a quitté mardi ses fonctions. « Monsieur Said Benikene a quitté aujourd’hui 18 décembre ses fonctions de Directeur général de CEVITAL, pour poursuivre de nouvelles missions en dehors du groupe », indique aujourd’hui, un communiqué du groupe privé algérien, sans pour autant apporter plus de clarifications sur les raisons de cette démission. Cevital précise que Radu Mavrodin, Directeur général adjoint en charge des ressources humaines Groupe assumera l’intérim des fonctions de Directeur général. Le communiqué du groupe Cevital indique que M. Benikene a « engagé un processus de transformation du groupe dont la première étape vient de s’achever ». Said Benikene a été nommé en décembre 2016 en tant que Directeur adjoint exécutif du groupe Cevital. Il a toutefois subit de nombreux revers au cours des derniers mois, après que le Groupe Cevital ait été forcé de céder son aciérie italienne, suivi des blocages des équipements de Cevital, que ce soit pour les unités de trituration de graines oléagineuses, ou pour l’unité Evcon. Aussi, si sa nomination répondait à l’exigence de refonte de la gouvernance du groupe familial, il semble, selon certaines sources, que la nouvelle gouvernance de Cevital n’ait été qu’une façade, la gestion du groupe étant sujette aux interférences familiales.
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D’après l’édition 2018 du Global Gender Gap Report qui est éditée chaque année par le World Economic Forum (WEF), l’Algérie se retrouve à la 128e position perdant ainsi une place par rapport à l’année précédente (127e).
De nombreux critères sont pris en charge, à savoir la participation économique des femmes et les opportunités qui leur sont offertes, l’accès à l’éducation, celui aux soins et l’autonomisation politique.
Concernant l’autonomisation politique, l’Algérie est à la 85e place, elle est à la 132e position en ce qui concerne la participation économique et les opportunités offertes aux femmes. Pour ce qui est des accès à l’éducation et aux soins, elle se classe à la 107 et 106e position.
Au nord de l’Afrique, l’Algérie arrive deuxième, derrière la Tunisie (117e), et avant l’Egypte (135e), la Mauritanie (136e) et le Maroc (137e).
Ainsi, les pays scandinaves sont parmi les premiers. En matière d’égalité hommes-femmes, Islande, Norvège, Suède et Finlande sont les meilleures.
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L’Ambassade de France en Algérie est heureuse d’annoncer l’inauguration des nouveaux bâtiments de l’école primaire internationale Alexandre Dumas (EPIAD), suite à la fin des travaux d’agrandissement et de restructuration.
Les nouveaux locaux de l’école primaire internationale Alexandre Dumas, ont été inaugurés le mercredi 19 décembre 2018 par M. Christophe Bouchard, directeur de l’Agence pour l’enseignement français à l’Etranger (AEFE) et M. Xavier Driencourt, Ambassadeur de France, Haut Représentant de la République française en Algérie, ainsi que des représentants du ministère des Affaires étrangères et du ministère de l’Education nationale de la République algérienne démocratique et populaire.
L’ambassade de France, le LIAD et @CfBouchard directeur de l’@aefeinfo remercient les autorités algériennes de leur #soutien dans la réalisation de ces travaux qui ont donné lieu à une belle école #inclusive et plurilinguiste ! pic.twitter.com/O7fAXiythB
— France en Algérie (@ambafrancealger) 19 décembre 2018
Le Lycée international Alexandre Dumas est né d’un accord signé en 2001 entre la France et l’Algérie. C’est un établissement d’excellence dont le cursus promeut la diversité culturelle et qui accorde une large place à l’enseignement de l’arabe. A cet égard, il illustre la volonté partagée par nos deux pays d’offrir à nos jeunesses une ouverture sur nos cultures respectives dans un esprit de partage. Après l’ouverture du lycée puis du collège à partir de 2002 sur le site de Ben Aknoun, l’Ecole Primaire Internationale Alexandre Dumas a été ouverte en 2012 sur le site de l’ancien collège Max Marchand, dans le quartier de Dely Brahim. Les travaux qui viennent d’être réalisés ont permis d’accroître la capacité d’accueil de l’établissement de 280 élèves supplémentaires. Cette école scolarise ainsi aujourd’hui près de 700 élèves, répartis en 27 classes, de la moyenne section de maternelle au CM2, ce qui en fait l’une des plus grandes écoles du réseau mondial de l’AEFE.
Visite guidée de @CfBouchard des nouveaux bâtiments de l’EPIAD, qui accueille aujourd’hui près de 700 élèves dans les meilleures conditions, pour une #scolarité réussie ! pic.twitter.com/QfKmNmyxiT
— France en Algérie (@ambafrancealger) 19 décembre 2018
Les nouveaux bâtiments comprennent une dizaine de classes, deux salles de langues, une salle polyvalente et des surfaces de préaux. Les travaux ont également permis la restructuration des espaces des maternelles, l’extension des espaces administratifs et de restauration, le réaménagement de la salle de motricité et la reconfiguration des espaces récréatifs extérieurs.
L’EPIAD améliore ainsi significativement ses infrastructures dans un souci d’offrir un environnement d’études moderne et accueillant pour ses élèves. L’Ambassade de France et le Lycée International Alexandre Dumas (LIAD) remercient les autorités algériennes de leur soutien dans la réalisation de ces travaux. L’inauguration de l’EPIAD rénovée est le signe fort de la confiance et de l’amitié qui unissent la France et l’Algérie, au bénéfice de l’éducation, du partage, et de la construction d’un avenir commun.
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Le collectif des syndicats autonomes du secteur de l’éducation s’est réuni hier à Alger. Verdict : les syndicats ont décidé de tenir leurs conseils nationaux respectifs pendant les vacances scolaires. Ils se réuniront une deuxième fois le 7 janvier prochain pour décider d’une action de protestation avant le 18 janvier.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – Le torchon brûle de nouveau entre le ministère de l’Education nationale et les syndicats autonomes qui risquent de perturber le deuxième trimestre de l’année scolaire. Le Satef, le Snapest, le Cnapeste, l’Unpef, le Cela et le SNTE qui ont annoncé, il y a près d’une semaine, leur retrait de la charte d’éthique et de déontologie, se sont réunis hier pour décider d’une action «face au silence du ministère de l’Education nationale». Ainsi, ils ont annoncé que la prochaine action de protestation commune sera organisée avant le 18 janvier prochain.
La date exacte sera fixée le 7 janvier prochain, à la rentrée des vacances scolaires, a déclaré Boualem Amourra, président du Satef. «En attendant la tenue des conseils nationaux des différents syndicats pendant ces vacances scolaires d’hiver, nous tiendrons la prochaine réunion le 7 janvier 2019 pour décider d’une action commune de protestation avant le 18 janvier», a-t-il indiqué.
Les syndicats autonomes reviennent à la protestation après près d’une année d’accalmie. Leur dernière action remonte à février dernier.
La ministre de l’Education nationale a réussi à lancer plusieurs chantiers de réformes durant cette période d’entente. D’ailleurs, selon elle, les mouvements de grève ont empêché le lancement des réformes dans le secteur. C’est pourquoi elle a tenu à la signature de la charte d’éthique pour mettre fin aux mouvements de protestation et instaurer une stabilité dans le secteur pour pouvoir se consacrer aux projets de réformes. Le Collectif autonome des syndicats dénonce son exclusion de ces réformes justement.
Les six syndicats reprochent à la ministre de l’Education nationale de prendre des décisions unilatérales en décidant seule des changements et des réformes du système éducatif sans associer le partenaire social. Ils appellent «à un dialogue sérieux pour régler les problèmes posés et assurer la stabilité du secteur».
S. A.
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ADRAR – Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Abdelkader Benmessaoud a affirmé, mardi à Adrar, l’importance de l’investissement touristique, à travers la valorisation du patrimoine local et des différentes manifestations pour promouvoir les services d’accueil du secteur.
La wilaya d’Adrar est une wilaya touristique par excellence qui a connu un bond qualitatif en matière d’investissement, a indiqué le ministre, ajoutant que l’année 2018 a été marquée par la réalisation de 10 hôtels d’une capacité de 1000 lits, en vue d’atteindre, à la fin du premier trimestre 2019, un total de 34 structures hôtelières, susceptibles de contribuer à la création de 2500 postes d’emploi permanents.
Dans le cadre de la deuxième journée de sa visite dans la wilaya, le ministre a cité les projets lancés, à travers trois territoires de la wilaya pour la promotion de l’accueil touristique et la valorisation du legs historique et culturel.
D’autre part, le ministre a souligné l’importance d’impliquer les médias dans la promotion du tourisme spirituel, saharien et oasien et de valoriser les sites archéologiques et l’artisanat, en sus de préserver le cachet architectural de ladite wilaya qui abrite plus de 200 manifestations sociales par an.
M.Benmessaoud a appelé à la promotion du tourisme saharien, à travers l’application de prix concurrentiels au profit des clients, saluant à l’occasion l’expérience de certains établissements hôteliers locaux et de la compagnie nationale Air Algérie qui propose des prix promotionnels au profit du tourisme saharien en hiver, les tarifs étant réduits de moitié ou encore plus.
Le ministre a inspecté, en outre, une série de projets touristiques en cours de réalisation par des privés dans le chef- lieu de wilaya, dont le projet de réaménagement de l’hôtel Touat au sujet duquel il a donné des instructions aux responsables pour accélérer la cadence des travaux, en prévision de sa réception prochaine fin février 2019.
Au titre de la troisième et dernière journée de sa visite dans la wilaya, le ministre aura à visiter des projets d’investissements dans la circonscription administrative de Timimoun.
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ALGER – Le directeur du Centre africain d’Etudes et de recherches sur le terrorisme (Caert), Larry Gbevlo-Lartey Esq, a souligné mardi à Alger, l’impératif de trouver l’équilibre entre le respect des droits de l’Homme et la lutte contre le terrorisme, lors de la réunion annuelle des Points focaux du Caert, saluant les efforts de l’Algérie dans l’instauration et le maintien de la paix et la sécurité nationales.
« Nous allons essayer de nous concentrer sur cette centralité. Il est impératif de trouver le juste équilibre entre les deux (droits de l’Homme et lutte anti-terroriste) », a déclaré M. Larry en marge des travaux de la réunion des Points focaux du Caert tenue à Alger.
Il a, à cette occasion, loué les efforts de l’Algérie dans le maintien de la paix et la sécurité, estimant que le gouvernement algérien est devenu un exemple à suivre par les pays africains et le monde entier dans le domaine de la lutte anti-terroriste, rappelant le rôle joué par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans le cadre de la coordination de la lutte contre le terrorisme au sein de l’UA.
« La situation sécuritaire en Algérie est aujourd’hui connue de tous grâce à la sagesse de ses dirigeants, qui ont appris à combattre le terrorisme », a déclaré M. Gbevlo. Il a souligné, à ce titre, que l’expérience de l’Algérie est devenue un modèle pour les pays du continent et peut servir non seulement aux pays africains mais aussi aux pays du monde entier.
Selon le directeur du Caert, le grand défi auquel l’Algérie devra faire face maintenant, est la tentative de certains groupes terroristes de véhiculer des messages radicaux visant à propager les idées extrémistes.
Evoquant la situation sécuritaire en Afrique, M. Gbevlo a estimé que le continent souffre encore de plusieurs difficultés qui concernent plus souvent l’extrémisme religieux et la radicalisation, notamment dans la région du Sahel, précisant que ces menaces touchent aujourd’hui également la Tanzanie et le Mozambique.
Concernant les objectifs atteints par le Caert depuis sa création en 2004, M. Gbevlo a estimé que le centre est censé avoir apporté une aide aux Etats membres pour accroitre leur capacité de lutte contre le phénomène et ce, grâce aux instructions spécifiques reçue de l’Union africaine telle que la formation, la gestion des ateliers ainsi que des séminaires et la mise en place de mécanismes pour le partage d’informations entre les pays.
Les travaux de la 12ème réunion des Points focaux (Caert), qui ont débuté mardi à Alger, autour du thème: « la Promotion de l’équilibre entre la lutte contre le terrorisme et les droits de l’Homme en Afrique », se poursuivent sur deux jours à huis clos en présence des représentants des Communautés économiques régionales et des Mécanismes régionaux de lutte contre le terrorisme sur le Continent africain.
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ALGER – Le groupe parlementaire d’amitié « Algérie-Tunisie » a été installé, mardi, au siège de l’Assemblée populaire nationale (APN), a indiqué un communiqué de la chambre basse du parlement.
Supervisant la cérémonie d’installation du groupe parlementaire d’amitié, en présence de l’ambassadeur de la Tunisie à Alger, Ennasser Essayd, le président de la Commission des affaires étrangères, de la coopération et de la communauté nationale établie à l’étranger à l’APN, Abdelhamid Si Afif a rappelé les relations « distinguées, fortes et profondes unissant l’Algérie et la Tunisie », soulignant, à cet égard, que l’Algérie « sous la conduite du président Abdelaziz Bouteflika demeure convaincue que la Tunisie est sa soupape de sécurité et n’oubliera jamais sa position et son soutien lors de la lutte pour la libération et durant la tragédie nationale ».
Il a réitéré, à cet égard, l’attachement de l’Algérie à « raffermir les liens de fraternité et d’amitié entre les deux pays et à asseoir une complémentarité effective au mieux des deux peuples frères ».
M. Si Afif a relevé, par ailleurs, l’impératif pour l’Algérie et la Tunisie « de s’ériger en locomotive pour permettra à l’Union du Maghreb arabe (UMA) de recouvrer sa place et son rôle, tout en coordonnant leurs efforts pour faire face aux différents défis et menaces à l’instar du terrorisme, de la migration, de la traite humaine et des drogues, d’une part et promouvoir une approche visant à asseoir la paix, la sécurité et le développement dans la région », a-t-il soutenu.
L’installation de ce groupe « contribuera à la dynamisation de la diplomatie parlementaire, au soutien de la coopération parlementaire entre les deux instances législatives, et renforcera les liens d’amitié entre les deux pays en droite ligne avec la volonté politique des dirigeants des deux pays », a-t-il poursuivi.
Pour sa part, l’ambassadeur tunisien a affirmé que l’installation du groupe parlementaire d’amitié « Algérie-Tunisie » constitue « une autre pierre apportée à l’édifice des relations liant les deux pays, et contribuera à leur développement dans divers domaines ». Il a exprimé, par la même occasion, sa volonté d’élargir la coopération bilatérale aussi bien au niveau régional qu’international, tout en soutenant les candidats à la tête des deux pays.
La présidente du groupe parlementaire d’amitié (Algérie-Tunisie), Faiza Bouhamed a fait savoir, de son côté, que « beaucoup de travail attend ce groupe, notamment le renforcement de la coopération, l’échange d’expériences entre les parlementaires, les hommes d’affaires et les experts ».
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BOUMERDES-Le Premier ministre de la République de Corée (Corée du sud), Lee Nak-yon à déclaré, mardi à Boumerdes, que son pays est honoré de contribuer au développement de l’économie algérienne.
« La Corée du Sud est honorée de contribuer au développement de l’économie algérienne à travers des entreprises sud -coréennes », a affirmé M.Lee Nak-yon, qui accompagnait le ministre de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi, lors de la mise en service de la 2eme partie de la 2eme turbine de production d’électricité de la Centrale de Cap Djinet, (Est de Boumerdes).
Le Premier ministre Sud -coréen, qui était également accompagné par le Président directeur général (P-dg) du Groupe Sonelgaz, Mohamed Arkab, au titre d’une visite officielle en Algérie entamée dimanche dernier, a procédé symboliquement à la mise en service de cette partie du projet d’une capacité de production globale de 1.200 mgt d’électricité/heure, en réalisation dans le cadre d’un partenariat entre la firme Sud -coréenne « Daewoo » et Sonelgaz.
« Je suis fière que la firme Daewo participe, à travers ce projet, au développement économique et à l’industrialisation de l’Algérie », a -t-il soutenu dans une déclaration à la presse en marge d’une inspection d’un nombre de chantiers et unités (contrôle, maintenance) de cette mega -centrale, qui sera mise en service en janvier prochain.
Il a également exprimé « la confiance totale » des entreprises Sud-coréennes, dans « le parachèvement des projets dans leurs délais, sans dépasser les coûts dont ils ont été affectés, car ce sont là les caractéristiques mêmes de Daewoo », a-t-il assuré.
M.Lee Nak-yon a, en outre, loué la « stabilité de la croissance économique en Algérie, au même titre qu’aux plans social et politique, en dépit des souffrances vécues », a-t-il relevé.
Pour sa part, le P-dg de Sonelgaz s’est dit « très fier » de la « réussite » du projet de Centrale électrique, réalisée avec nos partenaires Sud Coréens, qualifiant ce partenariat d’ »exemplaire » et de « modèle de réussite ».
M.Arkab a également loué l’accord signifié par Daewoo pour « accompagner et assurer son expertise au profit de ce projet, avec la contribution efficiente des cadres et experts algériens actuellement en charge ».
La Centrale de Cap Djinet(relevant de la Sonelgaz) est formée de trois turbines fonctionnant en cycle combiné (30% vapeur et 70 % gaz), dotée chacune d’une capacité de production de 400 mwt d’électricité /Heure, soit un total de 1200mgt pour les trois.
La première turbine est entrée en production en juillet 2018, la 2eme au mois d’octobre passé. La mise en exploitation de la 3eme turbine interviendra à la mi janvier prochain, selon les responsables en charge du projet.
L’infrastructure est, par ailleurs, équipée de nombreux systèmes « amis de l’environnement », dont particulièrement celui du dessalement de l’eau de mer exploitée dans la production de la vapeur, et la production d’hydrogène exploité dans le refroidissement des générateurs électriques.
A noter que l’énergie électrique produite au niveau de cette Centrale est transférée respectivement vers deux transformateurs (400 vlt chacun) à Si Mustapha et El Affroune (Blida), au moment ou un 3eme transformateur est prévu à l’avenir à Akbou( Bejaia), avant le transfert de cette électricité vers le réseau national de transport d’électricité.
A l’entame de sa visite, un exposé détaillé soutenu par un film sur toutes les étapes de réalisation de cette Centrale électrique, a été présenté au Premier ministre Sud-coréen qui s’est par la suite rendu au niveau d’un nombre de chantiers de ce projet, avant de clore sa visite par une rencontre avec les travailleurs Sud-coréens de cette Centrale.
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